Ex-UFCM-I Care 9 215 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 (modifié) Hey nan mais nan .... Le mec il a 200 ans, il est à la retraite, il est deja tellement mort que seuls les fachos lui donnent encore un peu de credit .... Pffff allez je me suis bien marré quand même, c'est tellement n'importe quoi ..... @+ Drogues : légaliser ou continuer de les interdire ? La guerre contre les drogues, en France, n’a pas été perdue, car elle n’a pas été déclarée et que le sujet a été confié à une troisième colonne, à des infiltrés et autres desperados sociaux. Pr. Jean Costentin Président du Centre National de Prévention d’Etudes et de Recherches sur les Toxicomanies (CNPERT). Dire « continuer d’interdire les drogues » est incongru, le laxisme qui prévaut ne donnant pas à croire qu’elles sont effectivement interdites. L’habileté politicienne a mobilisé en cette matière la quintessence de ses florilèges. Quelques déclarations guerrières visent à apaiser le chaland ; elles suscitent aussitôt des réprobations qui justifient l’impossibilité d’arrêter l’expansion des drogues ; et l’impuissance publique continue de laisser dire et de laisser faire. Le budget de la nation subventionne des associations qui font l’apologie des drogues (Act’up ) ou qui, à tout le moins, militent pour leur légalisation (Association Nationale de Prévention de l’Alcoolisme et autres Addictions). Il finance à un haut niveau la Mission interministérielle de Lutte contre les drogues et les toxicomanies, à la tête de laquelle ont sévi des missionnaires démissionnaires (Mmes Maestracci et Jourdain-Menninger, ainsi que M. Jayle) ; MILDT devenue (la belle affaire) MILDECA, mission interministérielle de lutte contre les drogues et conduites addictives (élargissant le bocal pour tenter de noyer le poisson). Ces trois présidences (à la différence de celle de M. Apaire) furent manifestement au service de la légalisation des drogues, à commencer par le cannabis. Leurs responsabilités dans ce « désastre des toxicomanies* » doivent être partagées avec ceux qui les ont nommé et qui ne les ont pas débarqués quand leurs dérapages devenaient manifestes (peur d’en faire des « boucs émissionnaires » ?). La guerre contre les drogues, en France, n’a pas été perdue, car elle n’a pas été déclarée et que le sujet a été confié à une troisième colonne, à des infiltrés et autres desperados sociétaux. L’OEDT (Observatoire européen des drogues et toxicomanie) vient de « donner un carton rouge » à la France, fustigeant l’absence d’information de sa jeunesse sur les drogues et toxicomanies. Dès lors, on ne peut s’étonner d’être, parmi les 28 Etats de l’Union européenne, les plus intoxiqués, ni surpris de ne figurer qu’au 27e rang des performances éducatives internationales du classement PISA. Depuis bientôt 20 ans nous réclamons cette pédagogie à des interlocuteurs aux faciès éteints voire narquois. Sur toute la durée du secondaire, les jeunes Français ne bénéficient, au mieux, que d’une information de deux heures, par des intervenants spécialisés de la gendarmerie. Les enseignants, infirmières, médecins scolaires, chefs d’établissement, responsables des clubs sportifs…, ne sont pas formés à aborder ces problèmes. La surdité, la cécité du monde politique à ce problème majeur pour notre nation, a contribué au « dégagisme ». Loin des salutaires changements attendus, on s’inquiète d’une banalisation supplémentaire du cannabis, si devait prévaloir une simple contravention pour l’usager, fut-elle de 300 euros, si elle était donnée en solde de tout compte. La loi de prohibition du cannabis de 1970, n’a pas été appliquée par l’administration judiciaire. Elle l’a abordée sur le mode du tout ou rien, oubliant opportunément le tout (punition par une amende maximale de 3750 euros, ou par un an de prison au maximum), en choisissant trop systématiquement le rien ; alors que les peines maximales prévues (effectivement énormes) pouvaient être ramenées au niveau d’une amende substantielle, voire