je ne suis pas là pour me justifier, croyez-moi ou pas. ce que je peux dire, c’est que je me suis vraiment investi dans ma précédente tentative de culture outdoor. j’y ai passé des dizaines d’heures, à lire, à expérimenter, à creuser douze trous d’un mètre cinquante de profondeur, à fabriquer mon propre terreau avec du compost, à transporter tout ça en forêt dans des sacs-poubelle.. et pourtant, malgré tout cet investissement, tout a cramé en quelques jours. entre les parasites, le froid, le stress de transplantation, c’était un mélange fatal. ça m’a refroidi, mais ça m’a surtout appris:aujour