Le Procureur général de la Cour suprême des Pays-Bas - la prohibition est imprat
Par Invité, dans Ce que nous avons retenu...,

Le Procureur général de la Cour suprême des Pays-Bas déclare que la prohibition du cannabis est impraticable.
La Hollande est bien connue pour sa politique officielle de tolérance de vente de petites quantités et la possession personnelle de cannabis. Néanmoins, J. Wortel, Le Procureur général de la Cour suprême hollandaise et procureur à la longue carrière, vient de causer une grande surprise par ses déclaration au sujet de la prohibition.
 
 
Source : chanvreinfo.chDans un document préparé pour la Cour suprême des Pays-Bas, Wortel déclare que même la politique tolérante de son pays en matière de cannabis est impraticable et porte préjudice aux autres activités policières et aux priorités de la santé publique. Il ne demande pas explicitement la légalisation, mais il souligne la nature subjective de la persécution du cannabis et note qu’il y a une anomalie dans l’attitude du gouvernement. Le juriste de la Cour suprême déclare que d’un côté le gouvernement exploite fiscalement le désir de nicotine, que l’on sait nocif pour la santé, tandis que les produits à base de cannabis continuent à être prohibés même si on n’a pas prouvé leur nocivité. « Je suis convaincu que les historiens du futur qui étudieront les attitudes officielles envers le cannabis sativa à notre époque seront très étonnés par l’obstination de nos autorités à gaspiller l’argent pour assumer une tâche impraticable avec leur mandat actuel. »
 
Wortel continue avec une citation de Tertullien : « Credo quia absurdum » (Je crois, parce que c’est absurde, ce qui dans ce contexte veut dire : Je crois, parce qu’il serait absurde de ne pas y croire). « Pendant longtemps je le gardais pour moi en tant que fonctionnaire d’État respectable. Mais maintenant je cède à la tentation d’admettre que je suis en train de penser à ce proverbe chaque fois que, au titre de ma fonction, je dois agir dans un cas juridique concernant le haschisch ou l’herbe. »
 
Bushka Bryndova
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Les effets thérapeutiques du THC dans la sclérose en plaques
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Le British Medical Research Council (MRC) va subventionner une campagne d’essais sur 3 ans portant sur du THC contre la sclérose en plaques. Le MRC a alloué 2 millions de livres sterling (environ 3 millions) pour subventionner l’étude CUPID (Cannabinoid Use in Progressive Inflammatory Brain Disease, utilisation des cannabinoïdes dans les maladies cérébrales inflammatoires progressives) qui sera menée par le Dr. John Zajicek, professeur à la Peninsula Medical School et au Derriford Hospital, en collaboration avec le Dr. Alan Thompson, professeur au National Hospital for Neurology and Neurosurgery et à l’Institute of Neurology de l’University College de Londres.
 
Source : canna-med.org
L’étude CUPID, dont le commencement est attendu pour le deuxième semestre de cette année, va recruter 500 patients souffrant de sclérose en plaques progressive à partir des centres de neurologies, dans tout le Royaume Uni. La campagne d’essais se destine à évaluer si le THC, le principal composé actif mis en évidence dans le cannabis pourrait ralentir le développement de l’infirmité.
 
Ces travaux s’inscrivent dans la continuité d’une campagne d’essais précédente, menée par la même équipe, appelée CAMS (Cannabinoïdes dans la sclérose en plaques), qui s’est concentrée sur le test des bénéfices symptomatiques issus des cannabinoïdes sur une période de 15 semaines et une de 12 mois. Des preuves suggérant que ce composé possède un effet sur les taux de spasticité et les mesures d’infirmité chez les patients prenant du THC pendant une période allant jusqu’à 12 mois, mais pas chez ceux qui ont arrêté la médication après 15 semaines, ont été trouvées. Alors que CAMS était une campagne courte, il est espéré que l’étude de patients dans le cadre de la campagne d’essais CUPID, sur une longue période de 3 ans, fasse d’avantage de lumière sur la valeur du THC pour réduire le progression de la sclérose en plaques, en raison de ses propriétés neuroprotectrices.
 
