mrpolo 7 743 Posté(e) décembre 29, 2017 Partager Posté(e) décembre 29, 2017 Un syndrome de plus en plus rapporté chez les consommateurs chroniques de cannabis commence à prendre des proportions épidémiques, rapportent des pharmacologues réunis au sein du réseau français d’addictovigilance. Le syndrome d’hyperémèse cannabique, caractérisé par des épisodes répétés de nausées et vomissements, fait l’objet d’une étude à paraître le 1er janvier 2018 dans la revue Drug and Alcool Dependance. © Flickr Ce syndrome a été initialement décrit en Australie en 2004. En France, les premiers cas n’ont été rapportés qu’en 2013. Le nombre de cas a régulièrement augmenté depuis 2015, jusqu’à atteindre aujourd’hui 29 notifications, indiquent les membres du réseau français d’addictovigilance. Le syndrome d’hyperémèse cannabique (SHC), également appelé syndrome cannabinoïde, progresse en trois phases. La première débute par des signes avant-coureurs, comportant des nausées matinales, une peur de vomir et un inconfort abdominal. Ces symptômes cycliques évoluent pendant plusieurs semaines ou mois. La deuxième phase est caractérisée par des épisodes de vomissements incoercibles, accompagnés de nausées intenses, persistantes, invalidantes, ainsi que de fortes douleurs abdominales. Dans certains cas, les vomissements incontrôlables peuvent entraîner une déshydratation sévère. Ces crises douloureuses durent généralement moins d’une semaine. Prise compulsive de douches chaudes Les symptômes ont l’étonnante particularité d’être temporairement soulagés par la prise compulsive de douches chaudes ou de bains chauds, voire très chauds. Cet effet bénéfique est un élément clé du diagnostic de SHC. Il se produit ensuite une phase de récupération qui correspond à la disparition des symptômes qui débute après l’arrêt de prise du cannabis. Elle est complète le plus souvent en 24 à 48 heures. Le profil des patients français ayant présenté un syndrome d’hyperémèse cannabique a été comparé à ceux rapportés à ce jour dans la littérature internationale. L’âge moyen des patients français est de 25 ans (contre 30 ans pour les 113 cas déjà décrits). Par ailleurs, en France, les patients atteints de ce syndrome diffèrent significativement de ceux publiés dans la littérature par leur consommation plus importante d’autres substances psychoactives (41,4 % contre 22,1 %), de même que par un usage plus fréquent à des fins récréatives (17,2 % contre 3,7 %). Ceci pourrait traduire une fréquence plus élevée de troubles anxieux parmi les patients français souffrant du syndrome d’hyperémèse cannabique (SHC). Par ailleurs, le centre d’addictovigilance de l’Hôpital Fernand Widal (Paris) et l’équipe d’addictologie hospitalière de liaison et de soins (ELSA) de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière ont fait état en décembre 2017 dans le Journal of Clinical Psychopharmacology de 19 cas de SHC enregistrés en Ile-de-France entre 2012 et 2016 chez des patients âgés de 20 à 48 ans. Un syndrome peu connu des médecins Le diagnostic du SHC repose uniquement sur les symptômes cliniques du patient. Il ne dépend pas d’examens complémentaires. Il doit être évoqué aux urgences chez tout adulte jeune ou adolescent présentant des vomissements incoercibles. Le médecin doit alors l’interroger sur une consommation chronique de cannabis, critère indispensable au diagnostic. L’intensité des douleurs abdominales est telle que ces patients sont fréquemment hospitalisés en urgence. Les explorations par scanner abdomino-pelvien et par endoscopie digestive haute (observation de l’intérieur de l’œsophage, de l’estomac et du duodénum) sont normales. La reconnaissance de ce syndrome éviterait donc les examens d’imagerie inutiles (scanner) et invasives (endoscopie digestive). Les auteurs notent cependant que le SHC reste peu connu des professionnels de santé, probablement du fait d’une sous-notification significative. Cependant, on compte 29 cas pour 113 décrits dans la littérature. Selon eux, ces chiffres illustrent la possibilité de l’émergence en France d’une « épidémie » de ce syndrome. La survenue de SHC ne dépend pas de la consommation quotidienne de grandes quantités de cannabis. Le délai entre la consommation chronique de cannabis et la survenue des vomissements répétés est variable. Une étude a montré que 44 % des patients souffrant d’un SHC avaient