Black the Ripper : Le rappeur britannique et activiste du cannabis est mort à 32 ans
Par mrpolo, dans International,

Des stars comme Maya Jama et Skepta font partie de ceux qui rendent hommage au rappeur britannique Black The Ripper après sa mort.
La marque et la marque de vêtements de 32 ans, Dank Of England, ont confirmé la nouvelle en écrivant sur Instagram: "Je n'arrive pas à croire que j'écris ceci … ça ne me semble toujours pas réel … Rest In Power mon frère . "
Black The Ripper était surtout connu pour son album 2018 Money Grows On Trees et la mixtape Holla Black.
En plus de sa carrière musicale, le rappeur, de son vrai nom Dean West et également connu sous le nom d'Ital Samson, était un éminent défenseur de la légalisation du cannabis au Royaume-Uni.
 
Sa page Instagram présente des photos de lui-même avec du cannabis dans des lieux publics, y compris devant le siège de la police métropolitaine, et il partagerait également des articles de presse sur les avantages médicinaux de la drogue.
Le rappeur né à Londres avait séjourné à Montserrat, dans les Caraïbes, avant sa mort, selon des informations. Aucune cause de décès n'a été donnée.
 
La présentatrice de télévision et de radio Jama a partagé plusieurs photos d'elle avec West, le décrivant comme "une belle âme".
Rendant hommage, le rappeur Chip a posté une photo de la paire ensemble et a dit: "RIP mon frère."
 
Dans un tweet séparé, la star a écrit que les personnes en deuil ne pourraient pas assister aux funérailles en raison de la coronavirus pandémie, ajoutant: "Je sais que les gens voudraient sortir pour lui. RIP Black The Ripper."
 
Wiley, qui avait collaboré avec West, a rendu hommage en disant: "Il est temps de sortir de la musique #LetsGo RIP @BlackTheRipper #Legend."
Krept, du duo de rap Krept & Konan, a tweeté: "Pas du tout noir l'éventreur. Un homme du R.I.P putain d'enfer quelle horrible année."
La star de Grime Ghetts a écrit: "Allumez-en un pour Black l'éventreur. Très triste nouvelle."
L'acteur Michael Dapaah, mieux connu pour son alter ego Big Shaq, a déclaré: "Vraiment triste nouvelle RIP Black The Ripper, mes condoléances à sa famille et à ses proches."
 
 
 
Source: news-24.fr
 
 
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Charlotte Figi, homonyme de la variété de cannabis médical Charlotte Web, est décédée du COVID-19
Par Indi-Punky,
Charlotte Figi, la petite fille qui a inspiré la variété de cannabis médical à faible teneur en THC, «Charlotte’s Web», est décédée du COVID-19.
Des proches de la famille ont déclaré que plusieurs membres de la famille ont été testés positifs pour le virus.
 
Mardi, 179 personnes sont mortes du coronavirus dans le Colorado, selon le ministère de la Santé publique et de l'Environnement du Colorado.
Figi avait subi des centaines de crises lorsque ses parents, épuisés par les drogues lourdes, ont demandé l'aide des Stanley Brothers du sud du Colorado, qui ont finalement conçu le CW Hemp non psychoactif en 2011.
 
L'avènement de la plante de chanvre CW a incité des centaines de familles à affluer vers le Colorado, à la recherche d'un traitement alternatif pour une variété de problèmes de santé, y compris les crises épilepsie, peu de temps après que le Colorado a légalisé la marijuana médicale.
 
Figi n'avait que trois mois lorsqu'elle a commencé à avoir des crises lié au syndrome de Dravet. Après avoir pris de l'huile issu de la variété Charlote Web, ses crises se sont réduites à deux ou trois par mois.
 
Un ami de la famille Figi a publié mardi sur Facebook: «Charlotte ne souffre plus. Elle est sans crise pour toujours. »
 
La famille a demandé de l'intimité pendant cette période.
 
Charlotte Figi avait 13 ans.
 
Source: https://krdo.com/news/top-stories/2020/04/07/charlotte-figi-namesake-of-charlottes-web-medical-marijuana-strain-dies-with-covid-19/
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Confinement et cannabis, cachez cette addiction que le gouvernement ne saurait voir
Par mrpolo,
Tabac, alcool et produits de vapotage n'ont heureusement pas été interdits. Mais il va falloir compter avec les multiples conséquences de la pénurie en cannabis.

