miihkal 40 Posté(e) décembre 1, 2016 Partager Posté(e) décembre 1, 2016 (modifié) Bonjour à tou(te)s, je viens de tomber sur un article de Botaquantik qui parle de l'Ormus, ou or mono-atomique, dans le cadre des ses cultures avec apparemment des résultats qui semblent bluffant : L’histoire débute en 1976 à Phoenix en Arizona et David Hudson, riche agriculteur cotonnier possédant des dizaines de milliers d’acres de terre est le principal acteur de cette renaissance. Dans ce pays, le sol est particulièrement riche en sodium et il est souvent traité à l’acide sulfurique. Ainsi, le mélange eau et acide, peu à peu, brise la croute alcaline et en y ajoutant du carbonate de Calcium on obtient en quelques années un sol convenant aux cultures. Soumise à de tels traitements et après de fortes pluies, la terre sèche s’est mise à produire une intense lueur blanche. Par la suite cet « or blanc » disparaissait totalement, puis revenait cycliquement après un orage… Le sol volcanique de cette région étant connu pour posséder des propriétés rares, alors, Mr.Hudson entreprend d’en commander l’analyse quantitative complète. Stupéfaits, les chercheurs constatent qu’une partie des éléments défie toute analyse : on n’y décèle aucune caractéristique métallique, aucune réaction chimique et aucune signature spectroscopique ! L’analyse du spectre fut alors prolongée et ce n’est qu’à ce moment-là que commencent à apparaître les caractéristiques qui révèle la présence de métaux précieux. Cette substance enfin identifiée révéla un mélange de fer, de silice et d’aluminium et surtout 98% de métaux nobles du groupe des platines (ruthénium, Rhodium, Iridium et Osmium) que l’on prenait donc pour du « nul » lors des premières analyses. Hudson fit déposer 22 brevets sur ce que l’on appelait maintenant des ORME (Orbitally Rearranged Monoatomic Element) ou EMOR (Element Monoatomique à Orbites Réorganisées).Le terme ORMUS quant à lui, est le nom générique employé pour toute préparation contenant ces éléments. Certaines préparations Ormus sont élaborées à partir d'or, on obtient alors de l'or à l'état-M, d’autres sont préparées à partir du cuivre, on obtient alors du cuivre à l'état-M. Une autre méthode d'extraction, qui demeure la plus pratiquée, est ce que l'on nomme la méthode "humide", où l' Ormus est préparé à partir de sel brut puisque contenant naturellement un large spectre de minéraux. Le résultat de cette lente préparation est considérée comme une transmutation des minéraux présent dans le sel vers leur forme à l’état-M. Disposant de moyens financiers considérables, Hudson décide de pousser plus loin les investigations, et engage des chimistes pour résoudre cette énigme. Les résultats détaillés figurent dans le brevet qu’il a déposé. Les tests visant a fournir toutes les données nécessaires aux accréditations et brevets (évaluation des poids et mesure) révélèrent entre autres que les Ormes changeaient de poids et d’aspect en fonction de la chaleur et du froid auxquels ils étaient soumis. L’amplitude des variations mesurées représentait de 56% à 400% de leurs poids originel ce qui stupéfia les scientifiques. Les expériences furent répétées par plusieurs labos dans différents pays avec toujours les mêmes résultats sidérants.Supraconducteur hors-normesLes ORMES se définissent pour le moment comme "éléments exotiques". Leur existence, bien que non validée par la communauté scientifique approuverait un quatrième état de la matière n'étant par définition, ni solide, ni liquide ni gazeux, cet état fut nommé "état-M". Ils sont dérivés de métal et ne sont rien de moins que les éléments du tableau de Mendeleiev dans une forme surpassée. Au début des années 90, les scientifiques en arrivèrent aux conclusions suivantes : les Ormes ont des attributs de supraconductivité (même la lumière peut être transmise par eux) et selon la température à laquelle ils sont soumis ils semblent léviter. Ces éléments échappent partiellement aux champs de force et flottent magnétiquement. Ce sont des supraconducteurs naturels repoussant les pôles magnétiques Nord et Sud, la substance peut devenir invisible, échapper à notre perception classique de l’espace et influer sur cette dimension de l’espace-temps. Pour exemple : « Hudson dit que, si l’Ormus est chauffé à 850º Celsius, celui-ci disparaîtra et il perdra tout son poids. Lorsque la température baisse à nouveau, il réapparaît et il retrouve