Océan Indien - Maurice: Un chanteur de reggae arrêté
Par mrpolo, dans International,

Le chanteur Bundy Androise alias Jahfazon a été arrêté ce mardi à l’aéroport de Plaisance. Les policiers de la brigade anti-drogue mauricienne, l’ont cueilli à sa descente d’avion alors qu’il revenait d’un concert à Madagascar.
 
 
Selon les informations de la presse locale, un plant de cannabis a été découvert à son domicile.
 
Il a été transféré au poste de police de Curepipe où des membres de la communauté rastafari se sont rassemblés pour protester contre son arrestation, ce mercredi. L’un d’entre-eux a été interpellé pour avoir tenté de prendre en photo des policiers.
 
Source: zinfos974.com
 
 




 
 
 
 
Siva Pareemanun, l’un de ceux qui contestent l’arrestation du chanteur de reggae Jahfazon, serait « impliqué dans une autre enquête », selon l’Anti Drug & Smuggling Unit (Adsu). C’est la raison pour laquelle il est toujours maintenu en détention.
 





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Le porte-parole de la communauté des rastafariens a été arrêté par les éléments de l’Adsu mercredi matin, alors qu’il prenait des photos de l’arrestation de Pascal Sérieuse, un autre contestataire. Un accrochage s’en est suivi et les deux hommes ont été placés en détention pour « rogue and vagabond ». Pascal Sérieuse a retrouvé la liberté l’après-midi.
 
Deux autres membres de la communauté des rastas ont été appréhendés mercredi, lorsqu’ils étaient venus soutenir leurs « frères » en détention. Ils seraient accusés d’avoir proféré des injures à l’égard des policiers affectés à la Criminal Investigation Division de Rose-Belle.
La cellule de communication de la police a toutefois souligné que l’Adsu « n’a pas utilisé de force contre quiconque ». De leur côté, les rastas allèguent que la police aurait dévêtu Siva Pareemanun avant de le « frapper ».
 
Le chanteur Jahfazon avait été arrêté mardi à sa descente d’avion, alors qu’il revenait de Madagascar. Un plant de cannabis avait été découvert sur lui. Il a été transféré au poste de police de Curepipe.
 
Source: defimedia.info
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Canada - Soirée «marijuana speed dating» à Sherbrooke
Par mrpolo,
À Sherbrooke se tenait, mardi soir, un événement hors du commun: une soirée «marijuana speed dating».
 
 
 
Il s'agit d'une idée originale pour permettre la rencontre entre des patients qui ont une prescription de marijuana thérapeutique, et des producteurs artisans.
 
Le 24 août, Santé Canada a annoncé que ceux qui ont des prescriptions médicales pour du cannabis, peuvent désormais en faire pousser une quantité limitée à la maison. La loi prévoit aussi qu'ils peuvent désigner un producteur pour le faire pousser à leur place.
 
L'activité de réseautage se tient donc à la Capsule Bistro-cinéma. C'est là que les patients pourront rencontrer des producteurs désignés. Ceux-ci y voient une occasion de cultiver de la marijuana de façon légale.
 
Un projet de loi sur la légalisation possible du cannabis est attendu au printemps.
Au Canada, on compte en ce moment plus de 40 000 patients qui possèdent une prescription de cannabis médical. D'ici 2020, Santé Canada estime qu'ils seront plus de 300 000.
 
Source: tvanouvelles.ca
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Primaire à gauche : pour Sylvia Pinel, légaliser le cannabis est "un enjeu de santé publique"
Par mrpolo,
MARRONNIER - Invitée de LCI mercredi matin, la candidate du PRG à la primaire de la gauche a plaidé pour une légalisation contrôlée du cannabis. Une question de sécurité et de santé publique, dit-elle, comme plusieurs de ses concurrents.
 
 

Credit:VILLARD/SIPA/1502111521 - SIPA


 
 
 
 
 
Légaliser le cannabis est une proposition de plus en plus tendance chez les candidats de la gauche à la présidentielle. Alors qu'à la primaire de droite, seule Nathalie Kosciusko-Morizet envisageait, et encore timidement, vers la fin de la campagne, une "réflexion" sur le sujet, les socialistes et leurs alliés ont décidé de s'engager promptement dans ce débat pour le moins récurrent en période électorale.
 
