CannaWeed Cannabis Cup Amateur
Par TEAM CannaWeed, dans CannaWeed,

Bonjour la communauté,
 
Nous envisageons d'organiser une Cup Privée réservée aux amateurs en parallèle de la foire d'Irun les 16, 17 et 18 Septembre 2016 et nous souhaitons recueillir votre avis concernant ce projet !
 
Merci de répondre au sondage sur ce topic avec engagement, car une telle Cup demande du travail et un budget, donc votre réponse doit vous engager !
 
Cannabiquement,
 
La Team CannaWeed
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IACM-Bulletin du 14 Février 2016
Par mrpolo,
Science/Homme: Une étude rétrospective indique que le cannabis riche en CBD est bénéfique aux enfants présentant une épilepsie
Science/Homme: Dans une étude contrôlée, le THC a réduit l'intensité de la douleur de poitrine non causée par une maladie cardiaque
En bref
Un coup d'œil sur le passé



Voir la pièce-jointe : hintergrund.gif

Science/Homme: Une étude rétrospective indique que le cannabis riche en CBD est bénéfique aux enfants présentant une épilepsie
 
Le cannabis riche en CBD a montré des effets thérapeutiques prometteurs pour 74 patients âgés de 1 à 18 ans, qui présentaient une épilepsie, et ne répondaient à aucun autre traitement. Plusieurs centres situés en Israël ont participé à cette étude publiée dans le journal Seizure. Ces patients résistaient aux traitements standards de l'épilepsie, 66% au régime cétogène, à l'implantation d'un stimulateur du nerf vague, ou aux deux.
 
En 2014, ils ont tous commencé un traitement à base d'huile de cannabis, et ont été traités pendant au moins trois mois (moyenne=6 mois). La formule sélectionnée contenait du CBD et du THC tétrahydrocannabinol avec un ratio de 20 :1) dissous dans de l'huile d'olive. La dose de CBD était de 1 à 20mg par kg du poids du corps.
 
Le traitement à base de CBD a donné de bons résultats sur le nombre de crises. La plupart des enfants ont indiqué (89%) une réduction de la fréquence des crises. 13 participants ont indiqué une réduction de 50 à 75%, 9 une réduction de 25 à 50% et 19 une réduction <25%. Cinq patients ont indiqué une aggravation des crises, ce qui a donc entraîné le retrait de la prise du CBD.
 
Plus largement, les auteurs ont observé une amélioration du comportement, de la vivacité, du langage, de la communication, de la motricité et du sommeil. La somnolence, la fatigue, les gênes gastro-intestinales, et l'irritabilité sont les effets secondaires qui ont entraîné le retrait de cette médication à cinq des patients.
 
Tzadok M, Uliel-Siboni S, Linder I, Kramer U, Epstein O, Menascu S, Nissenkorn A, Yosef OB, Hyman E, Granot D, Dor M, Lerman-Sagie T, Ben-Zeev B. CBD-enriched medical cannabis for intractable pediatric epilepsy: The current Israeli experience. Seizure 2016;35:41-44.
 
Science/Homme: Dans une étude contrôlée, le THC a réduit l'intensité de la douleur de poitrine non causée par une maladie cardiaque
 
Les chercheurs de la section of gastroentérologie de Temple University Hospital à Philadelphia, Etats-Unis, ont indiqué que le THC (dronabinol) a réduit l'intensité de la douleur chez 13 patients souffrant de douleur fonctionnelle à la poitrine. Sept patients ont reçu 5 mg de THC, deux fois par jour et six un placébo.
 
Les questionnaires relatifs à la douleur de poitrine, l'état de santé général, et l'anxiété/dépression ont été réalisés et évalués au début de l'étude et après quatre semaines.
Le THC a réduit la douleur de l'intensité et l'odynophagie (douleur à la déglutition). Les résultats relatifs à l'anxiété et à la dépresssion n'ont pas différé entre les groupes, avant et après le traitement. Aucun effet secondaire n'a été observé.
 
Malik Z, Bayman L, Valestin J, Rizvi-Toner A, Hashmi S, Schey R. Dronabinol increases pain threshold in patients with functional chest pain: a pilot double-blind placebo-controlled trial. Dis Esophagus. 2Ç janvier 2016. [sous presse]
 
En bref
 
Porto Rico: Les réglements relatifs à l'usage médical du cannabis adoptés
Les fonctionnaires du Health Department ont établi des règles surveillant la production autorisée et la distribution du cannabis à usage médical sur le territoire de Puerto Rico, qui relève des Etats-Unis. Il est prévu que le nouveau programme soit opérationnel d'ici la fin de l'année.
The Daily Chronic of 4 February 2016
 
Science/Homme: Les consommateurs de cannabis présentent une capacité vitale forcée (CVF) plus élevée
Une étude comprenait 10327 adultes, dont 4084 étaient des consommateurs de cannabis, 555 participants avaient consommé du cannabis dans les 5 à 30 jours avant les tests, et 891 dans les 4 derniers jours. Il a été montré que la consommation courante de cannabis est associée à une alimentation en air par les petites voies respiratoires diminuée.
 
