La raison de la répression française


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Yop à tous,

 

Voilà pour tout ceux qui ne comprennent pas la loi française, la politique de répression à l'inverse des réalités et la pression continuelle de la france contre les pays-bas. Ceci est l'unique vérité qui se cache depuis 30 ans. (Vous vous demandez encore pourquoi avant les élections les candidats sont ouverts mais après c'est autres choses...)

 

Sujet : https://stcom.net/news/?p=949

 

Les regimes dictatoriaux maghrebins, les reseaux Pasqua-Chirac et le trafic de drogue.

 

Cet article se base sur des enquetes faites sur l’affaire Bourequat Auguste Ali et Jacqueline Hémard. Ce type de fonctionnement est le meme en Algerie avec ses GIA-eradicateurs de la France et en Tunisie. Ce sont les memes hommes, les memes tetes et les memes services impliqués. Le trafic de stupéfiant sert aux gouvernements qui le pratiquent à monter des opérations spéciales en Afrique et un peu partout dans le monde. Ces opérations (attentats attribués aux musulmans à Casablanca en mai 2003, mais sont en réalité l’oeuvre des services francais) doivent maintenir coûte que coûte le role prépondérant des reseaux de la Francafrique, qui se confond avec la Francalgerie et la Francyisrael. C’est le système néocolonial qui soutient les dictatures, participe aux fraudes électorales, renverse les gouvernements, entretient des guerres civiles, à seule fin de continuer le pillage des ressources naturelles (pétrole, minerais, matières premières).

 

Dans un ouvrage d’Alain Jaubert paru en 1976, Dossier D… comme Drogue, on apprend qu’existent « d’étranges collusions entre » le milieu », les services secrets, le SAC (service gaulliste de pasqua) » et des hommes politiques qui sont toujours en place aujourd’hui quoique cernés par les affaires. Le SAC, ou Service d’Action Civique, était une organisation paramilitaire gaulliste, responsable de nombreux enlèvements, assassinats et trafics en tous genres. Il a été dissout suite à la « tuerie d’Auriol » au début des années 80. Le SAC était dirigé par Jacques Foccart. Charles Pasqua a été le vice-président de l’organisation.

 

Selon Ali Bourequat, réfugié politique français aux USA: « Dans les années soixante, des voyous qui travaillaient pour les services parallèles gaullistes et pour Hassan II ont installé au Maroc un trafic international de stupéfiants. Pernod & Ricard servait de couverture aux services spéciaux français pour le trafic de drogues, comme pour le reste ».

 

Lors du démantèlement de la « French Connection » (1971), qui faisait parvenir de l’héroïne aux États-Unis via le Canada, les noms de Jean-Charles Marchiani et de Charles Pasqua sont cités par la presse anglo-saxonne. Pendant près de neuf ans, Jean Venturi était l’importateur et le distributeur en Amérique du Nord du pastis Ricard, statut qui lui servait de couverture pour assurer plus facilement l’importation d’héroïne provenant de Marseille. Son supérieur hiérarchique était alors Charles Pasqua. Un témoignage de Mme Jacqueline Pilé-Hémard, elle aussi réfugiée politique aux USA, raconte que la famille Hémard, propriétaire de Pernod & Ricard, a contribué à mettre en place au Maroc des installations de transformation de la cocaïne. Cela commençait en 1962 jusque dans les années 80. Charles Pasqua a travaillé durant dix ans pour la famille Hémard à la branche export avec le Maroc.

Ali Bourequat prétend même que Giscard d’Estaing aurait des intérêts directs énormes dans deux sociétés de transformation de phosphate au Maroc, notamment Maroc Chimie et Maroc Phosphore. En plus de cela, Giscard était propriétaire d’un grand domaine mitoyen de celui du roi dans le Ouled Dzaim, la région même où Chirac est propriétaire d’une ferme offerte par le roi après son élection de 1995.

