Les récurrences, les non-dits du cannabis
Par Invité,
Les récurrences, expérience d'un fumeur de kana
 
C'est un probleme grave qui peut affecté n'importe quel fumeur de ganja ou de taga (=hashish).Je me permet d'écrire cet article car j'ai était victime d'une récurrence.
Une récurrence comme son nom l'indique est un remise en condition des effets du cannabis sans avoir fumer, 'est aussi ce que l'on appelle flashback. Ceci peut survenir jusqu'a trois mois aprés avoir fumer un joint.
Certain vont se dire en lisant cet article que c'est genial, on est defoncé sans avoir rien fumer, économique, non?
et bien je leur repondrai de par ma propre expérience que ce n'est pa une partie de plaisir, car les symptome de defonce resentits sont décuplés par rapport au symptome "normaux"; de plus le tout s'accompagne de crise d'angoisse( recroqueviller ds son lit a pleurer, la peur de la mort apparai tres rapidemen, le monde s'écroule autour de sois, on sent son coeur qui se met a accéléré, on prend peur, le coeur s'emballe, puis d'un coup on a l'impression ke tt son sang quite le corps, une sensation de vide envahie tout le corps on croit qu'on va mourrir et la tt se calme). Ensuite la crise d'angoisse passé on se sent tres fatigué, on a une énorme envie de pisser, et en générale on sendore komme un loire, et on pense ke les symptome sont partits.
Mais quenéni, le lendemain même en se levant a 13h, on se sent super fatigué, en fait encore complétement défoncé.
cela peut durer entre 1 semaine et 1mois, les crises d'angoisse peuvent survenir de temps a autres, et la sensation de défonce s'atténue peu a peu, jusqu'a ce kon l'oublie.
 
Cette expérience, n'est pas une mauvaise expérience, personnellemen elle ma fait réfléchir sur le fait de fumer des joints ki je dois bien l'avoué devenai une bien trop grande habitude, je dois même avoué ke cela faisait partie de la routine. je me suis rendu compte ke je ne vivais plu que pour ca alors ke se fumer un joint doit rester un plaisir.
j'espére que mon article sera lut, et qu'il fera reflechir bcp de gens sur l'utilisation du cannabis. Mais bon je sais en temps qu'ancien fumeur ke si on me racontai ça je ni croirai pas et je me dirais que de toute facon ca n'arrive qu'aux autres.
 
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Le cannabis occupe 96 000 familles marocaines
Par Invité,
Les revenus de la drogue ne favorisent pas le développement local.
 
300 000 tonnes de cannabis sont produites chaque année dans le monde, dont 47 000 proviennent du Maroc et principalement de Chefchaouen. Dans la région, selon un rapport de l'ONU, 96 000 familles vivent, ou plutôt survivent, des revenus de cette culture illicite mais tolérée. Le revenu global pour cette population est estimé à 214 millions de dollars.Le trafic du cannabis représente pour le Maroc un chiffre d'affaires de 13 milliards de dollars. Les producteurs du Nord n'en bénéficient qu'à hauteur de 2%. Ce qui est dérisoire par rapport à ce qu'en tirent les trafiquants (26%) et les intermédiaires (54%). Ces chiffres sont ceux de l'ONU. Ce qui ne les empêche pas d'être contestables, car c'est d'une économie souterraine et de réseaux volatiles qu'il s'agit. Malgré tout, la dimension économique et financière du trafic de drogue est devenue incontournable pour l'économiste et le spécialiste management. Ces derniers sont par ailleurs confrontés au dilemme de reconversion du petit agriculteur qui, selon Driss Moussaoui, professeur de psychiatrie à la Faculté de médecine de Casablanca, voudrait bien changer de culture. Avec quoi? C'est là toute la question. S'y ajoute la charge financière énorme inhérente à tout projet de reconversion économique. Lors d'une conférence organisée par HEM, jeudi 27 mai à Casablanca, André Dumas, professeur de sciences économiques à l'Université de Montpellier 1, a estimé que la culture du cannabis rapporte 8 fois plus que celle de l'orge. Pourtant, les familles d'agriculteurs à Chaouen joignent difficilement les deux bouts. Une enquête publiée récemment par L'Economiste a montré que l'on s'intéresse à la région non pas pour ses potentialités touristiques mais principalement pour le haschich. Difficile donc pour ces familles qui disposent de petits lopins de terre d'abandonner cette culture. En outre, le troc de la cocäne contre le cannabis est monnaie courante, surtout parmi les jeunes de la région. “Contrairement à l'idée répandue selon laquelle les revenus générés par l'industrie de la drogue favoriseraient le développement économique, le rapport 2002 de l'Office international de contrôle des stupéfiants (OICS), montre que les pays producteurs enregistrent une baisse de leur croissanceâ€?, indique Dumas.
Au bout de ce boulevard géant du commerce de la drogue, se trouve le consommateur. Son argent permet, selon une évaluation de l'ONU, de cumuler un chiffre d'affaires de 500 milliards de dollars ou 10% du commerce mondial. Pire, la consommation de drogues dans le monde est en hausse soutenue. En France, les saisies de stupéfiants ont représenté cette année le double de celles de l'année dernière. La drogue se démocratise et la consommation dans les pays en développement augmente, tandis qu'elle se stabilise aux Etats-Unis dans l'UE.
Au Maroc, une étude épidémiologique effectuée en 1985 sur les étudiants externes de la Faculté de médecine de Casablanca a montré que 14% sont des consommateurs occasionnels et 4% avérés (journaliers).
 
