killruana 1 Posté(e) juillet 30, 2004 Partager Posté(e) juillet 30, 2004 Je voulais savoir si quelqu'un c'est comment on fabrique de l'encent (en baton) a la weed. Et est-ce que sa défonce ou sa parfume juste ??? Lien à poster Partager sur d’autres sites
WEEDY-the-cowboy 5 Posté(e) juillet 30, 2004 Partager Posté(e) juillet 30, 2004 Ca existe deja je crois . le knapster il me semble . Lien à poster Partager sur d’autres sites
jeancloddus 3 Posté(e) juillet 30, 2004 Partager Posté(e) juillet 30, 2004 weedy a raison voila le lien Lien à poster Partager sur d’autres sites
jeancloddus 3 Posté(e) juillet 30, 2004 Partager Posté(e) juillet 30, 2004 petite doc sur l encens et son mode d elaboration L'encens en résine et son charbon ardent... Originellement l'encens n'est en fait que la résine produite par un petit arbre de la famille des térébinthacées (Burséacées), le Boswelia sacra. Par extension cette dénomination d'encens s'étend à d'autres résines pures comme l'oliban (Boswelia thurifera), la myrrhe (Commiphora molmol, Commiphora abyssinica), le benjoin (regroupant plusieurs résines comme le benjoin du Siam (Styrax Benzoin), le benjoin de Sumatra (Styrax oppoponax), le benjoin du Vietnam (Styrax Tonkinense), le benjoin de Chine (Styrax sinense)... ) et également à la résine de Balsamodendron opobalsamum et Gileadense ainsi qu'à la résine de Commyphoro opobalsanum connues autrrefois, en parfumerie, sous la dénomination de Baume de la Mecque, Baume de Judée ou Baume de Giléad. De tous temps, l'encens désignait donc une résine aromatique dont le parfum s'exhalait lors de sa combustion lente (insense). Cet encens, en fonction de sa provenance pouvait, et peut encore, se composer de ces diverses résines habilement mélangées ou utilisées pures. Le mode de combustion le plus habituel et le plus traditionnel consiste donc à déposer cette ou ces résines sur un charbon ardent ou, éventuellement, sur une pierre chauffée jusqu'à incandescence. L'art du parfumeur et sa connaissance des différentes résines lui permet, grâce à une infinité de mélanges subtils, de doser cet encens en fonction de son utilisation et de sa destination. En Chine, par exemple, on distinguait six sortes de mélanges d'encens... le tranquille, le reclus, le luxueux, l'esthétique, le raffiné, le noble. Il est donc fort possible de concevoir un mélange propice à la méditation, un autre favorable à un travail intellectuel, un susceptible de purifier un lieu, un permettant de favoriser le sommeil ou au contraire la veille, un propice aux cérémonies religieuses ou civiles, un destiné à la consécration d'un rite, un capable d'éveiller les désirs... Tout est simplement fonction du dosage. Le benjoin passe pour " fixer l'esprit " et accroître la concentration, la myrrhe, au contraire est plus sensuelle tandis que l'oliban est réputé pour son caractère mystique et, donc, plus utilisé pour les cérémonies à caractère sacré. Ce même parfumeur peut, également, adjoindre à ces résines des essences aromatiques ou même des plantes odoriférantes qui soulignent ou accroissent les particularité de chaque mélange. Les amateurs d'encens sous forme de résine apprécieront donc tant des mélanges harmonieux résultant du savoir faire d'un parfumeur ou, plus simplement, des encens traditionnels en provenance de divers sites de production et correspondant à un état d'esprit particulier. Jadis et encore souvent maintenant ces encens naturels étaient très souvent produits, récoltés, préparés, mélangés par diverses congrégations religieuses, de toutes tendances et de toutes confessions, qui les utilisent dans certains de leurs offices. On peut donc trouver, par exemple, de l'encens bouddhiste tibétain, de l'encens bouddhiste indien, de l'encens bouddhiste japonais, de l'encens bouddhiste thälandais... qui possèdent pour chacun d'entre-eux