mrpolo 7 743 Posté(e) août 8, 2015 Partager Posté(e) août 8, 2015 Aux États-Unis, l’industrie du cannabis fait face à un problème sanitaire qui découle de petits insectes nuisibles. On pourrait penser que la légalisation de la marijuana permet aux fumeurs (que ce soit dans un cadre médical ou récréatif) de disposer d’un produit sûr et sans danger. Eh bien non, signale le site Wired. Car même lorsque l’herbe est légale, personne ne sait si elle a été arrosée de pesticides. Gênant quand les joints sont fumés par des personnes malades dans un but thérapeutique… Danger: pesticides | CGP Grey via Flickr CC License by En effet, cultiver des plants de cannabis n’est pas des plus évidents. Il convient pour cela de se débarrasser des insectes nuisibles. Les cultivateurs se tournent donc vers les pesticides. Et c’est là que les ennuis commencent. D’abord, il faut savoir qu’aux États-Unis l’Agence de protection de l’environnement (EPA) ne peut signaler quels sont les pesticides autorisés ni quels sont ceux interdits pour la culture de marijuana. Parce que la culture de marijuana n’est pas légale au niveau fédéral mais seulement dans quelques États. Liste de pesticides autorisésMais il ne suffirait pas de légaliser la culture sur l’ensemble du territoire pour en finir avec cet imbroglio, puisqu’on ne sait pas quels sont les pesticides qui pourraient être autorisés. Wired rappelle que la filière du cannabis ne peut se fonder sur la liste de pesticides approuvés pour les autres produits agricoles. C’est logique: le cannabis se mange et se fume, ce qui décuple les risques. «L’absorption par les poumons est très rapide, souvent équivalente à des injections intraveineuses», précise un rapport de l’EPA sur les pesticides et le tabac. Pas question non plus de s’inspirer des lignes directrices pour la culture de tabac. Car si une liste de pesticides autorisés existe bien, aucune limite de résidu de pesticides n’est fixé –la faute au lobby du tabac et aussi au fait que les pesticides ne sont pas le premier problème sanitaire quand on s’attaque à la cigarette. Quant à mener des tests pour créer de toute pièce une législation, cela semble compliqué, car très coûteux, surtout au vu des milliers de pesticides à tester. De quoi donner mal à la tête et peut-être bien envie de cultiver ses propres plants. par Daphnée Leportois Source: slate.fr This post has been promoted to an article 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Condensa 829 Posté(e) août 8, 2015 Partager Posté(e) août 8, 2015 Salut polo, C'est bien triste tout ça, là encore le coté thérapeutique n'a en faite été qu'une trés bonne excuse pour produire un bien à haute valeur ajouté... Ils ne cultivent que pour l'aspect financier sans aucune morale ou vision engagée. Merci polo, a++ 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité styki Posté(e) août 8, 2015 Partager Posté(e) août 8, 2015 Bonjour, Réaction de ma part ,pour dire que ce n'est pas nouveaux, insecticides,et fongicides aussi ,finissent dans les poumons .... En Espagne dans certaines asso,on trouve Également des weed,qui ont été toucher par la moisissure,style Odium, pendant la fin de flo ... Sa ne les empèchent pas de la commercialiser... Ils la watercurring à l'H202,la fond sécher et PAFF,sur le marché. Je dit ESPAGNE,car je connais,mais c pareille ailleur. C'est scandaleux,mais tempt que des analyses,ne seront pas rendus obligatoire, avant commercialisation ,sa ne changeras pas. ceux qui fond sa que pour la tune, sans conscience pour la santé des consommateurs, continueront . Vive l'auto prode Lien à poster Partager sur d’autres sites
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