C’est un message populaire. mrpolo 7 743 Posté(e) février 11, 2018 C’est un message populaire. Partager Posté(e) février 11, 2018 Tout le monde le connaît sous le nom de Frenchy Cannoli. Il est devenu en quelques années une légende vivante du haschich … et du hashporn. Après de nombreuses années à découvrir et étudier les anciennes techniques de productions de haschich, il les partage dorénavant avec le reste du monde. C’est une histoire qui commence il y a des milliers d’années, très loin d’ici. On suppose que la plante de cannabis est originaire des vallées himalayennes dans l’extrême nord de l’Inde, près de la frontière pakistanaise. On y trouves des lieux tel que Malana, dans la vallée de Parvati. Ce village isolé de la province de l’Himachal Pradesh à 3000 mètres d’altitude est entouré de champs de cannabis. C’est là que certains des charas les plus prisés d’Asie, appelés crème Malana, sont fabriqués. Vallée de Parvati Ici, les fruits de la récolte ne sont pas coupés et séchés avant d’être fumer comme dans les pays producteurs de haschich et aux Etats-Unis. Au lieu de cela, des bourgeons fraîchement coupés sont roulés dans les mains des moissonneurs, pendant des heures, afin de recueillir la résine collante dans de petites boules. Souvent, le rendement de quelques grammes est le fruit d’une journée de travail. Lorsqu’il y a assez de matière, elle est roulée dans une boule plus grande, ou en forme d’un morceau d’argile. Ce produit s’appelle « charas« . Son utilisation médicale et religieuse remonte à la nuit des temps. Sous pression des américains, le charas a été interdit en Inde dans les années 80. Récolte de la résine de cannabis sur les mains Une vie consacrée au haschich Frenchy Cannoli C’est ainsi que Frenchy a appris au cours de ses voyages au Pakistan, au Népal, en Inde et au Maroc, à fabriquer le haschich, presque par hasard. Lorsqu’il commence à fumé du cannabis à l’âge de 17 ans, Frenchy ne le connais que sous une forme. Il s’agit de blocs de haschich qui arrive en Europe via la contrebande issue du Maroc, de la Syrie, du Liban ou de la Turquie. Contrairement aux USA, le cannabis ne se retrouve que rarement sous sa forme florale. À l’âge de 18 ans, il quitte la France pour faire le tour du monde en tant que fumeur itinérant. «Pendant 20 ans, j’ai voyagé», dit-il. Lors de ses pérégrinations, il s’est retrouvé dans la vallée de Parvati en Inde, non loin de Malana. Le charas l’attirait. «Je n’étais pas là pour apprendre», dit-il. « J’étais là pour faire ma réserve pour l’année. J’étais un clochard. J’y allais pendant quatre mois pour faire ma réserve et ensuite je repartais fumer sur la plage. » Mais après la détente à Goa ou en Thaïlande, Frenchy revenait au froid et à la neige dans les montagnes. Et il y revenait toujours. « Ces gens », dit-il, « ils connaissaient vraiment, vraiment leur boulot. » Il a passé huit saisons dans la vallée de Parvati, vivant dans des grottes et traînant assez longtemps pour que ses hôtes lui fassent confiance et lui montrent leur secret. En réalité leur secret réside en quelques mots: beaucoup de travail. Une expertise unique du haschich Pendant plus de 40 ans il a appris, pratiqué et a presque perfectionné un style de fabrication de haschisch qui est pratiquement inconnu dans le monde actuel. Le tout dans un monde qui s’ouvre à un marché du cannabis de plusieurs milliards de dollars. Un marché, certse petit mais en augmentation, émerge autour d’extraits de cannabis très puissants. Ces derniers reposent sur des solvants comme le butane ou celle bien plus onéreuse, de C02 . Pour Frenchy, tout est naturel, avec de l’eau pour seul solvant, avec une méthode millénaire. Des stages et des conférences Frenchy organise dorénavant des conférences dans le monde entier sous forme de master class. Il déballe le sac et découvre un grand bol de cuisine en métal, un grand cerceau en bois du genre utilisé pour faire des courtepointes et un morceau de filet de nylon tissé finement. « Ceci, » proclame-t-il, « est une usine de haschich. » Pendant quarante minutes, le public va suivre les moindres gestes