mrpolo 7 743 Posté(e) décembre 5, 2018 Partager Posté(e) décembre 5, 2018 Contrairement au tabac à fumer, le vapotage de cannabis augmenterait le taux d’anxiété à court terme, la paranoïa, ainsi que les déficits de mémoire et d’attention. Dmitry_Tishchenko/iStock Fumer des joints en vapotant n’est pas moins néfaste pour la santé que s’il est inhalé de manière classique : c’est ce qu’avancent des chercheurs de Johns Hopkins Medicine. Dans leurs nouveaux travaux, publiés le 30 novembre dans JAMA Network Open, ils remettent ainsi en cause l’idée que le vapotage est plus sûr lorsqu’on souhaite consommer du cannabis. Certes, le vapotage produit moins de composants nocifs issus des produits en combustion comme le goudron que le papier à rouler et le tabac. Mais, expliquent-ils, pour les novices ou ceux ne consommant pas de cannabis régulièrement, le vapotage libère des quantités plus importantes de THC (tétrahydrocannabinol), la principale molécule psychoactive du cannabis, ce qui augmente le risque d’effets indésirables. "Notre étude suggère que certaines personnes qui consomment rarement du cannabis doivent faire attention à la quantité de cannabis qu'elles utilisent avec un vaporisateur et ne doivent pas conduire, même dans les heures qui suivent leur consommation. Cela pourrait être dangereux pour elles-mêmes et pour d'autres et, en plus de cela, elles peuvent subir des effets négatifs tels que l’anxiété, des nausées, des vomissements et même des hallucinations", explique dans un communiqué Ryan Vandrey, professeur agrégé de psychiatrie et de sciences du comportement à la faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins. Un temps de réaction plus lent, un déficit de l’attention Dans le cadre de leurs travaux, les chercheurs ont demandé à 17 participants volontaires (9 hommes et 8 femmes, âgés de 27 ans en moyenne) qui n’avaient pas consommé de cannabis au cours des 30 derniers jours et n’en avaient consommé que très rarement depuis plus d’un an, de fumer ou vapoter du cannabis une fois par semaine pendant 6 semaines. Les unités fournies contenaient soit 0,10, soit 25 milligrammes de THC. Les chercheurs affirment que 25 mg de THC est une dose "relativement faible", du moins beaucoup plus faible que ce que l’on trouve généralement dans les joints pré-roulés vendus dans les officines ou coffee shops. Les participants fumaient des joints pré-roulés ou inhalaient de la vapeur de e-joint sans connaître la dose de THC. Au cours des 6 séances, des mesures des signes vitaux comme la fréquence cardiaque et la tension artérielle ont été faites, des échantillons de sang prélevés, et chaque participant a rempli un questionnaire sur les effets des médicaments. Les résultats ont montré que quelques minutes après avoir fumé, les participants ayant consommé par vapotage la dose de 25 milligrammes de THC ont rapporté une moyenne de 77,5 sur la force globale de l'effet de la drogue, soit une réponse plus importante que ceux ayant fumé la même dose. Ils ont par ailleurs déclaré un score moyen de 7% plus élevé pour l’anxiété et la paranoïa que les personnes ayant fumé la même quantité de cannabis. Ils ont enfin signalé une sécheresse buccale plus importante. Dans le cadre de l’expérience, les scientifiques ont aussi soumis les participants à trois tâches informatisées conçues pour mesurer leur capacité d’attention, leur mémoire, le temps de réaction physique et les mouvements moteurs. Ils ont alors constaté que les temps de réaction étaient en moyenne plus lents de plus de 120 millisecondes avec les deux doses actives de THC, que ce soit en fumant ou en vapotant, par rapport au temps de réaction après avoir fumé ou vapoté du cannabis sans THC. "Nos participants présentaient des déficiences considérablement plus importantes au niveau des tâches après le vapotage que lorsqu’ils avaient fumé la même dose. Ce qui, dans le monde réel, se traduit par des déficiences plus fonctionnelles lors de la conduite ou des tâches quotidiennes", explique Tory Spindle, chercheur à l'unité de recherche en pharmacologie du comportement de