Le palissage sert à maximiser la quantité et la taille de têtes en éclairant une tige sur sa longueur et non plus sur son sommet. En effet, la courbure des branches permet à la lumière d'atteindre de manière optimale les têtes situées sous l'extrémité de la tige.
Pratique :
Le matos :
- Cordelette
- Des pierres
Les étapes :
Ont peut palissé quand la branche centrale commance à devenir un tronc, c'est à dire le 4e ou 5e étage. Il faudra faire des nÅ“uds boucles autour du tronc.... Il faudra utiliser une corde ou une ficelle assez epaisse afin qu'elle n'entaille pas le tronc! Vous fixerez l'autre coté des cordelettes au sol avec des pierres. Si le plant continue à pousser en hauteur, vous le plierez alors de nouveau délicatement et ainsi jusqu'à e qu'il ait la forme voulue.
Quand vous attachez et que vous tirez une branche ou même le tronc, il ne faudras surtout pas tirer trop fort (racourcissez la ficelle de quelque centimetres chaque jour).
En effet, dans le cas ou vous tirez trop fort, vous aller casser la branche (comme sur la photo).
Les avantages :
En exterieur :
Plus discret puisque il est couché
La sève arrive plus rapidement aux tetes
Dans les endroits bien ensoleillé la plante aura de la lumière sur toute sa surface
En interieur :
Couvrir un maximum de surface dans le placard sans avoir à couper.
Le palissage est une tres bonne alternative à utiliser quand on a peut de plants femelles dans un placard afin d'optimiser la production de fleurs. 5 commentaires En savoir plus… ›
Une explosion causée par les émanations de naphta utilisé dans la production d'huile de cannabis a complètement ravagé....
Lisez la suite ! ...tôt jeudi matin, un appartement situé au rez-de-chaussée d'un édifice à logements, au 1470 de la rue Pacifique, forçant l'évacuation d'une cinquantaine de locataires.
Deux hommes, l'un âgé de 41 ans et l'autre de 25 ans, se trouvaient à l'intérieur de l'appartement lorsque la déflagration est survenue vers 5h05. Le plus âgé, qui s'adonnait à la transformation des feuilles de cannabis, a été gravement blessé lors de cette explosion.
"Il lui manque plusieurs doigts et il est toujours traité au CHUS pour de sérieuses brûlures. L'autre homme a aussi été conduit à l'hôpital, mais a reçu son congé en matinée", explique Michel Martin, porte-parole du Service de police de Sherbrooke.
Les deux producteurs de cannabis avaient installé leur "usine de production" dans la salle de bain qui n'avait pas de fenêtre. La déflagration, qui a soufflé le mur de béton au rez-de-chaussée du bâtiment, a été causée par les vapeurs trop intenses de naphta utilisé comme accélérant dans la production d'huile de cannabis et le manque d'aération. C'est l'ouverture d'un interrupteur électrique qui a causé l'explosion.
"Cette explosion démontre la dangerosité d'une telle production. C'est incroyable comme force. Ce genre d'explosion survient trop souvent à Sherbrooke. C'est la cause d'un fort pourcentage des incendies dans les appartements. Nous sommes en plein dans la saison de transformation. On transforme la feuille qui n'est pas assez bonne pour être fumée", poursuit le porte-parole du SPS.
Les locataires dans la rue
Cette déflagration, qui s'est rapidement transformée en incendie, a causé tout un émoi chez les locataires qui ont dû rapidement évacuer le bâtiment pour se retrouver en pyjama sur le trottoir à des températures près du point de congélation.
Les flammes ont rapidement été maîtrisées par le Service de protection contre les incendies de Sherbrooke.
Carole Tardif et son père Adélard, qui habitent juste au-dessus de l'appartement où est survenue l'explosion, étaient debout lorsque la déflagration a retenti.
"Nous avons entendu comme un cillement avant l'explosion. Mon père se trouvait près du frigidaire et a levé lorsque ça a sauté. Les plancher de la cuisine est surélevé et noir à certains endroits. Notre store est aussi brûlé", explique Mme Tardif.
La dame a vu sortir de l'édifice l'homme à l'origine de l'explosion.
"Il criait et était très nerveux. Son linge était tout en lambeaux", poursuit Mme Tardif.
Demeurant juste à côté des Tardif, Véronique Cloutier a communiqué avec le 9-1-1 après avoir entendu un gros "boom".