d’une brève peine de prison avec sursis, dissuadant des récidives. De nombreux médias, et pas des moindres, ont contribué d’une façon majeure à la banalisation des drogues, en prenant soin d’occulter leurs méfaits sanitaires majeurs. Les statistiques ont été présentées sur le mode de l’euphémisme, déclarant que le phénomène était général. Elles oubliaient de souligner que le pire était chez nous et que nous caracolions en tête du peloton des européens intoxiqués. Comble d’impudence, ceux qui ont conduit à ce désastre estiment désormais, qu’au point où nous en sommes, nous n’avons plus qu’à nous rendre ; à accepter la défaite, d’abord pour le cannabis et bientôt pour les autres drogues. Parmi eux pérorent des « addictologues » qui, impuissants à guérir, prônent la drogue pour tout et la drogue pour tous. En dehors de leur domaine d’expertise ils se font les chantres du « cannabis médicament » puis, comme pour rassurer sur l’aboutissement de leurs errements, ils promeuvent les salles de shoots afin d’accueillir en fin de trajectoire ceux qu’ils auront laissé entrer dans la spirale infernale de la drogue. Alors : Stop ou encore ? On donne un coup d’arrêt ou on poursuit la dégringolade ? (Boulevard Voltaire) Modifié avril 10, 2018 par UFCM-I Care 1 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Dire « continuer d’interdire les drogues » est incongru, le laxisme qui prévaut ne donnant pas à croire qu’elles sont effectivement interdites. L’habileté politicienne a mobilisé en cette matière la quintessence de ses florilèges. Quelques déclarations guerrières visent à apaiser le chaland ; elles suscitent aussitôt des réprobations qui justifient l’impossibilité d’arrêter l’expansion des drogues ; et l’impuissance publique continue de laisser dire et de laisser faire. Le budget de la nation subventionne des associations qui font l’apologie des drogues (Act’up ) ou qui, à tout le moins, militent pour leur légalisation (Association Nationale de Prévention de l’Alcoolisme et autres Addictions). Il finance à un haut niveau la Mission interministérielle de Lutte contre les drogues et les toxicomanies, à la tête de laquelle ont sévi des missionnaires démissionnaires (Mmes Maestracci et Jourdain-Menninger, ainsi que M. Jayle) ; MILDT devenue (la belle affaire) MILDECA, mission interministérielle de lutte contre les drogues et conduites addictives (élargissant le bocal pour tenter de noyer le poisson). Ces trois présidences (à la différence de celle de M. Apaire) furent manifestement au service de la légalisation des drogues, à commencer par le cannabis. Leurs responsabilités dans ce « désastre des toxicomanies* » doivent être partagées avec ceux qui les ont nommé et qui ne les ont pas débarqués quand leurs dérapages devenaient manifestes (peur d’en faire des « boucs émissionnaires » ?). La guerre contre les drogues, en France, n’a pas été perdue, car elle n’a pas été déclarée et que le sujet a été confié à une troisième colonne, à des infiltrés et autres desperados sociétaux. L’OEDT (Observatoire européen des drogues et toxicomanie) vient de « donner un carton rouge » à la France, fustigeant l’absence d’information de sa jeunesse sur les drogues et toxicomanies. Dès lors, on ne peut s’étonner d’être, parmi les 28 Etats de l’Union européenne, les plus intoxiqués, ni surpris de ne figurer qu’au 27e rang des performances éducatives internationales du classement PISA. Depuis bientôt 20 ans nous réclamons cette pédagogie à des interlocuteurs aux faciès éteints voire narquois. Sur toute la durée du secondaire, les jeunes Français ne bénéficient, au mieux, que d’une information de deux heures, par des intervenants spécialisés de la gendarmerie. Les enseignants, infirmières, médecins scolaires, chefs d’établissement, responsables des clubs sportifs…, ne sont pas formés à aborder ces problèmes. La surdité, la cécité du monde politique à ce problème majeur pour notre nation, a contribué au « dégagisme ». Loin des salutaires