«Une dépendance grave à une substance licite vaut toujours mieux qu'une dépendance de moindre gravité à une substance interdite», déplore le Dr William Lowenstein, président de SOS Addictions. | realworkhard, ponce_photography et gjbmiller via Pixabay
 
Il croyait très bien faire. Lundi 23 mars, Ziad Khoury, préfet de l'Aisne, prenait un arrêté interdisant toutes les ventes d'alcool à emporter dans l'ensemble du département. Objectif: réduire les risques de violences intra-familiales inhérentes aux imprégnations alcooliques dont il pensait qu'elles seraient plus fréquentes durant la longue période de confinement.
 
Las, devant les réactions de plusieurs spécialistes de la prise en charge des addictions le préfet faisait, dès le lendemain, marche arrière. Il n'avait pas saisi que, dans ce domaine aussi, le mieux peut vite se révéler l'ennemi du bien. «À part promouvoir, dans ce département, la distillation au domicile et surcharger les urgences et services hospitalier pour delirium tremens, je ne voyais guère l'intérêt de cette mesure préfectorale», explique le Dr William Lowenstein, président de SOS Addictions.
 
Les spécialistes des addictions n'ont pas su se faire entendre en Polynésie française, où cette interdiction a été imposée. Idem au Groenland où le gouvernement a, le 28 mars, annoncé l'interdiction de la vente d'alcool dans la capitale Nuuk et sa région pendant le confinement qui doit durer, au minimum, jusqu'au 15 avril. Là aussi, l'objectif affiché est de limiter les violences domestiques. «Dans une situation aussi particulière, nous devons prendre de nombreuses précautions pour éviter l'infection. Mais le cœur de ma décision est de protéger les enfants, ils doivent avoir un foyer sûr», a expliqué le chef du gouvernement groenlandais.
 
L'alcool, une «première nécessité» paradoxale
Comment comprendre que l'interdiction de pouvoir acheter un produit potentiellement toxique ne soit pas une priorité de santé publique? Car il ne fait aucun doute que les contraintes inhérentes au confinement et à son prolongement dans la durée augmentent les incitations à consommer –certain·es avançant que l'alcool peut être considéré comme «un achat de première nécessité».
 
«On ne va pas forcément développer une dépendance, mais l'effet de groupe des apéros par vidéo par exemple peut créer une habitude et une propension à consommer tous les jours. Cependant, une personne qui ne buvait pas avant ne va pas s'y mettre», explique Selma Archier, psychologue addictologue dans une association à Montreuil. «En réalité, c'est la peur, l'anxiété, le fait de ne pas voir de fin à ce confinement qui augmente le stress et peut créer un besoin d'alcool autant que sa surconsommation. Dans ce contexte, les gens qui sont seuls sont des personnes encore plus à risque, pour gérer ces émotions négatives qui peuvent pousser à boire.»
 
Dès lors, en quoi interdire la vente pourrait-elle être une mesure contre-productive? «La décision du préfet de l'Aisne, qui partait d'une bonne intention, n'était pourtant pas aussi pertinente qu'on pourrait le penser a priori, explique, au risque de surprendre, l'Association nationale française de prévention en alcoologie et en addictologie (Anpaa). En effet, si l'alcool est souvent impliqué dans la survenue de violences familiales, comme facteur favorisant ou causal, cela ne saurait justifier l'interdiction totale à l'ensemble d'une population.»
Fédération Addiction Pour l'Anpaa comme pour tou·tes les spécialistes, les contraintes nées du confinement peuvent générer ou exacerber les violences dans certains couples. Pour autant l'arrêt de toutes les ventes d'alcool entraînerait immanquablement chez nombre de personnes dépendantes des phénomènes de sevrage aigu aux conséquences immédiates plus graves que le maintien de la consommation, même excessive.
 
