Wonlolf 58 Posté(e) mars 21, 2018 Partager Posté(e) mars 21, 2018 Bonjour tout le monde ! Qu'elle histoire cette amende... En fait je trouve ça plutôt pitoyable ! Legalize it... Manu ne le fait pas et ne le fera pas de peur de décevoir une partie de son électorat, ou de contrarier les papys mamies, les croyants, les biens pensants et tout ceux qui concidère le cannabis au même titre que la C ou l'héro. Faut se poser des questions là dessus déjà ! Les français ont peur du nouveau, de ce qu'ils ne connaissent pas, ont peur de tout. Il n'y a aucunes sensibilisations au cannabis, c'est inexistant, et pourtant nous sommes le plus gros consommateur Européen. Le cannabis doit avoir sa (grosse) place dans le débat publique,. Quand aux heures de grandes écoutes on verra sur les grandes chaines TV des personnes compétentes parler de cannabis, ce sera déjà un énorme pas en avant mais c'est encore bien utopique... Le cannabis a beaucoup d'éffets positifs, des bienfaits médicaux incontestable, il faut démystifier, rassurer les gens... Beaucoup de parents par exemple sont désarmés devant leurs enfants qui consomment (ça a été le cas des miens), sensibiliser et en parler publiquement permettra aussi à ces parents de dédramatiser et d'avoir les moyens d'en parler avec leurs enfants pour éviter (limiter) les excès de la jeunesse ! Autant de parents qui comprendront que c'est pas grave, ils retrouveront une certaine maitrise sur leurs gosses et n'auront plus besoin pour se rassurer de voter un pingouin qui va encore durcir la prohibition. Malgré les contres que le cannabis peut avoir ça concerne des milions de personnes qui sont "en mode fantome" en permanence, du jeune ado au retraité, du chercheur d'emploi au chef d'entreprise. La situation dans laquelle nous sommes empêtré c'est le fruit de nombreuses décennies de diabolisation, dès le collège les bleus passent dans les classes pour mettre en garde les jeunes sur cette terrible substance !!! Affreuse substance produit de satan, ça peut vous tuer les jeunes attention, et si je vous attrape je me ferais un plaisir de vous amener au post pour bien vous briser les couilles !!! Bien evidemment il faut sensibiliser les jeunes, mais sensibiliser sans dramatiser... Ca veut dire parler des dangers mais aussi insister sur le fait que si consommation il y a elle doit être "raisonnée", gamin roule pas une grosse ogive avant ton épreuve de bac même en philo ça va pas t'aider, roule la plutôt après ! Avec beaucoup de débats et de sensiblisations on va avancer, et ça peut se faire par des associations par exemple pas forcément besoin d'attendre sur le gouvernement sinon on risque d'attendre jusqu'à la mort. Moi qui suis proche d'une grosse ZUS, je peux vous garantir que cette amande elle va lever de mauvaises très mauvaises réactions dans les quartiers. Par içi la police n'est pas du tout appréciée, mais ça va nous donner encore une nouvelle raison de la detester ! Les violences contre la police vont augmenter, par conséquent les violences policières aussi... Je suis consterné de voir que l'autorité publique ne comprend toujours pas la véritable urgence qui se cache derrière le cannabis, urgence sanitaire et sociale. Notamment dans les quartiers, dans moins d'une diziane d'année ça va péter très fort, et personne ne se doute de l'ampleur et de l'issue que ça peut avoir... Sur ce... Bonne journée ! 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ex-UFCM-I Care 9 191 Posté(e) avril 4, 2018 Partager Posté(e) avril 4, 2018 (modifié) hey pffff n'importe quoi ..... du coup mon mighty chauffe .... @+ Cannabis : le gouvernement souhaite mettre en place une amende de 300 euros pour les usagers La ministre de la justice, Nicole Belloubet, a dévoilé quelques détails du projet de loi qui devrait être présenté dans les mois à venir. Le Monde.fr avec AFP | 03.04.2018 à 21h53 • Mis à jour le 04.04.2018 à 06h29 Le gouvernement avait annoncé, en janvier, vouloir mettre en place un système d’amende forfaitaire pour usage de stupéfiants, et en particulier de cannabis, que pourraient infliger directement les forces de l’ordre sur la voie publique. On connaît maintenant le montant que pourrait représenter cette amende : 300 euros. « Le projet de loi [sur la réforme de la procédure pénale] que je présenterai dans les mois qui viennent, devrait prévoir qu’une amende forfaitaire délictuelle de 300 euros pourra directement être prononcée par un policier ou un gendarme à l’encontre d’un usager majeur à l’issue d’un contrôle d’identité », a déclaré la ministre de la justice, Nicole Belloubet, mardi 3 