Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 Re, je suis d'accord, mais ce phénomène (accru chez les solanacés) n'est pas issu de l'acclimatation (Adaptation des organismes vivants permettant leur subsistance et/ou leur reproduction dans un environnement modifié ou nouveau.) mais bien le résultats de l'abscision foliaire médié par l'acide abscicique. Si tu veux des preuves tu peux lire le rapport du CIRAD l'institut agronomique/Ecotrop sur la différence entre l'acclimatation végétale et le phénomène d'abscision foliaire. (réference JJC-Note-2002-11-15, il est en consultation libre sur internet) Cordialement... Lien à poster Partager sur d’autres sites
Lakoiriofil 46 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 Ta theorie m'as l'air intéréssante mais as tu deja cultiver en out et par ailleurs passé des plantes de l'in à l'out? Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 De plus les conséquences de l'acclimations, sont soient dans les cas sévères la mort, ou dans les cas modérés un arrêt de la croissance et une mobilisation des ressources pour le développement des méristèmes adapté au nouvel environnement. Les conséquences de la sur production d' acide abscicique en réponse à un stress, est une réduction de la surface foliaire après dégradation des chlorophylle et remobilisation des éléments, dans le but de faire des réserves pour qu'un fois le stress passé de nouvel feuilles puissent sortir, en dépensant un minimum d'énergie. Cordialement... Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 Re, Ta theorie m'as l'air intéréssante mais as tu deja cultiver en out et par ailleurs passé des plantes de l'in à l'out? Oui, je peux compter ça en millier de plants de colza. Cordialement... Ps: De plus il ne s'agit pas de ma théorie, mis de faits maintes fois établis et vérifier scientifiquement, dont le dernier en date par le CIRAD. Lien à poster Partager sur d’autres sites
magu 0 Posté(e) juin 23, 2009 Auteur Partager Posté(e) juin 23, 2009 moi chui d'accord avec ce qu'il dit puisque lorsque je les ai sortis je suis revenue 3-4 heures plus tard et j'ai remarquer que le plateau de bouture les feuille avais jaunit en quelque heures donc je les ai mit plus a l'ombre mais je ne l'ai pas fait avec 12 plantes qui était vraiment seul au soleil 4 d'entre eux ont eu le plus d'effet.Et c'était les plus grosse, Ensuite, les autres étaient regroupés dans des bacs ou le soleil était moins fort que celles toutes seules. Parmi eux quelque une ont eu des effets mais moins, Et quand au bouture et bien ils sen sont remises puisqu'ils ont été plus à l'ombre mais il reste qu'il y a un manque de fer et de magnésium je connais la génétique et à ce stage de croissance je dois mettre du sels d'epson en hydro pour qu'elle redevienne verte. Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 Oui, mais tu oublies quelque chose, le mouvement des molécules chez une plante est médié par l'évapotranspiration, plus elle est forte plus la réponse est rapide. Donc dans ton cas le soleil à augmenté l'évapotranspiration donc le mouvement de l'acide abscicique. (on parle de catalyseur) Cordialement... Ps: phénomène également expliqué dans la publication Lien à poster Partager sur d’autres sites
magu 0 Posté(e) juin 23, 2009 Auteur Partager Posté(e) juin 23, 2009 Et qu'est ce qui aurais causé une augmentation d'acide labtique ? Lien à poster Partager sur d’autres sites
Lakoiriofil 46 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 t'inquiete magu ca va repartir, le soleil a due bien les stresser, la croissance est ralenti, bientot elles vont faire de nouvelles feuilles bien plus adapté au nouvel éclairage (en l'occurence le soleil) Bonne pousse et tiens nous au jus de l'évolution..; Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 Pas acide labtique mes acide abscicique. Il 'agit d'une hormone de stress réagissant particulièrement au statut hydrique et à toute action au niveau des racines. Sommaire 1. GENERALITES 4 1.1. PHENOLOGIE : 4 1.2. EFFETS DU STRESS HYDRIQUE 4 1.3. SENESCENCE ET COMPETITION 5 1.4. RENDEMENT POTENTIEL ET KCHIMIQUE GOUSSE 5 1.5. INDICE DE COMPETITION 6 1.6. BIOMASSE FOLIAIRE ET RENDEMENT 6 2. LES MODULES GENERAUX DU MODELE ARACHIDE 6 2.1. Modules météo et calcul de ET0 6 2.2. Module de ruissellement BhyRunoff 6 2.3. BhySoilWaterNeed (Demande Sol) 6 2.4. BhyFTSW 6 2.5. BhyexpCstr 7 2.6. BhyPlantWaterNeed (Demande