La CFV, la quantité d'air qu'une personne peut expirer après une inspiration maximum est plus importante pour les anciens consommateurs (75 ml) et les consommateurs ont consommé du cannabis dans les 5 à 30 jours (159 ml) avant les tests, ainsi que pour les consommateurs des 4 derniers jours avant les tests (204 ml) que pour ceux qui n'ont jamais consommé de cannabis.
Cyprus International Institute for Environmental and Public Health, Cyprus.
Papatheodorou SI, et al. Chest. 1- janvier 2016. [sous presse]
 
Science: Les variétés de cannabis diffèrent par leur teneur en terpène
Pour cette étude, il a été sélectionné sept variétés de cannabis. Les plantes présentant différents chémotypes ont été clairement différentiés par leur teneur en terpène; les terpènes caractéristiques de chaque chémotype ont été identifiés.
Aifame GmbH, Wald-Schönengrund, Switzerland.
Aizpurua-Olaizola O, et al. J Nat Prod. 2 février 2016. [sous presse]
 
Science/Animal: L'activation des récepteurs CB2 a réduit la perméabilité de la barrière sang-moelle épinière
Chez les rats, une ischémie medullaire passagère a été provoquée, ce qui a augmenté la perméabilité entre le sang et la moelle épinière. L'activation des récepteurs CB2 par le cannabinoïde synthétique JWH-015 a augmenté cette perméabilité.
Department of Sports Medicine and Joint Surgery, China Medical University, Shenyang, China.
Yang MC, et al. Brain Res. 30 janvier 2016. [sous presse]
 
Science/Animal: Le CBD pourrait être utile pour la prévention de la rechute de drogue
Dans une étude menée sur des rats, il a été déduit que le CBD (cannabidiol) pourrait être “un produit thérapeutique destiné à atténuer les mémoires contextuelles associées aux abus de drogues, et par conséquent réduire le risque de rechute”.
Universidade Federal de Santa Catarina, Florianópolis, Brazil.
de Carvalho CR, et al. Addict Biol. 1Er février 2016. [sous presse]
 
Science/Homme: La consommation de cannabis est associée à une mémoire verbale réduite, mais pas à la réduction d'autres aspects de la performance cognitive
Une étude incluant 5115 hommes et femmes agés de 18 à 30 ans, qui ont été examinés 25 ans après avoir consommé du cannabis a montré une association avec une mémoire verbale moindre. Il semblerait que les autres domaines de la fonction cognitive soient restés intacts.
Department of Epidemiology and Biostatistics, University of California-San Francisco, USA.
Auer R, et al. JAMA Intern Med. 1Er février2016. [sous presse]
 
Science/Animal: La béta-caryophyllene présente des propriétés anticonvulsives
Chez la souris, le terpène béta-caryophyllene a réduit les crises myocloniques. Les crises générales et myocloniques étaient induites par un agent chimique, le pentylenetetrazole. Les auteurs ont écrit que la béta-caryophyllene “devrait être évaluée pour le futur développement de nouveaux produits anticonvulsifs.” On trouve la béta-caryophyllene dans de nombreuses plantes, y compris le cannabis, et dans des épices comme le poivre.
Federal University of Santa Maria, Brazil.
Oliveira CC, et al. Epilepsy Behav 2016;56:26-31.
 
Science/Animal: L'activation du récepteur CB1 a amélioré la fonction de mitochondrie après qu'une ischémie du cerveau ait été provoquée chez des rats
Un cannabinoïde synthétique (ACEA), qui active les récepteurs cannabinoïdes 1, a amélioré le comportement neurologique général, réduit le volume de l'infarctus et inhibé la mort programmée des cellules. D'autres investigations ont montré que le cannabinoïde pourrait induire une biogénèse mithocondriale et améliorer les fonctions mithocondriales au début de l'ischémie cérébrale. La mitochondrie est le moteur des cellules.
Xijing Hospital, Fourth Military Medical University, Xi'an, China.
Bai F, et al. Mol Neurobiol. 28 janvier 2016. [sous presse]
 
Science/Animal: Le stress accroit la concentration de 2-AG et fait diminuer le nombre de récepteurs CB1
Chez les souris exposées à un stress chronique psychosocial, la quantité de l'endocannabinoïde 2-AG a augmenté alors que l'expression des récepteurs CB1 a diminué.
Department of Psychiatry and Psychotherapy, University of Göttingen, Germany
Tomas-Roig J, et al. Behav Brain Res 2016;303:34-43.
Un coup d'œil sur le passé
Il y a un an
Etats-Unis: L’Académie Américaine de pédiatrie reconnait les valeurs médicales du cannabis pour certains enfants
Allemagne: Le gouvernement envisage de faciliter l’usage médical du cannabis
Science/Homme: La consommation quotidienne de cannabis (adolescents et hommes) n’est pas liée à une réduction de la masse cérébrale

 
Source: cannabis-med.org
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Disparition d'un forum cannabique
Par mrpolo,
C'est avec émotion que nous apprenons après 5 années d'une existence enfumée la fermeture programmée du site Cannaway prévue à 16h20 le 20 avril prochain.
 