avril, lors d’un débat à l’Assemblée nationale. Lire aussi : Légaliser, dépénaliser ou non le cannabis : le débat résumé en une conversation SMS Le choix du gouvernement va au-delà des préconisations du rapport parlementaire consacré à « l’application d’une procédure d’amende forfaitaire au délit d’usage illicite de stupéfiants » et qui envisageait une amende comprise entre 150 euros et 200 euros. Le projet de loi exclut les mineurs du champ de cette amende forfaitaire, qui « sera possible y compris en cas de récidive ». « Le montant de l’amende forfaitaire minorée serait de 250 euros et celui de l’amende forfaitaire majorée de 600 euros », a précisé la garde des sceaux. « Complémentaire » aux peines actuelles La loi de 1970 selon laquelle un consommateur de drogue risque un an de prison et 3 750 euros d’amende ne sera pas modifiée. « Cette nouvelle procédure ne viendra pas se substituer aux autres types de réponses pénales déjà existantes » mais elle constituera une voie procédurale « complémentaire », « simplifiée et rapide » face à « ce contentieux de masse », a rappelé Mme Belloubet. Sur quelque 140 000 interpellations chaque année pour consommation de drogue, 3 098 peines de prison ont été prononcées en 2015, dont 1 283 ferme. Le recours à cette amende « pourra être circonscrit par les directives de politique pénale locale à certains types d’usage en fonction notamment, de la nature du stupéfiant saisi afin d’éviter que les personnes nécessitant vraiment un traitement sanitaire en fassent l’objet », a encore expliqué la ministre de la justice. Modifié avril 4, 2018 par UFCM-I Care 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
manuel valls 5 286 Posté(e) avril 4, 2018 Partager Posté(e) avril 4, 2018 Plops ! juste en passant un jour ça ne sera pas un 1er Avril, Hope ! 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Green-CracK 8 648 Posté(e) avril 4, 2018 Partager Posté(e) avril 4, 2018 (modifié) Salut, Merci pour ses news. Ah bah jsuis pas étonné qu'au début ils parlaient d'une amande de 150e puis qui est monter à 300.. En même temps à pars profiter des gens et les faire payer payer payer pour X raison ils ont rien d'autres à faire. Une fois de plus on a la preuve qu"Ils préfèrent s'acharmer sur des fumeurs (qui font chier personne pour la plupars) plutôt que s'occuper des vrai problèmes qui touchent la société et ça risque pas de changer. A + Modifié avril 4, 2018 par Green-CracK Lien à poster Partager sur d’autres sites
mrpolo 7 743 Posté(e) avril 4, 2018 Auteur Partager Posté(e) avril 4, 2018 Cannabis : Esther Benbassa dénonce « une pénalisation à deux vitesses » Fumer un joint sera désormais passible d’une amende immédiate de 300 euros tout en restant un délit. C’est ce qu’a annoncé la ministre de la Justice, Nicole Belloubet devant les députés mercredi. Une réforme qui va à l’encontre des premiers engagements de campagne d’Emmanuel Macron. Au Sénat, la spécialiste du sujet, Esther Benbassa dénonce « une pénalisation à deux vitesses ». Par Simon Barbarit @SimonBarbarit « Une grande partie des réponses pénales sont aujourd’hui constituées de simples rappels à la loi (…) qui ne permettent pas de fixer l’interdit en la matière ».Hier, lors d’un débat autour d’un rapport parlementaire, Nicole Belloubet a ainsi justifié le recours prochain d’une « amende forfaitaire délictuelle » de 300 euros pour usage de stupéfiants, en particulier de cannabis. L’addition devra donc faire tousser les fumeurs car « le montant de l’amende forfaitaire minorée serait de 250 euros et celui de l’amende forfaitaire majorée de 600 euros » a précisé la ministre de la Justice. Une amende délictuelle qui pourra également concerner les récidivistes mais dont seront exclus les mineurs « pour lesquels devront continuer de prévaloir une approche sanitaire et éducative ». De plus, la possibilité de recourir à l’amende ne se substitue pas au système actuel mais sera « complémentaire ». Pour mémoire, actuellement, l’usage de stupéfiant peut entraîner une peine d’un an de prison et de 3750 euros d’amende, selon une loi du 31 décembre 1970. Quand Emmanuel Macron ne voulait pas pénaliser systématiquement la consommation Dans son livre « Révolution » sorti à l’automne 2016, le candidat à la présidentielle, Emmanuel Macron estimait pourtant qu’il était « vain de pénaliser systématiquement la consommation de cannabis. «On pourrait tout à fait considérer que le régime des contraventions serait suffisant pour sanctionner ces comportements » jugeait-il évoquant le recours immédiat d’une amende de 100 euros. C’est d’ailleurs en suivant