Appel du 18 Joint 2014
Par Indi-Punky, dans Associatif,

Du côté des CIRCs :
 
 
FIGEAC
Le Circ Midi-Pyrénées vous donne rendez-vous à 10h place Vival à Figeac, pour un défilé autour de la ville à 10h30, 11h. Il y aura ensuite pose de stands et informations jusqu'à 15/16h.
 
LYON
C'est au Parc des Berges Lyon 7e (Tram T1 Halle Tony Garnier) que le Circ Lyon vous accueillera dès 18h, en musique avec les Dread Ises Sound System & Bredda Soundsystem.
Stands, bars, grignotage et prise de parole la bouche pleine.
Participent aux rassemblement : Les jeunes Écologistes Lyon, le NPA, la Ligue des Droits de l'Homme, FacVerte, Europe Écologie Les Verts, Jardin d'Eden, Livity Reggae, LionSoldJah et Aides
 
Contact : circ-lyon@circ-asso.net
Sur FaceBud
 
PARIS
C'est à la prairie du Cercle Sud au Parc de La Villette (M° Porte de La Villette ou Porte de Pantin) que le Circ Paris vous donne rendez-vous dès 18 h en famille et avec votre miam.
Prises de parole, animations musicales avec les cannactivistes de RBH Sound.
 
Et sur FaceBud ou Tweeder
 
 
Et d'autres initiatives…
 
BORDEAUX
Rassemblement 18h place de l’Hôtel de Ville organisé par Les Jeunes Écologistes Bordeaux-Aquitaine
Sur Facebook
 
MARSEILLE
Organisé par le Massilia Cannabis Municipal Club qui vous donne rendez-vous au 125 sur la Cannebière au kiosque à 18h devant la mairie de secteur 1er et 7ème, avec une animation surprise musicale à confirmer…
Sur Facebud
 
 
 
Source: https://www.circ-asso.net/index.php?action=art&id=314
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Sortie du second volume "Cannabis 40 ans de malentendus"
Par Indi-Punky,
Le deuxième volume de Cannabis, 40 ans de malentendus débute en 1997, année où de joyeux drilles réunis sous la bannière du Circ envoient un pétard aux députés et se termine en 2002, année où dans le cadre de l’élection présidentielle les mêmes transforment un meeting politique en cannabistrot.
 



 
Alors que l’auto-production prend de l’essor et que les instances officielles reconnaissent « qu’un monde sans drogues n’existe pas ». Alors que les partisans de l’abrogation de la loi de 1970 se mobilisent et que la question de la place du cannabis est posée lors de la campagne présidentielle de 2002, de nombreux observateurs pensaient que la loi évoluerait dans le sens d’une dépénalisation.
 
Il n’en sera évidemment rien et les défenseurs de la pénalisation dopés par le retour de la droite au pouvoir balaieront tout espoir de réforme, mais ce sera l’objet du futur et dernier volume de Cannabis, 40 ans de malentendus qui vous entraînera jusqu’en 2014 où tous les espoirs d’une révolution cannabique sont permis.
 
 
Il fait suite au premier volume sorti en 2013

https://www.cannaweed.com/topic/173112-cannabis-40-ans-de-malentendus/
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Une étude en vue de la dépénalisation du cannabis
Par LaKrim,
«Lausanne ne doit pas rester à la traîne!» C'est le slogan des quatre signataires d'un texte demandant à la Municipalité de lancer le débat sur la consommation de cannabis. En effet, plusieurs grandes villes de Suisse se sont déjà profilées sur la voie de la dépénalisation du cannabis. Ou, du moins, l'étude de cette possibilité.
Regroupant des élus de La Gauche, du Parti socialiste, des Verts et des libéraux-radicaux, le texte d'Hadrien Buclin demande «que la Ville s’engage dans la dynamique initiée par Bâle, Berne, Genève et Zurich, et qu’elle rejoigne le groupe de travail mis sur pied par ces villes, en vue de participer à l’étude des modèles légaux de la consommation de cannabis».
 