Plante) 7 2.7. BhyTranspi 7 2.8. SumTemp 7 2.9. EvalLtr 7 2.10. AssimilatPot 7 2.11. EvalRespMaint 7 2.12. EvolLAI 7 3. LES MODULES De bilan carbone SPECIFIQUES DU MODELE ARACHIDE 7 3.1. EvolPhenoTempIndet2 7 3.2. EvalBiomIniIndet2 : 7 3.3. EvalDayBiomTotIndet2 8 3.4. EvolBiomasseIndet2 8 3.5. EvolBiomRac2 8 3.6. EvolDayRdtPot2 8 3.7. EvalKChimiqueGousse2 9 3.8. EvalIc 9 3.9. EvolBiomAero 9 3.10. EvolBiomLeafIndet2 10 3.11. EvalSLAIndet 10 3.12. EvolRdtIndet2 11 4. LES MODULES specifiques DE BILAN HYDRIQUE 11 4.1. EvolKcpFaoSDJ 11 4.2. EvalKceJCC 12 4.3. EvapRuSurfJCC 12 4.4. RempliResJCC 13 4.5. ConsoResSepJCC 13 4.6. EvolRurJCC 14 4.7. EvalKcTotJCC 15 4.8. TrouveDateSemisSurStock 15 1. GENERALITES L’arachide est une plante a croissance indéterminée. Elle peut donc produire simultanément des feuilles et des gousses et ces deux productions sont en compétition. La formation souterraine des gousses dans les 5 à 8 premiers centimètres du sol, donne un poids supplémentaire à l’humidité de surface. La teneur en huile et protéines des graines est élevée. Cela nécessite de prendre en compte un coefficient de conversion chimique et son évolution en cours de maturation. 1.1. PHENOLOGIE : Elle est basée sur la somme de degrés jours (SDJ). La température de base obtenue par calage est de 13°C. Les SDJ de chaque phase correspondent à cette température de base. SDJmax est le cumul de toutes les phases. On a conservé les mêmes phases que pour les céréales - semis à germination : les racines poussent à partir 1 jour après semis (Boote 1986), mais la biomasse aérienne n’est initialisée qu’à la germination lorsque la SDJ est atteinte. - BVP : croissance uniquement végétative. L’arachide est réputée ne pas avoir de sensibilité particulière au stress hydrique au cours de cette phase, autre que celle appliquée à la production de biomasse. Une relation allométrique entre biomasse foliaire et biomasse végétative est utilisée - RPR : le début de cette phase correspond au début de floraison (extrapolation à 0 du nombre cumulé de fleurs émises en fonction de SDJ). Cette phase est très sensible au stress hydrique. Une sénescence foliaire liée au stress intervient (cf EvolBiomLeafIndet2) en plus de la relation allométrique. Son intensité est 3 fois supérieure à celle retenue pendant la formation des gousses. - Matu 1 : le début de cette phase correspond au début de formation des gousses (extrapolation à 0 du nombre cumulé de gousses formées en fonction de SDJ). Ce début est conditionné par l’humidité de la couche de surface. Si elle est sèche (stock nul) les gynophores ne peuvent pas pénétrer dans le sol. On prolonge alors la phase RPR jusqu’au premier apport d’eau. A partir de cette phase, il y a compétition entre la formation de biomasse foliaire et de biomasse des gousses. Un indice de compétition (Ic cf EvalIc),ratio de l’offre et de la demande est calculé. Si Ic >1, l’excédant – (Offre-Demande) – produit de la biomasse végétative. Dans le cas contraire, une partie du déficit est transféré de la biomasse foliaire vers le rendement. Au cours de cette phase et de la suivante, on n’utilise plus de relation allométrique mais des cumuls quotidiens. - Matu 2 : cette phase n’est utilisée que pour différencier la cinétique de teneur en huile et protéines des graines (cf EvalKChimiqueGousse2) 1.2. EFFETS DU STRESS HYDRIQUE Dans les modèles SARRAH, le stress intervient directement, par son coefficient de stress cstr, dans la réduction - De la transpiration : Tr = Trpot * cstr - De la production quotidienne de matière sèche : dayBiomTot = Assimilatpot * cstr – RespMaint Dans le modèle Arachide il intervient aussi - Directement dans la sénescence hydrique des feuilles lorsque FTSW - Indirectement via l’indice de compétition, dans la réduction du rendement potentiel si Ic<0.3 Le stress hydrique intervient aussi par le biais de l’humidité de la couche de surface. Un contenu nul du réservoir de surface, qui est celle de développement des gousses, - Retarde le début de la phase Matu1 - Incrémente un compteur de nombre de jours secs (Njsec). Si NJSec > NJSeclim (6) jours, le rendement décroît de PcRdt (4 %) par jour. Pour la transpiration, cstr peut se calculer selon 3 procédures - Eagleman - PFactor FAO - Exponentielle de FTSW : Cette fonction, selon les valeurs de f et g permet de paramétrer plusieurs formes de courbe de réponse Le calage sur les stocks d’eau