C’est un message populaire. juan-mari 2 085 Posté(e) décembre 22, 2013 Auteur C’est un message populaire. Partager Posté(e) décembre 22, 2013 Salut les potos, Jack => une fois j'ai essayer de garder le pollen au frigo comme dit par starck, mais malheureusement celui ci avait moisi, il devait pas être tout a fait ermetique mon récipient... En tout cas je suis en train de test donc je tiendrai au courant Beuh chat => Désolé poto jamais essayer de faire des fem. Tuturman => comme dit par animal, normalement non ^^ Puis si tu veux faire un cross sérieux alors oui il te faudra une femelle testée maintes et maintes fois et idem pour le mâle. La c'est juste pour faire mumuse Animal => Je cole le passage de dj short pour les plus passionnés. Sélectionner les mâles Je préfère retirer tous les mâles de la pièce de culture et les placer dans un espace séparé et isolé peu après qu’ils ont déclaré leur sexe et bien avant qu’ils n’aient commencé à répandre du pollen. Un petit espace éclairé avec de la simple lumière fluorescente suffira aux mâles les quelques semaines à venir. Pendant ce temps, les têtes femelles vont grossir avec plus de fleurs alors que la collection de mâles se réduira par sélection. J’emploie généralement un processus simple d’élimination en sélectionnant les mâles. Premièrement, tous les mâles auto-florissants ou très rapidement déclarés sont éliminés (Auto-florissant voulant dire que les mâles fleurissent indépendamment de la photo-période). Ceci principalement pour s’assurer contre l’hermaphrodisme ou traits de floraison non désirés, mais aussi comme un moyen assurer la qualité. Les mâles très précoces ont tendance a être moins désirables pour la contribution à la qualité du produit fini (Si vous cherchez spécifiquement à créer une variété très précoce, alors vos priorités pourraient être différentes). Ensuite, le moindre mâle qui pousse trop haut ou trop vite est généralement éliminé. La raison en est que la plupart des plantes qui dédient une telle énergie à la production de fibres sont généralement meilleures pour faire de la fibre. L’exception à cette règle est quand une plante sur-productive montre nombre des caractéristiques mentionnées plus tard. Le critère d’élimination suivant est emprunté au livre de Mickael Starks, « Marijuana Potency », et implique la structure des tiges. Tiges principales grosses et creuses sont recherchées alors que celles remplies de « peau blanche » sont éliminées. Après des années d’observations, je suis d’accord pour dire que les tiges creuses semblent faciliter la production de THC. Une autre considération est le type de grappes de fleurs qui se développent. Même sur les mâles, les grappes serrées, compactes et très productives sont préférées à une structure clairsemée. Ces observations sont plus notables dans un environnement intérieur. A l’extérieure, les différences de tiges et de structures florales sont plus difficiles à discerner. Le prochain et peut-être plus important critère à examiner est l’odeur, le goût et le développement des trichomes. Encore une fois, les femelles vont se qualifier d’elles-mêmes par leur produit finit, mais les mâles sont un peu plus délicats. Je commence généralement avec une femelle Sativa et un mâle Indica. J’ai observé que les femelles contribuent essentiellement au type de goût et d’arôme et les mâles contribuent à la force du goût et de l’odeur. Les aspects « Sativa/Indica » de cette formule sont principalement apparent dans la génération P1 ou les tous premiers croisement filiaux (jusqu’au f3 à peu près). Au delà de la génération f3, le ratio « Sativa/Indica » d’un individu donné est moins important que l’odeur/le gout et la production de trichomes qu’il expose. Donc, un des principaux aspects à considérer quand on sélectionne un mâle est la profondeur de son arôme et de son goût. (Si vous essayez de développer une variété peu odorante d’intérieure, vous devriez commencer avec un mâle Sativa peu odorant et une femelle Indica). Avec les mâles restant j’emploie couramment un test d’odeur/goût. Utilisant des mâles au moins dans leur 2ème ou 3ème semaine de floraison (et préférablement au delà avec l’utilisation d’une pièce dédiée et isolée), une sorte de technique « frotter et sentir » est d’abord utilisée. Avec des doigts propres, sans odeur, gentiment