SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 18 Partager Posté(e) octobre 18 (modifié) Yop ! Révélation il y a 12 minutes, Green-CracK a dit: Re, Yes je vois. J'avoue faudrai qu'ont tente de regrouper les topic déjà présent car il y a déjà toute ses info. Si jamais je suis assez calé dans ce sujet (moins pour m'exprimer 🤣) mais je pense qu'aujourd'hui 90% des breedeur tournent avec le sts et argent colloïdale only par fiabilité. Car tout le monde c'est bien rendu compte que la rodelisation avant fait des dégâts car donnais des souche herma, je crois il y a la gibereline(ga3) et la (colliciline ?)après qui a été utilisé vers les années 2000 et ça donnais des plantes a tendance mutantes il me semble. Puis enfin le sts et argent colloïdale qui permet de faire basculer un femelle (XX) en mâle physiquement mais sans le gène [x(Y)] donc la descendance sera forcément xx xx (régulière ou herma xx xy). Après pour les herma ça viens surtout de: Manque de stress test et certains exception auquel ont pardonne des tendances herma car la plante en question sort vraiment du lot malgré cette "tare" ont va dire. En tous cas c'est cool comme idée de remettre à jour ces vieux topic. ++ ++ Modifié octobre 18 par SweetDreamsXAE5 1 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Green-CracK 8 972 Posté(e) octobre 18 Partager Posté(e) octobre 18 il y a 16 minutes, SweetDreamsXAE5 a dit: Yop ! Révéler le contenu masqué ++ Re, Je garde ça en tête mais y'a moyen quand j'aurai vraiment du temps que j'essaie de créer un sujet qui regroupe/resume les diverses infos des différents poste déjà présent du moment qu'ont vire pas sur la génétique pure genre les lois de mendel etc ça devrait aller 🤣 ++ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
randy march 2 506 Posté(e) octobre 18 Partager Posté(e) octobre 18 Plop, il y a une heure, Green-CracK a dit: Oula Non pas obsolète non plus mais peut être juste préciser que c'est les méthode et retour de l'époque par ex pour la rodelisation (1eres fem) puis qu'après il y a eut de nouvelles techniques d'aujourd'hui comme il fait allusion (ga3,sts) donc pas a suppr car ça reste assez vrai et bon a savoir. Yes, quand on tombe dessus pour la première fois cette lecture donne clairement pas envie d acheter une feminisee... juste préciser que les fem de maintenant sont bien plus fiable suffira. il y a une heure, Green-CracK a dit: C'est délicat de trop y toucher car c'est limite une bible sur beaucoup d'anciennes connaissance mais toujours utile mine de rien ce poste☺️ Après effectivement ajouter une multitude de news cross ont risque de pas en voir le bout 😄 ++ La charpente du forum... Quelques news cross dans la liste c est pas mal quand tu es novice t es rassure par le fait de prendre une variété chez un breeder listé dans le guide mais point trop n en faut. il y a 51 minutes, Green-CracK a dit: En tous cas c'est cool comme idée de remettre à jour ces vieux topic. Grave mais le peut que j entrevois il y a un travail de malade.😄 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Glass-Blower 7 168 Posté(e) octobre 18 Partager Posté(e) octobre 18 (modifié) Le 10/10/2024 à 19:46, SweetDreamsXAE5 a dit: Concernant le chapitrage/organisation ! : La section culture avancé !?! [ https://www.cannaweed.com/guides/culture-avanc-e/ ] : la plupart des sujets devrait ( celons ma logique) être dans la section "La culture" [ https://www.cannaweed.com/guides/la-culture/ ] soit la "base" des trucs a savoir (température, humidité etc etc ...) Y'a donc ( a mon humble avis) une grosse réorganisation des guides à faire pour la clarté des infos Yop ! ça ça me parait avoir une certaine logique , tu ouvres le guide culture tu te retrouve avec un tas de guide de quoi effrayer n'importe quel débutant . donc en gros on parle de la culture de base , si tu fais ta culture en hydro , en terre , en coco , l'arrosage ne sera absolument pas le même donc ce qui compte c'est de savoir ce qu'il se passe en floraison , en stretch etc sans aller dans ces détails . Par contre on va te dire quel climat il faut , taux d'humidité etc ....de base mais pour aller plus loin : culture avancée . Tu peux faire ça pour tout même la lumière "on s'en fou" de ce que t'utilise pour la la germi / le strecth etc .... on va préciser des spectres ou même tout simplement "eclairage croissance " / "eclairage special floraison etc ..... pendant qu'on parle des périodes de culture , mais en culture avancée on va aller dans les types d'éclairage , les distances , les qualités , les spectres .... UV etc .... on va "avancer" plus loin .... Si tu ajoutes tout ça au débutant il va péter une pile je pense direct y'aura trop de guide lui il veut juste savoir "comment cultiver "en gros "" ^^ C'est une fois que tu as capté les "principes de base" de la culture que tu peux ensuite aller dans les détails de chaque détail 😝 Et je pense que c'est pas mal même de partir de ce principe pour chaque section , tu commences par la base , mise en avant dans TOUT , d'ailleurs tu vas dans comprendre CW ... tu as la section "aller plus loin" .... c'était déja l'idée ...mais là faudrait mettre quelques exemples dans le titre "anonymat / photo / fichiers exif etc .... mais la base c'est la charte et comment poster .... avant le reste .. Après oui la plupart des guides ... perso je pense faut pas les "refaire" dans le sens les modifier mais en refaire des nouveaux , les mettre en avant et laisser accessibles mais en retrait les anciens , en les citant dans les nouveaux même souvent par respect par ceux qui ont été les premiers à donner les infos . Et c'est cool pour celui qui s'est cassé la tête à faire le guide il est signé de son pseudo ....la pseudo récompense .... Guide créé par moi en me servant de tel guide , voir de tel post , de tel JDC etc .... là encore y'a l'idée de pouvoir aller plus loin , mais ce coups ci dans le temps ... 😝 Tout ça ce n'est qu'un sentiment perso .... après tout y'a plein de façons de faire hein du moment qu'on trouve les infos ! et qu'elles sont d'actu 👍 J'étais persuadé d'avoir refait le guide signature ...surement l'ancienne version dans un sujet quelque part ...ou alors j'avais trop fumé encore 😆 En tout cas merci d'avance à ceux qui s'y mettront y'a du taf ça prend du temps , surtout si les guides sont longs ne pas hésiter à créer des lexiques , pareil quand on cherche ça evite de faire "page suivante ....page suivante ^^" hop on met le chapitre en lien et direct sur l'info ... My 2 cents ✌️! @+! bon grow ! Modifié octobre 18 par Glass-Blower 4 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Indi-Punky 18 433 Posté(e) octobre 18 Partager Posté(e) octobre 18 il y a une heure, randy march 2 a dit: Yes, quand on tombe dessus pour la première fois cette lecture donne clairement pas envie d acheter une feminisee... juste préciser que les fem de maintenant sont bien plus fiable suffira. Re, Sinon on fait l'inverse. en début de poste on mets l'explication des fems actuels et ensuite en spoiler l'histoire de la féminisation ou on reprend le passage sur les fems caca. etc? Citation 1.2.1. Féminisées Les graines féminisées sont issues d'un procédé de féminisation. Ce procédé consiste en un traitement hormonal qui va permettre à une femelle pure de produire des fleurs staminées femelles. Ces fleur staminées femelle vont ensuite servir à polliniser une autre femelle pure. En gros, on croise une femelle avec une femelle, le résultat est... une femelle ! Du moment que les femelles utilisées sont bel et bien des femelles (et pas des hermas "cachés"), les graines obtenues seront elles aussi femelles. Citation Pour faire les premières graines dites "féminisées", on utilisait un plant hermaphrodite (il s'agit en réalité de monœcie, ce qui n'est pas la même chose). Cet "herma" est en général à très forte tendance femelle (seul quelques fleurs mâles sont visibles) et va polliniser une femelle. Les graines issues de cette pollinisation risquent donc de donner de l'herma. En clair, avec des graines féminisées vous risquiez fortement de vous retrouver avec un bon tas de graines si vous n’étiez pas vigilants. De plus il était déconseillé de faire des pieds mère avec des graines issus de ce procédé, des fleurs mâles pouvant apparaître plusieurs sessions plus tard sur les clones issus de ces plantes mères. Pour conclure, les graines féminisées étaient bien souvent 2 fois plus chères que des graines regulars, risquaient de polliniser la totalité de votre placard et ne permettaient pas de sélectionner un pied mère digne de ce nom. Amusant non ? il y a 27 minutes, Glass-Blower a dit: J'étais persuadé d'avoir refait le guide signature ...surement l'ancienne version dans un sujet quelque part ...ou alors j'avais trop fumé encore 😆 C’était prévu, mais tu n'as pas eu le temps. En tout cas merci tout le monde, on va grâce a vous faire revivre tout ca^^ 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites
SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 18 Partager Posté(e) octobre 18 (modifié) Yop ! Révélation il y a 46 minutes, Glass-Blower a dit: Yop ! ça ça me parait avoir une certaine logique , tu ouvres le guide culture tu te retrouve avec un tas de guide de quoi effrayer n'importe quel débutant . donc en gros on parle de la culture de base , si tu fais ta culture en hydro , en terre , en coco , l'arrosage ne sera absolument pas le même donc ce qui compte c'est de savoir ce qu'il se passe en floraison , en stretch etc sans aller dans ces détails . Par contre on va te dire quel climat il faut , taux d'humidité etc ....de base mais pour aller plus loin : culture avancée . Tu peux faire ça pour tout même la lumière "on s'en fou" de ce que t'utilise pour la la germi / le strecth etc .... on va préciser des spectres ou même tout simplement "eclairage croissance " / "eclairage special floraison etc ..... pendant qu'on parle des périodes de culture , mais en culture avancée on va aller dans les types d'éclairage , les distances , les qualités , les spectres .... UV etc .... on va "avancer" plus loin .... Si tu ajoutes tout ça au débutant il va péter une pile je pense direct y'aura trop de guide lui il veut juste savoir "comment cultiver "en gros "" ^^ C'est une fois que tu as capté les "principes de base" de la culture que tu peux ensuite aller dans les détails de chaque détail 😝 Et je pense que c'est pas mal même de partir de ce principe pour chaque section , tu commences par la base , mise en avant dans TOUT , d'ailleurs tu va dans comprendre CW ... tu as la section "aller plus loin" .... c'était déja l'idée ...mais là faudrait mettre quelques exemples dans le titre "anonymat / photo / fichiers exif etc .... Après oui la plupart des guides ... perso je pense faut pas les "refaire" dans le sens les modifier mais en refaire des nouveaux , les mettre en avant et laisser accessibles mais en retrait les anciens , en les citant dans les nouveaux même souvent par respect par ceux qui ont été les premiers à donner les infos . Tout ça ce n'est qu'un sentiment perso .... après tout y'a plein de façons de faire hein du moment qu'on trouve les infos ! et qu'elles sont d'actu 👍 J'étais persuadé d'avoir refait le guide signature ...surement l'ancienne version dans un sujet quelque part ...ou alors j'avais trop fumé encore 😆 En tout cas merci d'avance à ceux qui s'y mettront y'a du taf ça prend du temps , surtout si les guides sont longs ne pas hésiter à créer des lexiques , pareil quand on cherche ça evite de faire "page suivante ....page suivante ^^" hop on met le chapitre en lien et direct sur l'info ... My 2 cents ✌️! @+! bon grow ! Yep il ya aucune révolution majeur a faire sur le fond je suis d'accord. A la notable exception de tout ce qui touche a la LED qui mérite une création a partir de zéro : différentes technologies, tout ce qui touche a la lumière ( ppfd , μmol , DLI ). Les HPS/MH étant maintenant plutôt une technologie en voie de disparition mérite également une remise en perspective vis a vis des LED, de même tout ce qui touche a la techno "néon" est sur la voie de l'extinction. Mais aussi les guides ont mal vieilli : les infos sont datés, les images dépassés , les technos ou connaissances ont beaucoup évolués et mérite donc d'être rafraichis. Voir tout simplement les guides sont mal mis en page / incomplet vis a vis des infos 2024. Je pense qu'il faut faire preuve de pédagogie comme tu le dis, en proposant de guides de différents niveaux de compréhension ( la répétition fait l’apprentissage) et localisé dans différentes sections, pour faire en sorte de créer un "parcours" d'apprentissage. Par contre après plus de 10 ans d'existences, une remise a plat / en question me parait aller dans le sens de la postérité du forum. Après perso je pense qu'un guide placé dans "Techniques avancés" dans lequel tu retrouve des infos ultra basique a peine évoqué dans le guide "Avant de commencer" ne va pas dans le sens de la clarté : pas nécessairement besoin de les relocaliser mais au minimum faire en sorte d'aborder les notions basiques dans la section "avant de commencer" histoire de renforcer la pédago'. |Edit : a minima des liens plus systématiques entre les différents guides pourrait être une bonne idée] Tout n'est pas a refaire mais tant qu'a remuer le bassin autant faire appel a l'intelligence collective pour remettre en question l'ancien monde et proposer quelque chose de plus actuel avec un chemin intellectuellement plus logique ou a minima plus travaillé. ++ Modifié octobre 18 par SweetDreamsXAE5 3 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Maledikchaouch 378 Posté(e) octobre 19 Partager Posté(e) octobre 19 Bonjour bonjour ! Ca faisait bien longtemps que je n'avais pas fait un tour sur les guides et un petit rajeunissement (technique et mise en page) fera du bien. Sacré chantier en perspective ! SI jamais je tombe sur un truc à rafraîchir, je fais suivre/soumets ici. Dans le chapitre sur les acronymes, est-ce bien nécessaire d'avoir les variétés ? Je trouve que c'est plutôt accessoire et que cela surcharge pour pas grand chose alors que le guide demanderait à être enrichi d'éléments non utilisés à l'époque de sa rédaction (DLI par exemple). Pas vraiment des acronymes, mais puisque présence de NPK, rajouter les éléments les plus courants serait bien. Une paire d'yeux est à disposition si un besoin de relecteur se faisait sentir. Merci à vous et au boulot😅 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Glass-Blower 7 168 Posté(e) octobre 19 Partager Posté(e) octobre 19 (modifié) Re , Il y a 8 heures, Indi-Punky a dit: C’était prévu, mais tu n'as pas eu le temps. Je ne sais plus , j'ai juste le souvenir d'avoir fais les captures d'ecran , les encadrement en rouge etc .... je pense aussi que parfois on mettais ça dans un sujet mais on zappait , manque de temps c clair pour les passer en guide .On peut retrouver des captures de @-scrog- à plusieurs reprises mais dans des sujets par exemple , il avait lui aussi fait des captures etc ....bref ... 😝 Pour les fem , d'où l'intérêt de refaire vraiment sinon ça va être compliqué ou c'est bien dommage de zapper des choses anciennes , il suffit en intro de raconter l'histoire sur la façon de les faire sans aller dans les détails mais en mettant les liens au cas ou : "Au début (date / periode ) on faisait les fem comme ci comme ça mais la fiabilité n'était pas toujours au rdv , aujourd'hui les techniques le plus fréquemment utilisées sont , les plus éprouvées sont" ... " En gras tu mets vers les liens des anciens guides . Et il suffit de faire ça pour chaque . Il y a 8 heures, SweetDreamsXAE5 a dit: Tout n'est pas a refaire mais tant qu'a remuer le bassin autant faire appel a l'intelligence collective pour remettre en question l'ancien monde et proposer quelque chose de plus actuel avec un chemin intellectuellement plus logique ou a minima plus travaillé. Bah si les HPS et Néons sont dépassés il faut donc bien refaire les guides .... mais par contre tu auras toujours des gens qui vont cultiver dans des garages ou zones plus froides et il reste absurde de mettre des led et ajouter un chauffage ....pour avoir été dans cette situation depuis des années c clairement encore possible d'utiliser des HPS .... donc ça ne doit pas disparaitre de la section éclairage non plus .... (il devrait d'ailleurs y avoir un guide sur la culture en climats difficiles ou il y aura justement les liens vers les types d'éclairage ( les questions sur ce sujet c'est souvent ^^ ) Je vois pas le côté "intellectuellement logique" ...je vois pas e que ça veut dire , la pédagogie est là pour donner envie et pas freiner le débutant , la personne qui veut savoir comment on cultive tout simplement comme déja dis . Si tu fais de l'exte tu t'en fou de la lumière , du climat etc .... la culture c'est la culture , la base . La plupart des gens vont commander un panneau pour cultiver avant même parfois d'être inscrit sur CW 😝 Ensuite tu as la seconde section pour aller justement dans les détails suivant ce que tu fais , la personne qui fait de l'exte ira dans la section culture extérieur , voir organique , voir no till etc ..... mais les détails sur la led elle va s'en cogner ..... et l'arrosage ça sera pareil ça sera en fonction de si elle est en pot ou en pleine terre , de la région etc ....tout cela doit être précisé 1 fois dans le guide culture exte et aussi dans le guide arrosage . Tu as aussi une autre approche c'est de chercher avant de cultiver comment tu vas faire , et là c'est intéressant de partir sur les section culture avancée comme ça tu peux avoir accès directement à toutes les façon de faire en intérieur , a tous les façons de faire en type d'engraissage , en type de lumière ....en serre , en exte ....comme sur les pépins , en reg en fem en auto ...... Après je répète je répond juste au questionnement de pourquoi c'est comme ça je dis pas qu'il ne faut pas que ça change ....mais je vois pas de ce qu'il y a de intellectuellement illogique dans ce que j'explique ^^ Mais faut pas hésiter aussi a chercher des sujets qui existent déja ou plusieurs sujets (pour les leds y'en a des tas à trier ) les infos sont souvent déja là il faut juste les condenser , les mettre en page et les passer en guide . ++ Modifié octobre 19 par Glass-Blower 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Glass-Blower 7 168 Posté(e) octobre 19 Partager Posté(e) octobre 19 (modifié) Re , Je refais un post pour la visibilité , je me suis permis de refaire l'arborescence des guides mais en plus lisible et avec les details : Révélation Comprendre Cannaweed Charte de Cannaweed -Règles à respecter sur Cannaweed Poster sur le forum -Aide à la recherche google pour débutants. -Guide du super boulet ! -L'orthographe ou l'impossible rêve -Comment présenter un journal de culture (JDC) correctement ? -Lexique -Acronymes -Premier pas sur Cannaweed Pour aller plus loin.. -Renforcer Sa Vie Privée Sur Cannaweed ! -Comment utiliser sketchup pour modéliser vos placo en 3d ? -Comment atténuer les bandes noires qui apparaissent sur les photos prisent sous hps ? -Comment mettre en ligne des vues à 360° -Comment modifier facilement la taille de vos photos par lot ? -Comment surfer de manière anonyme et intracable sur internet ... Autour du cannabis Législation du Cannabis -Législation européenne (maj 2014) Risques, Prévention. -Comment gerer son bad trip, ou le blanc de a à z ? -Prévention et réduction des risques Avant la culture Choix de variétés, histoire etc -Réussir sa culture d'auto floraison -En savoir plus sur les variétés par Moricio -DJ Short : Sa vie, son oeuvre -Différences entre Indica et Sativa -Les différentes utilisations du cannabis -Histoire du cannabis -Histoire des Variétés -AutoFlo, féminisé ou régulière : Choisir utile Exemples de culture -How to scrog: HPS400w, terre, Ice -Culture classique pour débutants : Suivi d'une culture de A à Z -La culture: de l'achat à la récolte... Pour bien démarrer -La culture indoor pour débutants -Comment réduire les bruits indésirables de vos cultures indoor -La culture pour les nuls ! -Livre cannaweed DONE + bonus Marijuana Grower's Insider's Guide => 1400 pages -Par où commencer ? -Les dangers à éviter en culture indoor -Une première culture indoor ? comment investir ? le guide du placo pour les radins Terre / Coco -Ma première culture en coco, guide et liens -La culture en coco -Préparer son mélange de terre/terreau -La Culture en fibre de COCO Hydroponie -Bien débuter en Autopot -Les différents systèmes hydroponiques -L'hydroponie pour les débutants ! -Le rôle des filtres biologiques en cultures hors-sol Aéroponie -Aéroponie : Tout savoir sur l’aéroponie. -L'aéroponie Haute Pression (TAG) Outdoor -Bomberseeds / Seedballs / Boulettes d'argile Issues de l'Agriculture Naturelle & de la Guerilla Urbaine -La culture Outdoor -Comment camoufler son outdoor ? -La culture en Guérilla -Mettre en place un arrosage automatique en OUTDOOR Bricolage DIY Électricité -Sonde ventilé -L'éléctricité dans nos placards -Pour ne pas "coller" les programmateurs. -Branchements électriques, ballast, calibrage des testeurs et autres calculs Éclairage -La lumière horticole-Lumen/Kelvin/PAR -Quelle lampe pour faire pousser ? -Rail Light, Électronique , Mécanique , Réparation -Fabrication d'un reflecteur type Adjust A Wing (pour MG) -Fabrication d'un Adjust A Wing home made -Le réflecteur ventilé -Ballast électronique: Dimmage et compatibilité des ampoules MH -Fabriquer un panneau Led 40W LowCost (~60€) -Les néons -Fabriquer un reflecteur style adjust a wing avec deux reflecteur 1er prix -Les diodes électroluminescentes : DEL ou LED (Light Emitting Diode) -HPS/MH Choix de puissance d'éclairage en fonction du volume. Système de culture -Monter sa ligne d'irrigation automatique -DIY confection express de pots géotextile (type smartpot) -Fabriquer un bubbler -Tutoriel - Aéroponique Haute Pression maison (guide intégral - pas à pas) -[TUTO] système hydro évolutif home-made by thc -Fabrication d'une bouturette Hydro et ultraponie -Fabrication d'un systeme hydroponique à table a marée -Guide copie cloneur aerosonix -Fabriquer un pot hydro passif maison avec presque rien! -Fabriquer un systeme hydroponique avec bulleur. -Fabriquer un systeme hydroponique avec bac percolation -Fabriquer une bouturette Hydroponique avec un seau Ventilation, extraction, filtration -Isolation acoustique -[Tuto] Réflecteur ventilé / Cooltube: généralités/choix/branchement/montage -Réguler la vitesse de son extracteur à moteur asynchrone -Les odeurs et comment les éviter ? -Problème de chaleur ? -Branchement de ventilateurs helicoidaux type Sunon, pc -Filtre à charbon, gros débit, petit prix ! -Recharger son Filtre à Charbon (FAC) -Caisson d'extraction sur double fenêtre -Tuto 3D Création Caisson Insonorisé Rvk -Choisir l'intraction et l'extraction Placard de culture -Petit Exemple De Placard Discret -Eternal Box (Tout en 1 de A à Z, FLO + CRO + Sechage) [Arrosage auto, Evacuation d'eau, Extraction maison insonorisée, Chambre de sechage, FAC ETC] -Placard PM / Boutures - 4 étages -Fabrication d'un placard HPS/Cooltube/extra/sonde -Fabrication d'un espace croissance mères/boutures -Construire son box de culture (homebox, grow box) Divers -Hashmaker 0€ -Fabrication d'un Hashmaker maison -Tuto DiY - La box connectée - Système de monitoring à distance -DIY réservoir d'eau osmosée à remplissage automatique. -Optimisation pour brumisateur ultrasonique -Parapluie + bouée Brumisateur -Hydroponie: Fabrication d'un mélangeur magnétique -Tuto brumisateur remplissage automatique -BIO Filtre fait maison -Hydroponie : système de vérification à distance -Fabrication d'un polinator -Plateau de maintenance / scrog à roulettes -Réalisation d'un dissipateur pour solutions nutritives thermique -en construction - -Cave d'affinage pour le Hash La culture Germination -La germination -Le marcottage rotatif. -Comment et pourquoi conserver ses graines ? 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Partie deux : le Budder Organique -E-Cig "double i" de BHO / Huile - DIY -Comment faire du Jelly Hash en moins de 1H -Fabrication d'huile avec de l'alcool à 90° -Extraction Sans Solvant: le Rosin -BHO simple et pas cher Roulage, collages et matériel -Les Blunts... -Comment retirer la nicotine du tabac ? -Comment rouler ? -Et Toi C'est Quoi Ton Filtre? -Faire pousser son propre tabac -Comment consommer de l'huile sur une cigarette. -Les blunts, c'est quoi ? Pipes, bangs et chillums -D'un bon vieux pied de beuh, un bon chillum. -Comment fumer le narguilé ? Vaporisation -Bien utiliser son vaporisateur - technique d'inhalation -Petit manuel de la vaporisation -Da Vinci Vaporisateur -Magic flight launch box -IMAG + -MIGHTY de Storz et Bickel -Arizer Extreme Q -Herborizer Ingestion -Le Petit Guide de la Cannacuisine -Décarboxylation du THC et du CBD – Activer le cannabis. -Compléments sur le guide cuisiner avec le cannabis? 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(DOUBLON) Prédateurs -Cochenille -Les tarsonèmes -Araignées rouges (2) -Les insectes -Pucerons -Lutter contre les araignées rouges -Les thrips description et lutte -Les aleurodes ou mouche blanche . -La Lutte contre les Insectes, [Complément] Maladies-Moisissures -Les maladies Cannabis thérapeutique Associations et contacts -UFCM - L’Union Francophone pour les Cannabinoïdes en Médecine -NORML France -Plus belle la nuit -IACM - l'Association Internationale pour les Cannabinoïdes en Médecine -ASUD - Association pour l'Auto Support des Usagers de Drogues -CIRC - Collectif d'information sur la recherche cannabique -ENCOD - La Coalition Européenne pour des politiques justes et efficaces en matière de drogues -Cannabis College -Hash Marijuana & Hemp Museum -Principes Actifs -CJC : Consultations Jeunes Consommateurs Variétés et applications -Élixir de cannabis par James Freire, -Crème au cannabis -Larme de Phoenix (Phoenix Tears) par Rick Simpson ++ Modifié octobre 19 par Glass-Blower 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 19 Partager Posté(e) octobre 19 (modifié) Yop Nom du guide à modifier: Différences entre Indica et Sativa Lien vers le guide concerné: Partie originale à modifier : remise en page, enrichissement, modification du titre " Indica, Sativa, Hybride et Ruderalis " Modification proposée : Différences entre Indica, Sativa et Ruderalis Dans cette présentation, nous explorerons les différentes espèces et sous-groupes de cannabis. Chacune de ces espèces et sous-catégories possède des caractéristiques uniques en termes de culture, d'effets et d'adaptabilité, que nous allons examiner en détail. Introduction Officiellement, toute plante de chanvre est du Cannabis Sativa L. L pour Carl Von Linné, nom du célèbre botaniste En réalité (du moins il est plus simple de le voir comme cela), il existe trois espèces de cannabis : Sativa Indica Ruderalis [ "Auto" / Autofloraison] Les croisements entre Indica et Sativa sont appelés "Hybrides". Les croisements à base de Ruderalis sont appelés "Automatiques" (floraison non photopériodique). On appelle "Landrace" les variétés génétiquement "pures" : existant naturellement à l'état sauvage et jamais croisées par l'homme. 1. Cannabis INDICA 1.1 Origine C'est une espèce qui vient d'Asie orientale. On la retrouve parfois sur les pentes de l'Himalaya. Sa floraison est assez avancée dans l'année vu qu'elle doit, à l'origine, se reproduire avant l'hiver rigoureux. 1.2 Description Conseils : En Indoor, nous privilégierons des plantes de type Indica ou de croisement majoritairement Indica. Taille réduite, plante trapue en forme de buisson et floraison courte sont des atouts pour une culture en placard. De plus, leur temps de floraison généralement court est un avantage, encore une fois, cela se traduit par une plante qui n'excédera pas trop en hauteur. Car n'oublions pas que nous sommes justement limités en hauteur, non seulement par la taille de l'espace, mais également par la "réelle" pénétration lumineuse de nos lampes. 1.3 Effets Les indicas produisent un effet que l'on qualifie de stone, c'est-à-dire un effet plutôt corporel et lourd, tendant parfois vers le soporifique. Idéal pour une consommation en soirée. Leur effet stone vient d'un fort taux de CBD et CBN , qui combinés au THC donnent cet effet stonant voire narcotique. . Note : Il ne faut pas se baser uniquement sur le taux de cannabinoïdes, car l'effet d'entourage joue un rôle essentiel. Cette synergie entre cannabinoïdes et terpènes, propre à chaque souche ou génotype, confère à chaque variété son caractère unique. Les variétés landraces, ( principalement mais pas uniquement Sativas) , bénéficient fortement de cet effet d'entourage, ce qui leur confère des effets très puissants et distincts, même si leur taux de cannabinoïdes n'est pas élevé sur le papier. 1.4 Exemples Voici, pour illustrer, des variétés 100% indicas : Afghani Black domina Master kush Mazar Pour rechercher une variété : > SeedFinder Pour choisir une variété : > Topic Unique] quelle(s) variété(s) choisir ? 2. Cannabis Sativa 2.1. Origine C'est une espèce que l'on aura plutôt tendance a trouver en Afrique et dans les zones équatoriales (Thaïlande, Cambodge, Jamaïque...). Elle fleurit assez tard dans la saison. 