de Frenchy. Il étale délicatement sur le filet plusieurs sacs de shopping garnis de cannabis et de petits bourgeons. Chez lui, le processus est légèrement plus complexe. Un mélange d’eau, de glace et de cannabis, se brasse dans un vortex. La résine étant collante, elle se manipule lorsqu’elle est froide. Une fois se mélange fait, la plante est à la surface, et la résine tombe au fond. Il n’y a plus qu’à filtrer le tout. Attention, ne surtout pas jeter la plante en surface, car on peut en extraire à nouveau du haschich, en renouvelant le processus de six à dix fois! Ce qu’il reste dans le filtre est la résine qu’il suffit de collecter. Il est à ce moment séché, et ce n’est qu’à cet instant qu’il est possible d’avoir une idée précise de la qualité de la production. Après 10 heures de congélation et 30 heures de séchage, une dernière série de manipulations est nécessaire. Le haschich est alors pressé. Tout est dans le pressage Le secret de sa production réside dans le pressage du haschich. Mis sous un film plastique, on l’aplanit à l’aide d’une bouteille remplie d’eau bouillante. Cependant, il ne s’agit pas simplement d’obtenir ainsi une mélange cireux. A l’instar de ce qu’il se fait à la main en Inde, ce procédé permet d’entamer la décarboxylation, lorsque le cannabis produit ses effets psychoactives sous l’effet de la chaleur. Ainsi, bien plus efficacement que par d’autres méthodes, les deux composants essentiels de la plante de cannabis – les cannabinoïdes et les terpènes – se conservent de cette façon. Après le pressage, les boules , les bâtonnets ou les cannolis vieillissent et se transforment avec l’âge d’une manière similaire au procédé employé pour les vins. La résine pressée est vieillie de quatre à huit semaines, jusqu’à plusieurs années. Le plus vieux hasch que Frenchy ait jamais fumé, dit-il, avait 10 ans. « Il a un corps remplissant votre bouche », dit-il. « Ceci, cette saveur, ça tapit ta bouche. Et puis derrière vous avez tous les niveaux de terpènes. « Faire découvrir le haschich au public américain Les jours d’errance de Frenchy se sont terminés par la naissance de sa fille. En effet, il a déménagé dans la Bay Area à San Francisco, avec sa femme pour que leur fille puisse aller à l’école. De plus, en 1996, la Californie autorisa le cannabis médical. A ce moment, ll fabriquait toujours du haschich de façon traditionnelle, mais le marché du cannabis médical n’y voyait pas le moindre intérêt. « Personne ne voulait mon produit », dit-il. « Personne ne voulait de résine pressée. » Contrairement à ce qui se passe en Europe, où le haschich est la norme, il n’a jamais occupé une grande place sur le marché américain. Finalement, il a fait ce que n’importe quel vendeur confiant dans son produit ferait: il l’a donné. Effectivement, les gens qui l’ont essayé sont revenus le voir pour en reprendre. Dorénavant, certains d’entre eux étaient des acheteurs dans les dispensaires, comme APOTHECARIUM de San Francisco, ELEMENTAL WELLNESS de San Jose, Buds and Roses, Medmen, Junge Boys, etc. à Los Angeles. Lentement mais sûrement, une star du cannabis est née. «Le haschich de Frenchy, en termes de saveur et de nez, n’a pas d’équivalent», explique Nick Smilgys, cofondateur de la startup du cannabis, Flow Kana. « Les notes que ses extractions font ressortir ne ressemblent à rien de ce que vous pourriez sentir ou goûter dans le cannabis. » L’art de Frenchy a fait de lui une célébrité dans le monde du cannabis, grâce à des vidéos pratiques sur YouTube, et son compte Instagram, où il a amassé près de 10.000 adeptes en moins de sept mois. Un héritage à transmettre (Courtesy photo) La production de Frenchy est issue de savoir artisanaux. Ainsi il souhaite pouvoir conserver et transmettre cet héritage, mais aussi le protéger, à l’aide d’un label équivalent à l’AOC. En effet, avec l’arrivée du cannabis récréatif, Frenchy se pose en garant d’un héritage venu de loin, aussi bien géographiquement que temporellement. Cependant il rappelle modestement qu’il n’y est pour rien. « C’est le produit le plus incroyable de tout le royaume des plantes », dit-il. « Et nous avons de la chance de travailler avec. » Source: blog-cannabis.com Pour les accrocs : L'art perdu de l'atelier Hashishin - Par Frenchy Cannoli - Barcelone le Jeudi 8 mars 2018 de 9h jusqu’à 17 h 6 6 Lien à poster Partager sur d’autres sites