présenté des symptômes un à cinq ans après le début de leur consommation de cannabis et 32 % au cours de la première année. Parmi eux, 59 % en consommaient quotidiennement, d’autres uniquement le week-end. Des facteurs individuels sont donc probablement impliqués dans la survenue de ce syndrome. On recense dans la littérature le cas d’un individu avec SHC qui n’était pas un fumeur de cannabis mais un consommateur de cannabinoïdes de synthèse, de nouvelles substances psychoactives encore appelées spices. Paradoxe temporel Comment expliquer que le cannabis, plante ancestrale consommée depuis des millénaires, puisse entrainer un nouveau syndrome ? Les usagers de cette drogue ont-ils modifié leurs habitudes de consommation ? Fument-ils plus qu’auparavant ? Il est probable que l’émergence du SHC tienne plus au fait que les teneurs en delta-9-tétrahydrocannabinol (THC), principe actif du cannabis, présent dans l’herbe ou la résine, ont régulièrement augmenté, passant d’environ 9 % en 2000 à 17,4 % en 2013, avec des valeurs pouvant atteindre 40 %. De plus, le cannabis « haut dosage » (Cannabis indica) a progressivement supplanté les plants traditionnels de Cannabis sativa à faible teneur en THC. D’où l’hypothèse que l’augmentation des teneurs en THC a pu contribuer de façon significative à l’émergence du syndrome d’hyperémèse cannabique, le THC s’accumulant plus rapidement et à de plus fortes concentrations dans le cerveau. Effet paradoxal On sait que le cannabis est utilisé à des fins médicales pour son effet bénéfique sur les nausées induites par la chimiothérapie. Dès lors, comment expliquer qu’il puisse provoquer des vomissements incontrôlables ? Comment se fait-il que des consommateurs ressentent des nausées alors que le cannabis, de par ses effets anti-émétiques, devrait les soulager de ces symptômes ? Pour comprendre, il faut savoir que les récepteurs CB1 sont principalement présents dans le système nerveux central et périphérique, y compris le système nerveux entérique (faisant partie du système nerveux autonome contrôlant l’appareil digestif). Ces récepteurs sont impliqués dans la réduction de la sensation de nausée et dans la régulation de la température corporelle (thermorégulation). La sur-stimulation des récepteurs CB1 du système nerveux entérique pourrait provoquer un effet émétique qui surpasserait l’activité antiémétique au niveau du système nerveux central. Si tel est le cas, des teneurs élevées de THC, en dépassant un seuil propre à un individu donné, pourraient déclencher l’apparition des symptômes. De fait, des chercheurs ont émis l’hypothèse que des variations génétiques sur certains enzymes hépatiques pourraient influencer la survenue du SHC. Un métabolisme trop rapide du cannabis entraînerait une surproduction et une accumulation de dérivés du cannabis (métabolites), favorisant les vomissements. Le SHC, sujet de santé publique Les membres du réseau d’addictovigilance font remarquer que le cannabis est le produit psychoactif illicite le plus consommé en France. On compte environ 17 millions de consommateurs dans la population âgée de 11 à 64 ans. Parmi eux, 1,4 million fument du cannabis au moins dix fois par mois. Par ailleurs, 700 000 individus se déclarent usagers quotidiens de cannabis. La consommation actuelle concerne surtout les plus jeunes et les hommes (28 % des 18-25 ans, 35 % des hommes et 21 % des femmes de cette tranche d’âge). Les auteurs concluent qu’ « avec l’usage de plus en plus répandu du cannabis à des fins médicales et récréatives, les autorités sanitaires doivent être alertées sur cette question de santé publique et diffuser des messages d’avertissement concernant l’existence de ce syndrome, à la fois en direction des professionnels de santé et de la population générale ». Marc Gozlan La douche ou le bain chaud : meilleur traitement des symptômes © Wikimedia Commons Un moyen efficace pour soulager les douleurs abdominales intenses consiste à prendre des douches chaudes ou des bains chauds. Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer cet élément clé du diagnostic du SHC. Les récepteurs cannabinoïdes CB1 sont impliqués dans la régulation de la température corporelle. Prendre une douche chaude permettrait de corriger la dérégulation du thermostat hypothalamique. L’eau chaude, voire très chaude, augmenterait la température corporelle. Ce faisant, elle inhiberait la stimulation des récepteurs CB1 présents dans l’hypothalamus, impliqués dans la thermorégulation. Des chercheurs ont proposé une autre explication reposant sur le fait que les récepteurs CB1 participent à la dilatation des vaisseaux intestinaux. Une douche chaude aurait pour effet de provoquer une dilatation des vaisseaux cutanés. Il se produirait une redistribution du flux sanguin de l’intestin vers la peau. Ce détournement de sang au détriment des vaisseaux sanguins intestinaux permettrait un soulagement temporaire des symptômes digestifs. Les auteurs français proposent une troisième hypothèse : un bain chaud ou une douche chaude permettrait aux patients de déclencher une activation du système nerveux parasympathique (stimulation vagale) leur permettant de limiter la sur-activation du système nerveux sympathique. L’usage prolongé du cannabis perturbe en effet l’axe hypothalamus-hypophyso-surrénalien qui s’accompagne d’une stimulation du système nerveux sympathique. Dans la mesure où une douche très froide a également pour effet de provoquer une stimulation vagale, les auteurs estiment qu’il serait intéressant d’en proposer une aux patients souffrant de SHC. D’ailleurs, un cas de régression des symptômes par des douches froides a été rapporté dans la littérature. Il reste que le seul véritable traitement du SHC est le sevrage complet et définitif de cannabis. Pour en savoir plus : Schreck B, Wagneur N, Caillet P, Gérardin M, Cholet J, Spadari M, Authier N, Tournebize J, Gaillard M, Serre A, Carton L, Pain S, Jolliet P, Victorri-Vigneau C. Cannabinoid hyperemesis syndrome: Review of the literature and of cases reported to the French addictovigilance network. Drug Alcohol Depend. 2017 Nov 7;182:27-32. doi: 10.1016/j.drugalcdep.2017.09.038 Marillier M, Batisse A, Edel Y, Nguyen AH, Chevallier C, Pfau G, Podevin P, Djezzar S. Cannabinoid Hyperemesis Syndrome (CHS): A Parisian Case Series. J Clin Psychopharmacol. 2017 Dec;37(6):739-743. doi: 10.1097/JCP.0000000000000791 Dezieck L, Hafez Z, Conicella A, Blohm E, O’Connor MJ, Schwarz ES, Mullins ME. Resolution of cannabis hyperemesis syndrome with topical capsaicin in the emergency department: a case series. Clin Toxicol (Phila). 2017 Sep;55(8):908-913. doi: 10.1080/15563650.2017 Graham J, Barberio M, Wang GS. Capsaicin Cream for Treatment of Cannabinoid Hyperemesis Syndrome in Adolescents: A Case Series. Pediatrics. 2017 Dec;140(6). pii: e20163795. doi: 10.1542/peds.2016-3795 Pélissier F, Claudet I, Gandia-Mailly P, Benyamina A, Franchitto N. Use of Capsaicin Cream in Cannabis Hyperemesis Syndrome. J Emerg Med. 2017 May;52(5):760-761. doi: 10.1016/j.jemermed.2017.01.046 Liu X, Villamagna A, Yoo J. The Importance of Recognizing Cannabinoid Hyperemesis Syndrome from Synthetic Marijuana Use. J Med Toxicol. 2017 Jun;13(2):199-200. doi: 10.1007/s13181-017-0612-x Richards JR, Gordon BK, Danielson AR, Moulin AK. Pharmacologic Treatment of Cannabinoid Hyperemesis Syndrome: A Systematic Review. Pharmacotherapy. 2017 Jun;37(6):725-734. doi: 10.1002/phar.1931 Sorensen CJ, DeSanto K, Borgelt L, Phillips KT, Monte AA. Cannabinoid Hyperemesis Syndrome: Diagnosis, Pathophysiology, and Treatment-a Systematic Review. J Med Toxicol. 2017 Mar;13(1):71-87. doi: 10.1007/s13181-016-0595-z Desjardins N, Stheneur C. Syndrome d’hyperémèse cannabique : revue de la littérature. Arch Pediatr. 2016 Jun;23(6):619-23. doi: 10.1016/j.arcped.2016.01.016 Bertolino J, Abdo L, Khau D, Meckenstock R, Sautereau N, Jean E, Greder-Belan A, Frances Y, Cabane J, Granel B. Syndrome d’hyperémèse cannabique : à propos de 6 cas. Rev Med Interne. 2015 Oct;36(10):694-7. doi: 10.1016/j.revmed.2014.11.012 Source: blog.lemonde.fr 3 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Old-Boy 161 Posté(e) décembre 29, 2017 Partager Posté(e) décembre 29, 2017 plop vive le systémique mdr ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
lejardinier de la foret 17 Posté(e) décembre 29, 2017 Partager Posté(e) décembre 29, 2017 salut, ça me l'as jamais fait, mais j’aime bien prendre des douche chaude c'est vrais ^^ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