 
C'est toujours une mauvaise nouvelle pour la cause du Cannabis comme en son temps la disparition du site Overweed et de tant d'information rassemblée sur la culture et les évolutions du cannabis.
 
CannaWeed se tient à la disposition des administrateurs de Cannaway si ils désirent que leur contenu reste accessible sous leur nom au plus grand nombre.
 
 
La Team CannaWeed
 
 
édit 1 aout 2016

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Suisse - La ville de Berne veut tester la vente de cannabis dans ses pharmacies
Par mrpolo,
Stupéfiants - C'est une première en Suisse: la ville de Berne va tester la vente de cannabis dans ses pharmacies. Un projet de recherche qui sera mené en collaboration avec l'Université de Berne.
 
 

La conseillère municipale Franziska Teuscher et Matthias Egger, directeur de l'Institut de médecine préventive de l'Université de Berne. KEYSTONE


 
 
 
La Ville de Berne veut franchir un pas en matière de légalisation du cannabis. Les pharmacies pourraient ainsi être autorisées à vendre, à titre expérimental, cette substance à un groupe de consommateurs.
L'exécutif de la ville a annoncé lundi avoir confié à l'Université de Berne le mandat d'élaborer un tel projet de recherche. La conseillère municipale Verte Franziska Teuscher a souligné que les participants à cette expérience devaient être âgés de 18 ans au moins, être domiciliés à Berne et avoir consommé du cannabis.
 
"Les pharmacies bénéficient de la confiance de la population et elles disposent des compétences nécessaires dans la gestion et la manipulation des produits stupéfiants", a expliqué la conseillère municipale en expliquant le rôle de ces offices dans la démarche.
Les pharmacies disposent du dispositif de sécurité et de contrôle indispensables pour la mise en œuvre d'un tel projet. "L'on peut ainsi utiliser une infrastructure professionnelle existante, a noté Franziska Teuscher devant les médias.
Prix pas fixé
 
Le concept scientifique de l'étude devrait être établi en l'espace de trois ou quatre mois, a estimé le directeur de l'Institut de médecine sociale et préventive de l'Université de Berne Matthias Egger. Une enveloppe de quelque 20'000 francs est prévue.
Le nombre précis de participants n'a pas encore été arrêté, mais il pourrait s'agir de quelques centaines de personnes. La quantité et le prix n'ont pas été fixés.
 
Plusieurs villes de Suisse, notamment Genève, Bienne ou Zurich, ont également manifesté leur intérêt à participer à un projet destiné à légaliser la vente de cannabis. A Berne, le Conseil de ville s'était prononcé en mars 2015 en faveur d'une participation à cette expérience.
 
Source: lenouvelliste.ch
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Comment la pop culture a adopté l’esthétique de la weed
Par mrpolo,
Il y a encore peu de temps un “stoner” (un consommateur de cannabis) était associé à un loser mangeant compulsivement des céréales avec pour seule compagnie ses cheveux sales et ses chaussettes trouées. Mais la pop culture a su changer la donne et dédramatiser cette pratique qui devient petit à petit légale, et lucrative. Citée, vénérée, adoubée, ou marketée, la weed est désormais partout. Le monde est stone.

 
Rihanna-Photo Instagram


 
 
 
 
L’évolution du statut du cannabis au sein de la pop culture
 
Le cannabis a fait son incursion dans la pop culture pendant l’âge d’or du jazz dans les années 20 à New York. L’herbe transitait par les musiciens de la Nouvelle Orléans et du Nouveau Mexique avant d’arriver au Savoy Ballroom de Harlem, l’épicentre de la discipline où se sont produits les plus grands jazzmen, et où l’on pouvait régulièrement sentir les effluves d’herbe parfumer la salle de concert.
 
 
Ella Fitzgerald a quant à elle chanté une ode à la fumette à peine déguisée, When I get low I get high.
 
 
” L’une des raisons pour lesquelles on aimait tellement l’herbe était parce qu’elle nous tenait chaud, surtout lorsque quelqu’un s’allumait un énorme joint ” a raconté Louis Armstrong à Max Jones et John Chilton dans sa biographie Louis: The Louis Armstrong Story, 1900-1971.
 
