«Caporal-chef au 1er régiment d'infanterie de marine, il a été sur tous les théâtres d'opération. À ce titre, et comme beaucoup de ce régiment-là, il a vu beaucoup de choses abominables, notamment en 1994, au Rwanda. C'est d'ailleurs là le départ où il s'est mis à consommer du cannabis, comme beaucoup de militaires de ce régiment», a plaidé son avocat parisien, Me Tamalet.
Ce militaire à la retraite de 42 ans, qui a passé dix-sept ans de carrière dans l'armée, soldés «par un état de service irréprochable», a été contrôlé par des agents des douanes, le 1er février dernier, dans le train qui le menait de Bayonne à Toulouse. Bayonne où il était allé s'approvisionner de «338 g de feuilles de cannabis» pour «sa consommation personnelle pour toute une année», indique-t-il, découverts lors du contrôle des douaniers et qui lui ont valu de payer une amende de 600 €.
Cette consommation excessive interpelle la présidente Élisabeth Gadoullet, cet homme exerçant aujourd'hui le métier de pilote saisonnier, de mars à novembre, dans une société de parachutisme basée en Bourgogne. Et qui inquiète Éliane Marcovitch, la procureure : «Ce qui m'inquiète, c'est que ce monsieur pilote des avions et qu'il a des responsabilités», observe-t-elle.
Pour autant, Me Tamalet assure que «sa consommation est terminée depuis qu'il a été interpellé», avant de remettre à la présidente du tribunal une attestation médicale attestant qu'il ne fait plus usage de stupéfiants.
Mais compte tenu de la profession qu'il exerce, Éliane Marcovitch demande que «le tribunal s'assure que le militaire ne consomme plus, les certificats présentés ne me suffisent pas» et «compte tenu de la profession saisonnière qu'il exerce», elle requiert «une peine de prison assortie d'un sursis et mise à l'épreuve». «Cette affaire a eu un impact sur son comportement.
Il s'est rendu compte de sa dépendance. Il est suivi psychologiquement. C'est un homme de parole. S'il devait avoir une condamnation inscrite sur son casier judiciaire, ce pourrait avoir des conséquences dramatiques. Son sens des responsabilités, il l'a prouvé dans le passé, il le prouve aujourd'hui», insiste l'avocat de la défense, qui réclame «une dispense de peine».
Après en avoir délibéré, le tribunal a déclaré le militaire coupable des faits qui lui sont reprochés et l'a condamné à trois mois de prison assortie d'un sursis simple, 600 € d'amende, et non-inscription de la peine sur son casier judiciaire.
Trekt Uw Plant organise deuxième bourse de troc de 2012
ANVERS - Samedi 30 juin passé, le prémier Cannabis Social club de la Belgique, l’ asbl ‘ Trekt Uw Plant ’ a fait rentrer la deuxième récolte de l’année 2012. Lors d’une réunion de l’asbl à Anvers , 75 membres ont reçu leur plante individuelle , contenant 20 grammes de cannabis.
Depuis février 2010 l’asbl cultive du cannabis à usage strictement personnel de ses 150 membres et cela selon le principe 1 plante par membre de l’asbl. Cela est rendu possible par la directive ministérielle de janvier 2005,signée par le Ministre de la Justice et par les 5 Procureurs –Généraux de la Belgique. Cette directive met hors persécution judiciaire la possession par un adulte de maximalement 3 grammes de cannabis ou 1 plante de cannabis.
Elever son cannabis , à usage strictement personnel , est une alternative saine et raisonnable face au marché illegal. Trekt Uw Plant utilise des méthodes écologiques d’élevage ; on évite ainsi tout risque de pollution ou d’alourdissement du produit ( des risques qui sont inhérents au marché illegal). Contrairement à ce qui se passe au marché illégal , les mineurs ne sont pas admis à l’association ‘ Trekt Uw Plant ’.
Lors de la remise de leur plante individuelle aux membres de Trekt Uw Plant , les membres reçoivent aussi un bon de cultivation avec des infos détaillées concernant la composition et les effets attendus, des conseils pour un usage responsable et un questionnaire détaillé concernant leur experiences avec la cannabis. Ainsi , l’asbl veut contribuer à l’information et à la prise de conscience de ses membres , en vue de la prevention d’un usage irresponsible.