mesurés donne un ajustement satisfaisant et convenant à tous les traitements hydriques avec f =0,4 et g = 0,07. Ce n’est pas le cas avec Eagleman et p factor qui parfois sous estiment parfois surestiment le stock d’eau, dans l’expérimentation qui a servi au calage (essai 1995 Bambey). Par contre ces coefficients ne permettent pas de caler correctement les biomasses, pour lesquelles il faut f =0,15 et g = 0,1. Ces deux courbes de réponse à FTSW sont confirmées par les travaux d’Edouard MARONE (CEERAS) qui montrent que le contenu relatif en eau des feuilles d’arachide est moins sensible à la diminution de FTSW que la conductance stomatique. D’après la bibliographie, le stress hydrique joue aussi sur l’orientation des feuilles et l’absorption du rayonnement (Kdf et LTR). Ce phénomène n’est pas actuellement simulé faute de données expérimentales. 1.3. SENESCENCE ET COMPETITION La senescence est un processus irréversible. On simule deux phénomènes - La sénescence liée au stress hydrique qui conduit à l’abscission des feuilles et des tiges - La sénescence sans abscission liée à la compétition. Pendant l’élaboration du rendement, le déficit d’offre est partiellement comblé par une réallocation de biomasse des feuilles vers les gousses (Krealloc<1). Cette réallocation a un coût (CoutRealloc) car seulement une fraction de la biomasse foliaire peut être réallouée. Ce transfert n’affecte pas la biomasse totale (pas d’abscission). Il diminue la biomasse foliaire de la partie réallouée. Il devrait diminuer le LAI vert intervenant dans l’absorption du PAR, mais pas le LAI total déterminant l’énergie arrivant au sol. On simule cet effet en intervenant Globalement sur Kassim. 1.4. RENDEMENT POTENTIEL ET KCHIMIQUE GOUSSE Le rendement potentiel à la récolte est considéré comme une caractéristique variétale. Il est le produit du nombre maximal de gousses par plant, du poids des gousses, et de la densité de semis. Sa cinétique d’évolution en cours d’élaboration du rendement (qui détermine une composante de la demande journalière) est supposée suivre la même évolution que le rendement maximal observé in situ. L’évolution journalière du rendement potentiel suit une loi polynomiale du 3° en fonction du temps thermique. Cette évolution du rendement potentiel permet de calculer une demande potentielle journalière variable. Lorsque l’indice de compétition est inférieur à un seuil (SeuilIc = 0.3), le rendement potentiel est supposé décroître de PcRdtPot (3%) par jour. Les graines ayant une teneur élevée en huiles et protéines, dont la synthèse nécessite plus d’énergie que les carbohydrates, la demande est multipliée par un coefficient de conversion (KchimGousse) variable au cours du temps. Il dépend de la teneur en graines des gousses, et de la teneur en huile et protéines des graines. La teneur en graine des gousses évolue linéairement en fonction du temps thermique jusqu’au coefficient de décorticage. L’évolution du Kchimique des graines est mal connu. Sa valeur finale est le Kchimique graine. On le simule en deux étapes, linéaires en fonction du temps thermique, sur les phases Matu1 et Matu2. On considère qu’une fraction (PourcKchim) de l’écart entre KchimGraine à la récolte (assumé être une caractéristique variétale) et 1 est atteint à la fin de la phase Matu1. Le restant se réalise pendant la phase Matu 2. D’après la bibliographie, la teneur en huile des graines serait fortement affectée par le stress hydrique. Ce phénomène n’est pas actuellement simulé faute de données expérimentales. 1.5. INDICE DE COMPETITION L’indice de compétition est le ratio entre l’offre et la demande. L’offre est la photosynthèse nette, bornée à 0 lorsqu’elle est négative. La demande est la somme de la croissance racinaire (DayBiomRac), de l’accroissement journalier du rendement potentiel exprimé en équivalent carbone (DayRdtPot * KchimGousse) et de l’énergie nécessaire pour accroître la teneur en huiles du rendement déjà formé (Rdt * KchimGousse) 1.6. BIOMASSE FOLIAIRE ET RENDEMENT Pendant les phases d’élaboration du rendement (Matu1 et Matu2), la partition est commandée par l’indice de compétition. Si Ic >= 1 l’écart Offre – Demande augmente la biomasse végétative (tiges + feuilles) et l’augmentation de rendement est égale à l’augmentation de rendement potentiel. Si Ic < 1 le déficit est partiellement comblé par réallocation. (Demande – Offre) * Krealloc est affecté