 
 
Au demeurant, seuls deux candidats sur sept à la primaire de gauche, Manuel Valls et Arnaud Montebourg, ne veulent pas en entendre parler. Parmi les cinq autres qui proposent la légalisation : Sylvia Pinel, l'ancienne ministre du Logement, candidate du Parti radical de gauche.
 
Invitée de LCI mercredi matin, la présidente du PRG a expliqué pourquoi elle défendait une légalisation "encadrée" de la substance. Pas pour faire plaisir aux près de 5 millions de consommateurs réguliers ou occasionnels, mais parce que "c'est d'abord une question de sécurité" - "Les forces de l’ordre pourraient se concentrer sur d’autres enjeux" - mais aussi "de santé publique", explique l'élue d'Occitanie.
 
 

"Les réseaux et trafics pèsent sur la sécurité de nos concitoyens. Si c'est un pharmacien qui délivre une telle substance, il peut dispenser des conseils. [il faut que] les professionnels de santé accompagnent ceux qui en consomment pour les aider éventuellement à se sevrer."



Sylvia Pinel


 
 
 
La candidate dévoilera jeudi l'ensemble de ses propositions pour la primaire des 22 et 29 janvier. Parmi celles-ci : la suppression du poste de Premier ministre, le retour au septennat présidentiel, la suppression de la possibilité pour le chef de l'Etat de dissoudre l'Assemblée et du 49.3. Tout un programme.
 


Interview sur le plateau de LCI

 
Source: lci.fr
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Législation du cannabis : l'herbe folle en débat
Par mrpolo,
Hollyweed ! Au pays du cinéma américain, les fameuses lettres blanches de la colline d'Hollywood ont été la cible de plaisantins pour la nuit du nouvel an. Un clin d'oeil pour fêter la légalisation totale de l'herbe folle en Californie. En France, le débat pourrait redevenir d'actualité avec les campagnes pour les élections présidentielles. Pour Renaud Colson, maître de conférence à la Faculté de droit et des sciences politiques de l'Université de Nantes, la légalisation du cannabis est inévitable.
 
 
 
 
 
 
La France comptait en 2014, 1,4 millions de consommateurs réguliers, selon l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies. Sur une population âgée de 11 à 75 ans et à la même date, 17 millions ont déjà goûté, 4,6 millions fumaient cette herbe folle, selon sa traduction littéraire. Le cannabis est également la première substance illicite consommée par les adolescents qui l'expérimentent parfois dès leur entrée au collège, et plus généralement en troisième. On estime à 47,8% le nombre d'individus ayant testé cette drogue avant leurs 17 ans.
 
L'enquête scolaire ESPAD de 2011 distingue clairement la France de ses voisins européens en tant que seul pays avec un niveau largement supérieur à 15%.
 
Pourtant, la législation est sévère. Le simple usage peut entraîner jusqu'à un an d'emprisonnement et 3.750 euros d'amende. Aucune distinction n'est faite entre les consommations thérapeutiques, récréatives, ou religieuses. La culture, bien que de plus en développée, est également interdite. Les adeptes de la main verte sont punissables de trente ans de prison et de 7,5 millions d'euros d'amende. Enfin, en cas de trafic, la réclusion criminelle à perpétuité est envisagée. Il s'agit en effet d'un crime, et non-plu d'un délit.
 
Si le débat revient avec les élections, c'est parce que la légalisation ou la dépénalisation du cannabis représente, pour certains, la solution aux fortes dépenses qu'engendre le combat contre les drogues, évalué à 500 millions d’euros par an. Baisse de la délinquance, augmentation contrôlée du nombre de fumeurs, création d'emplois... L'hebdomadaire libéral The Economist avait plaidé en sa faveur.
 
En février 2016, le magazine explique que la substance « pèse pour plus de la moitié d’un marché de drogues illicites de 300 milliards de dollars » et « reste la drogue de choix de 250 millions de personnes dans le monde ». Un marché juteux entre les mains pour le moment de groupes criminels.
 
L'inévitable légalisation du cannabis?
Renaud Colson est le co-auteur de l'ouvrage Les drogues face au droit (PUF, 2015) et du livre European Drug Policies: The Ways of Reform (Routledge, 2017). Le maître de conférences à Faculté de droit et des sciences politiques de l'Université de Nantes distingue la dépénalisation (le fait que l'Etat s'abstienne de punir pénalement) de la légalisation, inévitable à ses yeux, qui consiste à autoriser formellement les drogues pour les réglementer.
 