manuel valls 5 288 Posté(e) décembre 29, 2017 Partager Posté(e) décembre 29, 2017 Yo , perso , je suis à l'étape 1 du syndrome depuis un paquet de temps, par phases , mais j'ai jamais gerbé, le mal de bide , je le soigne avec un grand verre d'eau, la nausée avec un spliff .... toute substance est susceptible d'entrainer des troubles dès qu'on dépasse ce que le corps est capable d'ingérer et c'est même le cas avec de l'eau indispensable à notre vie boire trop d'eau ( potomanie ) entraîne une hyponatrémie, c’est-à-dire une diminution de la quantité de sodium présente dans les cellules. Les symptômes de l’hyponatrémie sont nombreux : nausées, douleurs, voire crampes musculaires, maux de tête... « Dans les cas les plus graves, poursuit le Dr Serge Goffinet, on peut avoir des convulsions, un coma, voire la mort ».En savoir plus sur http://www.e-sante.be/potomanie-boire-eau-exces/actualite/439#9vrhh0tcQIk8roO0.99 +_+ ! 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
kid1984 904 Posté(e) décembre 29, 2017 Partager Posté(e) décembre 29, 2017 Yo, Ce qui serait surtout bon à savoir , c'est fume t il pur ou avec du tabac . Cela changerait beaucoup la donne ... Parce que majoritairement dans ce pays cela fume avec du tabac hélas . A+ Lien à poster Partager sur d’autres sites
Bil92 140 Posté(e) décembre 29, 2017 Partager Posté(e) décembre 29, 2017 Salut Il n'y a qu'en France et en Australie qu'on peut nous faire avaler des choses pareil.... Ils ont rien trouvé d'autre a faire. Ces gens parlent de syndromes et ne montrent aucun résultat d'analyse de leurs cannabis. Perso le canna me stoppe la nausée et je peux même carrément re manger dans le quart d'heure qui suit ma consommation. J'ai une maladie qui touche l’hypothalamus justement, et on me conseille vivement le cannabis. Bonne soirée 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
manuel valls 5 288 Posté(e) décembre 30, 2017 Partager Posté(e) décembre 30, 2017 Il y a 19 heures, Bil92 a dit: Salut Il n'y a qu'en France et en Australie qu'on peut nous faire avaler des choses pareil.... Ils ont rien trouvé d'autre a faire. Ces gens parlent de syndromes et ne montrent aucun résultat d'analyse de leurs cannabis. Perso le canna me stoppe la nausée et je peux même carrément re manger dans le quart d'heure qui suit ma consommation. J'ai une maladie qui touche l’hypothalamus justement, et on me conseille vivement le cannabis. Bonne soirée Yop , entre diaboliser le cannabis et en parler comme une drogue juste nocive, c'est autant faux que de dire que le cannabis est un produits anodin qui ne pose aucuns problèmes. Et oui le cannabis peut entrainer une dépendance psychologique, des maladies pulmonaires et/ou cardio-vasculaires et des cancers quand il est fumé et ça , avec ou sans tabac, d'autres effets négatifs ont été démontrés et ne doivent pas être balayés d'un revers de manche, je pense. On est pas tous égaux , face au cannabis , comme face à la vie en général , et si on arrive à avoir une consommation raisonnée qui ne pose pas de soucis, ce n'est malheureusement pas le cas pour tous. tchooss 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Sangvert 3 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 Bonjour a tous Très peux présent sur les forums je me décide de posté pour partager mon expérience. J'ai était victime de ce syndrome pour la 1er fois il y a environ deux ans et ça a failli me coûter la vie.. (sans aucune exagération) Je m'explique : Arrivée en fin de stock je me décide de fumée mes feuilles de manucure et au bout de 3-4j les 1er symptômes apparaissent ( sans que je fasse de liens a ce moment) Apres 24h vomissements intensif (plus de 50x par jour..) je me décide d'appeler le 15 qui me répond qu'il ne se déplace pas pour ça (je sentais très bien que c'était qlq chose d'étrange et totalement nouveau) j'ai donc passer 24h de plus a vomir de la même façon, je me décide donc a rappelé le 15 pour réexpliquer la situation et indiqué que j'étais en détresse et avait besoin d'aide mais leur réponse fut la même que la 1er... Après 24h de plus dans les même conditions soit 72h au total je trouve enfin quelqu'un pour me conduire au urgence et la catastrophe (deja rien qu'à ma tête ils étaient inquiéts) en 1h je passe d'un box classique en soins intensifs pour finir en réanimation.. Tout ça dû au vomissements qui on induit un manque de potassium qui m'a causé insuffisance rénale, cardiaque et respiratoire (le potassium est essentiel et j'étais très très bas..) A cette époque les médecins annonce un effet de manque au quel je ne crois pas