des particularités spécifiques souvent en rapport avec les différentes aspirations de cette même religion. Ce qui est vrai pour le bouddhisme l'est également pour le catholicisme ainsi que pour les autres... et un encens " orthodoxe " ne sera pas semblable à un encens " progressiste " ! L'intérêt des parfumeurs est souvent de savoir adapter au mieux ces encens classiques à une autre utilisation que celle prévue par les religieux. Il est facile de comprendre qu'un encens destiné à un grand cérémonial d'enterrement ne conviendra pas tout à fait pour parfumer son salon avant la visite d'amis bons vivants. Le fait de brûler de l'encens sur des charbons ardents confère toujours à celui-ci un sens du rituel que ne possèdent pas les baguettes... Il convient, également, de savoir doser les grains de résine faute de se retrouver dans un brouillard impénétrable ou de voir les voisins appeler les pompiers. Mais, avec un peu d'habitude il s'agit là de l'encens des vrais connaisseurs que rien ne pourra remplacer. Il y a le même rapport entre l'encens en grains et l'encens en baguettes ou clous fumants qu'entre le thé en feuilles et le thé en sachet. Les encens en baguettes ou en clous combustibles Les Asiatiques étant des gens fort pratiques et inventifs, ils recherchèrent depuis des siècles le moyen d'utiliser l'encens avec le moins de contraintes surtout lorsqu'il s'agit d'une utilisation commune ne nécessitant pas une implication par trop officielle. Ils continuent donc à utiliser l'encens en grains lors de la plupart des grandes cérémonies mais préfèrent souvent, pour plus de commodités, l'usage de baguettes, de spirales ou de clous fumants. Il s'agit également d'une mesure économique bien compréhensible... on veut bien honorer journellement les Dieux, les Ancêtres, les temples et les sanctuaires, les tombeaux et autres lieux consacrés mais on ne peut pas y consacrer toute sa fortune. Il était donc tout à fait naturel, sinon normal, de trouver le moyen le plus efficace de restreindre le coût de production et surtout d'utilisation de l'encens. La résine d'encens (oliban, benjoin, myrrhe... ) est donc broyée très finement puis mélangée à un support combustible de manière à obtenir une fumigation plus ou moins lente. Ce support combustible peut être constitué de diverses matières... sciure très fine de bois, charbon de bois pilé, plantes séchées et réduites en poudre (armoise, sauge... ) mélangées à du nitrate de potasse pour entretenir la combustion. Ce support étant, par définition, plus ou moins poreux il est possible d'adjoindre également des essences parfumées ou des parfums de synthèse. Afin de maintenir la cohérence du mélange surtout lorsqu'il s'agit de baguettes, on utilise des tiges végétales de bambou ou d'achilée. La taille et la forme de ces " supports " varient considérablement puisque ils peuvent consister en d'énormes serpentins pesant jusqu'à près d'un quintal, utilisés dans de nombreux temples en Chine, au Japon ou en Inde, jusqu'à des baguettes épaisses de quelques millimètres et très fragiles en passant par des clous fumants de la forme d'un cône et de la taille d'une orange, d'une noix, d'une noisette ou d'un petit pois... Il va sans dire que ce mode de fabrication, au demeurant très traditionnel, permet, malheureusement toutes les falsifications... et, parfois, le bâtonnet à brûler n'a d'encens que le nom puisqu'il se compose d'un support neutre imbibé de parfum de synthèse à bon marché. Il est vrai que, pour un non connaisseur, le véritable encens en baguette ou en cône n'est pas aussi flatteur qu'une espèce parfumée industriellement. Une fois de plus, le parallèle avec le thé s'impose... Un thé brut de la meilleure qualité, fut-ce une espèce des plus rares, nécessite pour l'apprécier pleinement un certain effort souvent lié à un fait culturel... alors