Boogerman 6 289 Posté(e) février 6, 2021 Partager Posté(e) février 6, 2021 https://www.liberation.fr/politique/legalisation-du-cannabis-dati-dit-presque-oui-20210204_6MSOMH5MJFENJAKWZOSXCLJSJE/ Légalisation du cannabis : Dati dit presque oui «On n’échappera pas à mettre un cadre sur les produits», a jugé l’ex-ministre de la Justice, entendue mercredi par une mission parlementaire. Rahcida Dati, le 29 août. (Loïc Venance/AFP) par Dominique Albertini publié le 4 février 2021 à 16h14 Les lignes continuent de bouger à droite sur la question du cannabis. Députés, maires, ils étaient déjà quelques-uns à plaider pour sa légalisation, dans une optique sécuritaire : autoriser le commerce pour «casser» le trafic, contrôler la qualité du produit et taxer sa vente. Ces audacieux ont reçu, mercredi, des signes encourageants d’un poids lourd du parti Les Républicains (LR) : la maire du VIIe arrondissement de Paris, et ex-ministre de la Justice, Rachida Dati. Interrogée dans le cadre d’une mission d’information parlementaire sur le sujet, l’élue a d’abord indiqué n’avoir «pas de position arrêtée et définitive». Le reste de son propos était pourtant moins balancé : «On n’échappera pas à mettre un cadre sur les produits, sur la production, a jugé Rachida Dati. A un moment donné, on y arrivera, et on y arrivera dans le consensus. […] Je pense qu’on peut avoir une production française très encadrée.» Avant d’ajouter que, «monopole d’Etat ou pas, on doit contrôler la distribution» du produit. Déclarations d’autant plus remarquables que Dati défendait, jusqu’à une date récente, le maintien du cadre répressif actuel : «Voulons-nous une société où les gens peuvent se droguer librement ? […] Pour ma part, je ne veux pas de cette société, exposait-elle en 2018 auprès de Mediapart. Je pense que cette liberté est un leurre, et que ça aggraverait encore plus les inégalités, pour ne pas dire les discriminations.» Quelques années plus tôt, en 2012, elle s’était dite «profondément choquée» par les «déclarations irresponsables» de la ministre Cécile Duflot, qui venait de plaider pour une dépénalisation du cannabis. «On voit des familles sombrer» Coïncidence : mercredi, l’ancienne figure écologiste intervenait elle aussi devant la mission parlementaire. Et aura entendu Rachida Dati se trouver, désormais, plusieurs avec elle. «Vous pourriez dire que j’ai évolué sur mes positions, mais j’ai évolué avec du vécu», a déclaré l’élue LR, faisant référence à son parcours de magistrate ainsi qu’à son expérience personnelle. Deux frères de l’ex-ministre ont été condamnés, dans les années 2000, pour trafic de stupéfiants. «On voit des familles entières sombrer, dévastées, a-t-elle poursuivi. Donc aujourd’hui, vous avez raison : il y a lieu de s’interroger sur l’efficacité de la répression.» Et de mettre en cause le «tabou» entourant le sujet : «Pendant très longtemps, dans les quartiers difficiles, il y avait les incendies de voitures, les violences urbaines. Cette délinquance s’est transformée en délinquance silencieuse : c’est le trafic de produits stupéfiants. J’avoue, je reconnais que ça arrangeait tout le monde : les élus, quelques éducateurs. […] On a fermé les yeux.» Que faire ? «Dire demain : ”On légalise tout, la production et la consommation”, ça va secouer la société, même si je pense que, dans les sondages, les gens sont prêts.» A titre de première étape, «sur le CBD, il y a peut-être quelque chose à faire», a poursuivi Dati, évoquant ce principe actif issu du cannabis et dont la justice européenne a récemment autorisé le commerce en France. Commentaire souriant d’un participant : sur le cannabis, «elle reste prudente, mais par contre, c’est “Welcome CBD” dans le VIIe !» 