 
 




 
Au moment de la grande dépression de 1929, la fête est finie : après s’être attaqué à l’alcool, les autorités décident de diaboliser la marijuana. En 1936 l’église commandite le film Reefer Madness qui met en scène des fumeurs de cannabis comme de dangereux criminels. Le film qui associe mensonges et propagande ridicule devient par la suite culte auprès de la jeunesse alternative des Etats-unis dans les années 70.
 
Il faudra attendre les années 50 pour que le cannabis redevienne à la fois “cool” et dégénéré. Les poètes de la “beat generation” n’ont en effet pas caché leur adoration pour cette drogue et que ce soit dans les pages d’ On The Road de Kerouac ou d’ Howl d’Allen Ginsberg, les trips initiés par la weed sont nombreux.
 
Un peu plus tard, le mouvement hippie, en parallèle au succès de Bob Marley, imprimera dans l’imaginaire collectif l’image du stoner pacifiste et barbu soit l’incarnation précoce du hipster, les préoccupations matérielles en moins.
 
Aujourd’hui : de Rihanna à Broad City, le monde est stone
 
L’arrivée au pouvoir de Reagan dans les années 80 a mis à mal l’acceptation du cannabis par le mainstream, qui a alors dû retourner se cacher dans le placard pour cause de mauvaise réputation.
 
Ce n’est que dans les années 90 que certaines voix de la pop culture ont recommencé à demander sa légalisation et prôner son usage de manière plus ou moins explicite. L’album The Chronic de Dr Dre sorti en 1992 ( ainsi que The Chronic 2001) ont sans doute été les meilleurs ambassadeur de la weed auprès de la jeunesse qu’on n’ait jamais connu.
 




 
Aujourd’hui, beaucoup de stars de la pop n’hésitent plus à vénérer publiquement leur amour de la weed dont la consommation est devenue aussi glamour que banale. Rihanna aime régulièrement poster des photos de ses blunts sur instagram et parader avec des T-shirts à l’effigie de la feuille de cannabis. Peu encline à réfréner ses passions, la princesse de la Barbade a même plusieurs ode à la weed au sein de son repertoire dont Get It Over With sur l’album Unapologetic et James Joint sur le tout dernier ANTI.
 




 
Lana Del Rey, la diva 2.0 défoncée par excellence, chante elle aussi sa passion de l’herbe. Sur
elle ordonne à son amant de continuer à la faire rire et de se défoncer : “Keep making me laugh/Let’s go get high.” En 2015 elle remet le couvert avec le single High by the beach.Le monde de la television n’est pas non plus en reste.
 
 




 
Dès 2005 la série Weeds a bâti sa trame narrative sur le fait qu’une mère de famille “bien sous tous rapports ” (jouée par Mary-Louise Parker) vende du cannabis pour arrondir ses fins de mois. Neuf ans plus tard est apparue Broad City, la série de Comedy Central qui met en scène deux jeunes trentenaires ( Abbi Jacobson et Ilana Glazer) qui aiment régulièrement s’allumer des joints. Ultra moderne et drôle, la série achève de démontrer que la fumette est un hobby pratiqué par monsieur tout le monde, sans drame ni revendication.
 
Anecdote qui a sa part d’importance : la série est co-produite par la géniale Amy Poehler qui a déjà participé et été juge au “High Times Cannabis Cup”
.
La légalisation, une aide à l’acceptation
 
Peu à peu l’image de la weed s’est radoucie, tant et si bien que l’usage médical de la marijuana a été voté en 1996 en Californie. La proposition 215 était ainsi la première pierre d’une entreprise visant à légaliser la marijuana dans tous les Etats-Unis. A ce jour quatre états l’ont légalisé : le Colorado, l’Oregon, l’État de Washington et l’Alaska. Ainsi que la capitale fédérale Washington DC.
 
En 2012 Allen St. Pierre, le directeur de la National Organization for the Reform of Marijuana Laws qui soutient la légalisation du cannabis, confiait déjà au New York Times que le soutien ouvert et franc de ces popstars a directement influencé la population et aidé à la légalisation du cannabis dans ces états.
 
Autrefois subversif, le cannabis est désormais lucratif : le Colorado, qui l’a légalisé au 1er janvier 2014 a encaissé 125 millions de dollars en 2015. Selon Les Echos l’industrie légale du cannabis aux Etats-Unis est le nouveau secteur sur lequel il faut être. Les start ups du cannabis ont levé en 2015 près de 200 millions de dollars d’investissements pour un marché qui devrait représenter 22 milliards de dollars en 2020. De quoi définitivement faire tourner les têtes.
 
par Sarah Dahan
 
Source: lesinrocks.com
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Cannabis au Colorado ,le bilan de la légalisation 2015
Par Invité,
Un compte rendu sympathique sur l'expérience de la légalisation du cannabis
 
au Colorado .. ..
 
