Tout d'abord, rappelons ce qu'est un HashMaker (aussi appelé HashShaker).
Ce produit peut se trouver dans la plupart des smartshops moyennant la modique somme de 20~25€ environ.
Le principe du HashMaker est un cylindre monté d'un tamis d'un côté et de deux couvercles de fermeture. En secouant, les trichomes chargés de THC vont se détacher de la masse végétale, tombant à travers le tamis et ainsi on peut les récupérer de l'autre côté.
1. Fabrication
1.1. Matériel nécessaire
- une boite, un tube de pvc, etc...
- un tamis (grillage très fin, filtre à café permanent, toile à dragées, etc...)
- du papier sulfurisé
- 3 pièces de 1 cents
- des têtes, de la manucure
- un congélateur (freezer le cas échéant)
1.2. En images
2. Utilisation
2.1. Pas à pas
Mettre les têtes et/ou les feuilles de manucure sèches chargées de trichomes dans le papier sulfurisé, y ajouter les 3 pièces de 1 cents.
Mettre le tout au congélateur pendant 1h~1h30.
Secouer quelques minutes (3~5min).
Ne pas secouer comme un malade non plus, ce qui réduirait la masse végétale en poudre, ce qui nous donne un skuff/résine plus vert, de même si effectué trop longtemps.
Ouvrir, rassembler, malaxer, fumer.
Pour le malaxage, un coup de sèche cheveux sur la poudre vous aidera en la rendant plus "collante" comme de la pâte à modeler.
Mise dans du papier sulfurisé (pour pas que ça colle au papier), sous un meuble pendant 15 min.
Si il est impossible de faire quelque chose de compact, c'est que c'est pas bon, "shake" trop long, ou grille à maille trop grande.
Si ça devient tout noir et que ça colle tout est bon.
Pour donner des chiffres un peu plus précis, mon contenant fait 9cm de diamètre pour 7cm de haut.
Le rapport matière première/finale est d'environ 10:1
2.2. En images
La petite boulette a été récupérée après un shake de 3min, le reste après 8min..
La box connectée - Système de monitoring à distance
Comme évoqué dans mon premier JDC, je me suis enfin sortit les doigts et décidé de rédiger ce tutoriel présentant mon modeste placard connecté.
Ce post est l’objet d’un guide simple mais complet de l’achat à la réalisation d’un projet en passant par l’assemblage et le développement embarqué Arduino.
DIY réservoir d'eau osmosée à remplissage automatique
Intro:
Voila je viens vous partager ma conception (probablement pas unique).
Ma motivation pour cette réalisation est simple, j'en avais marre de galérer avec des bidon et l'eau qui déborde partout...🚰
Si j'utilise un osmoseur c'est parce que comme beaucoup de gens, l'eau du robinet est de mauvaise qualité, et aller en animalerie récupérer des 10ene de litres régulièrement c'est très contraignent, et l'eau qu'ils vous donnent sort de leurs aquarium, sent le poisson en plus d'être à une EC plus élevée qu'en sorti d'osmoseur, concrètement cela veux dire qu'il y a déjà des nutriments dans l'eau et mon but est de contrôler le mieux possible ces taux.
Pour ce projet je vous présente deux version/qualité, je vais vous expliquer la version la meilleur (assez chère) puis la version que j'ai fait moi, beaucoup plus abordable.
Vous pouvez bien entendu adapter/modifier a votre guise, c'est seulement une base qui fonctionne.
Précautions:
Il faut garder à l'esprits certaines choses.
Etre un minimum bricoleur car vous allez faire un peu de plomberie.
Je vous conseil de dimensionner cette installation en fonction de vos besoin car laisser de l'eau dans un récipient trop longtemps vas engendrer certain problèmes de bactéries notamment, que vous ne voulez pas dans votre soupe, ou de gaspillage.
Personnellement je laisse le réservoir vide, j'ouvre la vanne de l'osmoseur seulement la veille, ou en période de grande consommation de cette eau je laisse en continu mais l'eau ne reste jamais plus de 4jours.
Ne surtout pas utiliser une cuve autre que inox ou plastique (l'aluminium n'est pas bon pour vos plantes, et l'acier ca rouille c'est pas mieux!) si vous optez pour le plastique, il vous faut un réservoir très résistant à la pression pour la version 1, et dans les 2 versions il vous faudra du plastique alimentaire.
Si vous optez pour le plastique, il faut aussi qu'il ne soit pas transparent ou alors qu'il soi dans une zone qui reste toujours dans le noir pour des raisons évidente...
Ne pas utiliser pour vos étanchéité des produit (ils serons toxique pour vos plantes), même si vous avez envie d'assurer le coup avec du silicone par exemple c'est inutile, si vous utilisez des accessoires de plomberie adapté comme je vais vous citez, l'étanchéité sera assurez par des petit joint en caoutchouc.
Une fois l'assemblage effectué, raccordez directement votre robinet sur l'entré osmoseur de la cuve pour tester rapidement avec une bonne pression vos étanchéité, laissez comme cela un ou deux jours pour être sure a 100%.
Version 1:
Meilleur d'après moi car l'inox c'est le matériaux le plus saint pour notre usage, et le system est 100% étanche ce qui évite toute contamination d'insecte par exemple.
Vous aurez besoin de:
-Un osmoseur:
-Une vanne automatique pour osmoseur, qui coupe l'arrivé d'eau quand la sorti monte en pression:
https://www.amazon.fr/dp/B00C0Y45A0/ref=sspa_dk_detail_0?psc=1&pd_rd_i=B00C0Y45A0&pd_rd_w=7zrrY&content-id=amzn1.sym.ab0fb4be-6e29-4ec3-b1a6-972389fb19fc&pf_rd_p=ab0fb4be-6e29-4ec3-b1a6-972389fb19fc&pf_rd_r=SJMTKSAJCZEB4A5X3VKQ&pd_rd_wg=biVYJ&pd_rd_r=078fd28e-097d-4232-9f21-96fd5d3f7a8b&s=hi&sp_csd=d2lkZ2V0TmFtZT1zcF9kZXRhaWxfdGhlbWF0aWM
-Un réservoir inox étanche et capable de supporter de la pression:
-Un robinet pour tirer l'eau osmosé mais aussi pour l'injecter dans la cuve:
Voici le principe:
En haut vous aurez une vanne à ouvrir quand vous tirer l'eau osmosé car la cuve étant étanche, elle vas rapidement ce mettre en dépression et vous n'aurez plus aucun débit d'eau, il faut bien penser à la refermer une foi que vous avez fini de tirer de l'eau sinon ca vas déborder au remplissage, le T, et le purgeur.
Et en bas vous aurez un robinet avec une double vanne qui vas permettre et d'injecter l'eau venant de l'osmoseur dans la cuve et de la consommer en raccordant un tuyau par exemple.
Le principe est donc assez simple:
L'osmoseur injecte son eau dans la cuve, celle-ci ce rempli jusqu'à ce que le niveau atteigne la purge et ce ferme (son rôle étant de laisser passer l'aire mais pas l'eau), ce qui vas faire monter la pression dans la cuve jusqu'à ce que la vanne de l'osmoseur détecte cette pression et coupe l'arrivé d'eau de l'osmoseur.
Ensuite vous allez simplement ouvrir le robinet du bas et tirer le volume que vous avez besoin, rapidement la cuve vas ce mettre en dépression il faudra alors ouvrir la vanne du haut, alors vous aurez un débit très correct, une fois que vous avez tirer ce que vous avez besoin, pensez bien à refermer ces deux vannes, et la cuve vas ce remplir seul à nouveau.
