dawi 544 Posté(e) juin 8, 2010 Partager Posté(e) juin 8, 2010 Dunhuang – Report trip 1 L’oasis, les chameaux et les grottes pluricentenaires… Au beau milieu du désert de Gobi, à une longue nuit – ou plus, ca dépend, forcément – de train des premières villes importantes, on trouve un oasis un peu particulier, Dunhuang. Particulier par ses dimensions, tout d’abord, on est loin de l’oasis « palmier-plan d’eau » de notre imagination enfantine, il s’agit une ville bien développée, notamment grâce à l’argent du tourisme. Particulier surtout par son histoire, intimement liée à celle de la Route de la Soie, qui reliait l’Europe à l’Empire du Milieu. Dans les falaises friables situées dans le désert environnant, les riches familles, souvent commerçantes, sont venues ici dès le quatrième siècle creuser des grottes consacrées à la religion bouddhiste, émergente dans les premiers temps. Le site le plus important s’appelle Mogao Ku, les grottes de Mogao, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco en 1987. 1- L’histoire des grottes de Mogao Site en 1900 Peu après notre arrivée, nous avons dirigé notre visite vers ce haut lieu du bouddhisme asiatique. 5 étages sur 1.6km de long, environ 500 grottes, la portion la mieux conservée se visite sous la férule d’une guide (anglophone, de surcroit) passionnée, ouverte et incollable. Jusqu’à 18 monastères furent simultanément en activité. La période couverte correspond à 16 dynasties, les principales étant les Wei du nord et de l’ouest, les Zhou, les Sui, et surtout les Tang, célèbres pour leur maitrise artistique ainsi que le nombre de grottes qui leur est attribué. Portion de muraille, chaque porte correspond à une grotte familiale. Les murs fragiles ont été solidifiés pour éviter l’effondrement de la falaise. Ce fut non seulement un lieu de recueillement et d’offrandes, mais également de travail avec des traductions de sutras, des bibliothèques, des librairies. Sutra du diamant. L’évolution est assez nette d’une dynastie à l’autre, depuis les premières grottes aux représentations très indiennes jusqu’aux dernières grottes véritablement dotées du style bouddhique chinois. Le brassage très important du aux caravanes a produit une mixité qui se retrouve jusque dans les œuvres Fresque du IXe siècle représentant des personnages fréquentant Dunhuang issus de diverses origines géographiques : Chine, Asie centrale, Tibet, Iran... Ces grottes nous sont parvenues grâce à l’isolement géographique dont elles ont bénéficié, tout aussi bien pendant la persécution du bouddhisme en 845 que lors de la révolution culturelle : trop loin, trop cher. 2 – Quelques grottes Dynastie Wei : Grotte 285, Wei de l’Ouest (535-556) Dynastie Sui : Grotte 427 Dynastie Tang : Grotte 328 : le Bouddha Sâkyamuni entouré d'Ananada – le sage - (à gauche) et Mahâkasyapa – celui qui a souffert -(à droite) et de deux bodhisattva (au premier plan). On ne voit pas les trois autres statues, originellement quatre mais dont une fit partie d’expédition vers l’Europe ou les USA. 3 – Le cas très particulier de la grotte 17 Cette fameuse grotte 17 a été (re)découverte il y a un peu plus de cent ans, par hasard. Wang Yuanlu, gardien du site, en nettoyant le sable entré dans la grotte 16, se rendit compte qu’un des murs sonnait creux. Il creusa et mit à jour l’une des plus belles collections de manuscrits et d’imprimés au monde. Cette grotte de très petite dimension, scellée au XIeme siècle servait de lieu de stockage, pour des raisons encore discutées. Photo d’Aurel Stein, 1907. On aperçoit sur la droite l’entrée de la grotte 17, au fond, la grotte 16. Bons nombres de manuscrits sont déjà hors de la pièce lors de cette photo. Ces documents inestimables et pour la plupart uniques ont été