Le Conseil pour la recherche médicale du Royaume-Uni a annoncé qu'une quarantaine d'hôpitaux du pays allaient participer à une enquête exhaustive afin de déterminer les effets analgésiques du cannabis sur les patients venant de subir une opération chirurgicale.
Le Conseil veut ainsi mesurer les effets apaisants et analgésiques du cannabis sur des patients par rapport aux antidouleur traditionnels. Plus de 400 patients vont être recrutés, sur une base volontaire. Il leur sera donné, après leur opération, soit un extrait de cannabis sous forme de médicament, soit du tétrahydrocannabinol (un actif contenu dans le cannabis), soit un analgésique classique, soit un placébo.
Leurs réactions (atténuation de la douleur, effets secondaires) seront consignées pendant six heures.
La principale association britannique des médecins, l'Association médicale britannique (BMA), a souligné la nécessité d'une enquête scientifique pour étudier les effets des médicaments à base de cannabis.
Actuellement, les recherches de la BMA montrent que le cannabis seul ne peut pas être utilisé comme médicalement, mais elles indiquent aussi que des médicaments à base de cannabis ont la capacité de soulager la douleur.
Paris, "Un joint fumé à 00H00 fait-il encore de l'effet à 04H00, sortie de boîte ?" "Priska4" fait partie des jeunes accrocs du SMS qui ont récemment harcelé de questions sur le cannabis un responsable de la prévention routière.
La réponse de Jean-Yves Salaün, directeur général adjoint de la prévention routière ne l'a sans doute guère aidé: "L'effet d'un joint varie fortement en fonction de la qualité de l'herbe, de l'habitude de consommation, et est accentué avec l'alcool".
Le débat via message téléphonique rapide (texto) sur la sécurité routière organisé par un média spécialiste des émissions sur SMS, freever.org, "Fo kon en parle", a très vite tourné à la discussion très concrète sur le cannabis, souvent dans le langage télégraphique traditionnel adopté par les adolescents adeptes de ce mode de communication.
"Si je fume le cannabi que le w end, sui je positif la semaine", s'enquiert "Homseul2" sans doute dépité par le renseignement transmis par Jean-Yves Salaün: "On peut être contrôlé positif toute la semaine". Et l'heure de la consommation n'a aucune influence, répond-il à "Tony95470" qui s'enquiert de la dangerosité de son joint matinal quotidien.
L'avenir du vigneron
"Que risque-t-on si on conduit un scooter juste après avoir fumé du cannabis?", s'interroge Dolvin. "D'être contrôlé par les forces de l'ordre", répond le responsable associatif qui s'emploie à démentir un autre jeune, "Labeu" selon qui "l'alcool tue, le cannabis n'a jamais tué" ou "Maria28" qui connaît "beaucoup de jeunes qui (lui disent) que c'est moins dangereux que l'alcool au volant".
"Karlkani", "fumeur depuis l'âge 2douz ans, 28 aujourd8, accro", qui fume environ 15pet sans pbleme", donne dans la forfanterie: "jamais d'accident en 8 ans 2 permis". La répartie est cinglante: "Des gens comme toi, on en connaît beaucoup et on les retrouve souvent à l'hôpital".
A l'instar des difficultés pratiques soulevées lors du vote de la loi réprimant la drogue au volant, les réponses sont plus laborieuses sur les modalités pratiques des contrôles, des traces de cannabis étant décelables dans le sang et les urines "plusieurs jours après l'avoir consommé", selon Jean-Yves Salaün. "Il est vrai que l'on peut avoir fumé cinq jours avant" un accident, concède le responsable.
"Il n'existe pas actuellement de test facile d'utilisation", reconnaît encore Jean-Yves Salaün qui promet: "bientôt les forces de l'ordre pourront contrôler comme pour l'alcool la consommation de cannabis chez un conducteur".
Si beaucoup préfèrent le haschisch, tous les interlocuteurs du responsable n'ont pas renoncé à l'alcool. "Extasie571" s'est fait contrôlé avec 0,93 gramme d'alcool dans le sang et vient aux nouvelles: "keske je riske kome pène?". "Le permis peut-être retiré plusieurs années et si tu as causé un accident grave, tu peux aller en prison", menace Jean-Yves Salaün.