J'ai réalisé cette version mais avec une cuve qui n'était pas en inox, ce qui a intoxiqué mes plantes, puis je l'ai réalisé avec le bidon bleu que j'illustre plus bas, mais il n'a pas supporter la pression.
Version 2:
Moins bien d'après moi car moins sure, il faut s'assurer de prendre un système de flotteur de qualité pour éviter de faire déborder le réservoir s'il venait à entre défaillant, mais aussi assurer un minimum d'étanchéité à l'aire sur la partie haute pour éviter des contaminations d'insecte par exemple, après le plastique alimentaire c'est beau sur le papier mais ca reste du plastique, il y aura toujours quelques éléments chimique qui finirons dans votre eau.
Il faudra donc mettre le couvercle mais sans le fermer de façon étanche, pour que l'aire puisse passer dans les deux sans.
Vous aurez besoin de:
-Un osmoseur
-Une vanne automatique qui coupe l'arrivé d'eau quand la sorti monte en pression
-Un passe paroi étanche
-Un robinet simple pour tirer l'eau osmosé
-Un bidon plastique alimentaire:
-Un flotteur de chasse d'eau:
Le petit schéma:
Le principe est encore plus simple:
L'osmoseur rempli le bidon jusqu'à ce que le niveau d'eau atteigne le flotteur qui alors coupe l'arrivé, cela fait monter en pression la vanne de l'osmoseur qui coupe son arrivée.
La seul étanchéité nécessaire est au niveau du robinet du bas, car en haut le niveau d'eau ne peu pas monter au-delà du flotteur qui ce trouve sous le niveau du trou d'entrée.
C'est cette version que j'ai réalisé:
Je ne parle pas des différents raccords pour adapté les diamètres des élément car ils serons diffèrent selon ce que vous achetez/récupérez, à vous de vous adapter.
Je ne parle pas non plus de prix exact pour les même raison, mais pour avoir une petite idée, si vous partez de rien et que vous achetez 100% du matériel il faudra compter entre 250€ et 400€ pour la version 1 et entre 150€ et 250€ pour la version 2.
Je vous propose un système qui m'a aidé un réglé mon problème d'hygrométrie. Voila un an que j'utilise un brumisateur ultrasonique. J'y ai trouvé des avantages et des inconvénients:
Avantges:
_pas de bruits
_faible consommation
_brume très fine
Inconvénients:
_consomme beaucoup d'eau
_la brume se perd la où les plantes n'y sont pas
_le brumisateur doit etre au bon niveau
_diffulté a le placer dans un endroit idéal
J'ai donc réalisé un système me permettant de reduire ces inconvéniants et d'optmisation de petit système vraiment très utile.
Le but et de pouvoir dans un premier temps, augmenter la reserve d'eau, et dans un deuxième temps, canaliser la brume pour la disperser a l'endroit voulu sans compter sur les déplacements hasardeux de cette derniere.
matériel requis
_un reservoir d'eau (ce que vous voulez)
_un deuxième bac plus petit pouvant ce poser sur le premier
_tube en pvc plus raccord
_un brumisateur (ou plusieurs selon la brume souhaitée
_un ventilateur de pc
_une pompe à faible débit (200L/h)
schéma de montage
En esperant que ca aide certains comme moi, a plus
Je poste juste pour vous montrer qu'on peux faire soit même une bouée ultraponique pour la modique somme de rien.
Avec une bouée, le nébuliseur se trouve toujours à la bonne distance de la surface de l'eau. Mais en plus, vous pouvez remplir un bac large et profond et mettre le nébuliseur dedans, celui-ci descendra au fur et a mesure qu'il consomme l'eau.
Voilà la marche à suivre:
Prenez un petit verre pour mettre le nébuliseur dedans
Vous ferez des trous au quatre côté du verre pour que l'eau puisse entrer facilement
Remarquez la hauteur des trous, au-dessus du nébuliseur!!! Sinon ça risque de poser des problème du moins avec ce verre...
Un morceau de sagex dans lequel vous faites un trou d'un diamètre légèrement plus petit que le verre
Il doit avoir une bonne épaisseur pour supporter le poids du nébuliseur
Et hop!
J'ai rajouté un peu de sagex car je trouvait que ma bouée flottait pas assez, maintenant c'est nickel.
La bouée en action!
J'ai vu qu'il se vendait un accessoire assez utile sur un site de growshop, c'est un parapluie qui se fixe juste au dessus du brumisateur et évite à l'eau de gicler.
Néanmoins ça a son prix: 5.50¤!!! C'est cher pour un bout de métal je trouve!!!
J'ai donc inventé un parapluie ultraponique homemade qui coûte la modique somme de rien.
Matériel requit:
-une dizaine de cure-dents
-un dessous de pot
Montage:
Plantez vos cure-dents dans le sagex de la bouée ultraponique homemade de manière à former des piliers qui supporterons le dessous de pot. C'est tout! Vous avez votre parapluie ultraponique (ou anti-splash comme ils disent...).
ATTENTION!!! J'AI REMARQUE QUE SI ON MET UN OBJET EN PLASTIQUE JUSTE AU-DESSUS DU BRUMISATEUR, L'OBJET BRULE INSTANTANEMENT.
ATTENTION AU RISQUE D'INCENDIE DONC. METTEZ UN OBJET QUI NE BRULE PAS EN GUISE DE PARAPLUIE.
Deux petites photos pour illustrer:
Petit modèle:
Grand modèle:
J'ai mis carrément un pot carré d'un litre au lieu du petit verre de l'autre modèle ci-dessus
Voilà, je suis en hydroponie billes d'argile et chaque fois que je prépare mes solutions de nutriments, je dois passer plusieurs fois remuer la préparation des différents nutriments avant de la mettre petit à petit dans le bac pour monter l'EC. Je travaille avec Advanced Nutrients et la poudre Piranha et surtout Tarantula font beaucoup de mini grumeaux qui flottent et ça ne rend pas la solution homogène à 100%.
Alors j'ai un petit peu cherché sur le net pour fabriquer un mélangeur magnétique et je tiens à vous en faire part car ça marche du tonnerre !!!
Le matériel requis n'est pas compliqué à trouver :
- un ventilateur 12v type Sunon 125cm
- Un disque dur de pc pour en extraire un des deux aimants puissants à l'intérieur
- un peu de scotch double face, le plus puissant sera le mieux
- un morceau de panneau en bois épais et un fin + un tasseau en bois de 18x44 (n'importe quoi fonctionne aussi)
- quelques vis à bois
- Une tige en fer de 2mm de diamètre, 1.5cm de long, ou si vous pouvez récupérer une barre spéciale pour agitateur magnétique dans un labo .
- une alimentation 5v ou mieux -> une alimentation réglable 0-12v. mais le 5v mixe bien. (une prise secteur d'un jeu de fléchettes ou d'autres trucs sont souvent en 5-6V, vérifier la tension et l'ampérage !!)
Coller l'aimant puissant récupéré du disque dur sur le centre de la partie tournante du ventilo à l'aide du scotch double face.
Fabriquer une petite boite en bois, le panneau épais pour la base, le tasseau 18x44 pour les côtés et le panneau en bois fin pour le dessus. Cette boite est destinée à insérer le ventilateur 12V équipé de l'aimant de disque dur. N'importe quelle boite ou format fera l'affaire, ceci n'est qu'un exemple, il faut juste que l'aimant ne touche pas la plaque en bois fin du dessus, il faut qu'il soit placé à environ 3-4mm. Prévoir un trou pour sortir le câble du ventilo.