2.2. Description Conseils : En Indoor, nous éviterons les plantes Sativa ou de croisement majoritairement Sativa. Les sativas continuent en général à croître pendant la floraison, atteignant souvent 200% à 300% de leur hauteur de croissance, voire plus. La raison en est que dans les régions équatoriales, la différence entre le nombre d'heures de lumière en hiver et celui en été n'est pas très grande. Aussi, dans leur environnement d'origine, les Sativas croissent et fleurissent simultanément. Ainsi, si cultivé en intérieur, il est important de passer ces plants en floraison relativement tôt. 2.3. Effets Les Sativas produisent un effet que l'on qualifie de high, c'est-à-dire un effet plutôt cérébral, motivant. Leurs effets High viennent d'un faible taux de CBD et un fort taux de THC et THCV ( pour certaines également du THCP) qui donnent cet effet très clair, euphorique voire psychédélique pour certaines. Note : Il ne faut pas se baser uniquement sur le taux de cannabinoïdes, car l'effet d'entourage joue un rôle essentiel. Cette synergie entre cannabinoïdes et terpènes, propre à chaque souche ou génotype, confère à chaque variété son caractère unique. Les variétés landraces, notamment les Sativas, bénéficient fortement de cet effet d'entourage, ce qui leur confère des effets très puissants et distincts, même si leur taux de cannabinoïdes n'est pas élevé sur le papier. 2.4. Exemples Voici, pour illustrer, des variétés 100% Sativas : Acapulco gold Cambodgienne Durban poison Thai Pour rechercher une variété : > SeedFinder Pour choisir une variété : > Topic Unique] quelle(s) variété(s) choisir ? 3. Cannabis Hybride Les hybrides sont des plantes issues de croisement Sativa/Indica qui permet de combiner le meilleur des traits spécifiques des variétés Sativa et Indica comme le goût, la structure, la durée de floraison, le rendement, la résistance aux maladies, etc 3.1 Origine Elle commence par la création d'une variété légendaire que tous connaissent : la SKUNK #1 La Skunk est une variété de cannabis sélectionnée pour la première fois aux États-Unis dans les années 70. Alors que d’innombrables sélectionneurs ont créé pléthore de variétés Skunk depuis lors, la création de la Skunk originale est attribuée au sélectionneur David Paul Watson, plus connu sous le nom de Sam the Skunkman. Avec les célèbres Haze Brothers et d’autres cultivateurs/sélectionneurs de l’époque, Sam a joué un rôle central dans l’hybridation du cannabis : une pratique aujourd’hui considérée comme standard. Sous le nom de Sacred Seeds Collective, Sam et un groupe d’autres cultivateurs ont produit les premières variétés hybrides de cannabis au monde et la désormais iconique Skunk #1, que beaucoup considèrent comme la première variété de cannabis hybride à haute puissance. Avant cette date, la sélection du cannabis en était encore à ses balbutiements et la plupart des cultivateurs n’envisageaient pas vraiment l’idée de croiser différentes plantes et de rechercher/stabiliser des phénotypes comme on le fait aujourd’hui. Sam a créé sa Skunk #1 grâce à un processus méticuleux de croisement de Colombian Gold et d’Acapulco Gold, deux variétés Sativa landrace issues respectivement de Colombie et du Mexique avec une indica landrace Afghani. Il a créé et commencé à commercialiser la variété alors qu’il vivait dans sa ville natale de Santa Cruz, en Californie, mais la Skunk #1 a vraiment pris son envol lorsqu’il s’est installé à Amsterdam à la suite d’une descente de police chez Sacred Seeds en 1982. Aujourd’hui encore, la Skunk est réputée pour sa stabilité et sa résistance, ainsi que pour son arôme « dank » qui combine des notes de caoutchouc brûlé, des notes amères de fromage et de terre avec une touche épicée, herbacée et presque houblonnée. 3.2 Description En fonction du pourcentage Indica / Sativa et du travail de sélection, leurs caractéristiques sont très variables et ne peuvent pas vraiment être décrites de manière générale. Il faudra cependant noter que la qualité du travail d'hybridation et de sélection est très variable en fonction du Breeder (créateur de variété). De plus, un certain nombre de variétés créés ces dernières années utilisent des génétiques instables ayant une tendance à l'hermaphrodisme. Prenez donc bien le temps pour sélectionner vos graines en vous renseignant bien sur la souche. Conseils : En Indoor, il conviendra de bien se renseigner sur la variété hybride afin de s'assurer que celle-ci soit adaptée pour la culture en placard. 3.3. Effets En fonction du pourcentage Indica / Sativa et du travail de sélection, leurs effets sont très variables et ne peuvent pas vraiment être décrits de manière générale. Note : Il ne faut pas se baser uniquement sur le taux de cannabinoïdes, car l'effet d'entourage joue un rôle essentiel. Cette synergie entre cannabinoïdes et terpènes, propre à chaque souche ou génotype, confère à chaque variété son caractère unique. 3.4. Exemples Voici, pour illustrer, des variétés Hybrides : Skunk #1 Amnesia Bubble Gum Diesel Pour rechercher une variété : > SeedFinder Pour choisir une variété : > Topic Unique] quelle(s) variété(s) choisir ? 4. Cannabis Rudelaris [ Fast / Autofloraison ] De nos jours, cette espèce de cannabis est utilisée en croisement avec des Indica / Sativa afin de créer deux types de cannabis : => Autoflorissant (sans modification de la photopériode) que l'on appelle donc "Automatique" ou "Auto" pour faire court. => Fast : qui fleurissent plus rapidement que leurs homologues non croisés. 4.1. Origine Le Ruderalis est une variété non cultivée originaire de Russie, d'Europe centrale et d'Asie centrale, adaptée aux milieux plus rudes qu'on trouve dans ces régions du monde. Cette souche a été identifiée scientifiquement pour la première fois en 1924 par le botaniste russe Janischewski dans les régions sauvages du sud de la Sibérie. C'est au début du XXe siècle que la première variété commerciale de cannabis autoflorissante a vu le jour sous la main d'un éleveur canadien passionné appelé The Joint Doctor. Élevé dans une ferme, il a montré dès son plus jeune âge un intérêt et une passion pour les plantes, mais aussi pour l'herbe, et dans ses dernières années de lycée, il pouvait déjà se vanter d'avoir les meilleurs bourgeons de la région, cultivés par lui-même. Peu de temps après, et déjà à l'université, The Joint Doctor (TJD) a commencé à cultiver du cannabis dans un petit espace de sa chambre. C'est à cette époque qu'il s'est rendu compte que de nombreux cultivateurs avaient besoin de plantes adaptables à la culture dans de petits espaces, généralement en intérieur ; tous les fumeurs de joints n'ont pas une ferme et un terrain où ils peuvent planter tout le cannabis dont ils ont besoin ! Après un certain temps, un ami rastafari mexicain de TJD nommé Antonio lui a donné des graines d'une herbe appelée Mexican Rudy. Notre protagoniste les a rapidement fait germer, car il savait qu'Antonio cultivait et collectait des graines depuis plus de 30 ans et que ses fleurs déçoivent rarement qui que ce soit. Mexican Rudy s'est avéré être une plante compacte, de petite taille et à floraison rapide, plus tôt que toutes les variétés que TJD avait cultivées auparavant. En enquêtant un peu plus à son sujet, il a découvert qu'il s'agissait - probablement - d'un croisement entre Ruderalis (d'où le « Rudy » dans son nom) de Russie et une plante mexicaine réalisée dans les années 70, soit à l'Université du Mississippi, soit à Ottawa. Bien qu'il ne s'agisse pas de l'herbe la plus puissante qu'il ait jamais goûtée, Mexican Rudy permettait à ses cultivateurs de profiter de magnifiques têtes en plein été, à une époque où les variétés « traditionnelles » n'avaient même pas commencé à fleurir. Un avantage de taille, sans aucun doute ! Fidèle à son idée d'obtenir de nouvelles variétés adaptables à la culture en intérieur, compactes, à floraison rapide et puissantes, TJD a commencé son aventure en croisant Mexican Rudy avec l'une des stars de son jardin, une Northern Lights #2 qu'il a conservée pour sa forte production, sa puissance et sa petite taille. Les descendants de ce premier croisement (comme nous le savons maintenant) n'ont pas donné naissance à des spécimens autoflorissants, mais TJD a observé que les plantes étaient plus rapides que sa NL #2 originale. Étant récessif, le gène autoflorissant ne s'exprime pas dans la première génération filiale, ce que TJD ne savait pas à l'époque. Loin de se décourager, TJD décide de croiser quelques graines F1 obtenues à partir de ce premier croisement avec une autre de ses plantes préférées, une magnifique William's Wonder. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque les rejetons de ce second croisement donnèrent naissance à des plantes qui fleurissaient même en photopériode de croissance ! Le gène récessif était de retour dans l'équation, et heureusement TJD conserva des graines de toutes les plantes concernées, ce qui lui permit de stabiliser le gène autofloraison dans son projet. Les piliers de la légendaire variété de cannabis Lowryder venaient d'être fondés, la première variété 100% automatique à apparaître sur le marché. Note amusante : le nom de la variété vient du magazine automobile préféré de TJD, Lowrider, qu'il avait baptisé lors d'une séance de lecture matinale sur son "trône de porcelaine". Depuis la première apparition hésitante de Lowryder sur le marché, les choses ont bien changé dans le panorama des variétés de cannabis autofloraison. Peu à peu, le grand public a pris conscience des énormes avantages que ce type de graines représentait pour de nombreux cultivateurs [ pour les cultivateurs outdoor des zones tempérées ] . Quelque chose qui, logiquement, n'est pas passé inaperçu auprès des éleveurs, des producteurs et des banques de graines, qui ont rapidement voulu proposer également des variétés présentant cette caractéristique intéressante dans leurs catalogues. Ainsi, nous avons rapidement pu profiter de meilleures variétés automatiques, qui ont à leur tour remplacé les premières utilisées (comme Lowryder) pour la création de nouvelles autos plus puissantes. Les cultivateurs qui voulaient faire 2, 3 ou même 4 récoltes par an ont pu le faire à partir de graines, et ceux qui avaient un jardin ou un balcon avec beaucoup de pollution lumineuse ont pu satisfaire leurs envies de culture sans aucun problème. Enfin, la génétique Ruderalis a également permis aux éleveurs de créer des versions photopériodiques plus rapides d'autres variétés, appelées "Fast", en profitant de cette première génération filiale qui naît du croisement entre une plante photodépendante et une auto. Il en résulte des versions qui restent très fidèles à la mère photodépendante d'origine, mais qui réduisent leur période de floraison entre 1 et 2 semaines lorsqu'elles sont croisées avec une variété automatique. 4.2. Description Le cannabis ruderalis a une très faible teneur en THC, ce qui signifie qu'il ne provoque pas d'effets notables. Cependant, le ruderalis est intéressant pour créer des variétés hybrides auto-florissantes ou "Fast" riches en principes actifs par croisement avec d'autres variétés Indica et/ou Sativa. Les plantes Autoflorissantes sont proches de leurs versions photoperiodiques mais avec quelques caractéristiques distinctes, bien qu'avec le travail de sélection et d'hybridation de ces dernières années cela soit de moins en moins vrai : Elles sont plus compactes et ont un potentiel THC inférieur. En indoor pour atteindre leur plein potentiel il est nécessaire de les maintenir sous un régime lumineux de 20Hr. Note : Il ne faut pas se baser uniquement sur le taux de cannabinoïdes, car l'effet d'entourage joue un rôle essentiel. Cette synergie entre cannabinoïdes et terpènes, propre à chaque souche ou génotype, confère à chaque variété son caractère unique. Conseils : Les automatiques sont a réserver pour les cultures Outdoor : Il faut prendre en compte que maintenir 20Hr de lumière, contre 12 pour les versions standard, a un coût non négligeable. De plus, le moindre stress ne peut être compensé et aura un impact direct sur la productivité de la plante. Cela implique que les techniques de taille sont à proscrire. Enfin elles ne sont techniquement pas "plus rapides" à fleurir ( à productivité égale) que leurs versions standard. > Réussir sa culture d'auto floraison 5. Cannabis Landrace Les variétés de plante de cannabis “landrace” sont à l’origine de toutes les variétés modernes. On les appelle les variétés pures. Ces plantes de chanvre ont poussé dans la nature et ont évolué en s’adaptant à l’environnement de la zone géographique où elles se trouvent. Chacune de ces variétés a développé ses propres traits spécifiques, ses propres caractéristiques. Les graines landrace viennent de régions du monde comme la Jamaïque, l’Afghanistan, l’Inde, l’Afrique, le Mexique, le Pakistan et l’Amérique Centrale, et sont supposées être toutes apparues dans la région de l’Hindu Kush, entre le Pakistan et l’Afghanistan. Ces variétés sont souvent nommées d’après leur région d’origine. Les landraces sont très importantes pour produire de nouvelles variétés, par croisement de races. Les cultivateurs ont croisé ces variétés pures dans le but d’en créer de nouvelles possédant les meilleures caractéristiques des deux parents. Les variétés sativa, par exemple, pourront être plus difficiles à cultiver et disposent de cycles de floraison particulièrement longs, mais peuvent aussi délivrer des effets psychoactifs et médicaux uniques recherchés par de nombreux patients. 6. Conclusion En Indoor on privilégie les variétés photopériodiques. En outdoor les variétés automatiques avec leurs petites tailles (qui offrent plus de discrétion) et leurs rapidités comparées aux photopériodiques (intéressantes en zone tempérée) sont une alternative intéressante. Si en Indoor les Sativa ou hybrides (avec des caractéristiques morphologiques Sativa) peuvent être cultivés, il faut prendre en compte leurs tailles et leur durée de floraison parfois très élevée. Notons que les variétés Sativa Landrace sont souvent hermaphrodites. Ainsi en Indoor on privilégie les variétés Indica ou hybrides avec des caractéristiques morphologiques Indica. Pour rechercher une variété : > SeedFinder Pour choisir une variété : > Topic Unique] quelle(s) variété(s) choisir ? Modifié octobre 28 par SweetDreamsXAE5 3 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Green-CracK 8 972 Posté(e) octobre 19 Partager Posté(e) octobre 19 Plop, Nickel cet topic vous gérer 🙏 Si je peu donner quelques détails en +. Je dirai pour les indica ont peut préciser leurs effet stone viens de fort taux de cbd et cbn ,qui combiné au thc donne cet effet stonant voir narcotiques. Côté sativa pareil au contraire peut de cbd mais principalement du thc, thcv pour certaines, thcp qui donne cet effet très clair ,euphorique, psychédélique pour certaines. Et qu'il faut pas se fier qu'au taux car il y a l'effet d'entourage qui cette symbiose de canabinoides qui mélangé au terpenes(arômes) unique de chaque souche voir génotype ça donne cette aspect unique a chaques variété . Puis surtout un gros détail perdu parmis les hybride Avec les landrace notamment sativa justement cet effet d'entourage donne leurs effets très très puissant et unique malgré des taux pas très haut sur le papiers. Ont dira en contre partie de leurs inconvénients de grow 😊 J'ai essayer de mon côté de mettre a jour le topic de moricio puis vous ajouterai aussi vos touche etc👌 ++ 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 20 Partager Posté(e) octobre 20 Yop il y a 51 minutes, Green-CracK a dit: Plop, Nickel cet topic vous gérer 🙏 Si je peu donner quelques détails en +. Je dirai pour les indica ont peut préciser leurs effet stone viens de fort taux de cbd et cbn ,qui combiné au thc donne cet effet stonant voir narcotiques. Côté sativa pareil au contraire peut de cbd mais principalement du thc, thcv pour certaines, thcp qui donne cet effet très clair ,euphorique, psychédélique pour certaines. Et qu'il faut pas se fier qu'au taux car il y a l'effet d'entourage qui cette symbiose de canabinoides qui mélangé au terpenes(arômes) unique de chaque souche voir génotype ça donne cette aspect unique a chaques variété . Puis surtout un gros détail perdu parmis les hybride Avec les landrace notamment sativa justement cet effet d'entourage donne leurs effets très très puissant et unique malgré des taux pas très haut sur le papiers. Ont dira en contre partie de leurs inconvénients de grow 😊 J'ai essayer de mon côté de mettre a jour le topic de moricio puis vous ajouterai aussi vos touche etc👌 ++ Apport fait ++ ! 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 20 Partager Posté(e) octobre 20 (modifié) Yop Fini Nom du guide à modifier : Quelle lampe pour faire pousser ? Lien vers le guide concerné : Partie originale à modifier : mise à jour, remise en page, enrichissement Modification proposée : Quelle lampe pour faire pousser ? 1. Pourquoi faut-il absolument un éclairage spécifique ? Pour q'une plante puisse croître, elle doit recevoir de la lumière, essentielle à son processus de photosynthèse, qui lui permet d'assimiler le dioxyde de carbone (CO2) et de libérer de l'oxygène. Ce processus est indispensable à sa "respiration" et à son développement. En culture d'intérieur, où l'accès à la lumière naturelle est absent, il est donc nécessaire de recréer un environnement lumineux en utilisant des lampes adaptées pour imiter les propriétés du soleil. Ainsi, pour favoriser une croissance optimale et garantir une récolte abondante, il est crucial de fournir une source de lumière artificielle à la fois suffisamment intense et ajustée en termes de couleur et de température (notion de Kelvin) , afin de répondre aux besoins spécifiques des plantes tout au long de leur cycle de vie. > La lumière horticole-Lumen/Kelvin/PAR/ 2. Mais surtout pas n'importe quel éclairage ! Un éclairage adapté a les qualités suivantes : Le spectre : la composition en couleurs de la lumière. Il faut que ce 'spectre' corresponde aux besoins de la plante. Une lampe adaptée pour un usage horticole offre un spectre complet et des rayonnements renforcés dans les couleurs qui privilégient la pousse, principalement les rouges et les bleues. Une couleur de 5000k favorise la croissance Une couleur de 2500k favorise la floraison Une couleur de 3500k est adaptée aux deux phases. > La lumière horticole et ses mesures : Kelvin / PAR / PPFD / DLI L'intensité : par analogie, la lumière sert de carburant à la plante. Il faut donc lui en apporter ni trop ni pas assez en fonction de la phase du cycle. L'important n'est pas seulement la puissance de la lampe (exprimée en Watt) mais également l'efficacité de la lampe. L'efficience de la conversion énergie / lumière ( exprimée en μmol/watt ou μmol/Joule ) est une donnée essentielle. À ce petit jeu, les LED modernes sont très au-dessus des autres technologies. L'électricité étant payée, il est préférable de privilégier la meilleure efficience possible. Logiquement, plus une technologie convertit efficacement de l'énergie en lumière, moins la puissance pour un résultat identique est nécessaire. Notons que chaque phase de la culture nécessite une intensité différente, vous retrouverez dans le tableau ci-joint les valeurs conseillées exprimées en PPFD. Rappelons également que "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme", ainsi ce qui n'est pas converti en lumière est converti en chaleur, ce qui ne nous arrange pas dans nos placards ( sauf cas particulier, voir chapitre "HPS / MH" ) > Bien choisir la puissance d'éclairage pour ma culture Répartition et pénétration du flux lumineux. Un éclairage idéal répartit le flux lumineux de façon homogène sur la surface pour laquelle il est dimensionné pour éviter les "points chauds" qui peuvent se former sous la lampe et permettre une culture homogène. Sur le schéma ci-joint la répartition lumineuse (en ppfd) d'un éclairage mesuré dans une tente de culture aux parois réfléchissantes. On remarque que la puissance entre un coin et le centre est presque deux fois supérieure. Quant à la pénétration lumineuse, plus la puissance est concentrée en un point et plus la pénétration est forte. En contrepartie, plus on concentre la puissance en un point et moins la répartition est bonne. Actuellement (2024) seules les technologies LED et HPS / MH sont pertinentes. Les autres technologies sont ou dépassées (Néons / CFL / Turbo Néons) ou inadaptées (Incandescence, Halogène etc ...). 3. L'éclairage qu'il vous faut > Bien choisir la puissance d'éclairage pour ma culture 3.1 Éclairage LED (Diode électroluminescente ) Haute puissance Grandes révolutions de ces dernières années, elles sont devenues majoritaires dans nos placards. Ils sont composés de puces LED montées sur un support, d'un dissipateur (dans certains cas, c'est le support qui agit comme dissipateur) et d'un driver qui convertit le courant alternatif 220v domestique en courant continu alimentant les puces LED. Elles offrent une efficacité énergétique sans pareille et produisent peu de chaleur. Autre avantage, elles sont très souvent « dimmables » : la puissance délivrée peut être modulée entre 10 et 100% en fonction du besoin, ce qui améliore encore l'efficience énergétique de ce type de système. Leurs couts sont cependant assez élevés à l'achat, mais se rentabilisent rapidement grâce à une facture électrique fortement réduite comparée aux autres types de lampes – données 2024. De plus, leur durée de vie est estimée à plusieurs dizaines de milliers d'heures (35 à 50 000Hr soit minimum 5 ans de fonctionnement continu à 18Hr /jour). Il existe plusieurs technologies dans ce domaine et sont disponibles dans un grand nombre de formats et puissance, y compris en format « système D », et avec un minimum de connaissances il est même possible de créer son propre éclairage en DIY. Un système LED est composé de trois éléments : Un driver qui convertit le courant alternatif en courant continu. Une platine qui supporte les LED Un dissipateur thermique. Optionnel : un variateur de puissance. > Guide DoItYourself - Panneaux LED haute puissance (COB) > Création d'un panneau LED Les technologies pour la culture indoor disponibles sont : Les COB Disponible avec ou sans lentille pour concentrer le faisceau lumineux, il est composé d'un module LED de grand format et d'un gros dissipateur, car elles sont utilisées à haute puissance et dégage donc plus de chaleur que les autres technologies LED. C'est la technologie qui offre la meilleure pénétration lumineuse, mais avec une qualité de répartition moyenne. Une des premières technologies LED utiles pour la culture, les COB sont délaissés au profit des technologies suivantes. Disponible en spot unique ou sous forme de panneau. Les Quantum Board (QB) - SMD Composé de petits modules LED fonctionnant à petite puissance, faiblement à moyennement densément répartis sur un grand panneau et montés sur un petit dissipateur (optionnel sur les modèles de faible puissance). C'est une des options économiques pour s'équiper de LED. La répartition et la pénétration lumineuse sont inférieures à la technologie barre. Disponible en kit mono ou multiple. Les barres - SMD Composé de petits modules LED fonctionnant à moyenne puissance, faiblement à moyennement densément répartit sur une barre et montés sur un petit dissipateur. Plus cher que les QB. La répartition lumineuse est excellente comparée aux autres technologies et la pénétration est quant à elle moyenne. Disponible sous forme de panneaux ou en barre individuelle. Les spots - SMD Composé de petits modules LED fonctionnant à forte puissance, moyennement répartis sur un spot et montés sur un gros dissipateur. L'option la plus chère des technologies disponibles. La répartition et la pénétration lumineuse sont bonnes à très bonnes. Disponible sous forme de spot unique ou sous forme de barre composée de plusieurs spots. Les technologies grand public pouvant être utilisées : Les ampoules LED Certaines ampoules LED avec une puissance élevée (pour une ampoule LED) et ayant la bonne température peuvent être utilisées dans nos placards en DIY. On les réservera pour la phase de semis / croissance qui nécessite peu de puissance. Disponible dans les magasins de bricolage ou en supermarché, c'est une option économique pour créer un petit espace de croissance à pas cher. [ içi une ampoule 17W de 4000K ] Les Tubes LED T5 / T8 Ce sont des barres LED au format Néon. Avec la bonne quantité et les bonnes couleurs, c'est également une option envisageable pour créer un petit placard pas cher à base de débrouille. Les technologies LED à ne pas utiliser : Les panneaux LED chinois rosé Inspirés des premiers panneaux LED construits à l'aide de LED basse puissance Rouge et Bleu. C'est une technologie complétement dépassée et sont de vraies arnaques vendues à prix d'or. A fuir ! Autres Quelle que soit la technologie / marque choisie, le plus simple est de faire un tour dans la section "Viabilité" du forum pour faire valider votre choix. > Viabilité de votre installation/projet 3.2 Lampe HPS (High Pressure Sodium) et MH (Metal Halid) Pendant longtemps les reines des cultures indoor, elles sont supplantées aujourd'hui par les éclairages LED. Elles sont composées : d'un ballast, d'une ampoule et d'un réflecteur. Il existe diverses technologies de ballast ( Ferromagnétique et électronique ) , d'ampoule ( simple culot, double culot, hybride MH/HPS, renforcé en rouge etc ... ) et de réflecteur ( ouvert, fermé, répartissant la lumière ou la concentrant.. ) et sont disponibles uniquement en 250, 400, 600 et 100W. Certains ballasts électroniques disposent d'une option de dimmage fixe pour réduire la puissance, voire d'un réglage de boost permettant au contraire de l'augmenter légèrement. Très efficaces pour faire de la culture indoor, elles sont cependant très gourmandes en énergie et produisent beaucoup de chaleurs comparés aux LED. Elles sont cependant peu chères à l'achat, bien que l'ampoule doive être changée une fois par année d'utilisation en moyenne. Un réflecteur fermé et ventilé sera peut-être nécessaire, surtout dans les petits espaces, ou à fort wattage. Cette technologie n'est plus vraiment pertinente comparée aux LED, cependant dans le cas particulier d'une culture en période froide et dans un local non ou peu chauffé on peut exploiter le dégagement de chaleur de la lampe pour pallier au chauffage. Dans ce cas précis, elles peuvent être une option à envisager. > HPS/MH Choix de puissance d'éclairage en fonction du volume. > [Tuto] Réflecteur ventilé / Cooltube: généralités/choix/branchement/montage 3.3 Lampe MG / Néon / Fluocompacte Technologie similaire mais d'un format différent. Il s'agit d'une variation de la technologie Néon. Elles chauffent peu et consomment moins que les HPS mais plus que les LED. Elles sont composées : d'un ballast (intégré ou non) d'un tube néon et d'un réflecteur. C'est une technologie en voie de disparition au profit des LED. Si cela est techniquement viable on préférera utiliser des LED "grand public" plutôt que cette technologie. Conclusion Choisir un éclairage spécifique est indispensable pour la culture en intérieur, car la lumière joue un rôle essentiel dans la photosynthèse et le développement des plantes. Pour obtenir des résultats optimaux, il est crucial d’utiliser une lampe adaptée, offrant un spectre lumineux complet, une intensité réglable et une bonne répartition du flux lumineux. Les technologies LED, en particulier, se démarquent par leur efficacité énergétique, leur faible production de chaleur et leur durée de vie prolongée, faisant d’elles l’option privilégiée. Bien que les lampes HPS et MH puissent encore être utiles dans certains cas, notamment en périodes froides, les LED restent la solution la plus adaptée et rentable pour la culture intérieure moderne. > Guide d'utilisation des LEDs vs les HPS ou MH > La lumière horticole-Lumen/Kelvin/PAR > Viabilité de votre installation/projet > Lampe efficace pour la croissance à 3€50 > Guide DoItYourself - Panneaux LED haute puissance (COB) > Bien choisir la puissance d'éclairage pour ma culture Modifié octobre 28 par SweetDreamsXAE5 3 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Green-CracK 8 972 Posté(e) octobre 20 Partager Posté(e) octobre 20 yop de mon coté guide moricio ca donnera ca,(manquerai surement quelques photo): L'importance du choix des graines Le choix des graines est trop souvent négligé par le cultivateur novice. Celui-ci investit souvent une somme d'argent considérable dans tout ce qui est lampes, gamme d'engrais, ventilations, etc. Après tant de dépenses, il décide donc de faire des économies sur la variété. Mais à quoi bon avoir une installation digne d'un horticulteur hollandais si c'est pour faire pousser une variété au goût fade et écœurant, aux pauvres rendements et peu puissante de surcroît ? Non, le choix de la variété est au moins aussi important que celui du matériel ! 1. Les créateurs de variétés ou "breeders" Avant de commencer à parler Variétés & Cie, il est important de connaître le mode opératoire des breeders. Cela permet de se faire une idée globale de la compétence du breeder qui vous vend ses hybrides ou variétés stabilisées. 