changements attendus, on s’inquiète d’une banalisation supplémentaire du cannabis, si devait prévaloir une simple contravention pour l’usager, fut-elle de 300 euros, si elle était donnée en solde de tout compte. La loi de prohibition du cannabis de 1970, n’a pas été appliquée par l’administration judiciaire. Elle l’a abordée sur le mode du tout ou rien, oubliant opportunément le tout (punition par une amende maximale de 3750 euros, ou par un an de prison au maximum), en choisissant trop systématiquement le rien ; alors que les peines maximales prévues (effectivement énormes) pouvaient être ramenées au niveau d’une amende substantielle, voire d’une brève peine de prison avec sursis, dissuadant des récidives. De nombreux médias, et pas des moindres, ont contribué d’une façon majeure à la banalisation des drogues, en prenant soin d’occulter leurs méfaits sanitaires majeurs. Les statistiques ont été présentées sur le mode de l’euphémisme, déclarant que le phénomène était général. Elles oubliaient de souligner que le pire était chez nous et que nous caracolions en tête du peloton des européens intoxiqués. Comble d’impudence, ceux qui ont conduit à ce désastre estiment désormais, qu’au point où nous en sommes, nous n’avons plus qu’à nous rendre ; à accepter la défaite, d’abord pour le cannabis et bientôt pour les autres drogues. Parmi eux pérorent des « addictologues » qui, impuissants à guérir, prônent la drogue pour tout et la drogue pour tous. En dehors de leur domaine d’expertise ils se font les chantres du « cannabis médicament » puis, comme pour rassurer sur l’aboutissement de leurs errements, ils promeuvent les salles de shoots afin d’accueillir en fin de trajectoire ceux qu’ils auront laissé entrer dans la spirale infernale de la drogue. Alors : Stop ou encore ? On donne un coup d’arrêt ou on poursuit la dégringolade ? (Boulevard Voltaire)
popolski 584 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 Oï! Aaah ce cher Pr. Costentin, un homme rigoureux et mesuré dans ces propos. Ah non on m'indique dans l'oreillette que son bagage scientifique remonte au temps où l'on effectuait des saignées. Le monsieur est contre toute les drogues, heureusement il ne consomme ni sucre ni café et ne fait jamais l'amour. En complément de l'article : Spoiler Citation Jean Costentin est-il dangereux ? Jean Costentin est un professeur en pharmacologie à l’Université de Rouen, également membre de l’Académie Nationale de Médecine et de Pharmacie. Il a publié en 2006 un ouvrage intitulé « Halte au Cannabis ! » où il engage une véritable guerre contre le cannabis, qu’il soit utilisé à des fins médicinales ou récréatives. Le professeur Costentin développe dans ses écrits et à travers ses nombreuses interventions une vision prohibitionniste du chanvre, systématiquement à charge contre le cannabis, parfois en déformant clairement les faits. Passage en revue de ses petits arrangements avec la vérité. Cannabis et accidents de la route Jean Costentin se fait fort de dire que « 300 morts sur la route sont le fait d’une consommation isolée du cannabis, ce qui est considérable. Le nombre des morts est autour de 3.500 morts. » Pourquoi c’est faux ? Selon le site Centaure, le cannabis est impliqué certes dans certains accidents de la route, mais est seulement dans 1 accident sur 8 soit 230 morts par an, un chiffre arrondi et exagéré. On se permettra de rappeler également que la présence de THC dans le sang n’implique pas que le conducteur est sous son effet, contrairement à l’alcool. Selon une autre étude parue sur le site Cannabis-Med.org, on constate que la consommation de cannabis n’est pas directement liée aux accidents de la route. La conduite en état d’ivresse reste la principale cause d’accident. Le THC est également moins perturbant qu’un analgésique de niveau 2 ou 3 (tramadol ou codéine). Costentin explique également dans cette vidéo que sous l’emprise de l’alcool et du cannabis, le chiffre d’accidents mortel est multiplié par 