Le Dr. Zajicek précise qu’ « actuellement, très peu de médicaments sont efficaces pour traiter la sclérose en plaques et aucun n’a été démontré comme ayant des effets dans les stades ultérieurs de la maladie. Si l’étude CUPD démontre que les cannabinoïdes ont vraiment un effet à plus long terme sur la progression de l’infirmité, il y aura alors potentiellement des conséquences d’envergure non seulement pour la santé des personnes souffrant de sclérose en plaques, mais également pour ceux souffrant de conditions neurodégénératives».
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160 millions de fumeurs de cannabis
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Un chiffre d'affaires annuel de 320 milliards de dollars, supérieur au PIB de 9 pays sur 10 dans le monde, un nombre de toxicomanes en hausse de 8%, avec quelque 200 millions de consommateurs de stupéfiants : le marché de la drogue se porte bien. Le rapport annuel de l'Onu publié mercredi, soulignant cette vitalité, le présente d'ailleurs comme un "monstre" difficile à abattre. Principale raison : la popularité croissante du cannabis, qui a été consommé par plus de 160 millions de personnes en 2004, soit 10 millions de plus que l'année précédente, selon ce rapport 2005 du Bureau des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC).
 
Source: LCI
 
 
Cette augmentation de la consommation de cannabis est visible en Europe comme ailleurs ; mais le marché européen voit aussi "le degré de pureté de l'héroïne s'accroître", signe d'une offre en hausse, s'inquiète l'UNODC. Avec près de 16 millions de personnes dépendantes dans le monde, l'héroïne fait en effet partie, tout comme les opiacés et la cocaïne, des autres stupéfiants en progression après le cannabis. Considérées comme les "drogues les plus problématiques" par l'Onu, les opiacés apparaissent encore en Europe comme la préoccupation principale en termes de santé publique. Le continent se caractérise également par une progression du marché de la cocaïne dans 14 pays, relève le rapport.
 
L'Afghanistan s'impose sur le marché des opiacés
 
Ces types de drogues proviennent de plus en plus souvent d'Afghanistan, qui représente aujourd'hui 87% du marché mondial et qui est responsable à lui seul de la hausse de la production, malgré une baisse au Laos et en Birmanie. Comme la consommation, la production de cannabis apparaît en forte hausse, avec une progression de 25% entre 2003 et 2004, à 40.000 tonnes. "Tous les indicateurs - production, saisies et consommation - indiquent que le marché mondial continue de progresser" et "tout porte à croire que cette expansion va se poursuivre", s'alarme l'Onu.
 
Seule - relative - bonne nouvelle dans ce panorama 2005 des stupéfiants : les drogues de synthèse (amphétamines, méthamphétamines et ecstasy) sont en repli à 34 millions de consommateurs. La baisse de leur consommation mondiale s'explique principalement par le démantèlement d'un grand nombre de laboratoires clandestins en Thaïlande, ainsi que par un recul de ce type de drogue aux Etats-Unis. Au plan mondial, les saisies de drogue sont restée stables, le cannabis représentant plus de la moitié des saisies et les produits opiacés un quart.
 
Cette augmentation de la consommation de cannabis est visible en Europe comme ailleurs ; mais le marché européen voit aussi "le degré de pureté de l'héroïne s'accroître", signe d'une offre en hausse, s'inquiète l'UNODC. Avec près de 16 millions de personnes dépendantes dans le monde, l'héroïne fait en effet partie, tout comme les opiacés et la cocaïne, des autres stupéfiants en progression après le cannabis. Considérées comme les "drogues les plus problématiques" par l'Onu, les opiacés apparaissent encore en Europe comme la préoccupation principale en termes de santé publique. Le continent se caractérise également par une progression du marché de la cocaïne dans 14 pays, relève le rapport.
 
L'Afghanistan s'impose sur le marché des opiacés
 
Ces types de drogues proviennent de plus en plus souvent d'Afghanistan, qui représente aujourd'hui 87% du marché mondial et qui est responsable à lui seul de la hausse de la production, malgré une baisse au Laos et en Birmanie. Comme la consommation, la production de cannabis apparaît en forte hausse, avec une progression de 25% entre 2003 et 2004, à 40.000 tonnes. "Tous les indicateurs - production, saisies et consommation - indiquent que le marché mondial continue de progresser" et "tout porte à croire que cette expansion va se poursuivre", s'alarme l'Onu.
 
Seule - relative - bonne nouvelle dans ce panorama 2005 des stupéfiants : les drogues de synthèse (amphétamines, méthamphétamines et ecstasy) sont en repli à 34 millions de consommateurs. La baisse de leur consommation mondiale s'explique principalement par le démantèlement d'un grand nombre de laboratoires clandestins en Thaïlande, ainsi que par un recul de ce type de drogue aux Etats-Unis. Au plan mondial, les saisies de drogue sont restée stables, le cannabis représentant plus de la moitié des saisies et les produits opiacés un quart.
 