l'Université Johns Hopkins Bayview. Une concentration plus importante de THC quand le cannabis est vapoté Comment l’expliquer ? Les chercheurs ont démontré qu’en vapotant le cannabis, les taux de THC dans le sang étaient bien plus importants que s’il avait été fumé. À 10 milligrammes de THC, les concentrations sanguines de THC atteignaient en moyenne 7,5 nanogrammes par millilitre chez les vapoteurs, contre 3,8 nanogrammes par millilitre chez les fumeurs 10 minutes après avoir consommé du cannabis. À 25 milligrammes de THC, les concentrations sanguines atteignaient en moyenne 14,4 nanogrammes par millilitre lorsqu'ils étaient vapotés contre 10,2 nanogrammes par millilitre lorsqu'ils étaient fumés. Les scientifiques précisent que deux participants ont vomi après avoir inhalé par vapotage 25 milligrammes de THC, et un autre a eu des hallucinations. Une autre personne a vomi après avoir fumé 25 milligrammes de THC. Les auteurs de l’étude précisent que leurs travaux n’ont porté que sur un petit nombre de participants et sur une courte durée. De fait, ils n’ont pu observer "les effets à long terme du vapotage, par exemple s’il y a un risque de bronchite chronique". Source: pourquoidocteur.fr 3 3 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Certes, le vapotage produit moins de composants nocifs issus des produits en combustion comme le goudron que le papier à rouler et le tabac. Mais, expliquent-ils, pour les novices ou ceux ne consommant pas de cannabis régulièrement, le vapotage libère des quantités plus importantes de THC (tétrahydrocannabinol), la principale molécule psychoactive du cannabis, ce qui augmente le risque d’effets indésirables. "Notre étude suggère que certaines personnes qui consomment rarement du cannabis doivent faire attention à la quantité de cannabis qu'elles utilisent avec un vaporisateur et ne doivent pas conduire, même dans les heures qui suivent leur consommation. Cela pourrait être dangereux pour elles-mêmes et pour d'autres et, en plus de cela, elles peuvent subir des effets négatifs tels que l’anxiété, des nausées, des vomissements et même des hallucinations", explique dans un communiqué Ryan Vandrey, professeur agrégé de psychiatrie et de sciences du comportement à la faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins. Un temps de réaction plus lent, un déficit de l’attention Dans le cadre de leurs travaux, les chercheurs ont demandé à 17 participants volontaires (9 hommes et 8 femmes, âgés de 27 ans en moyenne) qui n’avaient pas consommé de cannabis au cours des 30 derniers jours et n’en avaient consommé que très rarement depuis plus d’un an, de fumer ou vapoter du cannabis une fois par semaine pendant 6 semaines. Les unités fournies contenaient soit 0,10, soit 25 milligrammes de THC. Les chercheurs affirment que 25 mg de THC est une dose "relativement faible", du moins beaucoup plus faible que ce que l’on trouve généralement dans les joints pré-roulés vendus dans les officines ou coffee shops. Les participants fumaient des joints pré-roulés ou inhalaient de la vapeur de e-joint sans connaître la dose de THC. Au cours des 6 séances, des mesures des signes vitaux comme la fréquence cardiaque et la tension artérielle ont été faites, des échantillons de sang prélevés, et chaque participant a rempli un questionnaire sur les effets des médicaments. Les résultats ont montré que quelques minutes après avoir fumé, les participants ayant consommé par vapotage la dose de 25 milligrammes de THC ont rapporté une moyenne de 77,5 sur la force globale de l'effet de la drogue, soit une réponse plus importante que ceux ayant fumé la même dose. Ils ont par ailleurs déclaré un score moyen de 7% plus élevé pour l’anxiété et la paranoïa que les personnes ayant fumé la même quantité de cannabis. Ils ont enfin signalé une sécheresse buccale plus importante. Dans le cadre de l’expérience, les scientifiques ont aussi soumis les participants à trois tâches informatisées conçues pour mesurer leur capacité d’attention, leur mémoire, le temps de réaction physique et les mouvements moteurs. Ils ont alors