manuel valls 5 286 Posté(e) février 11, 2018 Partager Posté(e) février 11, 2018 (modifié) Yo ! Merci pour cet article qui envoi du lourd ! prévoir 75 ml de bave pour tenir les photos du regard .... il y a une heure, mrpolo a dit: Pour Frenchy, tout est naturel, avec de l’eau pour seul solvant, avec une méthode millénaire. ça fait encore plus plaisir !! comme la volonté de garder et transmettre des méthodes traditionnelles ! tellement d'accord pour l'AOC !! ++ ! Modifié février 11, 2018 par manuel valls 7 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
vincelemat 92 Posté(e) février 11, 2018 Partager Posté(e) février 11, 2018 Salut. En gros, il fait du bubblehash, ni plus ni moins. Bon, ses techniques de presse ont l'air intéressante, à voir, perso je presse directement le hasch humide, mais se servir de la chaleur apporte peut-être un plus, pourquoi pas. Par contre dix passages, non, au bout de trois ou quatre la qualité baisse drastiquement et le haschisch devient vert (et j'ai exactement la même machine que sur la photo !). Maintenant, j'ai l'impression que c'est plus un publireportage qu'autre chose, le mec fait sa pub, en mode typiquement américain avec des histoires fantastiques pour se faire passer pour un super héro du canna à fond de chez fond dans son truc... Les photos sont très soignées, mais on pourrait avoir le même résultat en utilisant du Carembar en réalité. Moi je dirais que le plus important dans la qualité d'un hasch, c'est avant tout l'herbe utilisée, et la durée des extractions (le double zéro, première extraction très courte, c'est le top d'une production, c'est bien connu). Pour le vieillissement, il faut voir dans quelles conditions il est fait : tout comme il ne sert à rien de faire vieillir une bonne bouteille à température ambiante dans le placard de sa cuisine, il ne sert à rien de faire vieillir le haschisch au soleil et au chaud, donc là on apprend pas grand chose, pour le coup... + 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
manuel valls 5 286 Posté(e) février 11, 2018 Partager Posté(e) février 11, 2018 Re ! il y a 20 minutes, vincelemat a dit: Maintenant, j'ai l'impression que c'est plus un publireportage qu'autre chose nan vraiment ce type est connu et n'a pas volé sa réputation. évidemment que l'herbe est importante pour faire du bon teuch , il en parle dans diverses interviews qu'il a donné par-ci par là , comme dans SoftSecret recensement SoftS ' _En tant que maître dans la fabrication du hash, quelle est la variété avec laquelle tu as travaillé qui t’a donné le meilleur hash? " Frenchy :"- Comment pourrait-il n’y en avoir qu’une? J’ai quelques favorites, comme la Pinot Noir d’Aficionado, la Black Lime de la Mean Gene de Mendocino, la MK Ultra de TH Seeds, la Vortex et la Jilly Bean de TGA. J’adore la Haze. J’aime la Cookies. La Kush et la OG sont souvent extraordinaires. J’aime la qualité dans toute sa diversité.https://www.softsecrets.com/fr/actualites/national/interview-du-hashishin-frenchy-cannoli/ ++ 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Papass 2 169 Posté(e) février 11, 2018 Partager Posté(e) février 11, 2018 Plop, Perso j'ai essayé et adopté son pressage "bouteille bouillante" pour commencer la décarboxylation du hash, puisque je le conservais déjà de la même facon que lui... Franchement...ça fait de la putai. de crème....mama..adieu la presse froide et glauque... A+ 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
FranckyVincent 4 149 Posté(e) février 11, 2018 Partager Posté(e) février 11, 2018 Bonsoir, Le gars, il est spécialisé dans la préparation des biscuits style cigarette russe!!!! Franchement, j'ai plutôt l'impression qu'il fait s'échapper une grand partie des terpènes!!! @Papass, vu que tu as essayé ce type de pressage, est-ce que ça lisse pas les saveurs? ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