1) Colorado : plein pot sur la marijuana (ARTE Reportage du 15/09/2015)
La marijuana débarque, plein pot. Sur simple prescription, elle est autorisée à des fins médicales dans une vingtaine d'Etats américains. Le Colorado fait cependant figure de pionnier, après avoir également autorisé le cannabis à la vente libre comme un pur produit de consommation. Une première aux Etats-Unis ; le pas a été franchi suite à un référendum populaire. Depuis le 1er janvier 2014, il est parfaitement légal, dans cet Etat de l'ouest américain, de faire commerce et de consommer de la marijuana et ses produits dérivés.
 
2) Cannabusiness, La folie douce du cannabis à Denver aux Etats-Unis (TF1, Sept à Huit du 28/06/2015)
Le Colorado a été le premier Etat américain à légaliser la marijuana il y a un an et demi. Le cannabis se vend partout à Denver, à fumer ou à manger... et la marijuana "légale" a fait la fortune de certains chefs d'entreprise.
 
3) Cannabis : un marché florissant (France24, Intelligence Économique du 27/04/2015)
Aux États-Unis, le marché du cannabis rapporte déjà des milliards de dollars. Dans le Colorado, cette planante industrie est en plein essor : des entreprises se créent, les emplois fleurissent par milliers et l'État encaisse des dizaines de millions de dollars. Mais qu'en est-il de l'Europe ?
 
4) Bilan de la légalisation du cannabis au Colorado (France24, Focus du 17/04/2015)
Le 1er janvier 2014, le Colorado est devenu le premier État américain à légaliser le cannabis à des fins récréatives. Un an après, les comptes sont dans le vert grâce aux taxes, 18 000 emplois ont été créés et la criminalité est en baisse.
 
5) Le cannabis nouvelle poule au oeufs d'or (RTS, Toutes Taxes Comprises du 02/02/2015)
Notre reportage au Colorado où la légalisation de l'herbe rapporte des centaines de millions.
 
https://www.youtube.com/watch?v=bRupnh10M90&ebc=ANyPxKoKlQm7qBYBniPlJBKkLptIktfrlv8uRDGxaJn5Kd-DjNyhQVaY2gcPFeuXqLnAYx0NFAE6SnZbo3uo9xSV9oC_w6AAIQ
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Aux Etats-Unis, les saisies de cannabis sont en baisse
Par mrpolo,
France Inter - Les histoires du monde
par Anthony Bellanger
 


Réécouter l'émission

 
Direction les Etats-Unis où les douanes viennent de publier le chiffre annuel de cannabis saisi
Et jamais depuis dix ans, les douaniers américains n'en ont saisi si peu : 9% de moins en 2015, par rapport à 2014. Cela fait exactement 12 535 lots saisis contre 13 611 l'année précédente et paradoxalement, c'est une excellente nouvelle.
 
Cela ne signifie, pas que les douaniers américains ont été moins efficaces, mais qu'il y a eu moins de trafic en 2015. Comment expliquer cette baisse alors que l'on sait que la consommation d'herbe qui fait rire, elle, est restée stable ? C'est simple : ce sont les premiers effets de la légalisation du cannabis dans cinq Etats dont le Colorado, l'Oregon, l'Etat de Washington, l'Alaska, et la capitale étasunienne, Washington, et du cannabis médical, dans 18 autres, dont la Californie.
 
En clair, pourquoi acheter du cannabis de contrebande, venu du Mexique ou des Caraïbes, lorsqu'on qu'on peut s'en procurer légalement à la maison ? En plus, le cannabis légal américain est contrôlé et surtout réputé de bien meilleur qualité.
 
 
 





Cannabis © corbis - 2016


 
Les cartels de la drogue mexicains commencent à souffrir de la concurrence, ce n'est pas moi qui le dis, ce sont les douaniers et les trafiquants eux-mêmes ! Il y a trois ou quatre ans, le kilo de marijuana était acheté aux cultivateurs mexicains entre 60 et 90 dollars. Aujourd'hui, c'est entre 30 et 40 dollars. Autrement dit, pour lutter contre la concurrence du cannabis légal, les Mexicains cassent les prix. Ils sont même obligés d'améliorer la qualité de leur produit parce qu'en plus du cannabis en gros « made in USA », ils font face à une production domestique.
 
De plus en plus d'Américains produisent en fait leur propre cannabis, et c'est un peu comme lorsqu'on cultive ses propres fraises ou tomates, on soigne amoureusement la qualité de ses plantations. Pourtant ce n'est pas forcément une bonne nouvelle pour la société. On pense par exemple que l'extrême violence des cartels mexicains ces dernières années serait en partie dûe à une restructuration des trafiquants. Ce qui est certain, c'est que les Etats qui ont légalisé le cannabis, eux, se frottent les mains : en 2015, le Colorado a encaissé 136 millions de dollars de taxes ! Si la Grande Bretagne suivait le même chemin, cela rapporterait 1 milliards € par an ! Or la Grande Bretagne, c'est un peu la France : même population, même consommation. Il faudrait passer le message à Emmanuel Macron, non ?
 