rapidement l’objet de l’intérêt d’expéditions européennes, notamment française et anglaise en les personnes de Paul Pelliot et Marc Aurel Stein qui se servirent très largement, en premier et à un prix dérisoire. Wang vendit ces documents pour continuer à remettre en état le site. Pelliot étudiant les manuscrits. L’expédition d’Aurel Stein (au centre). Une grande partie de ces trésors se trouve désormais aux quatre coins du monde : Paris (musée Guimet), Londres, Saint-Pétersbourg, New Delhi, Pékin, Shanghai, Tianjin, ainsi qu’au Japon… Pour en savoir beaucoup plus sur les grottes de Mogao. 4 – Le désert de Gobi A Dunhuang il est également possible de louer les services d’un chamelier, pour une durée et un prix à déterminer ensemble. Un peu juste sur le weekend, nous n’avons pas pu passer la nuit dans le désert, à notre grand regret. Cependant, la longue promenade après-midi + soirée restera un moment unique. Quelques photos pour illustrer. Entre l’oasis et le désert, la vallée des tombes. Notre guide derrière FangFang à gauche et LingLing à droite. On a assisté à la tonte juste avant de partir, c’est pour ca qu’ils ont l’air un peu dépoilés… 5 – L’oasis du croissant de Lune Avec un peu de motivation, on peut s’y rendre pour le lever du soleil, avant que la meute de touristes chinois ne débarque. Meute, le mot est assez faible, pour décrire une foule hurlante, envahissante, qui se permet de jeter tout et n’importe quoi dans les dunes, dans l’eau, malgré la disposition de très nombreuses poubelles. Qui n’a pas fait de tourisme en Chine n’a pas le droit à la contradiction, c'est tout :-D. Bref, passé 6h30, vous êtes mieux calés en haut des dunes environnantes à profiter du lever du soleil qui vient vous réchauffer progressivement à profiter de la vue magnifique que dans la masse grouillante. Le site reste magique. Voilà pour ce petit trip report, nous sommes également passés par les grottes de XiQian Fodong, beaucoup moins bien conservées que celles de Mogao, mais dans un oasis surprenant, dans une crevasse en plein désert. En espérant que ce petit reportage vous aura plu, Source et infos supplémentaires : - Universite du bouddhisme - Lien Wapedia - Digital Silk Road project 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites
asuma 17 Posté(e) juin 8, 2010 Partager Posté(e) juin 8, 2010 Salut Dawi! Je te remercie pour nous avoir fais partager ce trip dans le désert de gobi ! C'est magnifique!!! Puis j'adore la signature du maitre: @ bientôt, Lien à poster Partager sur d’autres sites
ganeshivas 52 Posté(e) juin 8, 2010 Partager Posté(e) juin 8, 2010 Salut Dawi, je rejoint asuma, pour te remercier de cette merveille, qui joyeurise(pas très français ça) ma matinée!!! Un peu d'histoire en même temps, que demander de plus!!! BIG UP !! Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) juin 8, 2010 Partager Posté(e) juin 8, 2010 Bonsoir à tous, Très sympathique cette ballade dans le désert de Gobi...je m'y suis presque cru à un moment ! peut-être trop de fume aussi.... Tes tofs sont magnifiques ; encore une région qui me reste à découvrir : l'Asie. Donc un big up à toi. Fais-nous encore rêver ! Thanks :-D Lien à poster Partager sur d’autres sites
dawi 544 Posté(e) juin 10, 2010 Auteur Partager Posté(e) juin 10, 2010 Salut Asuma, Ganesh et oilo, merci de votre passage et de votre lecture :wink: C'est effectivement un endroit hors sentiers battus (et rebattus), hors du classique "muraille-guerriers enterres-shanghai" que tous les groupes font obligatoirement. Il y a pas mal de choses comme ca dans ce grand pays, qui represente quand meme 18 fois la France en superficie... Merci encore pour vos commentaires, A+ Lien à poster Partager sur d’autres sites