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Les lignes continuent de bouger à droite sur la question du cannabis. Députés, maires, ils étaient déjà quelques-uns à plaider pour sa légalisation, dans une optique sécuritaire : autoriser le commerce pour «casser» le trafic, contrôler la qualité du produit et taxer sa vente. Ces audacieux ont reçu, mercredi, des signes encourageants d’un poids lourd du parti Les Républicains (LR) : la maire du VIIe arrondissement de Paris, et ex-ministre de la Justice, Rachida Dati. Interrogée dans le cadre d’une mission d’information parlementaire sur le sujet, l’élue a d’abord indiqué n’avoir «pas de position arrêtée et définitive». Le reste de son propos était pourtant moins balancé : «On n’échappera pas à mettre un cadre sur les produits, sur la production, a jugé Rachida Dati. A un moment donné, on y arrivera, et on y arrivera dans le consensus. […] Je pense qu’on peut avoir une production française très encadrée.» Avant d’ajouter que, «monopole d’Etat ou pas, on doit contrôler la distribution» du produit. Déclarations d’autant plus remarquables que Dati défendait, jusqu’à une date récente, le maintien du cadre répressif actuel : «Voulons-nous une société où les gens peuvent se droguer librement ? […] Pour ma part, je ne veux pas de cette société, exposait-elle en 2018 auprès de Mediapart. Je pense que cette liberté est un leurre, et que ça aggraverait encore plus les inégalités, pour ne pas dire les discriminations.» Quelques années plus tôt, en 2012, elle s’était dite «profondément choquée» par les «déclarations irresponsables» de la ministre Cécile Duflot, qui venait de plaider pour une dépénalisation du cannabis. «On voit des familles sombrer» Coïncidence : mercredi, l’ancienne figure écologiste intervenait elle aussi devant la mission parlementaire. Et aura entendu Rachida Dati se trouver, désormais, plusieurs avec elle. «Vous pourriez dire que j’ai évolué sur mes positions, mais j’ai évolué avec du vécu», a déclaré l’élue LR, faisant référence à son parcours de magistrate ainsi qu’à son expérience personnelle. Deux frères de l’ex-ministre ont été condamnés, dans les années 2000, pour trafic de stupéfiants. «On voit des familles entières sombrer, dévastées, a-t-elle poursuivi. Donc aujourd’hui, vous avez raison : il y a lieu de s’interroger sur l’efficacité de la répression.» Et de mettre en cause le «tabou» entourant le sujet : «Pendant très longtemps, dans les quartiers difficiles, il y avait les incendies de voitures, les violences urbaines. Cette délinquance s’est transformée en délinquance silencieuse : c’est le trafic de produits stupéfiants. J’avoue, je reconnais que ça arrangeait tout le monde : les élus, quelques éducateurs. […] On a fermé les yeux.» Que faire ? «Dire demain : ”On légalise tout, la production et la consommation”, ça va secouer la société, même si je pense que, dans les sondages, les gens sont prêts.» A titre de première étape, «sur le CBD, il y a peut-être quelque chose à faire», a poursuivi Dati, évoquant ce principe actif issu du cannabis et dont la justice européenne a récemment autorisé le commerce en France. Commentaire souriant d’un participant : sur le cannabis, «elle reste prudente, mais par contre, c’est “Welcome CBD” dans le VIIe !»