 
 
 
 
Une nécessité ? Interview de Renaud Colson, par Cerise Robin
Il existe une diversité de modèles déjà expérimentés dans d'autres pays. Renaud Colson préconise une légalisation rigoureusement contrôlée de la production, de la distribution et de l'usage des drogues.
 
Les programmes d'éducation et de réduction des risques mis en oeuvre par la puissance publique permettraient de recréer des liens avec les consommateurs pour leur offrir des solutions et s'ils le souhaitent pour entrer dans une démarche d'abstinence. Le durcissement observé de la répression à l'égard des usagers de cannabis favoriserait au contraire, selon le maître de conférences, la marginalisation des usagers ainsi que des processus de discrimination ethnique et sociale dans la mise en oeuvre de la loi.
 
 
 
 
 
La différenciation face à la loi, interview de Renaud Colson, par Cerise Robin
Selon un sondage Ipsos d'octobre 2016, 52% des personnes consultées sont favorables à l'ouverture d'un débat. Et 82% d'entre elles pensent que la législation actuelle est inefficace.
 
Retrouvez l'interview complète de Renaud Colson à la fin de l'article.
 




 
 
 
 
 

Renaud Colson - L'inévitable légalisation du cannabis


 
La légalisation pour baisser la consommation
 
Mais si les de plus en plus de spécialistes plaident pour un allégement de la législation, c'est surtout pour enrayer un phénomène qui prend de l'ampleur. En janvier 2016, la Société de Pneumologie de langue française s'était prononcée en faveur de la légalisation de la plante.
 
Son président Bertrand Dautzenberg confiait d'ailleurs qu'il était persuadé que la pénalisation était la cause de la situation :
« Je suis persuadé que la pénalisation est la cause de cette situation. C’est une loi trop répressive qui aggrave la situation sanitaire du pays même si elle est pleine de bonnes intentions. Je suis sûr que si on sort de cette loi, on va diminuer la consommation de cannabis et supprimer les formes les plus dangereuses. Il faut regarder les chiffres pour affirmer cela. »
 
Tout en remettant en cause la stigmatisation de la drogue lors des séances d'informations dans les collèges et lycées. Cependant, l'idée n'est pas de dénigrer la dangerosité du cannabis.
Aujourd'hui, l'herbe est deux à cinq fois plus concentrée en THC qu'il y a 25 ans. A ce niveau les effets physiologiques et psychologiques sur la construction d'un individu avant ses 18-20 ans n'est pas à relativiser.
 
Trois joints égalent un paquet de cigarettes
 
Les conséquences d'une consommation de cannabis dépendent de la dose mais aussi de l'individu. Toutefois, parmi ce qui a pu être observé, on constate assez généralement une augmentation du rythme cardiaque, et un gonflement des vaisseaux sanguins, qui se manifeste en particulier par des yeux rouges.
 
De même, cette substance interfère avec un réflexe permettant à l'organisme de réagir par une vasoconstriction en cas de baisse de la tension artérielle. Ce qui peut conduire à un accroissement des risques quant à l'approvisionnement en oxygène du coeur et du cerveau. Faiblement toxique, le Cannabis est cependant à l'origine d'accidents cardiovasculaires, mais aussi d'accidents de voiture.
 
La drogue crée également des désordres au niveau neuronal. Si une personne a une consommation régulière avant sa majorité, avant donc que son cerveau se soit tout à fait développé, les dangers sont accrus. L'amateur de cette herbe va ainsi impacter sa mémoire, sa capacité de concentration et de réflexion, à plus ou moins long terme. Cependant, les études sont encore récentes et elles ne permettent pas de comprendre complètement ce qui se passe réellement dans le cerveau.
 
Toujours au niveau du cerveau, le Cannabis s'est avéré être un déclencheur de la schizophrénie chez les individus porteurs, mais aussi un amplificateur de la dépression pour les personnes fragiles.
 
Enfin, des récepteurs cellulaires au THC sont présents dans les testicules. La drogue peut donc avoir des effets au niveau du système reproducteur mâle. Elle réduirait les capacités de fertilisation.
 