Mais, alors, s'inquiète "Yukimec34", "où est l'avenir du vigneron?"
Source : AFP - mercredi 23 juillet 2003 - Nicolas GAUDICHET
La colchicine est un produit chimique qui change la structure chromosomique des plantes. Il force celles-ci à muter en arrêtant la division cellulaire à un moment précis du processus de mitose. La mutation consiste en un doublement des chromosomes de la plante. Celle-ci sera de très loin bien plus puissante (du point de vue défonce) qu'une plante ordinaire.
Les plantes qui survivent à l'épreuve et qui mutent poussent parfois de façon très bizarre. Leurs feuilles sont souvent difformes, elles sont plus vertes et quand elles se mettent à pousser, elles poussent plus vite et plus touffues.
Vous vous appercevrez également que le nombre de feuilles par grappe est plus élevé que d'habitude. Il nous est arrivé de dénombrer jusqu'à 17 feuilles dans une seule grappe.
D'ordinaire, le premier ensemble de feuilles dentelées n'ont qu'une seule feuille de chaque côté de la tige. L'ensemble suivant a généralement trois feuilles par grappe. Lorsque vous traitez vos graines avec de la colchicine le second ensemble de feuilles dentelées aura souvent cinq feuilles par grappe au lieu de trois.
Méthode :
La colchicine est utilisée dans les traitements contre la goutte. C'est un médicament qui demande une ordonnance bien qu'il puisse parfois être acheté dans des boutiques desservant des laboratoires.
Les pépiniéristes s'en servent pour développer de nouvelles variétés de plantes comestibles ou non.
Le "Colchicum Major", plus communément connu sous le nom de colchique, pousse à partir d'un oignon, celui-ci contient 0.3% de colchicine.
Il vous sera possible d'extraire la colchicine du bulbe de colchique en pressant le liquide hors du bulbe grâce à une presse à oignons. Ce liquide devra ensuite être filtré à travers un papier filtre (filtre à café par ex.).
Vous obtiendrez alors une solution avec à peu près 3% de colchicine. Mélangez cette solution avec une égale quantité d'eau. Ce qui réduira la solution de colchicine à 0.15% rendant celle-ci apte à effectuer les mutations chromosomiques désirées.
Il est certain que la proportion de colchicine varie d'un bulbe à l'autre, aussi, dans le cas où vous penseriez que vos graines n'ont pas réagi au traitement, vous pouvez essayer d'utiliser la solution originale, telle qu'elle sort du bulbe.
La colchicine étant relativement destructrice, il arrive souvent que nombre de graines ne survivent pas au choc.
Il vous faut normalement faire tremper vos graines pendant 24h dans la solution, mais, au cas où vous vous serviez de graines de mauvaise qualité, peut être expérimenterez vous en sortant certaines graines du bain après 8h, et d'autres après 12h afin que certaines aient toutes les chances de survivre.
Après avoir sorti vos graines de la solution, rincez les légèrement puis placez les entre quelques serviettes en papier humide, gardez les dans un endroit bien au chaud (30°C) environ jusqu'à ce qu'elles germent. Plantez votre graine aussitôt qu'elle aura germé.
La colchicine est un poison extrêmement dangereux: 0.7 mg, étant considéré comme la dose mortelle pour l'organisme humain, les pépiniéristes la manipulent avec beaucoup de précaution.
Un dernier mot à propos de la mutation génétique provoquée par la colchicine, cette mutation ne fait que doubler le nombre des chromosomes de la plante elle fait autrement dit d'une plante diploäde (de qualité moyenne ou très bonne), une plante plyploîde (de qualité fabuleuse).
Or certaines herbes de qualité fabuleuse (du sud-est asiatique par ex.) ont déjà réalisé cette mutation génétique par accident naturel. Il ne sert à rien, si vous êtes en possession de ces graines exceptionnelles, de tenter de les faire muter une seconde fois.
Enfin, une fois que votre herbe sera devenue polypläde, ses descendantes le seront également (puisqu'un caractère acquis par mutation génétique se transmet héréditairement).
