Ce que nous avons retenu...

De La Nocivité Et Des Bienfaits Du Cannabis
Par TEAM CannaWeed,

Alors que
le marché de l’or vert semble se stabiliser en Colombie Britannique, différentes études tentent de mieux comprendre les effets de cette substance complexe. Selon les résultats, le cannabis peut causer des psychoses mais aussi être un agent thérapeutique.

 
 
 
Une récente étude britannique, publiée dans The Lancet, a fait le lien entre trouble psychotique et consommation de cannabis, et plus particulièrement de skunk. Ce type de cannabis est très puissant et concentré en THC, le tétra-hydro-cannabinol, la substance active du cannabis.
 
Dans le reportage de Richard Massicotte, diffusé dans Les Années Lumières, la Dre Marta Di Forti, psychiatre à l’Institut de psychiatrie du King’s College de Londres, explique qu’ils se sont rendus compte que les gens qui disaient consommer du skunk étaient ceux qui vivaient un risque accru, c’est-à-dire qu’ils avaient trois fois plus de risque de vivre un épisode psychotique pour lequel ils avaient besoin de consulter des services en santé mentale. Elle ajoute que, si la consommation est quotidienne, le risque de souffrir d’un trouble psychotique peut être multiplié par cinq comparé aux autres consommateurs.
 
Pour la Dre Gabriella Gobbi, chercheuse au département de psychiatrie de l’Université McGill, il ne faut pas faire d’amalgame entre trouble psychotique et schizophrénie, qui est une maladie chronique. Outre atlantique, la Dre Di Forti avoue qu’elle ne sait pas si les fumeurs de skunk peuvent devenir des patients psychiatrisés : « il faudrait une étude à plus long terme pour pouvoir le dire. »
 
« L’autre aspect du cannabis dont on ne parle pas assez concerne les risques de développer de l’anxiété et de la dépression », déplore la Dre Gobbi, alors que des études longitudinales ont été réalisées sur ces risques. Elle aborde également la baisse des facultés intellectuelles et le syndrome a-motivationnel entraînés par la consommation de cannabis, notamment lorsque le sujet commence à fumer jeune, à l’adolescence.
 
 

Une substance complexe


 
Concernant les effets du cannabis, le Dr Didier Jutras-Aswad, psychiatre et directeur du l’Unité de psychiatrie des toxicomanies au CHUM, met en garde contre toute généralité : « on ne connaît pas tout, on ne comprend pas tout et c’est une substance qui est extrêmement complexe. »
Il déclare que la littérature leur en apprend plus sur la nature des différentes composantes du cannabis, dont le cannabidiol, un cannabinoïde, qui possède des vertus antipsychotiques. Il ajoute que ce constituant pourrait induire moins de problèmes sur le plan de la santé mentale.
« La littérature sur le cannabis est extrêmement complexe et ça part à mon avis de deux choses : d’abord il s’agit d’une substance complexe qui a à la fois des vertus thérapeutiques, positives, qui, dans la majorité des cas, pour la majorité de la population, ne va pas avoir d’effets délétères importants, mais qui, d’autre part, peut aussi avoir des effets néfastes, extrêmement significatifs, pour une partie de la population qui est plus vulnérable », explique le Dr Jutras-Aswad.
 

Vers un usage thérapeutique


 
L’usage médical du cannabis est toléré dans certains pays, dont le Canada, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et un certains nombres d’États américains. Par ailleurs, depuis 2005 au Canada, le Sativex, un médicament à base de cannabis, est autorisé.
 
Sous forme de spray à vaporiser dans la bouche, le produit, à garder sous la langue avant de l’avaler, est prescrit en tant que traitement d’appoint pour soulager les douleurs neuropathiques, notamment en présence de sclérose en plaques chez les adultes.
 
La France sera l’un des derniers pays européens à permettre à ses patients de bénéficier du Sativex et ce, avant l’été 2015, soit un an après sa légalisation.L’intérêt d’un usage médical du cannabis a retenu l’attention de l’Association américaine pour l’avancement de la Science (AAAS) qui lui a dédié son Congrès annuel, du 12 au 16 février 2015 à San José (Californie, États-Unis).
 
Selon une étude intitulée Cannabis and Medicine : A New Frontier in Therapeutics, et présentée lors d’un Symposium du congrès, le cannabis aurait des propriétés anti nauséeux, antispasmodiques et analgésiques. Les chercheurs explorent de nouvelles perspectives quant au rôle que jouent les différents cannabinoïdes dans l’inflammation, l’épilepsie, la neurodégénérescence et les troubles anxieux.
 

Une drogue qui stimule l’appétit et les neurones


 
Le cannabis a aussi des effets sur l’appétit, qualifiés de « trip-bouffe » par les consommateurs. Les chercheurs ont là une substance qui pourrait les aider à comprendre le fonctionnement de l’appétit, comment le stimuler mais aussi le supprimer.En effet, le dronabinol, un des composants du cannabis (sativa), est également présent dans les médicaments anti nauséeux. Il agit sur les récepteurs CB1, présents partout dans le corps, qui vont s’activer et ordonner la sécrétion des hormones de la faim. Cependant, le mécanisme de ces récepteurs reste encore flou : les scientifiques ne comprennent pas comment le récepteur CB1 déclenche ou arrête la sécrétion des hormones de la faim.
 