14. Pour le coup, c’est vrai. Cannabis et addictions Jean Costentin exagère volontiers le potentiel addictif du THC : « le THC est une drogue, un agent toxicomanogène, donc une substance génératrice d’une pharmacodépendance, d’une addiction ». Le professeur Costentin fait également souvent allusion à ce que les américains appellent la « stepping-stone theory », et en français, la théorie de l’escalade des drogues. En schématisant, cette théorie voudrait qu’en commençant à fumer un joint, on finit par prendre de l’héroïne. Costentin en parle dans la vidéo linkée plus haut . « On va appeler ça le ‘phénomène de tolérance’ : lorsque l’effet du cannabis est épuisé car le fumeur en consomme déjà quotidiennement, très naturellement le consommateur va aller frapper à la porte d’autres drogues comme la cocaïne, l’ecstasy et pour finir, l’héroïne. » affirme t-il. Pourquoi c’est faux ? De nombreuses études scientifiques se sont penchées sur cette théorie qui a émergé dans les années 30, en pleine Amérique ségrégationniste, et qui visait directement les populations noires et sud-américaines. L’étude la plus probante, reprise par Libération, montre que les utilisateurs de cannabis passent rarement à des drogues plus dures, alors que la première drogue consommée par les consommateurs de cannabis reste l’alcool. Cannabis et légalisation Jean Costentin s’oppose évidemment à la légalisation du cannabis : « Légaliser serait adresser un épouvantable message de banalisation du cannabis à notre jeunesse. Un État ne saurait faciliter l’accès de ses citoyens à un agent toxique. Par des enquêtes réalisées en collèges et en lycées, à la question posée aux potaches abstinents « Pourquoi ne consommez-vous pas de cannabis ? », 40 % répondent « Parce que c’est toxique » et 60 % « Parce que c’est interdit ». Lever l’interdiction ferait croire aux premiers que ce n’est pas dangereux et serait, pour les seconds, un encouragement du type « allons-y gaiement » » Pourquoi c’est faux ? Lever l’interdiction d’une drogue pour les adultes n’encourage a priori pas sa consommation de cannabis chez les plus jeunes. Les exemples existent aujourd’hui, autour de nous tout d’abord (Pays-Bas et Portugal), puis plus loin, dans les Etats américains ayant légalisé le cannabis. Selon les derniers chiffres, 40% de la population française a déjà essayé du cannabis, contre 25% aux Pays-Bas et 9% au Portugal. Au Colorado, ce sont les +35 ans qui profitent davantage de la légalisation du cannabis, avec un gros boom chez les personnes âgées. Un changement de loi en France, qui restreint aujourd’hui la liberté d’expression autour du cannabis, permettrait une prévention plus marquée sur la population jeune et une meilleure prise en compte en amont des risques du cannabis pour les mineurs et les jeunes majeurs. Cannabis et schizophrénie Dernière idée appuyée par le professeur en pharmacologie : le cannabis et la schizophrénie. Jean Costentin a notamment déclaré que le THC est responsable de la schizophrénie : « longtemps suspectée mais désormais bien établie au plan épidémiologique et bien expliquée au plan neurobiologique ». Il cite l’étude séminale d’Andreasson (publiée en 1987 sur le site médical The Lancet) qui « établissait que le fait d’avoir fumé plus de 50 joints en tout, avant l’âge de la conscription, multipliait d’un facteur de 6 le risque de développer une schizophrénie. » Pourquoi c’est biaisé ? Le lien entre cannabis et schizophrénie est plus compliqué que ne le pensaient les scientifiques il y a 20 ans. Le risque est bien présent, mais Costentin « oublie » le lien de causalité. Les études ont montré, par exemple celle-ci, que les personnes schizophrènes avaient davantage tendance à se tourner vers le cannabis. Le cannabis déclencherait donc des troubles schizophrènes chez les personnes étant prédisposées à la maladie. Cannabis et Jean Costentin Nous avions déjà parlé de Jean Costentin lors de la dernière intervention de l’Académie de Pharmacie, dont Costentin est membre, sur le sujet de la légalisation du cannabis. Dans ce débat, tous les arguments sont bons à prendre. On peut objectivement dire qu’il y a à la fois des avantages et des risques à légaliser n’importe quelle substance. Mais encore faut-il ne pas s’arranger avec la vérité, les nombreuses études scientifiques disponibles et les exemples des pays alentours. La dangerosité de la prohibition vient aussi du fait que certaines « raisons » sont biaisées dès l’origine. Mehdi Bautier Source :https://www.newsweed.fr/jean-costentin-dangereux/ Popolski. 