Ex-UFCM-I Care 9 202 Posté(e) janvier 15, 2020 Partager Posté(e) janvier 15, 2020 Hey Hopla une de plus .... Blablabla. @+ Une mission d’information parlementaire sur le cannabis a officiellement lancé ses travaux mardi dans l'espoir de "dépassionner" le débat, récurrent en France, autour de son usage récréatif ou thérapeutique. "Il y a une urgence du sujet car notre pays a une législation sur les usages de stupéfiants assez répressive" mais "c'est en France où l'on en consomme le plus", a déclaré le député LR Robin Reda, président de la mission, lors d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale. Au total, cinq millions de Français déclarent avoir déjà fait usage du cannabis. Pour faire évoluer la réponse pénale, une amende forfaitaire de 200 euros doit bientôt être expérimentée pour sanctionner les consommateurs. La mission, qui rendra ses premières conclusions au deuxième semestre, a pour but de dresser un état des lieux des enjeux à la fois sanitaires, sécuritaires, économiques et agricoles, autour de l'usage du cannabis et de la production de chanvre. "C'est une question très mal connue de nos citoyens" et elle "ne se limite pas à la question du cannabis comme drogue", a poursuivi le député. "Il faudra dépassionner au maximum la question car le débat est souvent hystérisé", a aussi souligné Jean-Baptiste Moreau, député LREM et rapporteur général de la mission. Selon lui, "il faudra sortir du dogme car on a refusé toute évolution pendant des années", tout en assurant que l'objectif des travaux n'était pas d'aboutir à une "légalisation totale". La mission, dont le travail sera axé autour de trois grands usages du cannabis - thérapeutique, récréatif et pour le "bien-être" - étudiera également la situation à l'étranger, et notamment aux Etats-Unis où plusieurs Etats ont franchi le pas de la légalisation. Pointant un "flou juridique" sur la commercialisation des produits issus du cannabis, les membres de la mission estiment que la France "sur-transpose" actuellement la réglementation européenne en interdisant tous "les produits issus de la fleur du chanvre" et en restreignant l'utilisation du chanvre "au seul commerce des fibres et des graines". Ces produits favorisent "la réduction du stress et de l'anxiété, l'amélioration du sommeil et de la récupération" et peuvent être consommés sous forme alimentaire, liquide, vaporisés ou de produits cosmétiques, soulignent ces élus. Ainsi, le Syndicat professionnel du chanvre (SPC) se "réjouit" du lancement de cette mission qui était "attendue par de très nombreux acteurs qui investissent déjà les secteurs du chanvre bien-être et du cannabis thérapeutique". Il y a "urgence à faire évoluer le cadre réglementaire", selon le communiqué du SPC. L'expérimentation du cannabis à usage médical, pour laquelle l'agence du médicament (ANSM) a donné son aval, débutera d'ici à quelques semaines en France et sera au coeur de la première audition de la mission. Commenter 6 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Une mission d’information parlementaire sur le cannabis a officiellement lancé ses travaux mardi dans l'espoir de "dépassionner" le débat, récurrent en France, autour de son usage récréatif ou thérapeutique. "Il y a une urgence du sujet car notre pays a une législation sur les usages de stupéfiants assez répressive" mais "c'est en France où l'on en consomme le plus", a déclaré le député LR Robin Reda, président de la mission, lors d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale. Au total, cinq millions de Français déclarent avoir déjà fait usage du cannabis. Pour faire évoluer la réponse pénale, une amende forfaitaire de 200 euros doit bientôt être expérimentée pour sanctionner les consommateurs. La mission, qui rendra ses premières conclusions au deuxième semestre, a pour but de dresser un état des lieux des enjeux à la fois sanitaires, sécuritaires, économiques et agricoles, autour de l'usage du cannabis et de la production de chanvre. "C'est une question très mal connue de nos citoyens" et elle "ne se limite pas à la question du cannabis comme drogue", a poursuivi le député. "Il faudra dépassionner au maximum la question car le débat est souvent hystérisé", a aussi souligné Jean-Baptiste Moreau, député LREM