au rendement. Cette valeur est limitée à 10 % de la biomasse foliaire. Mais seulement la fraction Krealloc est attribuée à l’augmentation de teneur en huile du rendement déjà formé. Le complément est prélevé sur les gousses. La biomasse foliaire décroît simultanément de (Demande – Offre) * Krealloc * CoutRealloc 2. LES MODULES GENERAUX DU MODELE ARACHIDE On a cherché à conserver le maximum de modules du modèle SarraH mis au point pour les céréales. On n’a donc différencié que les modules correspondant à un fonctionnement particulier. Les modules généraux utilisés dans le modèle arachide sont les suivants. Ils sont décrits dans le manuel de SarraH céréales. 2.1. Modules météo et calcul de ET0 2.2. Module de ruissellement BhyRunoff Calcule le ruissellement en considérant qu’un pourcentage (PourcRuis) de la pluie excédant un seuil (SeuilRuis) est perdu par ruissellement. 2.3. BhySoilWaterNeed (Demande Sol) Calcule l’évaporation du sol = Kce * ET0 2.4. BhyFTSW Calcule FTSW = StockRac / RURmax 2.5. BhyexpCstr Calcule Cstr selon la formule du chapitre précédent 2.6. BhyPlantWaterNeed (Demande Plante) Calcule la transpiration potentielle à partir de Kcp : Trpot = Kcp * ET0 2.7. BhyTranspi Calcule la Transpiration : Tr = Trpot * Cstr 2.8. SumTemp Calcul de SDJ 2.9. EvalLtr calcule le rayonnement photosynthétiquement actif (PAR) transmis au sol LTR = exp(-Kdf * Lai) Kdf est le coefficient d’extinction du PAR 2.10. AssimilatPot Calcule la photosynthèse brute potentielle (sans stress) assimPot = Par * KEpsiB * KAssim * 10 * (1-LTR) PAR = Kpar * Rg est calculé dans les modules météo Kassim permet de tenir compte du vieillissement des feuilles 2.11. EvalRespMaint Calcule la respiration de maintenance en fonction de la biomasse totale et de la température selon une loi en Q10 de 2. RespMaint = kRespMaint * biomTot * 2.12. EvolLAI Calcule le LAI LAI = SLA * BiomLeaf 3. LES MODULES DE BILAN CARBONE SPECIFIQUES DU MODELE ARACHIDE 3.1. EvolPhenoTempIndet2 Gère le changement de phase Les particularités de ce module sont : - calcul de la date de germination utilisée dans d’autres modules - retard du passage à Matu 1 si StRuSurf = 0 et mémorisation de SDJ dans SDJMatu1 lors du passage effectif à Matu 1 - Calcul du rendement potentiel : RdtPot = Densité * NbGousseParPlant * PoidsMoyenGousses 3.2. EvalBiomIniIndet2 : Initialisation de la Biomasse Initiale à la Germination Le premier jour où SDJ excède le seuil de germination, les biomasses sont initialisées BiomTot = Densité * KresGrain * BiomGrain / 1000 en kg/ha (Biomgrain en g) BiomRacines = KbaseRac * BiomTot BiomAero = BiomTot - BiomRacines BiomVeg = BiomAero BiomLeaf = BiomVeg * KBaseLeaf Lai = BiomLeaf * Sla 3.3. EvalDayBiomTotIndet2 Calcule la production de biomasse quotidienne qui sera cumulée à la biomasse le lendemain en début de journée Calcul de cstrbiom DayBiomTot = assimPot * Cstrbiom – RespMaint DayBiomTot peut être négative lorsque la respiration de maintenance excède la photosynthèse brute. Dans ce cas, il n’y a pas d’offre pour la croissance. 3.4. EvolBiomasseIndet2 Cumule la Biomasse totale. Avant germination BiomTot = 0 Sinon Biomtot = Biomtot + DayBiomTot – 2 * PerteFeuille PerteFeuille simule la déhiscence des feuilles liée au stress hydrique. Le facteur 2 tient au fait que l’on a environ 50 % de tiges et 50 % de feuilles. (cf BiomLeaf) 3.5. EvolBiomRac2 Calcule la biomasse racinaire en fonction de la biomasse totale. La décroissance du ration des biomasses racinaires et totale suit une fonction puissance (essai Arachide Bambey 2000 de B. Saar) Les données de l’essai 2000 donnent CoefRacine = 0,836 PuissanceRacine = - 0,3091 Lorsque la biomasse totale excède le seuil SeuilBiomTot, le ratio des biomasses racinaire et totale est assumé égal à MinPartRac. Cette condition est également appliquée en phase d’élaboration du Rendement. Si DayBiomTot est négatif, l’offre est nulle ainsi que la croissance journalière de biomasse racinaire. DayBiomrac = max(0 , BiomRacj - BiomRacj-1) 3.6. EvolDayRdtPot2 Nécessaire pour calculer Ic Calcule l’évolution du rendement potentiel et de la demande potentielle journalière à partir du début effectif de la phase Matu1. Pour gommer l’artefact mathématique de la fonction du 3° degré, le rendement potentiel débute lorsque la demande potentielle journalière (dérivée) est positive. RdtpotJ et DayRdtpot = 0 avant la phase Matu1. X = (SDJ-SDJMatu1) / (SomTempMatu1+SomTempMatu2) SDJ est la somme de Tmoyen – Tbase de puis le semis SDJMatu1 est la SDJ lors du passage effectif en Matu1 (condition hydrique de l’horizon de surface). SomTempMatu1 et SomTempMatu2 sont les durées en DJ des deux phases. Si Ic < 0.3 : Rdtpot = (1-PcRdtPot) * Rdtpot traduit l’ajustement du potentiel réalisable (perte d’un certain % par jour). Si X < 0,075 : RdtPotj = 0 Sinon RdtPotj = RdtPot * (K1Rdt *X3 + K2Rdt *X2 + K3Rdt * X + K4Rdt) DayRdtPotj = RdtPotj - RdtPotj-1 3.7. EvalKChimiqueGousse2 Nécessaire pour calculer Ic On calcule d’abord la teneur en graine des gousses X = (SDJ-SDJMatu1) / (SomTempMatu1+SomTempMatu2) PcGraine = RdtEgrenage * X Puis le Kchimique des graines En phase Matu1 KChimGraine = 1 + ((KChimique-1)*PourcKChim*(SomDJ-SomDjMatu1)/SomTempMatu1) En phase Matu1 KChimGraine = 1 + (KChimique-1)*PourcKChim + (KChimique-1)*(1-PourcKChim)* (SomDJ-SomDjMatu2)/SomTempMatu2 Puis le Kchimgousse : KchimGousse = 1 + PcGraine * (KChimGraine-1) 3.8. EvalIc Avant la phase de maturation et ensuite si la demande est nulle on attribue une valeur arbitraire > 1 à Ic. Sinon : Offre = max (0 , DayBiomTot) Demande = DayBiomRac + DayRdtPot*KchimGousse + Rdt*(KchimGoussej – KchimGoussej-1) Ic = offre / Demande 3.9. EvolBiomAero Calcule la biomasse aérienne et végétative (feuilles et Tiges). La biomasse des gynophores n’est pas simulée. Elle ne représente en général que 2 à 3 % de la biomasse aérienne, mais peut devenir plus importante à proximité de la récolte et introduire une erreur sur la biomasse aérienne (fanes) à la récolte. BiomAero = max(0,BiomTot-BiomRac) En phase semis avant germination BiomVeg = 0 Avant élaboration du rendement BiomVeg = BiomAero Ensuite, on ne déduit plus BiomVeg de BiomTot. On ajoute les gains ou pertes journaliers Si Ic >= 1 BiomVeg = max(0 , BiomVeg + Offre – Demande - 2*PerteFeuille) Sinon BiomVeg = max(0 , BiomVeg + DayBiomLeaf - 2*PerteFeuille) PerteFeuille est l’abscission des feuilles et 2*PerteFeuille celle des feuilles et des tiges 3.10. EvolBiomLeafIndet2 Evalue la biomasse foliaire. On calcule d’abord l’abscission liée au stress, au delà de la phase BVP réputée insensible, et pour tous les jours où FTSW <= SeuilStress. En Phase RPR (forte sensibilité) PerteFeuille = PourcFeuille * 3 * BiomLeaf * (1 - Cstr) Ensuite PerteFeuille = PourcFeuille * BiomLeaf * (1 - Cstr) Cette perte permettra d’ajuster la Biomveg et BiomTot le lendemain On calcule ensuite la BiomLeaf à partir de la BiomVeg. Dans le cas des céréales, le ratio KpenteLeaf est corrélé linéairement avec la biomasse aérienne. Pour l’arachide, ce ratio évolue linéairement avec le temps thermique. Il décroît de KbaseLeaf jusqu’à MinPartLeaf avec une pente KpenteLeaf. Par ailleurs, on considère que lorsque DayBiomTot est négatif cette valeur est prélevée dans les feuilles. De la germination à la fin de la phase RPR BiomLeaf = BiomVeg * Max(MinPartLeaf , KbaseLeaf – KpenteLeaf * SDJ/SDJMax) + min(0,DayBiomTot) Ensuite on additionne les gains et pertes journaliers Si Ic >=1 (DayBiomTot ne peut pas être négatif) la biomasse foliaire augmente. BiomLeaf = BiomLeaf + (Offre - Demande) * MinPartLeaf Sinon on déduit la réallocation qui a un coût BiomLeaf = BiomLeaf + min[0.1*BiomLeaf ;(Demande - Offre) * Krealloc]* CoutRealloc + min(0,DayBiomTot) On déduit l’abscission en bornant à 0 BiomLeafj = Max (0 , BiomLeafj – PerteFeuillej) DayBiomLeafj = BiomLeafj – BiomLeafj-1 NB : PerteFeuille est déduite de BiomLeaf le jour même dans tous les cas. Elle est déduite de Biomtot le lendemain, également dans tous les cas. En phases végétatives Biomaero et BiomVeg se déduisent de Biomtot par différence et Biomleaf découle de BiomVeg par règles allométriques. En phases de maturation, on cumule les gains et pertes de chaque type de Biomasse. Il faut donc déduire PerteFeuille de BiomVeg. 3.11. EvalSLAIndet Cette procédure calcule une décroissance linéaire du SLA d’une valeur SLAmax à une valeur SLAmin en fonction du temps thermique. SLA = SLAmax - (SLAmax - SLAmin) * (SDJ / SDJMax) N.B. : En fin de cycle, les valeurs expérimentales de SLA sont souvent inférieures au SLAmin nécessaire au calage satisfaisant du LAI. C’est dû au fait qu’on ne gère pas directement le LAI vert et le LAI sec, mais indirectement par le biais de Kassim. 