ne poster que sur FB ne rend pas la chose plus visible, au contraire !
Publié le: 29 juillet
Je viens de voir que notre ami Olivier Asteggiano vient d’entamer une procédure en déposant plainte pour "non assistance à personne en danger", dommage que ce soit seulement sur le réseau social (de la flicaille déguisée) qu’on en trouve trace... parce que sur Internet, mieux vaut rendre cette information disponible, tandis qu’ailleurs cela se perd dans le néant.
Donc pour la postérité, mais aussi pour que chacun puisse disposer de cette information, sans avoir à être l’ami d’untel ou le membre de telle cause ou groupe, voici la photo diffusée pour preuve du dépôt de plainte.
Mais à sa lecture, j’ai un autre commentaire à faire.
Drogues dures vs drogues molles
Ce n’est pas de la provocation, sauf à repenser le monde dans lequel les mensonges et l’hypocrisie de la politique de prohibition nous enferme. A quand les cures de désintoxication mentale ? Est-on assez intelligent pour comprendre que le distingo "drogues dures" est illusoire, voire factice sauf pour de facto considérer qu’il existe des "drogues douces ? Il n’y a pas pire message de "prévention", que de tout mélanger dans des catégories inexistantes, puisque le réel ne distingue qu’entre licite et illicite !
Un bémol important à mon sens pour ne pas perdre de vue que, si la drogue "dure" existe, et bien c’est d’abord l’alcool (et si il existe une drogue encore plus dure qu’on me le précise, en oubliant l’argent/fric/pognon, juste en parlant de substances modifiant les sensations physiques et mentales)... Allez pour faire plaisir aux défenseurs du cep de vigne, il y a sans doute une plante (la datura) plus dangereuse que l’alcool (qui n’est qu’un sous-produit de décomposition organique).
En tout cas, la morphine est celle qui sauve des vies quand la douleur est trop intense, mais qui rend très vite dépendant et dont le dosage doit être précis parce qu’il peut être létale (par overdose comme pour l’alcool !).
Alors oublions cette distinction sans fondement réel (un mensonge de plus véhiculé par la prohibition pour nous diviser)... ou alors considérons que les drogues "dures" ne sont que des drogues licites (alcool, tabac, jeux), et que pour les drogues illicites, il peut y avoir des usages "doux" et "durs" de substances psychotropes classées comme stupéfiants.
Par Farid
Source: CSF