"Attraction/répulsion" ou "Push Pull"


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je me suis souvenu tout à l'heure qu'un vieux m'avait proposé de mettre du sang séché dans des sachets de thé et d'accrocher ça aux branches autour du terrain. L'idée serait que les animaux qui servent de proie évitent la proximité de ce genre d'odeur, et on peut les comprendre. Je crois que ça vaudrais le coup d'essayer, si tu n'as pas de meutes de loups ou de lions à proximité. (parce qu'entre un chevreuil et un lion, j'ai ma préférence pour l'animal que je croise a coté des cannas!)

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Salut !

 

Lol je crois que certains étaient pas très clean quand ils ont écris ^^

Pour le permis de chasse avec arbalette je te conseil vivement de monter dans un arbre avant d'énerver le gentil cerf =)

Monte Bien haut xD

 

Après le lion ou le chevreuil... Je ne me souviens pas avoir déjà vu un Lion en France mais bon cas ou ^^ Essaye de lui faire peur ou trouve un arbre =) Après c'est un félin... tu cours, sa l'éxite, tu meurs. Tu grimpes, sa l'attire, tu meurs. Tu combat...1sec... t'es mort...

 

Jvais prendre le chevreuil aussi je crois...

Astuce : Toujours avoir un gros steak sur soit =)

 

Pour revenir dans le sujet je trouve que cette technique de culture devrait être généralisée. Les méthodes chimiques sont vouées l'échèque de même pour la pharmacologie. (être dans le sujet c'est bien en sortir c'est mieu Haha )

Toutefois, comme l'a dit exo-plank (dont j'ai adoré le JDC ^^ ), il est difficile de prouver une quelconque intération entre le parasite et la plante.

 

Pour ma part dans ce cas précis, je doute encore de l'efficacité de cette technique. Je veux bien croire qu'elle ai réalisée une augmentation de la production suite à la mise en place de cette technique, mais comment être sûr qu'il ne s'agit pas d'une simple co-incidence ^_^

 

(Hypothèse stupide : Si celà ce trouve les insectes sont résistant / dépendant aux insecticides raison de leurs absence. Ce serais trop fort xD Suffirais de regarder si il y a des pertes lors de récoltes traitées)

 

Je pense qu'il faudrais faire un test =) Prendre un champs de maïs protégé et y ajouter volontairement des parasites pour oberver si oui ou non le maïs est effectivement protégé.

 

Cannabicallement Wannajamm !

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Bonjour,

 

J' aimerais revenir sur le "push pull" si vous le permettez ; c' est suite à un reportage à la télévision que j' ai réagit mais je n' ai trouvé que le lien (en page 1) pour l' illustrer...

 

Hors, ce dont je me souvient, c' est un cultivateur africain qui nous expliquait qu' une première herbe repoussait les nuisibles qui se rendaient à coté sur une autre plante (qui si je me souvient bien, encore une fois, était censée sécréter une substance qui tuait les oeufs ou qui les empêchait de venir au monde...)

 

Je suis trois fois d' accord pour la responsabilité des monocultures... :plusun:

 

Je ne pense pas que le cultivateur africain désire éradiquer (se débarrasser...) tous les nuisibles attaquant son exploitation ; peut être qu' une perte de 10/15 % lui conviendrait. Et cela permettrait à une espèce de survivre sans développer de résistance particulière. (enfin si cela s' avérait vraiment efficace bien sûr !)

 

Pour le moment, je suis plus modeste et cherche juste a trouver des plantes qui repoussent des insectes. (on m' a conseillé par exemple les oeillets d' inde...à très faible rayon d' action !!)

 

Cordialement, :culture:

Modifié par cytorak
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Salut,

 

Cytorak, désolé sur la dérive à base de chevreuil, tu fais bien de recentrer.

 

Pour le moment, je suis plus modeste et cherche juste a trouver des plantes qui repoussent des insectes.

 

Je pense que c'est pour les pucerons que l'on t'a conseillé des oeillets d'inde ?

Pour les pucerons à répétition, il vaut mieux favoriser (et/ou introduire) les prédateurs (locaux bien sûr).

Les oeillets, en fait j'avais déja vu pour des tomates mais ça à l'air efficace sur plein de choses (cf: wikiped**)

Si c'est pour un insecte particulier, faudrait voir au cas par cas...

 

La consoude est exploitable pour: attraction des auxiliaires (fleurs), fertilisation (tiges et feuilles), stimulation de la vie du sol (racines).