Source: L'Economiste
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Hollande : Vers une interdiction de la Nerderweit ?
Par Invité,
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
n°2 du 1 juin 2004
 
Vers une interdiction de la Nerderweit ?
 
Un reportage annonçait hier au journal télévisé d'Arte, l'intention du gouvernement hollandais de faire interdire la Nerderweit (chanvre récréatif cultivé sur place). La concentration en THC (Delta-9-Tetrahydrocannabinol, la substance psychoactive) serait de plus en plus élevée, ce qui ferait passer la plante du statut de « drogue douce » à celui de « drogue dure ».Qu'en est-il en réalité ? Contrairement à ce que prétendent les autorités – françaises notamment – on ne trouve pas plus de 18 % de THC dans l'herbe hollandaise. Au milieu des années 90, le Circ avait reçu un rapport confidentiel émanant des services de répression du trafic des stupéfiants qui, après s'être rendus en hollande pour y acquérir des échantillons d'herbes locales, avaient procédé à leurs analyses auprès du laboratoire de Châtenay-Malabry. Mal leur en avait pris, puisqu'aucun des résultats ne confirmèrent leurs alégations, à savoir qu'il y avait des variétés de chanvre contenant plus de 25, voire 40 % de THC. Qui en a jamais entendu parler ?
 
En matière de drogues, c'est le phénomène de dépendance physique entraîné par une consommation trop régulière, qui permet de les distinguer, et non la concentration en substance psychoactive. Ainsi l'alcool, quelle que soit sa concentration dans un breuvage, demeure une drogue addictive. Personne n'oserait le remettre en cause.
 
En ce qui concerne le THC cependant, tout est permis. Aucune étude n'est pourtant parvenue à confirmer cette thèse, et la question n'a d'ailleurs jamais été évoquée en ce qui concerne le hachich lui-même plus fort.
En tout état de cause, c'est en la capacité des cannabinophiles à adapter leur consommation aux produits qu'ils/elles trouvent qu'il faut faire confiance. Si on ne boit pas une liqueur comme on boit une bière, pourquoi en serait-il autrement avec le chanvre ?
 
Au-delà du relent démagogique des propositions du gouvernement réactionnaire batave, se pose la bonne question du contrôle de la qualité des produits et de l'information qui doit en découler auprès des usagerEs. Et c'est l'absence de règles qui l'interdit, non la nature de la drogue. Par ailleurs, remettre en cause le marché hollandais du chanvre récréatif semble difficile, pour ne pas dire impossible. Avec 2 % du PIB et plusieurs milliers d'emplois directs ou non qui en dépendent (voir Libération du 24/02/04), on imagine les conséquences désastreuse que cela pourrait avoir sur l'économie du pays.
 
C'est en décembre que la CE devra aborder la politique européenne des drogues, sous la présidence hollandaise. L'occasion peut-être d'infléchir les pays membres dans le sens d'une sortie de la prohibition ?
 
 
 
Contre la prohibition, la corruption et la désinformation
Résistance et autoproduction !
 
FEDERATION DES CIRC
Association Loi 1901
BP 3043 - 69605 Villeurbanne Cedex
Tél. : (0) 611 531 007 - Fax : (0) 611 531 012
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Du cannabis plein la tête !
Par Invité,
Les effets euphorisant et relaxant du cannabis, tu les connais, soit parce que tu les a testés , soit parce qu'on t'en a parlé. Mais est-ce que tu sais comment le cannabis agit une fois qu'il a pénétré dans ton corps ? Du sang au cerveau, on te raconte tous !Le cannabis contient des tas de molécules chimiques dont la THC. Sa concentration est variable en fonction de la forme sous laquelle tu consommes le cannabis : dans l'herbe (marijuana) elle est relativement basse (2 à 5%), dans la résine (haschich) elle est intermédiaire (10%). Mais il y a des variantes. Le taux de THC de la résine de cannabis varie par exemple selon le pays producteur (Maroc, Afghanistan…). En plus, de nouvelles variétés apparues en France depuis quelques années présentent désormais des taux de cannabis bien plus concentrés (jusqu'à 22% pour l'herbe et 31% pour la résine).
 