cette ligne que le 25 janvier dernier, le rapport d’information sur « l’application d’une procédure d’amende forfaitaire au délit d’usage illicite de stupéfiants » des députés Eric Poulliat (LREM) et Robin Reda (LR) préconisait de contraventionnaliser l’usage de cannabis par une amende de quatrième ou de cinquième classe (entre 150 et 200 euros). La garde des Sceaux n’a donc pas choisi cette option qui, selon elle, sur « le plan symbolique » envoyait « un message négatif » et surtout « aurait pu être perçu comme une étape vers la dépénalisation ». Esther Benbassa regrette le maintien du « tabou » du cannabis « La légalisation contrôlée semble trop lointaine mais on pouvait au moins aller vers la dépénalisation. Là, on va se retrouver avec une pénalisation à deux vitesses, entre ceux qui pourront payer l’amende et ceux qui ne pourront pas et pour qui la prison pourra toujours être la sanction » regrette la sénatrice écologiste Esther Benbassa, auteure d’une proposition de loi en 2014 autorisant l’usage contrôlé du cannabis. « Je ne comprends pas ces petites mesures. C’est de la com. Il faut rationaliser cette question. À cause de ce tabou, nous n’arrivons pas à régler les problèmes du contrôle de la production, de la qualité, du taux de THC (principale molécule active du cannabis NDLR), ni non plus celui du cannabis thérapeutique qui n’est toujours pas accessible en France » ajoute la sénatrice. « La contraventionnalisation permettait de faire économiser à l’État 380 millions par an Romain Perez, coordinateur du think tank « Le Jour d’Après » à l’origine d’une étude sur le coût de la contraventionnalisation du cannabis, regrette également « le non-respect de l’engagement de campagne d’Emmanuel Macron ». « La contraventionnalisation permettait de faire économiser à l’État 380 millions par an. Dès lors, qu’on garde le délit, cela veut dire que les interpellations, les gardes à vues, le travail judiciaire… sont aussi potentiellement maintenus ». C’est en effet, pour conserver les techniques d’enquête telles que « les gardes à vues, les fouilles à corps, les perquisitions » nécessaires « aux démantèlements des réseaux » que l’exécutif n’a pas choisi la voie de la contraventionnalisation. À droite, on craint « une contraventionnalisation déguisée » Maire d’Aulnay-sous-Bois et secrétaire national LR en charge des questions de sécurité, Bruno Beschizza accueille « avec intérêt mais prudence » les annonces de la ministre. « Il ne faut pas que ce soit une contraventionnalisation déguisée ». « Pour l’instant, le gouvernement ne parle que d’usage et non de possession. En Seine-Saint-Denis, il existe une procédure simplifiée. Si vous n’avez pas plus de 50 grammes sur vous, ce qui est déjà assez considérable, vous n’écopez que d’un simple rappel à la loi. Il faut pénaliser la possession » plaide l’édile. L’amende forfaitaire délictuelle présentée par Nicole Belloubet figurera dans le projet de loi sur la réforme de la procédure pénale examiné à partir du mois de mai par le Parlement. Source: publicsenat.fr 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
« Une grande partie des réponses pénales sont aujourd’hui constituées de simples rappels à la loi (…) qui ne permettent pas de fixer l’interdit en la matière ».Hier, lors d’un débat autour d’un rapport parlementaire, Nicole Belloubet a ainsi justifié le recours prochain d’une « amende forfaitaire délictuelle » de 300 euros pour usage de stupéfiants, en particulier de cannabis. L’addition devra donc faire tousser les fumeurs car « le montant de l’amende forfaitaire minorée serait de 250 euros et celui de l’amende forfaitaire majorée de 600 euros » a précisé la ministre de la Justice. Une amende délictuelle qui pourra également concerner les récidivistes mais dont seront exclus les mineurs « pour lesquels devront continuer de prévaloir une approche sanitaire et éducative ». De plus, la possibilité de recourir à l’amende ne se substitue pas au système actuel mais sera « complémentaire ». Pour mémoire, actuellement, l’usage de stupéfiant peut entraîner une peine d’un an de prison et de 3750 euros d’amende, selon une loi du 31 décembre 1970. Quand Emmanuel Macron ne voulait pas pénaliser systématiquement la consommation Dans son livre « Révolution » sorti à l’automne 2016, le candidat à la présidentielle, Emmanuel Macron estimait pourtant qu’il était « vain de pénaliser systématiquement la consommation de cannabis. «On pourrait tout à fait considérer que le régime des contraventions serait suffisant pour sanctionner ces comportements » jugeait-il évoquant le recours