La tendance vers la dépénalisation des substances issues du cannabis s'observe ailleurs dans le monde. En Suisse, Genève tente de pousser le bouchon. Un groupe formé de politiques de tous bords a proposé la mise en place d'une expérience de trois ans, qui viserait à autoriser la culture, la distribution et la consommation de cannabis dans le cadre d'associations de consommateurs. Un modèle déjà existant, en Espagne notamment.
 
A Lausanne, l'initiative est bien plus mesurée, puisqu'il ne s'agirait pour l'heure que d'acquérir les connaissances nécessaires à l'élaboration d'alternatives à la politique de répression. Ses signataires estiment qu'elle ne réduit en rien les risques de dépendances, ni les problèmes liés au trafic de rue.
 
Source : https://www.24heures.ch/vaud-regions/lausanne-region/etude-depenalisation-cannabis/story/24737114
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Marijuana: Santé Canada croule sous les demandes de permis
Par Indi-Punky,
Le ministère avait déjà reçu 858 demandes à la fin du mois d'avril. En moyenne, près de 25 nouvelles demandes sont acheminées sur une base hebdomadaire.
Parmi ces entreprises, on note des gens qui font pousser de la marijuana dans leur sous-sol, des entrepreneurs ayant une expertise pharmaceutique et même des petites sociétés minières en difficulté.
 
Santé Canada a radicalement modifié ses règles pour la culture de la marijuana à des fins médicales depuis le 1er avril afin de créer un marché commercial concurrentiel. L'objectif est de passer de plusieurs milliers de petits producteurs à une cinquantaine de plus grandes entreprises expédiant des dizaines de marques de haute qualité.
 
Les autorités ont commencé à recevoir les demandes de permis il y a un an. En septembre 2013, Santé Canada avait étudié 156 demandes, mais leur nombre a triplé à l'arrivée de février et a continué à augmenter de façon importante au cours des trois mois qui ont suivi.
Jusqu'à présent, seulement 13 permis ont été accordés. La liste des détenteurs du permis est disponible sur le site Internet du ministère.
 
De nouveaux venus sur ce marché se disent frustrés par l'inhabilité de Santé Canada à étudier rapidement leur demande. Ils ont notamment indiqué que leurs investisseurs commençaient à être impatients, et que leurs espaces loués commencent à être poussiéreux.
 
«Il s'agit d'une bureaucratie assiégée», affirme Umar Syed, président de l'entreprise torontoise CannMart, qui attend patiemment son permis depuis octobre.
«Ils sont aux prises avec une situation à laquelle ils n'étaient pas préparés... il y a quelque chose qui ne fonctionne vraiment pas.»
 
Les commentaires de M. Syed font écho à ceux d'autres demandeurs, qui n'ont pas voulu s'exprimer de peur de perdre leur droit d'obtenir un permis.
 
Le nouveau régime de Santé Canada a heurté deux écueils: une injonction prononcée en mars en Colombie-Britannique permet aux utilisateurs de marijuana médicinale accrédités en vertu de l'ancien système de poursuivre la culture personnelle pour l'instant; et deux récents rappels de marijuana médicinale de la part d'entreprises accréditées en vertu du nouveau régime, pour des raisons de qualité.
 
Une porte-parole de Santé Canada n'a pas répondu directement aux questions sur la capacité du ministère de gérer l'influx massif de demandes de permis.
Le marché potentiel est gigantesque. Santé Canada estime que les ventes de cannabis médicinal atteindront 1,3 milliard $ par année d'ici 2024, avec quelque 450 000 consommateurs enregistrés.
 
En vertu des vieilles normes, plus de 30 000 patients ont été autorisés à posséder de la marijuana médicinale. Environ 500 000 Canadiens consomment cette drogue à des fins médicales, qu'elle soit acquise légalement ou non, en fonction de projections statistiques datant de 2012.
 
