ganaa 19 Posté(e) mai 28, 2013 Partager Posté(e) mai 28, 2013 (modifié) yep francky ganaa, pour reprendre des parties de texte d'un post auquelles tu veux répondre, tu peux si tu le souhaites utiliser la fonction "insérer une citation" (représenté par une bulle jaune avec un guillemet à l'intérieur). tu sais apres le taff je suis un peu flemmard ^^ Des astuces pour quoi faire? Pour les sélectionner ou pour les utiliser pour des pollinisations simultanées? les deux, déjà pour sélectionner un mâle sur sa puissance ou son gout je ne sais pas comment m'y prendre, enssuite pour prélever le pollen, le stocker et l'utiliser je pence savoir comment je vais m'y prendre mais quelque précision ou autres techniques/astuces ne me feront pas de mal ^^ Par contre, le terme "vigueur hybride", qui est souvent utilisé à mauvais escient, est une valeur comparative qui représente la supériorité, pour un caractère donné, de l'hybride par rapport à ses parents (soit par rapport au meilleur des 2 parents, soit par rapport à la moyenne des 2 parents). Personnellement, plutôt que "vigueur hybride", je préfère utiliser le terme "hétérosis" qui porte moins à confusion. On peut donc utiliser ce terme pour tous les caractères étudiables (la taille, l'odeur, la puissance,...), pas uniquement pour le caractère "vigueur" à proprement parlé. A noter aussi que l'hétérosis peut prendre une valeur négative si la valeur de l'individu est inférieur à la valeur de référence obtenue à partir des parents. Aussi, dans la définition ci-dessus, le terme "hybride" signifie qu'il s'agit d'un individu obtenu en croisant 2 plantes génétiquement différentes. Autrement dit, les 2 plantes parents peuvent aussi bien être des lignées pures que des hybrides ou autres. Je vais prendre un exemple concret qui permet de bien comprendre la différence entre "vigueur" et "vigueur hybride". Disons que le caractère étudié est justement "la vigueur". Tu peux avoir une plante avec très peu de vigueur, mais si elle est malgrès tout plus vigoureuse que ses parents alors elle aura une "vigueur hybride" positive. Au contraire, tu peux avoir une plante très vigoureuse mais si elle est moins vigoureuse que ses parents alors elle ne manifestera pas de "vigueur hybride", au contraire, son hétérosis aura une valeur négative. sur ça je te remercie pour l'éclaircissement je suis tout a fait d’accord avec toi sur le terme "vigueur hybride" ça reste relativement flou et on ce fait vite une idée légèrement propre a notre vision de la plante et de sa génétiquele terme "hétérosis" me rappel des cours quand je taffé sur les algues marine mais je ne me rappelais plus vraiment la définition je vais changer mon vocabulaire pour ce terme qui est plus explicite par rapport au travaille que je compte effectué je te remercie de tes passage, de plus tu a une facilité a expliqué les chose clairement Modifié mai 28, 2013 par ganaa Lien à poster Partager sur d’autres sites
FranckyVincent 4 167 Posté(e) mai 30, 2013 Partager Posté(e) mai 30, 2013 (modifié) Salut ganaa, les deux, déjà pour sélectionner un mâle sur sa puissance ou son gout je ne sais pas comment m'y prendre, enssuite pour prélever le pollen, le stocker et l'utiliser je pence savoir comment je vais m'y prendre mais quelque précision ou autres techniques/astuces ne me feront pas de mal ^^ Pour le goût du mâle, tu peux le goûter au vapo si tu en as un ou au pire le fumer, ça te donnera une idée. En principe, l'odeur va de paire et est aussi un bon indicateur. Maintenant, pour te donner mon avis, la seule manière de savoir si un mâle est intéressant pour un cross, y a pas 36 solutions, il faut le tester et voir ce que tu obtiens dans la descendance. Avec des variétés non autoflo, on peut garder les plantes en végétatif, les bouturer et les tester en faisant des croisements de contrôle. Cela permet d'en déduire les génotypes et, en fonction des résultats, on utilisera seulement les plantes intéressantes. Mais là, avec les autoflo, c'est pas possible, donc tu seras obligé d'avancer en aveugle en intercroisant plusieurs mâles et plusieurs femelles choisis sur leur aspect, ce qui te donnera plusieurs lignées, puis pour chaque lignée il faudra cultiver chaque groupe de descendance pour en déduire les lignées parentales intéressantes. En gros, c'est le principe de la sélection généalogique. Dans le shéma ci-dessus, à chaque cycle, la fécondation est en fait une autofécondation, ce qui permet de fixer les caractères beaucoup plus vite qu'en croisant 2 plantes différentes, 1 mâle et 1 femelle dans ton cas, mais le principe reste le même. En gros, tu verras si le mâle et la femelle que tu as choisi transmettent les caractères souhaités que lorsque tu cultiverras la descendance. Si c'est le cas, tu pourras choisir de nouveaux couples de plantes dans cette descendance, les croiser entre eux puis cultiver à nouveau leur descendance. Ainsi de suite de manière cyclique... Pas simple la création d'une variété!!!! ++ Modifié mai 30, 2013 par FranckyVincent Lien à poster Partager sur d’autres sites