Et pour ce que j'en ai constaté, certaines moisissures sont visibles (sur les feuilles) largement avant que ça commence sur les autres plantes, comme avec les rosiers en tête de rang de vignes.

 

Cannabicalement. :bigspliff:

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Bonsoir,

 

Oui, l' oeillet d' inde est utilisé contre les pucerons ; mais je ne le considère que comme un moyen de prévention. ;-)

 

Bien sûr, tu as raison pour la lutte au cas par cas ; peut être la nature nous réserve t' elle une surprise sous la forme d' une plante "multifonction" qu' il nous faudra découvrir puis optimiser son utilisation, mais en attendant ce jour, des recherches semblent nécessaires. (peut être pourrions nous demander aux "shamans" rescapés les secrets qu' ils ont réussi a préserver...je veux dire, après s' être excusé d' avoir presque éradiquer les leurs et en demandant gentiment !!)

 

En ce qui concerne les prédateurs locaux comme notre bonne coccinelle, il ne me semble pas en assez grand nombre pour effectuer leur tâche avec réussite. :(

 

Merci pour ton information concernant la "consoude" ; je ne connaissais absolument pas... :blush: (je me coucherais moins bête ce soir ! Et cela va me fournir une nouvelle piste a exploiter !!) :D

 

En ce qui concerne la moisissure, il serait bien sûr plus qu' utile de connaître une variété de plante à peine plus sensible que les plantes que nous cultivons...(et je m' en veux beaucoup de ne pas y avoir pensé plus tôt !)

 

Cordialement, :culture:

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bonjour,

je ne pense pas que l'indexage se justifie pour les moisissures sur canna. En out normand, j'ai le choix entre 2 types de canna: ceux qui sont ravagés par le champignon et ceux qui me laissent un peu de matière à fumer. Un canna qui ne moisisse pas, je ne connais pas et j'ai fini par accepter "faire avec".

L'indexage se justifierais plus pour les thrips et acariens, qui eux, ne sont pas systématiques, mais je n'imagine pas de plantes plus sensibles que le canna. :icon_confused:

bonne journée

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Salut,

 

paupol, si je me plante pas tu cultives surtout en serre, non ? et tu fertilise comment ?

et ta serre elle s'ouvre pour ventiller ?

Je te demande ça car les baches de serre bloquent 100% des UV, donc ça a une influence sur les plantes et les fongiques.

Car entre les UV et les champignons (bénéfiques ou non-ravageurs) vivant dans le sol, ce sont deux facteurs qui influencent fortement le métabolisme secondaire des plantes, donc les voies de production de "molécules de défence".

 

J'essayerais de retrouver les photos de mon mulch très vivant en champipi pour illustrer;

C'est quand même les fongiques qui entrent le plus intimement et profondément en contact avec les plantes. :wub:

(sauf pour les légumineuses)

 

Enfin pour la voie d'un autre végétal pour aider le canna contre les moisissures, il faudrait creuser dans les Brassicacées (famille du choux, colza...) qui est la famille de plantes qui produit le plus de composés anti-fongiques (à base de Soufre);

au point d'avoir un effet négatif sur les mycorhyzes.

 

Bonne journée

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Je cultive en effet sous serre, bien ventilé mais en bord de rivière. J'ai les moyens de composter ce que je veux, et je tente différents compost (et quand les carottes sont toutes fourchues je vois que j'ai abusé :roll: ) mais en effet, en Normandie, le problème vient des moisissures. Sans la serre, pas de résultats fiable, et j'ai bien conscience qu'avec, j'impacte les Uv.

Je rajouterais même que j'ai abandonné l'espoir de me passer de bouillie bordelaise, avec un impact probable sur la fabrication des trichomes.

Tout est concession, mais ton post me fait penser qu'il y a sans doute une piste à creuser avec les mycorhizes. Mes informations datent un peu, mais il existe peut être une symbiose qui conférerait au cannabis une meilleur résistance au canna.