Cette augmentation de la consommation de cannabis est visible en Europe comme ailleurs ; mais le marché européen voit aussi "le degré de pureté de l'héroïne s'accroître", signe d'une offre en hausse, s'inquiète l'UNODC. Avec près de 16 millions de personnes dépendantes dans le monde, l'héroïne fait en effet partie, tout comme les opiacés et la cocaïne, des autres stupéfiants en progression après le cannabis. Considérées comme les "drogues les plus problématiques" par l'Onu, les opiacés apparaissent encore en Europe comme la préoccupation principale en termes de santé publique. Le continent se caractérise également par une progression du marché de la cocaïne dans 14 pays, relève le rapport.
 
L'Afghanistan s'impose sur le marché des opiacés
 
Ces types de drogues proviennent de plus en plus souvent d'Afghanistan, qui représente aujourd'hui 87% du marché mondial et qui est responsable à lui seul de la hausse de la production, malgré une baisse au Laos et en Birmanie. Comme la consommation, la production de cannabis apparaît en forte hausse, avec une progression de 25% entre 2003 et 2004, à 40.000 tonnes. "Tous les indicateurs - production, saisies et consommation - indiquent que le marché mondial continue de progresser" et "tout porte à croire que cette expansion va se poursuivre", s'alarme l'Onu.
 
Seule - relative - bonne nouvelle dans ce panorama 2005 des stupéfiants : les drogues de synthèse (amphétamines, méthamphétamines et ecstasy) sont en repli à 34 millions de consommateurs. La baisse de leur consommation mondiale s'explique principalement par le démantèlement d'un grand nombre de laboratoires clandestins en Thaïlande, ainsi que par un recul de ce type de drogue aux Etats-Unis. Au plan mondial, les saisies de drogue sont restée stables, le cannabis représentant plus de la moitié des saisies et les produits opiacés un quart.
 
 
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Haro sur les bonbons «Rasta» à Chicago
Par Invité,
CHICAGO, Illinois (AP) -- Le conseil municipal de Chicago a interdit mercredi la vente de sucettes et d'autres bonbons parfumés à la marijuana, une première pour une grande ville des Etats-Unis, où ces confiseries sont apparues récemment.
Ces bonbons au goût de cannabis et aux noms évocateurs de «Fumée pourpre» ou «Rasta» sont légaux dans le reste du pays parce que fabriqués à partir d'huile de chanvre, un ingrédient de base fréquemment utilisé dans la confection d'aliments diététiques ou de produits ménagers. L'huile de chanvre donne aux aliments le goût herbacé de la marijuana sans en procurer les effets.
 
 
Source : Nouvel obs
«Je n'arrive pas à imaginer jusqu'à quel point des gens sont capables d'aller pour gagner un dollar -et qui plus est sur le dos d'enfants, en essayant de leur faire goûter quelque chose qui les mènera tout droit à la consommation de marijuana», a déclaré le conseiller municipal Edward Burke, qui a voté pour l'interdiction des bonbons au cannabis.
Les magasins de Chicago qui passeraient outre le décret visant les bonbons sulfureux pourront se voir infliger des amendes allant jusqu'à 500 dollars (415 euros), et la possible suspension ou même le retrait de leur licence commerciale.
Chicago n'est pas la seule ville américaine à avoir envisagé la mesure. A New York, une conseillère municipale se prépare à étudier le problème cet été, et une ville de la banlieue d'Atlanta a fait passer un décret pour retirer les bonbons incriminés des épiceries.
Les confiseurs ne comprennent pas une décision qui frappe des produits, selon eux, uniquement destinés aux personnes de plus de 18 ans.
«C'est un produit pour adultes. Je ne veux surtout pas que les enfants en mangent», se défend Tony Van Pelt, le président d'un des fabriquants des confiseries goût cannabis. «Il y a 78 millions de fumeurs d'herbe dans ce pays, c'est ce public que je vise.»
Tony Van Pelt envisage d'intenter une action en justice pour défendre un produit fabriqué à partir d'ingrédients légaux.
«Je pense que c'est fou. Il n'y a rien d'illégal là-dedans. C'est la liberté de choix qu'on attaque ainsi», s'est-il offusqué.
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Les Américains privés de cannabis thérapeutique
Par Invité,
Les malades en phase terminale qui fument du cannabis pour alléger leurs souffrances peuvent être poursuivis pour violation des lois fédérales, même si la loi de l'Etat où ils se trouvent autorise la prescription médicale de cette drogue. La Cour suprême a infligé lundi un sérieux coup à la campagne pour la libéralisation de la marijuana aux Etats-Unis, donnant raison au gouvernement, qui dénie toute valeur médicale à cette drogue. Dix Etats, sur la côte ouest et au nord-est, ont déjà autorisé la prescription médicale de marijuana pour les personnes en grande souffrance (1).
 