Insérer le ventilo câblé à l'intérieur de la boite en faisant sortir le câble et refermer la boite par le dessus avec le panneau fin.
Brancher le ventilo à l'alimentation 5v ou 12v réglable si vous avez.
Voilà, il suffit de poser un becher ou pot en plastique ou verre ou bol, n'importe quoi à fond plat et pas trop épais fera l'affaire... Mettez votre tige en métal à l'intérieur, démarrez votre ventilo 2 secondes puis coupez-le, vous remarquerez que la tige va n'importe comment, jusqu'au moment où le ventilo ne tourne plus très vite, alors à ce moment la tige se centre et se met en phase avec l'aimant. Redémarrer alors le ventilo et admirer le mixage... !!!
Pour l'alimentation, j'ai acheté dans un grand magasin de bricolage un secteur où l'on peut présélectionner la tension voulue (3-4.5-5-6-7.5-9-12V) comme ça je peux régler la vitesse de mixage (10euros celui à 500mA)
Le système que l'on voit au schéma est un système de vases communiquants à relai alimentaion - dépression,
donc pour le récipient ouvert dans la cabine moi j'ai pris une bouteille de cristalline format mini découpée au dessus
Pour fonctionner le système doit être amorcé par le tube alimentation.
Sinon ne cherchez pas à comprendre comment ça marche le système à dépression c'est trop long à expliquer et c'est de la physique xD système inventé par mes soins
COMMENT ÇA MARCHE ???
Par vases communiquants la pression de l'eau en hauteur fait descendre la flotte et dès que la flotte atteint le niveau du deuxième tube en bas ça stoppe l'admision d'air du contenant du dessus empéchant l'eau de descendre;
Du coup ça se remplit tout seul sans se faire ch... au niveau qu'on veut
Celui ci consiste à Booster la masse racinaire et a apporter différents éléments indispensable
dans toute bonne culture hors sol.
Avez-vous déjà entendu parler de « Pythium, Fusarium, Verticillium, ... » et tous ces noms en « um » qui créent désordre et désolation dans les serres et les jardins?
En toute saison la plupart des cultures peuvent subir une attaque de champignons dans leurs racines.
Pour s’en débarrasser, certains fabricants proposent des stérilisateurs UV, des enzymes, des poudres de Trichoderma, etc, avec plus ou moins de résultats.
On peut évidemment utiliser des fongicides chimiques disponibles dans toutes les jardineries. Mais nous savons aussi que ces fongicides sont extrêmement nocifs pour l’utilisateur ainsi que pour l’environnement. La protection des racines reste un problème-clé pour tous les cultivateurs, surtout lorsque l’oxygénation est insuffisante.
Pour remédier a cela, on peut investir dans un Biofiltre , les prix varient;
Sinon , la solution de secours qui restent la moins cher.
Pour cela vous aurez besoin :
Des étoiles GHE entre 5 et 7 a 1.35 unité environ.
1 bloc de Fibre de coco compressée (enrichie en trichoderma)
Des billes d'argile 1.40 le litre.
Un collant de femme (ou d'homme) noir
Et l'indispensable , Les Micro organisme...(poudre)
Je ne vais pas faire un cours sur les micro organismes , champignons bénéfiques ou pathogènes et leurs développements...etc.
j'ai pas le temps pour ça et je laisse ça au plus aguerri,
Ma méthode ne s'applique qu'aux systèmes de culture hydroponique et aero (Bp/Hp) qui ont des sites pour accueillir des pots panier.
Comment faire?
En premier lieu , prenez bien soin de nettoyer et tamponner vos billes d'argile PH 5.5 ,
Faire gonfler un peu de coco dans de l'eau ph 5.5.
(Pas besoin de 15kg de coco , juste 10% du volume du pot panier donc un peu suffit)
Pourquoi de la coco?
Parce que la présence de trichodermas naturels dans la coco favorisent la formation et l’évolution des racines et augmentent les défenses naturelles des plantes en stimulant la vie microbienne positive pour tout les processus métaboliques de la plante.C'est un produit organique,100% biologique, de structure homogène sans additions chimiques, sans virus nuisibles ni maladies de sol.
Pourquoi Les étoiles ?
Les étoiles sont un substrat poreux traversé de minuscules canaux précisément calibrés pour que l’oxygène, l’eau et les particules en suspension y circulent parfaitement. Elles offrent ainsi à leurs hôtes l’environnement dont ils ont besoin pour rester en bonne santé, énergiques et efficaces.
Il vous faut 7 Étoiles pour procurer aux Cultures un habitat adéquat dans lequel il puisse s’installer confortablement, et se reproduire.
Elles sont «autonettoyantes» dans la mesure où les particules mortes sont aisément expulsées hors de l’habitat pour permettre aux nouveaux-nés de jouir d’un environnement propre et sain.
Elles ne nécessitent donc pas d’entretien particulier.On peut les rincer à l’occasion et il est bon d’en remplacer la moitié tous les 4 à 6 mois.
Leur couleur noire empêche le développement des algues.
Pourquoi un "collant"?
Le collant permettra de filtrer et de retenir les matières ,il fera office d'éponge interne et retiendra tous les débris et les matières organiques qui flottent dans la solution,une relation symbiotique se développera entre les cultures et la plante "hôte", où les micro-organismes transformeront la matière organique en sels minéraux qui serviront à leur tour de nourriture à la plante. A l'intérieur , se déroulera une décomposition des résidus organiques en sels minéraux et cela générera un supplément nutritif pour la plante.
Si vous avez des petits pots panier , alors il faudra en prévoir 2.
Prenez un des pots panier du system ,
Remplissez le au 3/4 de bille d'argile ,
Mélanger La trichoderma aux billes d'argile(10% du volume du pot panier)
Rajoutez les étoiles et saupoudrer vos micro organisme sur les étoiles, billes d'argile et coco.
SI vos pots panier sont petits utilisez en 2, divisez la quantité de produits préconisé en 2
et faite moitié moitié dans chaque panier.
Exemple : si le fabricant préconise 10g de produits pour votre quantité d'eau et que vous avez des petits pot panier.
Mettez 3 étoiles et 5 grammes dans un pot panier et 3 étoiles et 5g dans l'autre.
Ensuite ,refermer votre pot avec son couvercle (si y'en a un)
Ensuite Prenez le collant , plonger le pot panier dans une des jambes du collant et faite un noeud pour fermer le tout.
Maintenant reste plus qu'a le remettre dans le system et laisser les micro organismes se développer et coloniser le pot panier et le substrat.
L'eau est filtré par le collant et le substrat et les bactéries se propagent partout dans tout le system.
Maintenant y'a plus qu'a patienter quelques semaines ,
Après quelques jours vous remarquerez les champignons qui se développent.
Combien de temps on peut l'utiliser?
Refaire l'opération toute les 5 semaines,
Remettre de la coco neuve , des bille d'argile propre et des micro organismes ,
Respectez les dosages , et tout ira bien.
Quand vous changez votre solution , toujours laisser un verre ou deux de votre ancienne solution,
Sinon y'aura plus d'organismes., en laissant un fond ils re-coloniseront la solution sans soucis.