Après la bourse de troc fut réalisée une Assemblée des Membres avec la participation de environ 40 membres. Ici on a discuté la situation de l’actuelle capacité de cultivation et les possibilités de l’augmenter sur le court et longue terme.
Trekt Uw Plant est demandeur d’une refléxion avec les autorités (locales) et cela dans l’objectif de coordonner ensemble la méthode de travail de l’asbl et d’éviter des malentendus. Par exemple, nous sommes demandeurs pour la réalisation d’un jardin municipal, ou on pourrait cultiver pour un numéro limité de consommateurs de cannabis sous la supervision des autorités municipales.
Nous voulons faire un appel aux femmes et aux hommes politiques de notre pays d’élaborer une réglementation définitive au sujet de l’élevage du cannabis à usage personnel pour adultes.
Ainsi nous appelons tous les gens qui veulent suivre notre exemple de faire cela d’une façon sérieuse, réspectueuse et responsable (code déontologique). Un bon outil de travail est par exemple la fondation d’une asbl. Nos statuts et code déontologique sont consultables au web et nous sommes toujours disponibles a rendre des avis et conseils.
Afin de partager une pétition du P.S. concernant le cannabis !
Cannabis : Le laxisme c'est de ne rien changer
En France, le cannabis est la drogue la plus consommée. A l’échelle nationale et internationale, la prohibition est un échec. Cette proposition propose d’ouvrir un grand débat public et par ailleurs de légiférer en faveur du cannabis thérapeutique.
Les résidents de Maastricht n'auront plus besoin de s’enregistrer pour avoir accès aux coffeshops
de la ville à dit Onno Hoes dans un courrier envoyé à ses conseillers municipaux ce mercredi (5 septembre)
Selon Nos télévision , le maire Hoes affirme que le nombre d'étrangers venant à Maastricht dans le but
d'acheter des drogues douces a diminué à tel point qu'il estime qu'il n'est plus nécessaire pour ses
administrés de s'enregistrer pour obtenir l'accès aux coffeshops.
Pour que le système fonctionne, le maire a dit que désormais il suffira de présenter une carte d'identité
ainsi qu'un simple certificat qui prouve son lieu de résidence, il espère que grace à cette mesure cela
réduira encore fortement les dealeurs de rues qui sont apparus après le 1 mai 2012
Amsterdam
Pendant ce temps le junior ministre de la justice Fred Teeven dans une interview donné à la TV AT5
a confirmé que le pass sera introduit dans la capitale mais qu'il se fera en consultation avec le conseil
de la ville.
Les tenanciers de coffeshop on accueillit les propos du ministre positivement en précisent que cela
montre bien que le gouvernement est entrain de changer de position.
Elections
Pendant ce temps les opposants au wietpass font campagne pour que la loi change complètement après
les élections nationales qui auront lieu le 12 septembre.
Selon Joep Oormen du mouvement pour la légalisation (complète) du cannabis voter pour n'importe quel
parti de gauche est bon pour faire changer cette loi alors qu'a l'inverse n'importe quel parti de droite est mauvais.
Plusieurs partis politique, comme le Labour, sont pour une meilleure régulation de la production du cannabis
qui est rappelons le toujours illégale aux pays bas.
Traduction par lowriderx@cannaweed
Sources : dutchnews
nos.nl
at5.nl (vidéo du ministre sur amsterdam)
On en parle sur le forum....
Pierre-Michel Zipstein, 57 ans, est un type têtu : non content de planter du cannabis pour son usage personnel et de le revendiquer, il entend être jugé aux assises, et non en correctionnelle, histoire de démontrer l’absurdité de la législation en la matière. La Cour de cassation doit statuer aujourd’hui sur son cas. En août 2009, un hélicoptère de la gendarmerie avait repéré 29 plants chez lui à Carlucet (Lot).
Poursuivi en correctionnelle à Cahors, il a plaidé, via son avocat, Me Francis Caballero, que la production de cannabis était, aux yeux de la loi, passible des assises. Il a donc réclamé d’être traduit devant des jurés. Mais le tribunal correctionnel a refusé et l’a condamné à douze mois de prison, dont six ferme. Mécontent, Zipstein a fait appel et soulevé une question prioritaire de constitutionnalité, afin de saisir le Conseil constitutionnel. Cette QPC, transmise par la cour d’appel, qui en trouvait l’objet «sérieux», a été refusée par la Cour de cassation.
