crazyseeder 0 Posté(e) octobre 23, 2009 Partager Posté(e) octobre 23, 2009 Bon si l’on arrêtait de raconter n’importe quoi ! 1- Ce n’est pas l’employeur qui effectue des tests urinaires, c’est un médecin du travail (cela fait une grosse différence) 2 - Etre positif au THC ne veux pas forcement dire que tu arrive au boulot complètement défoncé, ou que tu as consommé. 3- Le règlement interdit de consommer de l’alcool ou des stupéfiants sur le lieu de travail pas quand t’est chez toi. Exemple (avec l'alcool cette fois), si je prends une grosse cuite le samedi soir ou que je bois un apéro en rentrant chez moi, en cas de dépistage le lendemain ou le surlendemain je ne pourrais en aucun cas être sanctionné pour avoir bue un verre chez moi après ma journée de travail. Normalement c’est pareil pour le cannabis. Et la en plus il y a le contexte du fumeur passif, exemple: Je passe la soirée a un concert, ou chez des potes qui fument, dans ce cas je serais positif au THC (durant au moins 15jours) bien que je n'ais pas fumé, la sanction pour un hypothétique usage hors du lieux de travail ne peut pas être invoqué dans ce cas précis ou alors cela voudrais dire que je n'ai pas le droit de fréquenter certains lieux ou personnes en dehors de mon lieux de travail ce qui serait complètement aberrant. Imagine le cas d’un type dont la femme atteinte d’une sclérose en plaque fume pour des raisons médicales qui serait écarté d’un emploi pour sa consommation passive et involontaire, cela promet un procès spectaculaire. Don arrête de flipper, d'ici la les doses de THC dans ton organisme seront tellement infimes que le toubib sera pas bien incapable de dire si tu as été exposé ou si tu as consommé. Dépistage liens intéressant: https://www.istnf.fr/_admin/Repertoire/Fichier/2008/15-080526090711.pdf https://www.hst.fr/inrs-pub/inrs01.nsf/IntranetObject-accesParReference/TD%20120/$File/TD120.pdf Crazy Lien à poster Partager sur d’autres sites
Messages recommandés