1.1. Qu'est-ce qu'un breeder et qu'est-ce qu'il nous vend ? Commençons déjà par définir ce qu'est un breeder : il s'agit d'un "généticien" travaillant sur le cannabis, il peut travailler seul ou en équipe. Il va donc créer des variétés de cannabis en croisant diverses espèces existantes entre elles. Par abus de langage, on appelle aussi "breeder" l'enseigne sous laquelle le "généticien" vend son travail. Exemples de breeders : Serious seeds (avec simon comme géneticien) , Mr nice seeds (avec shantibaba RIP comme généticien), Spice of life seeds (avec steve comme généticien),khalifa génétique, philosopher seed,Sweet seed,Ace seed ,French touch, etc. Il est important de faire la différence avec les resellers : les resellers sont des revendeurs de graines. Ils achètent des graines en grande quantité aux breeders qui leur font "un prix de gros", et revendent ensuite ces graines aux clients en se faisant une marge dessus. Le reseller est responsable du stockage des graines. Il est souvent l'intermédiaire entre le breeder et nous. exemples de resellers : Alchimia,atitude,PEV, growshop alien, Dr Chronic, Hipersemillas, etc. Il existe une 3ème catégorie ,bien peu recommandable( tandis que d’autres restent très correct) , les breeders/resellers : ils achètent des graines directement au breeders et font pousser ces plantes pour les reproduire eux-même, ou les "retravailler". Ces variétés seront ensuite vendues, (Les graines dite bulk), sous un nom légèrement différent (exemple jack herer et jock horror) voire le même nom parfois. Cette pratique est dangereuse pour la qualité des variétés obtenues, les graines obtenues ainsi seront moins vigoureuses et beaucoup moins stables en cas de reproduction d'hybrides. Nirvana est un "bon" exemple de breeder/reseller. Il y en a malgré tout qui restent d’excellente alternative pour leurs rapport qualité/prix (ex :00seed, Seed stocker ,Royal queen seed, anesia, etc). Bon, toutes ces définitions c'est bien beau, mais qu'est-ce qu'il fait concrètement notre bon vieux breeder ? Commençons par le commencement, dans un premier temps le breeder va chercher la base avec laquelle il va commencer à travailler, c'est à dire des variétés pures, ou du moins des variétés non croisées depuis des lustres (afghane, brésilienne, colombienne, zaïroise, indienne...). C'est a partir de ces variétés "pures", de souches issues de divers échanges entre breeder ainsi qu'avec différents niveaux de ses croisements qu'il va travailler par la suite, c'est ce que l'on appelle un pool génétique. Maintenant que notre breeder a une base de travail, il va se déterminer divers objectifs à atteindre par un plan de breeding bien précis. Par exemple une variété au goût fruité, avec un high de type sativa et une floraison courte. Il va utiliser son pool génétique pour intégrer (par croisement) des caractéristiques intéressantes dans son hybride, grâce à sa connaissance des génotypes/phénotypes de son pool. Une fois qu'il arrive au résultat escompté, il met en vente son travail : les graines résultant de ce long processus de croisement et/ou de stabilisation. Pour davantage d'informations sur le travail des breeders, se reporter au guide Génétique/Breeding On nous vend souvent des hybrides F1, mais de quoi s'agit-il ? Un F1 est le résultat d'un croisement de 2 variétés différentes pures, par F1 comprenez hybride de première génération. Un hybride F1 profite d'un phénomène appelé la vigueur hybride, cette vigueur découle directement du fait que l'hybride reçoit les gènes à la fois du père et de la mère utilisés dans le croisement, il possède donc plus de caractéristiques que l'un ou l'autre. Théoriquement, un hybride F1 doit être assez stable, en effet si les parents ont été bien choisis, les gènes pourront bien cohabiter et seuls les gènes dominants vont s'exprimer (règles du F1). En pratique c'est bien sur plus compliqué, on l'observe malheureusement trop souvent. Donc si votre F1 n'est pas stable, 2 solutions : soit ce n'est pas un F1 , soit le breeder n'a fait que partiellement son travail, dans les 2 cas vous l'avez dans l'os ! L'autre catégorie de seeds vendues, ce sont les variétés dites stabilisées, là aussi concrètement ça donne quoi ? Comme son nom l'indique, une variété stabilisée est une variété stable. Elle résulte du croisement des graines F1 entre elles, qui nous donne des graines F2 généralement instables. Le breeder sélectionne ensuite les individus ayant les caractéristiques souhaitées (sur les mâles et femelles) et les recroisent à nouveau, donnant ainsi des F3 qui seront plus stable que les F2 et ainsi de suite jusqu'à obtenir une variété stable(on appel cela un IBL « in breed line »), sans grosse variation dans la forme et les caractéristiques de la variété. Dans cette catégorie de variétés, on retrouve par exemple la skunk#1, la haze, la northern light... 1.2. Dérives des breeders & "attrape-couillons" 1.2.1. Féminisées Pour faire les fameuses graines dites "féminisées», un procédé qui a bien évolué ces 20 dernières années ! Il s’agit de reverser (intégralement)une plante femelle en male physiquement (à l’aide de produit comme le sts ou l’argent colloïdales qui sont des procédé très fiable et rependu dans le breeding et breeding amateur) de sorte à pouvoir lui faire sortir des fleur masculines afin de récupérer ce précieux pollen féminin(XX) A savoir qu’une plante régulière a les chromosome XX pour les sujets féminins alors que les male sont XY ,le fait de croiser deux femelle (XX + XX) donnera des plantes à 99% femelles. Si les femelle utilisé comme parents ont subis différents stress test sans montrer de trait hermaphrodisme les graines obtenue seront très fiable (XX XX). Il y a cependant quelques rare exceptions à la règles. Certaines plante « élites » peuvent aussi présenter des atout tellement hors du communs malgré une très légère tendance à l’hermaphrodisme ou monoïque généralement commun ,qu’elles sont malgré tout recroisées,stabilisés,etc. Ce sont des plantes de qualité malgré tout, donc c’est un risque à prendre avec certaines génétiques connue pour cela (orange bud, certaines blueberry, landrace thai, etc) MAIS malheureusement elles ont connu une période assez sombres par le passé car: Lors des 1ère féminisés disponibles sur le marché (il y a une 20ene d’années) on utilisait un plante hermaphrodite (il s'agit en réalité de monoecie, ce qui n'est pas la même chose). Cet "herma" est en général à très forte tendance femelle (seul quelques fleurs mâles sont visibles) et va polliniser une femelle. Les graines issues de cette pollinisation risquaient donc de donner de l'herma. En clair, avec des graines féminisées vous risquiez fort de vous retrouver avec un bon tas de graines si vous n'êtiez pas vigilants. Par la suite une hormone était utilisé: le Ga3 qui fonctionnais plutot bien mais pouvait donner lieu à des mutations génétiques dans la descendance (plante trisomique,malformations,etc) De plus il etait déconseillé de faire des pieds mère avec des graines féminisées, les fleurs mâles pouvant apparaître plusieurs sessions plus tard sur les clones issus de ces plantes mères.A présent aucunes différences entre une femelle issue de graine féminisée ou régulière Pour conclure, les graines féminisées étaient bien souvent 2 fois plus chères que des graines regulars, risquent de polliniser la totalité de votre placard et ne permettent pas de sélectionner un pied mère digne de ce nom. Amusant non ? Il est cependant nécessaire de différencier les graines féminisées et les graines dites "femelles" : les graines dite femelles sont issues d'un autre procédé de féminisation. Ce procédé consiste en un traitement hormonal qui va permettre à une femelle pure de produire des fleurs staminées femelles. Ces fleur staminées femelle vont ensuite servir à polliniser une autre femelle pure. En gros, on croise une femelle avec une femelle, le résultat est... une femelle ! Du moment que les femelles utilisées sont bel et bien des femelles (et pas des hermas "cachés"), les graines obtenues seront des femelles (en réalité il y a environs 1chance / 3000 d’avoir un male ce qui peut être une chance dans certains cas pour créer une ligne régulière par ex). 1.2.2. Selfing On dit qu'une graine est selfed quand elle est le résultat d'une autopollinisation(le fameux bulk). En gros,comme pour créer une féminisé vous prenez une femelle, et a l'aide d'un produit chimique(sts,argent coloidales,ga3, …), vous rendez une partie de cette plante capable de produire du pollen qui va polliniser les pistils de cette même plante. On peut faire encore pire, faire des graines selfed à partir d'un "herma" qui va lui aussi s'autopolliniser. On appel ca « la rodélisation »,le cannabis étant une plante annuelle à pour objectif principal d’assurer la survie de sa lignée avant tout ,donc lorsqu’elles subis une stress volontaire ou arrive en fin de vie (très tard dans sa floraison) va sortir des fleur masculine pour tenter de s’autopoliniser (et les autres femelle des environs). C’est avec ce fameux pollen que les 1ere graines féminisée ont existés mais qui faisait donc ressortir cette tare et donnait à leurs tour des plantes avec de gros risque de soucis d’hermaphrodisme dans sa descendance. Bon, c'est bien gentil mais en quoi faire s'autopolliniser une plante est mauvais ? Je vais vous épargner la petite analogie avec l'espèce humaine, c'est parlant mais on peut difficilement comparer plantes et mammifères. Donc pour faire simple, le cannabis pour être puissant et vigoureux a besoin d'une grande diversité dans ses gènes, diversité qu'on lui apporte en le croisant avec une autre variété ou avec un individu de même variété mais qui contient de nombreuses différences au niveau génétique. Vous l'aurez compris, avec le selfing on ne lui apporte rien, et la plante risque même de révéler des tares génétiques. Au final, le selfing donne des plantes souvent moins vigoureuses, ayant parfois perdu nombre de leurs caractéristiques initiales. Le seul gain est une stabilité importante des individus en résultant mais qui fait bien pâle figure face à tout les soucis que cela apporte. Ce procédé est actuellement beaucoup utilisé par des breeders peu scrupuleux afin d'obtenir des graines à partir de clones élites (*), ne vous laissez pas avoir, les graines qui en résultent n'auront pas grand chose à voir avec la bouture ! (*) Clones élites : Boutures d'une femelle unique et exceptionnelle, donc sans possibilité d'en faire des graines par des méthodes conventionnelles. 1.2.3. Backcrossing On fait un backcross quand on croise une plante avec un des parents qui ont servi à obtenir cette même plante. Pour imager un peu, c'est comme si vous vous reproduisiez avec l'un de vos parents. La plupart du temps on backcross dans l'idée de conserver un caractère récessif. Un backcross peut donner de bons résultats, mais ça ne marche pas à tous les coups. Pour toute variété obtenue par backcross, il faut absolument éviter tout breeder dans lequel on n'a pas 100% confiance. Un breeder reconnu pour avoir réussi ses backcross c'est steve de spice of life, notamment avec sa sweettooth. 1.2.4. Cubing Là il ne s'agit plus d'un backcross mais de 4 (d'où le "cube") ! Cette technique ne fonctionne que dans certain cas précis et encore ne donne pas l'assurance de stabiliser les caractères souhaités. C'est là aussi une technique utilisée pour tirer des graines à partir d'un clone élite. On croise notre clone élite avec une variété proche et l'on effectue 4 backcross successifs afin d'obtenir une descendance la plus proche possible du clone. Le soucis c'est la perte de vigueur et l'apparition de tares cachées. Mais comme toujours, il y a des exceptions, je pense tout particulièrement à la cinderella 99 qui est une petite beauté. 1.2.5. Multicross à partir d'hybrides (LES POLY-HYBRIDES) Voila la mode hype du moment inspirée des us, croiser des hybrides avec d'autres hybrides. Rien de bien compliqué, on prend un hybride très populaire (souvent pas stable) que l'on croise avec un autre hybride tout aussi populaire. On utilise donc la popularité de tel ou tel hybride pour faire dire par exemple au client potentiel : "super, un croisement de jack herer et de blueberry , ça doit être une bombe !" dans la majorité des cas , il n'y a aucun travail derrière et une sélection minuscule comparé à ce que fait un breeder de qualité. Forcément le résultat est un chef d’œuvre d'instabilité et de bizarreries. Croiser deux bonnes variétés ne donne pas forcément de bonnes graines, l'important c'est que les gènes cohabitent bien ! Au final, le résultat est souvent inférieur à l'un ou l'autre des parents, sans qu'il soit mauvais pour autant. Avec cette instabilité on peut aussi trouver d'excellents phénotypes, mais c'est aléatoire. En gros, un petit croisement de truc X machin pourquoi pas si l'instabilité ne vous gène pas, mais n'allez surtout pas mettre une importante somme d'argent là-dedans ! N'oubliez pas que vous achetez là un croisement que vous auriez pu faire vous même, ce n'est pas le fruit de 5 ans de breeding forcené ! 2. Bon breeders, breeders à éviter On peut vite se noyer dans l'océan de seedbanks et autres breeders actuels. Pour éviter de boire la tasse, je vais tenter de vous donner quelques bonnes adresses ! Voici quelques bons breeders (désolé d'avance à ceux que j'oublie ^^), je vous préviens tout de suite, je ne les classe pas dans un ordre particulier : Serious Seeds : Impossible de parler des bons breeders actuels sans parler de serious seeds. Je suis tombé amoureux de cette banque voilà quelque temps déjà et elle ne m'a jamais déçu. Serious seeds est très reconnu pour son travail des plus sérieux, ses génétiques bien maîtrisées et travaillées. Le nombre de variétés qu'ils proposent est restreint, mais c'est justement pour mieux pouvoir bosser sur les quelques variétés qu'ils proposent, d'ailleurs serious seeds n'a pas pour vocation de devenir une grande firme de la graine, ça reste une "petite" banque qui fait très bien son travail, et personnellement ça me convient très bien ^^ Sensi Seeds : LA banque dont tout le monde a entendu parler. Sensi seeds est un pionnier en matière de semences cannabiques, leurs variétés sont des "standards" actuels. C'est une banque de confiance, il vendent de très bonnes variétés comme d'autres un peu plus moyenne, il y en a pour tous les goûts et tous les prix. Le prix, voila le principal point que l'on peut leur reprocher, il est parfois raisonnable, mais souvent exorbitant, notamment pour des variétés comme la jack herer, excellente il est vrai, mais pas vraiment stabilisée non plus. De plus ils ont récemment diminué le nombre de leurs seeds par paquet : de 15 a 10 pour le même prix... Chez Sensi seeds, on paye la marque autant que le travail effectué sur les variétés, il faut s'y faire ou passer son chemin. Pour conclure, sensi seeds est une excellente banque, on y trouve des variétés tout simplement géniales, mais bien souvent à un prix très élevé. On regrettera aussi leur skunk qu'il on cuisiné à toutes les sauces, que l'on retrouve dans la grande majorité de leur variétés. Soma Seeds : Encore une enseigne très connue ! Là aussi une banque de confiance qui offre un bon nombre de variétés d'excellente qualité assez bien stabilisées dans l'ensemble. Je tiens à préciser que chez Soma la majorité des variétés ont un goût particulier assez différent des grands classiques (skunk, northern light...), ce qui plaira sûrement aux cultivateurs lassés de ces goût uniformisés à la longue. Vous pouvez vous servir chez soma les yeux fermés, c'est sans mauvaise surprise ! Petit (ou gros) bémol, les prix très élevés pour un breeder qui se veut mystique et roots... Spice Of Life : Voila une autre banque que j'aime beaucoup ! C'est une enseigne relativement modeste qui c'est spécialisée dans les variétés au goût "sweet et fruité", avec comme variétés phare la Sweet tooth #3. Vous pouvez attendre des plantes généralement indica (bien que SoL ait quelques variétés majoritairement sativa dans sa liste) au goût doux et fruité des plus agréable, et au puissant effet indica accompagné de rendements généralement intéressants. Les "anciennes" variétés de SoL sont pour la plupart de grands classique ultra-reconnus. Depuis quelques temps maintenant, SoL collabore avec d'autres breeder, notamment DJ short ainsi que Legend's seeds. Il faut cependant noter que les dernières variétés de SoL on tendance à être moins stables que les anciennes. Magus Génétics : Voila une petite firme qui m'a agréablement surpris. Cette banque possède une petite liste de variétés disponible mais avec beaucoup de bonnes choses. La variété principale de Magus Génétics est la Warlock, une skunk très améliorée à partir de laquelle il a créé la plupart de ses hybrides. Avec Magus attendez-vous à des plantes vigoureuses, goûteuses et puissantes. Mr Nice Seeds : Encore une banque de qualité. Cette banque a vu le jour quand 2 breeders (Shantibaba et Neville) ont décidé de quitter Greenhouse Seeds co. en emportant avec eux une bonne partie du pool génétique de Greenhouse issu de leur travail (principalement les hazes). Shantibaba s'est alors associé à Howard Marks aka Mr Nice pour fonder Mr Nice Seeds. C'est une des raisons pour lesquelles on retrouvera des variétés au même nom chez Mr Nice et Greenhouse. Chez Mr Nice, vous trouverez beaucoup de variétés très connues et reconnues comme la Super Silver Haze, White Widow (aka black widow), White Rhino (aka Medicine Man). Pour conclure, Mr Nice possède nombre de variétés excellentes, pour la plupart les variétés originales que l'on trouve maintenant sous d'autres formes chez Greenhouse. Faites cependant attention avec les graines de Mr Nice qui n'ont pas été renouvelées depuis un bon moment (risque de vieilles seeds). Mandala seeds : Une banque assez récente mais qui s'est vite fait une place dans le monde des breeders à petit prix. Mandala vend des hybrides F1 vigoureux et puissants. Ils utilisent en général des variétés moins classique que les Skunk ou Northern Light dans leurs croisements, ce qui donne aux variétés de Mandala une saveur moins uniformisée que les variétés hollandaises habituelles. Seul reproche que l'on puisse faire à Mandala est une stabilité pas toujours au top. Pour conclure, Mandala vend d'excellents hybrides qui n'ont rien à envier aux grands classiques hollandais, et tout ça pour un tout petit prix. Il y a beaucoup d'autres bonnes banques, cette liste est bien sûr non-exhaustive (Citons encore THSeeds,Ace seed, khalifa, french touch Flying Dutchmen, Sagarmatha Seeds, Black Label, Paradise Seeds, Cannabiogen...). Breeders à éviter Nirvana : Une banque tristement célèbre pour ses F2 et plantes hermaphrodites. Ils disposent d'une énorme couverture chez les resellers, ce qui est avec leurs bas prix une des raisons de leurs succès. Cette banque est donc très prisée par les cultivateurs novices qui tombent rapidement sur les reproductions de variétés populaires que vends Nirvana. Mais ces reproductions sont toujours bien inférieures aux variétés originales : moins vigoureuses quand il s'agit de F2, instables, fort taux d'herma... Cependant tout n'est pas noir avec nirvana, ils ont selon certains cultivateurs quelques bonnes variétés, je pense notamment à la Ice, AK48 et Papaya qui sont souvent citées comme les bonnes variétés de Nirvana. Greenhouse seeds : Greenhouse a été une des meilleures banques existantes pendant un bon bout de temps. A présent elle ressemble plus à une machine à fric géante. Les nouvelles variétés n'ont pas été assez travaillées, pas bien stabilisées ... sans parler de certaines de leur anciennes lignées reconnues qui actuellement n'ont plus grand chose à voir avec ce qu'il faisaient dans les années 90. Ne vous méprenez pas, ça ne veut pas dire que leurs variétés seront mauvaises à fumer, mais seulement qu'il n'y a pas grand chose derrière, et que la renommée qu'ils ont eue à une époque n'a plus lieu d'être de nos jours. Attention à ce rouleau compresseur cannabique qui risque de faire pas mal de tort au monde du breeding hollandais déjà dans la tourmente d'un point de vue éthique. Il y a une quantité d'autres mauvais breeders, mais en faire une liste prendrait un temps fou. En gros, évitez les banques qui vendent du selfed, du féminisé uniquement, ou encore qui font des copies de variétés connues. 3. Critères de choix de variétés & variétés correspondantes Code couleur : Rouge : variétés indica dominantes ou à allure/effet indica (plantes petites et trapues, à courte floraison, et à l'effet stone corporel et narcotique). Vert : variétés sativa dominantes ou à allure/effet sativa (plantes plus élancées et hautes, à floraison longue, et à l'effet high cérébral). 3.1. One-Bud (Et SOG) Pour le One-Bud il faut des variétés qui ne fassent pas trop de branches et qui ont la particularité de former une grosse bud principale. Ces 2 caractéristiques complémentaires permettent d'obtenir d'excellents rendements en One-Bud. Black Bomb de philosopher seed: une variété qui fait passer la tropimango(selection de somango de soma seed) au niveau superieur, un croisement avec une black dominia. Une plante facile à cultiver, adaptée aux cultivateurs débutants et résistante aux maladies, courte sur pate, relaxante et puissante. Zombie kush de ripper seed: Un subtil melange de kush et d amnesia qui offre des aromes principalement de terre seche et legerement floral. Elle a remporte de nombreux prix et fait partie des varietes dites couchlock, ne pas en abuser au risque de s endormir sur le cannape, une indica par excellence.Un must pour les amateurs de vieilles kush. Chronic (Serious seeds) : une variété crée dans le but d'allier qualité et quantité et de détrôner la Big bud. La Chronic est donc une variété à l'allure sativa dominant qui donne des rendements très importants pour une floraison de 60 à 70 jours. Elle donne un effet assez puissant et cassant, au dessus d'une big Bud normale. Le goût lui est assez courant, rappelant la Skunk et Northern Light. Une variété à cultiver en One-Bud, vu qu'elle produit des têtes principales énormes. Il est aussi déconseillé de la tailler avant le passage en floraison, le rendement étant diminué. Une variété pour qui le goût n'est pas le facteur déterminant, qui donne un bonne puissance et de bon rendements pour un temps de floraison assez court. Un must pour les amateurs de grosses buds. Northern Light (Sensi seeds) : la Northern Light est un standard de la culture en intérieur. C'est une bonne productrice pour un temps de floraison court (50-60 jours). Son effet est un stone assommant et son goût est un peu musqué et hashy. Très facile à cultiver, elle encaissera bien la plupart des petites erreurs des débutants. Un autre avantage considérable de cette variété est son odeur faible en floraison, la rendant très discrète. Elle fonctionne particulièrement bien en One-Bud mais autant dans tout autre type de culture. Comme tout les standards hollandais, elle risque par contre de paraître très banale à un fumeur habitué. Critical mass / Big Bud (Mr nice/Sensi seeds) : la Big Bud et la Critical Mass sont des cousines aux caractéristiques proches. Elle sont habituellement très prisées des cultivateur commerciaux pour leurs gros rendements par rapport à un temps de floraison raisonnable. Elles offrent donc des rendements très importants pour un temps de floraison d'environs 65 jours. Elles possèdent un high raisonnable, de type skunk, effet d'ailleurs plus puissant pour la Critical Mass que pour la Big Bud. Le goût est lui assez discret et skunky. Sa culture est simple et elle aime de bonnes concentrations d'engrais. Voila pourquoi elle est si prisée des cultivateurs commerciaux, le cultivateur amateur préférant généralement des variétés moins "banales", bien que des phénotypes particulièrement puissant et goûteux puissent être trouvé de temps à autre. Bubblegum (THSeeds / Serious Seeds) : elle allie bons rendements, floraison rapide (60 jours) pour un effet au dessus de la moyenne mais pas cassant. Elle est célèbre pour son goût très doux et sucré. C'est une variété simple à cultiver, stable, qui tolère plutôt bien l'engraissage et offre une belle grosse bud principale. Elle possède aussi une résistance intéressante à la moisissure qui lui permet d'être cultivée en extérieur dans la moitié sud de la France sans problème. Belladonna (Paradise seeds) : la Belladonna est une variante de la skunk que l'on retrouve habituellement. Assez proche de sa cousine niveau pousse, elle produit des rendements moyens à bons pour un temps de flo d'une soixantaine de jours. Son effet est légèrement plus fort qu'une skunk habituelle, un poil plus stone et le goût plus fruité, moins skunky. C'est une très bonne plante, robuste, facile à cultiver. Elle permet de se familiariser sans problème avec pas mal de techniques différentes vu qu'elle s'adapte bien à toutes les situations. Elle fonctionne bien en One-Bud particulièrement. Un très bon choix pour ce prix. Les cultivateurs ayant déjà vu pas mal de variétés fleurir dans leur placard lui trouveront cependant un petit air de déjà vu. Super skunk (Sensi seeds) : la Super skunk est devenue rapidement un incontournable de la culture en intérieur. Les amateurs d'indica la préfèrent généralement à sa sœur, la skunk, car elle possède un effet plus corporel ressenti comme plus fort par ceux-ci. La Super skunk offre des rendements généralement bons pour un temps de floraison d'environs 55-60 jours. Son goût est souvent fort et fruité, parfois hashy, et son effet est un stone corporel couplé à un effet cérébral intéressant. Elle se cultive très simplement, réagit bien à un engraissage soutenu et ne pousse pas trop haut. Elle est performante avec presque tous les types de culture mais aime particulièrement faire de grosses têtes principales. Toutes ces caractéristiques en font une variété très prisée des débutants, et son goût et ses effets étonnent souvent les fumeurs expérimentés. White russian (Serious seeds) : la White Russian est une variété très populaire. Elle offre généralement de bons rendements quand elle est bien traitée pour un temps de floraison assez long pour une indica (60-70 jours). Elle a un effet très fort, à mi-chemin entre high et stone d'où sa réputation de variété parmi les plus fortes. Son goût est assez particulier, un peu hashy avec une certaine acidité. C'est une plante bien stabilisée, courte et trapue qui donne en général de petit buissons très fournis. Il faut cependant faire attention aux moisissures, la WR y étant très sujette. Critical kush (barney farm) : Ses gènes de crtitical et og kush Elle réunie une très grosse production de bud très dense, un effet très puissant avec ses 25% de thc pour 2,1% de cbd. La floraison dure seulement 8 semaines en intérieur, et donnera des plantes de taille moyenne avec un excellent ratio feuilles/fleurs. No name (medical seed) dom indica : La No Name est une superbe plante de cannabis à dominance Indica. C'est le résultat d'un croisement entre une Cheese et une Sensi Star de structure sativa mais au temps de floraison court car elle arrive à maturité en 55-60 jours. Quant à sa saveur, nous retrouverons le caractéristique goût de Cheese mélangé avec une touche d'anis qui envahira votre palais et votre sens gustatif à chaque bouffée. L'effet de cette plante de cannabis No Name nous offre une sensation forte, cérébrale suivie d'une grande relaxation physique frôlant les états de somnolence avec un taux allant de 15 a 20% de thc. Sugar Black roses (delicious seeds) qui à + de 10 de cup a son actif !: Pour ce croisement, Delicious Seeds a réuni deux génétiques très connues et appréciées par les cultivateurs du monde entier, la Critical Mass de Mr Nice, et un clone Black Domina sélectionné en 1998, très célèbre en Espagne. Le résultat est un hybride à dominance indica offrant une combinaison des deux goûts, presque aux 50% et très fruitée. En intérieur elle produit des bourgeons très durs et remplis d'une énorme quantité de résine, ayant une taille moyenne et compacte. Un taux a 25% de thc. Orange candy (philosopher seed): 65% sativa 35%indica Orange Candy / Naranchup présentera ainsi une structure robuste, des nœuds rapprochés et produira un apex de grande taille, ce qui en fera une variété parfaitement adaptée à la culture de type SOG. Peu de différences se manifesteront d'une plante à l'autre, la structure, les parfums et la production lourde s'exprimeront chez toutes les plantes, seul un phénotype plus rapide pourra être remarqué par ses couleurs violettes. Les têtes sont assez denses sans excès, présentant une texture comparable au liège, prenant du volume lorsqu'on les mouline. Orange Candy / Naranchup fait preuve d'une très bonne résistance aux nuisibles, aux températures trop basses ou trop élevées, ainsi qu'aux excès d'engrais, se révélant ainsi être une plante de cannabis parfaite pour les cultivateurs débutants. Orange Candy / Naranchup présente des propriétés organoleptiques remarquables, combinant un parfum d'orange bien mûre avec des notes acides de pamplemousse, pour un goût de type Diesel, plus fin en bouche Son effet se manifestera très rapidement à travers une montée high psychédélique avec ses 19% de thc, qui se stabilisera sur un état plus physique, idéale en journée n'étant pas handicapante. La lemon blanco V3 de khalifa genetics (polyvalante one bud sog scrog) : 80%indica 20% sativa Limon Blanco V3 est issu de la combinaison de Terra White IBL et Afghan Lemon IBL, une variété utilisée pour produire du haschich exceptionnel depuis des millénaires. Grâce à ses gènes afghans, cette plante est robuste et résistante, avec des branches solides qui nécessitent peu de soutien. Elle fleurit en 9 à 10 semaines en intérieur et est prête à être récoltée à la fin septembre ou au début octobre en extérieur. Même les cultivateurs débutants peuvent obtenir de belles fleurs sombres parfumées au citron, à condition de maintenir une faible humidité en fin de cycle. Les arômes de Limon Blanco V3 évoluent au fil de la maturation. Les premiers trichomes dégagent une odeur fraîche et acide de citron, qui devient plus douce et plus puissante avec des notes de Kush et de hasch. Lorsqu'on touche les têtes mûres, un parfum persistant de citron et de hasch se dépose sur les doigts. En plus de son parfum séduisant, Limon Blanco V3 offre une teneur en THC élevée, procurant des effets puissants et relaxants qui séduiront les amateurs de cannabis les plus exigeants. 