Depuis, la cour d’appel d’Agen a de nouveau rejeté sa demande de passer aux assises. Il a donc déposé un pourvoi en cassation, examiné aujourd’hui. Objectif : démontrer par l’absurde que la production de cannabis, même à des fins d’usage personnel, est frappée d’une peine «disproportionnée» de vingt ans maximum de réclusion devant la cour d’assises spéciale. Zipstein est prêt à payer de sa personne pour cette cause. Pas sûr que la Cour de cassation lui fasse ce cadeau.
Demain jeudi, à Matignon, Jean-Marc Ayrault présidera une réunion interministérielle sur un sujet bien précis : « l’élaboration d’un programme d’action pour l’agglomération marseillaise ». Un vaste projet visant à endiguer les nombreux règlements de compte liés aux trafics de drogues dans la capitale phocéenne. Mais le gouvernement remettra-t-il pour autant la question de la légalisation des drogues dites « douces » sur la table ?
En juin dernier, Cécile Duflot, fraîchement nommée ministre de l’Egalité du Territoire et du Logement avait déclenché la toute première polémique du gouvernement Ayrault en se déclarant favorable à la légalisation du cannabis dans l’objectif de « faire baisser le trafic et d’avoir une politique de santé publique ». La jeune ministre avait tout de suite été rabrouée par sa hiérarchie gouvernementale et l’idée même d’un débat sur le sujet avait été oubliée.
Pourtant, à Marseille, c’est bien connu, l’essentiel des trafics concerne la vente de shit ou d’herbe. Quasiment chaque cité possède son propre réseau et les clients font la queue comme au supermarché pour venir s’approvisionner. Avec un tel constat, la nécessité d’une réflexion sur une possible légalisation du cannabis afin de lutter contre le trafic et donc, par extension, les règlements de compte, apparaît inévitable.
« On ne lâchera pas le morceau sur cette question-là » Sébastien Barles
Pour les élus écologistes de Marseille, la question de la légalisation du cannabis ne doit plus être taboue et devra absolument être évoquée demain, lors de la réunion interministérielle. Sébastien Barles est conseiller municipal d’Europe-Ecologie-Les-Verts à Marseille et porte-parole du parti en PACA. Pour lui, c’est un des trois sujets essentiels à évoquer pour espérer une amélioration de la situation :
« Je pense que dans le cadre de la réflexion gouvernementale de demain, il faut que la question soit posée. Il y a trois questions centrales à mettre à l’ordre du jour pour l’avenir de Marseille : c’est la question de la légalisation du cannabis pour notamment régler ou en tout cas réguler les dérives mafieuses ; ça c’est fondamental. Le deuxième point c’est de réfléchir sur l’instauration de discrimination positive à la française pour aider ces quartiers sur le long terme à s’en sortir. Le dernier point concerne la mise de moyens à Marseille sur l’accession des transports afin de désenclaver les quartiers nord. Nous, ce que l’on espère, c’est que le séminaire de jeudi débouche sur l’ouverture d’un débat sur la question de la légalisation du cannabis et que l’on traite l’ensemble de la question. »
Les élus écologistes espèrent donc des avancées dans ce domaine mais ils ne sont pas les seuls ; d’anciens membres des forces de l’ordre partagent également cette opinion.
« Il faut sécher le problème à la base » George Moréas
George Moréas est un ancien policier devenu romancier puis cinéaste. Il a notamment dirigé l’office central pour la répression du banditisme dans les années 1980. Aujourd’hui, il est toujours commissaire principal honoraire de la Police Nationale et blogueur émérite. Dans son dernier billet intitulé « Marseille : vous avez dit guerre des gangs ? » sur lemonde.fr, il conclut en posant clairement la question de la légalisation :
« Et puisque l’on sait que les produits stupéfiants sont en grande partie responsables de ces règlements de compte, quitte à passer aux yeux de Mme Ghali pour un « pseudo-gaucho-intello-bobo », je reste persuadé qu’il faut sécher le problème à la base. Et je ne vois pas le mal que l’on se fait à y réfléchir. D’autant que nous sommes nombreux, sans doute, à nous demander comment on peut installer des « salles de consommation à moindre risque » pour les drogues injectables (d’une certaine manière, on dépénalise) et refuser systématiquement toute avancée pour la drogue la plus consommée en France : le cannabis. »
Afin de réduire les règlements de compte dans une cité phocéenne qui en a toujours connus, le gouvernement va-t-il poser une bonne fois pour toute, le débat de la légalisation en France ? Vu les positions de François Hollande et d’une majorité de ses ministres sur la question, il se pourrait bien que le sujet ne soit même pas évoqué.
