Est-ce que les fumeurs de cannabis sentent leurs exclusions sociales ?


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Selon des études effectuées sur des fumeurs de cannabis, le cerveau de ces derniers a une réaction différente des personnes normales lorsqu’ils subissent une action d’exclusion d’un groupe. Cette réaction vient du fait que le cerveau d’un fumeur de cannabis ne perçoit pas la responsabilité qu’il a face à cette démarche de rejet de la société.

 

fumeurcanabis1-1170x550.jpgLe cannabis et le rejet de la société

 

En France, les jeunes consomment plus de cannabis que partout en Europe. En effet, 50 % des jeunes adolescents âgés de 17 ans s’y sont déjà essayés et 6.5% deviennent des consommateurs réguliers. Le constat c’est que ce type d’addiction se fait surtout entre amis et en quelque sorte, en société. La raison avancée par les chercheurs qui permettent de prouver ce type de comportement c’est que les jeunes ont besoin de passer des instants d’expérience et qui soient agréables, avec des amis.

 

Mais c’est aussi une manière pour eux de s’exclure de la société et d’être exclue. Néanmoins, en étudiant le comportement du cerveau lorsqu’il y a acte de rejet, chez des jeunes, les chercheurs ont remarqué que 3 zones du cerveau réagissent lorsqu’une personne se sent exclue normalement sans effet du cannabis. C’est-à-dire, l’insula en avant, le cortex cingulaire central, ainsi que l’hémisphère gauche du côté avant. Ce qui se passe chez un fumeur de cannabis, c’est que lors de l’exclusion, son insula avant ne réagit pas. Cette partie du cerveau régule les émotions subjectives et les sensations négatives.

 

Résultat de l’analyse

 

Durant l’étude sur un fumeur de cannabis régulier et un jeune non-fumeur, les chercheurs ont donc constaté qu’une partie du cerveau permettant à l’être humain d’analyser les sensations négatives ne se déclenche pas chez un fumeur lorsqu’il est victime d’exclusion. En d’autres termes, le fumeur de cannabis ne fait pas l’analyse de son rejet émotionnellement. Il n’éprouve donc pas sa responsabilité devant cette exclusion, pour lui, c’est logique.

 

Source: psychomediamagazine.fr

 

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Salut

 

Quand j'avais 17 piges, je me suis dis "tiens je suis pas assez exclu de la société alors je vais rouler un autre joint" :roll:

 

Plus sérieusement, l'article ne cite absolument aucune source....

Ccomment affirmer quelque chose sans dire sur quoi on se base pour faire nos déduction...

 

a++ ;)

 

 

PS: vu les autres articles présents sur le site, je ne m'étonne plus de voir un article "psycho" sans sources

Modifié par Miguel
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plop 

 

les mécanismes du cerveau, et plus simplement ceux du fonctionnement du cerveau restent encore un grand mystère.... et on veut bien nous dire que dans certains domaines on arrive à en retirer des conclusions aussi "certaines" soient-elles  !!!!  la blague !

 

 

 

Mais c’est aussi une manière pour eux de s’exclure de la société et d’être exclue

 

Pure spéculation et hypothèses, comme toujours.... sans prise en compte de la société en elle même qui est peut-être la cause même du rejet de part sa nature abjecte ...  On veut nous dire que quoi, qu'on s'exclue de cette société car on est droguée ?????  ou que cette société et tellement abjecte qu'on préfère se droguer pour s'en exclure ??   L'exclusion vient d'ou finalement ? perso j'ai ma petite idée la dessus..

 

 

 

En d’autres termes, le fumeur de cannabis ne fait pas l’analyse de son rejet émotionnellement. Il n’éprouve donc pas sa responsabilité devant cette exclusion, pour lui, c’est logique.

 Peut être, mais que dit-on sur le sentiment d'exclusion? La cause ? le fondement ? la "logique" qui entrainne ce sentiment d'exclusion ?   Sans oublier le contexte social, l'éducation reçue et son environnement inclu, le contexte , etc.... 

 

encore une fois on parle du produit, le cannabis, mais très peu pris en compte, les variables aussi nombreuses soit-elles, on voudrait nous faire croire que 1 objet X, influe + que des milliers de variables encore mal comprises.... bref encore un ramassis d"infondées... et de conneries.....

 

Cela reste du Cas par Cas , comme pour beaucoup de choses, malheureusement mal étudier et trop vite" conclusionnées"

 

Je m'arrete là, mais je pourrais tellement dévelloper que ce serait un gros Pavé à lire de plusieurs pages, on pourrait écrire des livres et des livres!!!, et je serais donc moins moins efficace.... mais pour ceux qui veulent, le sujet reste là, ouvert.

 

 

A+ restez fort

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Hello les planteurs :D

 

 

Selon des études effectuées sur des fumeurs de cannabis, le cerveau de ces derniers a une réaction différente des personnes normales lorsqu’ils subissent une action d’exclusion d’un groupe.

 et

 

Durant l’étude sur un fumeur de cannabis régulier et un jeune non-fumeur, les chercheurs ont donc constaté qu’une partie du cerveau permettant à l’être humain d’analyser les sensations négatives ne se déclenche pas chez un fumeur lorsqu’il est victime d’exclusion. En d’autres termes, le fumeur de cannabis ne fait pas l’analyse de son rejet émotionnellement. Il n’éprouve donc pas sa responsabilité devant cette exclusion, pour lui, c’est logique.

 

 

Bref, des études, 2 cobayes, et une conclusion implacable et généralisée.

Sur base du fameux test on pourrait même déduire que sur 2 personnes, 1 fume de l'herbe et donc 50% de la population fume de l'herbe. I'm a geek :D

 

Digne d'un étudiant en 1ère année de psycho...

 

++

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Yep,

 

 

 En d’autres termes, le fumeur de cannabis ne fait pas l’analyse de son rejet émotionnellement.

 

 

Comme souvent, on peut jouer sur les mots avec le français... Alors faisons un peu de grammaire et d'étude de texte (sorti de son contexte :lol: )

 

A quoi renvoie l'adverbe "émotionnellement" ? à "l'analyse de son rejet". Donc directement et uniquement lié au mot "analyse". Ok.

On doute donc qu'il y ait une émotion et non pas de l'analyse du coup. Ok.

In fine, le fumeur analyse mais sans émotion. On peut y voir ici une forte capacité à relativiser, à ne pas se laisser affecter.

 

Bref, on peut clairement dire que le fumeur de cannabis est philosophe au grand sens premier du terme.

:lol:

 

++

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yop

 

:plusun: aya

 

pis d'abord moi je suis exclu du club de pompomgirl local mais j'en ai rien foutre c'est grave docteur ? :D

 

bref IMO il y aura toujours des points ou les individualités propres rentreront en conflit avec les "codes" (voire les "diktats") dû aux différents codes sociétaux-> à traduire par "on ne peut pas plaire à tout le monde"

une fois cela assimilé ben effectivement on se fout un peu de tout , avec ou sans canna! :rire:

 

in fine  et toujours amha: :fook:  :dtc: la société :manif:

 

a+

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