dawi 544 Posté(e) juin 18, 2010 Auteur Partager Posté(e) juin 18, 2010 Langmusi et la vie nomade – Report trip 2 Sise entre la province du Gansu et la province du Sichuan, en zone tibétaine et à 3300m d’altitude – accroche tes poumons, Langmusi vit au rythme de ses deux grands monastères et de la vie nomade. D’autant plus idéal qu’il n’a pas encore été ajouté aux itinéraires des agences de voyage chinoises. On peut louer en ville des chevaux et un guide afin de découvrir les montagnes hors des routes – et même hors des sentiers la plupart du temps – et rejoindre un camp nomade pour partager brièvement leur vie. Une vie qui gravite autour de quelques principes : la communauté, l’harmonie avec la nature, et la bouse de yak. Mais pas que. 1- Les monastères tibétains De chaque coté de la rivière du Dragon Blanc, qui sépare les deux provinces, se font face ces deux monastères. Vastes, composés de plusieurs bâtiments religieux, d’habitations, de parcs, ils ont chacun leur personnalité, même s’ils sont assez similaires dans les grandes lignes. Ces deux monastères ont été détruits pendant la révolution culturelle et rebâtis vers 1980. 1.1. Sertri Gompa Gompa veut dire monastère, alors je vais essayer d’éviter de pléonasmer avec « le monastère de Sertri Gompa ». Et merde... Coté Gansu, ce monastère à flanc de colline de taille relativement réduite, a été fondé en 1748. Il regroupe aujourd’hui environ 400 moines. Son nom veut dire « siège d’or », joliment illustré par les toits resplendissant des bâtiments de culte. Bâtiments religieux et habitations La particularité de ce monastère est sa colline « sky burial », c’est-a-dire enterrement céleste. Il faut savoir que les tibétains ne se font pas enterrer ni incinérer, leurs corps sont déposés sur des collines afin de servir de nourriture aux oiseaux qui les emportent ainsi dans le ciel. Communément, le corps est découpé au préalable. Le bouddhisme prêchant la réincarnation explique ce peu d’intérêt porté à la préservation du corps. Il est aussi bien laissé aux oiseaux qu’aux animaux. Cependant, la plupart du temps, de nombreux vautours gravitent autour de ces collines. La mention la plus ancienne de cette pratique date du 12eme siècle. Il est censément interdit de photographier ces collines, même si de nombreuses personnes le font. Pour en savoir plus : – Wikipedia anglais, sky burial. – La protection des enterrements célestes – Un reportage photos très explicite sur l’enterrement céleste, âmes sensibles… 1.2. Kirti Gompa Plus vaste et plus ancien, ce monastère a été fondé au 15eme siècle et abrite plus de 1000 moines. Il fait face au précédent, et se situe dans la province du Sichuan. Ici les toits sont principalement argentés, les habitations plus nombreuses. Après avoir traversé le monastère, on débouche dans une gorge aux flancs abrupts d’où s’écoule une rivière paisible. Lors des cérémonies, les tibétains jettent en l’air des « chevaux de vent », prières traditionnelles imprimées sur de petits carrés de papier. Donc non, ce n’est pas de la neige. Jeunes moines jouant devant un temple Pierres sacrées, temples et moulins à prières (sous le long toit à droite). Pour en savoir plus : – Cheval du vent 2- La vie nomade Dans cette région, plus encore que le bouddhisme est l’importance de la vie nomade. Nous sommes ici en région Amdo, hors de l’autorité du Tibet depuis plus de deux siècles, mais néanmoins profondément liée par ses traditions. Dans les montagnes, de très nombreux nomades Amdo montent et démontent leurs camps selon les saisons. En louant un cheval, il est possible partir à la découverte de la vie quotidienne de ces familles. Ascension des montagnes aux paysages « seigneur-des-anneaux-esques » La tente de la famille qui va nous héberger. L’inévitable