du tout. Je sort de rea après quelques jours et après avoir également subit une fibroscopie qui a révélé des lésions importante dans la gorge suites au centaines de vomissements en 72h. je rentre chez moi et un mois après rebelote, je décide de ne pas attendre et d'aller directement au urgence (ça c'est beaucoup mieux passer, sans conséquence grave et je suis sorti au bout de 2j) Toujours le même effet de manque annoncé par les médecins. Nous voilà maintenant en 2020, et il y a un mois ça a recommencé (après encore une fois avoir fumée ma manucure) je vais donc tout de suite au urgence ( j'attend plus maintenant) ça c'est bien passé et je suis ressorti le lendemain. Pour finir il y a quelques jours nouveau symptômes (cette fois après avoir fumée les "froniette" de toute les plantes) je repars donc au urgences et ressort encore le lendemain. Tout ça pour vous dire de faire attention et ne pas hésiter à aller au urgence si un truc pareille vous arrive. Je voulais signaler aussi le fait que d'après moi c'est surtout le mix de plusieurs plante qui crée une bombe de cannabinoide plutôt qu'une simple "surdose" en thc. Si des personnes qui on vécu les même symptômes passe dans le coins ça m'intéresserait beaucoup d'en parler car les médecins...(c'est moi lors de la 2em série de passage qui leur ai parler de ce syndrome qu'il on ensuite diagnostiqué officiellement) Dsl pour le pavé et les sans doute nombreuses faute mais je voulais à tout pris partager cette (mauvaise) expérience. Je voulais aussi signaler qu'aucun traitement n'est efficace sur moi (hormis les douches froide qui calme quelques minutes, contrairement au douche chaude annoncé) donc si ça vous arrive préparer vous a souffrir plusieurs jours 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
bob67 5 023 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 (modifié) Salut , il y a 49 minutes, Sangvert a dit: Nous voilà maintenant en 2020, et il y a un mois ça a recommencé (après encore une fois avoir fumée ma manucure) Pourquoi continuer si tu sais que ça ne te fait pas du bien ? je comprend pas trop ... Arrête de fumer les feuilles de manucure pour commencer , et tu sauras tout de suite si ça vient de là ou pas ... Bon courage et a++ Modifié juin 1, 2020 par bob67 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Sangvert 3 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 La conclusion de tout ça c'est faite c'est dernière jours.. ? J'ai bien l'intention d'arrêter même si ça va être long et compliqué ( j'arrête les mix immédiatement ça c'est sûr) mais j'aimerais bien d'autre retour pour comprendre un peut mieux si c'est par exemple vraiment dû au mix ou alors réellement au haut taux de thc (je pourrais a ce moment là me tourner vers des variétés au cbd pour un sevrage moins brutale) ? Lien à poster Partager sur d’autres sites
Doodlydod 64 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 (modifié) Bonjour, Je vais dire un truc tout con..mais elles sont saines tes feuilles de manicure ? Pas de produits chimiques, pas de champignons ? Peace Edit : j'ai du mal à cerner ta consommation. Prend tu de l'alcool, d'autres drogues ? Comment consomme tu ta weed ? quel quantité ? Là tu parle de ne fumer que de la manucure... Est-ce que des cigarettes te font le même effet ? Quel autres plantes as-tu fumer ? Modifié juin 1, 2020 par Doodlydod Lien à poster Partager sur d’autres sites
Sangvert 3 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 (modifié) Salut. Oui oui elles sont saines, je coupe les pointes en sénescence pour avoir quelques chose de propre mais c'est tout, et surtout ça m'a fait pareille avec les petite tête (froniette) des plantes mélanger. J'ai également fait des bilans sanguins complet a chaque hospitalisation qui n'a jamais rien révélé. Je fume en moyenne 5g par jour avec tabac (60-70% weed reste de tabac) je cultive en terre avec uniquement Root juice, grow et Bloom de biobizz Je consomme rien d'autre du tout pas même une bière (Je fume généralement en 1er les toute petite tête des plante différentes et a la fin quand la vrai récolte et fumer je consomme la manucure mais uniquement en 1feuille) Modifié juin 1, 2020 par Sangvert Edit: Le tabac me fait pas du tout ça malgré une très forte consommation quand pas de weed Lien à poster Partager sur d’autres sites
