Invité kingkong7 Posté(e) juin 14, 2019 Partager Posté(e) juin 14, 2019 il y a 14 minutes, FranckyVincent a dit : Mais bon, il y a un truc qui me dérange encore plus, autant dans ce que tu disais que dans ce que sous-entend le discours de Cannoly, c'est la comparaison avec le temple ball népalais! Le seul point commun qu'il y a entre son hash et du temple ball népalais est qu'ils se présentent tous les deux sous forme de boule, sinon ça n'a vraiment rien à voir! Re Autant pour moi , en faisant une recherche breve sur le net j'ai cru comprendre que c'était le "frabricant" du temple ball Tu me dis que c'est deux chose différente , donc je n'ai du goutté Moi ce que j'ai goutté c'était effectivement nepalais (enfin de ce qui ce disait ) , mais je t'avoue la legende qui tourne autour comme quoi ce sont des moines qui le faisaient , j y ai jamais vraiment crus , et ça aurait été un occidentale qui l'aurait fait , ça m’étonnait pas . @+++++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
Indi-Punky 18 314 Posté(e) juin 14, 2019 Auteur Partager Posté(e) juin 14, 2019 Bonsoir Non effectivement il utilise l'appellation Temple ball pour la forme mais ce n'en est pas, si je ne me trompe pas les temple balls sont plus cuites que chauffés. Ça se ressemble sur le type de fumée très lourde mais c'est propre a tout les hashs chauffés. Par contre et il en parle assez souvent, il y a suite a cette transformation un nouveau terpène qui apparait. En 2018 il était encore en recherche avec je ne sais qui sur la compréhension et l’analyse du truc. Faut pas voir ça comme une sublimation du hash, mais comme une transformation qui apporte encore un autre gout, moi perso j'aime pas le dry sief, d'autres adorent. J'aime bien les hashs noirs et déteste les hashs durs comme de la caillasse etc etc C'est ça qui est cool, tout le monde y trouve son pétard au finale 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
FranckyVincent 4 144 Posté(e) juin 14, 2019 Partager Posté(e) juin 14, 2019 Re, C'est les afghans qui font cuire leur hash... Ce sont des furieux quand même!!! Les népalais, eux, mettent la matière au soleil pendant un moment avant de faire les boules. C'est modérément chauffé donc. Mais bon, la différence avec Cannoly, c'est déjà qu'au Népal ils utilisent non pas des plantes à hash style afghanica ou kush mais des plantes typées sativa, donc avec des terpènes plutôt floraux et certains épices, et surtout les trichomes sont prélevés sur des plantes vivantes. Donc après, avec une telle matière première, ils vont pas s'amuser à péter tous les bulbes! Cannoly, lui, il confond avec la fabrication de la pâte feuilletée!!! Ou alors il était pizzaiolo avant, je sais pas... ++ 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
animalxxx 7 657 Posté(e) juin 14, 2019 Partager Posté(e) juin 14, 2019 Yop Citation C'est les afghans qui font cuire leur hash... Ce sont des furieux quand même!!! D'ailleurs, j'ai jamais vraiment capté (enfin visualisé) le procédé consistant à faire cuire dans une peau de chèvre ( j'avais lu ça dans le bouquin mrnice, est de tête il parlait bien de cuisson, pas juste de stockage). ++ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité cheezo Posté(e) juin 15, 2019 Partager Posté(e) juin 15, 2019 Ola En effet @animalxxx , il semblerait que certain fasse une sorte de pâte à hash qu'il mette à cuir en réincorporant de la matière végétal sèche pour augmenté le poids... Mais jamais réussie à trouver des info là-dessus. Par contre, je doute que les techniques à l'ancienne soit les plus adaptés pour sublimé un produit. Leurs but premier était de partir d'une herbe limite 'pourrie'' selon nos standard actuel pour obtenir un produit correct. A la limite le dry hash arrive à capter la quintessence du produit de base et ressortir les arômes, si il est bien effectués. Je dois avoir dans les 200gr de tête à passer en hash. Si vous avez des idées de test... Peace Lien à poster Partager sur d’autres sites