la majorité de son poids antérieur. »Barry Carter, chercheur sur les éléments Ormus déclare : « Dans le domaine de la physique quantique, les scientifiques ont récemment confirmé que la matière peut en effet se trouver à deux endroits simultanément. Nous savons maintenant que, à cause de « l’enchevêtrement » quantique, des particules qui se trouvent à des millions d’années-lumière l’une de l’autre peuvent être en relation sans contact physique. » Ces matériaux apparaissent comme étant la clé de voute entre la science et l’esprit… Tous ces éléments à l'état-M sont très abondants dans l’eau de mer, particulièrement celle de la Mer Morte. Ils semblent aussi être présents dans des roches (granit), dans l'eau douce et dans l'air. Selon les recherches de David Hudson, ces éléments dans leur état-M peuvent être 10.000 fois plus abondants que leurs homologues métalliques, et il peut y avoir également d'autres éléments qui sont présents naturellement à l'état-M. Ces éléments à l’état-M sont également présents dans des systèmes biologiques. Des analyses complexes sur des végétaux ont été faites et ont permis de révéler un fort taux d’Ormus, particulièrement dans la sève de l’Aloé vera poussant en sol volcanique. L’Aloé est d’ailleurs un excellent activateur pour hormones racinaires.Des noix comme des mandarinesS’il est difficile d’obtenir des données scientifiques sur la santé humaine, celles issues des expériences sur les plantes sont incontestables. Vous pourrez ainsi vous en rendre compte avec ce même titre, plusieurs sites internet sont là pour en témoigner. En agriculture, la préparation la plus courante, mais aussi la plus simple et la moins chère, consiste en un concentré obtenu à partir de l’eau de mer. L’intérêt des produits de la mer, en particulier celui des algues, est connu en agriculture depuis des décennies. Avec l'Ormus, on a constaté qu’un noyer traité pendant plusieurs années avait atteint deux fois la taille des autres et produit six fois plus de noix . Quand aux noix elles-mêmes, elles étaient grosses comme des mandarines ! Des augmentations de production ont également étaient observées la deuxième année et les suivantes, ceci grâce à l’enrichissement naturel des sols et leur teneur en mycorhyzes. Méconnu dans notre communauté en france, mais approuvé aux USAChez nos confrères growers américains, les extraits rares des fonds marins ou l’Ormus sont largement reconnus et utilisés. Il y a de nombreuses marques qui proposent cet amendement miraculeux pour la cultures des plantes, et particulièrement dans le domaine de la Marijuana, cette fameuse plante qui ouvre aussi les consciences.. On retrouve l’Ormus sous forme pure en extrait sec et aqueux ou bien combiné à une solution biodynamique associant des acides aminés et des EMa par exemple. Dés lors on le retrouve même dans certains protocoles de culture de cannabis thérapeutique, allant aussi jusqu’à l’ingestion dans la combinaison avec du RSO. Plusieurs groupes se créer là bas et font beaucoup avancer les réalisations dans la culture en produisant des fleurs magnifiques et aux effets intenses et surprenant ! Il en résulte les constats suivants : • Amélioration de la croissance des plantes. • Développe plus l’effet phototropisme et activation de la photosynthèse. • Aide aux bactéries fixatrices d’azote. • Augmentation de la teneur en glucide dans la sève. • Intensifie les propriétés organoleptiques. • Résistance contre les insectes et les parasites. En somme, une puissance sur la taille, le poids et la résine.Alors, de l’or blanc dans nos jardins ?Plus de 90 minéraux nutritifs essentiels à toute forme de vie ! Donc, notre plante a de quoi faire exploser son potentiel génétique car elle à accès à des éléments qui peuvent être absents de son environnement actuel. Depuis plusieurs années, j’utilise avec ravissement cet élément atypique dans le jardin. Sur tout support de culture, l’association avec un engraissage minéral ou végétal est possible, mais il est à noter que l’Ormus s’intègre mieux dans un sol vivant, riche et varié en composés organiques, participant à sa « nutrition » tout en symbiose avec la faune et la flore de celui-ci. Mes dosages sont de 0,5 à 1 ml pour 5 l d’eau en pulvérisation et arrosages. Pour les cultures en table à marée, j’incorpore 10 ml à 100 l de solutions. Dernièrement, j’ai oser adjoindre 1 ml/ l en hydro, mais avec une eau à l’EC très faible (0,60) et