mrpolo 7 743 Posté(e) mars 21, 2017 Partager Posté(e) mars 21, 2017 Le Sativex pourra-il un jour arriver dans les pharmacies françaises ? « à ce stade, tout semble bloqué », indique Christophe Vandeputte, directeur général de la branche française du laboratoire pharmaceutique espagnol Almirall, qui fabrique ce médicament à base de cannabis, le tout premier autorisé en France. Quand on parle de cannabis thérapeutique, on fait souvent la confusion entre deux situations. La première concerne des personnes atteintes de certaines maladies (cancer, sida, myopathie…) qui revendiquent le droit de pouvoir fumer du cannabis, en affirmant que cela soulage certains de leurs symptômes. Une revendication à laquelle s’opposent toujours les pouvoirs publics en France. La deuxième situation concerne les médicaments fabriqués à partir de dérivés de cannabis. « Cela n’a rien à voir avec la “fumette”. » Notre médicament est un produit pharmaceutique comme les autres qui a fait l’objet d’études pharmacologiques, toxicologiques, de tolérance et d’efficacité », explique Christophe Vandeputte. Autorisation sous contrôle médical En France, la porte est restée longtemps fermée à ces médicaments, autorisés dans plusieurs pays d’Europe. Elle a commencé à s’entrouvrir au début des années 2000. Alors ministre de la santé, Bernard Kouchner avait autorisé, dans le cadre d’un plan antidouleur, les médecins à prescrire des dérivés de cannabis, mais de manière très encadrée. C’est ainsi qu’un produit, le Marinol, a été rendu accessible pour des patients souffrant de douleurs neuropathiques. Mais le médecin doit faire une demande spéciale à l’Agence nationale de sécurité du médicament des produits de santé (ANSM). « Cette procédure est très complexe et prend du temps. Ce qui explique que les demandes à l’ANSM restent très limitées », indique le docteur Bertrand Lebeau, addictologue à l’hôpital Saint-Antoine (Paris) et à l’hôpital de Montfermeil (Seine-Saint-Denis). Depuis 2005, seulement 350 patients ont pu bénéficier du Marinol, médicament fabriqué à partir de cannabis de synthèse. Le vrai tournant s’est produit début 2014 quand le ministère a annoncé l’autorisation de mise sur le marché du Sativex. Une première pour un médicament fabriqué à partir de la plante « cannabis sativa ». Délivré sous la forme d’un spray buccal, ce produit a été autorisé pour des patients atteints de sclérose en plaques et souffrant de spasticité modérée à sévère : un symptôme assez fréquent se traduisant par des contractures musculaires, parfois très douloureuses, des spasmes et des raideurs. « La concentration en THC est très faible et ne provoque pas d’effets euphorisants ni de dépendance »Le Sativex contient deux dérivés du cannabis : le cannabidiol (CBD) et le tétrahydrocannabinol (THC). Cette substance, le THC, agit sur le système nerveux, modifie les sensations, les perceptions et le comportement. Mais cet effet n’est pas possible avec Sativex. « La concentration en THC est très faible et ne provoque pas d’effets euphorisants ni de dépendance », souligne Christophe Vandeputte. Bref, le Sativex ne peut pas remplacer un « joint ». Si sa commercialisation est aujourd’hui bloquée, c’est qu’aucun accord n’a encore été trouvé entre la firme et les autorités sur son prix et son remboursement. La Haute Autorité de santé (HAS) a jugé « faible » le service médical rendu (SMR) du médicament. En conséquence, le ministère ne veut pas payer le prix fort. « On s’est mis d’accord sur un prix de 300 € pour un mois de traitement. Mais le ministère veut autoriser le remboursement pour seulement 350 patients par an. Alors que, potentiellement, on pense qu’il serait utile à environ 5 000 personnes », estime Christophe Vandeputte. Pierre Bienvault Source: La-croix.com Ce message a été promu en article 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites
willbonin123 2 268 Posté(e) mars 21, 2017 Partager Posté(e) mars 21, 2017 Yep, « La concentration en THC est très faible et ne provoque pas d’effets euphorisants ni de dépendance »,[/i] souligne Christophe Vandeputte. Bref, le Sativex ne peut pas remplacer un « joint ». Pourquoi la notion d'euphorie, de plaisir en somme, serait en contradiction avec des Vertus médicinales? En France, faut que ton traitement te mette mal, si la moindre notion de plaisir aux effets de la substance est ressenti, ça fait de toi un Drogué, et plus un patient qui se soigne. Toujours cette p☆☆☆ de Morale qu'on nous resserts dès qu'il s'agit d'aller sucer du Lobby pharmaceutique! Si moi jveux me soigner ET profiter de l'euphorie ou de la sentation de planer, au lieu de dégeuler mes Tripes? @+! 7 Lien à poster Partager sur d’autres sites
WeedzyLuigi 7 Posté(e) mars 21, 2017 Partager Posté(e) mars 21, 2017 (modifié) Bonjour , Salut , Plop .... Je me suis arrêter a vandeputte ça ma tellement faire rire que j'ai pas plus lire la suite Au revoir , Bye , A+! .... Modifié mars 22, 2017 par glass-blower Politesse Lien à poster Partager sur d’autres sites
Nakagawa 29 Posté(e) mars 22, 2017 Partager Posté(e) mars 22, 2017 Slt le problème c'est que la France c'est peut-être le pire pays socialement, avec tout ce qui ce passe, alors si en plus ils commencent à dépénaliser, ça va être le souk Lien à poster Partager sur d’autres sites
Blacka 399 Posté(e) mars 22, 2017 Partager Posté(e) mars 22, 2017 (modifié) Hello Me feront toujours rire ces chercheurs/médecins payés grassement par des lobbys pharmaceutiques militant toute voile dehors auprès de politiques corrompu pour interdire le cannabis mais nous sortent des produits transformés et bourrés de malpropretés pour induire une dépendance qui n'est pas présente au sein du cannabis fumer pure. Cette plante a toutes les vertus nécessaire en sortie de terre pour ne pas avoir besoin de ces charlatans. Tchuss Modifié mars 22, 2017 par Blacka Lien à poster Partager sur d’autres sites
Heka 5 676 Posté(e) mars 22, 2017 Partager Posté(e) mars 22, 2017 yo! oui mais tu comprends ces pauvres labo pharma qui n'ont pas de brevets a prendre sur ces molécules, c'est moche pour eux ... @+ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Boogerman 6 290 Posté(e) mars 22, 2017 Partager Posté(e) mars 22, 2017 (modifié) yop concernant "notre" politique c'est assez à , mais dans le cas du sativex j'avais lu que le souci était plus du au fait qu'il soulage les symptômes "mais" qu'il ne soigne pas apparement ce sont deux notions très fortes/divergentes aux yeux de l'agence du medicament...mais quid de la morphine alors ? bref pour ma part apres pour le coté "médicament" ou "lobby pharma" il ne faut pas oublier le cout des recherches sur le long terme, des autorisations à n'en plus finir et autres papasseries à la tonne ->on rale la dessus mais en cas de pepin les frenchies soint les premiers à raler de nouveau en cas d'ecart aux régles de plus IMO il faut bien comprendre que dans le cas présent on parle d'un produit "calibré", avec le moins d'effets "secondaires" (en tout cas ce qui est recherché) , ce qui rend les "avantages" accessibles tres simplement au plus grand nombre de patients ce n'est pas le cas obligatoirement avec une préparation type "phytothérapie" comme nous pouvons le pratiquer ici (difficulté de sélectionner les plantes/de doser de façon homogène sur la durée etc) bref je ne chante pas les louanges des lobbyistes , loin de là, mais pas envie de jeter de la caillasse à la tête non plus a+ ps: ne nous arretons pas non plus sur un nom "à la c**" avant de juger des capacités d'une personne.... j'ai un nom IRL pas plus évident à porter que mon pseudo, et j'ai franchement horreur d'etre reduit à cela Modifié mars 22, 2017 par boogerman 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Heka 5 676 Posté(e) mars 22, 2017 Partager Posté(e) mars 22, 2017 yo! ben quand tu regarde le chiffre d'affaire et surtout la part des colossales bénéfices NET de l'industrie pharmaceutique le couplé sur les couts de la recherche et développement d'obtention des AMM ext ... heu... non merci. @+ Lien à poster Partager sur d’autres sites