Papass 2 169 Posté(e) février 11, 2018 Partager Posté(e) février 11, 2018 Plop, Un peu......c'est vrai que les arômes sont plus "complet" sans. Mais l'effet est beaucoup plus puissant et complexe immédiatement après le pressage. Ce qui prend plus de temps je trouve, a froid. Tchuss les amis 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
manuel valls 5 286 Posté(e) février 11, 2018 Partager Posté(e) février 11, 2018 plop ! il y a 7 minutes, Papass a dit: adopté son pressage "bouteille bouillante" y'a aussi la technique de la talonnette, à l'ancienne (fin de vidéo ) eux ne se posent pas de question de température pour la décarbo bien roots . j'avoue que c'est pratique les bouteilles , mais je reste attaché à la "presse" héritée de mon grand père pour finir le boulot ... j'aimerais bien trouver une technique pour bannir le plastoc aussi, je le fait avec ma bouffe , autant le faire avec la fume, après les matériaux qui ont les mêmes qualités techniques que le plastoc c'est rare tout ça donne vraiment envie ...; il y a 4 minutes, FranckyVincent a dit: est-ce que ça lisse pas les saveurs? apparemment c'est scientifique le fait que le pressage donne du mieux ( toujours dans l'interview soft secret sité plus haut ) Que penses-tu de la méthode de pressage du bubble hash, par rapport au processus de séchage? Les opinions divergent sur le pressage en retardant le processus de séchage, et sur le goût final du hash… J’ai fumé des hashish vieillis étonnants. Une fois, j’ai fumé au Népal une extraordinaire temple ball Charas de douze ans d’âge. J’ai moi-même constaté la transformation qui s’opère sur la résine pendant les premières semaines après le pressage, et suis devenu un fervent partisan des méthodes traditionnelles qui ont résisté au passage du temps. Je pense donc que le pressage est une partie essentielle et bénéfique du processus de fabrication du hash. J’ai recherché les aspects scientifiques derrière la tradition, et je suis stupéfait de la profondeur intuitive du savoir de nos ancêtres. Des études scientifiques montrent que le hashish pressé présente une plus grande diversité de terpènes oxygénés que le cannabis sous forme d’herbe. 50 nouveaux composés de la famille des monoterpènes sont créés dans le hashish pressé, pour chacune des premières études comparatives réalisées sur le sujet. ça dépend aussi si le teuteu tu as la force de la conserver et pas tout fumer comme un cochon., vu ma production et mon appétit , je le fume souvent en poudre . ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
FranckyVincent 4 149 Posté(e) février 11, 2018 Partager Posté(e) février 11, 2018 Re, Citation Des études scientifiques montrent que le hashish pressé présente une plus grande diversité de terpènes oxygénés que le cannabis sous forme d’herbe. 50 nouveaux composés de la famille des monoterpènes sont créés dans le hashish pressé, pour chacune des premières études comparatives réalisées sur le sujet. C'est marrant comment dans cet interview il dit que des études scientifiques confirmeraient ses propos, alors que dans le lien le pressage du haschich de l'article de départ, il est précisé que, justement, il n'y a aucunes études scientifiques qui confirmeraient son raisonnement, raisonnement basé uniquement sur sa propre expérience est-il précisé. Citation Please note that there are no scientific studies to back up this reasoning, which is based on personal experience only Alors si il y a des études scientifiques qui montrent que 50 nouveaux composés de la famille des monoterpènes sont crées par pressage, je veux bien les voir!!! ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
vincelemat 92 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Plop. Softsecret c'est uniquement du publireportage, ce canard n'est rien d'autre qu'un prospectus. Après, je sais pas si le mec a volé sa réputation ou non, c'est peut être un bon je dis pas, mais en tout cas il maîtrise très bien le côté marketing, ça oui... Maintenant j'essaierais un de ces quatre la méthode "bouteille bouillante", on verra ce que ça donne, c'est peut être une excellente technique, et peut être pas. Tout ce que je dis, c'est que pour un mec censé avoir appris pendant dix ans les techniques de fabrication du charas par les maîtres producteurs de Malani, le coup du bubblehasch fait sourire. + 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