3.12. EvolRdtIndet2 Calcul du rendement réel en fonction de l’indice de compétition et de la sécheresse de l’horizon superficiel. On calcule d’abord le nombre de jours consécutifs pendant lesquels l’horizon de surface est sec. Si le stock de surface = 0 , NJSec = NJSec + 1 Sinon NJSec = 0 On cumule le rendement élaboré la veille Rdtj = Rdtj-1 + DayRdtj-1 On provoque une perte de Rendement quotidienne si NJSec est trop élevé. Si NJSec > NJSeclim Rdt = Rdt * (1 – PcRdt) Le calage pour la variété 55437 donne NJSec = 6 PcRdt = 0.04 On calcule ensuite l’accroissement journalier du rendement en fonction de l’indice de compétition. Si Ic >= 1 DayRdt = DayRdtPot Sinon DayRdt = (1-MinPartRac) * Offre (1) + min[0.1*BiomLeaf ;(Demande - Offre) * Krealloc] (2) - Rdt * (KchimGousse - KChimGoussePrec) * (1-KRealloc) (3) (1) représente ce qui reste de l’offre après croissance racinaire prioritaire (2) représente ce qui vient des feuilles (3) représente ce qui est prélevé sur le rendement pour assurer l’évolution du Kchimique de la gousse. De ce fait, DayRdt peut être négatif 4. LES MODULES SPECIFIQUES DE BILAN HYDRIQUE Ces modules pourraient être utilisés pour d’autres cultures que l’arachide. Ils utilisent des concepts différents de réservoirs pour la couche de surface. De ce fait, ils diffèrent dans leurs modalités de remplissage et de consommation. Ils doivent donc être tous utilisés (ou aucun). 4.1. EvolKcpFaoSDJ Simule le Kcp selon le même principe que Kcb avec dissociation du FAO 56. Mais la durée des phases est remplacée par des sommes de degrés jours SDJini = fin de la phase initiale SDJMid= début de la phase « mid » où Kc = Kcmax SDJend = fin de la phase « mid » Kcini = Kcp pendant la phase « ini » Kcmax = Kcp pendant la phase « mid » Kcend = Kcp à la récolte (à SDJMax) Avant germination Kcp = 0 Si SDJ <= SDJini : Kcp = Kcini Sinon Si SDJ <= SDJend Kcp = Min(KcMax , KcIni + (KcMax - KcIni) * (SDJ- SDJini )/(SDJMid- SDJini )) Sinon Kcp = Min(KcMax , KcMax - (KcMax-KcEnd) * (SDJ-SDJEnd) / (SDJMax-SDJEnd)) N.B. : Comme pour FAO 56, le stress n’influence pas l’évolution de Kcp. Les valeurs de SDJMid et SDJend ont été choisies pour que la période de Kcmax correspondent aux données expérimentales de Dancette (1986) 4.2. EvalKceJCC Calcule Kce selon une approche simplifiée, voisine de la méthode FAO 56. Kce = Mulch /100 – Kcp Mulch/100 est un facteur multiplicateur qui exprime le ratio entre l’Evaporation du sol nu saturé d’eau et ET0 du gazon. FAO 56, préconise de prendre 1,15 soit Mulch = 115. On considère donc que le Kcmax défini dans FAO56 est Mulch/100 On calculera ensuite l’évaporation potentielle Evappot = Kce * ET0 et l’évaporation réelle en fonction de la teneur en eau du réservoir de surface. 4.3. EvapRuSurfJCC Cette procédure est également voisine de celle préconisée par FAO 56. Elle reprend les même concepts, la différence réside au niveau du remplissage des réservoirs. L’horizon de surface d’épaisseur ze est constitué de 3 réservoirs - un réservoir Revap dans lequel l’eau n’est pas utilisable par la plante (humidité inférieure à celle à pF = 4,2). Il a une capacité CapaRevap et un contenu ValRevap - La réserve utile de la couche de surface qui se décompose en 2 réservoirs : la réserve facilement évaporable RFE et la réserve difficilement évaporable RDE. CapaRevap = 0,5 * PF * ze ze est l’épaisseur de la première couche de sol définie dans la parcelle. PF est l’humidité à pF = 4,2. Pour utiliser cette procédure, il faut saisir cette valeur dans les caractéristiques du sol. CapaRFE = [RU * ze + CapaRevap] * pevap RU est la RU / mètre de sol pevap est une sorte de p factor qui permet de calculer la quantité d’eau correspondant à une évaporation limitée par l’énergie disponible, c’est à dire en régime d’évaporation potentielle. CapaRDE = RU * ze – CapaRFE Tant qu’il y a de l’eau dans la RFE, elle s’évapore au rythme de l’évaporation potentielle. Dans le cas contraire le coefficient de réduction de l’évaporation (Kr) est fonction du contenu relatif des 2 réservoirs L’introduction du réservoir d’évaporation, complexifie la gestion des réservoirs classiques que sont la Réserve utile Racinaire et la Réserve utile Totale. Seule l’eau contenue dans RDE et RFE est transpirable et sa variation doit être comptabilisée dans les autres réservoirs ValRsurf représente de l’eau évaporable et de l’eau transpiarble. Elle varie de 0 à CapaRevap + CapaRDE. Si ValRsurf > CapaRevap sa partie transpirable par la plante est ValRDE = ValRsurf – CapaRevap Sinon ValRDE =0 On fait l’hypothèse dans le modèle, que l’évaporation se produit avant la transpiration dans la séquence journalière. Ce module d’évaporation de surface actualise donc les réservoirs après évaporation. 