Note: La première génération de plante ainsi obtenue n'est pas consommable compte tenu du fait que la graine a trempé dans la colchicine. Il est obligatoire de se servir de la seconde génération afin d'éviter toute intoxication due à la colchicine.
Cela peut vous tué alors merci de ne consommer que la deuxième génération.
En Côte d'Ivoire, la production de cannabis est en partie effectuée dans le sud-ouest, dans la région du Bas-Sassandra. Substitut lucratif à l'exploitation des cultures licites comme le cacao et le café, qui ont vu leur prix baisser, il reste néanmoins très abordable pour les consommateurs locaux.
La région du Bas-Sassandra est un grand pourvoyeur de cannabis en Côte d'Ivoire. Cette région regroupe les sous-préfectures de Sassandra, de Tabou, San-Pedro et Soubré et des gros villages, comme Meagui, une place importante de la culture et de la consommation du cannabis. Face à la baisse des cours des cultures traditionnelles cultivées - cacao et café -, les cultivateurs ont trouvé dans la production de ce psychotrope, une planche de salut.
Les feuilles (marijuana) sont la spécialité de la région, à l'instar d'autres pays d'Afrique de l'Ouest. La résine étant la chasse gardée de l'Afrique du Nord et plus spécifiquement du Maroc. « Avec le Sénégal et le Ghana, la Côte d'Ivoire compte parmi les plus importants producteurs de marijuana dans l'Ouest africain », indique Quist Flemming du bureau sénégalais du Programme des Nations Unies pour le contrôle international des drogues (Pnucid).
Prix abordables
Qui en consomme ? « Les jeunes mais aussi les Burkinabé qui travaillent dans les plantations de cacao. Ces derniers le consomment pour se donner du tonus », indique une source locale. « A San Pedro, les jeunes s'en donnent à cÅ“ur joie, notamment à Bardot, le plus grand bidonville d'Afrique de l'Ouest. » Le quartier Colombie, un nom choisi à dessein, serait un haut lieu de la consommation du cannabis. De plus, cette drogue est à la portée des petites bourses, « entre 100 et 150 F CFA (0,15 et 0,25 cents d'euros), pour une boulette de 2 grammes », indique le lieutenant Touré Adrien, responsable de l'antenne régionale de la Police des Stupéfiants du Bas-Sassandra basée à San Pedro. « Les quantités produites sont difficilement mesurables, bien que nous effectuions des saisies fréquentes », affirme le responsable de Police qui déplore le manque de moyens pour évaluer et lutter efficacement contre ce trafic. « Pour les mois de juin et juillet 2003, nous avons saisi près de 130 kg de cannabis.
De plus, les plants de cannabis sont souvent camouflés dans des champs de riz. « La prolifération de la culture de cannabis dans cette zone et vers Séguéla et Daloa (Haut-Sassabdra) s'explique aussi par la présence de la forêt », ajoute le lieutenant Touré. Avec l'instabilité politique de la région, le trafic de cannabis semble être amené à prendre de plus en plus d'ampleur. L'Afrique, avec le Maroc premier fournisseur de l'Europe, compte parmi les principaux fournisseurs du monde. On peut lire, dans le rapport 2002 de l'Organe international de contrôle des Stupéfiants (Ocis) qu' « un quart des saisies mondiales de résine et de feuilles de cannabis sont effectuées en Afrique ». La dogue proviendrait également d'« Afrique australe, et plus particulièrement d'Afrique du Sud ».
Source : https://www.afrik.com/article6457.html
Afrik.com - Lundi 11 août 2003, par Falila Gbadamassi
Un plant de cannabis a été découvert sur un terrain en friche, derrière la maison communale de Knokke par l'agent de quartier. Ce terrain appartient à la... ...commune de Knokke. Selon les habitants, des jeunes venaient souvent et coupaient les plantes. La police a emporté la plante, qui sera détruite. Aucun jeune n'a été arrêté.
PARIS, 29 juil (AFP) - Un présumé dealer, gérant un site internet pour ses commandes, a été interpellé lundi à Paris puis déféré devant la justice, a-t-on appris mardi de source policière.
Jérémy G., 19 ans, a été arrêté par les Douanes alors qu'il livrait une commande de 30 grammes de cannabis passée sur son site internet.
