Jay Williams demande à la NBA de tolérer l’usage du cannabis


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Ancienne star de Duke, drafté en deuxième position par les Bulls en 2002, Jay Williams connaît bien les exigences du sport de haut niveau, bien que sa carrière n’ait pas connu le relief attendu en raison d’un grave accident de la route. Depuis reconverti consultant TV, Jay Williams donne régulièrement son opinion sur le jeu et son actualité.

 

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Cette fois, il a même publiquement assumé une opinion détonnante en affirmant que les ligues professionnelles américaines devaient se montrer plus progressistes avec l’utilisation du cannabis.


« C’est facile pour les médecins de prescrire de l’Oxycontin (un anti-douleur à base d’opiacé) et voyez, j’en suis devenu accro pendant plus de cinq ans… Mais quand vous dîtes ‘marijuana’, vous obtenez une réaction désapprobatrice sous prétexte que ce serait une porte d’entrée vers d’autres drogues, » explique t-il à
FoxBusiness
.

 

Le cannabis consommé par 80% des joueurs ?

 

À l’heure où 23 états ont légalisé le cannabis à des fins médicales, Jay Williams estime que la NBA doit commencer à la tolérer pour ses joueurs, d’autant que la substance pourrait constituer une alternative aux anti-douleurs et décontractants chimiques.

 

« En Californie, on voit les gens se procurer une carte d’autorisation médicale et je ne parle pas uniquement des athlètes mais de la société entière, » poursuit-il. « Je connais beaucoup de gens qui en consomment. Le monde entier devient plus progressiste à ce sujet, ce n’est donc qu’une question de temps avant que ces ligues n’en fassent de même. Je connais tellement d’athlètes qui jouent sous Percocet (un anti-douleur). D’ailleurs, avez-vous déjà pris du Percocet ? Cela vous rend plus cotonneux que si vous vous massiez la peau avec de l’huile de cannabis. Pourtant, l’huile est diabolisée. Cela fait de vous un junkie. Alors que j’utilise en fait cette huile pour soulager les inflammations et dissiper un peu l’anxiété. »

 

Pour Jay Williams, cette diabolisation du cannabis est désormais rétrograde et à contre-courant de l’air du temps. Selon lui, 75 à 80% des joueurs en consomment et la NBA doit se montrer plus conciliante, d’autant que la substance présente un intérêt thérapeutique. Néanmoins, l’ancien meneur des Bulls est conscient qu’auprès du public, la question est délicate pour une entreprise aux intérêts économiques de cette taille.

 

« Je n’incite aucun mineur à consommer du cannabis mais d’un point de vue médical, ce n’est qu’une question de temps avant que des marques comme la NBA ou la MLB ne deviennent un peu plus progressistes et ne commencent à réfléchir pour le mieux plutôt que de rester bloquées dans le passé. »

 

Il y a trois ans, Jay Williams avait déjà évoqué cette question, d’une manière un peu plus maladroite. À l’heure où les États-Unis découvrent les miracles économiques engendrés par ces légalisations, il ne serait pas étonnant que d’autres sportifs se joignent à l’ancien Bull.

 

Par Jeremy Le Bescont

Source: basketusa.com

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  • 4 semaines après ...

Dans cette continuité, il y a Cliff Robinson, aussi retraité, ancien joueur des Blazers (ça s'invente pas) qui a lancé un coffeeshop à Portland mais qui ne s'arrête pas la. Il veut lancer la production de produits a base de cannabis pour les athlètes et va participer dans peu de temps à un "shark tank", sorte de concours de présentations de projets face à de gros investisseurs, qui, si ils sont séduits par les idées des participants, les aident à financer leurs projets

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Invité kannamiel

salut

quand on connais la puissance anti inflammatoire du canna et les tension soumise au corps des sportif ou meme les travailleur en pénibilité ou autre vieillesses des corps

la bouteille de teinture devrait etre fournis quand on prends sa licence,

 

avec l'idolatrie du sport les pauvre il on droit a rien,ni café ou aspirine

 

A+

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