bob67 5 023 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 Re , il y a 3 minutes, Sangvert a dit: Je fume généralement en 1er les toute petite tête des plante différentes et a la fin quand la vrai récolte et fumer je consomme la manucure mais uniquement en 1feuille) T'as jamais pensé a terminer ta culture sans y toucher , et de faire du hash avec tes feuilles de manucure ? c'est ce que je fais perso maintenant ... Au bout d'un moment , il faut savoir s'abstenir pour pouvoir consommer un " produit propre " ... Cela ne reste que mon avis , ayant déjà moi mème fumé des feuilles et ptites têtes de manucures je comprend , mais sans effets secondaires heureusement . A++ 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Sangvert 3 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 Pas compris ta première phrase ? Je finis mes culture, je coupe tout et fume dans l'ordre: petite tête> vrai récolte>> manucure. J'hésite a acheté deux sac pour faire du hash mais si ça vient bien d'un mix de cannabinoide ça ne changera rien ça retire juste la matière végétale non? Après je connais très peu les plante, peut être que ces parti Stock des truc pas bon dans la matière végétale mais ça me semblerait bizarre ? Lien à poster Partager sur d’autres sites
Doodlydod 64 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 Re, Chacun réagi différemment... Tu fume depuis combien de temps ? Tu as fait des radios de tes poumons ? Tu ressent des problèmes respiratoire après avoir fumer un pur par exemple ? Sache qu'il y a très peu de chance que le problème viennent des cannabinoïdes, mais plutôt des goudrons et de la combustion. Arrête de fumer et vapote, regarde si tu vois une différence. Mais je n'ai jamais entendu parler de problèmes de ce type dû aux effets direct des cannabinoïdes (avec études/éléments scientifiques à l'appuie). Si quelqu'un à des infos contraires, cela m’intéresse également. Peace Lien à poster Partager sur d’autres sites
Sangvert 3 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 Je fume depuis 10ans, cultive depuis 3ans. J'ai fait un scanner thoracique lors de ma première hospitalisation (réanimation) qui n'a rien révélé. Pour les pure ça "bloque" un peu plus a l'inhalation au niveau de la gorge mais rien du tout au poumon. Les vapo j'essaie de plus en plus mais c'est pas facile de casser le rythme des joints. Et je dois avouer que la je suis plutôt dans l'optique d'arrêter totalement car c'est vraiment des douleur atroce. 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
bob67 5 023 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 Re , il y a 9 minutes, Sangvert a dit: Et je dois avouer que la je suis plutôt dans l'optique d'arrêter totalement car c'est vraiment des douleur atroce Je pense aussi que c'est ce qu'il y a de plus sage tant que tu ne connais pas les tenants et les aboutissants de tes soucis de santé . ++ Ps : il y a 28 minutes, Sangvert a dit: Pas compris ta première phrase ? Je finis mes culture, je coupe tout et fume dans l'ordre: petite tête> vrai récolte>> manucure. Tu fume dans l'ordre , les têtes qui sont vraiment prêtes et tu fais du hash ( ptites têtes + feuilles de manucure ) avec le reste , ou du beurre de marrakesh etc ... Pour ça , je te laisse chercher sur le fofo . a++ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
High Rabbit 1 335 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 Plop. Quelqu'un pour m'expliquer cette phrase : Le 12/29/2017 à 1:08 PM, mrpolo a dit: De plus, le cannabis « haut dosage » (Cannabis indica) a progressivement supplanté les plants traditionnels de Cannabis sativa à faible teneur en THC. Les indica sont-elles réellement plus dosées en THC que les sativa ou est-ce juste une lubie de journaliste ? Merci à qui me répondra. Pl°p. Lien à poster Partager sur d’autres sites
Sangvert 3 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 Je pense qu'il veulent peut être dire que les indica sont beaucoup plus travailler (sélectionner) étant donné leur plus forte demande? Lien à poster Partager sur d’autres sites
bob67 5 023 Posté(e) juin 1, 2020 Partager Posté(e) juin 1, 2020 Re , en général les sativa ont plus de % en cbd et en plus forte teneur en thc que les indica , c'est surtout ça qui joue ... D'où je pense le schmilblick depuis des années ... ++ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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