 

Hassan II aurait aidé à financer la campagne présidentielle de Chirac, en 1995. Aussitôt élu, le nouveau président s’est empressé de faire une tournée en Afrique, avec une première étape au Maroc. Un accord éclair a été conclu pour doubler l’aide française au Maroc. Ils ont eu l’occasion de parler du Rif et de ses problèmes de développement économique et social, Chirac s’engageant à ce que la France soutienne l’action du roi dans cette région. Tous ces éléments donnent un aperçu des collusions politico-mafieuses entre le Maroc et la France. Il est évident que l’État français et bon nombre des politiciens en France ferment les yeux pour sauvegarder leurs propres intérêts et ceux de leurs amis, et se rendent complices du pillage des ressources, de la pauvreté et de la répression au Maroc.

 

Les États-Unis ont accordé le droit d’asile à deux citoyens français, Ali Auguste Bourequat et Jacqueline Hémard, qui craignent pour leur vie dans l’Hexagone. Le premier est un rescapé du mouroir de Tazmamart, où l’avait expédié Hassan II. La seconde est mariée à l’un des héritiers du groupe familial Pernod-Ricard. Tous deux ont fait des révélations stupéfiantes sur la french-moroccan connection, relayées par une série du « San Francisco Chronicle ».

 

Bref rappel. Au début des années 60, De Gaulle et Foccart avaient, pour combattre l’OAS, recruté des barbouzes de tous poils, y compris des truands. Certains d’entre eux installèrent au Maroc, avec la bénédiction du jeune monarque, une multinationale de stupéfiants. Selon Ali Bourequat, « Pernod-Ricard servait de couverture aux services spéciaux français, pour le trafic de drogue comme pour le reste ». Autrement dit, une joint-venture reliait les « services » français – officiels (Sdece) et foccartiens (SAC) -, Hassan II, la pègre et Ricard.

 

Or, tout cela n’est peut-être pas à conjuguer au passé. La déposition de Jacqueline Hémard a ébranlé les autorités US : « [...] Mon mari, M. Eric Hémard [...], était étroitement lié avec des membres influents du gouvernement français. [...] La famille Hémard a contribué à mettre en place des installations de transformation de la cocaïne au Maroc. Le ministre de l’Intérieur, M. Pasqua, et le roi du Maroc, aussi bien que la famille de mon mari, étaient impliqués dans la mise en place de laboratoires. Cela démarra il y a de nombreuses années, vers 1962, avec le père de mon mari et d’autres individus. Cela se développa dans les années 70 et 80. M. Pasqua travailla dix ans pour la famille Hémard, dans la branche exportation de leur entreprise nommée Pernod & Ricard, avec le roi du Maroc. C’est pour le compte de l’entreprise Pernod & Ricard qu’ils mirent en place les laboratoires de drogue. [...] Mon mari [...] m’expliqua que les 100 000 dollars que chacun des Hémard recevait chaque année de leur mère [...] provenaient des revenus issus du trafic de drogue au Maroc. D’évidence, c’était devenu très lucratif. M. Pasqua avait été auparavant ministre de l’Intérieur entre 1986 et 1988. Il redevint ministre entre 1993. [...] Je crois que, si je retourne en France, je serai persécutée en raison des informations que je procède à propos d’individus, à l’intérieur du gouvernement français, qui sont profondément impliqués dans le trafic de drogue ».

 

« J’ai été kidnappé avec mes deux frères au Maroc et séquestré pendant dix-huit ans sans droit ni titre, sans jugement et sans accusation. Nous avons été libérés après dix-huit ans et demi d’incarcération dans le camp de la mort de Tazmamart à la suite d’une pression directe du président américain sur le roi du Maroc et nous avons été rapatriés en France, trois jours après notre libération » Ali Bourequat

Après avoir reçu des menaces en France, à l’époque où Charles Pasqua était ministre de l’Intérieur, Ali Bourequat a obtenu l’asile politique aux États-Unis en 1995. Né en 1937, il vit aujourd’hui en exil au Texas.