MrCoconut 2 951 Posté(e) février 6, 2021 Partager Posté(e) février 6, 2021 Yo, C'est beau de tous les voir rejoindre le cours du fleuve ... Ceci dit Rachida Dati n'est pas une novice, deja a l'epoque elle nous parlait de ses retours sur extraction et de sa facon de les consommer Chere madame je pense tout comme vous que les Francais sont prets ! a+ Lien à poster Partager sur d’autres sites
mrpolo 7 743 Posté(e) février 8, 2021 Partager Posté(e) février 8, 2021 Légaliser le cannabis ? “Pourquoi pas”, répond Rachida Dati... après avoir longtemps pourfendu ses "dégâts irréversibles". POLITIQUE - Légaliser le cannabis ? “Pourquoi pas”, répond Rachida Dati. Longtemps opposée à la dépénalisation et la légalisation de l’usage de stupéfiants, l’ancienne garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy envisage désormais à voix haute d’assouplir la législation française considérée comme l’une des plus répressives des états européens jusqu’à la récente généralisation d’une amende forfaitaire délictuelle qui sera tout de même bientôt inscrite au casier judiciaire des contrevenants. “J’ai évolué sur mes positions”, a admis Rachida Dati ce 3 février, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo, lors d’une table ronde organisée par l’Assemblée nationale via la Mission d’information sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis. Jusqu’alors inflexible sur le sujet, comme en février 2018 sur LCI où elle estimait que “maintenant la majorité des responsables politiques admettent qu’il ne faut pas dépénaliser car on connaît les dégâts irréversibles du cannabis”, la maire LR du VIIe arrondissement de Paris entrevoit aujourd’hui les “vertus” d’une réglementation moins sévère. Et si ses convictions prônant une stricte interdiction se sont effritées avec le temps, c’est en raison dit-elle de son “vécu” d’ancienne magistrate et de l’implication de membres de sa famille dans des affaires de stupéfiants. De “maintenir l’interdit” à “pourquoi pas” “Il faut maintenir l’interdit [car] nous sommes un pays très en avance sur la prévention et la prise en charge médicale”, affirmait Rachida Dati en 2018 sur LCI. Mais de constater l’inverse trois ans plus tard face aux députés. “Les campagnes de sensibilisation dans les écoles, où des policiers ou un substitut du procureur viennent montrer des photos de toxicomanes, ne sont plus du tout adaptées à l’heure des réseaux sociaux où tout le monde est au courant de tout. On est encore très archaïques”, concède-t-elle. Quant à l’injonction thérapeutique prévue par le Code de la santé publique, “elle est à revoir, elle n’est pas efficace”, déplore l’ex-ministre de la Justice. Lorsque Vincent Peillon, alors ministre de l’Éducation de François Hollande, s’était prononcé en octobre 2012 pour l’ouverture d’un débat sur la dépénalisation du cannabis afin de lutter contre les trafics, Rachida Dati lui reprochait alors d’avoir exprimé une “position grave, lâche et irresponsable”. Quatre mois auparavant, elle s’en prenait à une Cécile Duflot faisant soi-disant “l’apologie d’une drogue” après que la ministre du Logement avait réaffirmé vouloir appliquer au cannabis “le même régime” réglementaire que pour l’alcool et le tabac. Presque neuf ans après, l’élue LR amorce un début d’adhésion aux préconisations de l’ancienne patronne d’EELV : “Cécile Duflot, c’est vrai que vos propositions m’interrogent. Pas en disant ‘c’est pas bien, il ne faut pas le faire’ mais cela m’interroge parce que je me dis ‘pourquoi pas’”, avance-t-elle. “On va faire secouer la société” Désormais convaincue qu’“il faut qu’on bouge sur cette législation”, Rachida Dati anticipe les contours d’une future régulation: de la production à la distribution du cannabis, la nouvelle convertie semble en pleine réflexion en se demandant si “on en fait une entreprise comme pour le tabac, c’est-à-dire qu’on en fait une économie avec des taxes ?”. Et de poursuivre son questionnement : “Faut-il une production privée et une distribution d’État ?”