frotter une plante à la fois, sur une tige bien développée et flexible, au dessus du bois et en dessous des parties hautes en développement (approximativement à l’endroit où un clone pourrait être coupé). Les feuilles les plus récentes au milieu de leur développement peuvent être aussi frottées et senties. Ce sont les endroits où la signature des composés chimiques précoces d’une plante en développement se révèle, et notre intention est de délicatement déranger ces composés et d’inspirer une réaction odorante/aromatique sur les doigts et sur la plante. En examinant ces divers arômes de cette manière, on doit pouvoir être capable de déterminer certaines caractéristiques désirables (et aussi indésirables). Après rafraîchissement et nettoyage du palais et des doigts, on peut passer au test d’une nouvelle plante. La comparaison des finalistes sur au moins une semaine et à des heures différentes du jour est meilleure afin de déterminer celui qui dégage le mieux sur une période de temps. Quelques uns des « bons » arômes que j’ai pu associer aussi bien aux mâles qu’aux femelles de haute qualité sont: sucré, floral, fruité, baie, vin/cognac, autres spiritueux savoureux, skunky et mentholé. Quelques « mauvais » arômes associés aux mâles et femelles: herbeux, chlorophylle (vert), céleri, persil, carotte, cannelle, menthe poivrée, huile de boite et essence. Quelques arômes considérés comme « bons » pour les femelles mais pas nécessairement pour les mâles: boisé, cèdre, pin, citron, fruit tropical, chocolat, vanille, café, ail et astringent. Bises. 10 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
grandchene 175 Posté(e) décembre 23, 2013 Partager Posté(e) décembre 23, 2013 Salut, Heu à propos du pollen, il faut le placer dans une boite hermetique avec du riz qui va absorber l'humidité. Il me semble que c'est DJ Short qui le dit mais où?!!!!!! Voilà si ça peut sevir!!!!! a plus Lien à poster Partager sur d’autres sites
Bobokillah 1 105 Posté(e) décembre 30, 2013 Partager Posté(e) décembre 30, 2013 Hello les expérimentateurs en herbe! J'ai une question à poser, je me permets de le faire ici car ça pourrait intéresser des autres apprentis "breeders". Après avoir lu ce sujet, j'ai voulu tenter l'expérience avec mes nepalese Jam' régulières: Je précise que je fais du direct 12/12 sans période de croissance et que je n'ai qu'une seul espace, j'ai donc sorti le mâle de la box, il est dans la cuisine depuis 4jours. J'explique le problème: J'ai eu 1 mâle et 2 femelles, j'ai sorti le plant mâle de ma box et laissé dans la cuisine.Aujourd’hui il montre des signes d'hermaphrodisme (quelques pistils sur l'apex) mais les étages inférieurs sont exempt de pistil. Cela est-il du au changement de milieu ou est-ce plutôt héréditaire? (perso, je pencherai pour un stress vu le changement radical de climat entre la box et l'air libre de la cuisine) Autre question qui en découle,: Si les signes d'herma sont apparus à cause du stress, le pollen sera-t-il utilisable? (si la prochaine génération pousse dans de bonnes conditions, feront elles également des herma?) Voici une photo de la plante aujourd'hui: Nepalese Jam rég. Ace seeds J+28 J'aurai bien voulu continuer l'expérience ... si pas, j'attends la prochaine fournée! J’espère que cette question à bien sa place ici ... si ça n'est pas le cas -< Merci pour le partage en tout cas! @+ Lien à poster Partager sur d’autres sites
black cat 184 Posté(e) décembre 30, 2013 Partager Posté(e) décembre 30, 2013 hola a todos plop bobokillah, le but étant de trouver un vrai mâle bien stable pour faire de la seed, stress ou pas stress, chez moi un herma poubelle. Perso je stresse souvent les plantes, pour tester leur stabilité best vibes 5 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Bobokillah 1 105 Posté(e) décembre 30, 2013 Partager Posté(e) décembre 30, 2013 re! Merci pour ta réponse rapide! Je vais écouter l'avis d'un sage expérimenté en la matière! Je vais attendre la prochaine fournée et le mâle va aller à la poubelle! (arrg, ça va être dur!) Ici mon but est plus d’expérimenter une première foi histoire de voir comment ça se passe, je ne me lance pas encore dans une sélection (je suis loin d'être dans la même catégorie que toi, je lance 3 ou 4 graines par ci par là dans mon modeste 0.64m²!) . tshuuuss! Lien à poster Partager sur d’autres sites
