Cannabis et étude

[k-lity 119]

C'est la rentrée demain!!

Partiels de Psycho chers amis, que dieu soit avec moi et me guide!

Peace

[Monthy 4]

Plop,

 

Tout dépends de ce que tu as a faire. Activité physique, artistique, scientifique etc...

Je m'explique: j'ai commencé le bedo en première, 1 par semaine au début, pas de problème, bac s en poche , je part en fac de physique. Ma conso a explosée , pour arriver à 3/4 par jours ( pets ou douille ), là ça était tous de suite plus compliqué de me motiver pour aller en cours car je savais que je comprendrais rien en étant sous effets.

Donc le cannabis ne convient pas aux activités "scientifique".

Chaque été depuis 2 ans je bosse a la mairie comme agents urbains, je repeints des murs, passe le balai et compagnie, et alors je suis plus efficace sous canna que sobre, le travail devient plus "intéressant", donc plus de motivation ( tous l'inverse quand je dois attaquer un problème de maths ... ). Que des avis positifs au boulots. Bref, top!

 

Pour ce qui est de l'usage artistique, ma guitare et moi ne pouvons qu’acquiescer !!!

 

Ainsi, ^^, tout dépends vers quel étude tu t'orientes ! Pareille pour le taf après ( en contacte avec les clients ou non, réflexion, manuelle etc...)

 

A mon humble avis!

Sur ce je retourne réviser, aller, plus vite ce sera fait plus vite je pourrais craquer !

Modifié mai 6, 2013 par Monthy

[Tomzik 169]

Pour moi c'est une évidence. Les deux ne sont pas compatibles. Même si ça dépend des études et du mode de consommation. Un joint le samedi soir c'est pas pareil qu'un joint avant chaque cours. Et un CAP de coiffeur, ça demande moins de boulot qu'une première année de médecine. Mais de manière générale, ce sera dur d'atteindre son potentiel avec une consommation excessive de cannabis. Surtout si on est déjà pas motivé à la base.

 

J'ai plusieurs amis qui avaient un bon potentiel et qui sont passés à coté de bonnes études à cause de ça. C'est dommage. C

 

C'est d'ailleurs là que je trouve que la répression/prévention du cannabis en France atteint ses limites. On veut faire peur avec des histoires de schizophrénie, ou de passage à d'autres drogues, ou je ne sais quoi, alors que les problèmes sont plutôt à ce niveau.