mrpolo 7 743 Posté(e) juin 24, 2018 Partager Posté(e) juin 24, 2018 Manif contre la criminalisation des consommateurs de drogues Une trentaine d’associations se sont rassemblées dans le Parc royal de Bruxelles samedi dans le cadre d’une campagne internationale contre la criminalisation des consommateurs de drogues. La politique actuellement menée est néfaste tant pour ceux qui se droguent que pour la société, plaident les participants. Les associations issues du monde de la santé, de la prison, des droits de l’homme ou de l’éducation permanente ont déployé des stands d’informations dans le Parc royal. «La politique en matière de drogues doit se baser sur des vérités scientifiques plutôt que sur des considérations morales», affirme Catherine Van Huyck, directrice de Modus Vivendi, co-organisateur de l’événement en Belgique. «La vieille loi de 1921 doit d’urgence être révisée. Elle bloque un tas d’innovations qui pourraient donner des résultats positifs.» Les associations défendent notamment l’usage thérapeutique du cannabis, les traitements de substitution à la diacétylmorphine (héroïne médicale), l’accès à la naloxone (antidote aux overdoses à l’héroïne), les salles de consommation à moindres risques ou encore les «cannabis social clubs», des groupes qui produisent eux-mêmes le cannabis qu’ils consomment. La campagne «Soutenez. Ne Punissez Pas» est une initiative mondiale menée par Le Consortium International sur les Politiques des Drogues (IDPC), le Réseau International des Consommateurs de Drogues (INPUD), l’Association Internationale de Réduction des Risques (HRI) et l’Alliance Internationale pour le VIH/SIDA. Elle se déroule dans plus de 80 pays. Source: sudinfo.be 6 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Frett 1 338 Posté(e) juin 25, 2018 Partager Posté(e) juin 25, 2018 Yop Tant qu'on aura miss Maggie, tonton Bart et monsieur patate avec du pouvoir, rien ne bougera... Ils sont toujours avec une mentalité moyenâgeuse Malheureusement ! 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
S@turnin 677 Posté(e) juin 25, 2018 Partager Posté(e) juin 25, 2018 Yop, Good news Mais vu le retour en arrière du gouvernement concernant le cannabis (bye bye la directive "tolérant" le cannabis dans un lieu privé dans le nouvel accord du gouvernement-hs on : maintenant, faut voir comment ils vont appliquer cela, vu que ce sont les communes qui décident des priorités de leur politique, mode hs off-), bref, vu le retour en arrière du gouvernement, pas sûr que çà change grand chose... Ty m'a bien fait marrer avec ton mr patate frett , mais c'est vrai qu'il ressemble à une patate, et que c'est une vraie patate en politique ++++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
Frett 1 338 Posté(e) juin 26, 2018 Partager Posté(e) juin 26, 2018 salut @S@turnin C'était plus à la ressemblance au jouet que je pensais. ++ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
mrpolo 7 743 Posté(e) juin 26, 2018 Auteur Partager Posté(e) juin 26, 2018 A Rennes, un “drogues store“ pour dénoncer la ”politique de répression” Feuille de cannabis / © cc - JonRichfield Un "drogues store" éphémère a ouvert mardi à Rennes, où les usagers peuvent trouver cocaïne, ecstasy ou encore résine de cannabis... sous forme fictive: l'opération menée par trois associations rennaises vise à dénoncer la "politique de répression" qu'elles estiment inefficace. "Les jeunes consomment et leur consommation augmente, les statistiques le montrent. Pour autant, on a une politique de répression. On essaye de dire aux politiques qu'on pourrait proposer autre chose. Mettons le débat sur la place publique", propose Mylène Guillaume, coordinatrice de l'Orange Bleue, qui avec Aides Rennes et Baracanna est à l'initiative de l'opération. Cette action est menée à l'occasion de la Journée internationale de réduction des risques liés à l'usage de drogues célébrée mardi, et dans le cadre de la campagne "Support, don't punish" ("soutenez, ne punissez pas", née en 2013). Les trois associations demandent aux autorités de sortir de la répression qui n'a pas permis selon elles de réduire la consommation. De la drogue fictive Les doses présentées dans ce magasin éphémère, a précisé Mme Guillaume, "sont faites de farine ou de sucre de canne et les faux ecstasys ont été réalisés avec une imprimante 3D". Leurs prix vont de 10 à 100 euros. "Il faut un cadre légal au lieu de laisser nos jeunes livrés aux dealers, au marché noir, à des produits qui ne sont pas contrôlés", explique encore Mylène Guillaume qui fait également de la prévention sur les festivals bretons.La boutique a été ouverte dans le centre-ville de Rennes pour la journée de mardi, proposant des "produits contrôlés, l'accès au matériel" permettant de consommer sans risque afin d'éviter le VIH, et aussi des préservatifs. "On peut aussi réaliser un dépistage. De la documentation sur les produits et risques est disponible", détaille la responsable de l'Orange Bleue. Par AFP (avec S/Salliou) Source: france3-regions 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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