L'initiative du préfet de l'Aisne a aussi alimenté une réflexion plus large au sein de la Fédération Addiction sur le thème des usages et addictions en temps de confinement. Elle a ainsi permis de rappeler que, pour les personnes qui en souffrent, l'addiction «est un enfermement, une prison dont elles peinent à s'extraire alors même que leur vie en devient impossible». La Fédération rappelle aussi qu'on a longtemps cru les aider en les enfermant dans des hôpitaux ou des asiles avant d'en reconnaître l'échec. «Aujourd'hui, pour les millions de Français dépendants de substances, légales ou non, le confinement pose avec une nouvelle acuité l'éternel problème de gérer une dépendance dans un contexte de crainte de pénurie.»
Parer à l'angoisse du manque
Ceci est lié à un phénomène bien connu des soignant·es comme de leurs patient·es: l'angoisse cardinale de l'addict est celle du manque. Et l'angoisse, le stress sont les moteurs essentiels du besoin irrépressible de consommer, du craving. Cette situation d'angoisse du manque doit donc non seulement être prise en charge, pour apaiser, mais aussi pour réduire les risques de débordements, d'agressivité, de troubles du comportement, de violences, de prises de risques, d'overdoses, etc.
 
Les personnes qui ignorent ces réalités pathologiques ont pu voir dans l'instauration du confinement une chance à saisir pour que «les addicts arrêtent de consommer». C'est ainsi que certain·es se sont étonné·es de voir que les accès au tabac et aux boissons alcooliques avait d'emblée été préservés par le pouvoir exécutif. On vit ainsi, aussitôt réactivé, le mythe du «ce n'est qu'une histoire de volonté» et celui de la prohibition décrétée comme solution unique et définitive. «Le confinement deviendrait un instrument, une sorte d'abstinence obligée grâce à une claustration salvatrice, observe la Fédération Addiction.
 
Or c'est l'inverse qui nous semble être nécessaire: il faut assurer une garantie absolue d'approvisionnement en produits de dépendance, pour pouvoir ensuite aider ceux qui le souhaiteront à réduire ou à arrêter.»
 
Garantir l'accès en tabac et en alcool, certes mais ce n'était pas suffisant. C'est pourquoi plusieurs associations spécialisées (comme la Fédération Addiction ou #sovape) ont très vite réclamé la réouverture des boutiques de vape. Une demande très rapidement entendue et accordée par Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé, qui s'était déjà prononcé, avant d'être à ce poste, en faveur de cette méthode de réduction des risques tabagiques. Il en fut de même pour la facilitation de la délivrance des traitements de substitution aux opaciés (TSO) aux personnes souffrant de formes graves de toxicomanies.
 
Et les mêmes questions se posent, avec une plus grande complexité, pour les personnes dépendantes vivant dans le dénuement et, elles aussi, soumises au confinement. Au risque de heurter il faut, du moins si l'on veut que les sans-abri se rendent dans les «centres d'hébergement spécialisés», leur garantir l'approvisionnement en tabac, en alcool, en benzodiazépines et autres TSO. «C'est une condition sine qua non pour qu'ils acceptent d'y entrer et d'y rester –et pour que les troubles du comportement soient limités», expliquent les spécialistes de la Fédération Addiction.
 
On pourrait même imaginer, autre paradoxe, que dans ce cadre une prise en charge fondée sur la réductions des risques pourrait aider certain·es à souhaiter aller plus loin et à décrocher. Toujours selon la Fédération Addiction, quelques premières observations faites pendant le confinement dans certains centres de soins d'accompagnement et de préventions des addictions (CSAPA) sont encourageantes: les niveaux de consommation d'alcool baissent, malgré le stress, beaucoup de résident·es confiné·es expliquant que «c'est l'occasion ou jamais d'arrêter».
L'hypocrisie concernant le cannabis
Mais tout, ici, n'est pas dit par les canaux officiels. Car s'intéresser au confinement et aux addictions c'est, aussi et, traiter des drogues illicites. On vit ainsi des messages sanitaires interministériels mettre en garde contre «la consommation régulière de produits inhalés (tabac, cannabis, cocaïne, crack, etc.)», car de nature à augmenter le risque d'infection et de forme sévère de Covid-19. «Or chez certains, de telles consommations sont responsables d'une toux qui par elle-même favorise la transmission du virus à son entourage, y compris en cas d'infection sans symptôme», ajoutaient ces mêmes messages.
 
«Pour ne parler que du cannabis, l'actuel confinement va conduire à bien malaises individuels, à bien des impasses sociales, nous explique le Dr William Lowenstein. Les mesures de confinement font qu'il nous faut aujourd'hui compter avec les fermetures des frontières et toutes leurs conséquences en matière d'approvisionnement. Elles vont ainsi peut-être réussir là où la prohibition aveugle avait lamentablement échoué: ralentir les trafics et réduire massivement le volume des consommations.»
 