 
 
Source: Hellvice & https://www.lapresse.ca/actualites/sante/201406/01/01-4771803-marijuana-sante-canada-croule-sous-les-demandes-de-permis.php
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Ils veulent soigner leur bébé épileptique avec du cannabis
Par LaKrim,
Les parents du petit Oliver, prêt à tout pour adoucir sa maladie, veulent tenter un traitement alternatif. L'enfant serait alors soigné avec du cannabis liquide. La formule est à base de cannabidiol mais ne déclenche aucune réaction psychoactive. Une petite fille de cinq ans, Charlotte Figi, souffrant de la même condition, a vu sa santé s'améliorer grandement grâce à ce traitement. Le cannabis peut réduire le nombre de crises jusqu'à 90%.
 
La famille d'Oliver veut récolter des fonds pour pouvoir administrer ce traitement qui n'est pas disponible au Royaume-Uni. "Quand les autres médicaments ne fonctionnent pas, vous devez trouver autre chose. Nous voulons le meilleur pour notre enfant et être avec lui le plus longtemps possible", a confié son père.
 
Source : https://www.7sur7.be/7s7/fr/1523/Famille/article/detail/1905655/2014/06/02/Ils-veulent-soigner-leur-bebe-epileptique-avec-du-cannabis.dhtml
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Comment le dangereux cannabis synthétique devient la nouvelle drogue la plus populaire de Grande-Bretagne.
Par Indi-Punky,
Les nouvelles formes synthétiques néfastes de la drogue représentaient près d'un quart de tous les "legal high" identifiées en Europe en 2013.
 
L'année dernière 29 nouvelles formes de "cannabinoïdes synthétiques" ont été identifiés sur 81 nouvelles substances au total.
 
En 2012, 30 nouvelles formes de celui-ci ont été identifiées sur un total de 73 nouveaux "legal high"
 



 
 
 
Les drogues de synthèse peuvent être plus puissante que leur homologue naturelle, ainsi qu'être mélangée à des produits chimiques qui provoquent des effets secondaires.
 
Dans un cas plus tôt ce mois-ci deux adolescents ont été admis à l'hôpital après avoir pris du cannabis synthétique.
 
Steve Rolles dit a The Huffington Post UK que d'avoir une version légale plus dangereuse de la drogue rend la politique de la drogue de la Grande-Bretagne comme étant "la pire du monde".
 
Il a dit à The Huffington Post UK: "le cannabis synthétiques pourraient être la goutte qui fait déborder le vase en termes de réforme du cannabis."
 
"Nous avons actuellement une situation incroyablement stupide où les gens peuvent acheter du faux cannabis plus dangereux. C'est tout à fait ridicule."
 
"C'est vraiment le pire des mondes."
 
Les cannabinoïdes synthétiques sont généralement des poudres, dont beaucoup sont fabriqués en Chine et expédiés en Grande-Bretagne en vrac. Une fois en Europe les produits chimiques sont généralement mélangés avec ou pulvérisés sur les herbes.
 
Ils imitent l'effet du tétrahydrocannabinol ou THC qui permet aux gens d’être high.
 
Frank du service de conseil à la drogue a déclaré que les risques les plus courants sont "une augmentation de la fréquence cardiaque, le sentiment d’être à fleur de peau ou agité ou une somnolence, nausées vomissements et des hallucinations".
 
Un cannibinoid synthétique, AM2201 peut provoquer "des attaques de panique et des convulsions".
 
Frank a également mis en garde, les cannabinoïdes synthétiques pourraient avoir des effets secondaires inconnus parce que les substances qu'il contient sont nouveaux.
 
 
Rolles dit au Huffington Post UK qu'ils peuvent être plus dangereux, car ils ne peuvent pas être étiquetés pour dire aux gens comment en prendre en toute sécurité ou des conseils sur la posologie, la loi interdit la vente "à la consommation humaine".
 