 

Le « San Francisco Chronicle » était pourtant beaucoup plus explicite sur les accusations portées par vous-même et par Jacqueline Hémard contre Charles Pasqua, et ses liens avec le trafic de drogues organisé au Maroc (et du Maroc vers la France, faut-il le préciser ?) Plus embêtant encore, le « San Francisco Chronicle » osait rappeler divers éléments de la carrière de Charles Pasqua, du temps où celui-ci était responsable des services export de Pernod & Ricard – temps où les succursales américaines de cette éminente multinationale française exportaient plutôt de l’héroïne que de l’alcool. Pire encore : les recoupements faits par l’équipe du « Chronicle » auprès des autorités américaines – la DEA en particulier – semblaient bien confirmer que si vous avez si facilement obtenu l’asile politique aux États-Unis en vertu de vos allégations, c’était parce que l’agence de répression internationale du trafic de stupéfiants pensait celles-ci fondées. Le « San Francisco Chronicle » n’a pas été poursuivi. Ni « Maintenant ». Votre témoignage, pourtant, est précieux à plus d’un titre. Une des raisons pour lesquelles il mérite qu’on y revienne, c’est que, par-delà les accusations terriblement précises que vous portez contre Pernod & Ricard ou contre Charles Pasqua, vous aidez à comprendre la mécanique du système.

 

Dans les années soixante, des voyous qui travaillaient pour les services parallèles gaullistes en même temps que pour le jeune Hassan II ont installé au Maroc un trafic international de stupéfiants. « Au début, le roi ne comprenait pas que ça pouvait être aussi rentable, dites-vous. La culture du kif était traditionnelle et ça n’était pas vraiment une affaire. » Mais les truands corses, marseillais ou parisiens ont alors profité de leurs hautes protections des deux côtés de la Méditerranée pour « industrialiser » le trafic. Selon vous, « Pernod & Ricard servait de couverture aux services spéciaux français, pour le trafic de drogues comme pour le reste… » Ainsi, autour de cette mafia franco-marocaine, s’est structurée une colonne vertébrale du monde de l’ombre. Depuis la naissance de la Ve République, de l’affaire Ben Barka aux élections présidentielles françaises, on a vu souvent cette mafia s’imposer comme le véritable maître du jeu.

 

Pour le bon ordre des choses, il eût mieux valu que vous ne surviviez pas aux dix-huit ans de cachot que vous – et vos deux frères – devez à l’arbitraire de Sa Majesté Hassan II, roi du Maroc. Sortant de Tazmamart (grâce à la pression du gouvernement américain, en la personne de James Baker), vous avez voulu raconter beaucoup de choses. Trop de choses. Au « PF 3″ – la sinistre geôle privée de Hassan, en plein coeur de Rabat -, vous avez eu l’occasion de rencontrer d’autres « enterrés vivants », comme vous et vos frères.

 

En particulier trois truands français, célèbres, entre autres, pour avoir participé à l’enlèvement de Mehdi Ben Barka en 1965 : Boucheseiche, Dubail et Le Ny. Vous témoignez de ce que Dubail, ainsi que Boucheseiche, vous ont fait de nombreuses confidences à Tazmamart. Au fond du tombeau, les langues se dénouent. Et ces messieurs, dont on savait qu’ils avaient disparu au Maroc, mais pas où, ne sont d’ailleurs pas sortis vivants du « PF 3″, ainsi que vous le racontez dans votre livre, Dix-huit ans de solitude : Tazmamart, en vente dans toutes les bonnes librairies. Ils n’avaient plus rien à perdre… et ils parlaient.

 

Jacques Chirac, aussitôt élu président de la République française, s’est empressé de rendre visite à son ami Hassan II, pour déverser une pluie de subventions sur celui qui avait si gracieusement aidé à financer sa campagne électorale – avec l’argent de la drogue, bien sûr, cet argent « noir » si précieux dans une élection dont les financements sont réglementés rigoureusement par la loi française.

