mrpolo 7 743 Posté(e) août 8, 2015 Partager Posté(e) août 8, 2015 Les fouilles de police de ces boutiques, qui offrent des produits pour la culture de marijuana, ont augmenté ces dernières années en Allemagne et en République tchèque. Entre temps, les établissements hollandais ont été très affectés par l’approbation d’une loi contre eux Il y a de plus en plus de « grow shop » dans le monde, aussi bien dans l’Union européenne qu’aux États-Unis ou en Amérique du Sud. Sur le Vieux continent, la Hollande fut le témoin d’une croissance de ces établissements spécialisés qui offrent des produits pour la culture de cannabis depuis les années 80. La République tchèque et l’Allemagne permirent également l’ouverture de ces boutiques du moment qu’elles ne se chargeaient pas de vendre ou de cultiver de la marijuana. Désormais, ces deux pays ainsi que la Hollande assistent à une croisade à leur encontre, mais l’offensive a ses propres particularités dans chaque lieu. La situation en République tchèque était normale jusqu’à ce qu’en 2013, la police a commencé à effectuer des fouilles dans les « grow shop » de tout le pays. Même si la vente de graines de chanvre est légale, elles ne peuvent pas être commercialisées avec les accessoires de culture, ce qui a provoqué une diminution du nombre de boutiques et une augmentation des achats sur internet. En Allemagne, les « grow shop » n’ont pas cessé de se développer depuis les années 90. Cependant, l’année passée, de nombreuses fouilles de la police ont été effectuées dans des établissements de Bremen et Hannover. Récemment, l’allemand Pascal Drisch a diffusé une lettre dans laquelle il explique que le Tribunal de la ville de Bochum aurait ordonné la fouille de son local, Progrow, bien qu’ils n’aient trouvé aucune preuve qui démontre le non-respect de la loi sur les stupéfiants du pays. Malgré cela, la police examine actuellement également les disques durs et les courriers électroniques de l’entreprise. Pour sa part, la Hollande a cessé d’être un pays d’ouverture ces dernières années, notamment après l’approbation de la réglementation populairement connue sous le nom de loi « grow shop », qui est entrée en vigueur le 1er mars dernier et qui constitue un coup dur pour ces boutiques, car des condamnations pouvant aller jusqu’à trois ans de prison ou des amendes de 81 000 euros seront infligées à ceux qui vendent tout élément lié à la culture professionnelle de marijuana. De plus, la police sera habilitée pour demander aux centres de jardinage des informations sur les clients qui cultivent du cannabis. Source: dinafem.org This post has been promoted to an article 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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