Source : Pascal RICHE @ Liberation.frL'affaire avait été portée devant la justice par deux Californiennes, Angel Raich, 39 ans, victime d'une tumeur au cerveau, et Diane Monson, 48 ans, qui souffre d'une maladie de la colonne vertébrale. L'une et l'autre ont indiqué lundi qu'elles continueraient à fumer de l'herbe (qu'elles produisent elles-mêmes) lorsqu'elles souffrent, comme le leur a prescrit leur médecin. «Si j'arrête le cannabis, je meurs. Donc je continue», a déclaré Angel Raich, qui affirme qu'elle fume du cannabis par nécessité, mais sans plaisir. Elle a annoncé qu'elle allait appuyer une campagne de lobbying pour faire changer la loi fédérale. Les chances de succès d'une telle campagne sont minimes. Et selon la Maison Blanche, la décision de la Cour suprême «a clos le débat politique sur le cannabis médical».
 
La Cour n'a pas annulé les lois des dix Etats «permissifs», elle s'est contentée de ne pas interdire les poursuites fédérales. La question est maintenant de savoir si le gouvernement américain choisira de dépenser de l'argent pour poursuivre des malades en grande souffrance... On peut en douter : selon un sondage CNN-Time réalisé en 2002, 73 % des Américains considèrent que des adultes devraient pouvoir fumer de l'herbe pour des raisons de santé.
 
(1) La France est très peu libérale en la matière, à la différence du Canada, de la Belgique, des Pays-Bas, ou du Royaume-Uni, qui tolèrent l'usage médical du cannabis.
 
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Un nouveau site référençant les growshops.
Par Invité,
Depuis le 1 Juin 2005, un nouveau site a vu le jour… il s’agit d’un annuaire spécialisé des magasins pour la culture d’intérieure.
 
Que vous soyez en France, Belgique, Suisse, Espagne ou encore en Hollande, grâce à TousLesGrowshops.com vous trouverez en quelques clics le shop le plus proche de votre domicile.
Chaque magasin possède sa fiche et permet aux clients de laisser des commentaires, avis et même des notes !
Découvrez sans plus attendre, TousLesGrowshops.com
 
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[Hollande] Les touristes bientôt interdit de coffeeshops ?
Par Invité,
Les Etats voisins doivent ouvrir des magasins de chanvre eux-même et vendre du Cannabis ou encourager le marché noir sur leurs Sol.
D’après un journal écossais The Scotsman du 20 mai 05, Le gouvernement hollandais voudrait interdire l’accès des coffeeshops aux millions de touristes qui visitent chaque année le pays. Une expérience pilote devrait débuter dès cet été à Maastricht. Les Hollandais qui ont voté non à la constitution européenne pour protéger leur modèle de tolérance peuvent sûrement accepter cette mesure protectionniste. Les antiprohibitionnistes français qui ont voté non par solidarité doivent trouver la blague moins drôle. En dépit du bon sens et de l’efficacité, la prohibition ronge nos derniers espaces de liberté. Jusqu’à quand allons-nous le supporter ?
 
D’après les statistiques gouvernementales, plus d’un million et demi de touristes viennent principalement pour consommer des drogues, du cannabis dans les coffeeshops dans l’immense majorité . Ce narcotourisme génère donc des milliards d’euros pour l’économie hollandaise. Il entraîne aussi des nuisances, surtout le week-end, ainsi qu’une criminalité liée à l’approvisionnement des coffees et au business des autres substances. Ces dernières années, le gouvernement et les autorités des grandes villes avaient déjà nettoyé les scènes de rue trop visibles, les drugrunners les plus acharnés et les commerces les plus douteux. La répression s’était aussi intensifiée sur les planteurs et les house dealers. La douane hollandaise avait considérablement augmenté le nombre et l’intensité des contrôles volants. Le cannabis au volant commençait à être réprimé. Le modèle très free des Seventies devait s’adapter à l’hygiénisme de ce début de millénaire.
 
Cela ne suffisait toujours pas à calmer les assauts de l’ONU, des USA, de la France, la Suède et bien d’autres pays et organisations. D’après cette coalition de coincés du joint, la Hollande serait la principale cause de la propagation du cannabis dans la population mondiale. Sans Amsterdam, les vertueux enfants de ces petits paradis ne sombreraient jamais dans l’enfer de la drogue. Sus aux méchants Bataves. Quelle blague ! Voilà un bouc émissaire trop pratique pour stigmatiser le comportement libéral libertaire en matière de mœurs et reporter la faute de « l’épidémie » de cannabis sur son voisin.
 