. Constatant que “la consommation reste parfois au même niveau” dans les pays ayant franchi le pas et que “l’effet d’aubaine du trafic” s’y effondre, la maire du VIIe arrondissement a vanté aux députés une des principales “vertu” de la légalisation : disposer de produits dont la qualité serait enfin “contrôlée”, en citant l’exemple français de la vente controversée du cannabidiol (CBD), une molécule présente dans le cannabis qui n’a “pas d’effet stupéfiant”. “Dire demain ‘on légalise tout : la production et la consommation’, on va faire secouer la société”, prévient Rachida Dati, devançant sans doute les remous prévisibles à droite, dans sa propre famille politique traditionnellement hostile aux réformes en matière de stupéfiants, tout en croyant détecter dans les enquêtes d’opinion que “les gens sont prêts” à accepter la légalisation du cannabis. Et de prévenir les législateurs : “une fois qu’on aura fait le cannabis, on aura un sujet avec les autres drogues”. Source: huffingtonpost.fr 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
unautremonde 1 191 Posté(e) février 8, 2021 Partager Posté(e) février 8, 2021 salut c'est deja ça ! ce que je trouve navrant c'est le fait qu'il n'y ai jamais aucun debut de méa culpa, autant suivre un aveugle bon high 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
psychoniac 2 Posté(e) février 9, 2021 Partager Posté(e) février 9, 2021 Salut à tous; Si même elle commence à évoluer c'est peut être un bon signe, mais c'est quand même marrant de voir cette "évolution", rapide, apparemment 😀. Ciao. Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité LittleBigMan Posté(e) février 9, 2021 Partager Posté(e) février 9, 2021 Salut, Il y a 23 heures, unautremonde a dit: navrant c'est le fait qu'il n'y ai jamais aucun debut de méa culpa il y a 29 minutes, psychoniac a dit: marrant de voir cette "évolution", rapide, apparemment J'vous raconterais bien une histoire que ma grand mère appréciait beaucoup : "la girouette de compète" aux éditions "j'veux encore plaire et reprendre une dose de pouvoir" J'hésite parce qu'elle fait un peu peur aux âmes sensibles 😉. @+ Lien à poster Partager sur d’autres sites
psychoniac 2 Posté(e) février 9, 2021 Partager Posté(e) février 9, 2021 Salut ; il y a 1 minute, LittleBigMan a dit: Salut, J'vous raconterais bien une histoire que ma grand mère appréciait beaucoup : "la girouette de compète" aux éditions "j'veux encore plaire et reprendre une dose de pouvoir" J'hésite parce qu'elle fait un peu peur aux âmes sensibles 😉. @+ Je crois que je l'a connais déjà 😂... Tchussss Lien à poster Partager sur d’autres sites
popek95 139 Posté(e) février 9, 2021 Partager Posté(e) février 9, 2021 Salut, Si deja, (je ne parle pas que pour elle mais pour tous nos politiciens qui asprirent ou ont un jour étés au pouvoir) on arretait d'emmerder le consommateur et ceux qui s'auto produise pour se concentrer sur les trafiquants mafieux se serait une belle avancée. Avant de changer la loi changeons les priorités de la police se serais pas mal deja... +++ 2 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
unautremonde 1 191 Posté(e) février 9, 2021 Partager Posté(e) février 9, 2021 salut @popek95 pour certain la legalisation est dans le programme bon choix Lien à poster Partager sur d’autres sites
popek95 139 Posté(e) février 10, 2021 Partager Posté(e) février 10, 2021 Salut @unautremonde, 8 hours ago, unautremonde said: salut @popek95 pour certain la legalisation est dans le programme bon choix Peu etre, mais bon, voyons le programme à coté, parce que y'a pas que le canna dans la vie. Si c'est pour nous la mettre sur autre chose pas sur que ce soit une avancée. Après je suis clairement pro légalisation mais pas à n'importe quelle prix, j'irai pas voter Rachida ou autre uniquement sur cette question. +++ 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