Le Cannabis truffier, la voilà la solution! :high:

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Pour le moment, je ne test cela que sur les PM, car pour obtenir une bonne mycorhization il faut d'une part un bon signal de mycorhization à base de strigolactone (ici j'utilise du GR24, un analogue de d'orobanchiole de synthèse),

 

bonjour,

je savais bien qu'on devait éviter parler mycorhise, je suis complétement largué! Je suis convaincu maintenant que c'est la piste la plus prometteuse pour améliorer nos cultures, mais les écrits d'exo-plank prouve que le niveau de science nécessaire n'est pas à la portée du cultivateur moyen. Peut être aurons nous un prochain guide rendant ces connaissances accessibles aux jardiniers? J'avoue ne même pas comprendre comment il peut être possible de trouver des micro-organismes symbiotiques dans des terres qui n'ont jamais vu de racines de cannabis. Faut-il aller chercher en Afganistan les champignons adéquates?

J'ai peu voyagé, mais c'est vrai qu'a chaque fois, je suis revenu avec des champignons et autres mycoses!

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  • 3 semaines après ...

je savais bien qu'on devait éviter parler mycorhise, je suis complétement largué! Je suis convaincu maintenant que c'est la piste la plus prometteuse pour améliorer nos cultures, mais les écrits d'exo-plank prouve que le niveau de science nécessaire n'est pas à la portée du cultivateur moyen.

 

Salut à tous et meilleurs voeux.

 

Je viens de mettre une petite gallerie avec des exemples de ce que j'ai pu observer de vie fongique dans un mulch (15-20cm d'épaisseur) à base de feuilles mortes+humus forestier+compost mûr.

https://www.cannaweed...1-vie-du-mulch/

 

Le BRF (bois raméal fragmenté=branches jeunes broyées) est aussi très efficace pour ce que j'ai vu, et les livres qui traitent du sujet disent que c'est un super booster pour les mycorhyzes.

 

Donc tu vois que pour lancer les mycorhyzes en outdoor, ya besoin que de feuilles mortes ou de bois broyé et un d'une poignée d'humus pris en forêt; méthode rustique, roots quoi ! :fumette:

 

A+

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  • 2 semaines après ...

Bonjour!

 

Désolé de dévier un peu de vos histoires de champis, mais je pensais à des plantes qui auraient peut-être un rapport avec la méthode "push-pull" : les plantes dépolluantes, type ficus et autres, qui absorbent une partie des polluants de l'air.

 

Par contre je tiens à préciser qu'aucune étude concrète semble avoir montré une efficacité notable, bien que la NASA se soit intéressée au sujet il y a un certain temps.

 

Mais on pourrait imaginer placer un ficus dans un placard, qui nettoierait un peu l'air... (chez moi l'air sent toujours la peinture 2 mois après que les murs aient été repeint... si une plante se chargeait de gober tout ça à la place des mes pieds ça pourrait être sympa!)

 

Bref, j'ai moi aussi était admiratif quand j'ai découvert ce type d'agriculture, et j'ai hâte de voir toutes les techniques qui pourront être appliquées!

 

 

 

edit : un lien pour ceux que ça intéresse

Modifié par quentintupu
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bonjour,

je crois que les plantes ne peuvent donner que ce qu'elles ont et la capacité d'une plante à dépolluer a des limites. Sinon, il n'y a qu'a recouvrir nos décharges de champs de Chanvre et on est tranquille! Qu'un végétal puisse capter certains métaux ou molécule polluante pour les dégrader en... autre chose de "mieux", j'en suis sur. Qu'il suffise de placer un ficus dans son appart pour capter les odeurs, j'en suis moins convaincu (a part le petit sapin accroché au rétroviseur!). Les techniques de push pull ou assimilé, ce n'est valable qu'en extérieur, puisqu'on utilise à son bénéfice des lois agronomiques. Et c'est vrai qu'un jour, l'utilisation de plante pour rendre l'air respirable sera peut être un impératif de culture?

J'aurais pas du me faire opérer des végétations :roll:

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Bonsoir,

 

Bien sûr, les choses ne peuvent être aussi simple que cela, a priori ; mais il me semble d' autant plus important de combiner tous les effets connus et ne pas s' en tenir à l' usage d' une seule plante pour obtenir un résultat désiré...

 

Pour les odeurs, souhaite t' on les supprimer, les masquer ou autre... :icon_confused:

 

Par contre, pour l' oxygène, il me paraît évident que ce sont les plantes qui représentent notre salut !! :kana_smile:

 

Autre chose, j' ai l' impression que dans le domaine de la recherche, on cherche souvent Le remède miracle (à 100 % ou peu s' en faut). On recherche également l' éradication d' une espèce nuisible plutôt que sa régulation comme je le disais précédemment !

