luckyspiff

 

 

Bonne chance tu va t'amuser je pence

Tu voit je savais pas que ça disait ça lol!!! Oue putain ça me soûle grave, vais le garder quand même et je vais régulièrement lui couper les couilles, car j'ai pas envi de recommencer un culture à zéro

Merci pour ta réponse rapide, pourquoi je porte mal mon nom? j'en était presque sur! j'ai demandé car je savais pas que des graines régulières (local) pouvaient donner des Hermas je croyais que c'était qu'avec des féminisées

re tout le monde,

j'ai un gros gros doute sur la plante qu'il me reste, sur 4 j'avais sûr 3 males, et sur ma plante qu'il me reste je pense fort que c'est un herma, pouvez vous me donner confirmation ?

merci

Au faite je crois que sur les 2 plantes y'a encore 1 mâle !! Rrrrr! Oui tu a raison J'aurais du acheter les graines, la prochaine session c'est sûr j'en achete lol

Ah ok, je comprends mieux...

J'ai penser qu'avec le nombre de messages que t'avais, tu devais pas en être à ta première culture...Comme quoi...

T'auras pas d'hermas (ou très peu de risque, si tes graines sont de qualités et que tes conditions de cultures sont correctes).

Dinafem, female seeds, medical seeds, serious seeds sont des breeders sérieux.

Et niveau prix, certains te vendent les graines à l'unité donc pour 20 euros max t'auras 2 belles graines feminisées.

Pour débuter, t'as la critical + qui est pas mal.

 

++

Va vite faire une présentation dans la section appropriée sinon ton JDC sera clos,

Une fois cela fait, étoffe un peu ton JDC en mettent des photos de ton Matos etc... Et décrit nous tes conditions climatique dans ton placard, regarde sur d'autres JDC pour te donner une idée

Salut l'ami, bien que t'ai descendu le ventilo car faut quelles dansent le funk afin de développer un beau tron bien costaud ^^ concernant ton hygrométrie est un peu basse, à ce stade il leurs faudrait net au moins un bon 70%. Jte di ça car une fois aussi j'ai eu ce problème la et qui a enchaîné sur pleins d'autres souci . Je serais toi j'achèterais un mist maker

Oui pour le moment car vu que c'est ma première culture je voulais me faire un peu la main avant d'acheter des graines, aussi sur les graines féminisée ça fait peur quand même de tomber sur des hermas. Sinon les 2 mâles je les ai cut et passé au four jusqu'à en faire une poudre noir puis jeter tout simplement dehors ^^

Merci pour ta réponse ça m'arrange d'avoir 2 mâles car je manque de place dans mon placo lol. Sinon la variété j'en ai aucune idée c'était des graines local. La photo 2 je crois que c'est une femelle car en regardant bien j'ai vu des petit poils blanc

bonjour à tous,

j'ai 4 plantes qui sont à F+12 les sexes se sont déclaré mais je n'arrive pas bien à voir ce que c'est

merci de votre aide

Pas mal ton petit JDC man! J'me pose pour suivre tout ça

Salut lucky et merci d'être venu faire un tours sur mon JCD ! =)

 

Pour le ventilo il était plus proche des plantes avant et je l'ai remonté car il faisait vraiment trop d'air ^^

Les plantes qui tombaient tombaient exactement dans le sens du ventilateur et ce sont celles qui avaient le plus d'air sur elles ^^

Je l'ai donc remonté histoire qu'elles soient moins exposées.

 

Bonne idée ?

 

J'en sais rien xD mais à suivre je pense ?