unautremonde 1 191 Posté(e) février 10, 2021 Partager Posté(e) février 10, 2021 salut @popek95 point de vue respectable je ne crois pas que la legalisation du cannabis sois un sujet politique secondaire car elle est au noeud des travers de notre societé, revelateur de l'hypocrisie dont font preuvent les gouvernements les uns apres les autres je te rapelle qu'avant l'arrivée des magnats du petrole le chanvre etait une industrie et la fumette ne posait aucun probleme le retour en arriere est difficile pour les amis du fric ceux qui avaient deja la legalisation dans leur programme( et pas du blabla de plateau) en 2017 sont les plus pragmatiques et nous feront perdre moins de temps car l'horloge climatique s'affole bon courage 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Demourok 4 072 Posté(e) février 11, 2021 Partager Posté(e) février 11, 2021 Salut Du blablabla de politique encore. Le genre , j'aurais du le faire quand j’étais au pouvoir et maintenant que j'suis retiré je balance sur les suivants qui ont pris le relai .... C'est pas la première ni la derniere a vendre du rêve. ++ 4 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
hypnos 276 Posté(e) février 24, 2021 Partager Posté(e) février 24, 2021 Yo, c'est quand même marrant ces politiciens qui tiennent des discours anti-drogue primaire quand ils sont au pouvoir et soudainement retournent leur veste quand ils ne l'ont plu (et qu'ils ne risquent plus trop de l'avoir) et qu'ils sentent le vent tourner Quel courage, ça me laisse pantois. Comme cette saucisse de Michel Vaillant qui a été un ministre de l'intérieur des plus répressif envers les usagers de drogues et qui une fois hors jeu a voulu se la jouer politicien progressiste en critiquant la prohibition qu'il a toute sa vie défendue Quel exemple. Gerbant, carrémment, le club des girouettes, enfin avec Dati tout est possible (surtout le pire) Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité petitetete Posté(e) février 24, 2021 Partager Posté(e) février 24, 2021 Salut, c’est vrai que ça fait opportuniste, mais ce doit être une qualité en politique. Mais d’un autre côté, ça fait avancer le débat. Hier l’état mettait des personnes en prison pour la vente de cannabis. Demain, l’état vendra du cannabis. Où est la morale. Pour ma part, je voterais pour le candidat qui proposera de légaliser. Je me fous complètement du programme. De toutes des façons, ils ne feront pas ce qu’il y a dans leurs programmes. Plus on sera nombreux a voter, plus le poids du vote « légaliser » sera important et donc écouté. On devrait même faire une cagnotte pour aider le candidat qui voudrait légaliser 🤔😂😂😂 Bonne journée Lien à poster Partager sur d’autres sites
unautremonde 1 191 Posté(e) février 24, 2021 Partager Posté(e) février 24, 2021 salut @petitetete certains ont deja integrés la legalisation dans leur programme des 2017 crois-tu vraiment que la multiplication des candidats sur des sujet specifiques aiderait a obtenir une politique de rupture qui apparait comme une neccessité aux yeux de tous ? est-ce vraiment le manque de candidature ou bien l'abstention qui est un probleme car chez les pro-prohibition on vote en meute amicannabissement Lien à poster Partager sur d’autres sites
hypnos 276 Posté(e) février 24, 2021 Partager Posté(e) février 24, 2021 Il y a 3 heures, petitetete a dit: Pour ma part, je voterais pour le candidat qui proposera de légaliser. Je me fous complètement du programme. De toutes des façons, ils ne feront pas ce qu’il y a dans leurs programmes. salut, @petitetete voter pour un candidat juste parce qu'il propose la légalisation me semble un peu limite, imagine qu'une Marine le pen se mette elle aussi à la proposer (plus rien ne m'étonne dans ce domaine), serais-tu prêt à voter pour elle pour cette seule raison en faisant abstraction de toute les saloperies qu'elle nous promet? j'ai beau être anti-prohibitionniste convaincu, je pense pas que tout tourne autour de ce seul débat et bien d'autres questions sont importantes, voire capitales et je ne me vois pas voter pour un bouffon en faisant abstraction du reste de son programme. C'est dur à dire mais je préfère encore un prohibitionniste à peu près honnête à une crapule pro légalisation ou qui véhicule des idées hideuses et dangereuses pour la société. On vote pas juste pour le cannabis mais pour un programme global, ça me parait délicat d'en faire abstraction et de bloquer juste sur une idée même si elle est séduisante. ça me parait un peu cynique, même si je comprend - et partage - un certain dégout de la" politique politicienne" comme on dit 2 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