Prenez bien le temps de laisser reposer l'eau minimum 24H avant de mettre vos bactéries (et vos booster racinaire), sinon le chlore empêchera une bonne prolifération de la vie microbienne
Vous obtiendrez des belles racines saine et robuste
Pour votre bio filtre vous pouvez utiliser :
Catalysator : GEN PROD
Piranha : ADN
Tarantula : ADN
Bio Magic ou Sub culture : GHE
Je suis un nouveau canabiculteur indoor en hydroponie. Après avoir fouiller le site, et quelques expériences, je "pense" avoir compris les bases de la culture hydroponique soit : gérer un niveau "idéal" de PH, EC, T° et hygrométrie.
Par contre je vis seul, pour les vacances ou lorsque je m'absente comment faire?
Etant du milieu de l'informatique je me suis dit que le mieux serait d'avoir ces données informatiquement : choux blanc, en effet les capteurs précités connectables à un ordinateur sont hors de porté de ma bourse (entre 1000€ et 3000€) bref, du matériel de laboratoire.
Alors voila ce que j'ai fait, et peut être vais je en inspirer quelques uns...
Objectif 1 : avoir accès aux données de son installation de n'importe quel ordinateur relié à internet et pouvoir faire des statistiques [RESOLU]
Objectif 2 : Intervenir sur les dosages et les distances des lampes à distance [NON RESOLU]
Objectif 1 :
Matériel :
- PH/EC/ T° à sonde, lecture en continue (130-250€)
- T°+Hygro à sonde (15€)
- Une petite lampe pas trop énergivore (-de 10€)
- Une Webcam (environ 15 €)
- Un PC connecté à Internet
1 - vous installez les testeurs à sondes pour avoir les écrans de controle en dehors de votre placard (sinon quand il fait "nuit" pas de controle possible".
2 - vous pointez une webcam sur les écrans
3 - Vous mettez la lampe pour éclairer le tout
VOus avez maintenant un controle de vos indicateurs sur votre PC.
Ensuite vous utiliser un logiciel de surveillance qui permet de prendre une photo par la webcam à intervalle régulier (le poids est très faible donc on peut se lacher), cela va vous permettre de faire des statistiques, des courbes d'évolution, savoir a quel moment le ph est tombé...
voici une capture faite avec ma webcam
Cadre rouge : PH
Cadre vert : T° de ma solution
Cadre jaune : EC
Cadre rose : T° de ma pièce
Cadre bleu :T° à l'intérieur de mon placard
Cadre blanc : Hygrométrie
Enfin il faut donner l'acces à votre ordinateur depuis l'extérieur, pour ma part j'utilise le "Bureau à distance" de windows, je ne vais pas vous expliquer comment le configurer il existe plein de tuto sur internet pour ce faire, mais si vous n'y arrivez vraiment pas envoyez moi un message en MP, je vous aiderai.
Je me suis également fais plaisir et j'ai mit une Webcam dans mon placard, qui me permet de voir mes petites également, attention en fonction des lampes que vous utilisez, le spectre peut interferer, il faudra donc des webcam avec un filtre...
QUand je pars, cela me permet de demander à un de mes amis de venir que quand il le faut, et en plus je vois en direct ce qui se passe!!!
Pour l'objectif 2, cela s'annonce plus complexe a mettre en oeuvre, je suis preneur de bonnes idées ou tuyaux.
Il faudrait pouvoir controler un goutte à goutte et un petit moteur via le PC et on pourrait se passer de faire venir quelqu'un...
Premièrement, je voudrais préciser que ce polinator est largement inspiré par celui d'obi one; un membre d'un autre forum. Merci à toi poto!!!
Liste des courses pour la fabrication du polinator:
1- Le bac en plastique (17€):
Dimensions internes: 45*30*30
2-une sorbetière seb (23€ avec fdp) (photo de obi):
Le but est de lui piquer son moteur pour entrainer le tambour du polinator.
3- Découper 2 ronds de 23cm de diamètre (ep.1,8cm) (gratuit car récup):
J'ai ensuite raboté les bords:
4-Deux tiges filetées diam 6 (1m de long - 2 euros) + 2 tubes cuivre (1m de long - 7 euros) juste à la bonne taille pour enfiler les tiges dedans:
5-La visserie, ici il manque des vis diamètre 6 pour les "écrous papillons"(environ 5 euros):
Ici ce sont en réalité des diamètres 6 que j ai utilisé:
6-Et le plus important. Une toile de tamis 150 microns (dimensions 55x125 - 5 euros avec fdp )
Voilà donc la liste des courses faites.
Total: 59 euros (contre environ 500 euros pour un modèle similaire acheté) + quelques frais supplémentaires (scotch etc.)
Fabrication du polinator!!!
1- Découper 2 ronds de 23 cm de diamètre dans du bois (épaisseur 1,8cm), puis raboter les bords si nécessaire (comme ici):
2-Tracer un deuxième cercle d'un diamètre de 21cm afin d y reporter 3 trous (diam 6) équidistants et trouer également le centre (diam 6):
3-Pareil sur l'autre rond et faites-en plus un carré bien centré d'environ 10/12cm de coté (au passage, appliquez-vous plus que moi lol):
4-Percer 4 trous (diam 5) autour du carré (porte) et rentrer des boulons poelier (diam6, long 40) en force (ça leur permettra de pas se dévisser par la suite):
Même chose vu de l’extérieur:
Au passage, pensez à percer la porte, elle, d'un diamètre 6 voire un peu plus afin que la porte s’enlève facilement;-)
5-A présent, il faut percer le centre du cercle dans la porte et y placer une vis (diam 6, l'axe libre) en serrant très fort:
6-Pareil sur l'autre rond, mais attention, cette fois-ci c'est une vis de diam 5 qu'il faut mettre:
Mettre quelques écrous bien serrés (diam 5 donc!!)
Diam 5 pourquoi??? Voilà l explication, ça rentre pile poil dans le trou du moteur de la sorbetière;-)
7-Couper les tiges filetées (diam6) à 37 cm. Il en faut 3:
8- Couper les tubes en cuivre à 31,4cm:
9- A présent, relier les 2 cotés du tambour:
10 Faire un trou assez gros pour faire passer les écrous qui iront s'enclencher dans le moteur et deux petits trous pour les vis du moteur:
11- Pour l'autre coté (cote libre), il faut un support pour l axe:
12-On vérifie si ça tourne, c'est bon!!:
13- Maintenant, le plus délicat (que j'ai d'ailleurs un peu foiré mais ça fonctionne quand même), la pose du tamis:
D'un coté en premier. J'ai mis du double face sur le rebord du coté du tambour:
Puis du super tape et des agrafes:
Et pareil de l'autre coté en tendant mieux que je ne l'ai fait lol:
Coudre le tamis (scotcher en plus si nécessaire):
Et voila le résultat!!! (déjà en train de tourner;-) :
Utilisation du polinator
Voila comment ça fonctionne:
1-Ouvrir la porte du polinator pour y insérer les feuilles (mettre les feuilles 2h au congélo avant pour que la résine se détache mieux):
2- Laisser tourner 15min puis récupérer le premier brassage:
15 min de plus, on récupère le 2eme brassage:
Encore 15 min, 3eme brassage:
Après plusieurs tests, je laisse à présent 25/30 min en continu et je récupère environ 2g à chaque fois.
En espérant que ça vous aura plu et que ça vous inspirera:-)
C'est suite à la suggestion d'Olif' que je me décide à ouvrir un tuto sur l'utilité et la réalisation de mon Scrog à roulettes réalisé pour ma Session 2009.
La plupart des photos en sont d'ailleurs extraites.
Par ailleurs, le plateau de maintenance peut justifier à lui seul sa réalisation sans Scrog pour ses nombreux avantages.