C'est pas la mort si ta touché la lampe vite fait, évite juste de reproduire cela! Et au passage va vite te présenter

Salut! Bien ton installe par conte descend un peu ton ventilo car tes plantounes n'en profitent pas et je pense que c'est pour ça quelles tombent un peu

Une box en extérieur !! À mon avis oublie car déjà tes plantounes vont peler le c**, ça sera ingérable pour la température, Ou si tu y arrive tu va te taper des bonnes factures,.niveau discrétion tu va te faire cramer direct car suffit que t'ouvre la box alors qu'il fait nuit, les voisins vont voir direct la lumière vive. Je pense que tu devrait faire une petite place dans ton appart et de convaincre ta femme. Ou sinon tu change de femme!! Mdr ^^

alors quelqu'un a testé avec les mangues ?

hihi!!!! bien marrant cette petite histoire, mais bon envoyer ce genre de lettre au nom de l'ancien locataire faut pas être très fut fut quand même!!

super interessant ton sujet!!! merci!!!

ahhh ça chute à mort!!!!!! 32% contre 68% !!!

A voté, 57 % contre 44%

personne a un lien des épisodes de weed wars en FR? car j'ai trouvé que le premier épisode tout le reste c'est en VO

pareil ce soir à 20h40 devant ma tv sur la chaine 68 !! ^^

La France détient un triste record. Ce sont les adolescents français qui sont les premiers consommateurs de cannabis en Europe. En se prononçant pour la dépénalisation, la ministre Cécile Duflot a ravivé les passions. La lutte contre le cannabis ne se réduit pourtant pas à cette seule question.

vidéo François Hollande

Les résultats de l'enquête sont tombés le 31 mai : les jeunes français de 15-16 ans sont les premiers consommateurs de cannabis en Europe (*). Le débat sur la dépénalisation s'en est trouvé relancé, la ministre du Logement Cécile Duflot mettant le feu en se prononçant pour. « En tant que secrétaire nationale d'Europe Écologie - Les Verts », précise-t-elle aussitôt. Trop tard.

Zéro résultat

Il n'en fallait pas plus, surtout pendant les législatives, pour que la question se cristallise de nouveau entre pro et anti-dépénalisation.

Les uns démontrant que la politique répressive conduite ces dernières années n'avait incontestablement pas été d'une grande efficacité. Les moyens qui y sont consacrés doivent être redistribués vers plus de prévention, proposent-ils.

Les autres préjugeant d'une société permissive et laxiste si on venait à autoriser tout à chacun à fumer au nez de son voisin. Banaliser l'usage du cannabis, ce serait ouvrir un peu plus la porte aux drogues dures, arguent-ils. Et les Français leur donnent raison puisque, sondage à l'appui, 70 % se disent opposés à la dépénalisation de l'usage du cannabis (ils étaient 63 % il y a un an).

Ceci posé, on fait quoi ? Certes, les pays où l'usage du cannabis est dépénalisé font mieux que nous. Mais il a été démontré que la pénalisation, ou la dépénalisation, n'avait, à elle seule, pas d'incidence sur l'usage du cannabis.

Certes, les Français sont contre la dépénalisation du cannabis mais, si on leur posait la question de savoir s'ils souhaitaient voir leur enfant interpellé et placé en prison pour avoir fumé un joint, répondraient-ils de la même manière ?

Parce que les mêmes arguments politiques sont avancés dès que l'on parle dépénalisation, notre regard sur le cannabis est tronqué, le débat faussé.

« Ramener le débat à la pénalisation ou dépénalisation, c'est se renvoyer des explications les plus simplistes, dit le président de la Fédération addiction, Jean-Pierre Couteron. La dépénalisation n'a de sens que dans une refonte complète de la politique de santé publique, une politique qui arrive à se déployer sur quatre ou cinq ans. »

SOPHIE LEROY

(*) Enquête ESPAD menée dans 36 pays européens.

DOMINIQUE : « Interpeller n'est pas une solution »

Dominique est le père de deux enfants de 24 et 19 ans.

« J'aurais tendance à dire que je suis pour la dépénalisation. Ce n'est pas en interpellant des jeunes, en les plaçant en garde à vue, qu'on les aide, surtout s'ils sont dépendants. Le problème se situe en amont, en faisant de la vraie prévention. C'est à ce niveau qu'il faut déployer des fortunes de moyens.

En même temps, le cannabis n'est pas anodin quand les enfants ne vont pas bien et qu'ils l'utilisent comme anxiolytique.