Une situation qui n'a rien de rassurant, selon l'addictologue: «Certains s'en réjouiront, mais ce n'est pas notre cas. Ce ne sera pas le cas non plus des personnes souffrant de maladies chroniques qui s'auto-médiquent avec les principes actifs du cannabis. Ce ne sera pas non plus le cas des policiers ou des pompiers œuvrant dans les cités. Et ce sera encore moins les cas des prisonniers et de l'administration pénitentiaire puisque que l'annulation des parloirs signifie tout simplement, aussi, la fin des approvisionnements.»
 
Dr William Lowenstein, président de SOS Addictions À l'annonce du confinement plus d'un million de Français·es se sont, selon le Dr Lowenstein, précipité·es dans les lieux de deal pour faire des provisions. Mais ces dernières se tariront bientôt. Or la dépendance au cannabis existe bel et bien avec, corollaire, un syndrome de sevrage (troubles de l'humeur, du sommeil, de l'appétit, irritabilité) qui ne présage rien de bon pour l'équilibre individuel et familial, pas plus que pour l'apaisement carcéral.
 
«Mais voilà, notre pays a sagement décidé de laisser ouverts les débits de tabacs, les magasins des cavistes ou les boutiques de vape. En revanche il ne peut laisser ouverts ses coffee shops puisque nous n'en avons toujours pas, observe le président de SOS Addictions. Nous sommes rattrapés par l'hypocrisie récurrente de nos responsables politiques puisque nous avons opté depuis bien longtemps déjà pour une économie parallèle teintée de violences. Une politique qui aujourd'hui ne nous permet pas de déclarer un plan de soutien pour assurer la continuité de la consommation devenue primordiale pour des centaines de milliers de personnes. Comment pourrions-nous soutenir le commerce des “mafias sans frontières” alors que nous sommes officiellement en guerre contre elles?»
 
Une substance illicite mais aux moindres conséquences
Comment la France, plus grosse consommatrice de cannabis au sein de l'Union européenne, pourra-t-elle assumer les conséquences de ses ambivalences, de ses errances, faute de vouloir avancer vers une dépénalisation assumée, préalable à une légalisation encadrée et taxée? «Cela tombe vraiment mal, ajoute, provocateur, le Dr Lowenstein. Car pour tuer le temps douloureux ou anxieux, pour aider à ne rien faire, le cannabis, ce dopant du presque rien, est une substance psychoactive très efficace. Verra-t-on sous peu des livraisons de pochons via Amazon? L'Agence française du médicament va-t-elle accorder des “autorisation temporaires d'utilisation thérapeutique” de cannabis à aller chercher sans encombre dans les cités? Non, bien sûr.»
 
Alors? «La réponse est connue, dit-il. En confinement urbain comme dans les prisons, ce sera la substitution par les médicaments anxiolytiques à moyennes ou fortes doses, et peu importe que leur indice addictogène soit trois à quatre fois supérieur à celui du cannabis; peu importe que le sevrage brutal des benzodiazépines soit (avec celui de l'alcool) le seul sevrage aux risques mortels (état de mal comitial). C'est tristement ainsi: en 2020, dans une France confinée, une dépendance grave à une substance licite vaut toujours mieux qu'une dépendance de moindre gravité à une substance interdite.»
 
