mrpolo 7 743 Posté(e) décembre 1, 2016 Partager Posté(e) décembre 1, 2016 Aux États-Unis, la veuve d'Hunter S. Thompson a extrait l'ADN du cannabis préféré de l'écrivain décédé pour le cultiver et commercialiser ces plants d'herbe. La veuve d'Hunter S. Thompson clone le cannabis préféré de l'écrivain. ALAN HILLYER/WRITER PICTURES WORLD RIGHTS (WRITER PICTURES VIA AP) Le grand Hunter S. Thompson était surtout connu pour sa contribution au monde du journalisme. Mais il était aussi réputé pour son amour de la weed. Aujourd’hui, grâce à son veuve Anita Thompson, ses précieux plants de marijuana pourraient bien être mis en vente dans des coffee shop américains. Anita Thompson a raconté qu’elle est régulièrement contactée par des businessmen de la weed qui souhaitent donner le nom de Hunter S. Thompson à leur plant d’herbe. Mais elle n’a jamais voulu accepter puisqu'il ne s’agissait jamais vraiment de son herbe. Mais aujourd’hui, Anita Thompson a des tas de projets pour la ferme Owl Farm de 17 hectares où vivait Hunter, située à Woody Creek dans le Colorado, tout près d’Aspen, rapporte le Aspen Times. Si Anita Thompson ne détient plus les droits d’auteur des ventes des livres d’Hunter, elle est par contre propriétaire de sa maison, dans laquelle Hunter S. Thompson a vécu du milieu des années 1960 jusqu’en 2005, où il s’est suicidé. "Donc maintenant je possède la maison, la propriété, le logo et l’image", a expliqué Anita au Aspen Times, à qui elle a aussi confié son souci de préserver l’authenticité de la marijuana de Thompson. Hunter S. Thompson sur la terrasse de sa ferme Owl Farm dans le Colorado, juillet 1983. ALAN HILLYER/WRITER PICTURES WORLD RIGHTS (WRITER PICTURES VIA AP) "Si je mets le nom d’Hunter sur des plants de quelqu’un d’autre, je ne pourrais jamais faire marche arrière et dire : ‘non, ce n’est pas de la vraie'". Alors Anita travaille maintenant avec une entreprise pour faire pousser les six variétés originales de cannabis qu’Hunter avait l’habitude de fumer, ou au moins des hybrides, avant de les mettre en vente au public. Quelques jours après son interview au Aspen Times, elle a détaillé dans un message posté sur Facebook qu’elle avait conservé de l’herbe et du hashish d’Hunter S. Thompson pendant plus de 12 ans. "J’ai trouvé une méthode légale pour extraire l’ADN de la marijuana et du hash que fumait Hunter et que j’avais préservés depuis 12 ou 15 ans. Je veux réussir à mettre en vente des plants pour ceux qui veulent profiter du cannabis authentique d’Hunter dans les états où cela est légalisé", écrit Anita Thompson. De quoi concurrencer Snoop Dogg ou Wiz Khalifa, qui ont aussi leur propre marque de cannabis. Source: mashable.france24.com Ce message a été promu en article 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites
MetaliK 988 Posté(e) décembre 1, 2016 Partager Posté(e) décembre 1, 2016 Salut Ca devient n'importe quoi quand même le business là haut Tout est prétexte à se faire du fric c'est dingue, on colle un nom sur une weed et hop bim c'est parti, c'est le cas typique où on vend l'emballage plutôt que le produit ... ++ 5 Lien à poster Partager sur d’autres sites
oxydore 326 Posté(e) décembre 1, 2016 Partager Posté(e) décembre 1, 2016 Yup Salut Ca devient n'importe quoi quand même le business là haut Tout est prétexte à se faire du fric c'est dingue, on colle un nom sur une weed et hop bim c'est parti, c'est le cas typique où on vend l'emballage plutôt que le produit ... ++ tout n'est pas à jeter dans la démarche, monsieur Thompson était un passionné qui a créé ses propres hybrides à la recherche de son saint Graal! 5 variétés étaient à son menu quotidien et c'est peut-être une bonne chose que sa femme mette à la porté de tous des weeds qui sont peut être excellentes! En revanche ce qui m'a fait rire c'est qu'elle décide de le faire maintenant qu'elle a perdu les droits d'auteur de son défunt mari! Qui a parlé d'opportunisme?! ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
beuh-chat 7 564 Posté(e) décembre 1, 2016 Partager Posté(e) décembre 1, 2016 Chalut Alors extraire l adn de weed ou de hashish d il y a 15ans ... allé pourquoi pas ... et ensuite quoi on l implante le code adn (et autre) dans une variété porteuse .... mais bien sûr... soit le gaz qui écrit l article ou qui traduit est con comme la lune, soit le plus sympath de l article est mis sous silence ... comment en partant du haschisch avoir des seeds ... Puis nom sérieux ... on nous prend pour des lapin de 2 semaine là ... Encore elle aurait dit ... il me restait de ses graines que je conservé précieusement ... mais non elle partit de haschisch Puis on s en fout ... elle est déjà niqué ,la Gonzo existe déjà Elle en a trop pris, trop pris trop pris .... 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
PierreRichard 4 138 Posté(e) décembre 1, 2016 Partager Posté(e) décembre 1, 2016 (modifié) Yop, Il n'était pas question de pouvoir recréer une plante à partir de colonie de cellules générée à partir d'une seule cellule de plante ? Il me semble que ça a dejà été abordé sur Cannaweed. Genre ça: https://technivit.pagesperso-orange.fr/techniques.htm (premier lien Google, j'y connais rien). @++ Modifié décembre 1, 2016 par PierreRichard Lien à poster Partager sur d’autres sites
Boogerman 6 284 Posté(e) décembre 1, 2016 Partager Posté(e) décembre 1, 2016 yop @pierrerichard: je pense que tu dais reference a ceci de memoire la micropropagation se fait à partir de tissus vivants, là 15ans apres c'est assez surprenant IMO mais il me semble également que ce n'est pas une premiere (tous vegetaux confondus/ mais je ne suis vraiment plus sur, faudrait que je cherche dans mes "sciences et vie" ) a+ Lien à poster Partager sur d’autres sites
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