Parce qu'ils sont souvent plus puissant, les gens qui les utilisent peuvent surestimer la dose qu'ils devraient prendre pour se droguer, il ajoute souvent les gens peuvent finir par avoir un "moment terrible" et doivent se rendre à l'hôpital après en avoir trop pris .
 
Il ajoute: "Beaucoup de gens ne savent pas ce qu'ils prennent ou ils ne savent pas qu'il peut être plus puissant ou dangereux."
 
Transform a déclaré ces drogues "sont un élément essentiel» du marché du legal high au Royaume-Uni.
 
Dans son récent rapport sur la façon de réglementer le cannabis Transform a déclaré: "Le marché du cannabinoïde synthétique est alimentée par la prohibition du cannabis et en grande partie disparaîtra quand elle se terminera, de plus la plupart des utilisateurs rapportent une préférence pour le cannabis "réel" sur les alternatives synthétiques."
 
L'organisme de bienfaisance dit que "relativement peu" est connu au sujet des cannabinoïdes synthétiques et des produits qui en contiennent.
 



 
 
Rolles dit qu'il était difficile de savoir avec certitude quelle est la prévalence de l'utilisation des deux dans le Royaume-Uni, en raison de la variété des produits utilisés pour les contenir et le fait qu'ils ne sont pas expressément vendus pour la consommation humaine.
 
Il a dit que les meilleures données disponibles sont l'enquête annuelle de la Global Drugs Survey, les plus récents ont montré que les britannique prennent le plus de legal high de touts les pays ayant pris part à l’enquête.
 
 
Avec 12% admettant en avoir pris l'année dernière.
 
Rolles dit au HuffPost: la plupart des utilisateurs de cannabis préfèrent la drogue naturelle, à l'alternative synthétique.
 
 
 
Il a ajouté que les lois sur les drogues décontracté des Pays-Bas font qu'il n'y a pas de marché pour le cannabis synthétique là-bas, et a démontré que les gens achète la plante s'ils le peuvent.
 
 
 
Il dit: "L'endroit où il n'y a pas de marché pour ce genre de choses est aux Pays-Bas C'est la prohibition qui crée la demande pour ces produits - et non pas les gens qui achètent cette merde".
 
Source: https://www.huffingtonpost.co.uk/2014/05/28/synthetic-cannabis-more-potent-increasing_n_5404453.html?utm_hp_ref=tw
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MyDx : Un laboratoire d'analyses de poche
Par Indi-Punky,
Il est vrai que depuis quelques années, les aliments bio ne cessent de connaître un réel intérêt auprès de nombreux consommateurs. Et pourtant, malgré les labels organiques imposés par la législation mais aussi les produits en provenance des producteurs locaux, il n'est pas toujours évident de connaître exactement les éventuels traitements qui ont pu être effectués sur les fruits et les légumes.
 
Devant ce manque de transparence, une startup californienne vient de mettre au point une nouvelle gamme de dispositifs de poche qui ont pour but de tester la composition et la pureté de nombreux aliments. Baptisé MyDx, cet analyseur portable et connecté offre l'opportunité de faire le bilan sur le taux d'éléments solides, liquides et gazeux contenus dans différents types d'aliments tels que les fruits et les légumes.
 
Plus surprenant encore, ce scanner connecté de la firme CDx permet de contrôler la qualité du cannabis ainsi que le taux de THC, de terpenoïdes, de cannabidiol et de cannabinol.
En effet, CDx Life offre aux utilisateurs de MyDx la possibilité d'utiliser quatre capteurs interchangeables qui s'appliquent sur chaque catégorie de produits de consommation.
Ainsi, pour les fruits et légumes, le capteur « Organa » permet de détecter les composants dont les pesticides sur ces aliments. Alors que le capteur « Aero » permet de contrôler la qualité de l'air, le capteur « Organa » est, quant à lui, destiné à évaluer les échantillons d'eau. Enfin, pour permettre aux utilisateurs de surfer sur la dépénalisation ou la légalisation du cannabis, le MyDx propose le capteur CannaDx Sensor qui permet de tester la qualité de ce produit.
 
