44 jours de prison à Dubaï pour... 0,1g de cannabis !
Par Invité, dans Ce que nous avons retenu...,

Le 8 mars dernier, vers 10h du matin, heure locale, Frédéric, un patron de PME, et sa femme Julie arrivent à Dubaï pour une semaine de vacances. Lors du contrôle à la douane à l'aéroport, le couple s'étonne que la fouille de ses bagages soit plus approfondie que pour les autres passagers. Après avoir été finalement autorisé à reprendre ses valises, Frédéric Palma est rattrapé par un douanier. Il est alors emmené dans une pièce attenante pour un nouveau contrôle.
 
Source: LCI
● Un Français a été arrêté à son arrivée à l'aéroport avec des restes de boulettes de cannabis trouvées dans son sac. Il a ensuite été détenu pendant presque deux mois.
● L'émirat pratique la tolérance zéro en matière de drogue.
 
Le douanier ouvre alors son sac et en tire une minuscule boulette de cannabis -elle sera estimée à 0,1 g. "Peut-être s'agissait-il des restes d'une barrette remontant à quelques mois", admet-il. "Ou alors il est fort possible que la boulette ait été placée là volontairement par les douaniers", ajoute-t-il, soulignant que son sac avait été fouillé au départ de la France et que rien n'avait été trouvé.
 
"Surtout ne plaide pas 'non coupable'"
 
Quoi qu'il en soit, en vertu de la loi en vigueur à Dubaï (voir encadré ci-dessous), Frédéric, qui ne parle ni anglais ni arabe, est arrêté. "Pendant plusieurs heures, ils m'ont trimballé de pièce en pièce, multipliant les fouilles au corps. Ils m'ont ensuite fait signer des papiers que je ne comprenais pas". En fin de journée, il est placé en détention dans le "centre de déportation" installé près de l'aéroport. Il y restera plus d'un mois avec environ 180 autres personnes. "Les conditions étaient vraiment déplorables. Nous étions dix dans une pièce minuscule avec huit lits. L'un des prisonniers était même atteint de tuberculose. Les toilettes étaient dans un état pitoyable. Les bagarres étaient assez courantes". Seule consolation : les coups de téléphone sont à volonté, à condition d'acheter une carte prépayée.
 
Après s'être renseigné auprès des autres prisonniers qui parlent français, Frédéric apprend que la seule solution pour accélérer son dossier est de plaider coupable. "Sinon, cela aurait été pire car j'aurais été considéré comme un dealer", indique-t-il. "Surtout, on m'a fait comprendre qu'il ne fallait pas aller à l'encontre du procureur, sous peine de voir son dossier enterré sous une pile. Même chose en prenant un avocat, qui de toute façon, coûtait une fortune".
 
Le consulat contacté
 
Pendant ce temps, la femme de Frédéric contacte le consulat de France. Elle rencontrera deux fois la consule. "On a vite compris que le consulat ne pouvait pas faire grand-chose pour intervenir dans la procédure judiciaire. Mais ils ne sont pas véritablement préoccupés de moi comme ils sont censés le faire avec les Français détenus à l'étranger. Je n'ai ainsi reçu qu'une seule visite de la part d'un employé, au bout du 30e jour. Lui aussi m'a conseillé de faire le dos rond et de ne pas prendre d'avocat", note Frédéric.
 
Interrogé par LCI.fr, le ministère des Affaires étrangères estime pour sa part que le consulat a agi comme il le fait à chaque fois dans ce genre de cas. "Contrairement à ce que l'on pense parfois, un consul n'a aucun pouvoir pour faire libérer un détenu. Mais il s'assure qu'il va bien, qu'il est traité correctement et que la procédure est respectée. C'est ce que nous avons fait avec cette personne, à qui nous avons en fait rendu visite trois fois -dont une fois alors qu'il était absent car interrogé par le procureur. Nous l'avons aussi informé que, par expérience, le fait de prendre un avocat ne changeait malheureusement pas grand-chose sur la processus", indique le Quai d'Orsay.
 