Une fois que tu as fumé, il faut très peu de temps (moins de 10 minutes !) pour que le THC contenu dans le cannabis passe dans ton sang. Ensuite, il met le cap vers son tissu favori, à savoir ton cerveau. Evidemment, plus tu fumes régulièrement, plus le THC s'accumule dans ta tête et met du temps à être évacué… Dans ton cerveau, le THC peut se fixer sur des zones multiples (sur des récepteurs) et donc perturber les zones contrôlant différentes fonctions : mémoire, attention, équilibre, mouvement, humeur, appétit, douleur, émotions. C'est pour ça que fumer du cannabis peut te procurer plusieurs effets à la fois. Par exemple, les troubles de la mémoire et de l'attention souvent rapportés après consommation chronique de cannabis pourraient être liés à la fixation du THC sur des récepteurs différents situés dans le cortex et dans l'hippocampe.
 
Encore dans le cerveau, le THC active la libération d'un messager chimique (un neurotransmetteur) appelé la dopamine. C'est cette molécule qui met en place le circuit de récompense et qui te procure la sensation de plaisir. C'est-à-dire que pour te « féliciter » d'avoir fumé, ton cerveau te laisse dans un état de plaisir. C'est surtout comme ça que se crée la dépendance psychologique... Ton cerveau te trompe donc !
 
Source: tasante
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Vendée: premier test national sur la conduite sous l'emprise de la drogue
Par Invité,
Le premier test national sur la conduite sous l'emprise des stupéfiants a été mené en Vendée où près de 700 conducteurs ont été contrôlés dans la nuit de vendredi à samedi.Quelque 100 policiers et gendarmes ont été mobilisés pour les besoins de cette opération, menée dans cinq points du département. Son originalité tient dans la présence, à chaque poste de contrôle, d'un médecin pour pratiquer sur place des tests de dépistage, selon le directeur de cabinet du préfet, Yves Schenfeigel. Les tests ont été pratiqués dans des camions de la médecine du travail.
 
"Sur 20 accidents dans le département (analysés en 2003, ndlr), deux avaient pour cause la consommation de cannabis, soit 10%", a indiqué dimanche M. Schenfeigel pour expliquer les raisons de cette opération, conforme aux directives récentes du ministre de l'Intérieur Dominique de Villepin.
 
Le ministre a récemment demandé aux préfets de veiller, "en concertation avec les procureurs de la République, à ce que des contrôles fréquents et ciblés soient pratiqués par les forces de l'ordre" en ce qui concerne l'abus d'alcool et la conduite sous l'empire de produits stupéfiants.
 
"On connaissait la conduite sous l'effet de l'alcool, mais on n'a rien sur cette cause-là (conduite sous l'emprise de la drogue, ndlr). Avec cette opération, les forces de l'ordre ont donné la preuve qu'elles sont aptes techniquement à effectuer les contrôles", a poursuivi le haut fonctionnaire en ajoutant que "l'opération est appelée à se renouveler".
 
Sur une trentaine de dépistages urinaires effectués lors de cette opération, 19 ont révélé la présence de stupéfiants. Ils ont été immédiatement suivis de prises de sang. "Si les résultats définitifs des analyses sont confirmés, ils donneront lieu à des procédures judiciaires". La conduite sous l'emprise de la drogue est passible de deux ans de prison et de 4.500 euros d'amende.
 
Toujours lors de cette opération, sur 33 tests d'alcoolémie effectués, 23 se sont révélés supérieurs à 0,80 g/l. "Nous sommes donc presque dans les mêmes proportions", constate M. Schenfeigel.
 
L'aggravation de la peine pour conduite sous l'emprise de stupéfiants a été votée le 23 janvier 2003. Le ministre de la Justice avait "dédié" cette proposition de loi à "Marilou", une petite fille morte le 1er janvier 2002, après qu'un homme sous l'emprise de drogue eut percuté la voiture où elle se trouvait avec ses parents.
 
Des membres de l'association Marilou étaient d'ailleurs présents en Vendée pour un "travail d'information et de sensibilisation".
 
"C'est une opération positive qui doit être multipliée parce qu'il n'y a pas de campagne contre la conduite sous l'emprise de la drogue, comme ça l'est pour l'alcool", a commenté Nadine Poinsot, porte-parole de l'association jointe par l'AFP.
 
"Les jeunes étaient surpris d'apprendre que le test de dépistage de drogue existait. Quelques-uns se sont montrés rebelles, mais d'autres étaient contents et ont même promis de ne plus prendre le volant sous l'effet de la drogue", a-t-elle ajouté.
 
Source : AFP.
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Journée mondiale sans tabac, 31 mai 2004
Par Invité,
Chaque année le 31 mai, l'organisation mondiale de la santé (OMS) organise autour d'un thème central une journée mondiale sans tabac.
 