urokov 170 Posté(e) mars 2, 2018 Partager Posté(e) mars 2, 2018 (modifié) Bonsoir; Le sativex outre soulagé des malades, aura permis depuis le tps qu'il est utilisé/testé, que les patients (par centaines) relatent les effets bénéfiques, mais aussi les effets secondaire ainsi que les intéractions entre cannabinoides et molécules chimiques, du moins dans le cadre d'une association THC/CBD On savait pour la mangue lol mais ca peut changer la vie de connaitre les effets secondaire ou les intéractions, sérieusement. Pour ma femme par exemple, après plrs bad, d'un coup" et après 5 ans de disette, elle à pu reconsommer normalement cette plante qu'rlle aime tant, juste en changant de pillule / J'espère que ce post pourra permettre à certains de corriger un mal être du à une intéraction avec un médicaments comme elle ;) Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ? Abstenez-vous d'employer l'association tétrahydrocannabinol - cannabidiol dans les circonstances ci-après : une allergie aux cannabinoïdes ou à l'un des ingrédients du médicament; une femme en âge de procréer qui n'utilise pas de méthode contraceptive fiable; une grossesse ou l'allaitement au sein; un âge inférieur à 18 ans; des antécédents de schizophrénie ou d'autres troubles psychotiques; une maladie cardiaque grave, comme une cardiopathie ischémique, un rythme ou des battements de cœur irréguliers, une pression artérielle mal contrôlée, ou une insuffisance cardiaque grave; le projet de commencer une famille pendant le traitement (s'applique aussi bien aux hommes qu'aux femmes). MS symptoms track symtrac Spécialement conçu pour et par des gens vivants avec la SEP, cet outil vous permet de faire un suivi de votre SEP et de votre bien être en général. Cette ressource vous permet de maximiser votre rencontre avec votre médecin. Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ? Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin. Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps. Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient : un assoupissement; un changement d'appétit (augmentation ou baisse); des changements d'humeur; une constipation; des crises de panique; une douleur abdominale; des étourdissements; un goût inhabituel dans la bouche; une impression de tourner sur soi-même; de la diarrhée; de la difficulté à uriner; de la faiblesse; de la fatigue; de la nausée; de l'oubli ou une faible concentration; un mal de gorge; une sécheresse de la bouche; une sensation de brûlure dans la bouche; une sensation d'endolorissement ou de fourmillement dans la bouche; une toux; un trouble de l'équilibre; des troubles du sommeil. La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux. Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste : l'anxiété; des changements de la pression artérielle; des chutes ou un problème d'équilibre; la confusion; une émission d'urine difficile; un évanouissement; des hallucinations (voir, entendre ou sentir des choses qui n'existent pas) ou des idées étranges; une intoxication (une sensation d'ivresse, des difficultés d'attention, des étourdissements, de la somnolence, une désorientation, une altération de l'humeur, une sensation d'irréel, de joie ou d'euphorie avec le rire facile ou une sensibilité à fleur de peau); des lésions dans la bouche; un rythme cardiaque rapide; des signes de dépression (par ex. un manque de concentration, des fluctuations pondérales, des changements du sommeil, désintérêt à l'égard de nombreuses activités, des pensées suicidaires); des troubles de l'élocution; une vision floue. Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme : de la paranoïa; des pensées relatives à l'automutilation ou au suicide; des signes de réaction allergique grave (par ex. de l'urticaire, des difficultés respiratoires, ou un gonflement de la langue, du visage, de la bouche ou de la gorge). Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament. Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ? Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament. Alcool : ce médicament contient de l'alcool et il peut être préjudiciable aux personnes atteintes d'un trouble lié à l'abus d'alcool. Il peut également devenir un problème pour les personnes atteintes de maladies hépatiques. Si vous avez des antécédents d'abus d'alcool ou si votre fonction hépatique est réduite, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Obstruction à la vidange de la vessie : ce médicament peut causer l'incapacité d'uriner pour les personnes qui ont des problèmes médicaux qui font obstacle à la vidange de la vessie (par ex. en cas d'hypertrophie de la prostate ou de cancer de la prostate). Si vous avez des antécédents d'obstruction vésicale, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Dépression : il a été démontré que le THC provoque des sautes d'humeur et des symptômes de dépression. Si vous souffrez de dépression ou avez des antécédents de dépression, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Si vous présentez des symptômes de dépression (comme un manque de concentration, un changement de poids, un changement touchant le sommeil ou une perte d'intérêt envers vos activités) ou si vous constatez qu'un membre de la famille traité par ce médicament présente ces symptômes, communiquez avec votre médecin au plus tôt. Somnolence ou vigilance réduite : l'utilisation de ce médicament peut nuire aux capacités mentales et physiques. Vous devez éviter de conduire un véhicule, de manœuvrer de la machinerie lourde ou de participer à des activités nécessitant de la vigilance pendant que vous utilisez ce médicament. Problèmes cardiaques : ce médicament peut provoquer de l'hypotension et augmenter votre rythme cardiaque. Il se peut que vous ayez une sensation de tête légère lorsque vous vous levez d'un siège ou d'un lit (hypotension orthostatique). Les personnes ayant de graves problèmes cardiaques, comme un rythme cardiaque irrégulier, une cardiopathie ischémique (causée par une réduction du flux sanguin vers le cœur), une hypertension mal contrôlée, ou une insuffisance cardiaque, ne devraient pas utiliser ce médicament. Si vous avez des antécédents de maladie cardiaque ou de troubles de la pression artérielle, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Intoxication: un des ingrédients actifs de ce médicament est le tétrahydrocannabinol (THC). Le THC peut avoir de nombreux effets sur le système nerveux central. Ce médicament peut altérer la mémoire, la performance mentale, et la capacité à contrôler le comportement. Il peut également changer l'humeur d'une personne et modifier son sens de la réalité et du temps. Le THC peut interférer avec la capacité physique d'effectuer des tâches, et peut même provoquer des évanouissements. Ces réactions semblent survenir lors de l'administration de plus fortes doses ou lorsque le médicament est utilisé plus fréquemment au cours de la journée. En général, elles s'améliorent lorsque la dose est diminuée, lorsque le médicament est utilisé moins fréquemment, ou lorsqu'on l'arrête. Discutez avec votre médecin si vous hésitez à utiliser ce médicament. Affection rénale : en cas d'atteintes rénales ou de fonction réduite des reins, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Il se peut que votre médecin vous demande d'effectuer des analyses sanguines pour vérifier votre fonction rénale pendant que vous prenez ce médicament. Santé mentale : l'utilisation du THC peut aggraver les troubles du comportement et de la pensée chez les personnes atteintes d'affections psychotiques. Ce médicament peut également provoquer l'apparition de symptômes attribuables à la psychose ou à la manie chez des personnes qui n'en avaient pas subi auparavant. Si vous constatez des symptômes comme des hallucinations, de la manie (un sentiment d'excitation ou de désinhibition inusité, des pensées délirantes ou d'autres changements psychiatriques (sautes d'humeur, hallucinations, anxiété) ou si vous les constatez chez un membre de votre famille qui prend ce médicament, communiquez dès que possible avec votre médecin. Troubles convulsifs : ce médicament peut causer des crises épileptiques, surtout lorsqu'il est employé à de fortes doses ou lorsqu'il est pris en même temps que d'autres médicaments, comme : les antidépresseurs tricycliques (par ex. l'amitriptyline, l'imipramine); la cyclobenzaprine; les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine ou ISRS (par ex. la paroxétine, la fluoxétine, le citalopram); les neuroleptiques (par ex. l'halopéridol, la quétiapine, l'olanzapine, la rispéridone); les opioïdes (par ex. la morphine, la codéine, l'oxycodone); la prométhazine. En outre, le risque de crises épileptiques est plus