3.2. SCROG Le SCROG, à l'inverse du One-Bud, nécessite des plants ayant tendance à faire beaucoup de branches, là aussi dans un but d'optimisation du rendement. Généralement les dominante sativa s’y prêtent beaucoup mieux par leurs stretch plus longs et leurs tailles plus élancées afin de coloniser rapidement l’espace disponible. Ripper Haze (ripper seed) : Il s'agit d'une plante de cannabis qui depuis des années a su se faire sa place sur les cartes des meilleurs Coffee Shop, grâce à son arôme Haze acidulé et son puissant effet, qui fera vibrer même les fumeurs les plus avertis. Ainsi Ripper Haze, aussi connue sous le nom d'Amnesia Haze, est le fruit de longues recherches visant à trouver la Haze la plus puissante du marché. Pendant la floraison, ses fleurs se couvrent d'une épaisse couche de résine aux effets psychédéliques de longue durée. Son temps de floraison court pour une sativa, et ses arômes intenses font de Ripper Haze un excellent choix pour les cultivateurs qui cherchent la Haze parfaite. Une floraison de 65-70j. La lemon og candy de philosopher seed qui est polyvalante entre sog ou scrog due a sa vigeure dans le même style que la ripper haze : La Lemon OG Candy est issue du croisement entre le clone élite Super Lemon OG et une sélection d'Amnesia Haze. Le résultat est une plante vigoureuse, particulièrement recommandée pour les débutants en culture de cannabis, car elle est facile à cultiver et très résistante aux parasites. Elle offre d'excellents résultats, quel que soit le substrat ou la méthode de culture utilisée. Grâce à son incroyable vigueur, cette plante n'aura pas besoin d'une période de croissance importante, elle peut même être cultivée directement avec une floraison photopériodique en fonction des conditions de croissance. Philosopher Seeds a obtenu des résultats plus que satisfaisants en cultivant la Lemon OG Candy directement en floraison dans des pots de 3,5 L. Malgré sa dominance Sativa, la Lemon OG Candy peut être récoltée après 65 jours de floraison en intérieur ou à la fin du mois d'octobre en extérieur dans l'hémisphère nord. Dans les deux cas, le cultivateur peut s'attendre à une récolte abondante de fleurs résineuses avec 600 g par m2 en intérieur et 500 g à 2000 g de fleurs par plante en extérieur. Les fleurs recouvertes de résine de la Lemon OG Candy produiront des parfums très proches de la brume, un goût sucré et terreux. Aladin Kush (khalifa genetics) : Née du croisement d'une souche Old School la Skunk #1 (phénotype connu sous le nom d'Aladdin's Skunk) et d'une IBL moderne des États-Unis (Black Kush). Pour Khalifa Genetics, l'Aladdin Kush est la plante au rendement le plus élevé qu'ils aient jamais vu et c'est le résultat d'une collaboration exclusive avec Califrosty's. Aladdin Kush de Khalifa Genetics: une variété à haut rendement L'Aladdin Kush est une variété de cannabis avec une production XXL, une énorme vigueur et une grande uniformité de culture grâce à la stabilisation de ses parents. L'Aladdin Kush est une véritable F1, de sorte que la progéniture donne naissance à des plantes de structure, de couleur et de densité similaires, ainsi qu'à des périodes de floraison très semblables. Variété Aladdin Kush: pour les cultivateurs impatients et les débutants Les fleurs de l'Aladdin Kush sont denses et ont une morphologie de type "cluster" avec des teintes foncées totalement recouvertes de trichomes. L'Aladdin Kush est un bon outil pour les cultivateurs impatients en raison de ses caractéristiques: floraison rapide, rendements élevés, terpènes puissants et grand bag appeal, ainsi qu'une variété rustique et très reconnaissante pour les cultivateurs débutants. L'Aladdin Kush a un arôme qui rappelle les peintures à l'huile grâce à sa teneur en myrcène, mais contient des notes fruitées et florales. Au fur et à mesure de la floraison, les terpènes les plus gazeux et Kush commencent à se manifester, c'est pourquoi il est recommandé d'utiliser des filtres à charbon actif et anti-odeurs pour la culture en intérieur. L'Aladdin Kush se distingue par sa fumée douce avec un arrière-goût de gaz et de terre, ainsi que des arômes de forêt humide et de mousse, un chef-d'œuvre qui ravira les amateurs de Kush. Aladdin Kush de Khalifa Genetics, un effet sédatif et durable L'Aladdin Kush est une variété puissante à l'effet sédatif et durable, elle produit une sensation très proche de la flottaison qui permet à l'esprit d'entrer dans un état de relaxation absolue, tandis que le corps entre dans un grand calme, une génétique idéale pour terminer la journée. Warlock (Magus génétics) ou en équivalent serious seed : la Warlock est une skunk très améliorée. Elle donne des rendements bons pour un temps de flo d'un peu plus de 60 jours en général. Son effet est étonnamment cérébral pour une plante de cette stature et ce temps de floraison, très bon effet, pas dévastateur, très agréable. Son goût lui est plus sucré et fruité qu'une skunk, plus fort aussi tout comme l'odeur. La Warlock aime beaucoup faire des branches, ce qui la rend très souhaitable pour la culture en SCROG. Elle produit des têtes très denses et résineuses, avec très peu de feuilles, une des variétés avec le meilleur ratio calices/feuilles que je connaisse. Pour finir, c'est une plante vigoureuse et stable, sans mauvaise surprise. A tester les yeux fermés. The HOG (THSeeds) : The HOG est une indica étonnante. Elle offre des rendements bons voir très bons pour un temps de flo d'environ 50 à 60 jours. Le principal problème de cette variété est le fait que le phénotype convoité, très producteur et très puissant, est relativement rare dans un paquet, il se peut que vous ne le trouviez même pas. L'effet de ce phénotype est dévastateur, on sent la montée dès la première bouffée alors que l'on croit que la pesanteur augmente. Le goût lui aussi est très fort, musqué et hashy, un fumeur vous repérera à l'odeur un bon moment après avoir écrasé votre mégot, c'est dire si le goût et l'odeur restent. Une variété qui "branche" beaucoup et donnera des rendements impressionnants en SCROG. Si c'est la fiabilité qui vous intéresse, il est cependant conseillé de l'éviter. Buddha's sister (Soma seeds) : la Buddha's sister est une classique de Soma seeds. Elle offre généralement de bons rendements avec une floraison acceptable pour une indica (55-65 jours). Son effet est principalement stone et puissant tout en gardant un certain effet cérébral avec un goût très fruité qui peut rappeler la cerise. Cette variété est simple à cultiver et offre généralement de belles branches secondaires. Il n'est pas rare de la voir se colorer en fin de floraison. Mother's Finest (Sensi seeds) : la Mother's Finest a été crée dans le but de fournir une qualité comparable à la haze mais dans un temps de floraison moindre, c'est un demi succès. La Mother's Finest est une variété assez instable, bonne productrice pour la plupart des phénotypes, qui fleurissent en 55 à plus de 100 jours. Les phénotypes haze dominant sont très intéressant à cultiver avec cette variété, les têtes sont plus consistantes qu'une haze classique, la production est bien meilleure mais la floraison presque aussi longue. A fumer, c'est une excellente variété, au high puissant qui vous catapulte haut, très haut avec un goût allant de mangue à hazy / poivre noir. Elle pousse haut comme la plupart des sativas, avec des entre-nœuds assez maniables qui permettent de la cultiver en SCROG pour des rendements optimaux. Si une petite sélection ne vous effraie pas, il y a moyen de sortir d'excellents hybrides sativa dominant de type haze mais avec une meilleure production et un temps de floraison légèrement raccourci. 3.3. Rendement Voici une liste de variétés qui ont la particularité de donner de très gros rendements en intérieur : Critical 2.0 Silent seed : Vigoureuse et résistante, la Critical + 2.0 est donc une variété parfaite pour les cultivateurs de cannabis débutants, résistant bien aux différentes erreurs et ne demandant pas un long cycle de culture. En effet, elle peut être récoltée après seulement 45 à 50 jours en culture de cannabis indoor, où elle produit jusqu'à 700gr/m2 de fleurs séchées en conditions optimales. En culture de cannabis en extérieur, elle pourra produire de 900 à 1300 grammes par plante, pour une récolte à la fin du mois de Septembre dans l'hémisphère Nord. Versatile, elle s'adapte bien à tout type de culture, comme la culture en SOG, mais aussi en SCROG et super cropping, en appliquant des techniques d'optimisation comme la taille apicale ou la taille FIM. Critical + 2.0 de Silent Seeds, au goût de pin et de citron Les grosses fleurs charnues de la Critical + 2.0, généreusement enrobées de résine collante et parfumées, dégagent un parfum acidulé combinant des notes de citron et de pin sur un fond terreux et sucré du meilleur effet en bouche, en particulier en utilisant un vaporisateur de cannabis pour mettre toutes ses nuances en valeur. Critical kush barney :évoquée plus haut Pakistan valley (wos): aussi évoqué plus bas. Super Silver Haze (Mr nice seeds) : voila une variété qui n'a que des qualités ! Elle offre généralement des rendements très impressionnants pour un temps de floraison raisonnable (70-80 jours). Elle possède un effet high puis stone très puissant et de longue durée, avec un goût boisé/épicé rappelant la haze. C'est une plante vigoureuse qui ne demande pas de vigilance particulière si ce n'est de surveiller sa croissance importante en début de floraison. Critical mass/Big Bud (Mr nice/Sensi seeds) : voir description plus haut. Chronic (Serious seeds) : voir description plus haut. Double dutch (Magus génétics) ou Serious seed : la Double Dutch est la version "hulk" de la Warlock. La Double Dutch donne des rendements très importants pour un temps de floraison d'une soixantaine de jours. Son effet est semblable à celui de la Warlock, peut-être plus cassant. Son goût lui est plus skunky que la warlock, mais fort lui aussi. La Double Dutch forme des têtes très longues et larges, tant sur la branche principale que sur les secondaires, des têtes bien denses avec peu de feuilles. Un excellent choix quand le rendement est un critère important et que l'on souhaite changer de la BigBud traditionnelle. Northern light #5 x Haze (Sensi seeds) : la fameuse NL#5 x Haze de Sensi est une variété aux rendements très élevés la plupart du temps, pour un temps de floraison de 70 à 100+ jours (souvent bien plus longue que ne l'annonce Sensi). Elle possède un effet très puissant, plus cérébral que corporel et un goût évidemment hazy, poivré, plus sucré qu'une haze pure. Elle grimpe en général assez haut et fait des têtes aérées mais d'une taille très impressionnante. 3.4. Goûts Voici donc une petite liste de variétés connues pour leurs goûts particuliers : New York City Diesel (Soma seeds) : voici une excellente variété ! La NYCD offre généralement des rendements de moyens à bons et une floraison moyennement longue pour une sativa dominante (60-80 jours). Elle possède un puissant effet balancé mais high dominant, le high dépendant beaucoup du phénotype. Son goût et son odeur sont mythiques, elle possède une forte odeur d'essence et un goût fruité allant de grapefruit à mandarine selon les phénotypes. Un must choisi par de nombreux cultivateurs expérimentés. Blueberry (DJ short) : la Blueberry : une variété très spéciale ! Elle offre généralement des rendements moyens, pour une floraison relativement rapide (une soixantaine de jours). Son effet est souvent un puissant stone corporel et cérébral, mais il n'est pas rare de trouver des phénotypes plus high. Son goût est véritablement exceptionnel, un goût fruité de baies vraiment excellent. Ses calices et feuilles pleins de résine virent au bleuté ou mauve en floraison, il existe aussi cependant d'autres phénotypes non-colorés. Mais la Blueberry n'a pas que des qualités, c'est une variété difficile à cultiver, qui encaisse mal un engraissage trop important. Elle possède une croissance généralement lente et se bouture moyennement bien. Un autre aspect que l'on peut qualifier de négatif, c'est le taux relativement important de mutants à la germination. Cependant les mutants révèlent parfois des qualités extraordinaire si on prend la peine de les faire pousser. Bubblegum (THSeeds / Serious seeds) : voir description plus haut. Celle de serious seed(très proche de l'originale): Bubblegum est originaire de l'Indiana, aux USA, et a voyagé jusqu'en Nouvelle Angleterre, avant d'arriver aux Pays Bas où elle fut travaillée sur plusieurs générations par l'équipe de Serious Seeds. Ce travail de stabilisation a été poussé jusqu'à pouvoir parler d'In Bred Line (IBL), qui contrairement à un hybride, a été croisée avec elle même assez longtemps pour ne plus exprimer de variations importantes d'une population d'individus à l'autre, on pourra alors parler de variété dite "pure". Outre son goût unique, la dégustation de Bubblegum sera accompagnée d'un effet euphorique et positif, idéal pour les activités festives par exemple. Somango (Soma seeds) : la Somango est une sativa dominante offrant des rendements moyens à faibles pour une floraison d'environ 65 jours. Son effet est cérébral avec une touche de stone et son goût est excellent, fruité rappelant la mangue, un régal. Exactement le type d'herbe qui donne envie d'en rouler un autre à cause de son goût. L'odeur qui se dégage de cette plante est extrêmement agréable. Un bon choix pour les amateurs d'herbes fruitées . Sweettooth #3 (Spice of Life seeds)(alternative blimburn) : la Sweettooth est une variété très populaire, offrant des rendements moyens à bons pour une floraison de 8 à 9 semaines. Son goût est très typique, extrêmement fruité et aigre/doux. L'effet quant à lui est un stone corporel avec une petite touche cérébrale. De temps en temps on voit les buds se colorer en fin de floraison, prenant des teintes violettes. Il faut par contre faire attention à l'humidité en fin de floraison avec cette variété qui par sa densité et son taux de résine y est particulièrement sujette. C99 (Brothers Grimm / Female Seeds) : la C99 a été développée dans le but de créer la variété parfaite : high cérébral sativa, floraison courte et goût fruité. La C99 offre des rendements généralement moyens à bons pour une floraison très rapide pour une variété majoritairement sativa, avoisinant les 60 jours. Son effet est principalement cérébral et d'une bonne puissance et son goût est excellent, fruité et sucré. Niveau structure, elle est assez haute et élancée. Il faut toutefois savoir que la banque de graines ayant créé la C99 a fermé il y a quelques années maintenant, les graines disponibles actuellement sont souvent des F4 ou F5, le résultat donne souvent de très bonnes plantes, mais la floraison est généralement un poil plus longue et le goût peut légèrement différer. Sa courte floraison et sa résistance correcte aux moisissures en font aussi une bonne variété d'extérieur, mais qui peut être tout de même sujette aux moisissures dans le nord en cas d'automne humide. Beaucoup de nouvelles banques tel que perfect three, ethos genetics ,etc sont apparues ses dernières annees et sont arrivées avec de vraie nouveauté (bien qu’issue de poly hybrides) en therme de gout et puissance de l’aromes : Pour en citer quelques unes : La mimozz de perfect three : La variété Mimozz, comme son nom le laisse deviner, provient du croisement entre la Mimosa et la Peach Ozz, toutes deux sélectionnées avec soin par l'équipe de Perfect Tree, et donnant une variété mariant parfaitement les caractères de ces deux génétiques.Nous retrouvons ainsi d'un côté une sélection de Mimosa de Symbiotic Genetics au caractère équilibré, vigoureuse et combinant l'arôme acidulé de la Clementine (Tangie x Lemon Skunk) au profil de terpènes exotique de la Purple Punch, ses deux parents. Cette plante mère a été croisée avec le clone Peach Ozz (Dying Breed Seeds) sélectionné par Perfect Tree pour sa production de résine exubérante et son parfum sucré, fruité et crémeux, enrichies de notes acidulées typiques de la famille de cannabis Zkittlez. La floraison de la Mimozz s'achève en 8 semaines: bien que les phénotypes les plus précoces semblent mûrs après 7 semaines de floraison – une semaine supplémentaire leur permettra d'arriver à pleine maturité. Une fois séchées et affinées, les fleurs de Mimozz, aux gros calices charnus et enrobés de résine, se feront remarquer tant pour leur aspect appétissant que pour leur odeur prononcée. Le profil terpénique de la variété Mimozz de Perfect Tree fera le bonheur des amateurs de cannabis au goût fruité, avec des notes d'agrumes, de pêche et de fruits exotiques sur un fond sucré et crémeux. L'effet de la Mimozz est pour sa part tranquille et détendu, relaxant et contemplatif. La chantilly de perfect three : La variété Chantilly est un hybride Indica Sativa provenant du croisement entre la variété L.A Kush Cake de Seed Junky et la sélection Perfect Tree de Jet A de la banque de graines Exotics Genetix. Le résultat donne une variété compacte et bien ramifiée, qui répond très bien à la taille apicale et à la méthode FIM, pour former des buissons formant de nombreux sites floraux, garantissant ainsi une généreuse récolte au cultivateur. La variété Chantilly arrive à maturité après environ 9 semaines de floraison en culture de cannabis indoor, pendant lesquelles elle forme de grosses grappes de fleurs denses et complètement enrobées de résine. Récolte de cannabis Chantilly, au goût de crème fouettée et de cardamome Le goût et l'odeur de la variété Chantilly peuvent varier d'un phénotype à l'autre, allant de la pâte à gâteau en passant par la crème fouettée, avec des notes de noisettes ou de cardamome et des touches de combustible. Son effet commence par une montée high et euphorique, favorisant la bonne humeur, puis évolue vers une phase stone calme et détenue. Tropic'Ozz de Perfect Tree : La Tropic Ozz est un hybride Indica Sativa facile à cultiver qui permettra à tout type de cultivateur de profiter de récoltes de première qualité en toute simplicité.Elle provient du croisement entre la variété Tropicana Cherry, combinant des notes de fruits rouges et d'agrumes, avec la Peach Ozz, célèbre pour son goût fruité de pêche. La rencontre entre ces deux génétiques donne une variété extrêmement fruitée, qui produit facilement des récoltes très riches en terpènes et en cannabinoïdes.La variété Tropic Ozz atteint une taille moyenne à haute, réagit bien à la taille et au palissage et peut être récoltée après 9 semaines de floraison en culture de cannabis indoor. La Tropic Ozz produit des fleurs denses et blanchies par une épaisse couche de résine, lui donnant un aspect très appétissant. Son goût et son odeur sont dominés par des notes de fruits exotiques comme l'ananas et les agrumes, sur un fond sucré, tandis que son effet est puissant, équilibré, favorisant la bonne humeur au niveau mental tout en étant physiquement relaxante. GMO de MAMIKO seed: Cannabis GMO: aux saveurs extrêmes d'ail et de Chemdog avec une puissance exagérée et un très bon rendement. La GMO est, à ce jour, la variété la plus célèbre de Mamiko Seeds. Il s’agit d’une sélection de 2013 faite aux États-Unis à partir de ses graines de Chem Cookies (Chemdog x Girl Scout Cookies Forum Cut). La GMO originale de Mamiko, également connue sous le nom de Garlic Cookies, a été classée par le prestigieux magazine High Times comme étant l'une des meilleures plantes en 2018. La GMO contient des terpènes Chemdog persistants et prononcés, avec des odeurs d'ail très extrêmes (Garlic Cookies). Il est recommandé d'utiliser des filtres à charbon pendant la culture en intérieur et de veiller à ce qu'ils soient dans un état de fonctionnement optimal. En ce qui concerne sa culture, elle réagit très bien aux cultures organiques et hydroponiques et c’est une génétique à la puissance exagérée, atteignant des niveaux très élevés de THC. Ce n'est pas tout, sa production avec d'énormes colas de fleurs est élevée, avec une excellente qualité de résine adaptée à la réalisation de toutes sortes d'extractions, avec des rendements que très peu de plantes atteignent – un vrai championne pour faire du hash tamisé à sec, avec le Iceolator ou des extractions de Rosin. Mamiko Seeds a créé une nouvelle œuvre à partir du clone original GMO (Chem Cookies) en version Regular en le rétrocroisant avec un mâle F1 de Birds of Fire. Les graines régulières de Chem Cookies sont une croisement entre les souches Chem Cookies x Birds of Fire (GMO x Breathwork). Cette création vise à poursuivre la lignée de cette championne désormais disponible en version Regular pour la rendre accessible à tous – jusque là, la sélection GMO n'était disponible que sous forme de boutures réservées à très peu de privilégiés. Une floraison d’environ 65-70j. 3.5. Stone Voici une liste des variétés donnant un fort effet "stoned" ou "couchlock" : Medicine man (aka white rhino) (Mr nice seeds) : la Medicine Man, plus connue sous le nom de White rhino, variante très indica de la White Widow, elle offre de bons rendements pour un temps de flo de 55 à 65 jours. Son effet est très fort et sédatif, comme un bon coup de marteau sur le crane avec une impression de peser deux fois son poids. Le goût est hashy façon afghane, avec parfois une note de citron provenant certainement de la Widow dont cette variété est issue. Une excellente variété qui ravira les amateurs d'indica au coucher. On m'a cependant rapporté que les paquets de 2007 germent mal, il est peut-être souhaitable d'attendre la constitution de nouveaux stock. White Russian (Serious seeds) : voir description plus haut. Sensi star (Paradise seeds) : la Sensi star est une excellente indica. Elle offre des rendement généralement moyens avec une floraison moyennement rapide pour une indica (60jours). Elle possède un effet stone très fort accompagné d'un high cérébral qui ont fait sa popularité, et qui la classe parmi les plus fortes indicas existantes. Son goût est citronné voir métallique parfois, un goût très plaisant. Elle est très stable et fiable, pas de soucis de ce coté. C'est une variété qui nécessite peu d'engrais et vous le fera remarquer en cas de surdosage. Ses buds sont plein de petites feuilles extrêmement résineuses ce qui en fait une très bonne variété à hash. Elle fonctionne assez bien en serre où elle donne un produit fini supérieur aux variétés typiquement extérieur. Mr Nice (Sensi seeds): RIP.. la Mr Nice est une indica connue pour sa grande puissance. Elle donne en général de bons rendements pour une flo d'une soixantaine de jours. Son effet est très puissant, très stone, elle scotche au canapé et rend très pénible toute activité musculaire. Niveau goût c'est fort et hashy, légèrement fruité. Une indica de pointe pour les amateurs de hash et d'effet sédatif. Blue Moonshine (Dutch Passion / DJ Short) : la Blue Moonshine est une version plus indica de la blueberry. Elle fleurit en 9 semaines et donne en général de bon rendements. Côté effet c'est la grosse claque stonante, compromettant toute activité physique poussée. Son goût est fort et de type blueberry mais tout de même plus hashy. Il n'est pas rare de la voir se colorer en violet/bleu lors de la floraison. Elle est généralement moins difficile à cultiver que sa sœur la blueberry, moins mutante et tolère mieux l'engraissage. Manatuska Tundra (Sagarmatha seeds) : la Manatuska est une indica qui nous vient du nord. La Manatuska est une indica aux rendements moyens qui fleurit en un peu plus de 60 jours. Peu connu des fumeurs, c'est pourtant une indica digne d'intérêt au stone sédatif puissant, et au goût hashy sucré particulier que certains rapprochent du chocolat. Attendez-vous à des plantes trapues avec des belles grosses feuilles vert sombre et des têtes denses, très résineuses avec de beaux calices gonflés. Black Domina (Sensi seeds) : la Black Domina est une des indicas mythiques de Sensi seeds. C'est une indica qui offre des rendements assez variable, allant de faibles à bons pour un temps de floraison correct pour un indica (60 jours). Son effet est un puissant stone, plus corporel que cérébral, qui vous laisse scotché à votre canapé comme une larve. Son goût est très fort, rappelant les épices et le musc. La Black Do possède une structure assez allongée pour une indica et des feuilles d'un vert sombre. Bubba kush cali connection: La variété Pre 98 Bubba obtenue par Cali Connection est une variété à forte dominance de cannabis Indica. Il est ainsi recommandé de lui donner assez de croissance puisqu'elle ne présente pas un gros stretch lors du passage en floraison, atteignant une hauteur finale limitée. Elle peut montrer des couleurs violettes en fin de floraison si les températures sont basses. Sa floraison prend 8 semaines après lesquelles elle nous récompensera de grandes productions de grosses fleurs denses et rondes, en forme de balles de golf, dégageant un parfum rappelant le chocolat, le café et le haschisch. Son effet est relaxant, physique, indiqué pour lutter contre la douleur, ainsi que pour un usage thérapeutique. Mazar i sharif dutch passion: Le goût est plus doux qu'avant et ils ont réussi à augmenter le rendement. La partie afghane Mazar-i-Sharif produit une plante très courte comme un arbre de noël, 100% Indica et très résineuse. Le croisement F-1 avec la Skunk#1 donne à cette variété une plus grosse récolte et un meilleur goût. Un très bon "high up". Comme les deux parents sont très homogènes, les rejetons le sont aussi.THC = 19,5% Gagnant du prix Soft Secrets Plant Of The Year 2014 Pakistan valley yarkun (world of seed): Pakistan Valley Early est une variété féminisée à dominance indica, originaire du nord du Pakistan. De taille moyenne, vigoureuse, avec un arôme floral et terreux, et une saveur épicée(anis voir chorizo). Effet puissant,durable voir très narcotique 21,2% thc 2% cbd . Culture facile, haute production. 3.6. High A l'inverse, voici une liste de variétés procurant un effet "high" et cérébral. En plus de la selection plus haut (ripper haze, lemon og candy,etc) nous retrouverons aussi : Amnesia Haze (Soma seeds) : l'Amnesia Haze est la Haze la plus populaire aux Pays-Bas depuis quelques années maintenant. C'est donc une Haze offrant des rendements généralement faibles à moyens pour une floraison de plus de 75 jours. Elle n'est pas une spécialité des coffees shops pour rien, son effet est un high puissant et euphorique, moins déstabilisant qu'une Neville's Haze mais pas plus faible pour autant. Son goût est typiquement hazy comme on pouvait s'y attendre, les amateurs la reconnaîtront sûrement rien qu'a l'odeur de sa fumée. Attention tout de même cette variété pousse haut et produit peu pour une floraison longue, à déconseiller aux cultivateurs/fumeurs inexpérimentés. Le fruit de plusieurs croisements à base de génétiques Thaï, Cambodian, Laotian, Jamaican Haze, Afghani Hawaiian. Cela permet de profiter d’une variété au caractère bien marqué de Sativa, qui se traduit directement par des plantes proposant une vigueur spectaculaire en croissance et un stretch conséquents lors du passage en floraison. Les plantes pourront pousser en hauteur, il faudra donc être vigilant et bien contrôler le temps de croissance pour controler la taille des plantes. Lors de la floraison qui pourra durer entre 12 et 13 semaines après le changement de photopériode, les plantes pourront produire une grande quantité de fleurs qui se développeront sur l’ensemble des branches de la plante. La production sera bien distribuée sur l’ensemble de la plante pour des récoltes particulièrement abondantes. Kali mist (Serious seeds) : la Kali Mist est une grande et belle sativa cambodgienne dominante. La Kali Mist donne des rendements moyens pour une floraison allant de 80 à 100 jours. Elle est connue pour son puissant effet high cérébral plantant et euphorique, et son goût épicé mais doux à la fois, très particulier, un délice et je pèse mes mots ! La dame pousse haut et pendant un bon mois au passage en 12/12, elle encaisse mal les variations importantes de PH. Les buds gonflent considérablement en fin de floraison, donnant une allure quelque-peu désordonnée, mais des têtes très compactes et résineuses pour une sativa. Les têtes sont presque dépourvues de feuilles, la manucure se fait en 10 minutes maxi. Marley collie (Sensi seeds) : la Marley Collie est comme on peut s'en douter la grosse jamaïcaine de Sensi seeds. C'est une variété qui fournit en général de bons rendements pour une sativa, pour une flo d'environs 12 semaines, parfois plus. Son goût est doux et épicé mais fruité en même temps, assez discret dans l'ensemble. Son effet est un high puissant de longue durée, on se sent sur un petit nuage avec une inexplicable envie de rire. Comme les autres sativas, elle grandit beaucoup en début de floraison. Neville's Haze (Mr Nice / Greenhouse) : voilà peut-être la plus puissante Haze disponible actuellement. Cette variété offre des rendements généralement moyens pour un temps de floraison long (plus de 80 jours). Son effet est extrêmement puissant, très cérébral et psychédélique, et le goût est hazy. Son temps de floraison important et son importante croissance en début de floraison la rendent difficile à appréhender pour un novice, mais avec un peu d'expérience elle ne pose pas de difficulté particulière. Une variété à réserver aux fumeurs expérimentés, sinon attention la tête... Original Haze (Flying dutchmen) : RIP.. la fameuse Haze, longtemps considérée comme la meilleure herbe sativa existante. C'est une variété qui produit généralement peu pour une très longue floraison allant de 12 à 16 semaines. Ces 2 points font qu'elle est généralement cultivée par des cultivateurs expérimentés, les débutants n'ayant en général pas la patience d'attendre une quinzaine de semaines de floraison pour un rendement faible. Mais si on a la patience d'attendre, on se retrouve avec une beuh à l'effet complètement cérébral, donnant l'impression d'être sur un petit nuage. Son goût et son odeur sont tout aussi remarquables mais difficiles à décrire, me rappelant le vieux bois ciré et les épices. Comme la plupart des sativas, elle grandit beaucoup en floraison, ce qui la rend difficile à cultiver. La Haze est donc une plante assez spéciale, son effet et son goût sont excellents, mais il faut les mériter. Killer A5 Ace seed : la Killer A5 Haze, de ACE Seeds, sans aucun doute l'un des meilleurs hybrides Sativa sur le marché d’aujourd'hui. Cette puissance génétique exotique combine la mythique A5 Haze avec la Killer Malawi, une variété landrace pure, très populaire et puissante de ACE. La Killer A5 Haze est un must pour les fans de génétiques Haze et de landraces car elle contient toutes les caractéristiques Sativa, offrant ainsi de grands rendements plus un effet psychédélique et narcotique extrêmement intense. Chiquita banana (philisopher) : La C. Banana a un terpène très fruité, sa génétique Banana fournit un bouquet de banane mûre et une forte composante sucrée accompagnée d'un fond terreux. Ses gênes OG Kush ajoutent du corps à l'hybride et augmentent le compactage des fleurs, recouvertes d'une grande quantité de résine de qualité. C.Banana, une variété très puissante avec environ 34% de THC Selon les analyses effectuées, la C.Banana est proche de 34% de THC, ce qui en fait une variété très puissante pour les consommateurs cherchant à défier leur haute tolérance acquise au fil des années. Que les initiés soient prudents... la C.Banana est vraiment relaxante et peut vous prendre en traître, sa consommation n'étant pas recommandée pour la grande majorité des tâches quotidiennes. 