kid1984 904 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Yo, Je ne vais rien dire sinon on va me taper sur les doigts mais bon je n'en pense pas moins . (il est sur côté le mec oooops/ en même temps c'est aux U.S.A "sifflotements") Mais bon moi je suis de l'avis de vincelemat et pour faire chauffer le hash et le presser je n'ai pas eu besoin d'aller au nepal ou de "m'inventer" une histoire j'ai simplement tout essayé ... Et comme dit plus haut 10 passe avec la même herbe ? Je fais 2/3 maxi après là aussi c'est de la verdure ... La qualité se dégrade vite après la première passe alors 10 je n'ose imaginer . Clair que dans aucuns des pays qu'il a visité , ils ne font pas de hashish à l'eau . Là bas ils tueraient plutôt pour la boire ... Personnellement , je fou mon hash au bain marie et à feu doux et le résultat n'est pas pire : A l'épluchure 6 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Demourok 4 072 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Salut Visuellement il fait quand même bien envie son hash , pas plus que certains autres sur le topic extractions maison cependant . Il a du faire un paquet de hash quand même , donc il a du s'améliorer avec le temps , j'espère pour lui ^^. Apres la technique reste très simple , du ice en passes rapides dans un genre de machine a laver avec beaucoup de glace a mon gout .Pas de quoi bousculer une charrette non plus. C'est sur que c'est beaucoup plus simple que les bho dho et autres extraction à purger sous vide. Et justement a la portée du premier venu. Il a du voir le créneau , provoquer les bonnes rencontres aux bons moment , une bonne stratégie marketing et voila. Les voyages de mon point de vue c'est intéressant pour voir les variétés (endémiques si possible) utilisées pour les extraction dans les régions de production genre Manali Parvati et autres ...mais bon niveau technique d'extraction il ne semble pas s'en être inspiré mais comme pour strain hunters c'est un bon moyen de se donner une légitimité ( a juste titre ou non ). Nombre de cannaweedeurs n'ont rien a lui envier . Pour le pressage chez moi ça dépend des variétés et des passes , certaines se presse très bien sans eau dans la bouteilles , sont très molles et grasses . D'autres requièrent un peu de chaleur ( mais je met pas que de l'eau bouillante non plus sinon j'fais du rosin ) pour avoir un résultat aussi malléable . En général je presse juste avant de fumer .Je conserve sous forme de crumble après séchage . My2cents A++ 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
kid1984 904 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Re, Alors attention je n'ai jamais dit non plus qu'il faisait de la merde ! D'ailleurs le soucis , ce n'est pas réellement lui mais plutôt ce que les gens disent de lui ... Un peu de médiatisation , un bon marketing et hop ... Ils avalent tout . A+ 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites
manuel valls 5 286 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Re de re ! yop @FranckyVincent , il parle d'études postérieures au texte, son interview à soft secret date de l'an dernier, et le pdf ( très intéressant ) que t'as mis en lien semble avoir été publié en 2011. Sinon moi aussi j'aimerais bien voir ces études , après sur le papier , ça me semble logique , dans le sens ou l’ennemi de la conservation est l'oxygène, et que le pressage permet de réduire la quantité d'oxygène dans le teuch, et la surface lisse empêche qu'il pénètre.. Il y a 13 heures, vincelemat a dit: Softsecret c'est uniquement du publireportage, bah vu qu'il est gratos , faut bien qu'il se finance, nan ? après dedans y a des extrait de bouquin de Cerventes de explications détaillées par des breeder, grower , extracteurs .... bref , la critique est facile , moi je lis ce canards