I - Problématique
Le scrog est une technique de culture très efficace, notamment en culture inté sous lampe de petite puissance (400W et moins).
Scrog, Bog et V-Scrog
Regroupement jdc scrog/sog - Culture Perso : Journaux De Culture
Pour autant, tout aussi productive soit-elle, ce type de culture demande un entretien important qui n'est pas facilité par son principe: plantes emprisonnées par un grillage, généralement solidaire du placard. L'entretien des parties proches du fond n'est pas aisé, et une fois que les plantes ont dépassé le grillage, difficile de modifier quoi que ce soit.
II - Axes d'amélioration
Le but du Scrog progressif est de conserver les caractéristiques principales du Scrog en lui apportant les souplesses suivantes :
=> possibilité de sortir les plantes afin de faciliter la maintenance (entretien, arrosage)
=> possibilité de recueillir facilement l'eau d'arrosage
=> possibilité de rehausser/oter le grillage (fonction du développement individuel)
Note : Déviation du Scrog progressif par rapport au Scrog
Le scrog traditionnel joue sur le tricotage des branches autour du grillage.
Afin de conserver la souplesse sur le positionnement du grillage, le scrog progressif ne l'utilise que pour guider verticalement les branches, sans les tricoter. Le travail de "sculptage" de la plante doit s'effectuer en amont via un supercropping.
III - Le plateau de maintenance
=> Le plateau est constitué d'une planche légèrement inférieure aux dimensions de votre espace.
=> Des roulettes sont fixées dessous afin de le rendre mobile.
=> Un système de roulettes amovibles permet de sortir le plateau en compensant la hauteur du fond du placo
=> des rebords formant un bec verseur sur l'avant permettent de guider l'eau d'arrosage
Schéma de principe :
Réalisation :
Pour un placo de 87x55cm et 70mm de dénivelé par rapport au sol, permettant d'installer 6 pots de 25x25x26cm (11L), vous devez vous munir de :
- 1 planche d'agglo 15mm 80x53cm (se vend en 80x100cm)
- 3m de tasseaux 17x17mm pour les rebords (se vend par 2m)
- du joint en pistolet pour étancher les rebords
- au moins 50cm de tasseaux 21x47mm pour les compensateurs de roulettes amovibles (se vend par 1m ou 2m)
- des roulettes de 2 tailles trouvées rayon quincaillerie : 3 de h=32mm pour l'intérieur du placo et 4 de h=25mm pour l'extérieur (très important pour que les roulettes amovibles rentrent sous les roulettes fixes)
- 4 charnières 25x30mm repliées (avec charnière sur le petit coté)
- 6 petits pitons à visser pour guider les ficelles
- de la ficelle
- des vis de 4x15 et 4x30mm
Points de vigilance :
=> les roulettes de placo sont situées derrière leur roulettes de sol homologues
=> les ficelles sont passées sous l'axe des roues arrières ; nouez une vis à leur extrémité afin de les garder accessibles à l'avant du plateau
=> les ficelles de dépliage (extérieures) pourront être maintenues tendues en position dépliée afin d'empêcher l'effondrement des roulettes arrières (j'ai opté pour des trous dans la tranche de la planche dans lesquels j'insère les vis de fin de course)
=> un système de blocage à l'ouverture des roulettes amovibles avant peut simplement prendre la forme d'une petite équerre de fixation vissée en un point et qui pivote
=> le positionnement des rebords dépend des pots, mieux vaut avoir ses futurs pots sous la main avant toute fixation
=> la longueur des compensateurs se détermine comme suit:
Hauteur des roues fixes + hauteur du fond du placo = hauteur des compensateurs + hauteur des roues mobiles + garde de 5mm
Dans mon cas, ça donne 32 + 70 = 72 + 25 + 5
utilisation du plateau (extrait de mon JDC?
Etape 0 : plateau rentré, position de culture
Etape 1: le plateau roule vers l'avant sur ses 3 roues fixes ; les roues escamotables avant sortent du placard
Etape 2 : les roues avant sont dépliées et bloquées mais ne touchent pas le sol (5mm)
Etape 3 : le plateau avance et "tombe" sur les roues dépliées ; la roue fixe avant ne repose plus
Etape 4 : le plateau avance et libère les roues escamotables arrière ; les roues sont dépliées et sécurisées grâce au système de ficelles
Etape 5 : le plateau "tombe" dehors et est mobile (enfin en ligne droite surtout...)
Pour le retour, rien de bien compliqué si ce n'est qu'il faut un peu pousser pour regrimper les 5mm de dénivellation.
Système de repliage des roues arrières à n'utiliser qu'une fois les roues arrières fixes dans le placo, et roues amovibles déverrouillées:
Récupération de l'eau d'arrosage :
IV - Le grilage amovible multipositions
On peut tout à fait se contenter d'utiliser le plateau seul tant il est pratique pour sortir l'ensemble des pots. Mais le scrog étant sa raison d'être initiale, il convient de lui adjoindre son grillage rehaussable.
Réalisation :
Pour réaliser un scrog adapté au plateau précédent, il vous faut:
- 5m de tasseaux 17x17mm pour le cadre et les supports
- du grillage (J'ai utilisé du grillage à mailles carrées de 25mm, mais mieux vaut s'orienter vers du 50mm, j'ai du recouper le mien...)
- des vis de 4x30mm
(extrait de mon JDC)
Au commencement, il y avait... 6 pots de 11L sur mon plateau :
Les tasseaux de support : 17 x 17mm, longueur 50cm afin de dépasser le bord des pots de 25cm environ
Perçage des tasseaux à la mèche de 6mm (8 trous espacés de 2cm) afin d'y insérer des tourillons de 6mm, trouvés dans ma boîte à outils:-)(ça s'achète sinon) destinés à supporter le grillage :
Perçage du plateau (4mm) et vissage des tasseaux à la vis de 4 x 30mm :
Fabrication du cadre : tasseaux de 17x17mm, dimensions intérieures 79 x 49cm
Fixation du grillage (mailles de 25x25mm) et essais de positionnement :
Comme vous pouvez le constater, ça rentre au chausse-pied! pas de perte de place!
Les hauteurs de grillage disponibles sont au nombre de 8, de 11 à 25cm tous les 2 cm.
V - Conclusion
Je test mon Scrog à roulettes dans le cadre du Scrog Progressif, qui consiste à passer par une phase de supercropping et de mini-scrogs individuels temporaires avant de poser le grillage final. Vous trouverez le cheminement dans mon JDC2 en cours.
Pour autant, on peut tout à fait se passer des éléments suivants :
- roulettes de compensation (culture ras du sol)
- grillage (culture classique)
- modularité du grillage (scrog classique)
Prenez les éléments qui vous intéressent, c'est libre de droit.
1/descriptif technique de la plaque a effet peltier :
1° - Définition :
Deux matériaux conducteurs de natures différentes a et b sont reliés par deux jonctions en X et W. Dans le cas de l’effet Peltier, un courant électrique I est imposé au circuit, en plaçant par exemple une source de courant électrique entre Y et Z, ce qui entraîne une libération de chaleur Q à une jonction et une absorption de chaleur à l’autre jonction. Le coefficient Peltier est relatif aux matériaux a et b
2° - Théorie
L’effet Peltier est lié au transport d’entropie par les porteurs de charges (électrons ou trous) au sein du matériau. Ainsi lorsqu'il y a dans le schéma de principe ci-dessus une libération de chaleur en X et une absorption en W, cela est dû au fait que les électrons ou les trous gagnent de l'entropie en passant du matériau b au matériau a en W (il y a donc absorption de chaleur), tandis que réciproquement ils reperdent de l'entropie en passant du matériau a au matériau b en X (il y a donc libération de chaleur).