Source: franceinter.fr
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Drogues : l’ONU défend la fin du tout répressif
Par mrpolo,
Adieu au tout répressif. A sept semaines de la tenue de la session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies sur le problème mondial de la drogue, le rapport de l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) – une structure chargée au sein de l’ONU de l’application des conventions sur la drogue –, publié mardi 1er mars, invite les Etats à « réexaminer les politiques et pratiques ».
 

Destruction d’un champ de pavot par l’organisation Pat Jasan près du village de Lung Zar, en Birmanie, le 3 février 2016. Hkun Lat / AP


 
Pour le président de l’OICS, Werner Sipp, « il s’agit non pas d’obliger le monde à choisir entre une action antidrogue “militarisée” et la légalisation de l’usage de drogues à des fins non thérapeutiques, mais plutôt de mettre la santé physique et morale au cœur d’une politique équilibrée en matière de drogues ».
 
Le rapport va moins loin que celui de la Commission globale sur la politique des drogues, rassemblant d’anciens chefs d’Etat, remis le 9 septembre 2014 au secrétaire général des Nations unies et qui concluait à l’échec de quarante ans de répression. Il procède plus subtilement en prônant un rééquilibrage, avec des sanctions proportionnées, afin d’aller vers des politiques accordant plus de place au sanitaire. Dès le premier chapitre du rapport, l’OICS rappelle que « la santé physique et morale de l’humanité [est l’] objectif essentiel des traités internationaux relatifs au contrôle des drogues ».
 
Les trois conventions de 1961, 1971 et 1988 prévoient de conférer le caractère d’infraction pénale au trafic de drogue et aux infractions connexes (blanchiment d’argent, trafic de produits précurseurs des drogues…). Mais des dispositions permettent d’appliquer des mesures de traitement ou de réadaptation, en remplacement ou en complément de sanctions pénales, dans les cas de possession, d’achat et de culture de drogues pour une consommation personnelle.
Lire aussi : La lutte contre l’opium, cuisant échec international Prévention
 





Destruction d’un champ de pavot par l’organisation Pat Jasan près du village de Lung Zar, en Birmanie, le 3 février 2016. Hkun Lat / AP


 
« Au total, 189 Etats ont ratifié la convention de 1988, et 170 ont adopté une approche répressive, mais il existe une distinction entre ce qu’ils disent et ce qu’ils font en pratique. Les sanctions pénales tombent en désuétude pour les simples usagers, souligne Bernard Leroy, ancien magistrat et rapporteur de l’OICS. En France, par exemple, il y a 150 000 interpellations de simples usagers par an, mais parmi ces derniers, seulement 1 500 vont en prison. »
 
Plusieurs pays, comme la Chine, le Vietnam ou l’Iran, qui pratiquaient des politiques essentiellement répressives à l’égard des usagers de drogues, ont développé la prévention et mis en place des programmes de réduction des risques, notamment d’infection par le VIH ou les virus des hépatites. En Iran, le nombre de détenus usagers de drogue injectable ayant accès à un programme de méthadone est passé d’une centaine en 2002-2003, à 25 000 en 2009. A l’inverse, des pays comme la Russie, qui s’y refusent, continuent d’alimenter ces épidémies.
 
Le rapport de l’OICS rejette la légalisation de l’utilisation des stupéfiants à des fins non médicales, qui « n’est pas une solution adéquate pour régler les problèmes existants ». Il préconise de proposer aux agriculteurs cultivateurs de drogue d’autres moyens de subsistance. De même, l’OICS rappelle aux Etats leur « obligation d’appliquer des programmes efficaces de prévention de l’abus de drogues ainsi que de traitement et de réadaptation des toxicomanes » et leur enjoint de respecter les droits de l’homme.
 
Dans ce domaine, il les invite à veiller à ce que « les traitements soient fondés sur des preuves scientifiques. Fournir des services appropriés de traitement de la toxicomanie constitue pour eux une obligation au même titre que la lutte contre le trafic de drogues. Le fait de ne pas offrir de tels services peut aggraver les conséquences sanitaires et sociales de l’abus de drogues tout en contribuant à la demande illicite de substances faisant l’objet d’abus ».
 