ganaa 19 Posté(e) mai 30, 2013 Partager Posté(e) mai 30, 2013 yep Pour le goût du mâle, tu peux le goûter au vapo si tu en as un ou au pire le fumer, ça te donnera une idée. En principe, l'odeur va de paire et est aussi un bon indicateur. j'ai un vapo, pas bête en tout cas je n'y avais pas pensais pour l'odeur c'est ce qui ma attiré sur ce mâle une odeur très forte, presque piquante Maintenant, pour te donner mon avis, la seule manière de savoir si un mâle est intéressant pour un cross, y a pas 36 solutions, il faut le tester et voir ce que tu obtiens dans la descendance. tu seras obligé d'avancer en aveugle en intercroisant plusieurs mâles et plusieurs femelles choisis sur leur aspect, ce qui te donnera plusieurs lignées, puis pour chaque lignée il faudra cultiver chaque groupe de descendance pour en déduire les lignées parentales intéressantes. En gros, c'est le principe de la sélection généalogique. si je comprend bien je vais devoir vérifier chaque descendances de mâle et crée des lignées celons leur caractères identique(j'inclue juste leur aspect général ou les pheno identique) , puis sélectionner ceux qui m’intéresse(en l'occurrence après le cut et après les avoir gouté), et je continue en gardant le fonctionnement des lignées, jusqu’à avoir une stabilité sur les critères souhaités Pas simple la création d'une variété!!!! tu ne me le fait pas dire merci Lien à poster Partager sur d’autres sites
FranckyVincent 4 167 Posté(e) juin 2, 2013 Partager Posté(e) juin 2, 2013 (modifié) Salut ganaa, si je comprend bien je vais devoir vérifier chaque descendances de mâle et crée des lignées celons leur caractères identique(j'inclue juste leur aspect général ou les pheno identique) , puis sélectionner ceux qui m’intéresse(en l'occurrence après le cut et après les avoir gouté), et je continue en gardant le fonctionnement des lignées, jusqu’à avoir une stabilité sur les critères souhaités En fait, je parlais aussi bien pour le choix des mâles que des femelles. Mais vu que j'ai pas vraiment compris ce que tu voulais dire, je vais aller plus loin dans mon explication... En fait, la sélection généalogique est utilisée pour créer rapidement des lignées pures. Elle permet d'aller vers plus d'homozygotie en fixant les caractères pour lesquels les gènes considérés doivent être homozygotes dominants ou récessifs. Si le gène a besoin d'être homozygote récessif pour que le caractère s'exprime, le choix des individus est simple puisque seuls les phénotypes dont le gène est homozygote récessif afficheront le caractère. Mais si il doit y avoir dominance, le caractère sera visible aussi bien chez les homozygotes que chez les hétérozygotes. Et vu que seuls les homozygotes vont se reproduire à l'identique, le but est d'arriver à les trouver parmis les phénotypes affichant le caractère. Pour cela, normalement on fait ce que l'on appelle un croisement de contrôle, mais avec les autoflos c'est pas possible puisqu'il faut disposer de boutures. C'est pour cela que je parlais d'avancer en aveugle car il faudra cultiver la descendance et voir si le caractère est hérité ou non pour savoir si le parent utilisé est homozygote. Il faut donc répertorier les caractères pour chaque plante utilisée et essayer d'en déduire les génotypes au fur et à mesure des générations en analysant les diverses combinaisons de croisement. Un exemple; disons que pour une génération donnée, tu utilises 3 femelles et 3 mâles. Il faudra donc que chaque femelle soit pollinisée par les 3 mâles différents (en essayant de faire cela localement, sur 3 branches différentes par ex., et en essayant de ne pas "mélanger" les pollens) de manière à obtenir 3X3= 9 lignées à étudier. En cultivant les 9 différentes lignées et en répertoriant