moto qui permet aujourd’hui d’avoir beaucoup plus de contacts avec les sédentaires. Au premier plan à droite, la bouse de yak quasiment sèche. Le spot cuisine/chaudière de la tente. Nous arrivons donc au campement, cinq tentes pour autant de familles. Ce campement sera bientôt abandonné pour des alpages plus haut encore, on est pourtant pas très loin des 4000m d’altitude ici, pour les mois de juillet et d’aout. Les tentes sont tissées en poil de yak, et partiellement renouvelées chaque année. Par ce lent processus, au bout de vingt ans environ, la tente est entièrement refaite. Nota bene : La tente n’est pas étanche. La vie quotidienne des nomades est rude, notamment pour les femmes qui assurent la majeure partie du travail quotidien. Les hommes sont surtout chargés de protéger les troupeaux de yaks et de moutons, même s’ils ont de plus en plus tendance à rejoindre la ville la plus proche pour taper le carton entre potes pendant que les femmes tiennent la baraque… La nuit ils font des rondes pour protéger les bêtes – et nous aussi un peu on est dans les tentes quand même – des loups. Le programme quotidien des femmes est chargé. Elles se lèvent dès 3-4h pour traire les yaks qui dorment au beau milieu des tentes. Il faut également qu’elles apportent de l’eau de la rivière dans de gros bidons – communément 50 litres – sur leur dos. La traite, sans tabouret. Le petit veau est utilisé pour faire venir le lait plus facilement. Le lait est rapidement mis à chauffer pour en faire du beurre et du yaourt. Qui n’a jamais senti du beurre de yak ne connait pas son bonheur, ca sent très très fort le rance. C’est avec le beurre de yak que les bougies des temples tibétains se consument, ce qui donne aux dits temples cet arome enchanteur de vomi froid. En revanche le yaourt n’est pas mauvais, comme quoi… Pour tout avouer, en me réveillant vers 6h, le lait était déjà en train de chauffer et une partie du yaourt faite. Il ne restait plus que quelques yaks à traire… Alors que je pensais être debout aux aurores… Le lever du soleil, qui correspond avec le mien. On est très proche, tous les deux. Ensuite, les bêtes sont relâchées vers leurs alpages et commencent les taches moins ragoutantes. Il faut ramasser les bouses, puis les étaler au soleil, afin qu’elles sèchent dans la journée et reconstituer la réserve de combustible. Ramassage des bouses à la pelle d’un coup rapide pour les envoyer dans la corbeille sur le dos. Faut pas se rater… Etalage à la main des bouses. Ce sont ces mêmes mains, à peine passées dans de l’eau claire, qui moucheront les gosses – sans mouchoir, trairont les bêtes et malaxeront la farine et l’eau pour ensuite confectionner les nouilles à la main. Les bouses peuvent également servir comme base de torchis ou pour l’isolation de maison en ville. Il faut également tisser les poils de mouton pour en faire du fil ou des cordages. Assez impressionnant, la base du fil est faite à deux, à la main, à partir de laine en provenance direct des moutons, puis des pelotes de laine vierge sont ajoutées comme on peut le voir. Le tout passe dans une boite en bois à manivelle où le tout est étiré et la corde sort plus épaisse. Malgré la fragilité de la pelote, une fois en place c’est très résistant… Tout au long de la journée, elles devront également préparer les repas, remuer la bouse pour qu’elle sèche, laver le linge à la rivière… Environ 1h30 avant la tombée de la nuit, vers 19h30, il faut aller chercher les bêtes dans la montagne pour les ramener au camp. Et il ne s’agit pas de trois yaks et quatre moutons : Ensemble des bêtes qui dormiront entre les tentes. Chaque bête est attachée le long d’une corde, afin de faciliter la traite du lendemain. En attendant, chaque yak vaque (à répéter