"Traumatisé, choqué"
 
Au terme de la procédure -analyse d'urine, scanner des yeux...-, Frédéric est finalement libéré le 20 avril. Ayant plaidé coupable, aucune charge n'est retenue contre lui, sauf l'interdiction de séjourner à Dubaï. Il est donc expulsé. Sans aucune amende à régler, il prend l'avion grâce à un billet d'avion acheté par sa femme. Après être rentrée en France, celle-ci sera revenue à deux reprises à Dubaï pendant les 44 jours de détention de son mari. "Je veux témoigner car cela m'a traumatisé et choqué. Et surtout alerter sur le fait que cela peut arriver à n'importe qui. Un de mes camarades était ainsi détenu pour des médicaments indispensables à son traitement", conclut Frédéric.
 
Drogue : Dubaï, un pays très répressif
 
La législation de Dubaï est l'une des plus strictes au monde en matière de stupéfiants : toute importation, même en quantité infinitésimale, est interdite, aussi bien pour les personnes entrant dans le pays -touristes, hommes d'affaires...- que pour celles transitant uniquement à l'aéroport entre deux vols de et vers l'étranger. Pour trouver la drogue, l'émirat possède des machines de premier ordre, bien plus sophistiquées qu'en France. Selon le consultat, une trentaine de Français subissent ainsi chaque année la mésaventure de Frédéric.
 
Certains médicaments, délivrés sous ordonnance avec une lettre du médecin ou même parfois en vente libre dans certains pays européens, sont aussi concernés par la loi. Selon les quantités retrouvées sur les contrevenants, les peines de prison sont variables et montent parfois jusqu'à plusieurs années de prison. Pour 0,1g, elle peut grimper à 4 ans de prison, comme un touriste italien en a fait l'amère expérience en 2007.
 
Le ministère des Affaires étrangères rappelle, qu'avant un départ pour l'étranger, le site "conseils aux voyageurs" permet de s'informer sur les législations des pays traversés. "Elles sont parfois très différentes des nôtres. Ce qui est possible en France peut être fermement réprimandé ailleurs. Nous ne pouvons que conseiller à nos ressortissants de respecter les lois des pays qu'ils visitent".
 
Fabrice AUBERT
 
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Européennes : une liste pro-cannabis se lance sur le tard
Par Invité,
Et de sept. Sept volontaires pour se présenter aux européennes sous l'étiquette Cannabis sans frontières. Les lettres de candidature sont arrivées ce mardi matin chez Farid Ghehiouèche, tête de liste en Ile-de-France. Il était temps, les listes doivent être déposées vendredi.
 
Source : Rue89

 
Militant antiprohibitionniste de longue date, Farid Ghehiouèche est à l'origine de ce pari un peu fou. Et de dernière minute. A tel point qu'il a dû lancer, le 12 mai, un appel à candidature un peu désespéré sur le Net :
 
« Pour que la question des drogues puisse être posée dans les urnes pour la première fois en France à l'occasion des élections européennes de 2009, il faut que 147 personnes acceptent de se porter candidats avant une semaine. »
 
Les militants historiques ne se sont pas mobilisés
 
Résultat mitigé : Cannabis sans frontière compte à ce jour 26 candidats en Ile-de France, seule région où une liste devrait être déposée. Une autre pourrait voir le jour dans le Centre ou le Sud-Est, mais rien n'est moins sûr.
 
Même s'ils soutiennent l'initiative, les militants historiques, comme Jean-Pierre Galland, président du Circ, ne se présentent pas. La sociologue Anne Coppel, figure de proue de la réduction des risques, se présente elle sur la liste Europe Ecologie de Daniel Cohn-Bendit. Farid Ghehiouèche fait avec :
 
« On est déçu de ne pas avoir de figure de proue de l'antiprohibitionnisme à nos côtés, mais on a des têtes nouvelles, des gens qui ont des choses à dire. Certains ne sont pas fumeurs mais se battent par exemple pour la liberté sur le Net. Le point commun ? Les libertés publiques. »
 
Il y a dix ans, les Verts avaient accepté la candidature de Jean-Pierre Galland pour les européennes. Farid Ghehiouèche milite lui-même dans ce parti depuis 1997, mais a « pris ses distances » :
 
« Au début, on voulait faire du lobbying auprès des listes des Verts, du NPA, pour les intégrer, mais ça n'a pas marché. Alors on s'est lancés. Nous, on va y aller de front, alors qu'Europe Ecologie va contourner la question. Même si ça reste la liste dont on est la plus proche. »
 