constaté que les temps de réaction étaient en moyenne plus lents de plus de 120 millisecondes avec les deux doses actives de THC, que ce soit en fumant ou en vapotant, par rapport au temps de réaction après avoir fumé ou vapoté du cannabis sans THC. "Nos participants présentaient des déficiences considérablement plus importantes au niveau des tâches après le vapotage que lorsqu’ils avaient fumé la même dose. Ce qui, dans le monde réel, se traduit par des déficiences plus fonctionnelles lors de la conduite ou des tâches quotidiennes", explique Tory Spindle, chercheur à l'unité de recherche en pharmacologie du comportement de l'Université Johns Hopkins Bayview. Une concentration plus importante de THC quand le cannabis est vapoté Comment l’expliquer ? Les chercheurs ont démontré qu’en vapotant le cannabis, les taux de THC dans le sang étaient bien plus importants que s’il avait été fumé. À 10 milligrammes de THC, les concentrations sanguines de THC atteignaient en moyenne 7,5 nanogrammes par millilitre chez les vapoteurs, contre 3,8 nanogrammes par millilitre chez les fumeurs 10 minutes après avoir consommé du cannabis. À 25 milligrammes de THC, les concentrations sanguines atteignaient en moyenne 14,4 nanogrammes par millilitre lorsqu'ils étaient vapotés contre 10,2 nanogrammes par millilitre lorsqu'ils étaient fumés. Les scientifiques précisent que deux participants ont vomi après avoir inhalé par vapotage 25 milligrammes de THC, et un autre a eu des hallucinations. Une autre personne a vomi après avoir fumé 25 milligrammes de THC. Les auteurs de l’étude précisent que leurs travaux n’ont porté que sur un petit nombre de participants et sur une courte durée. De fait, ils n’ont pu observer "les effets à long terme du vapotage, par exemple s’il y a un risque de bronchite chronique". Source: pourquoidocteur.fr
Lamic-Tal 3 226 Posté(e) décembre 5, 2018 Partager Posté(e) décembre 5, 2018 (modifié) Yop, MDR les tests à la mord moi le nœud .. c'est évident que le THC vapoté est + puissant que celui fumé (à dose équivalente) car comme chacun sait (enfin pas vraiment apparemment..) la combustion fait perdre une bonne partie du THC présent dans le mélange tabac + cannabis et tout autant avec un joint pur de weed. /// Vapoté uniquement: - jusqu'à 175°C il n'y a que tu THC delta-8 et delta-9, et un conseil ne pas vapoter au-delà de 195°C environ pour profiter au max de tout les cannabinoides (CBDA CBCA CBD CBN CBE ..etc) /// Vapoté ou fumé: - à partir de 205°C apparaît du benzène (pas bon du tout) - à partir de 220°C il y a du THCV qui lui est neurotoxique (donc pas bon), du CBC (avec du pulegone un puissant insecticide et toxique chez le rat mais si non fumé c'est utilisé en aroma thérapie) - à contrario en combustion apparaît des substances assez sympa comme le borneol, la quercétine ou encore le terpineol (ces différents substances indésirables pour le vapoteur sont malgré tout accompagnées d'effets bons pour la santé (*voir tableau joint en photo) mais la combustion a aussi pour effet de détruire et transformer ces substances et d'autres et ce n'est pas forcement bon pour la santé ... Les réactions chimiques qui se produisent au-delà de la température d’ébullition des différents composés présents ne produisent absolument pas les mêmes réactions qu'avec le vapotage ! Autrement dit les effets seraient moins différents avec une dose ajustée correctement en fonction du mode de consommation (avec l'alcool essayé de la fumer vous verrez la différence avec une même dose liquide non brûlée ...). Pour finir on a tous des réactions + ou - différentes pour un même produit consommé. https://fr.wikipedia.org/wiki/Benzène https://en.wikipedia.org/wiki/Pulegone https://fr.wikipedia.org/wiki/Quercétine https://fr.wikipedia.org/wiki/Terpinéol https://fr.wikipedia.org/wiki/Bornéol (pas trop de détail sur celui-ci) Modifié mai 18 par Lamictal 2 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