LE PLUS. Fumer du cannabis régulièrement à l'adolescence peut provoquer des pertes irréversibles de QI, révèle une étude néo-zélandaise. De quoi affûter le message de prévention auprès des ados ? Pour l'addictologue Michel Lejoyeux, si cette étude n'est pas que fumée, ce n'est pas elle qui nous aidera à bâtir un message de prévention équilibré.
Édité et parrainé par Daphnée Leportois
CANNABIS. Une nouvelle étude vient de paraître sur les effets du haschich. Elle montre que le cerveau des adolescents est particulièrement sensible au cannabis. Nous connaissions depuis longtemps le syndrome amotivationnel, avec sa perte d'envie, sa chute du rendement professionnel et scolaire. Nous connaissions le cercle vicieux entre l'échec scolaire incitant à fumer de plus en plus et les troubles de concentration provoqués par le cannabis. Le travail néo-zélandais qui vient d'être publié va plus loin. Il porte sur des jeunes de plus et de moins de dix-huit ans.
Cessons d'aborder le haschich comme la pollution
Nos chercheurs suggèrent que le haschich est particulièrement "mauvais" pour le cerveau avant 18 ans et qu'il l'est moins, ou presque pas, après. Si l'on suit ces résultats, il y aurait un âge de sensibilité au haschich et, passé ce cap, on pourrait fumer "presque" sans danger pour ses capacités intellectuelles. Avant 18 ans, le QI partirait en fumée. Après, il résisterait mieux.
Les addictologues (et j'en suis un) voient passer les unes après les autres ces études de toxicité. J'aurais face à ce travail, comme à bien d'autres, envie de faire un rêve. Pourrait-on un jour cesser d'aborder la question des substances psycho-actives comme celle de la pollution ? La question de l'alcool, du tabac, du haschich et des autres drogues n'est pas la même que celle du diesel ou des rayonnements ionisants. On se bat, on se débat avec les questions de toxicités alors que le principal problème est celui de la dépendance.
Je continue à rêver en espérant que l'on accepte l'idée que ces produits ne font pas les mêmes effets à tout le monde et que l'on est plus ou moins à risque de dépendance selon son niveau d'anxiété, de tristesse ou de difficultés sociales. Le facteur humain, le facteur individuel est prédominant. Si l'on reste bloqué sur cette question de toxicité, on continuera à oublier que la dépendance, forme pathologique de la passion, est une question avant tout psychologique et/ou comportementale.
Le poison n'est pas que dans la substance
Nous sommes avec l'addiction face à un phénomène infiniment plus complexe et variable que l'action d'une molécule sur le cerveau ou le comportement. Chacun a pu en faire l'expérience : un verre de vin n'a pas le même effet ni le même goût selon le contexte dans lequel on le prend. Le problème n'est pas dans la bouteille ou dans le joint mais dans l'état d'esprit du buveur ou du fumeur, dans ses besoins, dans ses attentes.
Pour un nombre multiples de raisons que nous sommes loin de toutes appréhender, certains, à un moment de leur vie, font avec une substance une rencontre passionnelle. Ils sont séduits, pris, accrochés et perdent le contrôle d'eux-mêmes. Ils se fichent bien dès lors de l'effet de la première dose. Ils ne se contentent pas plus d'une seule dose que l'amoureux n'accepterait de passer une journée ou une nuit près de l'homme ou de la femme qu'il ou elle aime. Le poison est donc moins dans la substance que dans le besoin de répétition et la relation d'emprise qu'elle induit.
Je persiste dans mon rêve. Le jour où nous aurons intégré la compréhension de la dépendance dans ce qu'elle a de psychologique, nous serons capable de contruire un discours de prévention et de santé qui ne soit ni menaçant ni angélique. Juste vigilant.