Si les candidats ne se font pas d'illusion sur la possibilité d'avoir un élu, l'objectif affiché est de :
 
« Réveiller le débat sur les drogues et les libertés publiques en général. On va essayer d'apporter des idées nouvelles pour définir les contours d'une politique innovante et audacieuse au niveau français ou européen. »
 
Une politique que résumaient Farid Ghehiouèche et Michel Sitbon, éditeur libertaire et porte-parole de la liste, lors de la Marche mondiale pour le cannabis, le 9 mai, place de la Bastille. (Voir la vidéo)
 
https://www.dailymotion.com/swf/x9a2qj_campagne-europeennes-2009_news&related=1
 
Faute de moyens, la campagne sera « participative à 200% ». Les électeurs seront ainsi invités à imprimer eux-mêmes leurs bulletins de vote (« parce qu'on a un engagement écologique ») et à se transformer en colleurs d'affiches, à télécharger sur le site de Cannabis sans frontières.
 
Pourquoi avoir choisi les européennes ?
 
« Parce qu'alors que le front antiprohibitionniste français est au 36e dessous, que le débat est inexistant dans notre pays, les choses bougent au niveau européen mais aussi en Belgique ou en Espagne. »
 
L'AFP se prend les pieds dans le cannabis
 
Il est vrai qu'il n'est pas facile de militer et de se faire entendre sur le sujet en France. Le 9 mai, l'AFP, qui avait dépêché une journaliste à la Bastille, titrait sa dépêche : « Annulation de la Marche mondiale du cannabis. » Il faut dire que, mauvais temps aidant, la manifestation n'a pas déplacé les foules. La journaliste l'aurait tout simplement ratée…
 
Un rectificatif est publié à 23 heures. Trop tard, de nombreux sites d'infos ont diffusé la nouvelle. Et ne prendront pas la peine de rectifier.
 
Deuxième mésaventure jeudi : le compte Facebook de la tête de liste est fermée pour « utilisation abusive ». Quant aux pouvoirs publics, qui menacent déjà d'interdire la liste antisionniste de Dieudonné ?
 
« J'ai vérifié dans le code électoral, il n'est pas écrit qu'on n'a pas le droit de faire une liste pour dénoncer une loi inique. En fait, ça pourrait nous aider s'ils brandissaient la menace de la censure, on bénéficierait peut-être de la même couverture médiatique que la liste Dieudonné… »
 
 
 
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Une liste en Ile-de-France, peut-être deux avec l’Outre-mer...
Par Invité,
Aujourd’hui, lundi 18 mai, la campagne Cannabis Sans Frontières (alternative écologique) comptabilise apparemment assez de candidats inscrits pour constituer une liste en Île-de-France.
 
Source : CannabisSansFrontières.orgIl semble que la mobilisation soit insuffisante à l’heure où nous parlons pour constituer des listes dans l’ensemble des huits euro-régions, ainsi qu’on l’avait annoncé, ainsi qu’on le souhaitait.
 
La campagne Cannabis Sans Frontières appelle tous ses soutiens à se manifester pour compléter éventuellement d’autres listes dans les prochaines 48 heures. Rappelons que les listes devront être déposée officiellement au ministère de l’Intérieur au plus tard le 22 mai.
 
Une deuxième liste pourrait se faire dans le sud-est, région pour laquelle il faut 26 candidats, comme en Île de France. À défaut une « petite » liste de 10 candidats est envisageable dans le Massif central… Ou, mieux : une liste de 9 candidats pour l’outre-mer. Celle-ci devrait obligatoirement comporter des représentants des trois sous-régions, Pacifique (Nouvelle-Calédonie et Polynésie), Atlantique (Martinique, Guadeloupe et Guyane) et Océan indien (la Réunion et Mayotte).
 
On appelle donc tout particulièrement les candidatures de ces trois sous-régions, afin que les électeurs d’outre-mer puissent voter tout comme ceux de région parisienne – contre la persécution policière quotidienne dont la jeunesse des îles peut être victime comme celle de banlieue.
 
Relevons à ce sujet le fait que curieusement la règle électorale impose neuf candidatures pour seulement trois postes à pourvoir pour la représentation de l’outre-mer, chaque candidat ayant besoin de deux suppléants (au lieu d’un seul pour les candidatures en métropole).
 
