oyo19 100 Posté(e) décembre 14, 2018 Partager Posté(e) décembre 14, 2018 Yop, Des contrôles ? Oui, mais quand c'est trop tard. ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
elGecko 26 Posté(e) décembre 14, 2018 Partager Posté(e) décembre 14, 2018 salut enfin une avancé! ,je me demande aussi comment cela va se passer pour les contrôles routier,vous savez comment ils se sont organisé au canada? @penacho pour la cocaine hero mdma etc c'est le mème test que pour le thc , il est très présent sur nos route et est utilisé au moindre doute en même temps que l’éthylotest. a+ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Pil0u 725 Posté(e) décembre 14, 2018 Partager Posté(e) décembre 14, 2018 (modifié) Re Après il faut relativiser aussi pour ces tests multi emplois . Ceux qui consomment de la CC, Héro, MDMA .... Quand ils sont sur la route , ils ne se défoncent plus avec ça depuis des années !!! Ca c'est pour la maison ^^ Ils achètent sur des RC shop , des substances légales comme des cannabinoïdes de synthèse , des RC Benzo, du Kratom ,nouvelle génération de 4-MMC 3-MMC reformulé ................ Pour 25 euro tu peux avoir 1 gr d'une substance légale 300 fois plus potente que le THC comme les derniers dérivées des AKB . Avec 1 gr tu fais jusqu' à 4000 fioles de Icig de 10 ml aussi puissante que de l'huile de THC saturée à 70% . Ca se dose au micro gramme , et ça pardonne pas Mais même si ils sont raide défoncés ils passent tous les tests et même les prises de sang toxicologique , car quand un prod est recensé et interdit 20 nouveaux sortent Après , pour en revenir au cannabis médical , comme le disent Francky et Papass , suivant le dosage ça sera comme le tramadol , tu peux conduire avec, après si tu as un accident , t'es baisé et bien ^^ Nul n'est sensé ignorer la Loi . Prescription ou pas . Surtout que l'on sait tous que les cannabinoïdes travaillent en association , le CBD seul c'est juste commercial , car c'est le cannabinoïde qui s'isole le plus facilement suffit de le décarbo à 135 °C , il reste plus que lui . ^^ Mais les seules études ( a grande échelles ) à ce jour concrète démontre que le CBD seul ne répond qu' a 2 % des pathologies se fixant sur les même récepteurs . c'est du vent . A+ Pilou Modifié décembre 14, 2018 par Pil0u 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité JBdu14 Posté(e) décembre 14, 2018 Partager Posté(e) décembre 14, 2018 (modifié) Salut a tous On parle de Commission, mais connait on les noms de ces gens de la commission ? Y a t il moyen de leur envoyer une lettre, ou l'on y mettrais non volonté, question et solution afin de faire avancer le Chmilblic dans le bon sens ? Et alors pourquoi pas ici poser un topic style "lettre ouverte question et proposition du monde d'en bas" ou tout le monde alors poseraient ses interrogations ou solution ou proposition etc.. nous en ferions une synthèse que nous transmettrions a cette Fameuse Commission. Cordialement JB. Modifié décembre 14, 2018 par JBdu14 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Pil0u 725 Posté(e) décembre 14, 2018 Partager Posté(e) décembre 14, 2018 (modifié) il y a 9 minutes, JBdu14 a dit : Salut a tous On parle de Commission, mais connait on les noms de ces gens de la commission ? Y a t il moyen de leur envoyer une lettre, ou l'on y mettrais non volonté, question et solution afin de faire avancer le Chmilblic dans le bon sens ? Et alors pourquoi pas ici poser un topic style "lettre ouverte question et proposition du monde d'en bas" ou tout le monde alors poseraient ses interrogations ou solution ou proposition etc.. nous en ferions une synthèse que nous transmettrions a cette Fameuse Commission. Cordialement JB. Modifié à l’instant par JBdu14 Re et plop JB Pour être entendu , il faut : l'article à été redéfini en 2016 . Art. L. 3411-8.-I.