les différents caractères visibles, il faut essayer de trouver de quelle plante est hérité chaque caractère et ainsi, au fil des générations, en déduire les divers génotypes. Les premières générations étant fortement hétérozygotes, le choix des lignées de départ en est d'autant plus difficile mais plus on avance dans les générations et plus les gènes deviennent homozygotes, et plus les caractères souhaités (ou pas!) se fixent. Il faut donc conserver des graines de chaque hybridation pour pouvoir reprendre la sélection à une génération antérieure si le "chemin" emprunté n'est pas le bon. ++ Modifié juin 2, 2013 par FranckyVincent Lien à poster Partager sur d’autres sites
bloubiboulga 16 Posté(e) juillet 10, 2017 Partager Posté(e) juillet 10, 2017 (modifié) Pour répondre à la question principale : je dirais qu'étant donné que les pistils se forment et meurent de manière régulière, attendre une certaine maturité d'un plant femelle avant de commencer à la polliniser ne ma paraît pas vraiment utile. Je ferais simplement preuve de patience et laisserais faire la nature, les plantes ne sont pas des robots et ce n'est pas une très bonne idée de les pousser systématiquement au cul...Je m'intéresse au sujet car en extérieur à une latitude de 50°27', les variétés autoflorissantes s'imposent : après essai de White Widow régulières F2 en extérieur => début des signes de floraison fin août => floraison commence grosso modo le 15 août. Et finalement, c'était prévisible car, chez nous, le maïs, qui elle aussi est une plante de jour court, commence sa floraison (et donc les épis de maïs) à cette période...=> sur un astrolabe (je m'intéresse au sujet et à l'astronomie en général, et j'ai fait mon prototype sur papier transparent), la durée du jour le 15 août est d'environ 14h30, le soleil d'horizon à horizon, c'est un peu moins de 16h si on compte la durée de l'aurore et du crépuscule.=> la floraison a lieu principalement au mois de septembre et finissent mi-octobre, trop tard, températures trop basses, très risqué... A partir de Jack Flash régulières de chez SS + des automatiques d'origine inconnue reçues d'un gars (déjà croisées entre elles 2-3 fois), en pot de 7L, et en extérieur, devant ma baie vitrée pour profiter des reflets sur mes vitres uniquement quand les conditions sont favorables, pour éviter l'emploi du ventilo tant que faire se peut, et en évitant systématiquement les jours de pluie et/ou trop froid.Un mâle autoflo correct (origine inconnue, au moins la 3 génération, petite taille <60 cm, assez bien d'embranchements, production de fleurs normale.remarque : on dit des mâles qu'ils ne pètent pas du tout, je ne suis pas d'accord. Même très faible, l'effet est bien là en fumant les fleurs mâles bien développées mais pas encore ouvertes. L'effet ressemble vaguement à celui que vous auriez en prenant un dafalgan, quelque chose comme ça, relaxant, sans plus mais pas désagréable. Des 10 graines de JF : 7 germées => 2 mortes => 5 plants => flo+12 (flo+1=26/06/2017), la plus belle est mâle et condamnée à mort => 3 femelles + 1 indéterminé nain (10/07)+ pollinisation en cours avec l'autoflo mâle d'origine inconnue...A suivre...P.S. : je ne parviens pas un joindre une image, uniquement des liens http vers des images, normal ? J'ai essayé d'en rajouter via la gestion des fichiers, pas possible, je ne vois rien qui permette d'ajouter des fichiers... Modifié juillet 10, 2017 par bloubiboulga Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Aysapik Posté(e) mai 20, 2018 Partager Posté(e) mai 20, 2018 (modifié) Bonjour je poste ici pour ne pas trop disperser le gène autoflo du sujet. Je voudrais élever une population porteuse du gène autoflo de manière dégradée, l'objectif étant des plantes de taille et de vitesse de maturation variées, en conservant autant que possible les traits d'arome, puissance, etc... est il préférable de 1) partir d'une des rares souches Auto disponibles en regular et de selectionner les individus F2 remarquables sur les traits que je cherche 2) un backcross? ex Female Northern light auto @ Nirvana X Male Northern ligh photop 3) AutoXXL x FastVersion ? 4) Non, Autoflo est un trait binaire Edit: merci de votre participation, mais j'ai trouvé ce que je cherchais: GuerillaGold Modifié mai 23, 2018 par Aysapik Lien à poster Partager sur d’autres sites
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