La règle ne dit pas comment interpréter l’obligation de parité pour un nombre impair de candidats…
 
Contacts : 0614815679 ou 0952738153
 
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Farid Ghehiouéche, le candidat qui n'a pas le profil facebook
Par Invité,
Dans une campagne électorale, les médias aiment comparer les candidats à l’aune de leurs sites internet, de la fréquentation de leur profil sur les « réseaux sociaux », de leur référencement sur la toile.
 
Source : CannabisSansFrontières.orgCrée mardi 12 mai, en fin d’après midi, le profil facebook de la liste pour les élections européennes Cannabis sans frontières, rassemblait modestement une vingtaine de membres jeudi matin vers 3h00, lorsque le compte de Farid Ghehiouèche, candidat tête de liste en Ile de France Cannabis Sans Frontières a été suspendu. Quelques heures plus tard, un message indiquait que son profil avait été supprimé pour une utilisation abusive !
 
Il y a quelques semaines, le 10 mars, un agent de la DCRI contactait Farid Ghehiouèche pour lui demander s’il était à l’origine d’un appel à manifester à Paris pour la légalisation du Cannabis, le 14 mars. Coopérant, afin d’éviter aux promoteurs de cette manifestation une interpellation, Farid Ghehiouèche indiquait sur le profil « Cannabis legalized », comment organiser un événement conforme aux dispositions légales pour le dépôt d’une demande d’autorisation d’un rassemblement public.
 
Cette péripétie confirmait le rôle policier de la plateforme Facebook, et Farid Ghehiouèche de préciser : « Ces réseaux sociaux virtuels sont des outils d’auto-délation, où les données privées et personnelles peuvent devenir des instruments du flicage policier. On observe que pour le recrutement, comme pour contrôler les activités et les opinions de certaines personnes, ces sites sont des calamités pour la démocratie et les libertés individuelles ».
 
Force est de constater que se dessine une tendance policière lourde à l’égard des moyens d’expression du candidat de la liste Cannabis Sans Frontières avec la suppression du compte Facebook qu’il administrait. Une élimination qui intervient à la suite de la modification du titre d’une brève de l’AFP indiquant mensongèrement que la Marche Mondiale du Cannabis avait été annulée, puis celle de la diffusion d’un reportage dont le commentaire journalistique dénigrait l’initiative lancée par Cannabis Sans Frontières (alternative écologique).
 
Qui veut nous réduire au silence ?
 
Contacts : 0614815679 ou 0952738153
 
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Les Pays-Bas limitent l'accès aux coffee shops à la frontière belge
Par Invité,
Les Pays-Bas ont annoncé hier que l'accès aux coffee shops allait être plus règlementé. Une carte de membre sera désormais nécessaire.
 
Source: Libération
Un client, dans un coffee shop de Rotterdam, en 2008. Jerry Lampen / Reuters
 
Plus question d'acheter librement de la drogue dans les coffee shops au Pays-Bas. Face aux nuisances générées par le tourisme de la drogue, le pays revoit sa politique de tolérance: les acheteurs de cannabis vont devoir présenter une carte d'accès pour s'approvisionner dans les coffee shops à la frontière belge.
 
«Nous allons transformer les coffee shops, des établissements ouverts, accessibles à tous, en établissements fermés dont il faudra devenir membre», a annoncé hier le maire de Maastricht, Gerd Leers. L'objectif de la mesure, qui sera mise en place dès le 1er janvier 2010 dans la trentaine de coffee shops de la province du Limbourg (sud-est), est de «décourager la majorité des touristes de la drogue», a-t-il précisé.
 
En effet, chaque année, c'est près de quatre millions d'étrangers qui vont acheter du cannabis dans le Limbourg. La moitié d'entre eux se rendent à Maastricht. «Nous luttons depuis des années contre l'attrait qu'exercent sur les étrangers les coffee shops du Limbourg en tant que région frontalière et les nuisances liées à la venue de nombreux Belges, Français et Allemands», a souligné Gerd Leers. Ces nuisances se traduisent par des dégradations, un intense trafic routier, du trafic de drogue et d'autres faits criminels.
 