Par Jean-Yves Nau
Source: slate.fr
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Belgique :  Le coronavirus fait grimper le prix du cannabis
Par Frett,
C’est une conséquence étonnante de l’épidémie de coronavirus: le prix du cannabis augmente.
"Cette semaine, mon dealer habituel m’a vendu 15 grammes de shit pour 150 euros, confie Michel, un consommateur de la région liégeoise, mais il m’a prévenu que la prochaine commande serait plus chère." 
La résine de cannabis provient du Maroc et doit franchir plusieurs frontières pour arriver jusqu’en Belgique. La fermeture des frontières et les contrôles aux douanes vont rendre le trafic plus difficile.
Même le prix de l’herbe (la fleur séchée de la plante), pourtant surtout produite aux Pays-Bas et en Belgique, est en train de grimper. "C’est 8 euros le gramme au lieu de 6, constate Jean-Marc, qui s’est fourni cette semaine à Namur. Moi, je consomme un gramme par jour, quatre ou cinq joints. J’ai un revenu très modeste. Cette augmentation fait très mal à mon portefeuille."
"Des gens achètent en grande quantité comme le papier toilette"
"Aujourd’hui ce n’est pas encore très sensible sur le terrain, mais on s’attend à une réduction importante de la circulation de la drogue dans les semaines qui viennent, confirme Léonardo Di Bari, le directeur du centre de prise en charge des assuétudes Phénix (Namur). C’est inévitable, le confinement complique les contacts entre les dealers et les consommateurs".
Philippe, un habitant de Bruxelles, a commandé la semaine passée 20 grammes d’herbe par internet. "Je l’ai eu à 6 euros le gramme, mais je sais que ce sera plus cher la prochaine fois. Je m’attends à une augmentation de 20%. Je connais des personnes qui ont passé une grosse commande d’un coup parce qu’ils redoutent une pénurie. Comme ceux qui ont dévalisé les rayons de papier toilette dans les grandes surfaces."
Comment Philippe a-t-il été livré en cette période de confinement ? "Par colis postal". Certains consommateurs ne croise jamais leur dealer : commande par messagerie comme snapchat ou sur le dark web, paiement par PC banking et livraison dans la boîte aux lettres, dans un colis bien emballé pour éviter les odeurs.
Quant aux lieux de deal, ils ont tendance à se déplacer. "Ce ne sont plus les boîtes de nuit ou les parcs publics, constate Jean-Marc, mais plutôt les parkings des grandes surfaces, ou même le trottoir devant une friterie. Bref là où les gens ont encore une raison de se trouver sans trop risquer un contrôle de police."
Le cannabis reste un produit interdit en Belgique
Plusieurs pays se sont lancés récemment dans une expérience de légalisation du cannabis. C'est le cas notamment au Canada où l'Etat contrôle désormais la production et la commercialisation du produit. En Belgique, le cannabis est encore considéré comme un stupéfiant interdit. Toutefois, depuis le début des années 2000, une circulaire ministérielle prie le Ministère public d'accorder une "priorité minimale" aux poursuites des simples consommateurs. Pratiquement, être en possession de maximum trois grammes de cannabis ou faire pousser un plant à la maison débouche sur la rédaction d'un simple procès verbal, mais pas à des poursuites pénales.
  Source: RTBFInfo
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Netflix: Cooked with Cannabis débarquera bien en avril !
Par mrpolo,
Dans très peu de temps débarquera la nouvelle série culinaire de Netflix : Cooked with Cannabis. Une émission présentée par la célèbre Kelis.
 
En avril prochain débarquera dans le catalogue de Netflix le programme « Cooked with Cannabis ». Un show qui mettra en lumière des mets à base d’herbe ! Un show assuré par Kelis. MCE TV vous dit tout de A à Z.
Netflix s’apprête alors à dévoiler son line-up pour le mois d’avril. On a donc appris que son show culinaire « Cooked with Cannabis » ferait son arrivée à cette période.
 
Quel est donc le but de l’émission ? Nous présenter des recettes à base de cannabis ! Et le show sera bien sûr assuré par une célébrité, et non des moindres.
Il s’agit de Kelis, célèbre pour son hit phare du début des années 2000 : Milkshake. Cette fois-ci, il se peut donc qu’elle nous propose plutôt un smoothie vert !
 
Blague à part, la star de la pop l’a confirmé elle-même sur Instagram. Elle posait aussi avec des ongles, estampillés des lettres de Netflix.
Une preuve de plus. Enfin, toujours sur Instagram, Kelis a dit : « quiconque me connaît sait à quel point j’aime Netflix. C’est donc un rêve devenu réalité ».
 

Netflix: Cooked with Cannabis débarquera bien en avril !
Netflix: Kelis anime un show de cuisine qui met le cannabis à l’honneur
« Chose intéressante, ce n’est pas quelque chose que je recherchais nécessairement. Ça m’est venu tout seul en quelque sorte », précise Kelis au sujet de l’émission « Cooked with Cannabis ».
« En tant que chef, j’étais intriguée par la nourriture. Et en tant que personne ordinaire, je m’intéressais aussi à la puissance de ce sujet dans la société d’aujourd’hui ».
Eh oui, vous l’ignorez peut-être, mais Kelis, en plus d’être une ancienne star de la pop, est aussi une cheffe d’exception.
Cuisinière hors pair, elle avait même ouvert un food truck pour faire la promo de son album Food.
Cela étant, la star espère « que vous regarderez la série. Nous aurons assurément beaucoup de plaisir. On lance le tout le 20 avril. Bisous, Kelis », conclut-elle.
Il ne reste donc plus qu’à attendre la date butoir.
 