4.4. RempliResJCC Cette procédure gère la variation des contenus de réservoirs suite à un apport d’eau par la pluie ou l’irrigation, déduction faite du ruissellement, et calcule le drainage. Le remplissage de la RFE est prioritaire. Lorsqu’elle est pleine, l’eau excédentaire s’ajoute à ValRsurf. Ce schéma de fonctionnement permet d’évaporer au régime d’évaporation potentielle une faible pluie qui n’humecte que les premiers centimètres de cette couche de surface. On rencontre la même difficulté que pour l’évaporation. Dans l’eau apportée, il faut dissocier celle qui remplit le réservoir uniquement évaporable, de celle qui remplit les réservoirs classiques (eau transpirable et évaporable). 4.5. ConsoResSepJCC Cette procédure soustrait la transpiration des différents réservoirs (l’évaporation a déjà été soustraite dans la procédure EvapRuSurfJCC). Quelle fraction de la transpiration (Trsurf) faut-il prélever sur l’horizon de surface, et dans quel réservoir faut-il la prélever ? Tout dépend de la profondeur d’enracinement par rapport à l’épaisseur de la couche de surface. Si elle est supérieure, on fait une imputation proportionnelle, sous réserve qu’il y ait suffisamment d’eau transpirable en surface On actualise les réservoirs de surface Si stRurMax <= RuSurf : TrSurf = Tr Sinon TrSurf = Tr * RuSurf/stRurMax Si ValRDE + ValRFE < TrSurf : on vide les réservoir « transpirables », le complément sera pris dans la RUR ValRFE = 0 ValRSurf = ValRSurf - ValRDE ValRDE = 0 Sinon Si ValRFE > TrSurf : on prélève prioritairement dans RFE ValRFE = ValRFE - TrSurf Sinon ValRSurf = ValRSurf – (TrSurf - ValRFE) ValRDE = ValRDE – (TrSurf – ValRFE) ValRFE = 0 StRuSurf = ValRFE + ValRDE On actualise les autres réservoirs StRur = max(0,stRur-Tr) StRu = max(0,stRu-Tr) On calcule l’ETR et l’ETM ETR= Tr +Evap ETM = TrPot + Evap 4.6. EvolRurJCC Cette procédure : Initialise la réserve utile racinaire au lendemain du semis, en fonction de la profondeur de semis. Si Date = DateDeSemis + 1 StRurMax = Ru * ProfRacIni / 1000 (car profondeur de semis en mm) Puis calcule son contenu en eau Si ProfRacIni <= 10*Ze (car épaisseur des couches en cm) StRur = (ValRDE + ValRFE) * ProfRacIni /(10*Ze) (proportionnelle au contenu en eau de l’horizon de surface) Sinon StRur = StRu * ProfRacIni / (10*(Ze+Z2)) (proportionnelle au contenu en eau de la réserve utile) Puis calcule son évolution les autres jours sachant que la croissance racinaire est bloquée par le front d’humectation, et que les racines poussent dans un sol à la capacité de rétention. Si Date > DateDeSemis + 1 On calcule la possibilité d’augmentation de la capacité du réservoir racinaire Si (Hum - StRurMax) < (VRac/1000*RU) DeltaRur = Hum - StRurMax Sinon DeltaRur = VRac/1000 * RU StRurMax = StRurMax + Deltarur Puis on détermine son contenu, comme à l’initialisation, suivant que les racines sont dans la couche de surface ou au delà. Si StRurMax > RuSurf StRur = StRur + Deltarur (les racines progressent dans un sol saturé) Sinon StRur = (ValRDE+ValRFE)* (StRurMax / RuSurf) (la couche de surface n’est pas saturée à cause de l’évaporation) 4.7. EvalKcTotJCC Calcule le Kc correspondant à la définition ETM /ET0 Kctot = Evap / ET0 + Kcp 4.8. TrouveDateSemisSurStock Pour déterminer la date de semis, cette procédure n’utilise pas la valeur de la pluie quotidienne, mais le stock d’eau dans le sol. Le seuil de « pluie » saisi au niveau du site, représente ici le stock total nécessaire au semis. Pour valider la date de semis trouvée, la procédure vérifie que du semis à la germination le stock de l’horizon de surface ne s’annule pas. Dans le cas contraire on considère que le semis aurait échoué et l’on recherche la date de semis suivante. Pour preuve une partie de la publication du CIRAD. Cordialement... Ps: un certain niveau de physiologie végétale est nécessaire à la compréhension Lien à poster Partager sur d’autres sites
magu 0 Posté(e) juin 23, 2009 Auteur Partager Posté(e) juin 23, 2009 Donc le fait que le soleil à augmenter l'évaporation dans mon trou est causé par l'argile qui ne draine pas donc tous ce qui transpire augment l'acide lactique. Ce qui cause cette effet. Mais ca peut être la combination des deux cause que vous m'expliquer car les deux sont arrivées. Lien à poster Partager sur d’autres sites