les résultats sont magistrales ! Un excellent article, issus de Nexus (num 50) et peut-être même l’unique date de 2007. Écrit par le Dr. Roger Taylor, un immunologiste britannique à la retraite qui à étudié l’Ormus et ses effets sur les plantes. Il est ainsi passionnant d’en connaître plus sur l’Ormus tout en le réalisant, l’intention véritable faisant briller la création. Auteur: BotaquantiK Avez-vous déjà tenté l'expérience ou avez-vous eu des retours de growers qui l'utilise ? La recette est plutôt simple à réaliser soi-même et semble s'accorder particulièrement bien avec les cultures organiques. ++ Modifié décembre 1, 2016 par miihkal 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
kyu 2 978 Posté(e) décembre 1, 2016 Partager Posté(e) décembre 1, 2016 Plop Nous utilisons tous ces ingrédients en Culture Organique Poudre de roche, basalt, EMX, EM Aloe vera Eau de mer concentré Acide Aminé concentré dans certaines préparations sans compter les inoculants microbiens Algues et pas que ... Merci a toi pour l'info et aussi a botaquantik ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
miihkal 40 Posté(e) décembre 1, 2016 Auteur Partager Posté(e) décembre 1, 2016 (modifié) 'swar Kyu, la recette pour l'Ormus est simplissime et ne demande que peu d'ingrédients, seul le temps de préparation (plusieurs décantations) peut être contraignant : Liste du matériel nécessaire:• Deux récipients en acier inoxydable ou en pyrex, d’une contenance de deux litres minimum• Des filtres à café pour cafetière• Une passoire pour tenir le filtre à café (pas d’aluminium)• Une petite bouteille avec une pipette• Du papier pH pouvant mesurer jusqu’à 11 ou un pH mètre électronique• Un flacon à décanter en verre (avec un robinet en bas si possible)• Une pipette ou une seringue de 50cc (surtout si vous n’avez pas de robinet sur le flacon à décanter)• Un récipient en pyrex gradué (Becher) Ingrédients nécessaires:• Sel de mer brut (le gris qui à l’air humide) est le meilleur. Vous pouvez aussi vous procurer du sel de la mer morte.• De la potasse caustique (hydroxyde de potassium – KOH)• Trois litres d’eau distillée• Du vinaigre blanc Préparation: au-dessus de l’évier !Versez deux décilitres d’eau distillée dans le récipient en pyrex gradué que vous aurez préalablement placé l’évier. Ajouter deux cuillères à soupe de poudre de potasse. Restez assez loin de l’évier afin que la fumée ne vous arrive pas dans les yeux, et remuez la poudre afin qu’elle soit bien dissoute. Attention : l’eau va devenir chaude. Si la poudre de potasse rentre en contact avec la peau ou les habits, nettoyez immédiatement la peau avec de l’eau et du savon et retirez vos habits. Autrement la poudre risque de ronger la peau et les habits. Posez la petite bouteille avec la pipette dans l’évier, enlevez la pipette et remplissez la bouteille avec la solution de potasse ainsi obtenue. Si l’eau est toujours chaude, ne refermez pas la petite bouteille tout de suite, mais attendez que cela refroidisse. Marche à suivre:1. Versez 1 litre d’eau dans un récipient puis mettez-y 2.5 dl de sel marin gris, ou 1.25 dl sel de la mer morte.2. Filtrez l’eau salée à travers le filtre à café dans le second récipient, répétez l’opération en changeant le filtre jusqu’à ce que le filtre ne retienne plus de saletés.3. Tenez le papier pH prêt, puis ajoutez quelques gouttes de la solution de potasse dans l’eau sale, tout en remuant en permanence. N’hésitez pas à varier votre mouvement quand vous remuez afin de bien mélanger la solution de potasse à l’eau qui a tendance à stagner au même endroit.4. Vérifiez le pH de l’eau. L’objectif est que le pH atteigne 10 sans dépasser 11. Il augmentera lentement jusqu’à 9, puis s’accélérera ensuite. Lorsqu’il sera proche de 10, il augmentera très rapidement. Si il s’avère qu’il dépasse 11, ajoutez quelques gouttes de vinaigre afin de faire redescendre le pH. Note: la raison pour laquelle il faut faire attention au niveau de pH est que les éléments à l’état M précipiteront juste au dessus de 10.5. Si vous allez plus haut, d’autres éléments (appelés éléments Gilchrist) précipiterons aussi, et ils ne sont pas bons. C’est pourquoi il faut impérativement maintenir le pH en dessous de 11 (10.78 pour être exact). 