 

Vous aurez aussi remarqué que le roi du Maroc, dans sa grande munificence, a aussitôt remercié son ami en offrant au président français un magnifique domaine, une ferme dont il venait de dépouiller froidement son neveu, en apéritif à la sanglante bataille de succession qui se prépare dans ce beau pays. Jacques Chirac n’a que faire des luttes intestines de la famille royale marocaine. Ou plutôt, il a toutes les raisons de se solidariser, même en ceci, avec son excellent ami. Un ami à qui il doit beaucoup.

 

Peut-on redire ici ce qui se dit ouvertement dans certains colloques, tel que celui auquel j’ai assisté récemment, organisé par la Ligue des droits de l’homme ? Les attaques répétées de Jacques Chirac contre les Pays-Bas, au prétexte que ceux-ci seraient les pourvoyeurs de drogues de l’Europe, sont particulièrement déplacées alors que l’un de ses meilleurs « amis » est un des principaux dealers de la planète – et certainement le premier fournisseur du marché français.

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Ola

 

Super article! Mais bon les gens savents mais ne font rien,sa en devient limite triste a un moment....

Le pire dans tout sa reste que sa pas changé depuis l'epoque,eh oui nos deux dernier president on faillie finir en prison a la fin de leur mandat mais sa choc personne,sa en devien normal!

 

Sa ce trouve d'ici 10ans on apprendra que Hollande etait l'un des mafieux les plus respecté du monde :siff:

 

Peace

Modifié par cheezo
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Yop

 

Merci pour l'article, ahhh Charles Pasqua...je suis contre la peine de mort mais je dois reconnaitre que notre monde se porterai tellement mieux sans lui, responsable de génocide ,guerres civiles, conflits d'interet, trafic d'influence, abus de pouvoir,de confiance et de biens sociaux, détournement de fond, faux témoignage, corruption, crime contre l'humanité.... et je peux continuer longtemps comme ça bref une ordure de la pire espèce (Radovan Karadzic version fr). Sarko et Lepen c'est des bisounours à coté de lui.

 

Le pire dans tout ça, c'est qu'il ramasse jamais rien quand il passe au tribunal, c'est qu'il doit tenir pas mal de monde par les couilles vu qu'il a fait le sal boulot il est au courant de tout.

 

Sinon pour la teneur de l'article je suis même pas étonné et je dois pas être le seul. Le Maroc c'est une des plus gros obstacle à une légalisation Française vu qu'on est leur principal client.

 

La seule chose à faire c'est de continuer à diriger un maximum de fumeurs vers l'auto-prod, si tout le monde avait son m² de weed chez soi, Momo 666 ferait bien la gueule :D

 

Fuck les dealers et le hash de merde!!!

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  • 2 semaines après ...

hello!

 

ah oui très bon article, ça explique pas mal de choses qu'on conaissait qu'a moitié... mais il faudrait encore creuser, le coup de pernod ricard Oo j'en suis sur le cul ^^.

ça met de bonne huleur pour aller au taf tient.

 

C'est ouf quand meme, ces gens qui nous dirigent sont vraiment des gros pourris.. et ils arrivent à dormir.... à quand le jugement de tous ces porcs!

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  • 2 semaines après ...

Superbe article, le plus étrange dans tout ça, c'est le double jeux des politiques qui alimentent d'une part les trafics et qui d'une autre part qui mènent une politique extravagante de répression vis-à-vis des stupéfiants ... quelle bande de schizo je vous jure :shock:

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salut

 

la répression a commencer bien avant les magoulle de nos compere non?

 

je veux bien croire la casi totalité de ce texte mais tout ceci n'est pue d'actu alors pourquoi ça bloque toujours?

 

je pense surtout que nos politico sont bloqué dans leur petite tetete, et le valls un sarko de gauche n'arrange vraiment pas les chose tant qu'il sera là rien ne bougera je suis sur qu'il est plus déterminer que holland sur ce point

 

bye

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Salut

article très intérressant ,il y a des sujets que je connaissais mais pas toute l'histoire.Je savais que c'étaient des pourris mais à ce point la ,ça me fait penser à un proverbe bien connu "diviser pour mieux régner".