"Je dormais lorsque l'explosion est survenue. J'ai regardé à l'extérieur et vu de la fumée, puis un gars en sang à qui il manquait des doigts", explique-t-elle.
Un autre résidant du premier pallier, Henri Richard, a été saisi par cette explosion.
"J'ai 82 ans, alors mon coeur a accéléré quand j'ai entendu l'explosion. Je suis allé prendre l'air. J'ai entendu un gars crier. Il avait les plaies au vif et saignait beaucoup", témoigne M. Richard.
Joël Lemieux a aussi vécu cette forte explosion.
"Tout le monde du bloc s'est rapidement retrouvé dehors. Le gars est sorti à l'extérieur avec son ligne déchiré et il saignait beaucoup. J'ai d'abord cru qu'un camion était entré dans le bloc, mais j'ai vite constaté que c'était une explosion. Tout le bloc a shaké", soutient M. Lemieux, un locataire du 4e étage.
Éric Blais, le voisin du producteur d'huile de cannabis qui habitait l'édifice depuis environ un mois, sentait régulièrement des vapeurs illicites au rez-de-chaussée.
"Ça sentait beaucoup le pot chez lui. Mon appartement n'a pas été tellement touché si ce n'est que certaines choses ont été déplacées par la force de l'explosion", signale M. Blais.
Source : Cyberpresse - René-Charles Quirion - La Tribune Sherbrooke
La determination du sexe est un plus pour encore mieux connaître votre plante. Si vous allez la fumer c'est nécessaire !! Vous ne pouvez déterminer le sexe de votre plante quand période de pré-floraison et en floraison. Une plante « femelle » donne des têtes tant recherché pour un fumeur, alors que les « mâles » donnent des sacs de pollen qui pendent par grappes, servant à poliniser les plantes femelles (pour donner ensuite des graines). Il existe aussi des plantes dites « hermaphrodites ». C'est à dire que la plante à développer à la fois des fleurs mâles et femelles.
Récapitulatif :
- les fleurs (têtes) des plantes femelles constituent la partie recherchée pour les fumeurs.
- les plantes mâles fournissent le pollen, utile à la fabrication de graines.
- les plantes hermaphrodites ayant des fleurs mâles et femelles.
Pratique :
A gauche : fleur femelle, A droite : fleur mâle
Les pré-fleur mâles :
Ce que vous voyait ces de petits sac de polen. Fleur mâles.
Les pré-fleur femelles :
Les petits poils que vous voyait dans le cadre rouge ce sont les pistils. Fleur femelles.
les plan de cannabis sont différentiables à la troisième paire de feuilles: si les feuilles de part et d'autre sont 2lobes/2 lobes puis 3lobes/3lobes ce sont des femelles sinon il y a de fortes chances pour que se soient des males.
voila un super reportage sur la culture la legiferation et la distribution de l'herbe au Canada en deux partie !!!
premier partie:
https://www.radio-canada.ca/Medianet/CBFT/Pot200209021025_m.asx
10 juin
Le 10 juin, conférence de presse au Sénat autour du rapport de la commission d'enquête sénatoriale du Sénat. Précisions à venir dans un prochain courrier.
18 juin
18 JOINT traditionnel, à 18 heures parc de La Villette.
Le CIRC Paris recherche des volontaires pour distribuer des flyers invitant à participer à cette 10e édition du 18 Joint. Si vous voulez faire quelque chose pour la légalisation, envoyer un mail à circparis@circ-asso.net
- Télécharger le flyer N&B--------
Evidement, je serais présent, si jamais vous y allez, faite le savoir en écrivant un commentaire.
Démantèlement d'une production hydroponique de cannabis 13 mars 2003
Les policiers du Bureau régional d'enquêtes de la Sûreté du Québec du district de Montréal-Laval-Laurentides-Lanaudière, conjointement avec leurs collègues du poste de la MRC des Laurentides, ont procédé aujourd'hui au démantèlement d'une production de cannabis à St-Rémi d'Amherst.
Dans la soirée d'hier(le 13 mars 2003), vers 22h00, un incendie a complètement détruit une résidence située sur la route 323 à St-Rémi d'Amherst. Sur place, les policiers ont détecté une plantation de cannabis dans un garage adjacent à la résidence.