3° - Applications
L'effet Peltier est à la base des systèmes de refroidissement par effet thermoélectrique :
-réfrigérateurs alimentaires de petite taille (par exemple de voiture) .
-refroidissement des solutions dans les laboratoires d'analyses biologiques et médicales. Procédé utilisé dans le système de refroidissement des thermocycleurs ;
containers utilisés pour le transport d’organes à transplanter .
-applications dans lesquelles les vibrations constituent une gêne considérable, comme par exemple les systèmes de guidage laser ;
applications pour lesquelles le bruit de fond électronique est gênant, par exemple pour l'analyse dispersive en énergie .
-système de refroidissement des caméras d'astronomie .
-système de refroidissement d'autodirecteurs infrarouge de missiles air-air, par exemple sur le AIM-9 Sidewinder ou le MICA IR .
-système de déshumidification .
-refroidissement des microprocesseurs sur-cadencés, afin de limiter leur température. Bien que peu puissant, il est apprécié dans la mesure où il ne fait appel à aucune pièce mobile, et n'est donc source d'aucune nuisance sonore. Mais un problème persiste : celui de la condensation. En effet, de par sa nature même, l'effet Peltier crée un différentiel de température important entre deux plaques de métal, et une condensation se produit alors sur la partie la plus froide.
4° - le peltier :
un peltier c'est ceci :
2/conception et description théorique du montage :
attention !!!!
avant de commencer je tiens a mettre en garde toute personne ne se sentant pas capable de réaliser ce montage car il va s'agir de faire cohabiter de l'eau et de l'électricité ce qui demande beaucoup de rigueur en tèrme d'étanchéité des circuits électriques !!!!!
1° -description :
il va s'agir de récupérer la technologie peltier contenu par une glacière réfrigèré de voiture et de le détourner de ça fonction initiale afin de " rafraichir " une solution nutritive .
2° - matériel a prévoir pour la réalisation de l'appareil :
- une glacière réfrigère que l'ont trouve en moyenne à 20 euro .
- un ventilateur de pc diamètre 120
- une alimentation de pc dite " noname" puissance 400 watt .
- une bonne plaque de ciporex qui servira pour la confection de la bouée .
- du câble de petite section pour montages électroniques
-de la gaine thermoretractable d'un diamètre adapté à celui des câbles électriques que vous aurez choisi et d'un diamètre supérieur qui devrait contenir une paire de câbles .
-d'un tube de silicone (ce dernier va beaucoup nous aider car il est diélectrique ce qui signifie qu'il ne transmet pas les electrons et va donc beaucoup nous servir pour isoler l'électrique de l'eau ) .
- d'outil divers tels que couteau / fer à souder / briquet / scie / perceuse / tournevis divers .
3/mise sur plan du projet
j'ai utilisé le logiciel sketch up pour réaliser ces derniers .
l'idée c'est de réaliser un dissipateur thermique avec un budget le plus petit possible et vous allez être surpris du coût de votre appareil .
pour les dissipateurs j'ai décidé de garder la solution d'origine fournie par la glacière pour car elle parait dans ce cas à mon sens être une des plus simple à utiliser. (en sachant que d'autres techniques peuvent être utilisées j'en parlerai en clôture de ce topic.) .
donc on immerge le radiateur producteur de froid et on laisse en dehors le radiateur qui produit du chaud chacun de ces éléments dépassant de la bouée centrale qui permet d'être toujours bien placé dans l'eau .
le ventilateur servira à refroidir la partie productrice de chaud car elle a besoin d'être dissipée pour éviter de la "cramer" .
le radiateur inférieur (dit phase froide ) devra être disposé dans la partie inférieure de la bouée et siliconé à cette dernière afin de garantir une étanchéité parfaite entre l'eau et la partie électrique du dispositif et le peltier devra être disposé dans une loge préparée à cet effet dans la plaque de ciporex qui servira de bouée au dispositif .
je définirai par la suite lors de tests si il est bénéfique ou non de brasser l'eau en direction du dissipateur pour assurer une grande circulation au contact de celui-ci ou non . .
je ferai par la suite une variante à la création en remplaçant le ventirad par un refroidissement liquide conçu à l'aide d'un water block pour processeur de pc pour mettre en évidence l'importance mais aussi l'incidence du refroidissement du peltier par rapport à son fonctionnement ainsi qu'évaluer le gain obtenu par rapport à l'investissement supplémentaire.
Cela fait maintenant plus d'un an que je me suis mis à la fabrication de Hash avec de la glace carbonique (CarboHash), étant séduis par la relative simplicité du procédé.
Pour ceux qui ne connaissent pas, ou pour rafraichir la mémoire des autres, il s'agit simplement d'une extraction de Hash "à sec", avec tamis, et avec l'avantage de la glace carbonique et de son froid extrème qui facilite le détachement des trichomes.
De nombreuses vidéos sont disponibles sur le net, ...... je vous laisse fouiller.
Ce procédé donne une poudre de trichomes, qui peut être consommée telle quelle, ou après avoir été ré-aglomérée, ou alors, pour les plus patients, après un bon affinage.
C'est à ce moment que le tuto que je vous propose devient utile, la fabrication d'une cave d'affinage pour votre Hash.
Cette cave n'est pas réservée aux seules extractions à la glace carbonique, toutes sortes de Hash pourront y être entreposés.
J'ai longuement cherché sur le net, et je n'ai rien trouvé qui pouvait convenir à mes attentes, soit un tuto tout fait quelque part, soit par la suite, un appareil du commerce qui aurait pu faire l'affaire.
Le but était de trouver un contenant isolé, avec un système de chauffage permettant une régulation constante de la température.
Seuls les incubateurs à reptiles convenaient plus ou moins, ......... mais pour ceux qui me connaissent, le plus ou moins ça ne me va pas, j'aime le nickel !
Je me suis donc lancé dans la fabrication, mettant en oeuvre l'adage "on n'est jamais si bien servi que par soi même".
Mais bon, comme je suis d'humeur généreuse, je vous propose de vous offrir le résultat de mes "travaux", comme ça vous pourrez vous aussi vérifier l'adage :
"on n'est jamais aussi bien servi que par Psillo" !
Ouai, je sais, c'est mon quart d'heure "j'ai les ch'villes qui enflent, ..... prêtez pas attention ! ).
Fabrication d'une cave d'affinage pour le Hash ....... à la Psillopathe:
Pour commencer, il me fallait une base, un contenant isolé, ou à isoler.
Ayant besoin de pas mal de place pour mes différents Hash, je suis parti sur du "grand", un meuble de TV/ chaine hi-fi, qui jusque là servait à stocker du bric à brac.
J'ai acheté des plaques de polystyrène de 2cm d'épaisseur, afin d'isoler l'intérieur de mon meuble.
Plus l'isolation sera bonne, et plus il sera facile de garder une température constante dans la cave, tout en limitant l'apport d'énergie nécéssaire pour chauffer.
A l'aide de scotch large double face, je prépare les plaques de polystyrène qui isoleront l'intérieur, après les avoir découpées aux bonnes dimensions.
Le tout, après installation.
Je n'ai fais que 4 faces, l'avant sera réalisé plus tard, et pour l'arrière, ..... on s'y attèle de suite.