Une carte d'accès individuelle obligatoire
 
Le projet pilote, soutenu par le gouvernement, prévoit que pour acheter du cannabis, il faudra être titulaire d'une carte d'accès individuelle, délivrée par les coffee shops. Cette carte, sur base d'une donnée biométrique, permettra d'identifier les clients qui ne pourront plus acheter que 3 grammes de cannabis maximum par jour, contre 5 grammes actuellement. Et l'achat de cannabis ne sera possible que par carte ou virement bancaire.
 
«Les petits approvisionnements des coffee shops, à l'origine conçus pour répondre aux besoins locaux, sont devenus un grand business dont beaucoup veulent profiter, notamment des revendeurs illégaux dépendant souvent d'organisations criminelles», a affirmé le maire de Maastricht. Les 702 coffee shops néerlandais disposent d'une licence municipale pour vendre la marijuana mais ne sont pas autorisés à en stocker plus de 500 grammes. La culture et la vente en gros sont actuellement interdites.
 
«Une approche plus dure de l'illégalité»
 
Le projet présenté mardi prévoit également une «approche plus dure de l'illégalité» par la police et la justice, qui devront en faire leur priorité, a insisté la ministre de l'Intérieur, Guusje Ter Horst. Par ailleurs, le Conseil d'Etat néerlandais a posé une question préjudicielle à la Cour européenne de justice sur la possibilité de limiter l'accès de coffee shops aux seuls Néerlandais. Une réponse n'est pas attendue avant un an et demi.
 
Deux communes néerlandaises, Roosendaal et Bergen-op-Zoom (sud-ouest), également proches de la frontière belge, avaient annoncé en mars la fermeture définitive, à partir de septembre, de leurs huit «coffee shops», pour mettre fin aux nuisances de quelque 25 000 touristes qui viennent acheter chaque semaine du cannabis. Ces fermetures ne sont cependant pas «une réelle alternative», a estimé le mairie de Maastricht, elles «risquent de chasser les clients dans l'illégalité».
 
(Source AFP)
 
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Un hélicopète qui localise le cannabis à l'odeur
Par Invité,
Les autorités Néerlandaises ont mis au point un hélicoptère permettant de sentir les plantations de cannabis indoor. Muni de capteurs d'odeurs et d'une caméra embarquée il détecte depuis les airs les bâtiments renfermant les fermes de cannabis.
Et ça fonctionne, dès son premier vol l'hélicoptère a repéré un lieu de production, menant à l'arrestation de 7 individus et à la saisie de plusieurs kilo d'herbe.
 
Cependant dans un système où seule la vente de cannabis est réglementée, et où la production ne bénéficie d'aucun cadre légal, on ne peut que s'interroger sur le manque de cohérence du gouvernement des Pays-Bas.
 
On dépense les taxes de la vente de cannabis dans la répression des organisations qui alimentent ce même marché. Quand mettrons-nous un terme à cette absurdité pour mener une politique globale et pragmatique ?
 
Charles Jefferson
 
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La liste Cannabis Sans Frontières se présente aux élections européennes 2009
Par Invité,
Elections européennes 2009 Région Ile-de-France
Cannabis Sans Frontières (Alternative écologique) Liste conduite par Farid Ghehiouèche
 
Mais il y a besoin (d’urgence) de candidats, pour boucler cette liste, et pour en constituer dans chacune des sept autres euro-régions, afin que cette initiative devienne une liste nationale – et que tous les partisans d’une réforme des lois sur le cannabis puissent s’exprimer par leur bulletin de vote lors de ces élections européennes !
 
Source : CannabisSansFrontières.org
D’ores et déjà des contacts sont pris avec d’autres initiatives similaires en Europe (Espagne, Italie, Belgique...).
 
Pour mettre au point ces listes au niveau de chacune des régions, veuillez prendre connaissance du petit mémento ci-dessous, qui vous permettra d’agir de manière autonome.
 
Un détail important : cette campagne se fait sans argent, et sans autre moyen de propagande qu’Internet – ou les manifestations et rassemblements qui seront organisés au long de la campagne.
 
Surtout, il s’agit d’une campagne "participative" : comme nous n’aurons pas les moyens d’imprimer les bulletins de vote et professions de foi, nous les éditerons (en PDf) sur Internet, et ce sera aux électeurs d’imprimer eux-mêmes leurs bulletins de vote (et de les découper pour qu’ils soient au format légal) !
 