C’est un message populaire. phyldafghan 2 599 Posté(e) décembre 30, 2013 C’est un message populaire. Partager Posté(e) décembre 30, 2013 (modifié) Salut, un gros +1 pour l'ami black cat... une sélection de parents doit se faire de la manière la plus rigoureuse possible, en les soumettant à un maximum de stresses différents pour faire ressortir les traits délétères -s'ils sont bien-sûr présents dans le génômes des reproducteurs choisis. Il faut comprendre que les conditions de culture n'ont jamais fait muté une plante ; le caractère est présent ou non dans le génôme dès la fécondation et l'environnement ne fera que révéler un trait déjà existant. Si plus de breeders avaient cette rigueur, on aurait sûrement moins de variétés complètement pourries par la monoécie et/ou l'hermaphrodisme et on éviterait de lire des commentaires de ces même breeders du genre "si vous avez des hermas c'est que vos conditions de culture de sont pas bonnes". Donc n'hésitez pas : vos pères/mères potentiels, faites-leur mal ! Excès d'engrais, variation brutale de photopériode et/ou de spectre lumineux, sur-arrosage, assèchement du substrat, coupe de l'apex en flo, variations de température... et si après tout ça vos reproducteurs ne bronchent pas : c'est que vous tenez des individus stables et exempts de traits monoïques ou hermas. Bon breedouillage à tous, cordialement. Modifié décembre 30, 2013 par phyldafghan 9 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité oïlo Posté(e) décembre 30, 2013 Partager Posté(e) décembre 30, 2013 Bonsoir à tous, La puissance du mâle est aussi importante et d'ailleurs je ne crosse qu'avec des mâles que j'ai goûté . Donc, même si il a passé les sélection "odeur, aspect ....", si la puissance n'est pas là, c'est direct l'abattoir. Et ce n'est pas fini car s'il n'a pas la faculté de transmettre sa puissance, ( si mes souvenirs de bio sont exacts, on recherchera un homozygote ) Une petite loupe avec un grossissement 30/40 n'est pas un luxe pour observer la présence de résine sur les mâles. Et je prends toujours le plus résineux. Pour moi c'est aussi un facteur à prendre en compte . Et lorsque l'on tombe sur un mâle qui frappe méchamment, on le bichonne . La vibe's à vous Lien à poster Partager sur d’autres sites
lilika 3 Posté(e) janvier 1, 2014 Partager Posté(e) janvier 1, 2014 (modifié) bonsoir a tous après avoir lu le tuto j'aurais une question Patientez le temps que sa sèche puis faite une seconde pulvérisation, attendre de nouveau que sa sèche. Replacer la femelle dans la box floraison. Deux ou trois jours plus tard les pistils que nous avons poloniser s'oxydes, c'est que la pollinisation à fonctionner(ici à 5 jours, on voie déjà les graines en formation) En remettant la plante polonisée dans la box on risque pas de polonisée d'autres plante sans le vouloir? Le brassage du ventilo etc...? Modifié janvier 1, 2014 par lilika Lien à poster Partager sur d’autres sites
beuh-chat 7 567 Posté(e) janvier 2, 2014 Partager Posté(e) janvier 2, 2014 Salut En remettant la plante polonisée dans la box on risque pas de polonisée d'autres plante sans le vouloir? Le brassage du ventilo etc...? Je pense que c'est pour cela qu'on pulvérise et qu'on attends que ça sèche plusieurs fois. Pour fixer le pollen sur les fleurs. Sinon dans softs**ret dans article "le Mâle aimé" ou "Maintenant on va le faire nous-même", il préconise de scotcher un sac papier pendant quelque jour après la pollinisation. A+ Lien à poster Partager sur d’autres sites
Indi-Punky 18 358 Posté(e) janvier 2, 2014 Partager Posté(e) janvier 2, 2014 Hello +1 Beuh chat, c'est le role des pulvérisations. Sinon il y a la méthode de TTSCO, ou il mélange directement le pollen a de l'eau distillé afin de polliniser précisément et sans risque ensuite. Je ferais un tuto sur cette méthode. 5 Lien à poster Partager sur d’autres sites
AlexMurphy 1 665 Posté(e) janvier 2, 2014 Partager Posté(e) janvier 2, 2014 ... Et je prends toujours le plus résineux. Pour moi c'est aussi un facteur à prendre en compte . Et lorsque l'on tombe sur un mâle qui frappe méchamment, on le bichonne . mais resineux et qui se fume, c est pas un male peut etre!!! ??? c est une femelle herma non? Alex Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité oïlo Posté(e) janvier 2, 2014 Partager Posté(e) janvier 2, 2014 lut mais resineux et qui se fume, c est pas un male peut etre!!! ??? c est une femelle herma non? Alex ne déforme pas mes propos stp.... entre goûter, et qui se fume ...il me semble qu'il y est une nuance ? avec une loupe peut-être .......pour la résine sur les clochettes des mâles par ex....... + Lien à poster Partager sur d’autres sites