Toutefois, force est de préciser que ce dernier cas est surtout recommandé pour certaines catégories de personnes qui sont autorisées à consommer du cannabis pour des raisons médicales.
 
Accessible à partir d'une application mobile pour Android et iOS, cet analyseur permet d'afficher les mesures effectuées à partir de chaque capteur. Ainsi, pour pouvoir analyser un produit, il suffit d'utiliser le capteur adéquat et MyDx dévoile ses propriétés. A cet effet, il est tout simplement demandé à son utilisateur de placer un échantillon du produit dans le plateau coulissant qui détecte les molécules sous la forme de vapeur et de visualiser les résultats sur le smartphone.
 
La startup CDx Life souhaite essentiellement se positionner dans le secteur du voyage où son outil permettra de prévenir les mauvaises surprises mais aussi éviter les éventuelles formes d'intoxications alimentaires. Le MyDx a également pour but de permettre aux voyageurs de s'assurer de leur santé durant leur séjour à l'étranger.
 
Après une première campagne de financement réussie sur la plateforme de crowdfunding Indiegogo où la firme a levé 40 000 dollars au lieu des 20 000 dollars prévus, la première commercialisation de MyDx serait prévu dès les premiers mois de l'année prochaine. Cependant, il faudra tout de même prévoir la coquette somme de 500 euros pour pouvoir se procurer l'analyseur accompagné d'un des capteurs au choix.
 

https://www.youtube.com/watch?v=G3P5nbQV7cU


 
 
Source: https://www.capcampus.com/high-tech-1437/mydx-un-laboratoire-d-analyses-de-poche-a30635.htm
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Circ : Appel du 18 Joint 2014
Par Gardner,
L’EMPEREUR EST NU… ET IL VA FINIR PAR PRENDRE FROID !


 
 
Et cette constatation n’est plus le fait seulement d’une poignée de cannactivistes, mais aussi d’éminents spécialistes d’une non moins éminente institution, la London School of Economics. Une vingtaine de personnalités d’horizons différents, tant politiques qu’économiques (dont plusieurs Prix Nobel), se sont exprimés à travers un récent rapport à charge contre le dogme prohibitionniste jusqu’ici tant vanté et surtout appliqué.
À travers ses 84 pages, l’institut évoque aussi bien les manquements aux Droits de l’Homme – entre autres conséquences désastreuses de la prohibition –, que l’échec complet de cette politique qui nous promettait, sans rire, aussi bien l’éradication des plantes à drogues de la surface de la Terre que celle du trafic et de la consommation !
 
Ce rapport s’ajoute à tant d’autres avant lui qui ne constataient rien de bien différent. Il a ceci de percutant qu’il est signé de nombreuses personnalités à la « morale » irréprochable, et surtout qu’il intervient dans un contexte historique propice aux thèses antiprohibitionnistes qui, rappelons-le, ne prétendent aucunement éradiquer quoi que ce soit, mais gérer au mieux les usages modérés comme abusifs des substances psychotropes. Dans le respect des êtres humains, producteur(trice)s, vendeur(euse)s, consommatreur(trice)s et bien sûr de l’ensemble des citoyen(ne)s.
 
Il est regrettable cependant que ces constations d’échec interviennent aussi tardivement alors que tout a déjà été dit et écrit sur le sujet depuis plusieurs décennies. Quant à l’argument visant à dénoncer la situation actuelle pour justifier toujours plus de répression, rappelons que ce que nous connaissons intervient dans un contexte de prohibition totale et qu’elle ne peut être reprochée à ses opposant(e)s.
 
De fortes mobilisations des usagers des drogues et des cannabinophiles en particulier, seront sans doute indispensables pour qu’un changement de politique en la matière intervienne, comme c’est le cas outre-Atlantique.
 