Quatre millions de morts par an, 11 000 chaque jour. La cigarette est le seul produit de consommation dont l'utilisation tue directement. Le nombre de décès devrait atteindre 8,4 millions en 2020 et 10 millions en 2030. Face à une telle menace, l'Organisation mondiale de la santé se mobilise et lutte contre le tabagisme.
 
Source: Doctissimo
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CannaWeed l'evolution
Par Invité,
Nouveaux forums disponibles:
 
Discussions - Le forum des débutants
 
Culture Perso - Ampoules d'interieurs
 
Et ces deux forums en colaborations avec revolutionverte.tk
 
La Révolution Verte - La Révolution Verte
 
La Révolution Verte - Vos exploits
 
Merci Cool
 
 
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Les trafiquants aiment Internet ?
Par Invité,
L'utilisation grandissante de nouvelles technologies complique tout, a martelé Mark Malcolm, chef du renseignement au sein de l'Agence américaine de lutte contre la drogue (DEA)." Il y a de plus en plus de possibilités de surfer sur internet anonymement et nos tentatives de surveillance sont, au mieux, faibles ". Cette déclaration en forme de constat illustre les difficultés des autorités à lutter contre les trafiquants de drogue qui utilisent toutes les nouvelles technologies à leur disposition, notamment Internet et le téléphone portable.
 
Les trafiquants profitent des forums de discussion et des messageries instantanées sur Internet pour communiquer entre eux, leurs messages étant de ce fait très difficiles à intercepter, n'hésitant pas à utiliser aussi des routeurs sans fil, où ils se connectent illégalement, afin d'échapper à la surveillance policière sur les serveurs normaux.
 
Le plus dur reste néanmoins à venir : Les autorités craignent que les cartels utilisent de plus en plus le "hushmail" qui fonctionne comme de nombreux autres prestataires de services d'emails à la différence près qu'il permet de crypter les messages entrants et sortants.
 
"Cela présentera un énorme problème quand ils s'y mettront", a ainsi estimé Malcolm,poursuivant que "la seule possibilité qui s'offre à nous, c'est d'utiliser des agents infiltrés, qui mettent leur vie en jeu".
 
Des propos qui illustrent un des nombreux dangers d'Internet et qui tendent à prouver que le P2P est bien anodin face à ces enjeux.
 
Encore un argument de poids pour développer plus efficacement Big Brother...
 
Source: pcinpact
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Le lien entre consommation de cannabis et schizophrénie semble se confirmer
Par Invité,
La thèse scientifique selon laquelle la consommation de cannabis accroît les risques de développer une schizophrénie semble se confirmer, selon de récentes études internationales présentées jeudi à Paris par l'Inserm.A l'occasion de l'inauguration d'une exposition sur le cannabis à la Cité des Sciences et de l'Industrie à Paris, l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a présenté une actualisation de son expertise collective de 2001 sur le cannabis.
Ces études récentes "semblent montrer que les risques de schizophrénie augmentent avec le consommation de cannabis, avec sa précocité et son niveau", selon l'Inserm.
L'Institut précise cependant que ce stupéfiant est "un des très nombreux facteurs de causalité ni nécessaire, ni suffisant, qui conduisent à la survenue" de cette maladie.
Ces travaux montrent "que le risque de présenter des symptômes schizophréniques est supérieur lorsque l'on a consommé du cannabis au moment de l'adolescence, et que le cannabis pourrait avoir une certaine spécificité dans l'émergence de troubles schizophréniques comparativement à d'autres drogues récréatives".
"Le lien entre schizophrénie et consommation de cannabis demeure une question majeure de santé publique", selon l'Institut.
Une étude néerlandaise a ainsi montré que "l'influence du cannabis est d'autant plus importante quand les sujets présentent déjà des symptômes plus sévères".
Selon le travail d'une équipe néo-zélandaise, "le risque de schizophrénie était supérieur en cas de consommation précoce comparé au risque chez les sujets débutant leur consommation à 18 ans".
"Comparés à des sujets n'ayant jamais consommé de cannabis plus d'une ou deux fois, les sujets en ayant consommé au moins trois fois à l'âge de 15 ans ou 18 ans ont un risque quatre fois supérieur de présenter des symptômes schizophréniques à l'âge de 26 ans", selon l'Inserm commentant cette étude.
Les études récentes n'ont en revanche pas permis de conforter la théorie de l'escalade selon laquelle la consommation de cannabis entraînerait un risque accru d'usage ultérieur d'autres drogues, dont l'héroäne.
A propos d'éventuels effets somatiques de ce stupéfiant (troubles cardio-vasculaires, cancers,...), les chercheurs ont besoin d'études épidémiologiques avant de tirer des conclusions, selon l'Inserm.
 
Source: Cegetel
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