 
 
 
 
 
 
 
 


interview_complète_renaud_colson.mp3 l'émission

 
Publié par Cerise Robin
 
Source: lesonunique.com
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Quand Carrie Fisher fumait la weed d'Harrison Ford sur le tournage de Star Wars
Par mrpolo,
La fin 2016 aura été marquée par la disparition de plusieurs personnalités. Parmi elles, Carrie Fisher (suivie de sa mère Debbie Reynolds). Les hommages des fans se multiplient depuis à travers la planète en souvenir de celle qui fut la princesse Leia de Star Wars.
 



 
Alors que la Californie a légalisé le cannabis le 8 novembre dernier et que des petits plaisantins ont transformé le panneau Hollywood en Hollyweed dans les colline de L.A le soir du réveillon, Carrie Fisher racontait dans ses dernières mémoires récemment parues avoir commencé à fumer de la weed à l'âge de ses 13 ans avec sa mère. Cette dernière préférait qu'elle le fasse avec elle plutôt que dehors et risquer de se faire embarquer par la police.
 
Six ans plus tard, Carrie Fisher était castée par George Lucas pour la Guerre des Etoiles. Sur le plateau, la jeune femme de 19 ans rencontrait Harrison Ford qui, à ce qu'elle raconte dans The Princess Diarist, aurait eu de la weed surpuissante ! Leur séance de fumette commune lui aurait fait oublier la plupart de ses souvenirs de tournage.
 



 
C'est lors de ce même tournage que Carrie Fisher est devenue la maîtresse d'Harrison Ford alors marié. "C'était tellement intense" avait expliqué l'actrice. "C'était Han et Leia la semaine et Harrison et Carrie le week-end'".
 
Carrie Fisher avait confié avoir été bien plus amoureuse de lui que lui d'elle. Harrison Ford alors de 11 ans son aîné avait mis fin à cette idylle à la fin du tournage. Concernant le cannabis, l'interprète d'Han Solo n'a jamais confirmé les dires de sa partenaire de Star Wars bien que dans les années 70, il lui serait arrivé de rouler des joints en plein interview.
 



 
Par Henry Swanson
 
Source: cinema.jeuxactu.com
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Le breedeur de cannabis Franco Loja de Strain Hunter est mort à l'age de 42
Par Indi-Punky,
Franco Loja, la moitié des célèbres "Strain Hunter", est décédé aujourd'hui, le 2 janvier 2017.
 
La raison de sa mort est inconnue au moment de ce poste. Il a été l'associé d'Arjan Roskam dans la Green House Seed Co. à Amsterdam, aux Pays-Bas. Franco a été le sélectionneur principal de la société qui est la société de semences la plus récompensée dans le monde .
 
Les deux années passées à traverser le globe à la recherche de souches de cannabis. Leur série de vidéos de Strain Hunters compte plus de 60 000 abonnés sur YouTube, et ils ont récemment été présentés sur Vice TV alors qu'en Colombie, ils recherchaient des souches landrace spécifiques. Franco a également écrit pour Cannabis Now et était une véritable célébrité du cannabis et leader dans le développement de la souche et la reproduction. La page Instagram de Franco comptait près de 100 000 adeptes le 2 janvier.
 
Leur site Strain Hunter et les sites Web de Green House Seed Co. indiquent une page d'hommage pour le légendaire entrepreneur en cannabis.
 
Source: https://www.occnewspa...oja-dies-at-42/
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Israël: premier cours sur le cannabis médical à l'université Ariel
Par mrpolo,
Un tout premier cours universitaire sur l'utilisation du cannabis médical reconnu par le Council for Higher Education a été lancé par l’université Ariel.
 
 
 
Il a été initié par le Dr Michael Dor, un important conférencier dans le domaine des systèmes de santé à la Faculté des sciences de la santé de l'université. Dor est également conseiller en chef du ministère de la Santé, spécialiste en médecine familiale et ancien haut fonctionnaire du ministère.
 
"Les exigences du cours sont très rigoureuses", a déclaré Dor. "117 étudiants y ont été acceptés dans le cours et certains ont dû être refusés. Le cours comprend l'histoire et la situation actuelle de la marijuana médicale, son contexte juridique et sa réglementation, les ingrédients actifs de la drogue, les utilisations cliniques y compris dans le domaine de la psychiatrie, la culture du cannabis et les diverses technologies utilisées (y compris les startups présentant des développements innovants dans ce domaine), les changements d'attitude publique, les dilemmes moraux et plus encore.
 