En Roumanie, Ana Iorga, une pionnière en neuromarketing, a réalisé une expérience afin de mesurer l’effet du cannabis sur le cerveau. À l’aide d’un casque EEG, conçu pour mesurer l’activité cérébrale, elle a comparé le rythme cérébral de deux personnes avant et après que celles-ci aient consommé du cannabis. La première a fumé un joint de cannabis et la seconde a ingéré un cookie contenant du cannabis.
 
Chez les deux sujets, les résultats ont montré une accélération du rythme cérébral. La neurologue Laura Crăciun explique qu’ « il est clair que le rythme cérébral était plus rapide après avoir fumé et que l’amplitude des ondes était plus grande, ce qui ne signifie pas que les choses fonctionnent de façon chaotique, mais que le cerveau est en état d’alerte élevé. »
 
Laura Meuret
 
Source : https://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/2015/03/05/nocivite-bienfaits-cannabis
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Par kyu,
Ben Dronkers récompensé d’un prix d’excellence pour l’ensemble de sa carrière
 
Le fondateur de Sensi Seeds Ben Dronkers fut récompensé d’un prix d’excellence pour l’ensemble de sa carrière durant l’ « International Cannabis Business Conference » (ICBC) qui s’est déroulée les 15 et 16 février 2015 à l’Hyatt Regency à San Francisco.
 
La cérémonie de récompenses
 
L’ICBC fut le lieu de rencontre d’une liste impressionnante comme diverse d’orateurs. Parmi eux, Dr. Carl Hart de l’Université de Colombia, membre du Congrès américain Dana Rohrabacker, le gourou du cannabis Ed Rosenthal, l’éditeur cannabique Ricardo Beca, l’auteur Doug Fine, Dale Gieringer de NORML Californie, et beaucoup d’autres.

Ben Dronkers accepte son prix d’excellence pour l’ensemble de sa carrière, qui lui a été présenté par son ami cher Todd McCormick.
 
Ben Dronkers était l’un des invités d’honneur durant la seconde journée de l’évènement. Il a contribué à celle-ci via conférence vidéo depuis sa maison à Bornéo. Durant son discours, il a accepté son prix d’excellence, qui lui a été virtuellement remis par son ami cher Todd McCormick.
 
L’ICBC a indiqué :
 
"Ben Dronkers est une légende du cannabis. Depuis les années 60 il a arpenté le monde et nous a apporté beaucoup des variétés de cannabis que nous connaissons aujourd’hui par le biais de la Sensi Seed Company, basée à Amsterdam. Utilisant sa collection extensive de Sativa et d’Indica comme point de départ, il les a développées afin de combiner les gènes de différents cultivars pour obtenir de nouveaux hybrides de cannabis. Cela l’a amené à créer l’une des banques de graines les plus éminentes au monde, avec un menu incluant des variétés telles que Black Domina, Fruity Juice, et la très renommée Jack Herer."
 
Ben Dronkers a reçu cette récompense pour son activisme du cannabis, ainsi que pour avoir créé et développé ses entreprises commerciales telles que Sensi Seeds et l’usine de chanvre industriel HempFlax.
 
International Cannabis Business Conference
 
ICBC est un évènement de « business-networking » incluant des présentations de la part d’importants avocats cannabiques et de professionnels, tels que politiciens, célébrités et journalistes en provenance des Etats-Unis et de partout dans le monde. La seconde édition comprenait deux jours de conférences riches en opportunités pour élargir son réseau de connaissances, et d’orateurs de choix.
 
Sensi Seeds est extrêmement fière de cette récompense, et l’équipe remercie les organisateurs de l’évènement pour leur hospitalité.
 
Source: Sensiseed.com
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Par kyu,
Un spray au cannabis pour stimuler le plaisir féminin
Déjà légal dans quatre Etats américains*, le cannabis récréatif prend un tournant plutôt coquin. Ce mercredi, à l'occasion de l'ouverture des X Games, sera présentée Foria, une huile aux vertus surprenantes. Elaboré à base d'huile de noix de coco, le spray de 30 ml contient surtout 2 mg de THC, la substance active du cannabis. S'il n'est pas question de fumer ou d'ingérer le produit pour planer, il est en revanche censé envoyer les femmes au septième ciel.
 
Comment ça marche?
Pour que ce spray à base de cannabis déploie ses vertus particulières, il faut suivre le mode d'emploi. Comme pour les petites pilules bleues, cette huile doit être utilisée trente minutes avant le début des festivités. Mais à la différence du Viagra, le spray est à usage externe uniquement, et quelques pschitts directement vaporisés sur les parties intimes doivent suffire à favoriser l'accès au plaisir.
 