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Etranje 2 589 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 Salut, Constantin dans toute sa splendeur, par contre pour le lire depuis longtemps, je le trouve un peu "dépité" dans ce texte, c'est nouveau et ça me fait bien plaisir! A t'il pris conscience de son isolement grandissant? a+ Ps: y'a pas la source... m'enfin vu que tu les qualifie de fachos, c'est ptêt pour ça? 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Baron Vert 584 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 Salut, un torchon où s'étale la prose puante et démagogue de cet individu... À l'entendre, la France est un état laxiste alors que dans les faits, ce pays est l'un des plus répressifs d'Europe et que des gens se retrouvent en prison pour simple usage (ce n'est pas la majorité mais ça arrive). On ne serait être plus à coté de la plaque, désinformation quand tu nous tiens... S'étendre plus longuement ne ferait que lui donner un peu de crédit... ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
phyldafghan 2 601 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 Salut, c'est marrant, il est beaucoup moins prolixe quand il s'agît de torpiller du bon gros blanc de derrière les fagots, le Costantin ; le voici lors de son entrée à l'Académie de Sancerre : Et le discours d'intronisation de Brigitte, la présidente ; le passage sur le cannabis est juste pathétique d'ignorance et d'hypocrisie : Sujets de réflexion pour notre soirée sur lesquelles notre assemblée pourra rebondir , quelques propos de Jean Costentin sur le Cannabis Nos jeunes sont en majorité sensibles à son interdiction, et la respectent. Quant à ceux qui ont un irrépressible besoin de transgression, tel un passeport pour l'accès au statut d'adulte, cette légalisation les ferait frapper d'emblée à la porte des drogues encore plus dures. À l'heure où l'on assiste au rajeunissement des premières expérimentations des drogues, sachant que plus tôt les essayer, c'est plus vite les adopter et plus intensément se détériorer ; à l'heure où les quelques pays qui ont légalisé le cannabis s'en brûlent les doigts et font discrètement marche arrière tels les Pays-Bas, qui viennent de fermer plusieurs centaines de coffee shops ; à l'heure où l'on veut réduire davantage l'accidentalité routière ou au travail ; à l'heure où l'on s'efforce de faire baisser la consommation d'alcool et où l'on prend conscience enfin que le tabac tue 66 000 des nôtres chaque année ; à l'heure où la compétition économique nous rappelle qu'il n'y a de richesse que d'hommes, hommes dont il faut développer l'intelligence, la culture, l'ambition, et non les précipiter dans des toxicomanies les rendant apathiques, résignés, indifférents, anxieux, dépressifs, voire fous : la légalisation du cannabis est la grosse ficelle en chanvre de ceux qui aspirent à une croissance négative. S'il faut être attentif à l'état de la planète que nous léguerons à nos enfants, il faut l'être bien plus encore à l'état des enfants que nous lui léguerons. Non à ces drogues qui en feraient des shootés, des camés, des paumés, que nos budgets sociaux n'ont déjà plus les moyens d'assister. Merci Jean d'apporter votre réflexion et vos propositions de solutions pour nos jeunes générations, il est vrai que rien n'est facile dans cette démarche mais se voiler la face serait plus grave. Nous sommes heureux, Cher Jean, de vous accueillir au sein de notre Confrérie. Z'avez compris, les gars ? Les drogues de drogués : c'est mal. En revanche, le picrate : rien à redire, même Macron l'a dit que c'est pas de l'alcool.... Vous remarquerez en tout cas, qu'en bons hommes préhistoriques qu'ils sont : ils vivent dans une grotte. Ce qui est dommage, c'est malheureusement qu'ils en sortent pour débiter pareilles conneries... ++ 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