Source: mcetv.fr
 
 
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Cannabis et coronavirus: laissez passer ce joint, prévient la NORML
Par mrpolo,
"Tant que les cultures ont consommé du cannabis, la pratique de partager un joint entre amis a été une pratique sociale courante", a déclaré Erik Altieri, directeur exécutif de NORML, un important lobby pro-cannabis américain.
 
 

 
"Mais compte tenu de ce que nous savons sur COVID-19 et sa transmission, il serait utile pendant cette période de mettre un terme à ce comportement", a-t-il déclaré dans un communiqué.
 
Risque élevé
Il a également appelé les utilisateurs à ne pas partager les différents outils qu'ils pourraient utiliser pour fumer de la marijuana – y compris les bangs, les pipes ou les stylos de vapotage – et à les nettoyer avec du gel désinfectant.
Optez pour les produits comestibles et les teintures
"L'utilisation de produits comestibles ou de teintures peut éliminer complètement l'exposition à la fumée", a déclaré Altieri dans le communiqué.
 
Selon NORML, environ 25 millions d'Américains ont fumé de la marijuana au cours de la dernière année.
La drogue est légale à différents niveaux – à des fins récréatives et médicinales – dans 47 des 50 États, bien qu'elle soit toujours classée comme une substance très restreinte au niveau fédéral, de la même manière que le LSD, la cocaïne ou l'héroïne.
 
– Par © Agence France-Presse
Source: barbanews.com
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Dans San Francisco confinée, le cannabis est un produit de consommation “essentiel”
Par Xtof06,
Plop
 
La cité californienne a décrété le confinement de ses habitants au moins jusqu’au 7 avril. Pour permettre la collecte ou la livraison de traitements thérapeutiques, les dispensaires de cannabis ont été réintégrés à la liste des commerces essentiels.
 
https://www.courrierinternational.com/article/commerce-dans-san-francisco-confinee-le-cannabis-est-un-produit-de-consommation-essentiel
 
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La cité californienne a décrété le confinement de ses habitants au moins jusqu’au 7 avril. Pour permettre la collecte ou la livraison de traitements thérapeutiques, les dispensaires de cannabis ont été réintégrés à la liste des commerces essentiels.
  Pour lutter contre la propagation du nouveau coronavirus, “de nombreux magasins seront fermés au cours des trois prochaines semaines”, rapporte le San Francisco Chronicle. Mais pas les commerces de cannabis de San Francisco.
La cité californienne a été la première à mettre en place un confinement des habitants aux États-Unis. Depuis mardi 17 mars et au moins jusqu’au 7 avril., près de 7 millions de personnes sont invitées à rester chez elles à San Francisco et dans les comtés avoisinants de la Bay Area.
  Le cannabis thérapeutique autorisé depuis 1996
Selon le quotidien californien, les autorités municipales avaient d’abord classé les magasins de cannabis parmi “les commerces non essentiels”. Mais, à l’image des Pays-Bas qui ont finalement décidé de laisser les coffee-shops proposer de la vente à emporter, elles ont changé d’avis dans l’après-midi du 17 mars, autorisant ces commerces à rester ouverts.
“Je tiens à préciser que les dispensaires de cannabis sont autorisés à rester ouverts pour la collecte ou la livraison de traitements thérapeutiques”, a déclaré le Dr Susan Philip, membre du département de santé publique de San Francisco. “Les gens comptent sur le cannabis thérapeutique [autorisé en Californie depuis 1996] pour les douleurs chroniques, les troubles épileptiques, les spasmes musculaires, la dépression et de multiples autres troubles et conditions.”
À LIRE AUSSIItalie. De l’importance d’avoir un chien au temps du Covid-19 La municipalité a indiqué qu’elle préférerait que les résidents utilisent des services de livraison mais qu’ils seront également autorisés à se rendre en personne dans les dispensaires.
Selon Eliot Dobris, responsable de la communication de l’Apothecarium, qui a trois dispensaires à San Francisco, la question de l’accès des clients “ayant de réels besoins médicaux” n’est pas complètement réglée. Comme il l’a expliqué au San Francisco Chronicle, certains “n’ont pas pris la peine d’obtenir une carte médicale au cours des deux dernières années”, depuis que “l’usage récréatif du cannabis est devenu légal” en Californie.
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Info cannabis / coronavirus
Par Touf2n1,
Salut les cannaweeders !
 