depuis un paquet d'année , respect à eu de diffuser la bonne parole depuis si longtemps ! tu disais pareil de cet article , mais forcement tout est "publireportage" à ce moment là, même le scientifique qui sort une étude , il colle son nom dessus pour justifier un salaire. Le commerce de cannabis n'est pas une œuvre philanthropique, Il y a 13 heures, vincelemat a dit: en tout cas il maîtrise très bien le côté marketing, ça oui bah quoi ? il devrait vendre son shit dans du papier alu ? et faire des vidéos en 144P ? Des types qui pressent du shit , il y en a des milliers , si lui est autant connu , je veux bien croire que ce soit par manipulation et qu'il fasse de la caillasse, mais c'est aussi possible qu'il maitrise bien sa technique et fasse réellement un bon produit. Pour clore le débat il faut gouter , y a que ça . Il y a 13 heures, kid1984 a dit: Mais bon moi je suis de l'avis de vincelemat et pour faire chauffer le hash et le presser je n'ai pas eu besoin d'aller au nepal ou de "m'inventer" une histoire j'ai simplement tout essayé l'expérience personnelle est une chose , mais de là a rejeter le savoir faire des ancien et des population locales , c'est pas un peut présomptueux ? si je veux faire du bon pinard, je peux m'agiter tout seul dans mon coin et me convaincre de faire la meilleure méthode , et c'est possible. mais bon, faire un petit voyage dans le Bordelais ou ailleurs , c'est pas forcement un mal. Perso je préfère des shit old school que des extraction trop pure , y a aussi la question des gouts et des couleurs ... Difficile de tomber d'accord sur l'organoleptique, surtout avec des photos, un texte , et notre imagination. Bref tout ça pour dire qu'il faut ce méfié du marketing , sans pour autant rejeter tout ce qui est markété. ++ ! 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
kid1984 904 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Yo, Je ne rejette pas le savoir faire des locaux ni ceux des anciens , cela sous entends juste qu'il n'y a pas forcément besoin d'aller là bas pour avoir leur technique . Tu as des cuisiniers qui n'ont jamais prit un seul cours de cuisine et pourtant ... Ils sont devenus chefs étoilés , c'est aussi une question de ressenti pour travailler le produit . A l'épluchure Lien à poster Partager sur d’autres sites
manuel valls 5 286 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Plops, ouai @kid1984, je dis pas que c'est impossible de faire des trucs bien dans son coin , mais que dans certaines régions les types ont un savoir faire séculaire , et ils ont eux aussi testé pas mal de méthodes avant d'en choisir une , Et puis la cuisine on baigne dedans, qu'on prenne des cours ou pas , les infos sont plus accessibles que le méthodes de pressage du hash ... plus simple d'ouvrir un resto qu'un coffee , le marché reste restreint, et c'est que le début, il est aussi un des meilleurs, parce-que là depuis un bail , avec la légalisation et l'accessibilité, des nouveaux talents feront mieux . et avoue que ça aurait plus de gueule "qui est le meilleur shiteux", que "qui est le meilleur pâtissier" mais tkt , tes extractions donnent tout autant envie que les siennes , même moi qui suis un bleu en fabrication de teuch , j'arrive à des trucs très correctes, comme tu dis il y a le ressenti et " l'amour " qu'on porte au produit. le top est de faire les deux , suivre sa route et écouter aussi les anciens . à plouche mousse ! Lien à poster Partager sur d’autres sites
Indi-Punky 18 360 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Bonsoir Frenchy c'est l'histoire d'une rencontre, d'un coup de chance peut etre. Il etait au bon moment au bon endroit, il a fait gouter son prod au bon gars et voila. Je rejoins Kid sur le fait que c'est les autres qui lui ont collé les surnoms et la réputation. Lui n'en a jamais fait étalage, pour une raison simple c'est qu'avant lui d'autres pratiquais déjà ce type de pressage. (Bubbleman entre autre) Frenchy a su faire le buzz autour de son hash et cela a marché. On peut pas lui reprocher tout et n'importe quoi. Comme le fait qu'il bosse en bubblehash.... Y