et rapporteur général de la mission. Selon lui, "il faudra sortir du dogme car on a refusé toute évolution pendant des années", tout en assurant que l'objectif des travaux n'était pas d'aboutir à une "légalisation totale". La mission, dont le travail sera axé autour de trois grands usages du cannabis - thérapeutique, récréatif et pour le "bien-être" - étudiera également la situation à l'étranger, et notamment aux Etats-Unis où plusieurs Etats ont franchi le pas de la légalisation. Pointant un "flou juridique" sur la commercialisation des produits issus du cannabis, les membres de la mission estiment que la France "sur-transpose" actuellement la réglementation européenne en interdisant tous "les produits issus de la fleur du chanvre" et en restreignant l'utilisation du chanvre "au seul commerce des fibres et des graines". Ces produits favorisent "la réduction du stress et de l'anxiété, l'amélioration du sommeil et de la récupération" et peuvent être consommés sous forme alimentaire, liquide, vaporisés ou de produits cosmétiques, soulignent ces élus. Ainsi, le Syndicat professionnel du chanvre (SPC) se "réjouit" du lancement de cette mission qui était "attendue par de très nombreux acteurs qui investissent déjà les secteurs du chanvre bien-être et du cannabis thérapeutique". Il y a "urgence à faire évoluer le cadre réglementaire", selon le communiqué du SPC. L'expérimentation du cannabis à usage médical, pour laquelle l'agence du médicament (ANSM) a donné son aval, débutera d'ici à quelques semaines en France et sera au coeur de la première audition de la mission. Commenter
Ex-UFCM-I Care 9 202 Posté(e) janvier 16, 2020 Auteur Partager Posté(e) janvier 16, 2020 Hey oui bon bah ..... pffffffffff .... @+ Emmanuelle Fontaine-Domeizel nommée rapporteure sur le cannabis thérapeutique Emmanuelle Fontaine Domeizel a été nommée, ce mardi après-midi, rapporteure de la mission d'information sur le cannabis thérapeutique. La députée des Alpes-de-Haute-Provence Emmanuelle Fontaine Domeizel a été nommée, ce mardi après-midi, rapporteure de la mission d'information sur le cannabis thérapeutique. "Je suis ravie d’être nommée rapporteure de cette mission d'information. Depuis deux ans, je travaille sur le cannabis thérapeutique car je sais qu’il répond aux attentes des personnes malades et qui souffrent. Nous savons que par exemple, les personnes atteintes de scléroses en plaque se servent aujourd’hui de produits récupérés en Suisse", explique la députée. Dans ce sens, "j’ai rencontré les agriculteurs locaux et des exploitants étrangers.Cette mission va durer une année au cours de laquelle nous allons auditionner de nombreuxacteurs français et étrangers". La MI, dont le rapporteur principal est Jean-Baptiste Moreau, est divisée en 3 thèmes : - Cannabis thérapeutique : rapporteure Emmanuelle Fontaine Domeizel, - Cannabis « bien-être » : rapporteur Ludovic Mendès, - Cannabis récréatif : rapporteure Caroline Janvier. Pour Emmanuelle Fontaine-Domeizel, "le cannabis thérapeutique représente un sujet sociétal qui répond à des enjeux économiques, écologiques, de sécurité intérieure et bien-sûr de santé publique. Nous traiterons le débat du cannabis de manière transversale et neutre afin d’apaiser les passions relatives à ce sujet." http://www.hauteprovenceinfo.com/article-29647-emmanuelle-fontaine-domeizel-nommee-rapporteure-sur-le-cannabis-therapeutique.html?fbclid=IwAR3M-e4GwIb83Q04ucXRPoOT1K-ioec5H3TpBiJ0OPRiQPk2l_eQyU7f9Zo Mission parlementaire sur le cannabis : “La légalisation n'est plus seulement une affaire de militants” La députée LREM, Caroline Janvier, sera chargée de la thématique du cannabis à usage récréatif, au sein d'une mission d'information parlementaire qui devrait présenter ses résultats d'ici un an. L'objectif : mieux connaître les usages du cannabis en France. Cette nomination n'est pas vraiment une surprise. La députée LREM du Loiret Caroline Janvier, depuis longtemps prompte à adouber une potentielle légalisation du cannabis en France, a été nommée ce mardi rapporteure thématique de la mission d'information parlementaire sur le cannabis. La mission devrait durer un an. Un an d'auditions "d'experts, de militants, de juristes, de médecins, psychiatres et addictologues, de