immédiat d’une amende de 100 euros. C’est d’ailleurs en suivant cette ligne que le 25 janvier dernier, le rapport d’information sur « l’application d’une procédure d’amende forfaitaire au délit d’usage illicite de stupéfiants » des députés Eric Poulliat (LREM) et Robin Reda (LR) préconisait de contraventionnaliser l’usage de cannabis par une amende de quatrième ou de cinquième classe (entre 150 et 200 euros). La garde des Sceaux n’a donc pas choisi cette option qui, selon elle, sur « le plan symbolique » envoyait « un message négatif » et surtout « aurait pu être perçu comme une étape vers la dépénalisation ». Esther Benbassa regrette le maintien du « tabou » du cannabis « La légalisation contrôlée semble trop lointaine mais on pouvait au moins aller vers la dépénalisation. Là, on va se retrouver avec une pénalisation à deux vitesses, entre ceux qui pourront payer l’amende et ceux qui ne pourront pas et pour qui la prison pourra toujours être la sanction » regrette la sénatrice écologiste Esther Benbassa, auteure d’une proposition de loi en 2014 autorisant l’usage contrôlé du cannabis. « Je ne comprends pas ces petites mesures. C’est de la com. Il faut rationaliser cette question. À cause de ce tabou, nous n’arrivons pas à régler les problèmes du contrôle de la production, de la qualité, du taux de THC (principale molécule active du cannabis NDLR), ni non plus celui du cannabis thérapeutique qui n’est toujours pas accessible en France » ajoute la sénatrice. « La contraventionnalisation permettait de faire économiser à l’État 380 millions par an Romain Perez, coordinateur du think tank « Le Jour d’Après » à l’origine d’une étude sur le coût de la contraventionnalisation du cannabis, regrette également « le non-respect de l’engagement de campagne d’Emmanuel Macron ». « La contraventionnalisation permettait de faire économiser à l’État 380 millions par an. Dès lors, qu’on garde le délit, cela veut dire que les interpellations, les gardes à vues, le travail judiciaire… sont aussi potentiellement maintenus ». C’est en effet, pour conserver les techniques d’enquête telles que « les gardes à vues, les fouilles à corps, les perquisitions » nécessaires « aux démantèlements des réseaux » que l’exécutif n’a pas choisi la voie de la contraventionnalisation. À droite, on craint « une contraventionnalisation déguisée » Maire d’Aulnay-sous-Bois et secrétaire national LR en charge des questions de sécurité, Bruno Beschizza accueille « avec intérêt mais prudence » les annonces de la ministre. « Il ne faut pas que ce soit une contraventionnalisation déguisée ». « Pour l’instant, le gouvernement ne parle que d’usage et non de possession. En Seine-Saint-Denis, il existe une procédure simplifiée. Si vous n’avez pas plus de 50 grammes sur vous, ce qui est déjà assez considérable, vous n’écopez que d’un simple rappel à la loi. Il faut pénaliser la possession » plaide l’édile. L’amende forfaitaire délictuelle présentée par Nicole Belloubet figurera dans le projet de loi sur la réforme de la procédure pénale examiné à partir du mois de mai par le Parlement. Source: publicsenat.fr
S@turnin 677 Posté(e) avril 4, 2018 Partager Posté(e) avril 4, 2018 Plop, Merci pour le partage MrPolo Pas compris par contre le "« Pour l’instant, le gouvernement ne parle que d’usage et non de possession. En Seine-Saint-Denis, il existe une procédure simplifiée. Si vous n’avez pas plus de 50 grammes sur vous, ce qui est déjà assez considérable, vous n’écopez que d’un simple rappel à la loi. Il faut pénaliser la possession » plaide l’édile. " Ce Bruno Beschizza ne sait-t-il pas encore que, en France, la possession de cannabis est déjà pénalisée (par un an de prison ferme et 3750 roros d'amende, cf : loi française) ? Alors, en ce qui concerne la pratique, c'est autre chose peut être (en effet, vu le nombre de consommateurs, la justice ne peut matériellement pas faire procès sur procès pour simple conso, ce qui entraîne un décalage entre la loi et la réalité...). A pétard, Lien à poster Partager sur d’autres sites
oyo19 100 Posté(e) avril 5, 2018 Partager Posté(e) avril 5, 2018 Yop, Le consommateur est assimilé au possesseur ! ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
R4ptoR 3 565 Posté(e) avril 5, 2018 Partager Posté(e) avril 5, 2018 Bonsoir Je m'exprime sur le Titre . Une seule fois ?....Mais bien sur . Sur du fichier : a la fiche drogué notoire; Au pire a S. Citation Le consommateur est assimilé au possesseur Une Lapalissade ... La Bonne ...Nuit. Lien à poster Partager sur d’autres sites
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