très vite). Il faut plus de deux heures pour aller chercher les bêtes et les attacher. A cette heure-ci, les chiens tibétains qui ont dormi toute la journée entrent en piste pour protéger le camp. Ils sont capables d’égorger à peu près toutes les sortes de bêtes qui peuvent menacer le troupeau, notamment nous les étrangers. Après avoir gentiment voulu ramener un yak qui s’était éloigné, j’ai du piquer un bon sprint pour regagner le centre du campement et échapper au seul chien qui n’était pas attaché, sous les cris des nomades qui disaient au chien d’arrêter, en gros. Ca m’apprendra à vouloir rendre service ! La nuit, on t’indique précisément jusqu’où tu peux aller pour te soulager, au-delà c’est le territoire des chiens. Malgré la barrière de la langue – les nomades ne parlent pas chinois – j’ai très bien compris ! NB. Quand je parle de chiens tibétains, ce sont les tibetan mastiff apparemment. Une recherche Google rapide présente des chiens « à sa mémé » avec le mot « tibétain » dans leurs noms. C’est seulement une fois toutes les bêtes attachées que la préparation du diner commence. Il finira environ vers 23h. Pour en savoir plus : – Wikipedia Amdo – Tibetan Horse Trekking, le site du seul loueur de chevaux de la ville. – Chiens tibétains Tous les liens de l’article : – Wikipedia anglais, sky burial. – La protection des enterrements célestes – Un reportage photos très explicite sur l’enterrement céleste, âmes sensibles… – Cheval du vent – Wikipedia Amdo – Tibetan Horse Trekking, le site du seul loueur de chevaux de la ville. – Chiens tibétains 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites
filouu 10 Posté(e) juin 18, 2010 Partager Posté(e) juin 18, 2010 Salut ! C'est tres sympa a toi de prendre le temps de tout nous envoyer, je trouve ca super instructif, et immersif ! Merci beaucoup pour ces reports, j'ai particulierement aimé celui avec les nomades, tres intéressant et folklorique, ca doit vraiment etre génial de passer du temps avec ces gens, et te faire reflechir beaucoup, pour mieux profiter de sa condition après. Un super voyage en gros, avec pleins de découvertes ! C'est génial pour toi, et en plus, y'a plein de super photos, des oasis, grottes, paysages. Merci beaucoup de nous consacrer un peu de ton temps pour nous partager tout ca =) Ciao ! Lien à poster Partager sur d’autres sites
ganeshivas 52 Posté(e) juin 18, 2010 Partager Posté(e) juin 18, 2010 Salut Dawi, et bien!! encore une merveille!! Merci encore pour cette super aventure... J'adore toutes les petites précisions, qui nous en apprend plus sur leurs histoires et quotidien, franchement intéressant. Dit-donc... tu sais que t'as beaucoup de chance de vivre de si belle aventure??? hein!! MR N'hésite pas à continuer tes voyages, histoire de nous faire rêver... à plus Lien à poster Partager sur d’autres sites
asuma 17 Posté(e) juin 18, 2010 Partager Posté(e) juin 18, 2010 Hello Dawi, Hé bin dit moi, que de beaux temples, paysages que tu nous remmènent là!!!! Ça fait un bien fou au corps et à l'esprit de partir en trip comme tu le fais! A très bientôt l'chinois Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) juin 19, 2010 Partager Posté(e) juin 19, 2010 Salut Merci Dawi de nous faire partager. . Lien à poster Partager sur d’autres sites
mrpolo 7 743 Posté(e) juin 19, 2010 Partager Posté(e) juin 19, 2010 Salut Dawi grand sage oriental J'ai adoré ces visites des temples gompas^^ pléonasme lol et le squat chez les nomades... bien sympa pour le beurre de marrakech ça marche aussi avec le beurre de yak^^ Merci pour ce report photo superbe amitiés Polo Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité styki Posté(e) juin 19, 2010 Partager Posté(e) juin 19, 2010 Bonjour dawi, Super intéressent:supair: Je ne connaissais pas les enterrements céleste, et ben,c'est vachement hardcor,pour nous,qui ne sommes pas habitués,à ce genre de cérémonie. merci,tchao;-) Lien à poster Partager sur d’autres sites