criminologues et de forces de l’ordre", explique Caroline Janvier. Avec pour objectif final de dresser un portrait de la consommation de cannabis en France, une consommation sur laquelle "on n'a pas assez d'éléments", estime la nouvelle rapporteure. Première étape : définir les différents usages du cannabis, et leurs enjeux respectifs. Thérapeutique d'abord, pour soulager certains malades. Mais également l'usage "bien-être", sans effets psychotropes. Et enfin un usage récréatif bien moins balisé. Signe d'un changement de l'opinion publique après des années de tabous sur la question, Edouard Philippe avait exprimé en avril 2019 qu'il serait "absurde" de ne pas étudier les possibilités du cannabis thérapeutique. Un sujet qui concerne toute la société ? Aujourd'hui, Caroline Janvier considère que la question du cannabis n'est "plus seulement une affaire de militants comme il y a une dizaine d'années, et que les gens qui ne sont ni farouchement pour ni farouchement contre ont désormais leur mot à dire". La députée considère d'ailleurs que cette mission devenait nécessaire, et dresse un "constat d'échec" de la politique française face au cannabis. Le Baromètre santé 2017 de Santé publique France notait ainsi que 44,8% des Français de plus de 18 ans avaient déjà expérimenté le cannabis, et que le nombre de consommateurs par an avait augmenté de presque 4% entre 2014 et 2017. Autres facettes de cette échec selon Caroline Janvier, "l'inexistance d'une politique de santé publique, et l'absence de prise en charge et d'accompagnement" des consommateurs, ainsi que la présence de "réseaux de trafic qui mobilisent les forces de l’ordre et affectent des quartiers entiers". Monopole de l'Etat C'est pour lutter contre ces aspects que la députée LREM assume de s'engager pour une légalisation totale du cannabis, au-delà des simples usages thérapeutiques. "J’étais favorable à ce que l’Etat reprenne le contrôle sur la consommation, qu’il y ait un monopole", précise-t-elle, en particulier sur l'usage récréatif. Avec pour but de "recevoir des recettes qui permettraient de financer une politique de santé publique", cette dernière consituant selon elle sa "priorité". "Mon but n'est pas d'augmenter la consommation chez les jeunes, mais de pouvoir l'encadrer légalement", complète-t-elle. Sa position sans détour est peut-être à l'origine de sa nomination en tant que rapporteure thématique sur le sujet précis du cannabis à usage récréatif, sujet en faveur duquel peu de politiques de la majorité ont osé se placer. Faire du cannabis un sujet du débat public Caroline Janvier assure garder l'esprit ouvert, et souhaite "établir des constats, qui me surprendront peut-être moi-même". Cependant, elle assume vouloir bouger les lignes : "Mon objectif à titre personnel, c’est de pouvoir faire un certain nombre de propositions sur l’usage récréatif", et à terme de faire évoluer la loi. Ou tout du moins de faire du cannabis "un sujet de débats lors des prochaines présidentielles". Une position qu'elle devra tenir avec conviction, face aux scepticismes respectifs du président de la République et de la ministre de la Santé, ne serait-ce que sur l'usage thérapeutique du cannabis. Caroline Janvier estime que les premières conclusions de la mission arriveront en automne prochain, avant la présentation d'un rapport en début 2021. https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/loiret/deputee-du-loiret-caroline-janvier-nommee-rapporteure-mission-information-cannabis-1774813.html 3 1 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Breizh_Grower 214 Posté(e) janvier 18, 2020 Partager Posté(e) janvier 18, 2020 (modifié) Yo! Segolène Royal bientôt ambassadrice du cannabis ? Nan mais franchement c'est n'importe quoi ! Ces p*****ns de politiques m'execrent ! Qu'ils ferment leurs bouche vu qu'ils ont AUCUNE INTENTION DE LÉGALISER. S'ils veulent de passionner le débat, qu'ils commencent par classer marie-jeanne dans une autre catégorie que les stup et arrêtent de rajouter des lois de merde qui ne font que du dégât chez les consommateurs. Ouai j'suis en mode colère ! Allez a+ Modifié janvier 18, 2020 par Breizh_Grower 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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