Le cours est conçu pour les étudiants du domaine de l'administration médicale ayant validé au moins une année d'études. La priorité a été accordée à ceux possédant de l'expérience dans le secteur de la santé.
 
Au cours des dernières années, l'usage du cannabis médical a pris de l'ampleur. Comme il a été utilisé pendant des milliers d'années, les sociétés pharmaceutiques ne peuvent pas le breveter, ce qui les empêche de mener à bien des recherches médicales.
 
La plupart de ses propriétés médicales sont connues utilisées depuis longtemps. Certains des obstacles à l'approbation et à l'utilisation légale du cannabis médical sont dus au stigmate de la plante de marijuana comme drogue douce, moins risquée que l'alcool et la nicotine, mais qui peut mener à l'utilisation de drogues dures. Pourtant, aucune étude scientifique n’a examiné ses avantages et ses effets secondaires.
 
 




Du cannabis médical


 
Aujourd'hui, l'utilisation du cannabis en Israël à des fins récréatives et non médicales est illégale, comme l'utilisation de l'héroïne et de la cocaïne. Mais des dizaines de milliers de patients souffrant de douleur, de manque d'appétit, de nausées et d'autres problèmes ont été autorisés par le ministère de la Santé à l'utiliser. Au fur et à mesure que les patients en bénéficiaient, les demandes de légalisation devenaient plus pressantes.
 
L'un des problèmes réside dans le fait que le cannabis est populaire à des fins sociales et que l'utilisation privée du cannabis médical entraîne des fuites dans le marché noir.
 
Le cours sera enseigné par Dor, très respecté dans le système de santé. Les étudiants rencontreront le représentant de l'Autorité antidrogue qui devrait s'exprimer contre les usages sociaux du cannabis, mais ne s'opposera pas à son utilisation plus large à des fins médicales.
 
Les chercheurs israéliens ont eu un impact majeur sur le terrain. En effet, le professeur Raphael Mechoulam de l'Université hébraïque a été le premier à identifier l'ingrédient actif du cannabis ainsi que d’autres découvertes ayant suscité l'intérêt à travers le monde.
Bien qu'il ne traite pas le cancer, le cannabis peut réduire les effets secondaires de ses traitements.
Il peut également soulager l'épilepsie chez les enfants. Il existe des preuves qu'il est également capable d'atténuer les effets de la fibromyalgie. Chaque mois, un comité de médecins présente des preuves de ses effets dans leurs domaines particuliers.
 
Source : Jpost via alliancefr.com
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Bonne année 2017! Les célèbres lettres de Hollywood mystérieusement transformées en Hollyweed pendant le réveillon
Par mrpolo,
Hollywood a bien changé pour cette nouvelle année.
 
ETATS-UNIS - Non, vous ne rêvez pas.
Lors de la nuit du passage à la nouvelle année, les célèbres lettres formant le mot "Hollywood" sur les hauteurs de Los Angeles ont été mystérieusement modifiées. Les deux "o" de la fin ont été remplacés par deux "e", formant le nouveau mot "Hollyweed". "Weed" signifie cannabis en anglais.
 
Sur Twitter, les internautes locaux n'en reviennent pas, comme on peut le voir sur les photos ci-dessous.
 
 
 
 




 
 


natalie @natliveslife


Welcome to Hollyweed.


 
 
 
 




 


Adam Singer @singy


What the fuck.
#hollyweed

 
 
 
 
 




 


Sd3gaughC @Sd3gaughC


Hollyweed!!! I think security took the night off last night in Hollywood



"Hollyweed!!! Je pense que la sécurité a pris sa nuit la nuit dernière à Hollywood"


 
 
 
 
 



 


Alex Sloane @alexsloanemusic


IT'S 7:01 AM & I JUST GOT HOME AND THE HOLLYWOOD SIGN SAYS "HOLLYWEED"? REALLY THO GUYS



"Il est 7h01 et je viens de rentrer chez moi et les lettres de Hollywood disent 'Hollyweed'? Vraiment les gars"


 
Qui a bien pu faire ça? Le mystère reste pour l'instant entier.
En novembre, la Californie est devenue le cinquième Etat américain à légaliser la marijuana à usage récréatif après l'adoption d'une mesure soumise à référendum.
 
Source: huffingtonpost.fr
 

This is a #LIVE look at the Hollywood sign, which was modified overnight to read “Hollyweed. 