Munis d'un mandat, ils ont procédé à la saisie d'environ 12 500 plants de cannabis, en plus de saisir le matériel servant à la production. Un homme de 32 ans, Stéphane Bélanger, locataire des lieux, a été arrêté et a comparu au Palais de justice de St-Jérôme pour faire face à des accusations de production de cannabis.
« Tout comme le tabac, le cannabis peut avoir de sérieuses conséquences sur la santé. Or il n'existe pas de discours clair sur les risques liés à sa consommation. Pourtant, il serait à l'origine de 30 000 décès par an en Grande-Bretagne ».
Le dernier éditorial du British Medical Journal frappe fort. Pour le Pr John Henry de l'Imperial College School of Medicine de Londres, « entre 1999 et 2001 la proportion d'adolescents britanniques qui ont expérimenté le cannabis est passée de 19% à 29% chez les garçons, de 18% à 25% chez les filles. Or la consommation régulière de cannabis augmente le risque de maladies mentales telle que la schizophrénie et la dépression. »
Fait nouveau relevé dans cet éditorial le cannabis, même utilisé seul par un sujet qui ne fume pas de tabac, pourrait aussi être à l'origine de nombreux cancers « des poumons et de la langue. » Sans oublier bien sûr les risques de « bronchite chronique, d'emphysème et autres troubles pulmonaires ». Pour les maladies cardio-vasculaires, le Pr Henry ne peut pas se prononcer. Il souhaite cependant que des études soient menées sur les liens potentiels dans ce domaine.
La vaporisation réduit drastiquement les toxines contenues dans la fumée de combustion du cannabis
Une nouvelle étude a trouvé que l'usage d'un vaporisateur réduit largement le taux de gaz nocifs contenus dans la fumée de cannabis, en délivrant de la vapeur de cannabinoäde pratiquement pure, débarrassée de la plupart des sous-produits de combustion. La fumée produite par la combustion du cannabis contient généralement des toxines similaires à celles contenues dans la fumée produite par la combustion du tabac ou de n'importe quelle autre herbe, pouvant causer des dommages tissulaires dont la conséquence peut être le développement de bronchites chroniques ou de cancers.
Au cours de l'étude conduite par Chemic Labs à Canton – Massachusetts- USA, les vapeurs de cannabis chauffé dans le Volcano (manufacturé par Storz & Bickel GmbH & Co.KG, Tuttlingen, Germany) ont été comparées à la fumée produite par la combustion de cannabis. Le Volcano est conçu pour chauffer les matériaux à des températures comprises entre 130 et 230 degrés Celcius, températures auxquelles sont produites les vapeurs médicalement actives, mais au dessous du seuil de combustion. Des études antérieures ont prouvé que la vaporisation peut réduire les toxines nocives contenues dans la fumée de cannabis. Quoi qu'il en soit, ceci est la première étude au cours de laquelle les vapeurs ont été analysées à l'état gazeux pour isoler et rechercher de nombreuses toxines.
L'analyse a montré que les vapeurs produites dans le Volcano étaient remarquablement pures, composées de 95 % de THC avec des traces de cannabinol (CBN). Les 5 % restants consistaient en de petites quantités de trois autres composants, le premier suspecté d'être un proche des cannabinoädes, le second du PAH (hydrocarbure aromatique polycyclique), le troisième du caryophyllène, un terpène. A contrario, plus de 111 composants apparaissaient dans les gaz de combustions, y compris une demi- douzaine de PAH connus. 88 % des gaz contenus dans la fumée n'étaient pas des cannabinoädes.
Cette étude a été sponsorisée par les organismes Américains, California NORML, MAPS et MPP. Elle a été menée avec du cannabis contenant 4 % de THC. Une analyse quantitative a permis de constater que le Volcano délivre 46 % du THC en vapeur après 45 secondes d'exposition de l'échantillon à la chaleur. Dans des études antérieures l'efficacité moyenne de la cigarette de cannabis a été estimée de 15 à 40 % pour des utilisateurs expérimentés et à 45 % avec une pipe.
Le Dr. Donald Abrams de l'Université de Californie, San Francisco, USA, a soumis une proposition de financement au Centre Californien de Recherches sur le Cannabis Médical de San-Diego, pour tester le Volcano dans une étude clinique.
Source : Communiqué de presse de California NORML - vendredi 2 mai 2003