Au plan intérieur, l’actuelle coalition et de nombreux maires ont gagné les élections avec un programme sécuritaire. Le cannabis devait être maté mais pas cassé, équilibre délicat pour une politique de façade. Pourtant, les déclarations du ministre de la justice Donner sur la fermeture complète des coffeeshops avaient déclenchée une polémique qui dure encore. Les récents assassinats politiques entraînent un repli identitaire assez fort, genre touche pas à ma Hollande. Ce risque d’en finir avec trente ans de tolérance sur le cannabis est pour beaucoup dans le vote négatif sur l’ex constitution européenne de l’ex président Giscard. Elle ne comportait pas assez de garantie pour la sauvegarde du modèle social hollandais.
 
En parallèle, le Maire de Maastricht avait lancé un processus pour la création d’un cannabis boulevard à cheval sur les trois frontières de son Eurorégion et pour l’autorisation d’une production locale contrôlée. Mais cet homme est un politicien rusé. Pour préserver son image droitière, accélérer le débat européen, protéger son expérience locale et mettre chacun devant ces responsabilités, il propose à ses voisins de gérer le problème et aux autres d’aller fumer ailleurs ou de faire pareil chez eux.
 
C’est aussi le sens du contrôle de la résidence dans les propositions du comité de l’initiative pro-chanvre en Suisse ou dans la pétition fribourgeoise de Chanvre-Info. Nous n’avons rien contre le tourisme et la solidarité entre consommateurs de cannabis embarqués dans la même galère. Mais nous ne pouvons pas gérer le problème planétaire à l’échelle de nos expérimentations régionales ou même nationale. Les plus malins arriverons toujours à se débrouiller. Les autres pourraient grossir le bataillon des militants pour une réforme globale de la politique des drogues et ainsi espérer obtenir la même chose. On peut toujours rêver.
 
Source : Les touristes bientôt interdit de coffeeshops ?
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Un chien accroc aux feuilles de cannabis
Par Invité,
Une femme de Santiago, au Chili prétend publiquement que son boxeur albinos est dépendant à la marijuana pour des raisons… médicinales.
 
Angelica Fuentes dit affirme qu’Orlando mange des feuilles de cannabis à chaque jour. Selon elle, son chien consomme ces feuilles pour supprimer ses problèmes d’estomac.
 
Tout a commencé quand un ami de Mme Fuentes lui a demandé de garder un de ses plans de cannabis... pour quelques temps. Le chien a découvert la plante et en a mangé une partie.
 
Depuis ce temps, le chien cherche continuellement des feuilles de pot dans le jardin.
 
«Maintenant, je garde des plans de pot au travers des autres plantes dans ma cour et Orlando fait le tri entre les feuilles qui sont prêtes à êtres consommées», a poursuivi Mme Fuentes.
 
Source : Matin.qc.ca
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Manifestation pour la libéralisation du cannabis
Par Invité,
[src align=left w=150 h=100]https://permanent.nouvelobs.com/photos/20031110.OBS1155.jpg[/img]1 30 personnes selon la police, 200 à 300 selon les organisateurs, ont manifesté pour "la libéralisation du cannabis" samedi 7 mai après-midi à Paris, demandant que "cesse la politique actuelle de criminalisation" de cette drogue douce.
La préfecture de police de Paris avait autorisé "un rassemblement statique sur le terre-plein Richard-Lenoir à la Bastille entre 13H00 et 19H00".
"C'est la première fois que la préfecture autorise officiellement un rassemblement dans le cadre de la marche mondiale pour la dépénalisation du cannabis, organisée chaque premier samedi de mai depuis 2001", selon le collectif organisateur.
Ce rassemblement était soutenu par l'association Auto-support des usagers de drogue, le Collectif Agir pour une meilleure réglementation des drogues, le Collectif d'information et de recherche cannabique (CIRC), Ligne blanche, la Ligue des droits de l'Homme, la Ligue communiste révolutionnaire, les Verts et le Syndicat de la magistrature.
 
La suite sur la source de l'article
Source : nouvelobs.com
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Manifestation pour la légalisation de la marijuana
Par Invité,
Des centaines de partisans de la marijuana se sont rassemblées dans le parc Queen's à Toronto juste derrière la législature provinciale, samedi, pour leur sixième rassemblement annuel.
 
Des rassemblements semblables se sont tenus ailleurs du pays et dans le monde.
 
Les organisateurs ont expliqué qu'ils voulaient sensibiliser le public sur les vertus du cannabis et les raisons pour lesquelles la consommation de marijuana devrait être légalisée au pays.
 
L'événement n'a donné lieu à aucun débordement et personne n'a été arrêté.
 
Source : radio-canada.ca
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