-La politique de réduction des risques et des dommages en direction des usagers de drogue vise à prévenir les dommages sanitaires, psychologiques et sociaux, la transmission des infections et la mortalité par surdose liés à la consommation de substances psychoactives ou classées comme stupéfiants. Il y a déjà des sites pour cela comme PA par exemple qui peut faire des retours .......... Ici notre sujet c'est le cannabis et son auto production , on a aucun moyen d'être entendu on est dans l'illégalité . A+ Pilou Modifié décembre 14, 2018 par Pil0u Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ex-UFCM-I Care 9 192 Posté(e) décembre 14, 2018 Auteur Partager Posté(e) décembre 14, 2018 (modifié) Hey oui les noms des membres de cette commissions sont public par contre bon courage pour leur écrire, la plupart n'ont pas de compte sur les réseaux sociaux et leur adresses mails ne sont pas communiquées pour que justement ils ne puissent pas être influencés par qui que se soit ... L'UFCM-I Care a été auditionnée nous avons demandé les adresses qu'on nous a refusé, c'est interdit, donc soit disant illégal de contacter les membres en dehors des auditions ..... De toute façon ce comité obéit à Big Pharma et ne se soucis absolument pas ni des patients ni du milieu du cannabis, ça n'est pas l'objet de leur "expertise" ... d'ailleurs se sont des gens "qualifiés" comme étant neutres (hum ....) .... Leur domaine d'expertise va de la sociologie à l’anthropologie il y a qq médecins évidement qui n'y connaissent rien .... Aucuns experts du cannabis médical pour ne pas influencer ces gens et en final la personne "experte" du VIH SIDA (écrivain anthropologue qui a pondu un livre sur le SIDA au Mali) a remis en question les témoignages des malades qu'elle était censée représenter juste parce qu'ils sont dérangeants pour elle et les associations qui sont financés par l'état pour se taire et ne plus militer .... un comité "Théodule" qui ne sert et représente que des intérêts des labos qui se font dessus en voyant ce qu'à provoqué la légalisation au Canada en termes de pertes de profits ..... @+ Modifié décembre 14, 2018 par UFCM-I Care 3 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ex-UFCM-I Care 9 192 Posté(e) décembre 16, 2018 Auteur Partager Posté(e) décembre 16, 2018 Hey ITW du president du CSST dans l'express ... @+ https://www.lexpress.fr/actualite/societe/cannabis-therapeutique-un-pas-vers-la-legalisation_2053234.html?fbclid=IwAR3oAvOHNT7U5ie_rgE2r_6j2kwtZxFit3tcFHZfp4cw8vwTZSLLeYojdY0 Expert pour l'ANSM, le Pr Authier revient sur l'avis qui ouvre la voie à la légalisation du chanvre à visée médicale. Un comité d'experts mandaté par l'Agence du médicament (ANSM) vient de rendre un avis favorable à la prescription de chanvre à visée médicale. Son président, le Pr Nicolas Authier, détaille pour l'Express la portée de ce premier pas vers la légalisation du cannabis thérapeutique - et le chemin qu'il reste encore à parcourir avant que les patients ne puissent en bénéficier. L'Express : Le comité d'experts que vous avez présidé vient de rendre un avis favorable à la légalisation de l'usage du cannabis à des fins thérapeutiques. Cela signifie-t-il que ce traitement va être rapidement mis à disposition des malades ? Nicolas Authier : Cet avis représente une première étape essentielle dans cette voie. Si nous avions répondu par la négative, cela aurait stoppé toute discussion. Nous avons considéré, à l'instar de plusieurs autres pays développés, qu'il n'était pas éthique de refuser aux patients un traitement qui pourrait les soulager. D'autant que de nombreux malades ne nous ont pas attendus, ce qui les expose à des risques. Il fallait leur apporter une réponse. Certains parlementaires disent que le processus peut aller vite, mais en réalité beaucoup de questions restent encore à trancher. Elles vont occuper notre comité tout au long du premier semestre 2019. Il faudra ensuite voir s'il faut changer la loi, ou si seul un décret s'avérera nécessaire. Quoi qu'il en soit, il faut prendre le temps de la réflexion. Quelles pathologies seront plus particulièrement concernées ? Les affections pour lesquelles les traitements existants, qu'il s'agisse de médicaments ou d'approches