qu'un vulgaire thé parfumé à l'essence artificielle de fruits ou de fleurs flatte et surprend le palais plus habitué à des boissons industrielles... S'agit-il encore de thé ? Pour les vrais amateurs ce serait un crime que de simplement le préparer dans leur théière destinée aux grands crus. Malgré tout, certains producteurs, souvent des artisans, produisent des baguettes et des cônes très honorables. Les cônes japonais sont, ainsi, très réputés, faciles d'utilisation, et permettent de parfumer très agréablement une pièce ou un lieu de pratique. Ces encens de bonne qualité portent bien souvent la mention " essences naturelles " ... malheureusement le plus souvent en chinois, japonais, sanscrit ! Le fait que soit indiqué sur le paquet " Encens naturel " est déjà un bon point. Concernant les fameuses baguettes, ou bâtonnets, il convient encore de savoir que tant en Chine, au Japon, en Corée, au Vietnam... donc dans les pays ayant subi une influence culturelle ou religieuse issue de Chine... qu'on les utilise en nombre impair à moins qu'il s'agisse d'une offrande mortuaire où ils sont brûlés en nombre pair. [edit]ca fait un peu long quand on a fumer!!!!mais c tres interessant MORALITE: ACHETE LE CE SERA PLUS SIMPLE!!! Lien à poster Partager sur d’autres sites
jeancloddus 3 Posté(e) juillet 30, 2004 Partager Posté(e) juillet 30, 2004 et voila la composition des encens pour la magie blanche(je mecarte un peu du sujet mais un peu de culture generale ne fait pas de mal) Comment fabriquer les encens magiques pour vos cérémonies ? Dans toute pratique de magie blanche, il faut toujours utiliser l'encens approprié à la cérémonie, pour que celle-ci fonctionne et porte ses fruits. En général, dans la fabrication de ces encens magiques, on utilisera comme base de l'encens commun, (c'est-à-dire l' Oliban) associé à diverses plantes séchées aux vertus magiques que l'on trouvera chez les herboristes ou dans la nature. Cet encens, une fois bien mélangé, sera ensuite consumé sur des petites pastilles de charbon incandescent que l'on peut se procurer dans les magasins ésotériques. Avant de commencer une cérémonie de magie blanche, il faudra toujours commencer par purifier votre corps dans sa fumée, débarrassé de tout bijou et de tout vêtement. Ensuite, remettez vos vêtements et continuez à faire brûler cet encens durant toutes la cérémonie magique. Recette des sept encens : 1- Encens pour provoquer l'amour : une part d'encens commun, une part de verveine séchée et une part de pétales de roses séchées. 2- Encens pour attirer la chance : une part d'encens commun, une part de millepertuis séché et une part de lavande séchée. 3- Encens contre les envoûtements et les mauvais sorts : une part d'encens commun, une part de quintefeuille (potentie) séchée et une part de menthe séchée. 4- Encens pour invoquer les esprits : une part d'encens commun, une part de coriandre séchée et une part de persil séché. 5- Encens pour augmenter vos pouvoirs magiques : une part d'encens commun, une part de racine de Mandragore séchée et une part de fleur de pavot séchée. 6- Encens pour développer son troisième oeil et ses dons de voyance : une part d'encens commun, une part de feuille de laurier séchée et une part de clou de girofle. 7- Pour qu'une personne lointaine pense à vous et vous contacte : une part d'encens commun, une part de musc séché (graines d'ambrette) et une part de plumes de pigeons en morceaux. * Il existe une multitude d'autres encens, mais je vous ai donné ici les recettes les plus utilisées en magie blanche... voilou ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
jeancloddus 3 Posté(e) juillet 31, 2004 Partager Posté(e) juillet 31, 2004 un autre lien pour acheter de l encens chanvre ICI Lien à poster Partager sur d’autres sites
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