AlexMurphy 1 665 Posté(e) janvier 2, 2014 Partager Posté(e) janvier 2, 2014 ah sorry, pour moi une beu qui frappe mechament c est quand on la fume! ok ok !!! Alex Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité oïlo Posté(e) janvier 3, 2014 Partager Posté(e) janvier 3, 2014 Lut No soucis AlexT ! Pour éviter toute confusion : "un mâle qui frappe" dans mon secteur, c'est qu'il est puissant et qu'il transmet une partie de celle-ci. Car ce n'est pas le tout de choper n'importe quel mâle et de balancer du popo..... en croyant que l'on va faire de l'ogive La vibe's Lien à poster Partager sur d’autres sites
black cat 184 Posté(e) janvier 3, 2014 Partager Posté(e) janvier 3, 2014 hola a todos c 'est de loin, le plus difficile la sélection du ou des males, car il ne faut pas se focaliser uniquement sur l'aspect, la structure, le ratio fleur/fruit, mais plutôt sur la puissance, et c'est plutôt difficile, (car fumer du male, à jeun, quand on a les bocaux pleins de bonnes fem...), ou alors il reste la réversion sexuelle, mais pas à la portée du grower lambda. Best vibes 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
Indi-Punky 18 358 Posté(e) janvier 3, 2014 Partager Posté(e) janvier 3, 2014 Hello Si je ne m'abuse, on peu passer un mâle en beurre ce qui peu faciliter le smoke test non? Lien à poster Partager sur d’autres sites
pichounet 282 Posté(e) janvier 3, 2014 Partager Posté(e) janvier 3, 2014 Salut, Effectivement c'est chaud de les fumer, mais des fois la résine se voit sur les mâle. On peut sentir la résine en frottant le tronc aussi (comparé aux femelles du même strain par ex), on peut en sentir l'odeur générale de la plante sans la fumer au pire. C'est déjà des information....Le beurre c'est pas bête du tout pour tester la puissance, un peu fastidieux si on a beaucoup de mâle à test peut être. Après le plus simple est de faire des repro, avec une femelle avec laquelle on sait ce qu'elle transmet génétiquement. En testant différents mâles on arrive bien à saisir les nuances je trouve. Bonne journée Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité oïlo Posté(e) janvier 3, 2014 Partager Posté(e) janvier 3, 2014 yop...... avec un :smiley vapo: ,c'est déjà moins rude ! avec un aperçu des arômes en +++ de la puissance....... ! et même si c'est rare ,j'ai déjà pris des décollages vraiment puissant du style ninja que te laisse démembré avec l'encéphale en orbite.... la vibe's Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité lug-du Posté(e) janvier 15, 2014 Partager Posté(e) janvier 15, 2014 salut a tous , merci juan-mari pour ce "tuto" et aux autres qui participent pour toutes ces indications des que j'ai la possibilité j'essaie car j'aimerais pourvoir conserver en graines certaines de mes futures variètés que j'ai aimé et plus tard si je suis pas trop nul essayer de les cross entre elles mais super comme topic +1 ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
animalxxx 7 662 Posté(e) janvier 15, 2014 Partager Posté(e) janvier 15, 2014 (modifié) Lu et plus tard si je suis pas trop nul essayer de les cross entre elles Faire des graines maisons c'est pas dur, un mâle une femelle, et paf, ça fait presque des chocapic. Faire de la graine + sérieuse, c'est autre chose, il faut : -de la place (bah oui, t'as + de chance de tomber sur un bon truc en n'en lançant (orthographe? :/ ) 50 plutôt que 10, et aussi pour keeper les parents en attente de selection/test -du temps , tu lances tes graines, tu sépares mâle/femelle , tu les stresses, tu gardes ceux qui t’intéressent, puis tu relances, tu cross (plusieurs mâles de préférence), tu test la descendance selon les mâles/femelles, puis tu gardes les parents intéressants), bilan 6 mois à vue de nez. Mais tu peux aussi très bien tombé sur une perle en ayant que 6 graines^^ Modifié janvier 15, 2014 par animalxxx 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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