filouu 10 Posté(e) juin 19, 2010 Partager Posté(e) juin 19, 2010 Re, et au fait, c'est ta moto ? Ca doit vraiment etre un pied monstrueux d'arpenter les steppes dessus ! Lien à poster Partager sur d’autres sites
dawi 544 Posté(e) juin 22, 2010 Auteur Partager Posté(e) juin 22, 2010 Salut a vous, Merci de vos passages par ici : filouu, ganesh, asuma, asta, polo et styki, ca fait plaisir :-D pour le beurre de marrakech ça marche aussi avec le beurre de yak ca m'etonne pas de toi mon Polo' date=' en plus comme ils font bien chauffer longtemps le lait, on pourrait mettre tout ca la-dedans et se faire beurre, yaourt et lait, la totale !!! M'enfin je te laisse tester le beurre de yak d'abord avant qu'on se lance dans une exploitation de grande ampluer :-D Re' date=' et au fait, c'est ta moto ? [/quote']Non, non c'est la moto des locaux, nous on a parcouru les grands espaces a cheval, le pied est encore meilleur quand tu sais que tu te deplaces sans pourrir les milieux que tu visites !!! Merci encore a vous, J'ai rien de prevu d'ici l'ete, mais je vais peut-etre replonger dans mes archives de trip pour trouver quelques autres places, si j'ai le temps, la ca se bouscule un peu :-D Bisous kitchous les loulous !!! Lien à poster Partager sur d’autres sites
book 0 Posté(e) décembre 8, 2010 Partager Posté(e) décembre 8, 2010 MAGNIFIQUE!!! pas d'autre mot me vienne à l'esprit Lien à poster Partager sur d’autres sites
filouu 10 Posté(e) décembre 8, 2010 Partager Posté(e) décembre 8, 2010 En voila un déterrage qu'il est judicieux ! Lien à poster Partager sur d’autres sites
wolfen01 38 Posté(e) décembre 8, 2010 Partager Posté(e) décembre 8, 2010 slt magnifique résumé de ce voyage ca me rappel un peu l'émission sur fr2(rendez vous en terre inconnue) ou l'animateur amené un invite/star dans des aventure pareil rendez vous en terre inconnue-bruno solo-mongolie j'avais aime ca surtout celle avec Bruno solo sinon,t'es photo me font rêvé,de repartir en voyage,mais moins possible depuis que mon fils est née on attend qu'il aille quelque année de plus pour partir avec lui 3 ans c'est encore trop jeune ++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
filouu 10 Posté(e) décembre 8, 2010 Partager Posté(e) décembre 8, 2010 C'était pas ironique, bien au contraire ! Ca fait plaisir de voir ce genre de topic remonter, Dawi s'est visiblement fait bien chier à le faire, et y'a pas énormement de commentaires alors... Lien à poster Partager sur d’autres sites
dawi 544 Posté(e) décembre 10, 2010 Auteur Partager Posté(e) décembre 10, 2010 Tiens, y a eu du passage par ici, Salut les gars Salut book, filouu et wolfen01, sympa d'etre passe lire ces reports. T'inquietes pour les commentaires filouu, c'est pas le plus important. wolfen01, effectivement avec un bzoz, deja c'est plus dur de voyager, et partir vivre avec les yaks c'est pas forcement le programme reve Vous m'avez rappele ce topic, je vais ptet fouiller mes archives pour voir si j'ai pas moyen de le continuer. Merci du passage, A + Lien à poster Partager sur d’autres sites
avalweed 1 Posté(e) décembre 10, 2010 Partager Posté(e) décembre 10, 2010 Salut Dawi, Je viens de découvrir ton trip report' et franchement cool qu'il est été déterré,comme ça j'ai pu en profiter. Cela doit vraiment apaisé son âme de partir dans des endroits comme ça et de s'immerger dans la population locale... J'espère pouvoir en faire autant quand cela sera possible! Bien a toi. A+++ Lien à poster Partager sur d’autres sites
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