Danooshka 46 Posté(e) juin 18, 2019 Partager Posté(e) juin 18, 2019 Bonjour à tous. Punaise, je viens de lire tous les postes sur les 3 pages de ce sujet. Et aucunes réponse concrète hormis des petits messages agressives. Le prix c’est le prix et nous avons affaire à un professionnel qui fait tourner son entreprise. Et qui donc à des charges à payer que cela soit en Europe ou USA. S’il estime que c’est 250/pers alors à lui de le défendre, mais venir faire des suppositions que Frenchy Cannoli va se blinder c’est petit. Et si le tarif est trop cher je pense qu’il n’y aura personne lors de ces formations. Mais ce n’est, apparemment, pas le cas. Ma grande question que je pose directement à ceux qui ont participé (Indi-Punky ou autres) faut-il y aller pour apprendre de nouvelles-chose, si nous sommes déjà dotés d’une expérience dans la matière ? C’est-à-dire pour des Ganja-Farmers qui font déjà régulièrement leurs ice-o-lator, tamissage à sec, extraction à la glace carbonique depuis des années. Mais si c’est pour débattre de j’aime le hash frais récolté sur la plante, ou j’aime le ice-o-lator pressé 4 fois à la main avec un bain de thé vert car cela fait ressortir les aromes (rires) et imposer ses idées on s’en fiche car les gouts et les couleurs ne ce commandent pas. Je vais quand même faire ma petite contribution pour l’expérience du hash et rentrer dans le débat. Premièrement, et c’est fondamental, le meilleur hash est celui que l’on fabrique soi-même et que l’on partage avec les autres ?. Personnellement j’aime le hash qui provient d’une manucure qui était bien conservée, correctement séché et surtout sans mélanger les variétés manucurées. Les Sativas ensemble, les hybrides ensemble, les indicas ensemble, puis en sous-catégorie de souche Panama, Tashkenti, Amnesia, Kush, OG etc. La manucure ne doit être faite que des petites feuilles entourant les têtes, pas de grande feuille ni de tige exit la matière végétale qui ne sert qu’a amener de la poussière. L’extraction à la glace reste le top niveau propreté mais enlève certaines subtilités gustatives apporter par un tamisage à sec par exemple. Une fois récolté et séché rentre le grand débat du pressage !! Je répartie mon hash en boule journalière, 1 à 2 gr, que je travail doucement à la main avec des gants pour éviter les bactéries, les poils et peaux mortes. Mais je ne le presse pas comme une galette à ce moment-là. Puis je conditionne le tout pour éviter l’oxydation et direction le frigo ou un lieu spécifique en fonction des variétés. Et lors de la consommation j’aplatie mon hash fortement pour libérer au dernier moment les terpènes et avoir un produit plus présent en bouche. Citation Cheezo : Je dois avoir dans les 200gr de tête à passer en hash. Si vous avez des idées de test... Comme tu demandes… je proposes que tu divise ta manucure en 2, et tu fais une extraction au Ice-o-Lator avec différents maillages. Il y en aura une que tu presse, et l’autre que tu laisse simplement sécher. Puis tu envois les photos histoire que les cannaweeders voient les différents aspects. Et bien sur smoke test d’un hash extrait d’une même plante mais en mode pressé et en mode séché. 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité cheezo Posté(e) juin 18, 2019 Partager Posté(e) juin 18, 2019 Ola Citation on s’en fiche car les gouts et les couleurs ne ce commandent pas On parle de nos expériences de hashish maker amateur. Pas de nos préférence. Citation Punaise, je viens de lire tous les postes sur les 3 pages de ce sujet.Et aucunes réponse concrète hormis des petits messages agressives. La discorde intervient surtout concernant le manque de dégustation du produit fini. Tu dis grosso-merdo ce qui est dit sur ces 3 pages... Qu'un extracteur aguerrie n'apprendra pas forcément grand choses, que le dry est plus goutu et que chacun possède ses préférences pour se malaxer la boule. Sinon je parler surtout de test de pâte à hash. Déjà publié quelques photo dans ma galerie d'extraction de manucure, un post récap avec smoke test est prévu. Les têtes font un ch'tit curring avant de passer à la casserole. Peace Lien à poster Partager sur d’autres sites
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