J'ai voulu faire en partie avec ce que j'avais de disponible, et pour le système de chauffage j'ai donc cherché un moyen de ré-utiliser mon câble chauffant qui servait il y a de nombreuses années dans ma mini serre de bouturage.
Il fait 25 Watts.
J'ai acheté un peu de grillage, que j'ai découpé pour l'adapter à la face arrière.
Le principe est simple, je voulais faire serpenter le câble sur la face arrière, un peu comme dans un réfrigérateur.
Je l'ai donc fixé au grillage à l'aide de fil de fer, en tentant de lui donner la forme désirée.
Ouai, là on est pas mal !
Pour la face arrière, et comme mon meuble n'en avait pas à la base, j'ai acheté une plaque de contreplaqué, que j'ai découpé à la taille désirée, et sur laquelle j'ai ensuite fixé mon polystyrène à l'aide, là encore, de scotch double face large.
Il faut donc ensuite fixer le grillage avec le câble sur la face arrière.
Pour cela, j'ai utilisé des vis et des oeillets, comme vous pouvez le constater, le but étant que les vis prennent légèrement dans le bois, sans pour autant passer à travers.
De plus prêt, ..... j'ai éssayé de faire en sorte que les oeillets "poussent" sur les cables aussi, pas simplement sur la grille, afin de mieux fixer le tout.
Pas question de bourriner pour autant hein, on ne veut pas de la crèpe de cable !
On met la face arrière de côté, et on s'attaque à la suite.
J'ai sorti la perceuse et une scie cloche pour percer le passage des câbles.
Le câble chauffant doit être relié vers l'extérieur à un thermostat, et le thermostat a un câble de sonde qui doit se trouver à l'intérieur.
Deux câbles à passer par la paroi donc.
Je perce donc une ouverture sur l'une des faces latéralles.
Intérieur :
Extérieur :
On peut désormais fixer la face arrière.
Pour cela, quelques p'tits clous et un marteau.
Remarquez la marque du marteau, ....... pour du bon travail de Psillopathe, il faut une marque de psychopathe !
Quelques coups de marteau plus tard.
Voici ce que ça donne de l'intérieur, ....... on passe le câble chauffant par le trou.
Le câble, côté extérieur.
Bon, maintenant je fais passer la sonde du thermostat par le trou, extérieur vers intérieur.
J'utilise ensuite des chutes de polystyrène pour confectionner un "bouchon" qui assurera l'isolation.
J'ai fais le bouchon en double épaisseur, soit 4cm de polystyrène, pour combler le trou sur la partie bois aussi.
Un p'tit anneau à bois vissé dans le plafond et hop, je fixe la sonde de températures dans la cave, en essayant de la centrer, un poil plus sur l'avant, éloigné du chauffage.
Voilà, là on est bon pour la partie intérieure.
Passons à l'extérieur.
Le câble chauffant c'est bien, mais s'il n'est pas relié à un thermostat, il tournera en continu, ....... et ce n'est pas le but du jeu, on veut que ce soit régulé.
J'ai choisi un thermostat de bonne marque, "Habistat", très réputée pour sa fiabilité chez les amateurs de reptiles qui s'en servent pour leurs vivarium.
J'ai opté pour le modèle "High Range", qui permet de travailler sur une plage de températures plus élevée que le modèle basique.
Je le fixe donc sur mon meuble, à la sortie du trou, afin d'y relier le câble chauffant.
Bon, je vous l'avoue, je n'ai pas été malin lors de la commande du thermostat.
Je l'ai acheté en Angleterre, voulant économiser quelques euros, et j'ai complètement zappé le fait qu'ils n'utilisent pas les mêmes prises que nous.
Bon, j'ai vite réalisé mon erreur, et du coup j'ai commandé des adaptateurs dans la foulée.
Tout ça pour dire qu'il a fallu fixer le tout sur la partie bois, histoire de faire quelque chose de propre.
Et là, toutes ces années de visionnage d'épisodes de Mac Gyver ont enfin payées !
Je me suis servi d'une chute de grillage, que j'ai délicatement plié et découpé afin de créer une sorte de cage.
Pour fixer la cage au bois, j'ai réutilisé les trous et les tétons du meuble d'origine, ........ c'était une partie avec deux p'tites étagères.
" 'Tain, y'a des jours j'me roulerais des pelles tellement j'suis bon ! "
J'aurais pu faire une façade amovible en contreplaqué pour cacher cette partie thermostat-fils, mais je n'en ai pas encore eut le courage.
On passe à la face avant, la porte.
Une plaque de contreplaqué sur laquelle je fixe deux poignées récupérées sur un vieux meuble.
J'ai acheté un p'tit thermomètre avec écran et sonde déportée sur le net, un modèle de remplacement pour four, vraiment pas cher.
Je découpe donc la face en bois afin de pouvoir y insérer l'écran.
Allez y par étapes, il vaut mieux couper trop étroit et ajuster en ponçant que de devoir caler l'écran si on coupe directement trop large.
Avec un poil de patience on peut faire un truc pas trop sale, qui tient tout seul.
Ensuite, comme pour les autres faces de la cave, j'isole l'intérieur avec une plaque de polystyrène.
Pour la sonde intérieure, je ne me suis pas pris la tête à la placer au centre de la cave, c'est juste pour une indication générale, et je l'ai donc simplement enroulée sur elle même, fixée avec vis et oeillet.
Pas besoin de système de fixation pour la porte dans mon cas.
En ponçant légèrement les angles des plaques de polystyrène, j'ai réussi à faire en sorte que la porte tienne juste en emboitant les plaques entre elles.
Et voilà, le plus gros du travail est fait.
Voici la face avant du meuble :
Et la face arrière :
Je branche le thermostat que je règle sur 35°C.
Et voilà, le meuble installé à sa place définitive.
Il est maintenant temps de s'occuper de l'aménagement intérieur de la cave d'affinage.
Je veux faire des étages, mais le tout doit rester aéré afin de faciliter l'uniformité de la température dans la cave.
J'ai donc fouillé le net à la recherche de grilles aux dimensions adaptées à mon espace intérieur, et mon choix s'est arrêté sur des grilles à gâteaux qui correspondaient parfaitement.
Pour fixer/ranger ces grilles, j'ai acheté une baguette de bois, que j'ai découpé.
Je fais l'armature en bois sur laquelle je viendrais fixer les grilles, là encore clous et marteau.
Les grilles ont des encoches, je me débrouille donc pour placer un clou au niveau de chaque encoche.
Le tout monté.
Pas besoin de faire dans l'hyper stable, la structure sera glissé et calé dans la cave, et tiendra grâce aux parois de celle ci.
De plus près.
On glisse le tout dans la cave.
Je fixe ensuite une baguette en bois sur les deux montants verticaux, en haut, elle même calée sur les parois latéralles.
OK, tout est maintenant stabilisé.
Et voilà, ce coup ci c'est vraiment terminé.
C'est bien joli tout ça, mais le but est quand même d'affiner du Hash, ....... j'en profite donc pour ranger les quelques pots que j'ai déjà en ma possession.
Et voilà, plus qu'à laisser le temps faire son oeuvre.
Quelques remarques générales, en vrac, sur le Hash "fait-maison", .....et après quelques mois de recul sur l'utilisation de cette cave d'affinage:
En tout premier lieu je tiens à vous préciser que les 35°C que j'ai choisi pour mon affinage ne sont pas une valeur absolue à suivre forcément au degré près.
J'ai cherché à droite à gauche sur le net, mais malgré mes lectures, personne ne semble d'accord sur la bonne température d'affinage.