 
« Ce rapport présente un changement de tonalité, commente le professeur Didier Jayle, titulaire de la chaire d’addictologie au Conservatoire national des arts et métiers. Pour la première fois, il insiste sur les droits de l’homme, l’inutilité d’incarcérer les toxicomanes et le devoir de les traiter dans les meilleures conditions. C’est très important. De même que la reconnaissance de l’utilité de la réduction des effets néfastes de l’usage de drogue – ce que nous appelons la réduction des risques – et de la preuve de son efficacité. La limite est que l’OICS, qui est le gardien des conventions sur les drogues, reste dans le même modèle de contrôle sur le cannabis, qui est devenu d’usage courant. »
 
Le rapport met l’accent sur des phénomènes inquiétants : les grandes inégalités d’accès aux antalgiques majeurs (morphine et autres opiacés) et l’explosion du nombre de nouvelles substances, facilitées par le développement de la vente sur Internet.
Lire aussi : Plusieurs sites de vente de drogue du « Deep Web » français piratés
Nouvelles substances psychoactives
 
Près des trois quarts de la population mondiale n’ont pas accès à des traitements antidouleur appropriés et environ 90 % de la morphine utilisée dans le monde est consommée dans les pays représentant moins de 20 % de la population mondiale. En cause, le manque de formation et l’extrême complexité administrative pour la prescription d’antalgiques majeurs, et les freins mis à leur importation.
 
Quant aux nouvelles substances psychoactives, elles connaissent une très forte croissance : en 2015, leur nombre s’est accru de 55 % par rapport à l’année précédente. L’OICS estime possible « qu’un nombre potentiellement illimité de produits chimiques viennent s’ajouter à
ceux qui sont déjà sous surveillance parce que liés à la fabrication illicite de drogues soumises au contrôle international ». Il est en effet facile, en laboratoire, de modifier des molécules psychoactives.
 
L’organisme onusien précise même que « l’un des problèmes les plus importants parmi ceux qui se posent depuis peu est l’arrivée de produits chimiques de remplacement non soumis à contrôle, dont les “précurseurs sur mesure”, qui permettent de contourner les contrôles », car leur « fabrication est légale au regard du cadre juridique international existant ».
La session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies sur les drogues, qui se tiendra du 19 au 21 avril, se prononcera sur le rééquilibrage défendu dans ce rapport. Le consensus gagne du terrain, mais n’est pas encore acquis.
Cazeneuve va annoncer des « mesures puissantes » contre le trafic de drogue
 
 
Interrogé sur l’explosion du trafic à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), Bernard Cazeneuve a déclaré sur RTL, lundi 11 mai, qu’un ensemble de « mesures puissantes » seront annoncées « dans le courant de la semaine ». Dans cette commune du « 9-3 », plusieurs équipes de trafiquants se déchirent pour le contrôle des points de vente de cannabis, parmi les plus lucratifs de la région parisienne.
 
Sans entrer dans les détails, le ministre de l’intérieur a évoqué l’installation de la vidéosurveillance et une collaboration plus étroite entre la police municipale et nationale. Il faut « articuler l’action des forces de police et des autres administrations qui ne dépendent pas de moi, notamment les douanes », a-t-il ajouté.
 
 
Par Paul Benkimoun
Journaliste au Monde
Source: lemonde.fr
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La variété de cannabis la plus vendue aux USA en 2015 est…
Par mrpolo,
Ce n’est pas les Oscars de la weed, mais un rapport analytique de la société BDS Analytics sur les ventes de cannabis au Colorado et à Washington en 2015.
 
 
 
La variété de cannabis la plus vendue en 2015 dans les dispensaires du Colorado et de Washington est donc la Blue Dream, une hybride de Blueberry et de Haze à dominante sativa.
 

 
BDS Analytics, fondée en 2014, rassemble les informations sur les ventes de cannabis récréatives et médicales dans les Etats de Washington et du Colorado, via des dispensaires volontaires, et prend en compte près de 20 millions de transactions Le CEO Roy Bingham attribue la popularité de la Blue Dream à un marketing bien mené.
 
« Nous avons des centaines de variétés dans notre base de données, et la Blue Dream est n°1 dans les deux Etats de Washington et du Colorado. Il y a clairement du marketing autour de certaines variétés, et les employés de dispensaires orientent les consommateurs vers des produits en particulier. J’imagine qu’il y aura bientôt moins d’opinion personnelle et plus de science autour de ça. »
 
Le marché du cannabis devient de plus en plus sophistiqué, notamment dans la manière dont sont vendus et présentés les produits au cannabis.
« Nous voyons aujourd’hui l’émergence de produits marketés au Colorado : les entreprises présentent leurs produits comme ce que vous voyez dans n’importe quel supermarché. Ca a commencé avec la space food, et c’est maintenant le cas avec les concentrés, à la différence des fleurs séchées qui sont pesées devant le client ».
 
La beuh ne devrait pas échapper à cette tendance, avec l’émergence de marques aux noms de personnalités, comme Leafs pour Snoop Dogg, ou Willie’s Reserve pour Willie Nelson. Les consommateurs attribuent à la beuh les qualités de la personne derrière sa production, avec plus de confiance et une reconnaissance de marque plus grande.
« La conséquence est que les patients / consommateurs se dirigent dans les dispensaires avec un produit en tête, en fonction des pubs. Cela devient comme un marché normal. »
 
Autre fait étonnant : la part de la space food dans le revenu total.