a pas 30000 techniques qui assurent un produit finit exempte d'impureté, le bubble est certainement la meilleure et la plus facile a mettre en œuvre. Citation En gros, il fait du bubblehash, ni plus ni moins. Bon, ses techniques de presse ont l'air intéressante, à voir, perso je presse directement le hasch humide, mais se servir de la chaleur apporte peut-être un plus, pourquoi pas. Par contre dix passages, non, au bout de trois ou quatre la qualité baisse drastiquement et le haschisch devient vert (et j'ai exactement la même machine que sur la photo !). Tu peux acheter la même cuisinière que le meilleur cuisinier ça voudra pas dire que tu fera la même cuisine que lui... Le savoir faire de Frenchy ne se situe pas sur les extractions, ça tout le monde sait en faire, mais sur le traitement qu'il y apporte ensuite (curring, séchage, pressage etc) Si vous aviez pris le temps de regarder une vidéo de lui, vous auriez vu qu'une passe pour lui c'est entre 3/5 min de brassage. Donc oui a ce rythme il peut bien en faire 10. Presser le hash humide... le truc ultime pour le développement de moisissures.... Bref perso j'en dirais plus quand j'aurais fait son atelier. J'aurais l'occasion d’échanger avec lui et d'en apprendre plus. 6 Lien à poster Partager sur d’autres sites
vincelemat 92 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Salut. Ce que je dis, c'est que les "à côtés" du cannabis c'est un gros business, et que softsecret (parmi d'autres) c'est juste un support publicitaire. Page après page, ce n'est que commentaires dithyrambiques sur telles graines, tels breeders, tel matos "révolutionnaire", les mecs se passent les plats, des "anciens" viennent vendre leur camelote en jouant sur leur "légende" qu'ils ont eux même crée avec soin. Bref, c'est une question d'image et de pognon tout ça... C'est comme les photos de buds en sénescence dont les breeders se servent pour faire croire aux débutants que leurs variétés sont exceptionnelles, pleins de couleurs fantastiques. Ben là on est en plein dedans : le mec, qu'est-ce qu'il vend ? Principalement des vidéos youtube, mais, surtout, il est en train de se construire une image pour la suite. Et ça marche : on l'appelle par son petit nom "Frenchy" ci, "Frenchy" là, et, quand il aura des débouchés ou une nouvelle machine à fourguer, on se dira "ah oui, c'est Frenchy, c'est un ancien ce gars". C'est ça le but... Donc je trouve légitime de lui reprocher de se la raconter avec ses dix ans d'expérience dans des endroits exotiques où sont produits les meilleurs haschischs selon des techniques ancestrales, puis de nous sortir au final une méthode utilisée par n'importe quel quidam, avec en plus comme matos une machine à laver de camping discount qui n'est même pas le bubbleator "officiel". Après je dis pas qu'il produit du mauvais shit, je dis juste qu'on ne peut et ne pourra pas le goûter pour vérifier, donc attention à ne pas tomber dans le piège de la com et des apparences. Indy-punky : aucune moisissures en pressant humide, le pressage essore déjà pas mal le produit, et il sèche ensuite en deux jours, ensuite curing. En réalité, je ne vois pas trop comment faire moisir du hasch, à part en le faisant sécher dans une cave humide... + 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Indi-Punky 18 360 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 Re Il a déjà une machine à extraire. Destiné aux pros du secteur. Autant je suis ok avec toi sur soft etc Autant je pense que Cami (son p'tit nom xd ) n'est pas le gars que tu crois. Je peux me tromper.. je vis pas avec mais c'est ce que je ressent des discussions. Par contre pas d'accord sur le fait de goûter, je compte bien y goûter pendant l'atelier 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Boogerman 6 288 Posté(e) février 12, 2018 Partager Posté(e) février 12, 2018 yop il y a 11 minutes, Indi-Punky a dit: je compte bien y goûter pendant l atelier j'avoue que je ne m'imaginais pas te voir y aller sans dégustation a+ 1 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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