Il a ensuite été placé en garde à vue à la brigade des stupéfiants.
De même source, on indique que cette pratique, bien que rare, a tendance à se développer.
Au début du mois de juillet, le gérant d'un site internet consacré au cannabis a été interpellé par les gendarmes à Castries (Hérault).(voir article: 1 webmaster interpelé)
Ils avaient découvert du cannabis chez un mineur qui a affirmé s'être approvisioné grâce à un site internet, "Cannabistrot", dont le gérant, qui milite pour la dépénalisation du cannabis, a été arrêté."
Voilà un petit exemple d'info un peu détournée; car ce que l'AFP ne précise pas, c'est que Lô ne vends pas de quoi "s'approvisioner" mais en fait le mineur en question a simplement trouvé un lien sur le site incriminé vers une banque de graines anglaise où il s'est "approvisioné", glups, qu'est ce que ce mot est flippant :-o
De plus, cette dépèche prétend que le cyber deal est en train de se devellopper...
On en est pas encore au point de voir des bannières comme sur les sites américains ou anglais, mais c'est un peu gros ça comme argument; en tout cas moi, j'ai toujours vu Shépak bannir tous ceux qui postulaient pour ce genre de bizz...
COMMUNIQUÉ DE PRESSE du 4 juillet 2003 // https://www.cannabistrot.org'>https://www.cannabistrot.org
Ce matin à 07h45, 3 gendarmes ont fait une perquisition dans les bureaux de Cannabistrot.net (portail internet antiprohibitionniste). Celà à la demande d'un juge de Boulogne sur Mer, pour une histoire de cannabiculteur qui aurait acheté des graines par l'intermédiaire d'une lien trouvé sur un site hébergé par Cannabistrot : www.cannabistrot.net/vertbahut. Lô malfois, président de l'association Pot Head Pixies qui administre le site Cannabistrot, est tenu pour responsable et placé en garde a vue.
...../ relaché ds l'après-midi, il devrait être mis en examen....
Le 5 juillet 2003
Après la mise en examen de l'ancien président de Technoplus, celle de Kshoo (circ, Mauvaise Graine), et maintenant celle probable de Lô (cannabistrot), le pouvoir essaye de faire le ménage ds le milieu antiprohibitioniste et celui de la réduction des risques comme ds tout le mouvement citoyen.
Les politiks agissent comme si le but recherché était exactement l'inverse de leur discours et de leurs objectifs officiels et publiques assénés comme des spots de pub.
Les politiks ne sont pas des imbéciles, et s'ils poursuivent entre autres, cette politik irresponsable qu'est la répression des usagers des drogues et des autres "intervenants en vie quotidienne", c'est en toute connaissance de cause.
C'est avec un cynisme incroyable et une démagonie digne des gdes heures Mussoliniennes, que le droite, et une frilleuse gauche, maintiennent la pression avec les répercussions désastreuse que cette prohibition perpétue.
En attendant, pas question de saborder le site Cannabistrot, et comme que l'on est ds une société régie par le "spectacle" : the show must go on,
Visitez nos sites, commandez des engrais ou des livres, boycotez les multinationales, achetez équitable chez les indépendants, il n' y a que les attaks au "porte-monaie" qui touche (même si peu) le système.
Rendez-vous au Larzac2003, les 8/9/10 aoùt 2003.
L'équipe de Cannabistrot (Pot Head Pixies) // https://www.cannabistrot.org
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Cannabistrot.org menacé de fermeture après la garde à vue de son responsable
Héberger des articles pour fumeurs peut avoir des effets vraiment stupéfiants
L'administrateur d'un portail consacré au cannabis a été placé en garde à vue, vendredi 4 juillet, par les gendarmes de Castries (Hérault). Il lui est reproché d'héberger un site sur lequel un adolescent aurait trouvé des infos pour se procurer des graines de cannabis.
Au matin du 4 juillet, peu avant 8 heures, trois gendarmes de la brigade de Castries se sont présentés au siège de l'association PHP qui édite Cannabistrot, un portail d'informations pratiques sur le cannabis. Laurent Malfois, président de l'association et administrateur du site, a été placé en garde à vue à l'issue d'une perquisition sommaire et y est demeuré jusqu'en milieu d'après-midi.