Voilà l'astuce...
#Hollyweed image Anthony Gonzalez ‏@AnthoGonzalez56

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Drogues : pas immorales selon la science
Par mrpolo,
Les restrictions morales et légales sur les drogues sont injustifiées et hors de propos, puisque l’usage de drogue relève d’un problème éthique, selon une étude.
 

 
portokalis/epictura


 
 
La drogue, c’est mal ? Eh bien non. Celui qui consomme une substance pour altérer son état ne pose en réalité aucun problème d’ordre moral ; la société qui condamne l’usage, par sa loi ou par son jugement, se fourvoie. Et ce n’est pas un militant de la cause qui s’exprime, mais bien la science.
 
Le millésime 2016 du BMJ de Noël croustille en pépites scientifiques. Chaque année, la très sérieuse revue britannique publie les travaux décalés de chercheurs qui, entre deux études austères, s’attaquent à des sujets plus légers – en apparence. A la veille des fêtes, un chercheur britannique en sciences humaines s’est donc penché sur l’origine des restrictions légales et morales qui pèsent sur les drogues illicites, entendues au sens large – cannabis, cocaïne, amphétamines, héroïne, solvants…
 
Verre et gâteau
 
Première contradiction relevée : s’il était immoral de vouloir modifier sa conscience, alors, toutes les substances psychoactives de notre environnement devraient être bannies. La liste est longue et commence bien sûr par l’alcool mais inclut la caféine, la nicotine ou encore le sucre, « classé parmi les stimulants », rappelle le chercheur.
 
« Le fait d’avoir un regard moral et de jeter l’opprobre sur certains usages de drogues pose problème. Est-ce immoral de boire un verre de vin ou de mettre du sucre dans votre thé ? Personne ne pense cela. Alors, pourquoi est-ce immoral d’ajouter du cannabis dans votre pâte à gâteau ? Selon un raisonnement paritaire, cela n’a rien d’immoral. »
 
L’auteur insiste. Dans nos sociétés libérales, l’homme vit et consomme à son gré. Pour résumer, certains optent pour un mode vie sain, font du sport et mangent bio ; d’autres sont plutôt canapé, télé, apéro. Tant que cela n’empiète pas sur les autres – d’où l’interdiction de l’alcool au volant, ou de l’ivresse manifeste sur la voie publique. Alors pourquoi, sur quel fondement rationnel, ne règlemente-t-on pas les autres usages au lieu de les prohiber ? s’interroge-t-il.
 
"Fait arbitraire"
 
Certains dirons que c’est parce que les drogues causent beaucoup de dégâts – ce qui est juste, en premier lieu sur le consommateur. L’Etat doit donc protéger ses citoyens du mal qu’ils pourraient se faire, à leur corps défendant s’il le faut. Cette protection passe par une interdiction formelle de ces substances toxiques et dangereuses, et par la pénalisation de leurs consommateurs.
 
Ruse ! dénonce le scientifique, qui rappelle les données, le savoir tangible que ses pairs ont scrupuleusement établi à travers le temps : le cannabis, moins toxique que l’alcool, et ses vertus thérapeutiques, tout comme les celles des dérivés d’opiacés et de la cocaïne, antalgiques, alors que l’alcool n’en possède que très peu. Et surtout, les multiples ravages sanitaires, économiques et sociétaux de la prohibition de ces drogues, qui creuse « davantage les problèmes qu’elle ne se résout » – le constat est « universel ».
 
Le fait que les sociétés aient réglementé l’alcool et se soient refusées à aménager les autres consommations n’est rien d’autre que le résultat « arbitraire de la plus grande acceptabilité sociale de l’alcool, qui résulte d’un usage public plus ancien », tout simplement. Un usage moralement inattaquable, la question ne se pose même pas.
 
Un problème éthique
 
La conclusion de cette thèse est imparable, selon son auteur : c’est bien sur le terrain injustifiable de la morale que la société se fonde pour bannir les autres drogues, mais elle se trompe de combat. S’ouvre ici l’autre partie de son raisonnement : les consommations de substances psychoactives relèvent d’une problématique éthique et non pas morale, et cela fait toute la différence.
 
