Ouais... Tout ça en fait c'est une question de mise en oeuvre.
Dans le cadre d'une légalisation, pourquoi ne pas demander aux dealers des cités (et d'ailleurs) de continuer à faire leur "métier" mais en conformité avec la loi, le fisc, les contrôles sanitaires, etc, le tout s'exerçant dans des conditions d'accueil et de sécurité dignes d'une officine légale ?
On sélectionnerait les meilleurs "spécialistes", capables de gérer une vraie entreprise, petite formation, et roule ma poule !
P'être que ça ne mettrait pas le feu comme ça ?
Bien sûr, l'état doit contrôler les approvisionnements.