bigbudo 6 425 Posté(e) février 24, 2021 Partager Posté(e) février 24, 2021 salut, D'un côté, c'est trés bien de la part d'un/d'une ancien ministre, mais elle en plus, a la particuliarité d'avoir sa famille proche qui n'a pas toujours été de bons citoyens ( ...) , notamment par rapport aux stupéfiants. J'ai connu ses frères il y a longtemps, c'étaient des sacrés loulous ! Y'a des personnes qui vont penser qu'elle est influencée, ça peut créer des polémiques ... bon gros grow Lien à poster Partager sur d’autres sites
supernova 24 Posté(e) février 24, 2021 Partager Posté(e) février 24, 2021 salut je sais pas pour vous mais je trouve ca étrange tous ces politiciens qui souhaitent un assouplissement de la legislation.... quand ils ne sont plus au pouvoir... +++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
Boogerman 6 289 Posté(e) février 25, 2021 Auteur Partager Posté(e) février 25, 2021 yop Il y a 14 heures, supernova a dit: je trouve ca étrange tous ces politiciens ya pire quand meme: a+ 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
mrpolo 7 743 Posté(e) février 25, 2021 Partager Posté(e) février 25, 2021 Hello faut pas s'emballer quand même^^ "Légaliser serait une lâcheté" : Gérald Darmanin intransigeant sur le cannabis Gérald Darmanin se montre très opposé à la légalisation du cannabis − GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP CONTROVERSE - Dans un entretien à La Provence publié ce jeudi, le ministre de l'Intérieur appelle à ne pas faire de compromis dans le combat contre les drogues. Il s'oppose notamment fermement à la légalisation du cannabis. 25 févr. 12:16 - Maxence GEVIN Ne rien concéder. Interrogé par La Provence, Gérald Darmanin a martelé que la drogue constituait un fléau qu'il fallait éradiquer. À ce titre, il estime qu'aucune concession ne doit être faite, y compris en matière de cannabis. "Légaliser serait une lâcheté", assène-t-il. "Parce qu’on sait que c’est du poison, que c’est au cœur de toutes les formes de délinquances et de trafics. Derrière le trafic de drogue, il y a des cambriolages et des agressions pour se payer sa dose mais aussi du décrochage scolaire. Enfin, il faut avoir en tête que cet argent sale finance en partie le terrorisme." Si pour le ministre de l'Intérieur la drogue "détruit des familles" et "touche toutes les classes sociales", "la jeunesse" reste pour lui la première frappée par ses conséquences nocives. Une autre raison, selon lui, de s'opposer à toute forme de légalisation. "Je note que dès que des responsables politiques évoquent les principes de la légalisation, cela donne des coups aux pères et aux mères de famille qui essayent d’expliquer à leurs enfants, avec lesquels parfois même ils se fâchent, de ne pas tomber dans la drogue." Appellant à "soutenir l’autorité parentale", Gérald Darmanin assure ne pas voir "comment y parvenir en prônant la légalisation". Les gens malhonnêtes ne deviendront pas soudainement honnêtes- Gérald Darmanin Autre argument utilisé au cours de cet entretien par le ministre de l'Intérieur : une hypothétique légalisation n'engendrait pas nécessairement moins de criminalité, moins de blanchiment d'argent. "Quand bien même on légaliserait, vous croyez que les dealers marseillais ouvriraient une petite boutique en déclarant leurs impôts à l’Urssaf ? Bien sûr que non. Ils ont été habitués au 'black', à ne pas être imposés, à brasser beaucoup d’agent qu’ils blanchissent souvent à l’étranger", argue-t-il. Et le ministre de prévenir : "Les gens malhonnêtes ne deviendront pas soudainement honnêtes parce que nous aurons baissé la garde." Source: lci.fr ++ 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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