Grumpy_Smurf 209 Posté(e) août 23, 2012 Partager Posté(e) août 23, 2012 (modifié) Salut, Ce n’est pas banal : l’Université de Gand veut étudier les motivations des cultivateurs de cannabis. Pour ça, elle a besoin d’eux. Qu’ils soient ou non toujours «actifs». «Cultiv (i) ez-vous du cannabis? Aidez-nous à générer une image objective et nuancée des cultivateurs de cannabis et contribuez à une meilleure politique, soutenue par la science, sur le cannabis» : c’est le message, passablement insolite, lancé par l’Université de Gand. Plus précisément par l’Institut de recherche sociale sur les drogues de l’UGent, qui amorce une enquête en ligne (anonyme), ouverte à tout citoyen âgé de 18 ans minimum pour peu qu’il cultive ou ait cultivé du cannabis. L’objectif est celui de la plupart des études scientifiques : objectiver des données. En l’occurrence, il s’agit d’approfondir les «tendances et les motivations des différents types de cultivateurs de cannabis». Pour quoi faire? Le raisonnement est le suivant. Si on a une meilleure perception de ce qui amène certaines personnes à se lancer dans ce genre d’activité, on disposera aussi d’une représentation plus nette du marché, «loin des préjugés et des stéréotypes», plaident les chercheurs flamands. Et dans la foulée, les décideurs politiques seraient ainsi mieux armés pour définir des stratégies et des priorités adaptées aux réalités du terrain. L’enquête belge est d’ailleurs commandée et financée par la Politique scientifique fédérale (Belspo). Enquête internationale : une première Par ailleurs, les scientifiques de l’Institut de recherche ne travaillent pas en solo. D’une part, ils collaborent avec la KUL et, d’autre part, l’enquête s’inscrit dans un cadre international. En effet, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne, la Finlande, le Danemark mais aussi les États-Unis, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande y participent également. Ampleur du phénomène, rôle des différents types de cultivateurs, contacts avec le marché de la drogue, consommation, impact de leur activité sur la société et, à l’inverse, impact de la politique en matière de stupéfiants sur leur activité, comparaison des données avec les autres pays participants, etc. Ce type d’enquête internationale est unique, soulignent les chercheurs belges. Ceux-ci veulent rassurer leur cible potentielle : aucun élément du processus de questionnaire online ne pourra mener à leur identification. L’anonymat et la confidentialité du traitement des données sont garantis par l’Institut. Les adresses IP ne sont pas enregistrées. Dernier détail : les participants ne sont pas rémunérés. Faut pas abuser non plus… Sources : L' avenir.net Article : https://www.lavenir.n...120822_00195049 Voila pour les belges qui souhaitent cultiver chez eux en toutes légalité ( certaines quantités limitées bien sur ) @++ Modifié août 23, 2012 par djnico 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites
manzion 425 Posté(e) août 24, 2012 Partager Posté(e) août 24, 2012 Hep's Faudrait lancer le même type d'enquête dans notre contrée désolée.....j'veux bien en être..... Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ayahuaska 3 501 Posté(e) août 24, 2012 Partager Posté(e) août 24, 2012 Hello, La belgique semble un peu plus ouverte d'esprit que la France. Hep's Faudrait lancer le même type d'enquête dans notre contrée désolée.....j'veux bien en être..... Je sais pas pourquoi mais en France, j'aurai un gros doute sur la réalité de l'anonymat... Lien à poster Partager sur d’autres sites
Grumpy_Smurf 209 Posté(e) août 24, 2012 Auteur Partager Posté(e) août 24, 2012 Yop, Je sais pas pourquoi mais en France, j'aurai un gros doute sur la réalité de l'anonymat... Je ne sais pas pourquoi mais moi aussi ^^ J' essaye de me renseigné sur cette idée mais je ne trouve pas grand chose, notamment sur les quantités autorisé, que faut il leurs faire parvenir et surtout sur l' anonymat Si vous avez des renseignement sur ça ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
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