J'ai donc choisi ces 35°C sans certitudes, pas au hasard non plus hein, ........ et les tests jusque là sont plutôt positifs.
Je pense néanmoins éssayer un poil moins chaud dans quelques temps, autour des 32/33°C, histoire d'avoir un processus plus lent et potentiellement moins "agressif".
Au fil du temps, vous verrez la texture de vos extractions changer, le hash devient plus gras, plus compact et plus lourd dans le cas d'extractions à la glace carbonique.
Favorisez les contenants en verre pour conserver vos extractions durant l'affinage, les autres matières comme le plastique pourraient dénaturer le contenu.
N'hésitez pas à remuer doucement votre Hash dans le contenant, toute les semaines par exemple, afin d'homogénéiser l'affinage, car le fond à tendance à se compacter plus vite que le reste.
Chaque variété de Weed donne un Hash différent, et l'affinage rend bien compte de ces différences.
Le temps et le niveau de "transformation" varie.
Pour exemple, le Carbohash du Core cut d'Amnésia passe d'un marron clair à un marron très foncé en à peine plus d'un mois.
Pour d'autres variétés, vous pourriez attendre 1 an sans pour autant atteindre cette couleur, tout simplement parcequ'elles ne finiront jamais foncées.
J'ai fais des Hash quasiment jaunes aussi, sur la Black Zombie notamment, dont la transformation là aussi est plus longue et moins marquée.
Le but de l'affinage est de développer les gouts et les odeurs du Hash, et plus celui ci est pur et extrait de manière "non agressive" à la base et plus vous tirerez bénéfice d'un affinage.
Je m'explique :
Comme vous le savez certainement, du Hash c'est un amas de trichomes collés les uns aux autres.
Un trichomes, c'est une enveloppe en forme de sphère, avec une substance à l'intérieur ( pour schématiser ).
Si votre méthode d'extraction est trop "agressive", alors vous allez casser cette enveloppe, ce qui donnera une bouillie faite de quelques trichomes intactes noyés dans la substance contenu dans ces enveloppes brisées.
C'est le cas avec les méthodes utilisées en Indes ou Pakistan pour la récolte de leur Hash que l'on nomme plus globalement charas.
Ils écrasent et travaillent les trichomes dans leurs mains tout en récoltant.
De même avec l'ice-o-lator, action mécanique trop agressive et en plus l'eau qui "lessive" un peu les terpènes.
Rien de dramatique à tout cela, si ce n'est le fait que vous retrouverez du coup automatiquement ce même goût commun de charas avec des Weeds pourtant différentes à la base.
Certains cherchent particulièrement ce goût, ce côté pakistanais, libanais rouge, afghan, etc .... qu'on aime rouler en fils, et je peux comprendre, .......... mais essayez différemment, ça vaut le coup.
Car évidemment, en mettant un Hash déjà "dénaturé" dans la cave d'affinage, ne vous attendez pas à ce que le goût et l'odeur se retransforme carrément, vous ne ferez que développer ce goût de charas que vous avez créé.
En faisant les extractions de manière plus douce, on arrive à conserver les trichomes intactes jusqu'à la mise en cave d'affinage, et du coup, c'est l'odeur de la Weed de base que vous allez développer et affiner.
C'est clairement différent au résultat final, avec certaines variétés le Hash à exactement les mêmes goûts et odeurs que la Weed, ..... assez bluffant.
Après quelques semaines, voir mois, d'affinage, vous avez encore le choix si vous avez extrait de manière douce.
Soit vous consommez votre Hash sous forme de poudre, sans le ré-aglomérer, et conserverez ainsi toutes ses propriétés organoleptiques.
Soit vous pressez votre Hash, ce qui est plus pratique pour consommer hors de chez soi, mais vous perdrez alors une partie du goût immédiatemment, directement proportionnelle à la force de pressage éxercée, et donc à la quantité d'enveloppes éclatées.
Vous récupérez ce goût de charas en échange, qui se développera avec le temps.
A vous de jouer sur le temps d'affinage et la force de la presse ( ou pas ) pour obtenir le goût qui vous convient le mieux.
Si vous aimez ré-aglomérer, ne cherchez pas absolument à obtenir la même forme/texture avec toutes les variétés, chacune est différente et se comportera différemment.
Pas possible d'obtenir un charas avec lequel faire des fils avec certaines variétés, pas la peine d'insister ...... je l'ai fais pour vous !
Partant du principe que pour une bonne ré-aglomération il faut deux choses, de la pression et de la chaleur, j'ai fait différents tests :
- Four puis pressage : bof, il faut vraiment faire beaucoup de tests pour la température idéale, qui varie selon la variété, et certains Hash n'aiment pas l'opération et perdent de la saveur.
Attention à ne pas "cuire" le Hash, trop chaud c'est pas bon.
- Bain -marie, dans du cellophanne : pas terrible, difficile de controler la température, le hash fini vite en croquette cuite, toute dure.
- Le froid, congélateur dans du cellophanne : mouai, c'est dur mais cassant, et pas transformé.
- Travailler le Hash à la main : Parfois ça prend direct, ça fais du charas.
Mais là encore ça dépend de la variété, et vous constaterez aussi que ça fonctionne mieux quand votre extraction est super fraiche, qu'elle vient d'être faite.
D'une manière globale d'ailleurs, si vous tentez vos ré-agglomérations juste après avoir réalisé votre extraction, le résultat sera meilleur.
On comprend bien donc que le taux d'humidité et la faible quantité d'eau encore présente joue un rôle.
C'est encore plus flagrant avec du finger Hash.
Lorsque vous le récupérer et faites une boulette bien "charas style" dans la foulée, il suffit de le laisser à l'air libre une journée pour se retrouver avec de la poudre de Hash, collante à souhait.
Parti le côté charas et fils, terminé, ..... trop sec.
- Pressage tout court : Selon la pression, le résultat varie, ..... forcément.
Avec toute les techniques basiques, pressage avec coin de porte, mini presses, poids, voiture ou autre, c'est pas terrible, peu de Hash prennent bien.
Pour bien presser, il faut du lourd, de la bonne presse avec une tonne de pression mini.
Avec ça, pas besoin de chauffer, la pression s'en charge.
Certaines presses peuvent être chauffées au four au préalable, la partie moule du moins.
Attention, si votre presse est puissante, c'est quasiment inutile de pré-chauffer, vous risqueriez de faire une bouillie de Hash si la température est trop élevé ..... j'ai testé pour vous ça aussi !
Personnellement, je fais moitié-moitié, je garde du Hash sous forme "granuleuse" (c'est la forme qu'il a après plusieurs mois d'affinage) pour la maison, et le reste je le ré-agglomère.
Pour cela je me suis offert une bonne presse, la JackPuck de chez Trimpro, qui a 2 tonnes de pression.
Je ne chauffe plus le moule, la texture grasse apportée par l'affinage et la pression suffisent à faire de jolis p'tits disques plus ou moins compacts, dépendant une fois de plus de la variété.
Comme je vous l'ai précisé plus haut, chaque variété est différente, et donc chaque Hash aussi.
Il est compliqué de trouver la formule d'affinage parfaite qui conviendrait à toutes les plantes ( durée, température etc ....), et l'idéal est de s'adapter, ..... en testant.
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Voilà, j'ai éssayé de vous faire partager les quelques connaissances que j'ai pû acquérir sur le sujet avec le temps.
Libre à vous maintenant de vous servir de ces bases pour les améliorer, et créer votre propre technique, ........ qu'il serait cool de venir partager le cas échéant.