Rendez-vous avec le CIRC à l’occasion de l’Appel du 18 Joint un peu partout en France, mercredi 18 juin à 18h et partout sur les réseaux sociaux !
 
 
www.18joint.fr
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Canada: le cannabis bientôt coté en bourse?
Par Felix_Da_Craft,
David McDonald connait plus le monde minéral que végétal. Cet entrepreneur dirige une société d'exploration minière au Québec. Mais ses prochains projets sont tout autres. « Le secteur minier étant ce qu’il est actuellement, on s’est dit que si on peut se diversifier dans la marijuana, on pourra probablement donner un bon rendement à nos actionnaires », explique-t-il.
 
 
Et si David McDonald est prêt à changer de secteur, c'est qu'il anticipe un marché en pleine expansion. Pour l'instant, seulement 37 000 Canadiens possèdent une autorisation d'achat, mais on estime qu'ils seront 450 000 en 2024, pour un marché de plusieurs milliards de dollars. « On sait que pour les gouvernements, quels qu’ils soient, avec les dettes astronomiques, c’est une possibilité de revenus, de taxes, énorme. Si ce ne sera peut-être pas de mon vivant, il est évident que la marijuana va être légalisée », assure David McDonald. Et à ce moment-là, il sera prêt. Il espère racheter plusieurs petits producteurs d'ici un an.
 
 
Mais cette industrialisation ne plait pas aux ardents défenseurs de la légalisation, comme Hugo Saint-Onge, qui milite au Bloc Pot, un parti politique pro-légalisation, depuis 1998. « Quand les Anglais ont pris le contrôle ici, ils ont donné le monopole à un producteur pour l’alcool. Beaucoup de personnes dans le milieu du cannabis craignent que ce monopole revienne pour le marché du cannabis », confie-t-il. Pour l'instant, seulement 12 entreprises se partagent tout le marché canadien.
 
 
Sources : https://www.rfi.fr/economie/20140427-canada-le-cannabis-bientot-cote-bourse/
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Ils volent les lumières LED des Range Rover pour cultiver du cannabis
Par Felix_Da_Craft,
La police du West Yorkshire a déjà procédé à 14 arrestations et un grand nombre de pièces de voitures volées ont été récupérées. Les Land Rover et les Range Rover seraient particulièrement ciblées parce que les voleurs expérimentés peuvent retirer leurs phares en 60 secondes seulement.
Par ailleurs, d'autres parties de ces voitures de luxe font l'objet d'un trafic, comme les portes, capots, rétroviseurs, roues ou les grilles. Les voleurs utiliseraient ces pièces pour améliorer leur propre véhicule ou les réparer en cas d'accident.
"Ça va tellement vite"
Le problème est devenu si important que la police du West Yorkshire a lancé l'opération Emporia pour lutter contre ce problème qui a émergé notamment à Bradford, Halifax ou Huddersfield.
Les agents ont arrêté les conducteurs de Land Rover et de Range Rover afin de s'assurer qu'ils avaient les phares appropriés pour leur véhicule. "Si nous arrêtons un véhicule que l'on soupçonne d'être équipé de pièces volées, elles seront retirées et le propriétaire peut faire face à des poursuites judiciaires", explique le commissaire Steve Thomas.
Michael Roper, 53 ans, a été victime d'un tel vol. "C'est monnaie courante, déclare-t-il. Mais c'est un crime tellement facile - ça va tellement vite. Ils utilisent un pied-de-biche entre l'aile avant et les phares. Ils ont ruiné l'aile. Il n'y a eu aucun bruit. Ils savent comment désactiver l'alarme".
Le quotidien rappelle que plusieurs marques de voitures ont déjà été frappées d'une frénésie de vols par le passé. Par exemple, dans les années 1980, les jeunes volaient les insignes des Volkswagen pour les porter autour du cou.
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Sources : https://tempsreel.nouvelobs.com/l-histoire-du-soir/20140514.OBS7097/ils-volent-les-lumieres-led-des-range-rover-pour-cultiver-du-cannabis.html
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