roscovite 75 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 Bouing ! Il y a 5 heures, UFCM-I Care a dit: [...] il est deja tellement mort que seuls les fachos lui donnent encore un peu de credit .... Bien dit ! Je sais pas pourquoi, la prose indigeste du "professeur" m'a tout de suite rappelé ça : Niveau argumentation, c'est kif-kif bourrique. Niveau humour, y a encore du taf mais le potentiel est là ++ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
animalxxx 7 684 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 Slt Citation ; à l'heure où l'on s'efforce de faire baisser la consommation d'alcool et où l'on prend conscience enfin que le tabac tue 66 000 des nôtres chaque année C'est vrai que l'alcool tue pas du tout, directement ou indirectement (accident, delirium tremens etc), Officiellement, l'alcool est responsable de plus de 37 000 décès chaque année en France (bon, source de 2011, et doctissimo surtout, 49000 selon le monde en 2016). Ce bullshit storm :/ + 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Kevazingo 196 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 (modifié) 'Jouuur ! Bataille perdue d'avance pour eux, lorsque l'on voit que le cannabis rentre progressivement de manière positive dans les mœurs (doucement mais surement). Bataille perdue d'avance pour eux, lorsque l'on voit nos nouvelles générations dont le taux de consommateur augmente depuis quelques temps. On voit de plus en plus de militaires et de membres de forces de l'ordre en consommer, pour certains qui ont connu les joies et euphories qu'apportent le cannabis récréatif, ce n'est plus le produit qu'ils traquent, mais juste ceux qui le vendent et l’achètent sans être assujettis à la TVA... De plus en plus de laxismes ou d'indulgence envers les growers et les consommateurs. Fini l'ancienne école du côté de l'oppresseur, vive les départs à la retraite... A+ Modifié avril 10, 2018 par Kevazingo Lien à poster Partager sur d’autres sites
juju93 411 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 Plop Je prendrais des pincettes pour le laxisme envers les grower et les consommateurs , un flic c'est un flic dans l'uniforme y'a plus de cerveau juste un toutou qui obéis a son maître . Les condés fumeurs qui perquis des growers sa existe , et pas sur que sa les empêche de dormir Lien à poster Partager sur d’autres sites
Kevazingo 196 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 il y a une heure, juju93 a dit: Plop Je prendrais des pincettes pour le laxisme envers les grower et les consommateurs , un flic c'est un flic dans l'uniforme y'a plus de cerveau juste un toutou qui obéis a son maître . Les condés fumeurs qui perquis des growers sa existe , et pas sur que sa les empêche de dormir Re, Je prendrais des pincettes avec les généralisations... Dans ce cas on est tous des dreadeux accros au reggae et on vote tous a l’extrême gauche. Dans la vie tout n'est pas Noir ou Blanc, il y'a beaucoup de nuances. Bonne soirée 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