3.7. High / Stone Voici une liste de variétés procurant un puissant effet mélangeant high et stone : AK47 (Serious seeds) : l'AK47 est considérée par beaucoup comme la plante infaillible, on ne lui connait pas de défaut, c'est peut-être une des raisons pour laquelle on la retrouve dans presque tous les coffees shops hollandais. L'AK47 est une plante légèrement plus sativa qu'indica qui fournit de bons rendements pour une floraison de 50-65 jours. L'effet est très puissant, les bons phénotypes sont vraiment dévastateurs et clouent même les fumeurs habitués. Son goût est floral, sucré et doux, très agréable, on trouve parfois un goût de type cerise extraordinaire. La plante est très vigoureuse, relativement stable malgré quelques variations qui dans ce cas ne sont pas un mal, tous les phénotypes étant excellents. Elle produit des têtes allongées et dodues, avec un excellent ratio calices/feuilles. Une variété à cultiver au moins une fois, on a du mal à la lâcher par la suite. Jack Herer (Sensi seeds) : la Jack Herer est une variété qui est devenue très populaire depuis quelques temps en hollande, particulièrement pour sa puissance. La Jack Herer offre des rendements généralement moyens à bons pour une floraison allant de 60 à 80 jours. Son effet est un très puissant mélange entre le high cérébral et le stone corporel, effet qui a fait sa renommée. Son goût est généralement plus ordinaire, mais sympathique tout de même, skunky et fruité. Elle pousse généralement moyennement haut. Ses têtes sont denses, avec de gros calices et peu de feuilles. Une excellente variété, on regrettera tout de même son prix très élevé et sa stabilité pas toujours au top. Super Silver Haze (Mr nice) : voir description plus haut. Warlock (Magus Genetics) : voir description plus haut. Great White Shark (Mr nice/Greenhouse) : aussi connue sous le nom de Sharck Shock ou Peace Maker, est une variété très populaire qui donne de bons rendements pour un temps de flo d'environ 60 jours. Son effet est un puissant mélange entre le high cérébral et le stone corporel et son goût peut faire penser au citron. Cette variété est très agréable à cultiver, bonne vigueur et résistance, bons rendements, floraison pas trop longue et smoke très plaisant. En résumé c'est un bon hybride qui sait tirer parti des qualités de l'indica et du sativa qu'elle comporte. White widow (Greenhouse)/black Widow (chez mr nice) : est-il vraiment nécessaire de la présenter... La White Widow est une variété maintenant aussi populaire que la Skunk, elle offre des rendement moyens pour une floraison d'une soixantaine de jours. Son effet est bien équilibré entre le high sociable et le stone cérébral/corporel, effet qui lui a valu sa renommée. Son goût va du pin aux agrumes et ne laisse généralement pas indifférent. Elle est aussi très connue pour sa grande production de résine et son aspect très alléchant. Cette variété a été tellement copiée que l'on trouve à présent des Widow de toute les formes et de toutes les qualités, mais tournez-vous vers les originaux et vous comprendrez aisément pourquoi elle est si populaire. 3.8. Rapport qualité/prix Voici une liste de variétés possédant les meilleures rapport qualité/prix : Bubblegummer female seed: Cette souche à voyagé et après s'être arrêtée en Nouvelle Angleterre, elle arriva entre les mains des cultivateurs Hollandais qui se firent un plaisir de la travailler pour pouvoir la partager sous forme de graines. Il leur fallut ainsi plusieurs générations pour stabiliser et conserver toutes les caractéristiques remarquables de cette plante. La BubbleGummer de Feamale Seeds offre donc un effet euphorisant propre à la Bubble Gum, tout comme son arôme doux et sucré proche du chewing-gum, souvent très marqué sur la plupart des phénotypes. Nous remarquerons également sa floraison rapide (8 semaines), sa forte production de résine, et sa tendance à pousser en hauteur avec des branches latérales fines et peu développées. white widow big bud female seed: D'une part la Big Bud apporte sa production rapide et très élevée, de part la taille de ses fleurs et de leur très bonne répartition sur la plante, et d'autre part la White Widow assure une production de trichomes élevée assurant cet appétissante couleur blanche des têtes une fois séches, ainsi que l'odeur caractéristique White Widow reconnaissable entre mille et son effet stone bien prononcé. Big Bud x White Widow est une variété très productrice aussi bien adaptée à l'intérieur (SOG, SCROG, Supercropping) qu'à l'extérieur ou il faudra tout de même surveiller ses fleurs compactes en fin de floraison pour ne pas laisser d'éventuelles moisissures prendre des dimensions trop importantes. Skunk #1/The Pure (Sensi seeds/Flying dutchmen) : LA Skunk, elle allie bon rendements, floraison rapide (60 jours) pour un effet de puissance moyenne et le goût skunky attendu. Variété très simple à cultiver qui ne vous réservera pas de mauvaise surprise et offre une récolte de qualité même si elle est maltraitée de façon ponctuelle. Variété très uniforme et fiable, à cultiver au moins un fois dans sa vie ! Elle est disponible à environs 20euros chez la plupart des resellers. Dans le meme style de la mythique skunk1: Alladin skunk de khalifa genetics: Il s’agit d’une lignée stabilisée (IBL) qui présente à la fois une stabilité génétique et sexuelle. Toutes les plantes ont une odeur, une structure florale et une période de floraison similaires. Mis à part le fait que la hauteur finale des plantes peut varier, c’est une variété incroyablement uniforme. Contrairement à la croyance populaire, la Skunk # 1 originale n’est pas skunky/acre mais plutôt très douce et légèrement fruitée. La Skunk # 1 a été nommée ainsi parce que les plantes Skunky étaient très à la mode dans les années 70 et 80. Ce que les gens connaissent sous le nom de Roadkill Skunk (RKS) n’est pas une Skunk # 1 mais une autre lignée. Bien que la Aladdin’s Skunk fleurisse très rapidement et produise des grappes florales plutôt denses, elle affiche d’élégants bourgeons de style “Foxtail” (queue de renard) révélant ainsi son héritage Sativa. De même, les plantes s’étirent plus que la plupart des Afghanicas et les bourgeons sont assez longs. Cependant, la Aladdin’s Skunk fleurit très rapidement à l’intérieur comme à l’extérieur. Les plantes sont généralement prêtes à être récoltées fin septembre. Lorsqu’ils entrent dans la seconde moitié de la période de floraison, de nombreux spécimens déploient des feuilles à double dentelure. Les cultivateurs peuvent s’attendre à un rapport calice / feuilles élevé ainsi qu’à une production élevée de trichomes. Les glandes de résine sont très gluantes, grasses et presque humides au toucher. La Aladdin’s Skunk est également facile à manucurer et présente un grand attrait visuel une fois sèche. En observant ses fleurs scintillantes et collantes avec de beaux pistils orange vif, il est difficile d’imaginer que cette variété remonte aux années 1970! Cette Skunk a non seulement une bonne odeur et une belle apparence, mais elle est également très goûtue. La saveur est très similaire à l’odeur, très douce avec des nuances fruitées. L’effet est puissant et durable. Il est principalement euphorique et “High” au début, mais se transforme rapidement en une sensation de détente qui peut persister pendant quelques heures. La Aladdin’s Skunk est une vieille souche de Skunk # 1 pure. C’est un classique “Old School” des années 1970 et toujours à la mode aujourd’hui! Étant l’une des toutes premières variétés d’intérieur, cette souche a révolutionnée le monde du cannabis. Elle est à la fois idéale pour les débutants à la recherche d’une plante facile à cultiver et pour les breeders qui souhaitent travailler avec une variété très stable. Kalichakra (Mandala seeds) : probablement la sativa la plus appréciée chez Mandala. Elle offre en général de bons rendements pour une floraison d'un peu plus de 70 jours =. L'effet est puissant mais clair et cérébral sans véritable lourdeur, excellent en journée et soirée. Son goût est floral et légèrement épicé avec parfois selon les phénotypes un arrière goût de terre. On notera cependant un certain manque de stabilité dans cette variété. Une sativa de qualité très abordable, à essayer ! Satori (Mandala seeds) : la Satori est un hybride sativa dominant apprécié dans la collection de Mandala. Cette variété offre de bons rendements pour une floraison d'environ 70 jours. L'effet est fort et majoritairement cérébral, le goût est épicé et piquant avec une touche de citron. D'aspect, les buds sont longs et assez denses avec peu de feuilles. Un très bon choix pour ceux qui veulent une bonne sativa sans débourser une centaine d'euros. Hashberry (Mandala seeds) : la Hashberry est l'indica la plus populaire de la collection Mandala. Cette indica offre en général des rendements moyens à bons pour un temps de floraison assez long pour une indica, environs 65 jours. L'effet est fort, cérébral et corporel au début pour finir en effet narcotique. Le goût est typé berry et fruité avec un arrière goût de hash. Une très bonne indica pas chère du tout. White skunk (White label) : variante plus indica de la Skunk, la White Skunk offre en général de bon rendements pour un temps de floraison d'environs 55 jours. Son effet est très rassurant, on le sent monter doucement, effet de faible puissance très adapté aux fumeur occasionnels. Le goût est skunky et fruité. Assez facile à cultiver, c'est une bonne plante pour découvrir la culture du cannabis, de plus c'est une des variétés les moins chères que l'on puisse trouver. Elle laissera cependant de marbre les fumeurs expérimentés, qui trouveront l'effet trop faible pour eux. Doublegum (White label) : la Doublegum est une bonne alternative à l'originale Bubblegum généralement beaucoup plus chère. Elle offre des rendements moyens pour un temps de floraison avoisinant les 60 jours. Son effet est un mélange de stone et de high, plutôt doux, très peu cassant avec un goût très sucré et doux. Agréable à fumer à n'importe qu'elle période de la journée, une bonne herbe vraiment pas chère. 3.9. Débutants Voici une petite liste de variétés faciles à cultiver, qui ne nécessitent pas de vigilance particulière : Skunk #1/The Pure (Sensi seeds / Flying dutchmen) : voir description plus haut. Bubblegum (THSeeds) : voir description plus haut. AK47 (Serious seeds) : voir description plus haut. Belladonna (Paradise seeds) : voir description plus haut. Northern light (Sensi seeds) : voir description plus haut. 3.10. Outdoor voici une liste de variétés donnant de bons résultats en extérieur : Pakistan Chitral kush (ace seed) : Il s'agit d'une génétique pure originaire du Pakistan, célèbre pour son excellente production de haschisch, dont la sélection et la stabilisation commença dès les années 90 grâce à la banque de graines Cannabiogen. Pakistan Chitral Kush de Ace Seeds, indica pure d l'Hindu Kush Elle grandit avec une structure Indica en colonne, formant une multitude de branches fortes et ligneuses séparées par une distance internodale courte lui donnant un aspect buissonnant et épais.Elle ne grandit pas trop en hauteur lors du passage en floraison, mais plutôt en largeur, en particulier si on lui applique une taille apicale et la cultivons en SCROG, où elle remplira sans peine le filet.Aussi, elle est extrêmement résistante, supportant bien le froid et l'humidité, tout comme la chaleur et le manque d'eau, s'avérant idéale pour les zones hostiles et pour ceux qui souhaitent débuter dans le monde du cannabis, offrant de bons résultats pour peu d'effort. Elle présente deux phénotypes principaux, un vert et l'autre violet, tous deux très aromatiques et très productifs en terme de résine, remplissant notre culture d'arômes sucrés et exotiques, avec des notes de café, bonbon, cerise, chewing gum à la fraise et fruits des bois, en particulier en l'inhalant avec un vaporisateur de cannabis. Son effet est très plaisant, relaxant et enivrant, relaxant le corps et l'esprit et favorisant un sommeil réparateur et le repos, idéale en fin de journée ou pour les personnes au rythme de vie soutenu et stressant. Desert skunk (khalifa) : La Desert Skunk est un hybride 85% Sativa qui commence à fleurir en extérieur plus tôt que la plupart des variétés féminisées. Début juillet (hémisphère nord), elle commence à fleurir pour être récoltée début septembre avant les pluies d'automne. En plus d'être une plante à considérer pour la culture guérilla, c'est un excellent choix pour la culture en intérieur. La Desert Skunk a une durée de floraison de 60 jours et un excellent stretching (étirement pré floraison). Elle est facile à cultiver car elle nécessite peu d'entretien. Khalifa Genetics a travaillé sur la résistance à la sécheresse et la vitesse de floraison extrême de la Desert Skunk à partir de la Beldia, ainsi que sur sa grande résistance à la moisissure. Desert Skunk de Khalifa Genetics, une variété aux arômes de haschisch Old School Les arômes de la Desert Skunk sont typiques de l'ancestral haschisch marocain Beldia, un haschisch Old School avec un arôme épicé et un goût de miel. En bouche, on peut apprécier la douceur fruitée et musquée de la Skunk. La Desert Skunk est un must pour les cultivateurs guérilla, ainsi qu'une excellente plante d'extérieur. La beldia de khalifa : La variété marocaine Beldia a environ 800 ans et disparaît progressivement du Rif à cause des hybrides modernes. Les paysans l'utilisent depuis les années 1960 pour fabriquer du haschisch, connu sous le nom de "blond" ou de "Old School chocolate". Graines de Moroccan Beldia, une variété résistante à la sécheresse La Beldia est une plante facile à cultiver en intérieur comme en extérieur, c'est une plante rustique qui supporte très bien le manque d'eau et les températures élevées. C'est probablement l'une des Sativas les plus rapides – en extérieur, elle développera toute sa splendeur. Les plantes de Beldia sont vigoureuses et ont une grande ramification latérale, ce qui convient parfaitement à la méthode SOG. En intérieur, elle peut finir de fleurir en 7-9 semaines et, en extérieur, elle peut être récoltée de début août à fin septembre, car il s'agit d'une plante à floraison semi-automatique. Il est recommandé de lui fournir un substrat de qualité et de la tailler pour améliorer sa phase de croissance, même s'il s'agit d'une variété qui nécessite peu d'entretien. Effets et saveurs de la Moroccan Beldia: une variété douce, avec un effet joyeux La Beldia a un arôme sucré qui peut rappeler le miel avec un soupçon de menthe, floral et quelque peu épicé, des terpènes inhabituels dans d'autres variétés de cannabis. L'effet de la Beldia est très joyeux et clair, et ne dure généralement pas longtemps. Early maroc (philosopher) : La Early Maroc n'a pas son pareil pour la culture guérilla. Elle s'adapte facilement aux environnements hostiles et aux terrains arides, et sa grande précocité lui permettra d'être prête pour la récolte avant que les forêts ne soient envahies par les voleurs, les chasseurs, les cueilleurs de champignons et d'asperges, sans oublier les trolls! Un autre avantage de la Early Maroc est qu'elle réagit très bien dans les environnements humides, terminant sa floraison avant l'arrivée des pluies et la prolifération de champignons tels que le botrytis. Early Maroc, arômes sucrés de fraise, de chewing-gum et de poivre noir à l'effet équilibré La Early Maroc a un arôme sucré unique qui rappelle le chewing-gum à la fraise pendant la floraison. Avec le curing, elle acquiert des tons épicés (poivre noir) et boisés qui complètent son bouquet landrace. Les effets de la Early Maroc se font ressentir rapidement, l'euphorie et l'énergie apparaissent pour laisser place à la détente mentale et corporelle. Ses effets sont très équilibrés pour une plante 100% Sativa, mais ils ne sont pas prolongés dans le temps, bien que les fleurs peuvent atteindre jusqu'à 17% de THC – une teneur élevée lorsqu'il s'agit de variétés du Maroc. Jamaican pearl (Sensi seeds) : la Jamaican Pearl est une sativa d'intérieur/extérieur très populaire. Elle offre des rendement moyens à très bons pour une floraison allant de 65-100+ jours pour les phénotypes les plus "jamaicans". Son goût est assez particulier, de la saveur jamaicaine recherchée au skunky/fruité - très agréable. l'effet lui est high et cérébral, plus fort que la majorité des sativa d'outdoor. Le phénotype jamaican est un délice, très puissant high cérébral. Elle résiste assez bien aux moisissures malgré une récolte assez tardive en extérieur (mi/fin octobre), les phénotypes à longue floraison sont à éviter en extérieur mais sont rare de toute façon. Cette variété est un passage obligé pour les amateurs de sativa faisant pousser en extérieur. Biddy Early (serious seed) : voila une variété vraiment étonnante ! La Biddy Early offre un rendement généralement important pour un temps de floraison raisonnable pour l'extérieur (fin septembre à mi-octobre, et une soixantaine de jours en intérieur). Son effet est cérébral avec une touche de stone, la puissance de l'effet est une des qualités de la Biddy Early qui se trouve être bien plus puissante que la plupart des autres variétés d'extérieur. Son goût est plutôt fruité, âcre, extrêmement fort et parfois citronné en intérieur. C'est une variété assez stable (2 phénotypes) avec une impressionnante vigueur. Sa structure est très particulière, alors qu'elle semble être indica dominant en croissance, elle adopte des buds de structure typiquement sativa en floraison, résineux à souhait et suffisamment aéré pour bien résister aux moisissures. Sa vigueur et son coté sativa en floraison lui permettent d'atteindre des hauteurs importantes (dans les 3m pour une bouture en pleine terre en mai) et un rendement important avec des têtes énormes. Il faut cependant noter que certain phénotypes ont tendance à auto-fleurir, ce qui est un avantage considérable au niveau de la période de récolte, mais diminue le rendement et rend ce phénotype très difficile à conserver en plant-mère. Fraise (Cannabis helvetica) : Malheureusement éteinte depuis des année. la Fraise est une variété Suisse qui gagne en popularité ces derniers temps. Elle offre des rendements assez bon pour un temps de floraison d'environs 65 jours et une récolte début octobre en extérieur. Son goût est très doux, fruité et sucré à la fois, excellent. L'effet lui est plus commun, à classer dans les variété d'extérieur assez puissantes. Elle résiste assez bien à l'humidité et à la fraîcheur. Une variété pas chère à tester au moins une fois. Erdpurt (ace seed) : (dérivé de la mythique fraise (introuvable aujourd’hui ci-dessus)! une lignée stabilisée 100% Indica crée à partir du croisement Erdbeer x Purpuera Ticinensis pour offrir une plante au caractère Afghan prononcé qui pourra être cultivée en extérieur dans les zones les plus froides et humides, grâce à sa grande résistance aux intempéries et à la précocité de sa floraison. Cette variété de cannabis proposée ici sous forme régulière a ainsi été sélectionnée et stabilisée sur plusieurs générations dans le Nord de l'Europe pour présenter une floraison rapide, une récolte de qualité et une grande adaptabilité aux conditions défavorables, pouvant être cultivée avec succès jusqu'à 55ºN de latitude. Cette robustesse la rendra également adaptée aux cultures en altitude où la saison est souvent raccourcie par les conditions climatiques et les températures. Erdpurt produira peu de branches mais sa structure sera robuste et compacte, supportant facilement les vents forts qui peuvent affecter certaines zones, ainsi que les températures froides, pouvant survivre à plusieurs jours de gelées. Arrivant à maturité entre fin août et septembre, Erdpurt pourra présenter un caractère autoflorissant lorsqu'elle sera cultivée dans des zones situées en dessous de 45ºN ou si elle dispose de peu de substrat. Pour éviter ce désagrément, nous devront nous tourner vers des pots de culture de grand volume. C'est en floraison qu'Erdpurt ravira nos sens, par les couleurs que prennent ses feuilles, ses fleurs et ses pistils, oscillant entre des tons roses, violets et rouges, hérités de la souche de cannabis Purpuera Ticinensis. Son parfum rappellera le haschisch Yarkhun Pakistan, combinant le café à des notes de framboises et de mûres sur un fond organique et hashy. L'effet de la variété de marijuana Erdpurt sera relaxant et créatif, puissant et présentant un potentiel intéressant pour l'utilisation du cannabis à des fins thérapeutiques. Mango (KC brain) : la Mango est une variété offrant de très gros rendements en extérieur pour une floraison d'environs 50-60 jours et une récolte début octobre en extérieur. Son goût est assez fruité mais peu comparable à la mangue, et l'effet est principalement corporel et de puissance moyenne. Le rendement en extérieur est le principal attrait de cette variété capable de donner de gros buissons aux têtes énormes donnant parfois 1 kilo par plante. Il faut cependant être vigilant en fin de floraison, cette variété étant sujette aux moisissures. Early Skunk (Sensi seeds et mr nice ) : une des grands classiques de la culture en extérieur. La Early Skunk offre en général de bons rendements pour une floraison d'une cinquantaine de jours en intérieur et une récolte fin septembre - début octobre en extérieur. Son effet est de puissance moyenne et assez balancé entre le stone et le high. Le goût est skunk, fruité, avec un arrière goût légèrement amer, assez moyen lui aussi. Voila donc une variété très fiable pour l'extérieur, résistante à la moisissure, qui offre une belle récolte pour une qualité très passable. Excellente pour une premier en extérieur en guérilla. 3.11. Outdoor résistantes à la moisissure Voici une liste de variétés ayant la particularité de bien résister aux moisissures dans les climats à l'automne humide : Fraise (Cannabis helvetica) /erdpurt : voir description plus haut. Biddy early (Magus Genetics) : voir description plus haut. Durban Poison (Sensi Seeds) : la Durban Poison est une sativa Africaine précoce adaptée à la culture en intérieur et extérieur. Elle offre des rendements moyens pour une floraison d'un peu plus de 60 jours. Son effet est light et clair, une herbe d'après-midi. Le goût lui est assez particulier, un coté fruité et anisé ressort, goût assez agréable. Cette variété résiste bien à la moisissure et est résistante à beaucoup de nuisibles. Une bonne petite herbe de journée qu'on peut cultiver aussi bien en outdoor qu'en indoor. Mexican Sativa (Sensi seeds) : cette sativa offre en général des rendements faibles à moyens, avec une floraison étonnamment courte pour une sativa très dominante permettant de récolter fin septembre lors d'une bonne saison. L'effet est un high assez doux et sociable et le goût est doux et légèrement anisé. Une bonne sativa d'extérieur qui donne une bonne herbe à consommer l'après-midi. Early Pearl (Sensi seeds) : l'Early Pearl est une classique des cultures en extérieur. Elle offre des rendements moyens à bon pour une récolte fin-septembre / début-octobre en extérieur. Son goût est épicé/suave assez agréable, et l'effet est un bon mélange entre effet cérébral et corporel bien que la lourdeur disparaisse assez vite. Le principal atout de cette variété est sa résistance à la moisissure qui en fait une bonne cliente pour les cultivateurs du nord aux automnes pluvieux. Les souche athypique : Très discretes en outdoor par leurs aspect bien originaux! La freakshow : la Freakshow, caractérisée par sa morphologie très différente des plantes de cannabis traditionnelles, avec un feuillage bien différent des feuilles de cannabis classique, idéal pour les cultures en guérilla ou tout simplement pour les cannabiculteurs curieux souhaitant découvrir de nouvelles génétiques originales. Disponible sous forme de graines régulières (mâles et femelles) chez Alchimia Grow Shop. Variété Freakshow, cannabis au feuillage discret La Freakshow provient des 40 ans d'expérience dans la culture de cannabis du breeder Shapeshifter, sélectionnant et reproduisant les exemplaires les plus originaux rencontrés au cours de ses cultures. La Freakshow est composée de 90% de génétique Sativa et 10% d'Indica, donnant des plantes vigoureuses et résistantes, faciles à cultiver et versatiles. La Freakshow est un hybride de ces lignées, stabilisé sur 4 générations pour fixer ses caractéristiques et donner une lignée homogène. Ainsi, à l'instar de variétés comme la génétique Ducksfoot, la Freakshow produit un feuillage très différent des plantes de cannabis classiques, lui conférant une grande discrétion lorsqu'elle est cultivée dans un jardin au milieu de plantes ornementales. La période de floraison de la Freakshow est de 65 jours en culture de cannabis indoor, elle peut être récoltée dès le début du mois d'octobre dans l'Hémisphère Nord où elle s'adapte bien à tous types de climats. Récolte de cannabis Freakshow, Sativa au goût acidulé Malgré une morphologie très originale, les fleurs de Freakshow sont typiques du bon cannabis, généreusement recouvertes de résine riche en cannabinoïdes et terpènes. Le goût et l'odeur de la Freakshow combinent des notes épicées et boisées, de pin et d'encens, avec des touches acidulées. Contenant 18% de THC et un patrimoine génétique Sativa, la Freakshow produit un effet high et stimulant, cérébral et favorisant la créativité et l'introspection. Egalement La Frosty Purple Freak (cette version incontournable un peu plus poussée créér par khalifa genetics ) Frosty's Purple Freak de Khalifa Genetics, une variété mutante violette Après la germination, la Frosty's Purple Freak montre dès ses premières feuilles la mutation Freak, commençant à être un buisson discret dès sa naissance, semblable à la fougère, mais avec une teinte violette. La Frosty's Purple Freak commence par un développement quelque peu lent, mais augmente son taux de croissance vers la quatrième semaine, avec une croissance similaire à celle de la célèbre Skunk #1. La Frosty's Purple Freak réagit très bien à la plupart des systèmes de formation et a un développement luxuriant dû à son côté plus Indica, sa durée de floraison est d'un maximum de 65 jours, terminant sa maturation pleine de résine et de couleur pourpre. Frosty's Purple Freak de Khalifa, une variété à la saveur de terre et de baies La Frosty's Purple Freak développe un terpène complexe, vous pouvez trouver des arômes de baies ou même des arômes plus Kushy, le phénotype Berry étant généralement le plus puissant. À l'approche de la maturité, les arômes de baies sont accentués, faisant de la Frosty's Purple Freak une plante très odorante. Khalifa Genetics recommande donc l'utilisation d'un filtre à charbon en culture d'intérieur. La fumée de la Frosty's Purple Freak est terreuse et teintée de baies avec un arrière-plan de Kush, et son high euphorique cède rapidement la place à une relaxation corporelle profonde et durable. La duckfoot alias frisian duck de dutch passion: Frisian Duck tire ainsi ses origines de la célèbre variété de marijuana Ducksfoot, une génétique d'origine inconnue se caractérisant pour ses feuilles atypiques ne présentant pas la forme caractéristique du cannabis. Ceci en a fait une génétique incontournable pour la culture en guérilla, se fondant alors dans le décor sans pouvoir être reconnue par le premier randonneur venu. Des années plus tard, Dutch Passion introduit Frisan Duck, croisement avec sa célèbre variété Frisian Dew, une génétique spécialement adaptée à la culture en extérieur obtenue en croisant Super Skunk et Purple Star. Frisian Duck présente une structure en forme de sapin, atteignant jusqu'à 1.5m en culture de cannabis en intérieur, et jusqu'à 2.5m en extérieur où elle arrive à maturité au début du mois d'Octobre. Résistante