« En termes de croissance, 63% du marché au Colorado est basé sur la beuh, ce qui est un pourcentage en baisse. La croissance des concentrés et plus rapide. Pour la space food, c’est 12%. On s’attendait à ce que ce soit entre 10 et 15%, et certains pensaient que cela valait pour 30 à 40% du revenu total ».
 
La croissance des concentrés devrait s’accentuer, amplifiée par l’arrivée massive des vaporisateurs sur le marché. Le marché n’en reste pas moins soumis à de fréquents changements. « C’est un marché très immature et toujours très volatile : de nouveaux produits et de nouvelles marques émergent très rapidement, fonction de nouvelles campagnes marketings et de nouvelles structures. Il va y avoir beaucoup de changements, mais il est dur de les prévoir ».
Vous pouvez consulter la totalité du rapport ici.
 
Source: newsweed.fr
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Kofi Annan appelle à la légalisation mondiale du cannabis
Par Maik,
Kofi Annan appelle à la légalisation mondiale du cannabis
 
 
 
 
Un des obstacles majeurs à la légalisation du cannabis en France est l’engagement de notre pays à respecter les traités sur les drogues des Nations Unies, notamment la Convention unique sur les stupéfiants de 1961 et la Convention de 1971 sur les substances psychotropes.
 
A l’approche de la 59ème session de la Commission des Stupéfiants des Nations Unies, les partisans d’une légalisation pourraient avoir trouvé un allié de poids en la personne de Kofi Annan. Dans un essai publié le 22 février dans le magazine allemand Der Spiegel, Kofi Annan, ancien Secrétaire Général des Nations Unies de 1997 à 2006, appelle à une légalisation massive du cannabis pour combattre le problème des abus de drogue et du trafic illégal.
 
Et Kofi Annan sait de quoi il parle : il était Secrétaire Général des Nations Unies lors de la dernière Commission des Stupéfiants des Nations Unies en 1998. Sa prise de position est donc à la fois un constat d’échec et une proposition pour aller de l’avant. Voici 5 points intéressants de son essai.
Les lois sur les drogues mettent plus en danger les citoyens que les drogues
La répression et l’idéologie font plus de mal aux gens que les drogues selon Annan :
Annan illustre son point en soutenant que la prohibition du cannabis a souffert d’influences, tandis que les tentatives pour dissuader les abus d’opioïdes par l’incarcération ont échoué.
La guerre contre la drogue est une guerre contre les personnesLa prohibition a échoué à faire ce qu’elle était censée accomplir, selon Annan :
La prison est plus nocive que la consommation récréative de drogueAnnan fait valoir que l’incarcération empêche les gens d’accéder à un traitement, et ruine les vies de jeunes personnes:
Il est temps de réviser les traités sur les droguesLes traités sur les drogues ne remplissent pas les objectifs qu’ils s’étaient fixés, affirme Annan :
Pour ce faire, Annan appelle les pays à suivre 4 étapes fondamentales pour améliorer les lois sur les drogues (la 4ème va vous étonner !) :
Dépénaliser les drogues récréatives : « La consommation de drogue est nocive et réduire sa nocivité doit être un sujet de santé et non de justice. Cela doit être couplé avec un renforcement des services de soins, notamment dans les pays peu développés ou en voie de développement »
Se concentrer sur la réduction des risques, non la suppression des drogues : « Nous devons accepter qu’un monde sans drogue est une illusion. Nous devons en revanche nous concentrer et nous assurer que les drogues causent le moins de mal possible »
Réguler et éduquer : « Nous devons regarder la régulation et l’éducation plutôt que la suppression des drogues, qui ne fonctionne pas. Les mesures prises avec succès pour réduire la consommation de tabac montrent ce qui peut être réalisé. C’est la réglementation et l’éducation, pas la menace de prison, qui a réduit le nombre de fumeurs dans beaucoup de pays »
Légaliser le cannabis : « Les tendances initiales nous montrent que là où le cannabis a été légalisé, il n’y a pas eu d’explosion de la consommation de drogue ou de crimes liés à la drogue. La taille du marché noir a été réduite et des centaines de jeunes gens ont été épargnés d’avoir un casier judiciaire. Mais un marché régulé n’est pas un marché libre. Nous devons réfléchir avec précaution sur ce qui a besoin d’être régulé, et de ne pas l’être. Alors que la plupart de la consommation de cannabis est occasionnelle, modérée et non associée avec des problèmes significatifs, c’est néanmoins précisément à cause de ses risques potentiels qu’il a besoin d’être régulé »
Les Nations Unies peuvent prendre la tête d’un changement global ce printemps
Finalement, Annan appelle les leaders du monde entier à soutenir un changement mondial de la législation sur la drogue :
L’occasion pour nous de rappeler qu’une équipe de Français se déplacera sur cet événement et a lancé une campagne de crowdfunding pour financer leur présence sur place.
Publié le 24/02/2016 par newsweed
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