 

J' aurais bien aimé l' avis d' un agriculteur (de préférence diplômé...) sur ces méthodes et surtout, j' aurais aimé qu' il nous explique ce qu' il a appris lors de ces études concernant les sols, l' humus et leurs renouvellements ; il semblerait que nos agriculteurs aient appris que le sol se régénérait tout seul et sans besoin de se reposer ! (navré si je manque de précisions dans mes propos qui seront, je l' espère accessibles à tous) ! :idea:

 

Nos "pistes " sont elles les bonnes, les moyens dans ces recherches ne font ils pas figure de parents pauvres, n' occulte t' on pas des techniques suffisamment efficaces pour les africains pour tenter de leur vendre nos "OGM" qui, à ma connaissance, n' ont pas eu des brevets encore amortis... :-(

 

Je ne désespère donc pas de trouver des plantes utilitaires et surtout, je compte sur les nouvelles combinaisons qui seront découvertes ! ;-)

 

Bonne culture à vous, :culture:

Modifié par cytorak
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J' aurais bien aimé l' avis d' un agriculteur (de préférence diplômé...)

Vu l'ampleur des problèmes que tu ouvres, demande l'avis des agriculteurs diplomés, mais aussi de tous les diplomés des sciences vivantes, des philosophes, des théologiens et de tous le reste!

Push-pull ou autres, les techniques basées sur l'écologie, et donc les inter-actions entre espéces réclament une compréhension des lois naturelles qui dépassent les facultés cognitives. (pourquoi beaucoup de scientifiques illustres , après une vie d'étude, se tourne vers la religion à la fin de leur vie, comme s'ils n'avaient plus de réponse à leur question?)

Tu peux trouver toutes les informations sur les cycles de l'humus, avec toutes les valeurs précises, les ratios voulus, les analyses scientifiques, les échanges cationiques dans l'acide fulvique si tu veux, mais les réactions ne sont pas qu'une affaire de chimie, d'électricité ou de biologie.

Même si en effet, ces connaissances constituent une base, je pense qu'il faut abandonner l'espoir de "tout comprendre" et procéder, comme tu le fais, avec bon sens: favoriser des conditions optimum pour chercher un équilibre. Beaucoup de jardiniers, comme moi, formés dans l'idée que les intrants étaient nos amis, n'ont plus utilisé le moindre produit chimique depuis des années. Parce qu'en effet, les parasites existent depuis aussi longtemps que les hôtes et qu'une plante en bonne santé n'en souffre pas, sauf cas exceptionnel.

Refroidit par l'ampleur du chantier, on compte tous sur les découvertes des autres. C'est pas avec ça qu'on va avancer! :roll:

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Salut à tous,

 

je vais rebondir sur ce qui a été dit

 

Nos "pistes " sont elles les bonnes, les moyens dans ces recherches ne font ils pas figure de parents pauvres, n' occulte t' on pas des techniques suffisamment efficaces pour les africains pour tenter de leur vendre nos "OGM" qui, à ma connaissance, n' ont pas eu des brevets encore amortis...

 

La situation est même pire que ça, car certaines multinationales vendent aux pays en voie de développement des "packages" complets avec:

-semences à forte croissance, plus sensibles aux maladies et non reproductibles

-engrais chimiques à la place du fumier, car les plantes demandent plus

-produits de traitements contre les maladies et les nuisibles + herbicides + conservateurs

-irrigation et mécanisation des travaux avec labours plus profonds + carburants

-Et la cerise: l'entreprise qui propose tout ça, fais crédit jusqu'à la récolte mais fixera son prix d'achat à ce moment là.

 

L'idée anoncée est de permettre le développement et la modernisation de l'agriculture, les politiques et les lobbies vendent la "Révolution Verte".

Le résultat à fait son effet en Inde avec le coton Bt OGM et son "package of services", l'éminente Vandana Shiva en parle et désigne le phénomène sous le terme de "Suicide Belt".

Ce sont des zones autour des points de vente du coton OGM où les paysans qui ont soucrit à ces packages se retrouvent avec une récolte foirée à cause d'une nouvelle chenille ravageuse qui est devenue résistante, sinon c'est le prix fixé à l'achat qui est trop bas.

Du coup les paysans ne peuvent pas rembourser les crédits à la récolte et lorsque l'entreprise vient saisir les biens pour se rembourser (avec intérets), le paysan, acculé, avale le même bidon de Rou*d-U* qu'il avait acheté avec le "package" à crédit.