Selon Nathalie Ducasse, unique salariée de PHP, les forces de l'ordre agissaient sur commission rogatoire d'un juge de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Après la découverte de cultures de cannabis à son domicile, un adolescent de 17 ans aurait indiqué s'être procuré les graines sur un site britannique dont il avait trouvé l'adresse en surfant sur Vert Bahut, hébergé par Cannabistrot.
Le placard au placard
Ce site donne schémas et conseils pour cultiver en placard "du cannabis de qualité pour une consommation personnelle".
Dans sa rubrique "Liens", Vert Bahut livre les informations suivantes : "Sur le site de Seeds Direct vous pouvez consulter l'impressionnant catalogue de graines et commander par correspondance en Angleterre." Et précise : "Je vous rappelle, au cas où, que c'est illégal en France."
Vert Bahut étant hébergé par Cannabistrot, c'est donc en tant qu'hébergeur que Laurent Malfois a été entendu par les gendarmes.
Si l'intéressé n'a pas rencontré directement le juge d'instruction, qui communiquait par téléphone avec les gendarmes depuis le Pas-de-Calais, il lui a été indiqué qu'il risquait une mise en examen pour "complicité de provocation à l'usage de stupéfiants".
Durant sa garde à vue, Laurent Malfois aurait également appris l'intention du magistrat de faire procéder à la fermeture de cannabistrot.org, qu'il trouverait trop "incitatif". Selon les proches du président de PHP, il ne serait pas question d'accepter une telle mesure "avant d'avoir été jugé pour cela".
Outre Vert Bahut, Cannabistrot héberge entre autres le site de Jean-Pierre Galland, fondateur des Collectifs d'information et de recherche cannabique (Circ), qui militent depuis des années pour la dépénalisation du cannabis.
Ouais c'est une réaction prévisible de la droite façon sécuritaire mais à priori ya pas de raison que ca change si les gens continuent à se pointer à 300 aux appels du 18 joint, à se cacher toujours plus au lieu d'expliquer trankil ke fumer ca rend pas fou ni délinquant.
De plus je vous signale que bientot les flics risquent d'etre habilités à mettre des prunes pour consommation de cana d'un montant non déterminé (mais probablement trés cher genre 500 euros). C'est merveilleux, c'est en projet, c'est la France, le dernier pays d'Europe qui persécute ses fumeurs o noms des lobbys des médicaments et de l'alcool.
Les textes sont déja en discution (en douce, la nuit) à l'assemblée nationale et risquent d'etre bientot votés: sans mobilisation, ils peuvent déja etre considérés comme adoptés.
Je ne pense pas que la télé (cad l'opinion publique) soit trés favorable au cannabis.
Je pense par contre que les jeunes font les meubles depuis trop longtemps dans un état qui prend de plus en plus ses libertés avec les droits de l'homme. L'actualité l'a prouvé, le gouvernement n'entame le dialogue qu'en cas de résistance active (et encore!!!!) ou passive.
Retrouvons-nous au Larzac pour stopper l'OMC. Ces journées, où se mêleront fêtes, musiques, et réflexion, permettront d'inventer des actions concrètes de lutte. Nos réponses doivent être à la hauteur des enjeux. Le choix du Larzac n'est pas neutre. Il symbolise la mobilisation du mouvement social il y a 30 ans en soutien aux paysans en lutte contre l'extension d'un camp militaire. Toutes les énergies sont nécessaires pour mener notre combat.
Fumer de la marijuana affecte la perception mais ne provoque pas de dégâts permanents dans le cerveau, avance une étude de l'Université de Californie à San diego.L'etude, publiée dans le ''Journal of the international Neuro-Psychological Society'', analyse diverses données sur l'impact à long terme de la consommation de cannabis sur les capacités neurocognitives des adultes.
Ses resultats montrent que si la marijuana affecte sur le long terme la mémoire et les capacités d'apprentissage, elle ne provoque pas de dégâts permanents dans le cerveau. L'étude prévient cependant que ces résultats ne peuvent s'appliquer à toutes les catégories de populations,dans la mesure ou l'étude a été faite auprès de personnes jeunes et diplômées.