et facile à cultiver, cette variété offre de bons résultats aux cultivateurs débutants comme plus expérimentés, en intérieur comme en extérieur. Ses têtes sont denses et compactes, dégageant un puissant parfum de pin de d'agrumes sur un fond boisé et épicé. Son effet est de nature Sativa, high et euphorique. Les ABC Australian Bastard Cannabis: La Monster Hunter de nomad seed issu du cannabis dit ABC: Présente une grande vigueur hybride et a une très bonne ramification, atteignant une hauteur considérable selon le phénotype. Sa production de trichomes est élevée et dégage des arômes fruités, de térébenthine et principalement houblonnés. C'est une plante de cannabis très discrète – grâce à sa morphologie (due à la mutation), elle passe inaperçue aux yeux de la grande majorité des gens... il en va de même pour ses arômes, qui ne sont pas du tout stridents, seulement certains phénotypes dégagent une forte odeur qui les trahissent, mais ce n'est pas une caractéristique très fréquente. En extérieur, la Monster Hunter commence sa floraison entre juillet et août et la termine entre fin septembre et mi-octobre, selon le phénotype. En intérieur, ses buds sont prêts à être récoltés 8 à 10 semaines après le changement de photopériode. La Monster Hunter est une génétique hybride de cannabis hors du commun, très facile à cultiver et un choix idéal pour la culture guérilla ou sur balcons. Selon Nomad Seeds, les graines de Monster Hunter ont une coquille solide – si après quelques jours les graines ne germent pas, il est conseillé de les aider en les ouvrant un peu à l'aide de vos doigts Les souches à odeur discrètes: Northern light sensi seed (citée plus haut). White rino (cité plus haut) Jack herreur (cité plus haut) Polar Express: Polar Express est une souche de cannabis à croissance rapide à croissance. C'est un croisement passionnant entre le Lowryder original (la première voiture disponible dans le commerce) avec une variété Californian Kush triée à la main et Northern Lights 5. Les effets de cette souche sont à la fois physiquement relaxants mais légèrement édifiants. Le high est certainement dominé par de forts effets physiques qui créent une belle sensation de bourdonnement, presque époustolémment éprouvant, mais fournit également une belle couche sous-jacente de stimulation cérébrale. Avec de fortes concentrations de THC (jusqu'à 15 %), Polar Express est mieux apprécié la nuit ou dans les situations où la productivité, la motivation et l'énergie ne sont pas vraiment vos plus grandes préoccupations. Bien qu'elle ne vous laisse pas complètement pliée, cette souche encouragera certainement à s'asseoir sur le canapé et à y rester un certain temps. Dans l'ensemble, il fournit une pierre très agréable qui laisse les utilisateurs se sentir heureux, euphoriques, détendus, et probablement un peu affamés. Polar Express n'est pas seulement pour un usage récréatif. En fait, il peut s'avérer très viable pour certains utilisateurs. Les effets physiques puissants peuvent s'avérer très efficaces pour soulager les symptômes physiques tels que les douleurs ou les spasmes musculaires ainsi que l'inflammation. L'euphorie globale relaxante de cette souche peut également être bénéfique pour les utilisateurs qui cherchent à réduire les symptômes de dépression, de stress, voire d'anxiété. Enfin, tous les patients de marijuana médical qui cherchent à augmenter leur appétit et à donner des coups de pied à la nausée peuvent également envisager de chercher de l'aide à cette souche. Blue Mystic(rqs): Au début de l'ère des banques de graines de cannabis, un groupe de cultivateurs expérimentés se remarquait dans les montagnes de l'Orégon et en Californie pour tester toute sortes de croisements entre variétés du monde entier. Dans ce groupe, un cultivateur légendaire, après avoir combiné des génétiques thaïlandaises et afghanes et sélectionné sur des milliers de graines, créa la mythique variété Blueberry. Royal Queen Seeds est parti de cette souche Blueberry pour créer cette variante, Blue Mystic, en la croisant avec une Northern Light. Il s'agit d'une plante au port typiquement Indica: petite et compacte, elle ne dépasse généralement pas 1 mètre de haut, adoptant une structure de bonsaï ou de brocoli. Bien qu'il s'agisse d'une plante naturellement trapue, il est recommandé de la tailler pour densifier ses ramification et augmenter le rendement. La croissance lente de Blue Mystic demande une période végétative assez importante pour un rendement maximal. La production au mètre carré est de 300 à 500 grammes, pour un temps de floraison de 8 semaines. L'arôme est doux, frais et fruité, et si l'affinage est correctement réalisé il se transformera en un parfum rafraîchissant de jus de fruits. Cette saveur intense sera accompagné d'un effet Indica tout aussi prononcé. Mataro Blue (kannabia): Pour la création de ce multi-hybride, Kannabia a réalisé une sélection de différentes variétés de marijuana Indica telles que la BlueBerry, l'Afghane originale (Mazar-i-Sharif), et la Black Domina. Ces trois génétiques ont été stabilisées avec le mâle K de Kannabia pour augmenter la production de fleurs et apporter une stabilité élevée tout au long de la culture. Le résultat du croisement de ces génétiques donne une plante de marijuana de grande vigueur et de petite taille, idéale pour la culture en SOG ou en SCROG. Durant la floraison la Mataro Blue va donner des fleurs dures et compactes couvertes d'une épaisse couche de résine, avec une production énorme de 600 g/m2 en intérieur, et facilement 700 g par plante à l'extérieur. Il est recommandé de tuteurer les plantes pour éviter que les branches se cassent sous le poids des fleurs. Une belle couleur bleue peut être observée à la fin de la floraison si les températures ambiantes sont basses. Mataro Blue est certainement un excellent choix pour les jardiniers qui cherchent une plante de marijuana avec une production de fleurs puissantes, cette variété sera idéale pour se détendre et profiter d'une soirée tranquille. Green ninja(heavyweight seed): Heavyweight Seeds Green Ninja est un choix idéal pour ceux qui ont besoin de furtivité et de discrétion. Courte et trapue, cette plante prospérera dans les plus petits espaces de culture, produisant des bourgeons épais enrobés de cristaux le long de ses branches robustes. D'autres marges discrétionnaires sont assurées pour la période de floraison rapide et l'odeur minimale, faisant de Green Ninja un must pour le jardinier urbain. Une fois récolté, cependant, le goût et l'arôme verts ninjas sont envoûtants; un mélange enivrant de fruits exotiques et d'épices mystérieuses. Comme pour les souches indica les plus fines, la haute est lourde et contemplative et doit être échantillonnée par tous les vrais connaisseurs. Avec un rapport calyx élevé/feuille, le parage est rapide et simple, ce qui est pratique car les rendements peuvent être extrêmement élevés en tenant compte de la taille courte et touffe de la plante. Si votre truc, la furtivité n'est pas plus loin que Heavyweight Green Ninja Toutankhamon (pyramid seed): La Tutankhamon de Pyramid Seeds est une sélection d'AK 47 qui comme vous le savez est l'une des plantes de cannabis les plus célèbres du marché. Son goût intense et son pourcentage de THC hors du commun on été l'objet et la caractéristique première ayant poussé la banque de graine de cannabis Pyramid Seeds à élaborer cette ample sélection rigoureuse. Tutankhamon est une plante de cannabis de petite taille, compacte et très ramifiée. Si vous en faites un pied mère, elle vous permettra de faire un grand nombre de boutures. La Tutankhamon est facile à cultiver en intérieur. En extérieur, Pyramid Seeds recommande de contrôler fréquemment l'état des plantes si vous la cultivez dans une région humide. Ses grosses têtes sont si denses qu'il vaut mieux éviter que l'humidité pénètre à l'intérieur. En Autofloraison discrètes: Toutankhamon Auto pyramid seed: La Auto Tutankhamon est partie d'un croisement entre une Ruderalis et d'une Sativa pour obtenir une grande taille et une floraison rapide. Le résultat a été fécondé par leur Tutankhamon pour finalement donner naissance à cette autofleurissante. Comme les autres variétés autofleurissantes, elle est facile à cultiver, adaptée même aux plus petits espaces et peut être cultivée entre saison que ce soit sur balcon ou terrasses. Royal jack (rqs): Cette variété de cannabis à floraison automatique tire ses origines d'un croisement entre Jack Herer avec des génétiques autoflorissantes, dans le but de raccourcir son temps de floraison au maximum. Au port semblable à celui de la Jack Herer, en colonne, avec des folioles fines, elle produira principalement une tête centrale généreuse, entourée de quelques branches secondaires. Sa taille ne dépassera pas un mètre, restant ainsi discrète dans le jardin, elle sera également parfaite pour les terrasses ou les petites chambres de culture. Aussi, elle ne demandera que 10 semaines pour être prête à la récolte, offrant des fleurs de la qualité de celles de la Jack Herer classique malgré une culture très rapide. Le goût et l'odeur de cette génétique respectent fidèlement ceux de son ancêtre, avec des touches poivrées sur un fond herbacé, frais et doux, qui se combine à la perfection avec son effet démolisseur, psychédélique et cérébral, qui relâchera les muscles. Epsilon f1 (rqs): Epsilon F1 Auto est une petite génétique de marijuana compacte et très stable, c'est un buisson vigoureux et résistant, il développe peu de branches latérales étant une plante très colonnaire. En croissance et dans les premières phases de floraison, c'est une plante de cannabis qui passe très inaperçue en termes d'arômes, elle est discrète en odeur dans les premières phases. Elle a besoin d'un cycle complet à 18/6 soit un minimum de 5-6 heures de soleil direct pour un développement optimal et sa culture a un cycle total de 60 jours jusqu'à la récolte. Epsilon F1 Auto est une variété très stable et uniforme, c'est un hybride très rapide, peut-être la plante la plus rapide des hybrides F1 de Royal Queen Seeds grâce à son pool génétique: Blue Dream, Blueberry, Amnesia Lemon Haze et Black Domina.Epsilon F1 Auto, cannabis à l'arôme d'agrumes et au goût de baies Epsilon F1 Auto a des arômes d'agrumes et d'herbes avec des notes de baies, des notes terreuses et de lavande, héritées de ses parents. Il produit une grande quantité de cannabinoïdes et de thc , ainsi que des terpènes tels que le myrcène, le farnésène, l'ocimène et le limonène. En raison de ses terpènes, l'effet dure longtemps et est très relaxant physiquement grâce au myrcène, au linalol et au farnésène. Il a un point stimulant qui augmente la motivation. Appolo F1(rqs): Apollo F1 Auto est une génétique de cannabis indica autofloraison très vigoureuse avec une grande stabilité et un terpène complexe, où apparaissent des notes de pin, de citron, d'herbes et de vanille. Il a un effet physique relaxant puissant et très équilibré qui stimule en même temps l'esprit, grâce à sa génétique F1 issue d'hybrides purs. Apollo F1 Auto est un croisement entre Lemon, Black Domina et Sugar Magnolia.Apollo F1, marijuana avec une saveur de pin et une touche d'agrumes Apollo F1 Auto a un arôme très frais, les saveurs de terpène de pin et d'herbes ressortent avec des nuances d'écorces d' agrumes mûres, avec un arrière-goût de vanille et de lavande. Quick One: La variété de cannabis Quick One fut l'une des premières souches autoflorissantes du marché, et se caractérise par la rapidité de son développement. Lors de ses débuts, Quick One faisait partie des plantes autoflorissantes les plus rapides de la planète. Issue de génétiques cannadiennes, cette variété à floraison automatique est basée sur l'originale Lowryder, elle même créée à partir de Williams Wonder, Northern Light et Ruderalis, cette dernière apportant le gène autoflorissant à la lignée, lui permettant de fleurir sans tenir compte de la photopériode. Cette variété est féminisée, de façon à n'avoir qu'à semer ses graines, puis ne récolter que des plantes femelles 8 à 9 semaines plus tard. Quick One est une plante petite et compacte, qui ne dépasse pas 50 à 60 centimètres de hauteur pour une récolte moyenne de 35 grammes par plante. Lors de la dégustation, on remarquera des arômes frais, citriques et herbacés, accompagnés d'un effet physique agréable. Green Crack (fast bud): Il s'agit d'une génétique très facile à cultiver, née de l'union entre deux phénotypes sativa de génétique Afghane (75%) avec deux phénotypes Sativa de la variété Skunk#1 (25%), obtenant ainsi une plante forte et robuste, vigoureuse et très productive. Compatible pour la culture en intérieur comme en extérieur, il s'agit d'une plante parfaite pour les amants de saveurs très sucrées, fruitées et envoûtantes. Elle grandira jusqu'à environ 120cm, avec une distance inter-nodale assez longue, ce qui donnera une plante de taille considérable, ornée de feuilles élancées de couleur verte intense. Sa floraison se termine après 55 jours, pour une récolte pouvant atteindre environ 300g/plante ou jusqu'à 650g/m2, avec des têtes beaucoup plus denses que chez la majorité des sativas, complètement couvertes de résine blanche et brillante. Les arômes que nous percevrons en nous approchant des fleurs ou en les fumant oscillent entre les fruits très acides, les agrumes et les notes terreuses, dans une combinaison exotique s'achevant par un arrière goût de mangue. Quant à ses cannabinoïdes, elle contient un niveau de 18%-20% de THC et 0.7% de CBD, provoquant un effet très énergétique, idéal pour lutter contre la fatigue, le stress et la dépression, déconseillé avant d'aller dormir. Ainsi, son effet apporte de la vigueur à notre corps et à notre esprit, stimulant la concentration et procurant une sensation d'énergie mentale, agissant tel un élixir pour les neurones.Elle aide également pour la maladie de Crohn, en régulant l'appétit et en réduisant les nausées. Auto northern light (Sensi seed): Northern Lights Autoflorissante est la réponse à une demande, née du succès de la célèbre génétique Northern Lights que beaucoup souhaitaient pouvoir cultiver une version plus rapide de cette génétique de cannabis Old School. Northern Lights Autoflorissante provient d'une lignée remarquable, puisque de la variété originale furent obtenus 3 phénotypes intéressants, le #3, le #2 et le #5. Ces trois mères ont généré de nombreux hybrides, comme la NL5x2, la Shiva Skunk, la variété NL5 x Haze... Pour obtenir cette Northern Lights Auto les phénotypes #5 et #2 ont été utilisés, puis croisées avec une souche Indica autoflorissante pour lui apporter ce trait particulier. Finalement, pour renforcer son caractère, le résultat obtenu fut croisé avec les parents de la variété Northern Lights. Il s'agit d'une plante au port Indica qui atteindra une hauteur maximale de 60 à 90cm, et commencera à fleurir 20 à 30 jours après la germination, pour un cycle de culture complet de 11 semaines. Principalement adaptée à la culture en intérieur, pourra tout de même s'épanouir en climat méditerranéen. Cette variété est peu odorante pendant la floraison, parfaite pour les cultures discrètes, mais une fois récoltées ses fleurs résineuses dégageront un doux parfum accompagné d'un effet narcotique puissant. Autofloraison "haut de gamme": Critical kush auto (barney farm): Critical Kush Auto de Barney's Farm est la réponse de cette banque de graines à une demande des cultivateurs de plantes à floraison automatique pour la puissante et productrice variété de cannabis Critical Mass. Après un méticuleux travail de sélection et de croisements avec une souche Ruderalis, les breeders de Barney's Farm ont ainsi obtenu une variété Critical aux dimensions réduites, productive, totalement autoflorissante et féminisée. Critical Kush Auto ne dépassera pas 50 à 100 centimètres, produisant une grosse tête centrale et jusqu'à 7 branches latérales très fournies en feuilles et plus encore en fleurs, d'aspect typiquement Indica. Elle commencera sa floraison après 20 jours de croissance, et atteindra sa maturité en 8 à 9 semaines depuis la germination. Think differant (dutch passion): “Penser différemment” c'est ce qu'a fait Dutch Passion en introduisant les graines féminisées dans les années 90, et de nouveau aujourd'hui avec la création de cette automatique spéciale: Think Different. Il s'agit d'un croisement entre l'AK420, hybride de la variété AK47, et une Ruderalis, duquel Dutch Passion a obtenu une lignée 60% Sativa, 20 Indica et 20% Ruderalis. Cette variété de cannabis robuste et homogène atteint l'objectif fixé par la banque de graines: une autoflorissante productive et puissante capable de rivaliser avec les meilleures variétés traditionnelles. Think Different se caractérise en effet par sa très grande production, pouvant atteindre en conditions optimales 1m à 1m50 pour 250 à 300 grammes par plante en extérieur, pour un temps de floraison de 9 semaines. En intérieur, on récoltera une moyenne de 500 gr/m² de têtes de première qualité analysées à 18% de THC. C'est une variété facile à cultiver et à la fois très puissante. Blackberry gum auto (seed stocker): Les graines Blackberry Gum Auto donnent des plantes robustes et faciles à cultiver, s'adaptant bien à tous les systèmes et modes de culture, en intérieur comme en extérieur. Le cycle complet de Blackberry Gum Auto, dure 75 jours, de la germination de graines à la récolte, pendant lesquels elle prendra facilement de belles couleurs allant du rouge au violet, pour un aspect des plus appétissants. Ces fleurs charnues, résineuses et colorées dégagent un parfum fruité et floral sur un fond terreux et épicé, accompagné d'un effet positif et relaxant favorisant la bonne humeur et luttant contre l'anxiété. thc:+23% Cheesy auto (philosoher seed): Cheesy Auto fait partie de la nouvelle ligne de graines autoflorissantes Philosopher Seeds, travaillée sur 7 générations pour pouvoir offrir une plante de cannabis Old School sous forme Automatique, pour les amants des saveurs d'autrefois. Cette variété de cannabis à floraison automatique provient du clone Elite U.K. Exodus Cheese, une sélection Skunk célèbre pour son intense arôme de fromage, croisé avec une souche Ruderalis. Après 7 générations de plantes, l'équipe de breeding de Philosopher Seeds a fixé les caractéristiques les plus remarquables de la Cheese en maintenant une floraison de 65-85 jours depuis la germination des graines. Cheesy Auto présentera une structure ramifiée et robuste, avec des feuilles d'un vert très sombre, typique de la souche UK Cheese, et ne dépassera pas une hauteur de 1 mètre, l'idéal pour les cultures de cannabis discrètes. Il est recommandé de placer les graines de cannabis germées directement dans leur pot définitif, pour favoriser un développement du système racinaire optimal dans le substrat disponible. Les plantes pourront être récoltées 65 à 85 jours après la germination, offrant alors une production généreuse qui pourra atteindre 100 grammes par plante. Les fleurs épaisses et odorantes de Cheesy Auto seront complètement couvertes de résine au parfum complexe, ce qui en fera une très bonne option pour les extractions de trichomes. Bien que cette variété ait été pensée pour les cultures de cannabis en extérieur, c'est en intérieur en photopériode 20/4h qu'elle offrira les meilleurs résultats, profitant au maximum de la lumière. Pour réduire les dépenses énergétiques ou limiter la vigueur végétative de Cheesy Auto, nous pourrons la cultiver en cycle 12/12, ce qui la rendra plus adaptée aux espaces réduits. Les propriétés organoleptiques de Cheesy Auto maintiennent le caractère de la UK Exodus Cheese, dans un mélange de fromage et épices, sur un fond sucré rappelant les fruits rouges. L'effet combine un état cérébral actif avec une forte relaxation physique, adapté aux activités artistiques requièrent de la patience et de la créativité. Gorrila zkittles (fast bud): Les résultats de la Gorilla Zkittlez Auto propose un mélange de saveurs très complexes mélangeant des terpènes classiques et modernes. Cette variété propose des touches épicés et boisé accompagné de saveurs fortes sucrées et fruitées. Elle rappellera des bonbons à l’orange sucré avec un fond de citron acide et de saveurs tropicales. Avec des taux de 25 % de THC elle propose des effets variés avec une forte sensation High parfait pour stimuler la créativité pour se changer en un long effet stone très agréable. Les effets arrivent vite durant la consommation, mais restes toujours positifs. Tropicanna poison (Sweet seed): Tropicanna Poison XL Auto est le résultat du croisement entre Tropicanna Cookies et Red Poison Auto. Tropicanna Cookies est un clone élite sélectionné, croisement entre Girl Scout Cookies x Tangie, une des variétés les plus fortes de cette famille aux USA et présentant une couleur rouge intense. Red Poison Auto présente les mêmes caractéristiques en terme de couleur, Tropicanna Poison XL Auto est ainsi une variété aux magnifiques couleurs chez 85% des individus.Tropicanna Poison XL Auto, 8 semaines à partir de la germination Il s'agit d'une variété autoflorissante très résineuse et productive avec un taux de THC pouvant atteindre 24%, ainsi qu'un profil de terpènes très riche. Tropicanna Poison XL Auto propose des arômes très intenses et sucrés dominés par la mangue, sur un fond terreux et boisé accompagné d'une touche Skunk. Tropicanna Poison XL Auto arrive à maturité 8 semaines après la germination des graines, et offre une récolte généreuse. Malawi x Northern ligh (ace seed): Cette variété, poussant avec une grande vigueur, développe une structure pyramidale très prononcée, dans laquelle se distingue une épaisse cola centrale, entourée d'une multitude de branches latérales, également imposantes. Elle produit deux phénotypes différents : l'un avec un port hybride, super productif, au goût très fruité et résineux, prêt en 9 semaines ; l'autre, avec un aspect 100% Sativa, grand et espacé, qui arrive à maturité après 10 semaines. Elle est très résistante aux champignons de type oïdium, au froid et à la chaleur et supporte bien les attaques de parasites. Il est fortement recommandé de tuteurer ses branches pour exploiter au maximum sa capacité de production. Auto Malawi x Northern Lights, de Ace Seeds : avec une saveur de yaourt aux fruits sucrés Les deux phénotypes sont très intéressants, le premier étant le plus simple à cultiver, avec un très bon rapport fleurs/feuilles. Ils ont tous deux un rendement élevé en weed, à la fois en extérieur et dans une armoire de culture d'intérieur. Ils offrent une teneur en THC allant de 10 à 15%, ce qui est parfait pour vous permettre de profiter d'un effet stimulant, mentalement lucide et créatif, qui détend le corps et l'esprit de manière progressive et agréable. Quant à sa saveur, elle mélange des notes de jus d'ananas, de poire et de pêche avec des relents de yaourt à la fraise, des touches boisées de fleurs et de céréales au miel. Citation : Je rappelle que toutes ces données sont des avis personnels issus d'observations et d'expériences personnelles, c'est uniquement mon point de vue ! J'espère que ce guide vous aura permis de voir un peu plus clair dans le monde des graines, et que votre choix sera désormais plus aisé. 5 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 20 Partager Posté(e) octobre 20 (modifié) Yop Fini je pense Nom du guide à modifier : La lumière horticole-Lumen/Kelvin/PAR Lien vers le guide concerné : Partie originale à modifier : mise à jour, remise en page, enrichissement et modification du titre : " La lumière horticole et ses mesures : Kelvin / PAR / PPFD / DLI " Modification proposée : Introduction Dans ce guide, nous aborderons les différents aspects et caractéristiques principaux de la lumière artificielle pour l'horticulture, destiné au cannabiculteur débutant. 1. Le PAR Photosynthetically Active Radiation Les récepteurs photoélectriques de la plante de cannabis peuvent exploiter l'énergie d'un spectre de lumière plus large que ce que peut capter l'œil humain. Elles utilisent des fréquences lumineuses comprises entre 380 et 740 nanomètres (nm) pour la photosynthèse. Ce spectre de lumière que la plante est capable d'absorber s'appelle PAR (radiation photosynthétique active). Il existe plusieurs façons de parler du PAR : % PAR soit le pourcentage de lumière effectivement absorbable par les plantes (le plus commun) Watts PAR soit la quantité de watts effectivement utilisés permettant d'émettre dans le PAR Il convient d’ajouter que le PAR de 400 nm-700 nm n’englobe pas toutes les longueurs d’onde utilisables : la lumière UV (ultraviolette) et les longueurs d’onde IR (infrarouge) se situent juste en dehors de cette plage, mais sont néanmoins utiles pour le cannabis (voir chapitre 5). Le PAR est donc une notion relative qui dépend de ce qu'on considère comme spectre "utile" et qui dépend également des capacités de mesure du capteur PAR. C'est donc une valeur à prendre avec des pincettes. 2. La densité lumineuse Par abus de langage, nous parlons aussi d'intensité lumineuse. L'intensité lumineuse diminue ou augmente avec les distances, ceci répond à la loi de la distance photométrique : I = lm ÷ D² (I = Intensité, lm = lumen, D = distance) Logiquement : plus la source lumineuse est proche, plus la zone éclairée est réduite, mais plus l'intensité lumineuse augmente, et inversement. C'est pour cela qu'il faut en général toujours approcher le plus possible la source lumineuse des plantes. Celle-ci peut être exprimée avec plusieurs unités de mesures : Le Lumen et le Lux qui prennent pour base de mesure l'intensité d'une bougie. Le PPF (Photosynthetic Photon Flux) et le PPFD (Photosynthetic Photon Flux Density) qui prend pour base l'émission de photons par la source lumineuse. 3. Répartition : Surface et géométrie La répartition de la lumière sur une surface donnée est essentielle : Si la source est trop proche, certaines parties de la plante peuvent recevoir une lumière excessive, tandis que d'autres seront insuffisamment éclairées. La géométrie de la lumière (courbe photométrique), appliquée à l'éclairage artificiel pour la culture indoor se concentre sur la distribution des rayons lumineux, les angles d'incidence et de réflexion, ainsi que les effets de la réfraction. En optimisant la disposition des sources lumineuses et en tenant compte de la direction et de l'intensité de la lumière, cela permet d'assurer un éclairage adéquat dans l'espace de culture. La géométrie de la lumière dans un espace donné joue donc également un rôle clé : selon l'angle et la distance de la ou les sources, la répartition lumineuse dans l'espace peut varier considérablement. Une distance adéquate "source(s) / canopé" permet d'optenir un cône de diffusion lumineuse optimal, assurant une couverture et une diffusion homogène dans les 3 dimensions, sur l'ensemble des plantes. Ainsi, il peut parfois être préférable de ne pas placer la source lumineuse trop près afin de bénéficier d'une meilleure répartition surfacique et géométrique. 4. Lumen, LUX, Candela, PPF, PPFD, DLI 3.1 Lumen, LUX et Candela Ce mesure avec un Photomètre. 1 lumen correspond au flux émis dans un angle solide de 1 stéradian par une source ponctuelle uniforme située au sommet de l'angle solide dont l'intensité vaut 1 candela 1 lumen = 1 pied chandelle = intensité d'1 bougie sur 1 pied carré blanc à 1 pied (30 cm) de distance 1 candela = 1 lm = 1 cd x sr Le lux, c'est la même chose, mais au mètre carré à 1 mètre de distance : 1 lumen = 10 Lux Ces unités de mesures sont aujourd'hui dépassées pour ce qui concerne la culture indoor. 3.2 PPF et PPFD Ce mesure avec un Quantum mètre PPF [Photosynthetic Photon Flux] exprimé en µmol/seconde. Pour simplifier, c’est la quantité de photons émis par le système. [notion de quantité totale de photon] Peut aussi représenter la quantité totale de photons reçus dans un espace. PPFD [Photosynthetic Photon Flux Density] exprimé en µmol/m². Il correspond au nombre de photons par seconde sur une surface donnée, soit la mesure de la lumière réceptionnée au sol. Le PPFD est l’unité de mesure lumineuse qui permet de juger au mieux l’efficacité d’un système d’éclairage [ notion de densité de photon ] Si cette mesure est plus scientifique que le Lumen et le Lux, elle utilise dans son calcul le PAR qui comme nous l'avons vu, est une mesure toute relative. Les fabricants de lampes de culture LED sérieux recommandent différentes hauteurs de suspension pour leurs lampes, en s'appuyant sur un schéma de répartition PPFD de leurs produits (appelé footprint : empreinte au sol). Les valeurs recommandées pour le cannabis sont résumées dans le tableau ci-contre : 3.3 DLI (Intégrale de Lumière Quotidienne) Le DLI est dérivé du PPFD. En multipliant ce nombre par 86 400 (le nombre de secondes dans une journée), on obtient une valeur appelée DLI. C'est un indice sur la quantité de lumière que la plante peut raisonnablement utiliser au cours d'une journée. On la mesure en moles par mètre carré par jour [ mol/m²/d ]. Les niveaux conseillés pour le cannabis varient en fonction de la phase de culture et de l'âge de la plante. Attention : une plante stressée ou malade verra ses besoins diminués. Si vous disposez d’une lampe de culture avec des niveaux de PPFD moyens de 750μmol/m2/s sur votre canopée, le DLI (en 24 heures) sera de 64,8 moles de lumière : 750μmol/m2/s x 86,400s = 64,800,000μmol/m2 = 64.8mol/m2 Si vous avez allumé cette lumière pendant 50% du temps de phase de floraison, c’est-à-dire 12 heures par jour, la plante de cannabis aura alors reçu 32,4 moles de lumière par jour (64,8 divisé par 2 = 32,4). 