Je n'étais pas naïf, mes enfants arrivant à l'âge de 15 - 16 ans, je savais qu'ils pouvaient expérimenter le cannabis. Comme l'alcool, le tabac ou le sexe d'ailleurs.

Mon fils aîné l'a fait sans conséquence. Et, en tant que professionnel de la santé, il m'arrive de recevoir des enfants envoyés par leurs parents dès le premier joint : je leur dis de relativiser. Même si, pour mon second fils, cela a été plus problématique et qu'il est devenu dépendant. Et là, j'ai été paumé. Quand on s'en aperçoit, il n'est plus possible de tenir un discours de prévention. Il faut alors aider les parents à accéder, avec leur enfant, aux organismes qui prennent en charge les jeunes toxicomanes.

« Dédramatiser pour en parler plus facilement »

Si le cannabis était dépénalisé, ce serait peut-être plus facile de dédramatiser et donc d'en parler avec ses enfants, comme on le fait avec l'alcool. Je ne pense pas que les parents doivent dire : "C'est mal d'expérimenter le cannabis", ou qu'ils puissent l'interdire d'ailleurs. En revanche, les parents sont là pour leur interdire les excès : on ne leur interdit pas de boire un verre mais on leur interdit de se prendre une cuite, on ne leur interdit pas le sexe mais on leur demande de faire attention. Il faut leur parler des effets comme ceux de l'alcool.

NATHALIE : « Parce que c'est pénalisé ? »

Nathalie est la mère de Nicolas, 20 ans.

« L'usage du cannabis est pénalisé ? Première nouvelle. Je trouve tout ça hypocrite. Il suffit de se rendre aux portes des lycées pour constater que les jeunes fument. Mon fils, en tout cas, n'a jamais été inquiété... Très sincèrement, je ne sais pas s'il faut dépénaliser l'usage du cannabis mais une chose est sûre : ce qui est mis en place aujourd'hui ne marche pas. Dépénaliser l'usage n'est peut-être pas la solution, je n'ai pas d'idées mais que les politiques, eux, en trouvent car ce n'est pas la journée d'information cannabis organisée dans les collèges ou les lycées qui change quelque chose.

En tant que parent, je me suis sentie très démunie. Je ne parle pas du joint consommé occasionnellement mais de l'usage problématique du cannabis. Les parents sont souvent les derniers à s'en rendre compte. Et là, je reprocherais au lycée de ne pas nous avoir appelés. Je ne dis pas que c'est à eux de régler la question mais je pense qu'ils ont un devoir d'alerte, surtout quand on voit les conséquences que cela peut avoir sur leur scolarité à un âge où ils doivent déterminer leur parcours professionnel. Les bulletins scolaires entrent en ligne de compte dans le choix d'une école. Or, quand les premiers mauvais résultats scolaires arrivent, il est déjà trop tard.

Par ailleurs, la parole des parents ne suffit pas. Si des enfants peuvent y être sensibles, pour d'autres le discours parental est "rasoir". C'est difficile aussi de leur faire comprendre qu'on a pu fumer du cannabis nous aussi mais que les conséquences sont autrement plus lourdes car, aujourd'hui, les produits sont plus concentrés en principe actif. Il manque des relais, pour eux comme pour nous. »

Quant à la police, je ne pense pas qu'elle soit dans son rôle en interpellant les jeunes usagers. Mon fils a souffert d'être fouillé en public, il s'est senti humilié alors qu'il était déjà mal. Le cannabis engendre déjà la paranoïa. Je n'ose imaginer ce qui se serait passé dans sa tête s'il avait été en garde à vue. Je pense que je l'aurais perdu complètement. »

BEUH, BARETTES, ETC.

Le cannabis est une plante dont le principe actif responsable des effets psychoactifs est le THC (tétrahydrocannabinol). Il est vendu sous trois formes :

> L'herbe (marijuana, beuh, etc.) se fume généralement mélangée à du tabac et roulée en cigarette (joint, pétard...).