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je veux bien croire la quasi totalité de ce texte mais tout ceci n'est plus d'actu alors pourquoi ça bloque toujours?

 

 

Si la collusion entre traffic et politique n'était plus d'actualité, on pourrait en effet s'étonner du bloquage. Seuls les plus décrébrés des politiques se font attrapper. Et encore, en Italie, ils peuvent cumuler toutes les casseroles et continuer à se taper leurs petites filles!

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  • 4 semaines après ...
Invité Néocanna

C'est marrant, dans une discussion avec un proche qui cracher sur des politiques d'autre pays.

Je lui ai rappeler de balayer devant sa porte avec ces arguments. On à fini par changer sujet ^^

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bonjour,

on peut imaginer qu'une discussion qui commence par "ne soyez pas stupide" à peu de chance d'être constructive. On ne demande que ça d'être éclairé par tes contre-arguments, mais sans considérer cet article comme une vérité, je n'y vois rien qui me permette de douter de sa crédibilité? Si les modos devaient abonder dans ton sens, j'y verrais une censure injustifiée. Sauf si tu nous démontres que c'est de la propagande.

Militer, c'est pas être peremptoire et manier l'insulte comme un argument.

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Tout est question de point de vue. Je ne connais personne qui prend tout ce qu'il lit ou entend pour argent comptant, mais voir la corruption liée au Pouvoir, ce n'est pas de la propagande militante. On est en droit de se sentir régulièrement "enfumé" dans les choix de politiques nationales, on peut se douter que ce doit être pire dans les rapports internationaux qui échappent au citoyen lambda. Je vuex bien croire que ce que je lis est issu d'une arnaque propagandiste Américaine, ce ne serait pas la première fois, mais les évenements relatés me paraissent "possibles", et c'est là dessus que je construis un avis.

Je ne suis pas convaincu que les USA soient anti-européens. J'ai même le sentiment qu'ils y trouvent plus leur compte que les Européens habitants de la CE.

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pour appuyer d'une façon décalée que ce que dit le papy au dessus, un article est paru sur un autre sujet et ca donne selon une étude téléphoner au volant donnerait le cancer. quand on lit dans le détail les arguments de cana son s'appliquent, tout est écrit dans le doute, les sources que citent l'article ne donnent aucune preuve, et cet article provoque des réactions violentes d’automobilistes, et des réactions convenues disant "de toute façon", vu que téléphoner au volant n'est pas bien, alors on peut faire passer tout ce qu'on veut comme argument. moralité pas évidente en me relisant, quel que soit l'argument, il vaut mieux l'appuyer sur des sources et qu'on soit pour ou contre quelquechose, il faut faire de la lecture froide, et éviter la propagande. d'une certaine façon l’article en haut ne vaut pas mieux que la propagande contre et divise sans chercher de solution (et accessoirement il y a des raisons historiques à la pénalisation du cannabis qui expliquent bien mieux, sans tomber dans la thèse du complot)

autre point, ça peut paraitre hypocrite, mais pour bouger sur ce sujet il vaut mieux le faire avec l'appui des politiques et de la justice plutôt que de les mettre au ban.

ceci dit ayons de l'espoir, les mêmes qui ont lobbyisé le monde contre les drogues sont affaiblis aujourd'hui (pharma pour l'actualité la plus récente, je ne connais pas assez le sujet du coton pour parler de cette influence) ou matures sur ce thème (etats unis). il n'y plus qu'à inverser 40 ans de communication biaisée sur le sujet, et donc faire confiance aux autorités pour le faire, et les aider

Modifié par naywak
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en concurrence et anti sont deux choses différentes. et sur ce point précis, la lute s'est déplacée, c'est plutôt le monde asiatique qui est en concurrence avec les occidentaux aujourd'hui, donc les etats unis sont de plus en plus affaiblis eux aussi. ils vont bien finir par s'unir à nous :)

Modifié par naywak
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