Vous aurrez compris de qui on parle ;-)

 

La fameuse méthode du "package of services" est déja décrite dans les années 80 comme une voie de "colonialisme economique", avec une pseudo-réussite en Amérique du Sud dans les cultures massives de soja exportées vers l'Europe grâce des obligations d'achât signées auprès de l'OMC.

Et déja, en 1982 Dominique Solner expliquait les défaillances d'un système agricole dont la majorité des proteines végétales sont importées depuis l'autre côté de l'Atlantique !!!

 

Refroidit par l'ampleur du chantier, on compte tous sur les découvertes des autres.

 

C'est un bon résumé, et lorque l'on consulte ceux qui en ont découvert le plus, que l'on constate qu'il en reste toujours plus à découvrir.

 

Mais bon, ya quand même des personnages qui ont posé des bases dans certains domaines:

-Les sciences et techniques agricoles: Dominique Soltner

-La vie et la biologie du sol: Claude Bourguignon

-Les débuts de "l'agriculture naturelle": Masanobu Fukuoka

-Le développement de la Permaculture (Australie): Bill Mollison et Geoff Lawton

-La pratique de la Permaculture en montagne (Alpes): Sepp Holzer

-Permaculture en maraichage et au jardin: Emilia Hazelip

-L'invention de la Biodynamie (et une méthode scolaire): Rudolf Steiner

-La précision de la Biodynamies: Ehrenfried Pfeiffer et Maria Thun

-Et d'autres auteurs concernant les purins de plantes, les "Thés de compost", le BRF,...

 

En espérant que vous y trouverez quelques pistes de réflexion :fumette:

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Bonjour,

 

Je suis bien d' accord "Kman", sans aller jusque la théorie du complot, il ne fait aucun doute que des intérêts divers sont en jeu...et je ne parle pas des agriculteurs africains ! ;-)

 

Si je souhaitais pouvoir bénéficier de l' avis d' un agriculteur sur ce qu' il a appris sur l' humus par rapport à ce qui se sait aujourd' hui sur le sujet me semblait pertinent. Sans autre prétention que de démontrer, si possible, que nous remettons en cause perpétuellement les "aquis"... :lire:

 

Et à cela, je ne vois rien de théologique ou métaphysique ! :)

 

Tout juste un apprentissage long et fastidieux...

 

Enfin, c' est ce que je pense.

 

 

Bonne culture, :culture:

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  • 1 mois après ...

Salutatous,

 

je reviens pour donner une bonne source dans le style du "Push/Pull", c'est le site Agroécologie du CIRAD:

https://agroecologie.cirad.fr/

 

comme dans ton exemple du maïs, c'est surtout pour les climats tropicaux.

Pour des methodes adaptées à nos climats tempérés ou montagneux, il vaut mieux voir du côté de:

-La Permaculture de montagne par Holzer: https://www.youtube.com/watch?v=yENQkKAxD8o

-La Permaculture pour climats tempérés et milieux urbains par Bill Mollison:

https://www.dailymotion.com/video/xx07t5_global-gardener-3-cool-climates_lifestyle#.UTNZEoV0oy4

https://www.dailymotion.com/video/xx08i4_global-gardener-4-urban_lifestyle#.UTNZc4V0oy4

 

Si ça peut en inspirer certains pour leurs projets de cultures.

 

++

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Bonjour,

 

exemples très pertinents ! :plusun:

 

Amusant, je trouve, de retrouver ces espèces de culture en "terrasses" dans la "permaculture" ; cela évoque, pour moi, un peu les rizières du même aspect...

 

Pas encore vu la dernière...un peu longues mais instructives. ;-)

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Salut,

 

Si tu veux vraiment comprendre ce système des rizières en terrasses, il y aun bouquin qui décortique la méthode.

Dedans ils passent en revue plein de méthodes agricoles de micro-gestion très productives et parfois simples.

En plus c'est bien fait, assez technique et ils expliquent bien pourquoi certaines fonctionnent depuis des millénaires !

 

Le bouquin c'est: "Agricultures singulières". Tu le trouve en PDF complet et facil en une seule recherche sur le net.

 

Pour mettre l'eau à la bouche, dedans ils expliquent une méthode qui correspond à de l'hydroponie sur végétaux hachés, avec comme seul matos: des burnes, des pierres et un couteau.

 

A+

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