non médicamenteuses, s'avèrent inefficaces ou mal tolérés. Les douleurs chroniques réfractaires, et notamment celles liées aux atteintes des nerfs, certaines situations palliatives, les effets indésirables des soins liés au cancer, la sclérose en plaques, certaines formes d'épilepsie, peut-être aussi des maladies rares douloureuses. Mais le recours au cannabis restera toutefois une stratégie proposée en dernière intention, après l'échec de tout autre traitement. De quelle forme de cannabis parle-t-on exactement ? De la plante elle-même, à ne pas confondre avec les médicaments à base de cannabis, déjà autorisés en France depuis 2013. Les laboratoires pharmaceutiques peuvent d'ores et déjà déposer des demandes d'autorisation de mise sur le marché (AMM) pour de tels produits, sous réserve d'avoir pu en démontrer l'efficacité. C'est le cas par exemple du Sativex, indiqué dans la sclérose en plaques. Il dispose d'une AMM mais reste indisponible faute d'accord sur son prix entre le fabricant et les pouvoirs publics. Un autre médicament, Epidiolex, devrait bientôt être autorisé dans les épilepsies de l'enfant. Nous, nous étions interrogés sur l'usage thérapeutique de la plante non transformée, qui peut être consommée sous différentes formes, et pour laquelle une AMM n'est pas nécessaire. Justement, quels modes de consommation seront autorisés ? C'est la vraie question - et elle est beaucoup plus complexe qu'elle n'en a l'air. D'abord, il est clair que l'usage du cannabis fumé est à proscrire du fait des risques cardiovasculaires et pulmonaires très importants. L'inhalation permet d'obtenir un soulagement rapide, mais uniquement par vaporisation. L'usage des cigarettes de cannabis induit des risques disproportionnés au regard du bénéfice attendu, et il ne serait pas éthique de l'autoriser. Il existe toutefois de nombreuses autres façons d'absorber le cannabis, bien moins dangereuses. L'e-cigarette, ou la vaporisation par exemple. Dans les deux cas, il n'y a pas de combustion chaude ni de tabac, donc pas de substances cancérigènes. Il est aussi possible de faire des gélules contenant du cannabis séché, ou des crèmes, des pommades, des patchs, des huiles, des infusions... L'essentiel est de trouver le mode d'administration le plus approprié à la situation du patient. Le problème, c'est que tout ceci demeure encore très empirique. Y compris pour le type de cannabis à prescrire. Il s'agit d'une plante complexe, avec de nombreuses variétés, chacune ayant des teneurs différentes en molécules actives. Et aujourd'hui, tous ces aspects ne sont pas très bien documentés. De nombreux pays ont déjà légalisé le cannabis thérapeutique. N'ont-ils pas répondu à toutes ces questions ? Ils sont allés plus vite et ils ont court-circuité ces sujets, laissés à l'appréciation des prescripteurs. Nous avons donc besoin d'études complémentaires. C'est pourquoi d'ailleurs le comité demande que les patients concernés soient suivis à l'aide d'un registre, pour mieux évaluer cette stratégie thérapeutique. De cette façon, on peut espérer que les malades pourront à terme en tirer les meilleurs bénéfices, dans un cadre sécurisé. Car clairement, on ne sait pas tout aujourd'hui du cannabis à visée thérapeutique. Son efficacité dans les pathologies ciblées a-t-elle au moins été démontrée ? Certaines études ont montré que des patients pouvaient être soulagés, notamment dans les douleurs liées aux atteintes des nerfs, c'est un fait. Mais elles portaient principalement sur le cannabis fumé, proscrit ici - même si rien ne pourra empêcher les patients de le consommer sous cette forme une fois qu'ils l'auront acheté. Dans d'autres travaux expérimentaux, sur des patients non douloureux chez qui une douleur était provoquée, aucune diminution de l'intensité de cette douleur n'a pu être mise en évidence. Absence de preuve ne signifie toutefois pas absence d'effet, mais on n'a pas pu le mettre en évidence. On n'a peut-être pas utilisé les bonnes méthodes. Le cannabis semble surtout jouer sur les émotions : les souffrances sont perçues de façon moins négative. Au final, le patient se sent moins mal, et c'est bien cela qui compte. Même si ces concepts sont peut-être un peu plus difficiles à mettre en évidence dans le cadre d'études. N'y a-t-il pas un risque de voir se développer de nouvelles addictions ? C'est addictif, mais le potentiel addictif est probablement moins important que d'autres médicaments comme les somnifères par exemple. Pris dans un cadre médical, sous une stricte supervision, il n'y a pas de raisons que ce soit plus dangereux que des benzodiazépines (anxiolytiques) ou des antalgiques à base d'opiacés. La question de l'approvisionnement va aussi se poser... Certains patients demandent qu'on les laisse cultiver leurs plants chez eux. Cela paraît difficilement envisageable, pour des raisons de contrôle de la qualité du produit, et aussi parce que cela ne pourra pas s'appliquer à tout le monde. Les représentants du monde agricole se sont déjà positionnés, via leurs parlementaires notamment, en vue de produire du cannabis thérapeutique aux teneurs en principes actifs calibrés. Il existe une vraie filière chanvre en France, qui est reconnue sur le plan industriel - textile, isolation, cosmétique... Cette filière serait prête à se diversifier : la conversion vers le cannabis thérapeutique ne serait pas très compliquée. Après, ce chanvre doit être cultivé dans des endroits sécurisés, sous serre, comme le pavot pour produire la morphine. Donc cela va coûter cher à produire, de l'ordre de 20 euros le gramme... Qui va payer ? Dans certains pays, le cannabis thérapeutique est remboursé, mais pas dans d'autres. En France, cela dépendra de la Haute autorité de santé et de l'Assurance-maladie. Les mutuelles et assurances complémentaires santé pourraient aussi avoir un intérêt à proposer une prise en charge. Mais dans tous les cas, pour obtenir un remboursement, il faudra d'abord apporter des preuves de l'efficacité, et aussi de l'efficience de cette stratégie. Montrer par exemple que les patients consomment moins de médicaments par ailleurs, ou reprennent plus vite le travail. Dans un premier temps, l'idéal serait que l'on négocie une enveloppe ministérielle sur trois à cinq ans pour financer des prescriptions dans un cadre très contrôlé, permettant de mener une évaluation scientifique. Et ensuite seulement, d'élargir les prescriptions à la médecine de ville, de façon à ce qu'un plus grand nombre de patients puissent y accéder, éventuellement avec un remboursement. 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites
FranckyVincent 4 150 Posté(e) décembre 16, 2018 Partager Posté(e) décembre 16, 2018 Salut, @UFCM-I Care, même si tu es bien mieux placé que moi pour l'être, jusqu'à présent je t'ai trouvé très critique envers ce comité et notamment sur le fait qu'aucun spécialiste du cannabis thérapeutique n'était invité. Or, ici dans cet interview, je trouve que le Pr Authier par ses réponses semble maîtriser les tenants et aboutissants de la problématique cannabis thérapeutique en France. Quand penses-tu? ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ex-UFCM-I Care 9 192 Posté(e) décembre 16, 2018 Auteur Partager Posté(e) décembre 16, 2018 (modifié) Hey FranckyVincent je suis toujours très critique et je maintiens qu'il n'y a aucun spécialiste du cannabis thérapeutique après le Prof Authier est un peu au dessus du lot (il est aussi membre de la commission des stupéfiants et proche de certain milieu RDR ce qui fait qu'il est la seule personne de ce CSST à avoir un minimum de connaissances) et il est certain qu'il a potassé le sujet (même si il est encore loin, très loin du compte), malgré tout sa position et ses connaissances du sujet sont minoritaires dans ce CSST .... il n'y a qu'à regarder les videos des auditions pour se rendre compte que la plupart des membres de ce CSST étaient largués .... @+ Modifié décembre 16, 2018 par UFCM-I Care 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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