5. La couleur ou température de la lumière : Kelvin et CRI 4.1 Le Kelvin Ce mesure avec un spectrocolorimètre. Le Kelvin permet de mesurer la couleur de la lumière perçue par l'œil humain. On l'utilise pour mesurer ce qu'on appelle la température de couleur. Ainsi, les Kelvin permettent de classer les lampes en fonction du type de couleur de lumière qu’elles diffusent. Plus la quantité de Kelvin est élevée, plus la lumière est "froide" et blanche. Plus la quantité de Kelvin est faible, plus la lumière est « chaude » et jaune. Pour vous donner un ordre d’idées : le lever et le coucher du soleil sont autour de 1000 Kelvins (K), une bougie autour de 1800 K, un soleil vif sans nuage autour de 6500 K et un soleil vif en altitude autour de 10.000 K. Appliqué à l'horticulture Pour reproduire au mieux le cycle des saisons artificiellement, nous devons recréer la couleur de lumière associée. Au printemps et pendant toute la période axée autour du solstice d'été, le soleil est haut dans le ciel et éclaire longtemps. Pendant cette période, la couleur de la lumière, peu filtrée par l'atmosphère de par son angle, est plutôt bleue, autour de 6000°K et jusqu'à 10000°K quand le ciel est nuageux. La plante germe, croît, grandit sous ce spectre adapté. Quand l'automne arrive, les jours raccourcissent. La plante doit fleurir pour se reproduire avant de mourir, faire des graines, qui germeront au printemps d'après. Les jours sont plus courts, la lumière est plus rasante, plus filtrée par l'atmosphère. Ce qui donne une couleur plutôt orange/rouge, autour de 2700°K. Pour obtenir une lumière d'une température de couleur en Kelvin, plusieurs mélanges spectraux peuvent être utilisés, car différentes combinaisons de longueurs d'onde peuvent produire une même température apparente. Cependant, en culture d'intérieur, notamment avec les éclairages LED, il est crucial d'utiliser des ratios spécifiques de longueurs d'onde, comme par exemple le ratio rouge et bleu, adaptés aux besoins des plantes, ce qui limite le nombre de combinaisons possibles. Ces longueurs d'onde ciblent des processus biologiques essentiels, pour maximiser l'efficacité de la lumière sur le développement des végétaux. Par conséquent, les différents spectres et ratios adaptés à la croissance, ou floraison ou mixte des systèmes d'éclairage destinés à la culture sont très similaires, quel que soit le fabricant. C'est tout autant la photopériode qui importe dans le cycle de la plante que la température émise par la source lumineuse, les deux sont nécessaires pour obtenir les meilleurs résultats. 4.2 Le CRI Notion qui concerne principalement les LED, c'est une unité de mesure assez pointue qui intéressera ceux voulant créer un panneau LED en DIY. L'indice de rendu de couleur (IRC ou CRI) a une grande importance : il définit la qualité de la lumière émise. Il définit l’aptitude d’une source lumineuse à restituer l’ensemble des couleurs du spectre lumineux visible. La plage de variation de cet indice va de 0 à 100. 100 indique un spectre lumineux parfait c'est-à-dire englobant la totalité du spectre visible. Une source lumineuse de ce type rend toutes les couleurs avec exactitude. Plus cet indice baisse, moins la quantité de couleur restituée est de bonne qualité : Un indice d'IRC inférieur à 70 est la limite à ne pas franchir pour un éclairage de qualité suffisante. Des valeurs entre 80 et 90 sont plus adaptées pour un éclairage de qualité. 6. Les couleurs et leurs effets 5.1 Full Spectrum - Spectre complet Le terme "full spectrum" (ou "spectre complet") appliqué aux LED désigne des sources lumineuses qui émettent une large gamme continue de longueurs d'onde, couvrant l'ensemble du spectre de la lumière visible (380 à 780 nanomètres), et souvent une partie des rayons ultraviolets (UV) et infrarouges (IR). Ces lumières imitent la lumière naturelle du soleil, offrant une répartition équilibrée des couleurs, incluant les bleu, vert, jaune, rouge, ainsi que des composants UV et IR. Pour l'éclairage horticole, les LED "full spectrum" sont conçues pour favoriser la croissance optimale des plantes en fournissant les types de lumière essentiels à chaque étape de leur développement : Lumière bleue (400-500 nm) : stimule la croissance végétative, le développement des feuilles, et régule l’ouverture stomatique. Lumière rouge (600-700 nm) : essentielle pour la floraison et la fructification. Lumière verte (500-600 nm) : bien que moins absorbée, elle contribue à la photosynthèse et aide à pénétrer les couches inférieures du feuillage. Lumière UV et infrarouge : joue un rôle dans la stimulation de la production de métabolites secondaires, la protection contre les maladies et la qualité des produits. Les LED à spectre complet sont particulièrement appréciées en culture d'intérieur, car elles offrent un éclairage adapté à toutes les phases de culture, du semis à la floraison, en reproduisant les effets bénéfiques de la lumière solaire naturelle. 5.2 "Booster" - longueur d'onde ciblée Il est possible d'étendre le spectre de nos chères LED blanches dites Full Spectrum avec des "Booster" quand ils ne sont pas directement intégrés aux éclairages destinés à l'horticulture, par exemple les puces dites "Far Red" sont devenues un standard sur les panneaux LED. En effet, on sait maintenant qu'associé avec un éclairage à spectre complet ( lumière "blanche") et dans certains ratios, il est intéressant d'associer des LED de longueurs d'onde précises, comme par exemple les "rouges" Deep Red et Far Red, le "bleu", les UVA... etc Pour plus d'informations, veuillez consulter ce guide : > Booster LED : couleurs et effets Pour résumé : Lumière Rouge (620-750 nm) Photosynthèse et croissance : La lumière rouge stimule fortement la photosynthèse, ce qui favorise la production de sucres et la croissance des plantes. Elle est cruciale pour la taille et la croissance des plantes. Croissance végétative : Utiliser seulement de la lumière rouge peut provoquer un allongement excessif des tiges et des plantes moins denses. La combinaison avec la lumière bleue est donc recommandée pour une meilleure croissance (plus de feuilles, de chlorophylle, et une meilleure structure). Floraison : La lumière rouge est également importante pour la floraison, en augmentant la taille des fleurs. Lumière Rouge Lointaine (750-850 nm) Germination : Une lumière rouge lointaine excessive empêche la germination en imitant des conditions ombragées. Idéalement, on souhaite un rapport élevé de lumière rouge par rapport à la lumière rouge lointaine pour favoriser la germination. Croissance végétative : La lumière rouge lointaine allonge les tiges et réduit la production de chlorophylle et d'antioxydants, donnant des plantes moins robustes. Elle peut cependant être utilisée brièvement pour stimuler la floraison si une plante tarde à fleurir ou si l'on veut accélérer le début de floraison. Floraison : Utilisée en courtes périodes, elle accélère la floraison chez certaines espèces. Attention : les plantes associent une lumière rouge lointaine à de l'ombre. Ainsi, si vous donnez trop de lumière rouge lointaine à une plante, elle pensera qu’elle se trouve dans un environnement sombre et se mettra à s'étirer. Lumière Bleue (450-495 nm) Photosynthèse et croissance : Bien que moins efficace que la lumière rouge pour la photosynthèse, la lumière bleue aide à réguler la taille et la densité des plantes, en rendant les tiges plus courtes et les feuilles plus épaisses. Elle est souvent combinée avec la lumière rouge pour une meilleure croissance. Floraison : La lumière bleue peut aussi influencer le moment de la floraison. La lumière bleue peut favoriser la floraison du cannabis. Lumière Verte (520-560 nm) Photosynthèse : La lumière verte, bien qu'absorbée en moindre quantité, joue un rôle dans la photosynthèse et peut augmenter la hauteur des plantes lorsqu’elle est ajoutée au spectre rouge-bleu. Pénétration de la lumière verte : La lumière verte a la capacité unique de traverser les feuilles supérieures pour atteindre les parties inférieures de la plante. Cela permet de favoriser une croissance équilibrée dans la canopée. Lumières UV Effets des UV-A et UV-B : Les rayons UV-A stimulent la production de composés chimiques comme les anthocyanines, qui améliorent la couleur et la qualité des plantes. Les UV-B, bien que plus agressifs, favorisent la formation de trichomes (poils résineux), essentiels pour la production de THC et de CBD dans le cannabis. Gestion des UV : L'exposition aux UV doit être utilisée de manière stratégique, en particulier pendant les deux dernières semaines du cycle de floraison pour maximiser la production de résine sans compromettre la croissance. Les UV-B doivent être dosés prudemment pour éviter les dommages aux tissus végétaux. Les études sur le sujet ne sont pas vraiment concluante, certaines parlent d'effet contre-productif. Leurs utilisation en "booster" est expérimentale et est donc a éviter. 7. L' efficacité photonique (rendement lumineux) Mesuré en unité d'énergie produite par unité d'énergie consacrée à sa production : µmol/J (micromoles par joule) ou µmol/W (micromoles par watt) NB : Les unités µmol/J et µmol/W sont équivalentes, car 1 watt (W) est égal à 1 joule par seconde (J/s). Donc 1 µmol/J = 1 µmol/W ] Pour nos systèmes d'éclairage, il permet de connaitre la quantité de lumière produite par watts / joules utilisés. Il ne s'agit pas à proprement parler d'une unité de mesure de la lumière, mais c'est une notion très souvent associée à celle-ci. Ce rendement lumineux est une meilleure indication sur la réelle "puissance" et efficience de la source lumineuse. > Quelle lampe pour faire pousser ? 8. Appareils de mesure Les appareils pouvant mesurer le PPFD et le DLI sont extrêmement utiles, mais ceux-ci sont assez chers. Il existe une alternative : les téléphones portables. Associés à une application dédiée, ils deviennent des outils de mesure valables. Certes, la fiabilité ne vaut pas un appareil de mesure dédié, mais si l'on respecte bien les instructions, elles sont largement suffisantes pour nos usages. Conclusion Comprendre les différentes caractéristiques de la lumière artificielle est essentiel pour optimiser la culture du cannabis en intérieur. De la gestion du PAR à l'utilisation des mesures telles que le PPFD et le DLI, chaque facteur joue un rôle déterminant dans la photosynthèse et la croissance des plantes. La proximité des sources lumineuses, la qualité de la lumière mesurée en Kelvin ou encore l'importance du CRI pour restituer les couleurs du spectre lumineux sont des éléments clés pour ajuster l'éclairage en fonction des besoins spécifiques de chaque phase de croissance. Maîtriser ces paramètres permet aux cultivateurs de maximiser les rendements tout en offrant un environnement optimal aux plantes, favorisant ainsi une culture plus efficace et de meilleure qualité. Modifié octobre 28 par SweetDreamsXAE5 Final 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 20 Partager Posté(e) octobre 20 (modifié) Yop ! //// Nom du guide à modifier : HPS/MH Choix de puissance d'éclairage en fonction du volume. Lien vers le guide concerné : Partie originale à modifier : refonte complète et modification du titre : " Bien choisir la puissance d'éclairage pour ma culture " Modification proposée : Bien choisir la puissance d'éclairage pour ma culture Dans ce guide, nous aborderons la notion de dimensionnement de l'éclairage, en fonction de la surface à éclairer, pour la culture du cannabis. On cherche donc le rapport entre puissance (en Watt) sur une surface donnée. Les technologies actuellement disponibles, ET pertinente sont les technologies LED, HPS et MH. Nous n'aborderons donc que celles-ci. 1. Les Lampes à Décharge [HID] : MH (Métal Halid) et HPS (High Pressure Sodium). Les éclairages HID existent en cinq puissances fixes ce qui facilite le dimensionnement. 150 W Couverture : 0,6 m x 0,6 m Distance lampe à canopée : 17 cm 250 W Couverture : 0,8 m x 0,8 m Distance lampe à canopée : 25 - 35 cm équipé avec Cool Tube : 15 cm 400 W Couverture : 1,0 m x 1,0 m Distance lampe à canopée : 30 - 40 cm. équipé avec Cool Tube : 25 cm 600 W Couverture : 1,2 m x 1,2 m Distance lampe à canopée : 40 - 60 cm équipé avec Cool Tube : 30 cm 1000 W Couverture : 1,5 m x 1,5 m Distance lampe à canopée : 60 - 80 cm. équipé avec Cool Tube : 50 cm La règle du « trop chaud" pour la main est à appliquer : placer votre main directement en dessous de l'ampoule au niveau de la canopée. Si c’est trop chaud pour votre main, alors ça l'est également pour les plants. 2. Les éclairages LED Il existe (2024) deux technologies LED que l'on séparera en deux grandes catégories, les COB et les SMD. > Quelle lampe pour faire pousser ? Les COB étant légèrement moins efficaces que les SMD en termes d'efficacité énergétique. Si pour les lampes HID, il suffit de changer d'ampoule entre HPS et MH pour passer d'un spectre à l'autre, les LED elles, ne peuvent pas être interchangées. Elles existent sous forme de spectre : adapté à la croissance, adapté à la floraison et mixte. Cela a son importance, car le cannabis en croissance demande bien moins de puissance qu'en floraison. L'option la plus privilégiée pour ceux n'ayant qu'une box est un spectre mixte équipé d'un variateur. Pour pouvoir calculer finement la puissance nécessaire en Watt en fonction de la surface, il est nécessaire d'avoir quelques connaissances et données de base : 2.1 Comprendre le PPF, le PPFD, l'efficacité photonique et la puissance. Le PPF est mesuré en µmol/s (micromoles par seconde) et représente la quantité de lumière photosynthétiquement active (lumière utile pour la photosynthèse) émise ou reçue. Pour simplifier : la quantité de lumière émise par un éclairage. Le PPFD est mesuré en µmol/m²/s (micromoles par mètre carré par seconde) et représente la quantité de lumière photosynthétiquement active reçue sur 1m². Pour simplifier : la quantité de lumière qui atteint une surface de 1m². L'efficacité photonique est mesurée en µmol/Watt ou µmol/mJoule. C'est la capacité d'une puce LED à convertir 1 watt ou Joule en un nombre donné de photons. Plus il est élevé et plus le système est efficient. Les unités µmol/J et µmol/W sont équivalentes, car 1 watt (W) est égal à 1 joule par seconde (J/s). Donc 1 µmol/J = 1 µmol/W Les systèmes LED convertissent le courant alternatif 220V domestique en courant continu à l'aide d'un driver qui n'a pas une efficacité parfaite. Son efficacité est représentée par le facteur de puissance, d'une valeur comprise entre 0 et 1. Plus le facteur est élevé et plus la conversion est efficiente. La puissance d'entrée est la quantité d'électricité totale en watts consommée par le système. La puissance de sortie est-celle arrivant réellement aux LED en prenant en compte les pertes dues à l'efficacité du driver. Puissance de sortie" [output] = "Puissance d'entrée" [input] x Facteur de puissance > La lumière horticole et ses mesures : Kelvin / PAR / PPFD / DLI 2.2 Identifier les Besoins en PPFD Les besoins en PPFD varient selon le stade de culture de la plante. Typiquement, on utilisera : Floraison : 750 PPFD Végétatif : 350 PPFD Semis : 200 PPFD Germination : 100 PPFD jusqu'à l'apparition des premières feuilles après le cotylédon. Les valeurs maximales sont les valeurs recommandées avec l'ajout de CO². 2.3 Calculer la Surface d’Éclairage Déterminez la surface que vous souhaitez éclairer (en m²). Calcul = Longueur (mètre) x largeur (mètre) 2.4 Calculer le PPF nécessaire Pour calculer le PPF nécessaire pour la surface souhaitée , multipliez le PPFD souhaité par la surface d'éclairage : 2.5 Convertir le Flux Lumineux en Puissance Électrique Les LED ont un facteur d'efficacité photonique , (en 2024) compris entre 1,5 et 2,9 ; soit pour 1 unité d'énergie = 1,5 à 2,9 photons produits. Pour calculer précisément la puissance en Watt nécessaire qu'un système donné doit produire, on utilisera le calcul suivant : * *Les constructeurs donnent en général la puissance d'entrée et non la puissance de sortie. La puissance nécessaire dépend donc de l'efficacité photonique du système ! Attention cependant, en plus de déployer la bonne quantité d'énergie, il faut également que la répartition lumineuse du système soit adaptée à la taille de votre espace de culture. Ce sont deux aspects indissociables. Idéalement, on recherche à obtenir une diffusion la plus homogène possible de la lumière. Dans la pratique, il faut faire des compromis. Pour cela, vous n'avez pas trop le choix : vous devrez vous appuyer sur les données constructeurs pour connaitre la répartition sur une surface donnée. Exemple : Footprint (empreinte au sol) PPFD d'un panneau Quantum Board 2.6 Lecture d'une fiche de données constructeur Les fabriquants ne sont pas tous honnêtes, parfois "gonflent" les données techniques ou présentent les choses de façon biaisée. Voici quelques conseils et quelques clefs pour mieux comprendre les valeurs annoncées Soyez vigilant sur l'efficacité et la PPF annoncée. L'efficacité lumineuse (μmol/J) est le plus gros point commercial et aura donc tendance à être "gonflée" Prenons un exemple : Plusieurs valeurs et données nous intéressent içi : > Le PPF annoncé de 552 µmol/s > L'efficacité photonique : annoncée à 2,9 µmol/J elle est de 2,7 en réalité avec la protection en polycarbonate... > L' "Input" (puissance d'entrée), soit la quantitée totale d'électricité consommée par le système : 240W > le Power Factor (facteur de puissance), annoncé à 0,95. C'est la quantité de puissance (Watt) réelle convertie en lumière par rapport à la puissance consommée totale. Maintenant vérifions les données fournies par le constructeur en réalisant quelques calculs simples : Output (puissance de sortie) : La puissance d'entrée et le Facteur de puissance : Il faut utiliser la valeur "output", qui arrive effectivement à l'éclairage et non la valeur "input" qui est la consommation totale qui comprend les pertes, dans nos calculs. Puissance de sortie" [output] = "Puissance d'entrée" [input] x Facteur de puissance. L' output içi est donc de 240 x 0,95 = 228W . Pour calculer le PPF du système on utilisera la formule suivante : En réalisant le calcul avec Efficacité = 2,7 et Puissance de sortie = 228 alors PPF = 2,7 x 228 = 615,6 µmol/s Le PPF calculé d'un éclairage est déterminé en fonction des diodes et suppose un rendement de 100 %, et suppose également que le facteur de puissance du driver soit constant. De ce fait, les valeurs calculées sont souvent nettement supérieures au PPF réel / total / utilisable. Dans ce cas , avec un PPF annoncé de 552 µmol/s il y a une différence d'environ 63,6 µmol/s entre la valeur annoncée et la valeur calculée de 615 µmol/s. Ce qui semble donc cohérent avec l'affirmation précédente. Pour calculer l'éfficacité photonique on utilisera la formule suivante : Nous venons de voir que le PPF annoncé est inférieur à celui calculé. Celui-ci étant calculé avec l'efficacité lumineuse nous allons donc vérifier l'efficacité lumineuse annoncée de 2,7 µmol/J. Avec PPF annoncé à 552 µmol/s et puissance de sortie de 228w alors : Efficacité photonique réelle = 552 / 228 = 2,4 µmol/J L'efficacité réelle du système serait donc de 2,4 µmol/J et non 2,7 comme annoncé. Maintenant faisons le même calcul, mais cette fois en prenant le PPF précédemment calculé (que nous savons surévalué), soit 615,6 µmol/s et la puissance de sortie de 228W : Efficacité photonique = 615,6 / 228 = 2,7 µmol/J... comme annoncé dans les spécifications. Et il n'y a aucune donnée pouvant permettre de trouver un résultat de 2,9 µmol/J Les spécifications données ici sont donc au mieux douteuses, voire trompeuses. 2.7 Tableau de correspondance Pour ce rendre la vie plus facile, voici le tableau de correspondance pré-calcué pour les surfaces les plus standard: 2.8 Courant de fuite / courant résiduel. Pour terminer sur les LED, leurs faible consommation fait qu'il peut se produire un phénomène les amenant à rester allumées faiblement, voire à clignoter faiblement même après extinction. On parle de courant résiduel lorsque le phénomène dure quelques minutes maximum après extinction, il est simplement dû à un restant de tension dans le driver et finit par s'épuiser.. On parle de courant de fuite ou induit lorsque le phénomène est constant, le problème vient alors de l'installation électrique. Cela peut toucher toutes les LED ou seulement certaines sur le panneau. Si le courant résiduel n'a pas d'impact car très court, le courant de fuite va provoquer une perturbation du cycle de la plante en restant allumé toute la periode de nuit et doit donc être résolu. Si cela devait être le cas il faut utiliser un Timer analogique (mécanique) qui coupe le courant à l'aide d'un relais, contrairement aux timers numériques. Si c'est déjà le cas ou si le problème persiste, il faut rebrancher le timer a 180° sur sa prise. Malheureusement, en fonction du type de prise, il n'est pas toujours possible de faire cette manœuvre. Vous avez donc soit le choix d'ouvrir le Timer pour inverser la phase et le Neutre si vous savez ce que vous faites, soit de passer à la dernière solution : L'utilisation d'un timer à coupure bipolaire qui coupe donc la phase et le Neutre résout définitivement le problème. Le plus connue est le timer bipolaire du fabriquant "BionicLed". Une autre option, plus chère, consiste à utiliser un contacteur bipolaire associé à un timer pour tableau électrique.. Conclusion : Choisir la bonne puissance d'éclairage pour votre salle de culture est essentiel, non seulement pour la productivité de vos plantes, mais aussi pour en optimiser la consommation électrique. Plus de lumière n'est pas égale à plus de rendement ! Un PPFD de plus de 750 est à réservé avec un système d'adjonction de CO². Choisissez un panneau LED avec une Efficacité Élevée : Recherchez des panneaux LED avec la meilleure efficacité photonique possible (exprimée en µmol/J ou µmol/W). Cela déterminera la quantité de lumière produite pour chaque watt consommé, influençant directement votre consommation électrique à résultat égal. Attention, les constructeurs savent que c'est la première chose que l'on regarde pour faire un choix et ont donc tendance à la surestimer. N'hésitez pas a faire le calcul pour vérifier si les données sont cohérentes. Évaluer le Coût Énergétique : Considérez non seulement la puissance nécessaire, mais aussi le coût de fonctionnement sur le long terme. Des panneaux LED plus efficaces peuvent sembler plus coûteux à l’achat, mais ils peuvent réduire significativement vos factures d'électricité et donc se rentabiliser à long terme comparé à une technologie moins efficace. Si la technologie HID (HPS, MH) est bien moins efficace sur le plan énergétique et donc demande plus de Watt pour une même quantité de lumière, il faut prendre en compte que la chaleur dégagée par celle-ci peut être un atout dans un local non chauffé en période hivernale et donc limiter l'emploi d'un système de chauffage qui consomme aussi beaucoup d'énergie. Surveiller et Ajuster : Une fois installé, surveillez le comportement des plantes pour ajuster la distance entre les panneaux et les plantes si nécessaire, tout en maintenant une consommation électrique optimale. Il existe des applications pour smartphone qui permettent de faire des mesures plus ou moins précises, mais qui sont bien utiles pour évaluer "la bonne distance" et "la bonne puissance" si votre système dispose d'un dimmer (réglage de la puissance fourni). En suivant ces conseils, vous serez en mesure de faire un choix éclairé pour votre système d’éclairage, favorisant ainsi une culture optimale et productive. N’oubliez pas que chaque paramètre compte pour tirer le meilleur parti de votre investissement et de votre temps dans votre projet de culture ! Enfin n'hésitez surtout pas à passer par le Topic > Viabilité de votre installation/projet avant tout achat !!! Modifié octobre 28 par SweetDreamsXAE5 1 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 20 Partager Posté(e) octobre 20 Yop Par contre, je viens de percuter un truc… si on remplace / renomme les guides, est-ce que leur adresse URL changera ou la méthode fait que l'URL restera la même ? ++ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 20 Partager Posté(e) octobre 20 (modifié) Yop ! En construction Nom du guide à modifier : Choisir l'intraction et l'extraction Lien vers le guide concerné : Partie originale à modifier : Remise en page, mise à jour, enrichissement, modification du titre : "Air et ventilation : intraction, extraction, Filtre a Charbon et ventilateur" Modification proposée : Choisir intraction, extraction, Filtre a Charbon et ventilateur Introduction Le cannabis a besoin d’un air riche en CO₂ (dioxyde de carbone) qu'il absorbe grâce aux stomates sur ses feuilles. Il permet les échanges gazeux entre la plante et l'environnement, facilitant l'entrée de CO₂ pour la photosynthèse et la sortie de vapeur d'eau et d'oxygène. Les stomates s'ouvrent et se ferment en réponse à des facteurs environnementaux, tels que la lumière et l'humidité, régulant ainsi la transpiration et l'absorption de gaz. Le processus de photosynthèse permet de convertir le CO₂ en matière organique et en énergie, en association avec l’eau, la lumière et les nutriments. Le renouvellement et le brassage de l'air permettent un apport continu et constant de C02, mais aussi de contrôler la température, l'humidité et de prévenir le développement de moisissures ou de maladies. L'installation de filtres à charbon est indispensable en floraison pour neutraliser les odeurs puissantes émises par les plants de cannabis. Ces filtres, qui se fixent sur le système d’extraction d’air, retiennent les composés odorants avant que l’air ne soit expulsé à l'extérieur du placard. Cela permet de maintenir la discrétion, en particulier dans les environnements urbains ou partagés. En complément du système d'extraction d’air, l'utilisation de ventilateurs à l'intérieur du placard joue un rôle essentiel. Les ventilateurs permettent de faire circuler l'air autour des plantes, évitant ainsi la formation de poches d'air stagnant, qui pourraient favoriser les maladies fongiques, de poches d'air pauvres en CO2 autour des têtes / feuilles, et de manière générale, d'éviter une stratification de l'atmosphère de l'espace de culture. De plus, une légère brise stimule le renforcement des tiges des plantes, rendant les plantes plus robustes et capables de mieux soutenir leur poids, en particulier en phase de floraison. Ainsi, un bon placement des ventilateurs contribue à créer un environnement de culture optimal. 1. Extraction Elle est à placée en hauteur dans l'espace de culture, car l'air chaud et humide monte, et doit fonctionner 24Hr sur 24. On la dimensionne en utilisant la méthode suivante : 1 Watt d'éclairage = 1 mètre cube d'extraction + 25% Exemple : Pour un éclairage de 100W on prendra un extracteur d'environ 125m3 Les extracteurs doivent pouvoir fonctionner de manière optimale en tandem avec un filtre à charbon ainsi qu'une certaine longueur de gaine. Notons que l'extraction crée une dépression qui permet de garder les odeurs à l'intérieur de l'espace de culture . Cela entraîne un effort consécutif appelé "perte de charge" sur l'extracteur, ce qui réduit son efficacité. Pour simplifier, une perte de charge est une perte d'efficacité causée par un effort supplémentaire : c'est comme conduire une voiture avec une remorque chargée, elle roulera moins vite que sans. > [TUTO] Lecture Fiche Technique Extracteur, FAC, Perte de charge et Calcul de dimensionnement Il faut donc opter pour un extracteur adapté pour encaisser sans broncher et sans réduire drastiquement son débit. 1.1 Extracteurs Axiaux et Centrifuges Les extracteurs d'air axiaux et centrifuges fonctionnent de manière différente et offrent des caractéristiques distinctes : 1.1.1 Extracteur axial (OVNI, RVK, UFO etc) : L'air est déplacé parallèlement à l'axe de rotation de l'hélice. Le flux d'air passe directement à travers les pales, comme un ventilateur classique. Ce type d'extracteur ressemble à une hélice d'avion ou à un ventilateur domestique. En général, il est le plus bruyant que les extracteurs centrifuges car il génère un débit d'air rapide avec moins de contrôle sur le flux ( nous verrons plus loin dans le guide comment les rendre silencieux). Il est capable de générer un débit d'air élevé avec une pression importante. Il est donc idéal pour des applications où le besoin est principalement de déplacer beaucoup d'air sans devoir vaincre de grosses résistances. Ils sont disponibles avec plusieurs options en fonction du budget. Il existe des modèles rendus plus silencieux par conception, avec variateur à vitesse, variateur à thermosonde, variateur min-max, voire même interface RJ45 pour contrôle informatisé. 1.1.2 Extracteur centrifuge (Escargo, Torin) : L'air est aspiré par le centre de la roue du ventilateur, puis dévié perpendiculairement vers l'extérieur en raison de la force centrifuge. Le flux d'air est ainsi projeté à un angle de 90° par rapport à l'axe d'aspiration. Ce type d'extracteur est également appelé ventilateur à volute ou ventilateur en escargot à cause de sa forme en spirale. Il est souvent plus silencieux, notamment à des vitesses modérées, car l'air est déplacé plus lentement et de manière plus contrôlée. De plus il doit être obligatoirement placé dans un caisson pour être relié au circuit d'air, caisson qui, par défaut, est insonorisé ce qui le rend encore plus silencieux à l'usage. Il génère une pression très élevée, même si le débit est généralement plus faible par rapport aux extracteurs axiaux. Il est donc plus efficace dans des installations où il y a des résistances très importantes, comme les systèmes de ventilation complexes avec des conduits longs et complexe, des filtres, ou d'autres obstacles. Idéal pour les installations nécessitant une haute pression pour déplacer l'air à travers de nombreux obstacles et/ou un chemin long, complexes. 