INVITATION AU I FORUM SOCIAL INTERNATIONAL DE CANNABIS JOURNÉES ORGANISÉS PAR EUSFAC (FÉDÉRATION BASQUE D’ORGANISMES DES PERSONNES USAGERS DE CANNABIS EN EUSKADI) ÉVÉNEMENTS DES PROCHAINS 14 et 15 SEPTEMBRE 2012
Nos sincères salutations.
Vous êtes invités à participer les prochains 14 y 15 septembre aux journées célébrées dans l’enceinte de la foire-exposition FICOBA (Irun) (https://www.ficoba.org), et qui supposera approfondir le sujet sur des voies juridiques, politiques et sociales de la normalisation du cannabis en Euskadi, en apportant au débat social et émergeant des éléments de jugement pour mener à bien une large réflexion qui inclura connaissances et socialisation dans la matière à débattre.
La coordination, l’organisation et la logistique courent à charge de l’EUSFAC (Fédération des Associations des Utilitaires de Cannabis en Euskadi).
OBJECTIFS DE CETTE RENCONTRE:
1. Approfondir les questions liées au cannabis d’un point de vue social, étant celles-ci une question de santé et droits des personnes utilitaires de cannabis.
2. Connaître différentes expériences de normalisation ou régularisation du cannabis à niveau mondial.
3. Élargir notre connaissance sur les conséquences des actuelles politiques de drogues et son efficacité.
4. Appliquer des outils de différentes compétences et pouvoir aborder un débat technique au sujet de cannabis.
5. Créer une marge de réflexion continue et ouverte à la société
6. Créer un point de rencontre entre experts en cannabis internationaux.
7. Réaliser une publication écrite puis un DVD pour recueillir l’expérience. Nous sommes au courant des difficultés que présente votre disponibilité, mais nous considérons votre présence fondamentale et c’est à l’heure de partager cette expérience qui à coût sûr elle nous permettra continuer à méditer au sujet du cannabis d’un point de vue collectif horizontal
Les experts invités sont: :
¥ Xabier Arana (IVAC-EHU) ¥ Juan Mu–oz (Université de Malaga) ¥ Tom Decorte (Institut de criminologie de Bruxelles) ¥ Tikum Olam (Cannabis Israël) ¥ J.C. Bouso (Psychologue et psychothérapeute) ¥ Celina Pereda (Directrice Drogue-dépendance du Gouvernement Basque) ¥ Frederik Polak (ENCOD) ¥ Martin Barriuso (FAC) ¥ Carel Edwards (Ancien dirigeant de l’U.E.) ¥ Todd McCormick (Activistes EE.UU.) ¥ Pedro Caldentey (Avocats) ¥ Koldo Callado (Docteur en pharmacologie UPV) ¥ Joep Oomen (Coordinateur ENCOD) ¥ Juan Carlos Us— (Historien) PROGRAMATION DES JOURNÉES À L’AUDITORIUM FICOBA:
VENDREDI 14 de 11h00 à 13,30h. CANNABIS, SOCIÉTÉ ET DROITS.
JUAN CARLOS USî JUAN MUÑOZ TOM DECORTE Modérateur: Xabier Arana Vendredi 14 de 16h00 à 18,30h. CANNABIS / SANTÉ
TIKUM OLAM J.C. BOUSO CELINA PEREDA Modérateur: Koldo Callado
Samedi 15 de 11h00 a 13,30h. EXPERIENCES et MODELES DE RÉGULATION
FREDERIK POLAK MARTIN BARRIUSO CAREL EDWARDS TODD McCORMICK Modérateur: Josep Oomen
Samedi 15 de 16h00 à 18,30h. CONCLUSIONS ET PROPOSITIONS
PEDRO CALDENTEY JOEP OOMEN KOLDO CALLADO Moderateur: Xabier Arana *Accréditation préalable ou invitation exigée, places limitées. DISCOURS ET ATELIERS CHAPITEAU EXTÉRIEUR EUSFAC:
Parallèle au FORUM se célébrera EXPO GROW, (https://www.expogrow.es) en plus de la foire expositoire du secteur, le festival de musique pendant les journées 14, 15 et 16 se septembre.