magu 0 Posté(e) juin 23, 2009 Auteur Partager Posté(e) juin 23, 2009 Donc que pense tu que je récupère ma terre et la remettre dans un bag de 5 gallons. Comme ca ils auront mais nutriments et un bon drainage je vais essayer de mettre le sac dans l'ancien trous pour garder la chaleur pour l'automne Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 ACIDE ABSCISSIQUE pas lactique. Et tous les phénomènes que tu observes sont duent à l'abscision foliaire, il me semble que l'on parle de la même chose mais que notre définition de l'acclimatation n'est pas la même. Cordialement... Ps: je reste tous de même sur ma définition, et sur un sujet d'examen (vu que c'est en ce moment) je met 0 pour tout autres définitions que celle là. Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 Donc que pense tu que je récupère ma terre et la remettre dans un bag de 5 gallons. Comme ca ils auront mais nutriments et un bon drainage je vais essayer de mettre le sac dans l'ancien trous pour garder la chaleur pour l'automne Le problème resteras entier, cette technique fonctionne pour les plantes à faible potentiel hydrique, le cannabis est à fort potentiel hydrique. Le mieux serais de e changer de place, sinon risque de nécrose des racines. Cordialement... Lien à poster Partager sur d’autres sites
magu 0 Posté(e) juin 23, 2009 Auteur Partager Posté(e) juin 23, 2009 Tu comprend ce qui est écrit la moi je comprend pas grand chose a vrai dire je sais pas de ou vous sortez mais vous devez faire pousser des osti de monstre. javascript:%20justReturn() Lien à poster Partager sur d’autres sites
magu 0 Posté(e) juin 23, 2009 Auteur Partager Posté(e) juin 23, 2009 Tu veut dire que dans un sac de 5 gallon ca ne poussera pas bien que ca prend vraiment un terrain avec de la bonne terre partout mais le problème c'est qu'ici ces de la glaise partout partout partout même les champs de fermier sont argileux. Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 Encore heureux que je comprend tous ça, c'est mon métier !!!! Sinon pour les monstres, non je ne fait pas pousser du cannabis, en revanche j'adore torturer les plantes pour savoir comment elles fonctionnent. En revanche je peux te montrer des monstro colza OGM(lol) Cordialement... Lien à poster Partager sur d’autres sites
Lakoiriofil 46 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 exo-plank: sans deconner qu'est-ce tu veut que des gens comme nous comprennent aux termes employés dans tes citations qui je suis sur n'aide pas notre ami Magu... Il as cramer ses plantes au soleil il n'y as pas a chercher plus loin.. Je n'interviendrai plus sur ce post j'ai proposer mon diagnostique et je prédit que ses plantes vont aller bcp mieux dans tres peu de temps... @+ et magu tiens nous au jus.. Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 Tu peux toujours tester cette techniques en prenant quelques précaution, et ainsi faire partager ton expérience pour toutes les personnes dans ton cas. Et puis sa devrait bien fonctionner si tu n'arrose pas trop vu qu'il ne reste pas super longtemps avant la flo. Cordialement... Lien à poster Partager sur d’autres sites
magu 0 Posté(e) juin 23, 2009 Auteur Partager Posté(e) juin 23, 2009 Si j'ai pas le choix de rester sur ce terrains les sac vont tu être mieux que dans les trous. Il faut noter aussi que j'ai un système a compte goutte pour donné les nutriments donc je ne donnerai que 2 litre par semaine a mes plants. Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité exo-plank#0 Posté(e) juin 23, 2009 Partager Posté(e) juin 23, 2009 Désoler Lakoiriofil, mais j'ai horreur de l'inexactitude, de plus je ne veux pas préjuger du niveau de chacun et j'essaye toujours de vulgariser au maximum. En outre, je parle de sujet encore plus poussé que celui-ci avec de nombreux membres de ce forum et d'autres. Il faut bien donner des pistes pour les personnes curieuses de s'instruire et ainsi tordre le coup à de nombreuses idées reçu ou à la désinformation volontaire. Cordialement... C'est sur qu'en ne cherchant pas à comprendre on ne comprendras jamais, avec de telle raisonnement nous serions encore à l'age d pierre (ou de Paul, histoire de conclure sur un note humoristique). Sans aucune animosité de ma part Lien à poster Partager sur d’autres sites
Messages recommandés