1.1.3 Moteurs EC et AC Il s'agit de la technologie du moteur électrique : Les moteurs EC (à commutation électronique) sont numériques Les moteurs AC (courant alternatif) sont analogiques. Moteurs EC : Les moteurs EC sont réputés pour leur haute efficacité énergétique. Ils utilisent une technologie avancée de contrôle de moteur, permettant un contrôle précis de la vitesse et une optimisation basée sur la demande en temps réel. Cela conduit à une consommation d'énergie réduite, en particulier dans des conditions de charge partielle, ce qui entraîne des économies d'énergie substantielles au fil du temps. Moteurs AC : Efficaces, les moteurs AC sont moins économes en énergie que les moteurs EC. Ils fonctionnent sur le principe du courant alternatif et ne disposent pas de mécanisme de contrôle avancé. Par conséquent, les moteurs à courant alternatif peuvent consommer plus d'énergie, en particulier dans les applications présentant des conditions de charge variables. 1.1.4 Contrôle du débit Le débit peut être contrôlé de plusieurs manières : Intégré : Concerne uniquement les extracteurs Axiaux. A monter : Variateur de fréquence électronique Autotransformateur 1.1.5 Réduction du bruit Dans le cas où le bruit est un facteur à prendre en compte, il existe plusieurs solutions pour l'amener à un niveau minimal. Les caissons insonorisés : Extrêmement efficaces, ils peuvent être achetés ou fabriqués en DIY. L'idée est d'enfermer l'extracteur dans une boîte recouverte de matériaux isolants pour étouffer le bruit de fonctionnement. Pour parfaire le système il est recommandé de suspendre l'extracteur à l'aide de Silent Block et faire de même avec le caisson. > Création d'un module filtration+extraction insonorisé > 📦 Fabrication caisson insonorisé > Tuto 3D Création Caisson Insonorisé Rvk Gaine insonorisé : Les gaines phoniques sont extrêmement efficaces en association avec un caisson. Cela étouffe le bruit de l'extracteur qui se propage dans les gaines ainsi que le bruit de l'air se déplaçant dans les conduits. Existe en différents matériaux isolants comme l'ouate, la laine de verre ou la fibre végétale. Comme toutes gaines, elles doivent être entièrement dépliées pour offrir le moins de résistance possible et donc de bruit aérien. Il existe également des gaines semi-rigides qui offrent un peu plus de discrétion (les parois sont plus épaisses et insonorisent donc mieux) mais sont plus complexes à mettre en place comparé aux gaines souples. Opter pour des gaines de diamètre supérieur permet de réduire la vitesse du flux et donc du bruit. Silencieu : Très efficace pour réduire le bruit en sortie d'extraction. Ce branche comme une gaine. VAriateurs / vitesses. Plus un extracteur fonctionne à plein régime et plus il est bruyant. Une façon simple et efficace pour réduire le bruit est de le faire fonctionner à une vitesse inférieure. Plusieurs stratégies sont possibles : Acheter un extracteur équipé de vitesse, le plus simple. On dimensionne l'extracteur pour que le débit souhaité corresponde à un fonctionnement à 75% voire 50. Acheté un extracteur équipé d'une régulation de débit ( généralement associé avec une sonde de température ) Idem, on le surdimensionne pour ne le faire fonctionner qu'à 75 voire 50%. Equipé l'extracteur avec un variateur à monter. Deux technologie sont possible. Il est recommandé d'utiliser un autotransformateur qui va réguler le voltage et donc la vitesse. On peut également utiliser un modèle électronique qui va hacher le courant, associé avec une sonde de température, ils apportent en plus une gestion de la température mais sont réputés pour faire "ronronner" le moteur ce qui nuit a la discrétion. Il est préférable d'opter pour un extracteur équipé d'un moteur "EC" à contrôle électronique et équipé d'un régulateur intégré plutôt que d'en faire l'ajout. 1.2 En résumé : Le choix entre un extracteur axial ou centrifuge dépend avant tout du type d'installation et des exigences en matière de pression. Par défaut, on opte généralement pour un extracteur axial, car il est économique, simple à installer, polyvalent, et peut être équipé d'un variateur intégré, voire même d'une thermosonde. Cependant, si l'installation comporte plusieurs éléments créant une forte perte de charge (en plus du filtre à charbon), tels de longues gaines avec de nombreux coudes etc, il est préférable de choisir un extracteur centrifuge. Attention, il faut être vigilant : si les pertes de charge sont plus élevées que prévu, l'extracteur centrifuge devient rapidement inefficace en termes de débit. 2. Intraction Elle est à placer dans le bas de l'espace de culture Intraction passive Le plus courant et le plus simple : l'air est aspiré dans l'espace de culture grâce a la dépression que génère l'extracteur. Il faut s'assurer qu'elles soient d'une taille totale suffisante, elle devra être 2 à 3 fois plus grande en surface que la sortie d’extraction. Exemple : Pour une sortie de 150mm de diamètre : aire en cm² = π×r² π×7,5² ≈ 176cm² . La surface d'entrés devra faire entre 176x2 et 176x3 cm² soit de 352 à528cm². Il faut également s'assurer qu'elles soient étanches à la lumière. Pour cela une longueur de gaine souple noir , un déflecteur de lumière ou autre système DIY seront nécessaires. Intraction active : Aérateurs de gaine et extracteurs TT Moins courants, on réserve leur utilisation dans le cas où l'air est puisé au travers d'un circuit d'air long ou complexe. On peut également les utiliser si l'espace subit une dépression trop importante. Dans ce cas il faut opter pour un TT d'un débit inférieur de 10 - 15% à l'extraction. Capacité Extracteur (- Filtre a charbon) x 0,75 ou 0,80 = Capacité Intraction. Les aérateurs de gaine et les extracteurs TT sont deux types de dispositifs utilisés pour la ventilation dans différents environnements, mais ils ont des caractéristiques et des applications spécifiques. 2.1 Aérateur de gaine Un aérateur de gaine est un dispositif conçu pour être installé directement dans un réseau de gaines de ventilation. Il sert à améliorer la circulation de l'air à travers ces conduits, pour insuffler de l'air neuf. Caractéristiques : Conçu pour des applications à très faible pression. Facile à installer directement dans les gaines existantes. Relativement silencieux. Utilisé dans des conduits courts sans perte de charge. Application : L'aérateur de gaine peut être utilisé pour aider a insufler de l'air dans la box. Il peut être utilisé comme extracteur si et seulement si : il n'y a pas de filtre a charbon et que la gaine derrière est courte. Cela limite son utilisation en extraction pour les petites installations en phase de germination/croissance. En AUCUN CAS on ne peut l'utiliser comme extracteur en floraison puisqu'il ne peut pas fonctionner avec un filtre à charbon ! 2.2 Type "TT" Un extracteur TT est un modèle plus puissant et polyvalent. Il est conçu pour être performant pour des applications à faible pression. Caractéristiques : Offre un bon débit d'air et capable de supporter une pression faible. Conçu pour des conduits longs ou circuits complexes. Il est plus puissant qu'un simple aérateur de gaine. Silencieux et efficace. Application : L'aérateur de gaine peut être utilisé pour insufler de l'air dans la box. Il peut être utilisé comme extracteur si et seulement si il n'y a pas de filtre a charbon. Cela limite son utilisation en extraction en phase de germination/croissance. En résumé : Un aérateur de gaine est idéal pour des applications simples : courts conduits et sans ou peu de perte de charge. Un extracteur TT, plus polyvalent, est mieux adapté aux applications nécessitant de gérer des pertes de charge faibles, tout en étant silencieux et efficace. Il peut être utilisé en extraction en phase de croissance lorsqu'aucun filtre à charbon n'est branché. En AUCUN CAS on ne peut l'utiliser comme extracteur en floraison puisqu'il ne peut pas fonctionner avec un filtre a charbon ! 2.3 Les ventilateurs "type PC" / "Sunon" À réserver dans les cas très particuliers que sont la conception de mini ou micro espaces réservés à la croissance (boutures, semis, pieds mères ...). Peut servir d'intraction et d'extraction dans cet usage précis. On les appelle ainsi par abus de langage. Les ventilateurs "types PC" sont généralement en plastique donc légers, ils ont un débit plutôt faible et n'ont que très peu de couple, ils sont très silencieux, et enfin ils fonctionnent sur des voltages de 5 a 24v (généralement 12v) en courant continu (DC) et nécessitent donc un transformateur pour fonctionner. > [TUTO] Ventilateur ultra silencieux Les "Sunon sont généralement en métal donc plus lourds, ils ont un débit et un couple bien plus élevés. Ils fonctionnent sur du 220v alternatif (AC) et peuvent donc être branchés directement à une prise de courant domestique. Ils sont moins silencieux mais restent tout de même très discrets. 3. Filtre à charbon 3.1 Généralités Un filtre à charbon, ou FAC pour faire court, est un dispositif utilisé pour purifier l'air en éliminant les impuretés et les odeurs. Il est composé de charbon actif, qui a une surface très poreuse capable de retenir de nombreux contaminants par adsorption. Dans les systèmes de culture, comme pour le cannabis, les FAC sont utilisés pour neutraliser les odeurs produites par les plantes, en maintenant un environnement discret et sans odeur. Les filtres à charbon doivent être remplacés régulièrement, car leur capacité d'adsorption est limitée et ils finissent par se saturer avec le temps. Il est possible de recharger le charbon plutôt que de racheter tout le filtre. On peut également les fabriquer en DIY. > Changement charbon actif > Filtre à charbon, gros débit, petit prix ! On le dimensionne en utilisant la méthode suivante : 1 mètre cube d'extraction = 1 mètre cube de FAC + 25% Exemple : Pour un éclairage de 100W équipé d'un extracteur de 125m3 il faudra un FAC de (125 + 25%) = 156m3 Ils sont composés d'une "chaussette" extérieure servant a préfiltrer l'air des plus grosses poussières afin d'éviter de saturer trop rapidement le charbon. D'un corps en métal ou plastique qui contient le charbon actif entre deux grilles en maille, permettant de répartir le flux d'air uniformément sur toute la longueur du filtre. De charbon actif : plus il en contient et plus l'épaisseur de la couche est importante et plus sa durée de vie et son efficacité sera grande. Terminé par une flange permettant de racorder une gaine ou un extracteur. 3.2 Les différents types de FAC Les gammes "Eco Line" / "Lite" / "Hobbies" ou assimilées contiennent moins de charbon que leurs versions standard et sont donc plus légères et durent moins longtemps mais sont moins chères. Les versions "Pro" / "Industry" ou associées contiennent plus de charbon que les versions standard et sont donc plus lourdes et durent plus longtemps mais sont plus chères. En fonction des gammes on ne retrouve pas les mêmes quantités de charbon, d'épaisseur et de qualité. Par exemple étudions les données de FAC d'environ 400m3/h des marques suivantes : Prima Klima : Eco : 440m3/h = 1,6Kg de charbon sur 3cm d'épaisseur - CTC80 Industry : 420m3/h = 2,4Kg de charbon sur 4 cm d'épaisseur - CTC 80 Carbocone : 420m3/h = 2,7Kg de charbon sur hauteur variable - CTC 80 Carbocone : 400m3/h = 3,9Kg de charbon sur hauteur variable - CTC 65 Can-Fan Original "333" = 400m3/h = 6Kg de charbon sur 5cm - CTC (info a venir) Lite plastique "2600" = 425m3/h = 3Kg de charbon sur 3cm d'épaisseur - CTC (info a venir) Lite "425" = 425m3/h = 1,9k de charbon sur 2,5cm d'épaisseur 3.3 Les différents types de charbon actif Le charbon actif lui même peut être de plusieurs qualités. Ppour simplifier il existe sous forme de grain et de granulé aggloméré. Les granulés ont plus de surface d'échange et sont donc de meilleure qualité. Un charbon actif sous forme de grain provenant d'Australie appelé "RC-48" serait considéré comme le plus efficace. Certains fabriquants utilisent du charbon issu de coco qui serait plus écologique. 3.4 Le CTC C'est l'indice du tétrachlorure de carbone (remplacé par l'indice butane) il s'agit de la qualité du charbon : plus il est élevé et plus il est de qualité. 4. Ventilateur Ils sont indispensables . Fonction de la taille de l'espace Diff ventilateur / brasseur Ventilateur mobile / immobile. //////////////// Pour que tout l'air soit renouvelé il faut un brasseur d'air entre l'intra et l'extra si possible qui couvre le haut de la canopée. Cela sert à améliorer les échanges d'air à la surface des feuilles. Ça enlève aussi l'humidité et ca améliore les échanges thermiques avec le bas. Les brasseurs d'air ne coutent pas cher.Ils ne sont jamais trop puissants. Plus un brasseur d'air est puissant plus les tiges seront renforcées..on est loin de l'intensité du mistral. Le brasseur d'air doit amener de l'air frais : En haut de la canopée : vent violent recommandé En bas des plantes douce brise : ici on peut mettre des ventilos de pc Quels cycles De plus, n'oubliez pas qu'intraction et extraction ne s'ajoute pas. Toutes ces méthodes ne donnent que le volume d'extraction minimal. Quel extracteur utiliser ? Les ventilateurs de PC Avantages Facile à trouver, coût raisonnable. L'unité utilisé pour le débit de ces ventilateur est le CFM 1 CFM = 1.698 m³/h Inconvénients Ce ne sont pas de vrais extracteurs mais surtout des brasseurs d'air. Dans des conditions difficiles, ils montrent vite leurs limites. De plus, leur puissance est limitée et on peut vite se retrouver à les multiplier. Ils ne permettent pas d'adjonction de silencieux ou de filtres à charbons. Dépression : Dans ce cas, la pression à l'intérieur de l'espace est inférieure à la pression atmosphérique de la pièce. En pratique, cela signifie que l'intraction est inférieure à l'extraction. L' avantage sera un meilleur contrôle notamment au niveau des odeurs qui resteront piégées à l'intérieur de l'espace de floraison ... L'intraction Amener l'air De l'air frais doit être amené régulièrement dans l'espace de culture. Un intracteur 160 m3/h va fournir en 15 min en théorie 40 m3 d'air soit pour le placard exemple 40/0.87= 45 fois son volume. Mais ce volume théorique n'est pas conforme à la réalité. Car le moindre coude ralentit considérablement la puissance de l'intracteur. L'air doit être en ligne le plus possible. De même la longueur des gaines doit être la plus courte possible pour réduire les pertes. Pour les espaces ou on est obligé de faire des coudes... Il faut fractionner l'extraction, et multiplier les extracteurs. Un bon extracteur en sortie, et un ou deux de type sunon, ou extracteur de salle de bain pour gaine, répartis sur les deux premier tiers. Dans ce cas de figure, on entretien un flux régulier malgré les coudes et l'extracteur principal force beaucoup beaucoup moins ! Ca permet aussi de diminuer la puissance totale d'extraction, quasiment par deux. Enfin , dernière contrainte, si on fait rentrer de l'air dans un espace clos la pression augmente et l'intracteur délivre moins d'air. On partira donc de manière arbitraire de la moitié de puissance perdue donc notre 160 m3/h se retrouve à 80 m3/h d'aspiration ce qui fait encore le volume du placard est encore renouvelé 22 fois en 15 min. Dans tous les cas L'intraction doit être située en bas du placard. Si elle est active alors une gaine peut amener l'air frais directement au pied des plantes. Si elle est passive alors il faut multiplier les ouvertures. Intraction passive Il s'agit d'une simple ouverture. Au niveau de sa taille, il n'existe pas de règles précises tant que cela permet de garder l'espace en dépression. Par contre, l'air chaud étant plus léger, il a tendance à monter. Et à contrario, l'air sera plus frais en bas. Donc, il faut placer sa prise d'air d'intraction en bas ( et la prise d'air d'extraction en haut de l'espace). Intraction active Dans ce cas, il faut éviter de trop grandes différences de puissance entre l'intracteur et l'extracteur. En effet, cela va forcer le moteur de l'intracteur et en réduire l'espérance de vie. Le meilleur compromis étant d'utiliser deux extracteurs de même puissance et un variateur afin de baisser la puissance de l'intracteur de 10 à 15%. Les carottes d'Intraction Il s'agit d'un bricolage assez simple qui permet de mieux répartir l'air frais au sein de l'espace. Pour cela, il suffit de brancher une gaine d'une part à l'intraction et d'autre part à un tube de PVC bouché sur l'une de ses extrémités. Il faut ensuite percer la face supérieure du tube de plusieurs trous (pas de règles précises, percer de petits trous et augmentez progressivement leur diamètre si cela ne suffit pas). Les différents circuits La démocratisation du matériel de culture amène de plus en plus de personnes à s'équiper d'ensemble de plus en plus complexes. Mais à chaque pièce rajoutée correspond de la gaine. La gaine doit : rester la plus rectiligne possible afin de garder un écoulement laminaire du flux être la moins longue possible afin d'éviter les pertes de charges. Les réflecteurs ventilés Au niveau du montage, la prise d'air doit se situer du côté culot afin de limiter le dépôts de poussière sur l'ampoule. De plus, il est préférable qu'elle se fasse via une gaine dont la prise se situe au sommet de l'espace. Soit, gaine --> réflecteur ventilé --> gaine --> extracteur. Les filtres à charbon Ils peuvent être branchés indifféremment en entrée ou en sortie de circuit et sont essentiels si l'on veut garder une certaine discrétion. En sortie, ils peuvent légèrement diminuer le bruit de l'extracteur dû aux turbulences. En entrée, ils doivent être placés horizontalement et en haut de l'espace. Les silencieux Ils permettent de réduire le bruit dû aux turbulences en sortie des extracteurs. Conclusion Il est essentiel d'avoir une extraction et une ventilation si l'on veut obtenir un bon contrôle de l'environnement. Modifié octobre 28 par SweetDreamsXAE5 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Heka 5 794 Posté(e) octobre 21 Partager Posté(e) octobre 21 (modifié) Bonjour SweetDreamsXAE5 ! Bravo pour le taf que tu entreprends, respect a toi a la lecture du poste sur la lumière plus haut, j'avoue être un peu embêté ici, certaines approches des choses me semble un peu obsolète ... aussi des concepts qui ne sont pas développer complètement, qui peuvent conduire a des raisonnements incomplet et des affirmations arbitraire par conséquent. ceci entretient de la confusion a mon sens. j'ai le sentiment qu'il serait bon de tenté de débroussailler les fondamentaux en premier lieux (plus facile a dire qu'a faire hélas...) alors la, je réagi vite fait chaud sur quelque trucs qui mon fais tiquer par exemple ... (je tacherais de développer si je le peu ...) Citation " La lumière horticole et ses mesures : Kelvin / PAR / PPFD / DLI " que vient faire Kelvin dans une notion de mesure "horticole" ? comme tu l'as précisé " Le Kelvin permet de mesurer la couleur de la lumière perçue par l'œil humain", il s'agit donc ici aussi d'une échelle physiologique, une T°K ne nous dit rien du spectre (de son équilibre) qui donne a notre perception cette Température. autrement dit on peu obtenir une même T°K avec des tas d'équilibres spectraux différents. ou encore, différentes sources proposant une même T°K, peuvent avoir un impacte différent sur les plantes ... Citation Il existe plusieurs façons de parler du PAR : % PAR soit le pourcentage de lumière effectivement absorbable par les plantes (le plus commun) Watts PAR soit la quantité de watts effectivement utilisés permettant d'émettre dans le PAR dans la mesure ou la plupart des leds standard émettent leurs flux dans la plage de longueurs définie par ce PAR, elle sont toutes 100% PAR ... "C'est donc une valeur à prendre avec des pincettes." tu fais bien de le précisé 😊 le "PAR" est quelque chose qui fait encore débat, il n'a pas de définition "officiel" , du coup tout le monde ne parle pas nécessairement de la même chose a son sujet ... Citation C'est pour cela qu'il faut toujours approcher le plus possible la source lumineuse des plantes. non pas toujours, si la source le permet la distance peut être quelque chose de profitable également. Citation Le lux, c'est la même chose, mais au mètre carré à 1 mètre de distance : 1 lumen = 10 Lux pas nécessairement, si on postule que 1 lm=1CD tu n'auras donc que 1 lux a 1m, il n'y a pas de relation direct entre lm et lux, cette relation est défini par la proportion de "Candela par lumen" et la nature de ton stéradian . (le lux définie la quantité de candela au m², dans tous les cas il te faut un candela pour produire un lux, par forcement un lumen ...) Citation 1 lumen correspond au flux émis dans un angle solide de 1 stéradian par une source ponctuelle uniforme située au sommet de l'angle solide dont l'intensité vaut 1 candela: 1 lm = 1 cd x sr il y a une chose fondamentale a comprendre ici, cette énoncé correspond a une proportion géométrique bien précise, c'est une situation théorique et arbitraire utile a la normalisation des unités au tableau SI . nous avons donc ici, une source situer au sommet de l'angle solide (notez par conséquent que c'est un point qui n'a pas de surface ...) et qui éclaire 1m² de la surface d'une sphère d'1m de rayon, sr a donc une ouverture d'environ 60° dans ce contexte , c'est un volume ou les proportion sont défini. dans la vrai vie, nos sources de lumière ont nécessairement une surface (leurs surface d'émission), le cône de sr se voit tronquer au sommet par cette surface. ce qui vas avoir une influence importante sur le ratio lm/cd (qui dans la vrai vie peut être positif ou négatif mais "pas souvent" égale a 1) de fait, le rapport entre la quantité de flux produit et la taille de la surface d’émission influence directement la densité/l'intensité avec la quel ce flux est produit. (le rapport lm:cd) l'ouverture de sr (qui peut également être très variable) détermine le volume dans lequel cette densité va se diffusé, et par conséquent la densité par unité de surface en un point donné de ce volume. voila il faut comprendre qu'il ne s’agit que d'une proportion ou tout les éléments qui interagisse dans cette proportion sont susceptible de varier d'une config a une autre. il est important de cerner les notions décrite par ces unités, cerner la nature de cette proportion c'est la base. comprendre la notion de densité/intensité lumineuse (la nature du Candela qui est une notion directionnelle qui quantifie la lumière projeté dans la même direction) est fondamental pour comprendre ce qui est en jeu tout simplement. il y a cette proportion qui sépare le lumen du lux ou ppf de ppfd et cette proportion a une vrai influence horticole ... bon il est tard je fatigue, je poursuivrais une autre fois si vous le voulez bien 🙃 oops! désoler pour le paver bonne nuit @+ Modifié octobre 21 par Heka 2 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
SweetDreamsXAE5 920 Posté(e) octobre 21 Partager Posté(e) octobre 21 (modifié) Yop ! Je me doutais bien que tu allais faire une apparition @Heka ! Alors s'il y a des modifications ou précisions à faire n'hésite surtout pas, on est ici pour ça 👍 surtout que la lumière, c'est ton domaine. Il y a 11 heures, Heka a dit: Que vient faire Kelvin dans une notion de mesure "horticole" ? Comme tu l'as précisé " Le Kelvin permet de mesurer la couleur de la lumière perçue par l'œil humain", il s'agit donc ici aussi d'une échelle physiologique, une T°K ne nous dit rien du spectre (de son équilibre) qui donne à notre perception cette Température. Autrement dit, on, peu obtenir une même T°K avec des tas d'équilibres spectraux différents. Ou encore, différentes sources proposant une même T°K, peuvent avoir un impact différent sur les plantes… Je tiens tout d'abord à souligner que sur ma proposition de MAJ du guide sur les lampes, j'ai vraiment très fort pensé à toi en ne mettant pas le mot "horticole" devant le mot "lampe" ou "éclairage" mais plutôt le mot "adapté pour" Concernant l'usage du mot "horticole" dans ce contexte, il s'agit de vulgarisation que j'ai trouvé pertinente dans le cadre d'un titre de guide qui se doit être explicite : "on parle dans ce guide sur les différents aspects de la lumière dans le cadre d'une culture de plantes sous éclairage artificiel". [Edit : putaing ! c'est pas mal ça comme formulation => je modifie ] Concernant la notion de T° Kelvin, on est obligé d'aborder ce concept. Quelqu'un voulant se lancer dans une culture indoor et recherchant un éclairage pour ce faire y sera forcément confronté. Mais je n'ai effectivement pas abordé le fait qu'une même température K peut être obtenue avec différents mélanges spectraux, je fais donc l'ajout. Il y a 11 heures, Heka a dit: dans la mesure ou la plupart des leds standard émettent leurs flux dans la plage de longueurs définie par ce PAR, elle sont toutes 100% PAR ... "C'est donc une valeur à prendre avec des pincettes." tu fais bien de le précisé 😊 le "PAR" est quelque chose qui fait encore débat, il n'a pas de définition "officiel" , du coup tout le monde ne parle pas nécessairement de la même chose a son sujet .. Cela ne l'est pas pour les HPS et MH qui ne sont pas 100% PAR et comme c'est un guide sur la lumière et pas le matériel, je ne voulais pas trop donner d'exemple, d'autant que comme c'est admis, c'est quelque chose de relatif. Après, je peux me tromper, mais je crois que le PAR est une unité sciemment définie arbitrairement, elle n'a pas vocation à définir / désigner toutes les longueurs d'ondes réellement utilisées par une plante, mais plutôt a créé une échelle de mesure pratique qui permet un orthonormage bien utile pour faire un classement, créé à une époque où les éclairages artificiels étaient surtout des HID non 100% PAR et/ou les connaissances sur le sujet n'étaient pas aussi avancées qu'aujourd'hui. Par ailleurs, la définition du PAR est volontairement assez vague, il n'est pas dit qu'elle comprend l'ensemble des longueurs d'onde utile, elle désigne le rayonnement "utile à la photosynthèse", toujours sans dire "l'ensemble du spectre utile a la photosynthèse". Elle ne comprend pas non plus la notion de longueur d'onde "ayant une influence" sur une plante, par exemple (pour vulgariser) les UV qui dans notre cas influe sur la production de résine, mais n'a pas de rôle dans la photosynthèse et n'est donc pas "PAR". J'ai davantage l'impression que ce flou autours de la question est essentiellement lié aux discours marketing autours de l'éclairage destiné a la culture qui a fini par créer une légende. Je sais même pas s'il serait utile d'avoir une mesure qui désigne une sorte de "PAR" incluant tous les rayonnements utilisés et ayant une influence pour une plante, puisque chaque mélange a des effets différents en fonction de chaque plante / étapes de culture… Mais je m'égare ^^ le but, c'est juste de faire de la vulgarisation pour des guides, sinon il faudrait plutôt faire un post dans "science des plantes" et ce n'est pas le sujet ici, déjà que c'est un chouille galère de faire un truc résumé suffisamment claire pour servir de guide Il y a 11 heures, Heka a dit: Citation C'est pour cela qu'il faut toujours approcher le plus possible la source lumineuse des plantes. non pas toujours, si la source le permet la distance peut être quelque chose de profitable également. Il s'agit d'un copié-collé de l'ancien guide, je vais mettre une nuance sur le sujet et précisé que "si on cherche généralement à être le plus près… etc ", après, c'est de la vulgarisation donc "pas toujours" comme tu dis, mais finalement, c'est plutôt une généralité. Après si quelqu'un pond un guide sur la géométrie par exemple, j'y mettrai un lien Edit : Bon ... okkkk... j'ai rajouté un passage sur la répartition et la géométrie ... Il y a 11 heures, Heka a dit: Citation Le lux, c'est la même chose, mais au mètre carré à 1 mètre de distance : 1 lumen = 10 Lux pas nécessairement, si on postule que 1 lm=1CD tu n'auras donc que 1 lux a 1m, il n'y a pas de relation direct entre lm et lux, cette relation est défini par la proportion de "Candela par lumen" et la nature de ton stéradian . (le lux définie la quantité de candela au m², dans tous les cas il te faut un candela pour produire un lux, par forcement un lumen ...) Citation 1 lumen correspond au flux émis dans un angle solide de 1 stéradian par une source ponctuelle uniforme située au sommet de l'angle solide dont l'intensité vaut 1 candela: 1 lm = 1 cd x sr il y a une chose fondamentale a comprendre ici, cette énoncé correspond a une proportion géométrique bien précise, c'est une situation théorique et arbitraire utile a la normalisation des unités au tableau SI . nous avons donc ici, une source situer au sommet de l'angle solide (notez par conséquent que c'est un point qui n'a pas de surface ...) et qui éclaire 1m² de la surface d'une sphère d'1m de rayon, sr a donc une ouverture d'environ 60° dans ce contexte , c'est un volume ou les proportion sont défini. "Pas nécessairement" , pareil on vulgarise et en plus approfondir sur le LUX qui comme le Lumen n'est plus une unité de mesure pertinente... ça ne vaut pas l'effort, je trouve Pour la Candela idem, développé aurait sa place dans "Science des plantes" mais pour un guide ça ne vaut pas l'effort et nuirait à la compréhension, je pense. ++ ! Modifié octobre 21 par SweetDreamsXAE5 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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