La coordination, l’organisation et la logistique du Forum courent à charge d’EUSFAC(Fédération des Associations des Usagers de Cannabis en Euskadi). Pour assister á l’auditorium veuillez remplir avant le 10 Septembre 2012 la fiche de préinscription sur https://www.expogrow.es.
Les places sont limitées á 300 personnes dans l’enceinte de l’Auditorium. L’horaire ou tout le monde devra présenter son accréditation est de 9h00 à 11h00 le Vendredis 14 Septembre. Les tables rondes sous le Chapiteau EUSFAC à l’extérieur sont ouvertes au public sans besoin de faire la dite préinscription.
En attendant votre confirmation d’assistance à l’événement, recevez mes chères salutations. IKER VAL Pte. d’EUSFAC
On en parle sur le forum....
Portugal : Le Bloc de Gauche propose une loi pour légaliser le cannabis
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João Semedo, parlementaire du Bloc de Gauche (Bloco de Esquerda), vient de présenter une proposition de loi soutenue par son groupe afin de permettre la création de Cannabis Social Clubs qui fourniraient les produits de cette plante aux consommateurs adultes reconnus aptes. Un autre aspect significatif de cette proposition est la légalisation de la culture pour un usage personnel.
João Semedo estime que "cette nouvelle loi est un pas en avant nécessaire au regard de la politique en matière de drogues menée par le Portugal, car la situation actuelle de dépénalisation ne permet pas de résoudre le problème du trafic". Il rappelle aussi que la volonté du Bloc de Gauche est "d’avoir une approche globale de santé publique, pour protéger les usagers du cannabis en les éloignant des "mauvais circuits de distribution"", sous entendu les dealers de rue.
Mr. Semedo a renchérit en constatant que "la prohibition est en échec et qu’elle a facilité le développement de l’économie souterraine", allusion aux politiques en vigueur dans la plupart des Etats.
Si la loi est votée, les membres des Cannabis Social Clubs – qui devront être majeurs et en pleine possession de leurs facultés mentales – pourront acheter au sein de leur CSC, "la quantité nécessaire pour satisfaire environ 30 jours de consommation".
Actuellement, le régime adopté au Portugal de décriminalisation de l’usage, autorise la possession de 2,5 g (estimation d’une consommation quotidienne) pour les adultes. C’est sur cette base que la consommation mensuelle est estimée (environ 75 g). La culture sera limitée à une dizaine de plants par personne.
Aucune date n’est fixée pour la discussion au Parlement, et selon Joao Semedo "le Bloc de Gauche souhaite intervenir au bon moment, après qu’un large débat public sur le sujet de la légalisation du cannabis recueille l’avis des gens concernés" par la proposition du Bloc de Gauche.
Mr. Semedo a également relevé que cette question souligne les divisions au sein des principaux partis politiques (PSD – Parti Social Démocrate ; PS – Parti Socialiste ; CDS – Centre Social-Democrate – Parti Populaire). Selon lui, "dans chaque parti il y a des individus qui partagent l’avis du Bloc de Gauche sur la légalisation". Le problème reste de savoir "s’ils voteront en fonction de leur âme et conscience ou s’ils suivront les consignes de leur parti, mais on ne le saura qu’à l’issue du vote".
Une grande avancée en France que nous nous devons de mettre en avant et de soutenir !
Rejoignez les amis des Cannabis Social Club Français
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Association : LES AMIS DU CSCF.
Identification R.N.A. : W372011310
No de parution : 20120032
Département (Région) : Indre-et-Loire (Centre)
Lieu parution : Déclaration à la préfecture d'Indre-et-Loire.
Type d'annonce : ASSOCIATION/CREATION
Déclaration à la préfecture d’Indre-et-Loire. LES AMIS DU CSCF. Objet : soutenir le CSCF (chanvre social club français) et diffuser pour information et prévention tout renseignement culturel, scientifique, artisanal, agricole pour le chanvre et ses dérivés; communication et évènementiel afférent au cscfainsi que toute recherche de financement éventuel. Siège social : 70, rue Camille Mortier, 37110 Saunay. Date de la déclaration : 31 juillet 2012.
Il ne tient qu'à vous qui souhaitez le changement, de soutenir toutes actions allant dans ce sens !