« L’usage occasionnel récréatif ne nous invite à aucun jugement éthique ; il s’agit d’un choix personnel que certains trouvent stupide, intéressant ou hors de propos (…). C’est autre chose de dire qu’une vie dans la dépendance aux drogues est moins souhaitable qu’une vie sans cette dépendance. Ceci est un jugement éthique. Mais ce n’est pas une raison pour rendre l’usage des drogues illégal ».
 
par Marion Guérin
 
Source: pourquoidocteur.fr
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L’UE désigne le Maroc comme principal fournisseur de cannabis
Par mrpolo,
Le Maroc est le principal fournisseur de l’Europe en résine de cannabis, indique un nouveau rapport européen sur les marchés des drogues dans l’UE, qui prévient que les marchés des drogues illicites constituent l’une des « principales menaces » pour la sécurité de l’UE.
 
 
 
 

Selon ce rapport, le cannabis est la drogue la plus consommée en Europe (38% du marché) suivie de l’héroïne (28%) et de la cocaïne (24%). Photo: samyyang.spaces.live.com/blog/


 
Il ne fait aucun doute que les marchés des drogues illicites sont l’une des principales menaces pour la sécurité de l’UE, souligne le rapport 2016 élaboré conjointement par l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (EMCDDA) et l’Office européen de police (Europol).
Ce rapport européen atteste que « les Groupes Criminels organisés marocains (GCO), qui exploitent les liens avec les communautés marocaines établies en Europe et travaillent en partenariat avec les groupes européens, jouent de longue date un rôle dans l’importation de grandes quantités de résine de cannabis ».
 
En termes d’évolutions du marché, l’Espagne, qui est traditionnellement le principal point d’entrée de la résine produite au Maroc, a récemment fait état d’un nombre croissant de saisies de cette catégorie de drogue, signale encore le rapport.
 
La résine de cannabis à très forte teneur en provenance du Maroc augmente, avise la même source qui relève que cette drogue fait l’objet de trafic vers l’UE à l’instar du trafic d’autres produits illicites et des êtres humains.
 
« Il semble que de nombreux consommateurs de cannabis assimilent la teneur à la qualité, ce qui crée une demande et une surenchère pour les produits à forte teneur. La concurrence sur le marché est suffisamment vive pour que ce phénomène représente une incitation pour les producteurs marocains de résine, qui ont introduit de nouvelles variétés hybrides de la plante à haut rendement et à forte teneur », préviennent les rédacteurs du rapport.
De récents rapports « particulièrement préoccupants » établissent un lien entre le trafic de cocaïne et le financement de groupes terroristes actifs dans le conflit en Syrie et dans les pays voisins, note le document.
 
« Il existe des éléments probants » de certains liens entre des Groupes criminels organisés impliqués dans le trafic de drogue et des organisations terroristes, ajoute-t-il.
« Il en ressort qu’en général, ces liens ont un caractère principalement fonctionnel, les organisations terroristes utilisant le commerce de drogue pour financer leurs activités », est-il expliqué.
 
Evoquant la consommation, le rapport signale que les ressortissants européens dépensent chaque année plus de 24 milliards d’euros en moyenne en drogues illicites, en mettant l’accent sur l’impact négatif des marchés des drogues sur la société, mais surtout sur la connexion entre les marchés des drogues et les autres formes de criminalité, particulièrement le terrorisme.
Les drogues illicites constituent « un marché très lucratif », soutiennent les rédacteurs de ce rapport qui expliquent que ce marché représenterait environ un cinquième des produits de la criminalité dans le monde.
 
Selon ce rapport, le cannabis est la drogue la plus consommée en Europe (38% du marché) suivie de l’héroïne (28%) et de la cocaïne (24%).
 
« Nous estimons qu’il (le cannabis) représente environ 38% du marché de détail des drogues illicites pour un montant supérieur moyen à 9,3 milliards d’euros par an (entre 8,4 et 12,9 milliards d’euros), alors que celui de l’héroïne représente moyennement 6,8 milliards d’euros par an (entre 6 et 7,8 milliards), contre 5,7 milliards d’euros en moyenne par an (entre 4,5 et 7 milliards d’euros) pour celui de la cocaïne », précise le document.
 
Les estimations publiées dans ce rapport montrent que plus de 80 millions d’adultes ont déjà consommé du cannabis, dont plus de 22 millions au cours de l’année écoulée, et environ 1% des adultes européens en consomment presque tous les jours, ce qui en fait de loin la drogue illicite la plus consommée dans l’UE.
 
APS
 
Source: impact24.info
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