> La résine (haschich, shit, chichon...) se présente sous forme de plaques compressées, des barrettes qui se fument généralement mélangées à du tabac.

> L'huile, plus concentrée en principe actif, consommée à l'aide d'une pipe.

C'EST PLUS CLAIR

- PÉNALISATION

Un an de prison, c'est la peine maximum encourue pour consommation de cannabis. En 2010, 122 439 personnes ont été interpellées pour usage de cannabis, 15 302 pour usage- revente et trafic. (Source : OFDT)

- DÉPÉNALISATION

Le consommateur de cannabis ne risque plus de sanction pénale mais le commerce de cannabis reste interdit. Certains politiques prônent une dépénalisation douce. La peine de prison est remplacée par une contravention.

- LÉGALISATION

À ne pas confondre avec la dépénalisation. Légaliser le cannabis revient à organiser une vente légale du cannabis, comme pour le tabac et l'alcool. Avec taxe sur la vente pour financer la prévention.

- ÇA SE COMPARE

Près de quatre adolescents sur dix, âgés de 15-16 ans, déclarent avoir, au moins une fois déjà, fumé du cannabis.

Six sur dix (63 %) ont déjà fumé du tabac (les filles d’ailleurs plus que les garçons, 68 % contre 58 %.

Et neuf sur dix de l’alcool ; 67 % en ont consommé dans les trente derniers jours (38 % du tabac et 24 % du cannabis) ; 44 % des adolescents interrogés ont connu un épisode d’alcoolisation ponctuelle importante au cours des 30 jours précédant l’enquête.

(Enquête ESPAD 2011)

Source

franchement chapeau bas, en plus ta mis des liens pour les fournitures pour ceux qui veulent ce lancer

Grâce aux promesses électoralistes des socialistes & associés, nous pouvons mieux discerner aujourd’hui les ficelles qui ont permis d’élire dans un premier temps, notre président « normal », puis hier nos députés.

Entre le financement de l’assistanat, l’encouragement au communautarisme, le maintien du corporatisme et l’apologie des idées creuses sur des lendemains qui chantent, le plus révélateur de cette démagogie exploitée à l’extrême, est la proposition de dépénalisation du cannabis par Duflot.

Résultat, carton plein pour elle et son parti. Un groupe vert à l’assemblée (17 députés) et 72,2 % en sa faveur dans la 6eme circonscription de Paris.

On comprend mieux maintenant sa sortie sur la dépénalisation.

La complexité d’une telle question mérite certainement une autre approche qu’un artifice politique introduit entre 2 tours des législatives. Et savoir s’il est plus judicieux de légaliser ou pas pour éviter les trafiques et obtenir un produit de bonne qualité demande une réflexion qui porte au-delà des clivages politiques.

D‘après un sondage IPSOS, les français sont contre dans leur grande majorité mais cela varie que l’on soit de droite ou de gauche. L’écart oscille entre 52% pour ceux qui ont voté Mélenchon et 17% pour les électeurs de Marine Le Pen. »

Est-ce vraiment étonnant lorsque l’on voit le score de notre ministre du logement ! Au mépris d’un grave problème de santé public, la patronne d’EELV a utilisé la banalisation de ce fléau sanitaire comme appât de campagne électorale.

Sous couvert « de meilleure qualité » et de « control» pour Baylet, qui propose de le vendre en pharmacie et de ne pas être « trop hypocrite parce que tes enfants, les enfants de tes enfants, les enfants de beaucoup de tes amis, ils fument » pour Cohn-Bendit en réponse à Xavier Bertrand, tous ces responsables politiques ont surtout travaillé à obtenir un plus grand nombre de bulletins dans les urnes.

Le plus consternant est de reconnaitre le succès du clientélisme et d’admettre que notre pays devra être confronté aux dures réalités économiques pour être réformé en profondeur. Le bon sens et la méthode « douce » ne fonctionne pas.

Des réalités qui ne seront bientôt plus dissimulables par des manœuvres tactiques et présage une sortie du « trip » brutale et forcée après pareil enfumage !

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