liloutedebordeaux 213 Posté(e) décembre 5, 2018 Partager Posté(e) décembre 5, 2018 Hello, Moi, je veux bien qu'on fasse des recherches sur la vape du jah (dans une ecig et non dans un vaporisateur puisqu'il est question de deux choses bien différentes), mais je ne comprends pas le but de cette expérience. J'ai bien compris que la vape était plus efficiente que la combustion, mais on ne peut pas écrire ce genre de conclusion: Il y a 5 heures, mrpolo a dit : Fumer des joints en vapotant n’est pas moins néfaste pour la santé que s’il est inhalé de manière classique Ce qui est vraiment néfaste pour la santé, c'est la combustion. C'est la combustion qui donne le cancer du poumon ou de la gorge. Et c'est ça qu'il faut combattre (enfin je parle pour moi). Non parce que le reste, tout ce qui est traité dans cet article est affaire de préférence personnelle. Que ce soit en combustion, en vaporisation ou en vape, tu apprends à gérer ta consommation en fonction de tes envies, de tes besoins ou de tes capacités. Tu n'es pas obligé de te mettre minable avec ta ecig. À la limite, cet article est bien parce qu'il donne des informations pratiques sur les performances de la ecig, mais il y a bien pire que ça dans l'attirail du fumeur. Quelle que soit la méthode, du cannabis reste du cannabis et ça se gère pareil à mon sens. Et puis, une petite pensée pour les personnes malades qui voudraient se soigner sans combustion: "c'est bien de savoir que ça envoie du bois, mais je pense pas qu'il faille leur dire que c'est plus dangereux que la fumée". Ce serait les embrouiller. @+ 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
pieddeshit 3 686 Posté(e) décembre 6, 2018 Partager Posté(e) décembre 6, 2018 le yop à tous, non mais n'importe quoi! Il y a 14 heures, mrpolo a dit : Dans le cadre de l’expérience, les scientifiques ont aussi soumis les participants à trois tâches informatisées conçues pour mesurer leur capacité d’attention, leur mémoire, le temps de réaction physique et les mouvements moteurs. Ils ont alors constaté que les temps de réaction étaient en moyenne plus lents de plus de 120 millisecondes avec les deux doses actives de THC, que ce soit en fumant ou en vapotant, par rapport au temps de réaction après avoir fumé ou vapoté du cannabis sans THC. 120 millisecondes............................. le temps qu' a mis le chercheur à pondre ça! non mais 120 millisecondes de différence, c'est quoi!!!??? Il y a 14 heures, mrpolo a dit : Les scientifiques précisent que deux participants ont vomi après avoir inhalé par vapotage 25 milligrammes de THC, et un autre a eu des hallucinations. Une autre personne a vomi après avoir fumé 25 milligrammes de THC. p'tits joueurs, ils viennent à une soirée CW ils meurent A++ dans les vaps 1 5 Lien à poster Partager sur d’autres sites
FranckyVincent 4 144 Posté(e) décembre 6, 2018 Partager Posté(e) décembre 6, 2018 Salut, Il y a 10 heures, liloutedebordeaux a dit : J'ai bien compris que la vape était plus efficiente que la combustion, mais on ne peut pas écrire ce genre de conclusion: Citation Fumer des joints en vapotant n’est pas moins néfaste pour la santé que s’il est inhalé de manière classique Toujours pareil, c'est la conclusion d'une journaliste qui interprète à sa manière ce que l'étude présente! ++ 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites
OmarLittle 796 Posté(e) décembre 6, 2018 Partager Posté(e) décembre 6, 2018 Plop, Mais quelle grosse blague une étude sur 17 personnes!!! Comment peux-tu te dire scientifique et crédible après ça. Bon je ne remettrai pas sur la table les nombreuses remarques faîtes avant, tout aussi révélatrices du caractère bidon de cette étude. Bref à zapper. Dire que les mecs sont payés pour ça. +++ 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Amnes13 158 Posté(e) décembre 6, 2018 Partager Posté(e) décembre 6, 2018 (modifié) Hello, Je ne pense pas que l'étude soit bidon dans le sens ou les chercheurs sont des psychiatre.. " Ryan Vandrey, professeur agrégé de psychiatrie et de sciences du comportement à la faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins." Ici, les chercheur ne se base pas sur une toxicité au niveau physionomiste mais au niveau psychique... DONC ils disent