5. Lorsque que le pH désiré est atteint à un endroit, déplacez le papier pH pour vérifier que le niveau de pH est uniformément distribué dans l’eau.6. Versez l’eau dans un grand récipient. Laissez reposer pendant au moins 4 heures. L’idéal est de laisser reposer pendant la nuit. Un précipité blanchâtre va se former au fond du récipient.7. Lorsque que 4 à 12 heures sont passées, retirez l’eau salée du récipient(tout en laissant le précipité au fond, et remplissez le d’eau distillée ou d’eau du robinet. (Vous pouvez ajuster la quantité d’eau distillée etaugmenter le pH afin d’avoir encore un peu de précipité). Secouez et laissez reposer encore une fois. Cette procédure s’appelle “le lavage du précipité”.8. Lavez le précipité au moins trois fois avec de l’eau propre, à chaque fois secouez et laissez reposer au moins quatre heures avant de recommencer. La procédure de nettoyage prend donc 12 heures.9. Après le dernier nettoyage, versez le mélange sirupeux de poudre blanchâtre et d’eau dans une bouteille en verre, fermez hermétiquement et gardez-le pour un usage ultérieur. Stocker à l’abri des champs électriques et magnétiques. Les plantes l’adorent. (Vous n’avez pas besoin d’en mettre beaucoup dans les plantes pour avoir un gros rendement. Si vous en mettez trop, le rendement chute. Le rapport idéal, ça vaut ce que ça vaut, est de 11 litres pour 4000 m2 par saison. J’ai aussi entendu dire 10 dl de poudre pour 20 litres d’eau. Les plantes coupées en vase fleurissent comme des folles si vous leur mettez une goutte d’Ormus dans leur eau. ++ Modifié décembre 1, 2016 par miihkal 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
kyu 2 978 Posté(e) décembre 1, 2016 Partager Posté(e) décembre 1, 2016 Re Perso je n'utiliserai que le plat en pyrex pas de métal sauf s'il est de qualité médical grade 1 me semble je remplacerai le sel gris par du sel rose Himalaya bien plus riche en minéraux. Mais par contre je n'utiliserai pas cette recette dans mes cultures au vu de certains ingrédients comme la potasse caustique (pas d’éléments synthétique en orga) ++ 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
miihkal 40 Posté(e) décembre 1, 2016 Auteur Partager Posté(e) décembre 1, 2016 Re aussi, l'utilisation de la potasse caustique me dérange également (je cultive en orga moi aussi), je me demande si on peut la remplacer par du carbonate de potassium (obtenue par lixiviation de cendres de bois) ? Lien à poster Partager sur d’autres sites
gimedaweed 2 020 Posté(e) janvier 16, 2017 Partager Posté(e) janvier 16, 2017 (modifié) salut Effectivement il est possible de remplacer la potasse caustique par du carbonate de potassium en quintuplant la dose. La cendre de ronces est très active, facile à fabriquer( on a tous des ronces à portée de main), jusqu' aujourd'hui j ai pas trouvé mieux. En plus, tu peux te contenter de 5 rinçages de ton précipité si ton utilisation est uniquement horticole.( pour consommer sois même, 7 rinçages c est mieux ) Pour le dosage, mon grand oncle utilisait un bouchon au pied de chaque plante( des tomates mais je pense que pour la weed ça ne change pas grand chose) A LA MISE EN TERRE avant d arroser copieusement. Du coup vu la dose je pense que y a rien a craindre de la potasse caustique. Résultats/ des fruits et légumes plus gros, sans altération du gout ou de la chair, des plantes saines, immenses par contre. C est aussi incroyable sur la prise de greffe( testé que sur des fruitiers) Des mois que je veux en refaire mais vu que j ai pas des masses le moral, j essaie même pas c est voué à l échec direct... voila voila ++ .peace. Modifié janvier 16, 2017 par gimedaweed Lien à poster Partager sur d’autres sites
tris74 14 Posté(e) avril 9, 2017 Partager Posté(e) avril 9, 2017 (modifié) Bonjour c est chelou ce truc c est pas un poisson d avril ? hallucinant les propriétés des metaux ni solides ni gazeux ni liquides et qui conduisent la lumière ... j ai pas tout pigé pour la manip quand tu parles du grand recipient qu il faut secouer, il faut un couvercle hermetique ou juste melanger ? qu est ce que tu fais entre les rinçages tu jettes le liquide? sauf le dernier que tu gardes pour arroser, c est ça le resultat ? ou il reste une poudre au fond du recipient le precipité qui reste collé? Bye Bye pensez y a l'avenir , merci Modifié avril 9, 2017 par oïlo politesse Lien à poster Partager sur d’autres sites
akekouk83 2 Posté(e) avril 9, 2017 Partager Posté(e) avril 9, 2017 Yop, Merci du partage ! ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
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