juju93 411 Posté(e) avril 10, 2018 Partager Posté(e) avril 10, 2018 (modifié) Il y a 3 heures, Kevazingo a dit: Re, Je prendrais des pincettes avec les généralisations... Dans ce cas on est tous des dreadeux accros au reggae et on vote tous a l’extrême gauche. Dans la vie tout n'est pas Noir ou Blanc, il y'a beaucoup de nuances. Bonne soirée Re Il me semble pourtant que leur taf c'est d'obéir sans discuter, non ? Un flic fumeur a qui on dit de perquis un bon pti grower va pas refuser parce que lui même consomme du cannabis . Sa c'est factuel , à moins bien sur que désobéir à un ordre d'un supérieur hiérarchique soit autorisé , et dans ce cas là je dis bien une connerie France laxisme et cannabis c'est bel et bien prématuré et c'est loin d'être un scoop . J'vais passer sur la leçon sur les nuances de noir et blanc , mais le reste de tes propos t'appartiens clairement , franchement affirmer que je fais une généralité avec le contenu de mon post est assez curieux , j'ai le sentiment que tu fais dans le cliché sur pas mal de point édit Au pire tu essaye de grow dans 1m2 sans filtre à charbon en appart , et t'aura surement une idée du degré de laxisme des autorités... Modifié avril 10, 2018 par juju93 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Kevazingo 196 Posté(e) avril 11, 2018 Partager Posté(e) avril 11, 2018 (modifié) 'Jouuuur Juju tu n' as surement pas compris le font de mon message par lequel j'emets l'idée que l'acceptation du cannabis se fait petit a petit et aussi chez certains membres des forces de l'ordre car les nouveaux sont issus d'une génération ou la consommation est banalisée en dépit de la répression appliquée a ce sujet. Les anciens ayant grandit avec une idée proche de ce que nous montrent les premiers spots pubs et affiches de la prohibition americaine, les "nouveaux" eux ont une image beaucoup plus douce et cotoient sûrement beaucoup plus de consommateurs. Ils sont donc moins enclin a faire une procédure béton pour que le juge t'encule a sec pour 3 plants de weed. On le voit rien qu'avec la notion de "conso perso" qui était absente de tout débat auparavant... Le grower n'est plus automatiquement assimilé a un dealer. Alors bien sur qu'ils appliquent les ordres, mais même le plus petit gradé a une incidence sur ta future peine rien que sur la rédaction de son rapport. Il y a bien dans les faits des jugements laxistes pour ceux qui se soignent avec leur prod bien que le medical ne soit pas encore legal. Dans les fait il y a bien plus d'indulgence qu'auparavant. C'est pas encore le top a ce niveau, mais il y a du changement. Les moeurs changent, ça se fait sur le long terme et pas du jour au lendemain. Edit: En parlant cliché, il me semble que tu fais pas mal la dedans. *un flic c'est un flic dans l'uniforme y'a plus de cerveau juste un toutou qui obéis a son maître .* "Au pire tu essaye de grow dans 1m2 sans filtre à charbon en appart , et t'aura surement une idée du degré de laxisme des autorités..." -> ouai et pour rester dans les extremes, j'vais allumer un 3 feuilles dans un commissariat aussi... A+ Modifié avril 11, 2018 par Kevazingo Lien à poster Partager sur d’autres sites
manuel valls 5 288 Posté(e) avril 11, 2018 Partager Posté(e) avril 11, 2018 Plops Il y a 13 heures, juju93 a dit: un flic c'est un flic dans l'uniforme y'a plus de cerveau juste un toutou qui obéis a son maître . étant un fumeur de joints , j'ai malheureusement souvent eu des rapport "" conflictuels "" avec eux , mais rarement je suis tombé sur des personnes qui appliquent la loi sans réfléchir. ça m'est déjà même arriver plusieurs fois , qu'un keuf me rende mon matos en fin de contrôle, juste que je l'ai pas pris pour un con et que c'était 2 ou 3 g de conso. après j'irais pas jusqu’à parler de laxisme , mais plutôt d'indulgence de certains , chez les flics y a des cons, comme partout , mais aussi des types très cool, qui font pas ce job juste pour casser du shiteux, et qui ont plus d'estime de leur fonction que faire du chiffre facile. Et puis on vit dans un état de droit : on ne fait des enquêtes sur les gens, que si il y a des suspicions ou plaintes, d'activités illicites, Techniquement l'état pourrait débusquer des centaines de cultivateurs de cannabis par une simple réquisition des données bancaires, ou des distributeurs d'énergie, mais il n'en ont pas le droit sans avoir une bonne raison. ++ 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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