En flânant sur le net, je suis tombé sur un site qui avait des préconisations mettant en lien cannabis et coronavirus.
Rien de transcendant mais je partage...
 
 
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    Comment les utilisateurs de cannabis peuvent prévenir le coronavirus
Voici comment les utilisateurs de cannabis peuvent empêcher la propagation du coronavirus. COVID-19 perturbe considérablement nos routines quotidiennes. Le public se réchauffe lentement à la réalité d'un besoin de prendre des précautions contre le virus. Le coronavirus est nouveau sur la scène, et il y a beaucoup de choses que nous ignorons à ce sujet. Certes, nous en savons encore moins sur toute interaction entre le cannabis et le coronavirus. Ce que nous savons à ce sujet justifie la pratique de revenir à l'essentiel pour empêcher sa propagation.
Évitez les grandes foules
L'Amérique s'adapte aux «nouvelles règles» entourant cette épidémie de virus. La fermeture et l'annulation d'écoles, de grands rassemblements, d'événements culturels et de nos événements sportifs bien-aimés en sont la preuve. Ces fermetures sont malheureusement nécessaires, car les personnes âgées et les personnes souffrant de graves problèmes de santé chroniques semblent être plus à risque. Si vous consommez de la marijuana et souffrez de diabète, de maladies cardiaques ou pulmonaires, vous risquez de développer des complications plus graves de la maladie COVID-19. Nous encourageons à éviter les foules autant que possible. En ce moment, en attendant les directives spécifiques du CDC, différentes communautés définissent les «grandes foules» comme plus de 250-500 personnes.
Conseils sains pour les utilisateurs de marijuana
Les utilisateurs de cannabis ont tendance à être assez décontractés, à aller de pair avec les flux. En tant que telle, notre culture puff-puff-pass crée un excellent moyen de propager n'importe quel virus, y compris le coronavirus. Le partage des joints, des vapes, des tuyaux, des blunts et des bongs nous expose à un risque plus élevé. Jusqu'à ce que la menace COVID-19 passe, je recommande de ne pas partager votre stock de mauvaises herbes, et de ne pas utiliser quelqu'un d'autre. S'ils vous donnent l'œil latéral, donnez-leur plutôt un coup de coude amical.
Fumer du cannabis pendant que vous avez COVID-19
Lorsque vous avez une infection respiratoire, fumer de l'herbe (ou toute autre chose d'ailleurs) n'est pas ce que le médecin ordonne. Les infections virales présentent souvent des symptômes de douleurs et de douleurs musculaires, un mauvais sommeil, des maux de tête et des signes d'inflammation (fièvre). S'il est vrai que le CBD et le THC contribuent tous deux à bon nombre de ces symptômes, il n'y a pas suffisamment de recherches pour confirmer les bienfaits du cannabis dans le rhume ou la grippe. Il n'est pas recommandé de fumer ou de vapoter pendant une infection active, car cela pourrait irriter davantage vos poumons . Si vous envisagez d'utiliser des mauvaises herbes pendant votre maladie, nous vous conseillons d'utiliser des produits comestibles comme alternative plus sûre pendant votre maladie.
 
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En résumer... Si vous toussez, mangez le plutôt que de le fumer !
(Édit: et surtout NE PARTAGER PAS VOS JOINTS, BANG, VAPO ou autres)
 
voilà, c'est tout pour moi !
La canna'bise
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Les Néerlandais se ruent dans les coffee shops #covid-19
Par Frett,
Les Néerlandais se ruent dans les coffee shops après l'annonce de leur fermeture à cause du coronavirus
    Les Néerlandais se ruent dans les coffee shops après l'annonce de leur fermeture à cause du coronavirus - © PHIL NIJHUIS - AFP
De longues files se sont formées devant de nombreux coffee shops néerlandais après l'annonce de leur fermeture en raison de la propagation du coronavirus. Dimanche après-midi, le gouvernement néerlandais a annoncé la suspension des cours ainsi que la fermeture des restaurants, des bars, des maisons closes et des coffee shops jusqu'au 6 avril.   Source RTBF info
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