grand pour les personnes atteintes d'épilepsie, celles qui ont des antécédents de crises épileptiques ou qui risquent d'avoir des crises épileptiques (par ex. les personnes ayant subi un traumatisme crânien). Si vous avez des antécédents de convulsions, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Toxicomanie : l'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée pour les personnes atteintes de toxicomanie, car ce produit peut provoquer une accoutumance physique et psychologique et présente un risque d'abus. Si vous avez des antécédents de toxicomanie, y compris de troubles d'abus d'alcool ou de dépendance à l'alcool, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Comportement suicidaire ou agité : certaines personnes qui ont pris ce médicament ont signalé qu'elles avaient subi des pensées autodestructrices. Celles-ci peuvent être associées à l'utilisation du médicament, mais elles peuvent également être causées par la maladie sous-jacente. Si vous vous sentez agité, anxieux, agressif, trop émotif ou si vous vous sentez étranger à vous-même ou si vous désirez vous faire du mal ou faire du mal à d'autres personnes ou si vous constatez ces symptômes chez un membre de votre famille qui prend ce médicament, communiquez immédiatement avec votre médecin. Pendant que vous prenez ce médicament, votre médecin doit vous suivre de près pour détecter des changements émotionnels et comportementaux. Grossesse : ce médicament ne doit pas être utilisé par une femme enceinte ni par une femme qui a l'intention de le devenir. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement. Allaitement : ce médicament passe dans le lait maternel. Si vous employez l'association tétrahydrocannabinol - cannabidiol pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. L'allaitement n'est pas recommandé durant le traitement par ce médicament. Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants. Les enfants qui ont moins de 18 ans ne devraient pas utiliser ce médicament. Aînés : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les aînés. Ce médicament ne devrait pas être utilisé par des enfants de moins de 18 ans. D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ? Il pourrait se produire une interaction entre l'association médicamenteuse tétrahydrocannabinol - cannabidiol et l'un des agents ci-après : l'acétate d'abiratérone; l'aclidinium; l'alcool; l'amiodarone; les amphétamines (par ex. la dexamphétamine, la lisdexamfétamine); les anesthésiques généraux (les médicaments utilisés pour provoquer un sommeil profond avant une intervention chirurgicale); les antagonistes du calcium (par ex. l'amlodipine, le diltiazem, la nifédipine, le vérapamil); les antibiotiques de la classe des sulfonamides (« sulfas », par ex. le sulfisoxazole, le sulfaméthoxazole); les antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine, l'érythromycine); les antidépresseurs tricycliques (par ex. l'amitriptyline, la désipramine); les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. l'itraconazole, le kétoconazole, le voriconazole); les antihistaminiques (par ex. la cétirizine, le dimenhydrinate, la diphenhydramine, l'hydroxyzine); l'aprépitant; l'atropine; des barbituriques (par ex. le phénobarbital, le butalbital); la belladone; les benzodiazépines (par ex. le clonazépam, le diazépam, le lorazépam); la benztropine; le bicalutamide; le bocéprévir; les bronchodilatateurs à action prolongée (par ex. le formotérol, le salmétérol); les bronchodilatateurs à action rapide (par ex. le salbutamol, la terbutaline); la buspirone; la caféine; la capécitabine; le chloramphénicol; la cimétidine; la cocaïne; le conivaptan; le crizotinib; la cyclosporine; la dipivéfrine; le disopyramide; la dobutamine; la dopamine; la dronédarone; l'enzalutamide; l'épinéphrine; le flavoxate; le fluorouracile; la fluvastatine; le gemfibrozil; le glycopyrrolate; les gouttes ophtalmiques et les vaporisateurs nasaux décongestionnants (par ex. la naphazoline, l'oxymétazoline, la xylométazoline); l'hydrate de chloral; l'imatinib; les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO; par ex. le moclobémide, la phénelzine, la rasagiline, la sélégiline, la