simplement ce que nous savions déjà, (surtout pour des psychiatre), que le cannabis peux être mauvais au niveau psychique et que donc en augmentant "la dose administrée" via vapotage (moin de perte que via la combustion) cela rend cette méthode plus toxique au niveau psychique.. MAIS, c'est débile parce que entre une personne qui vapote un cannabis peu concentré et un autre qui combustionne un cannabis plus concentré, les ratio devront être les même... Ici on parle pour un même produit sous différente forme administrée... Chacun son travail... je suis partisan des vaporisateur (j'en utilise), mais ici ce son des psychiatres qui ont fait l'étude et non des pneumologue, ils s'en foutent dans leur étude que le vaporisateur dégage moin ou "pas" de toxicité que la combustion... Toxicité psychique n'est pas égal a toxicité physionomique ce sont deux choses différente.. Maintenant je ne consomme pas autant en vaporisateur qu'en joint... donc ça doit s'équilibrer ... Mais je préfère éviter un problème au niveau de la sphère ORL.. "Quitte a être plus défoncé mdr" ... Modifié décembre 7, 2018 par Amnes13 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
pieddeshit 3 686 Posté(e) décembre 7, 2018 Partager Posté(e) décembre 7, 2018 Salut Il y a 16 heures, Amnes13 a dit : Je ne pense pas que l'étude soit bidon dans le sens ou les chercheurs sont des psychiatre.. c'est vrai qu'y a pas de bidon chez les psy... Il y a 16 heures, Amnes13 a dit : Maintenant je ne consomme pas autant en vaporisateur qu'en joint... donc ça doit s'équilibrer ... Mais je préfère éviter un problème au niveau de la sphère ORL.. "Quitte a être plus défoncé mdr" ... "Quitte a être plus défoncé" et les poumons pourravent A++ les psychopathes de la vap' 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
OmarLittle 796 Posté(e) décembre 7, 2018 Partager Posté(e) décembre 7, 2018 Plop, Il y a 4 heures, pieddeshit a dit : c'est vrai qu'y a pas de bidon chez les psy... Sachant que la psychanalyse a été inventée par un des plus gros escroc de son temps, ce cher Sigmund Freud, il est en assez drôle de dire que l'étude est fiable car réalisée par des psy. Moi ce qui me choque le plus c'est la taille de l'échantillon et en plus y'a pas de randomisation ni de "placebo" (je sais pas comment on dit quand c'est pas un médicament). Ce qui très est important pour la fiabilité des résultats. +++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ex-UFCM-I Care 9 189 Posté(e) décembre 7, 2018 Partager Posté(e) décembre 7, 2018 (modifié) Hey Bah le placebo du cannabis contenant du THC dans une recherche med c'est le chanvre .... donc dans ce cas on dirais placebo même si le cannabis n'est pas un médicament dans le sens pharmacologique du terme .... D'accord avec toi sur la fiabilité d'une étude sans randomisation ..... Sans essais en double aveugle pour ceux qui ne connaissent pas le terme .... Ni le médecin ni le patient ne sont au courant de ce que prend le patient .... quoi que le patient doit viite s'en rendre compte ..... Bah dis donc .... "Les temps de réaction étaient en moyenne plus lents de plus de 120 millième de seconde ...." ..... trop fort ..... Chauffe Mighty on a de la marge avant d’être lent comme certains politiques ou mou du bulbe comme les autres, ceux qui sont plus que lent .... @+ Modifié décembre 7, 2018 par UFCM-I Care 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Amnes13 158 Posté(e) décembre 7, 2018 Partager Posté(e) décembre 7, 2018 (modifié) re, Je suis tout a fait d'accord avec vous lol ! Je dis juste que l'étude n'est pas bidon d'un point de vue d'un psychiatre lol ! Parce que le titre laisse penser que vapoté du cannabis est plus toxique que le consumer.. Ici on se place d'un point de vue d'une étude ( bidon ou pas ) faite par des psychiatres... études pertinente ou pas? je ne pense pas mais je su pose que eux oui... Ils s'en foutent je pense de notre avis (je parle du titre) que par vaporisateur c'est moin toxique car c'est moin toxique au niveau de la sphère ORL donc santé physique.. eux comme ils se placent au niveau de la