Le cannabis comme sevrage à l’héroïne


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« J’étais accro à l’héroïne », déclarait hier à la barre du tribunal, le prévenu, 29 ans, avant de décrire l’enfer du sevrage. Le traitement de substitution protégerait de l’état de manque physique, mais ne serait pas efficace contre la dépression due à l’arrêt de la prise de drogue. D’où un fort risque de rechute.

 

Sûr de lui, le jeune homme poursuit : « Quand je fumais du cannabis, j’avais remarqué que je n’avais plus ces problèmes psychologiques ». Il se passionne alors pour ces plantes « à caractère pharmaceutique » : 29 pieds ont été découverts chez lui, ainsi que tout le matériel nécessaire pour sa précieuse culture.

 

Aujourd’hui, il déclare avoir tout arrêté et être totalement sevré (analyses fournies par son avocat).

 

Le jardinier en herbe a été condamné à 4 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve.

 

 

4 mois de prison avec sursis pour avoir voulu se débarrasser d'une addiction à l'aide d'un produit naturel qui marche contrairement aux produits synthétiques qui coûtent autant au patient qu'à la société.

 

Logique...?

 

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