Pour commencer, chaque liste a besoin d’une tête de liste et d’un mandataire financier (non candidat). Il faut ensuite compléter la liste des candidats et suppléants (en respectant la "parité" hommes/femmes).
 
Il faut absolument qu’on ait bouclé l’ensemble de ces listes dans les huit "eurorégions" / IL FAUT 147 CANDIDATS CANNABIQUES -TITULAIRES ET SUPPLEANTS [Est (18 représentants), Ile-de-France (26), Massif central-Centre (10), Nord-Ouest (20), Ouest (18), Outre-mer (9), Sud-Est (26) et Sud-Ouest (20).] d’ici le 18 mai (pour vérifications et remise officielle le 20 mai).
 
Tout citoyen éligible (de plus de 23 ans) est susceptible d’être candidat. Etre candidat n’engage à rien d’autre que de donner son nom (bulletin de vote).
 
Mobilisez-vous ! Mobilisez vos amis ! Pour une Europe cannabique !
 
Pour contacts :
 
E-mails : farid at no-log dot org ou csf2009 at free dot fr
 
Téléphones : 06 14 81 56 79 ou 09 52 73 81 53
 
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La Marche Mondiale du Cannabis victime de l’AFP
Par Invité,
Farid Ghehiouèche, tête de la liste Cannabis sans Frontières aux élections européennes du 07 juin 2009, dénonce la fausse information diffusée par l’AFP ce 09 mai à 19 heures 20. Cette mauvaise information a été reprise par plusieurs média. Contrairement au titre de la dépêche de l’AFP, la Marche Mondiale du Cannabis a bien eu lieu comme chaque année place de la Bastille, sur le parvis de l’opéra.
 
Source : CannabisSansFrontières.org
Sous la pluie, elle s’est déroulée dans un esprit fraternel et convivial. Les organisateurs s’étonnent également que la préfecture de police ait autorisé au même moment et au même lieu un rassemblement de Malgaches pour la démocratie. Maladresse en dépit de laquelle les deux manifestations ont su cohabité de 15 heures à17 heures 30.
 
Dans la foule des slogans tels que : « moins de police, plus de cannabis », « + 2H, - 2N », « on veut du bédo, on veut du bédo bio », « stop la répression, vive la légalisation ; stop la prohibition, vive l’autoproduction »… C’était un « cannapeace day » joyeux, qui marque une date historique pour le mouvement en faveur du chanvre et de ses dérivés.
 
Cette année, la Marche Mondiale du Cannabis était l’occasion de lancer la campagne de Cannabis Sans Frontières pour les élections européennes de 2009. Les organisateurs se félicitent de la présence de Anne Coppel candidate sur la liste Europe Ecologie, de Jean-Pierre Galland, président du CIRC et des nombreux participants anonymes. Les journalistes étaient également présents, malgré la pluie : BFM, France 5, France Info, Télé Liberté ainsi qu’une équipe de l’AFP.
 
Cannabis Sans Frontières se scandalise que l’AFP n’ait pas publié de rectificatifs malgré nos demandes réitérées. Nous demandons à l’ensemble des médias trompés par la diffusion de cette fausse nouvelle de rectifier par eux-mêmes.
 
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Grand Concours de Journaux De Culture
Par Invité,
Bonjour,
 
CannaWeed organise du 4 mai au 4 octobre 2009 (30 octobre pour l'extérieur) un grand concours de JDC en partenariat avec le growshop Espagnol ******.
 
De nombreux prix sont en jeu pour une valeur totale de 2500e !
 
Le concours démarrera ce soir à minuit.
 
Découvrez le règlement et le détail des lots selon les catégories :
moins de 400W, plus de 400W et extérieur
 
Le concours est ouvert à tous les membres de CannaWeed, toutefois le passage en floraison devra se faire au plus tôt le 10 juin 2009.
 
Pour participer il suffit de poster son JDC dans la section adéquate.
 
Si vous avez des questions ou remarques subsidiaires rendez-vous sur ce topic
 
Enfin vous trouverez ici les dates des prochains concours.
 
Nous vous souhaitons à tous une agréable navigation sur CannaWeed ainsi que d'excellentes cultures !
 
Cordialement, L'Equipe CannaWeed.
 
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