santé mentale ils vont tous nous dire : de tout manière il y a une substance psycho-active et elle est mauvaise car elle altère de manière cognitive un sujet x. Donc pour eux non ce n'est pas bidon. Pour moi oui c'est bidon, car je consomme, j'essaye de le faire proprement au niveau de la toxicité de la sphère orl (donc vaporisateur), mais c'est sur qu'entre quelqu'un qui consomme et quelqu'un qui ne consomme pas DU TOUT, on dira que c'est mieux la personne qui ne consomme pas... Ci, évidement, nous sortons du cadre, "moi ca me détend, moi ça calme mon anxiété".. car alors, nous nous retrouvons alors dans un cadre médical et non récréatif.. donc la molécule sera bénéfique ici pour un sujet au niveau psychique... Mais pour bosser en équipe pluridisciplinaire avec des psychiatres... c'est pas demain la veille que chez eux, ils verront un semblant de vertu dans le cannabis.. Je remettais juste l'église au milieu du village par rapport au titre... et par rapport a "POUR eux" psychiatre et ci on se positionne dans leur manière de penser... pour un néophyte qui reprend sa voiture après son premier vaporisateur (de tout manière on ne roule pas en ayant consommé).. oui ce sera plus dangereux un vaporisateur car au niveau cognitif il sera plus altéré qu'en ayant simplement fumé (a dose égale et même produit). De la a en faire un tel titre... encore une fois ça dépend de quel coté on se situe, quand je précisé c'est pas bidon.. c'est en se mettant du coté des psychiatres ou du moins comprendre ou ils voulaient en arriver lol ! Donc oui plus toxique au niveau de la sphère psychique... Sur ceux, je lance mon vaporbrother, mes poumons me remercie mais pas ma santé mental ... Ah wait, je divise les dose par 3... disons alors que ça reviens au même? Modifié décembre 7, 2018 par Amnes13 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
liloutedebordeaux 213 Posté(e) décembre 8, 2018 Partager Posté(e) décembre 8, 2018 Hello, D'un autre coté, on se pose des questions sur l'utilité de dire que le cannabis vapoté est plus toxique que le cannabis fumé. Certes, cela peut s'avérer être une vérité sur le plan psychique si à la base, on considère que la plante est mauvaise pour la santé mentale, mais cela revient à dire que les consommateurs sont juste des bouches qui aspirent du thc. Hors, ce n'est pas le cas. Nous sommes des êtres humains qui apprenons à nous gérer et nous nous servons de nos sens pour réguler notre consommation. En allant dans cette direction, je peux affirmer que la dose administrée n'est pas le résultat de l'outil utilisé, mais le résultat de la volonté de l'usager qui décide de quand il commence et de quand il arrête. Ainsi, c'est lui qui décide de la quantité de cannabis inhalée et de l'intensité des effets. L'outil n'est qu'accessoire et n'est utilisé que pour atteindre un but de la manière désirée. Et ce n'est pas les moyens qui manquent pour parvenir à ses fins qui sont plus complexes que présumé dans cette étude. Voilà mon avis sur la pertinence de l'étude en question. Je pourrais rajouter que la ecig dispose de réglages que ne possèdent pas les moyens de consommation par combustion. C'est ainsi qu'on peut jouer sur le tirant d'air et la température de chauffe du eliquide (temp contrôl) et la puissance de la ecig. Le résultat de l'étude va être différent selon que ces paramètres vont être pris en compte. Il est certain que si on vape sur une machine à faire du cloud, on va avoir le double de la dose d'un joint en une bouffée. C'est d'ailleurs un élément qui est pris en compte par tous les usagers de cigarette électronique qui dosent leur taux de nicotine en fonction de l'utilisation de leur matériel. On est loin du simple clop où t'aspire simplement dans le filtre. Tout ça pour dire qu'il faut croire que les choses ne sont pas aussi simplistes que ce que pensent les chercheurs qui ont oublié que le consommateur est plus qu'un simple réceptacle qui absorbe toujours la même dose de thc mécaniquement. @+ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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