tranylcypromine); les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, le darunavir, le lopinavir, le ritonavir); les inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse du VIH (INNTIs; par ex. la delavirdine, l'éfavirenz, l'étravirine, la névirapine); l'ipratropium; l'irbésartan; le jus de pamplemousse; le kétotifène; le léflunomide; le lomitapide; le losartan; la marijuana ou le cannabis à fumer; les médicaments antiépileptiques (par ex. la carbamazépine, le clobazam, l'éthosuximide, le felbamate, le lévétiracétam, le phénobarbital, la phénytoïne, la primidone, le topiramate, l'acide valproïque, le zonisamide); des médicaments antipsychotiques (par ex. l'olanzepine, la quétiapine, la rispéridone); les médicaments décongestionnants (par ex. la phényléphrine, la pseudoéphédrine); le méthylphénidate; le métronidazole; le millepertuis; la mirtazapine; le mitotane; les narcotiques (par ex. la morphine, la codéine, le fentanyl); la néfazodone; le nelfinavir; le nilotinib; la noradrénaline; la norfloxacine; l'olopatadine; l'oméprazole; l'oxybutynine; la quinine; les relaxants musculaires (par ex. le baclofène, la cyclobenzaprine, le méthocarbamol, l'orphénadrine); la rifabutine; la rifampine; la rifapentine; la scopolamine; la sertraline; le sitaxentan; le sorafénib; le tapentadol; le télaprévir; la tétracycline; les théophyllines (par ex. l'aminophylline, l'oxtriphylline, la théophylline); le ticagrélor; le tiotropium; le tolbutamide; la toltérodine; le tramadol; le triméthoprime; le zafirlukast; le zolpidem; la zopiclone. Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de : cesser la prise de l'un des médicaments; remplacer l'un des médicaments par un autre; modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux; ne rien changer du tout. L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses. D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous prenez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments. Demandez toujours l’avis de votre médecin ou d’un autre professionnel de la santé qualifié sur des questions relatives à une affection médicale !!! Source : santecheznous.com/drug/getdrug/Sativex ++ Modifié mars 2, 2018 par urokov 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
mrpolo 7 743 Posté(e) mars 6, 2018 Auteur Partager Posté(e) mars 6, 2018 Petite vidéo de LCP - Reportage Cannabis sur ordonnance (52min) + débat avec : Catherine Lemorton, ancienne députée PS de Haute-Garonne et pharmacienne d'officine de profession Philippe Batel addictologue , Raphaël Hitier réalisateur du documentaire , Robin Reda député LR corédacteur du rapport parlementaire sur la contraventionnalisation à caractère délictuel proposée par Macron. a++ 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ex-UFCM-I Care 9 192 Posté(e) mars 6, 2018 Partager Posté(e) mars 6, 2018 Hey effectivement le sativex ne fait "que soulager" les patients et ne les soigne pas, mais les médicaments que prennent les malades actuellement ne les soignent pas non plus donc ..... Problèmes de blocages idéologiques et poids des lobby's .... hop ça c'est fait .... @+ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Matavaï 73 Posté(e) mars 6, 2018 Partager Posté(e) mars 6, 2018 Coucou, Industrialiser un procédé naturel.... je comprends l'idée mais c'est surtout un plan a lobbys... encore plus quand on parle d'une plante dont l'overdose est considérée comme minime. Mais bon, ils diront que c'est pour restreindre l'usage aux malades, mais quid de ceux dont la santé a déjà été bouffée par les medocs ? Quand auront-nous le droit d'être tranquilles a cultiver nos medocs, encore plus quand on sait que les doses sont propres a chacun, et olus facilement dosable quand on fabrique le produit, pas quand on doit se demander combien de pulvés prendre... C'était l'expression de l'indignation d'un malade qui veut le moins possible consommer une substance issue d'un labo pharma, lesquels ont d'ailleurs l'incroyable capacité de mettre le profit avant la santé. (Tus ne le font pas forcément malheureusement je suis "soigné" de la médecine économique. La biz Lien à poster Partager sur d’autres sites
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