Durant les trente minutes d'attente avant que le produit fasse effet, les concepteurs de Foria conseillent aux utilisatrices «de se détendre ou de s'amuser, seules ou avec leur partenaire».
 
Augmenter le plaisir féminin
L'expérience varie selon chacune, mais certaines femmes expliquent avoir éprouvé des sensations de chaleur accrue, de picotements et une augmentation du flux sanguin. Pour d'autres utilisatrices de ce spray à base de marijuana, atteindre l'orgasme a été plus facile. Et pour les plus satisfaites, orgasmes multiples, plus longs ou plus intenses ont été au rendez-vous.
 
Conçu originellement pour les femmes, le produit peut également être utilisé par les hommes si le cœur leur en dit.
 
On ignore encore si Foria tient ses promesses, mais on sait déjà que des célébrités en sont adeptes. Miley Cyrus n'a pas hésité à débourser 88 dollars pour s'en offrir un flacon et l'utiliser avec son petit ami Patrick Schwarzenegger.
 
Vendue dans un premier temps en Californie, sous conditions, l'huile Foria devrait bientôt être disponible dans les Etats du Colorado et de Washington. Pour le moment, aucune commercialisation n'est prévue à l'international.
 
* Alaska, Colorado, Oregon et Washington.
 
Source: 20minutes.fr
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Par Indi-Punky,
Des chercheurs de l'Université d'Etat de Portland aux Etats-Unis ont publié une nouvelle étude s'inquiétant des effets néfastes de la cigarette électronique sur la santé. Selon leurs travaux, publiés dans la dernière édition du New England Journal of Medicine (NEJM), le liquide à partir duquel se forme la vapeur inhalée par les utilisateurs d'e-cigarette fabrique une substance cancérigène, le formaldéhyde.
 
Selon leur étude, cette substance ne se forme pas lorsque la cigarette électronique fonctionne à faible voltage (3,3 volts). Néanmoins, il apparaît lorsque le liquide est chauffé grâce à un courant d'une tension plus importante (5 volts). A ce voltage, le taux de formaldéhyde fabriqué est alors largement plus élevé que ceux trouvés avec la combustion des cigarettes conventionnelles.
 
PLUS CANCÉRIGÈNE QUE LA CIGARETTE ORDINAIRE ?
 
Selon eux un utilisateur de cigarette électronique qui inhalerait chaque jour l'équivalent de trois millilitres de ce liquide vaporisé chauffé au maximum, absorberait quelque 14 milligrammes de formaldéhyde. En comparaison, une personne qui fume un paquet de cigarettes papier par jour absorbe, elle, environ trois milligrammes de ce cancérigène.
Sur le long terme, l'inhalation de 14 milligrammes (+ ou - trois mg près) de cette substance nocive chaque jour pourrait multiplier par 5 à 15 fois le risque de cancer, selon de précédentes études.
 
Un chercheur londonien réfute cependant les conclusions de cette étude. Peter Hajek, directeur de la division sur le tabagisme à la faculté de Médecine et de dentisterie de Londres estime que : « quand les fumeurs de cigarettes électroniques surchauffent le liquide cela produit un goût âcre désagréable ce qu'ils évitent de faire. »
 
En août, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) avait mis en garde contre les dangers de l'utilisation des cigarettes électroniques dans l'espace public, une conclusion jugée « exagérée » par certains experts qui estiment que celles-ci sont moins dangereuses que la cigarette traditionnelle.




 
Source: https://www.lemonde.fr/sante/article/2015/01/22/une-nouvelle-etude-accable-la-cigarette-electronique_4560905_1651302.html#xtor=RSS-3208
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Par Indi-Punky,
A 91 ans, Aurora Leveroni n’est pas une grand-mère comme les autres. Italienne d’origine, fan de cuisine et résidente en Californie, elle a ajouté un ingrédient peu commun dans ses recettes : de la weed.
 
Elle a découvert les « bienfaits » de la cuisine au cannabis thérapeutique lorsque sa fille, atteinte d’épilepsie, a commencé à en prendre dans ses infusions pour se soigner.
 
Du coup, trouvant cela à son goût, notre chère grand-mère s’est mise à cuisiner qu’avec de la beuh !
 
Elle s’est fait connaître à travers des vidéos YouTube et l’équipe du site Munchies a décidé de lui rendre une petite visite pour connaître tous les secrets de sa cuisine.
 
On vous invite à les découvrir à votre tour dans le reportage ci-dessous (en anglais avec les sous-titres en français disponibles).
 
Et « bong appétit » !
 
 
 




 
 
Source: https://www.focusur.fr/a-la-une/2014/12/11/cette-grand-mere-est-la-reine-de-la-cuisine-la-weed-docu
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Par Xtof06,
"Marley Natural" est décrit comme "une des meilleures marques de cannabis, ancrée dans la vie et l'héritage" du chanteur jamaïcain. Le produit devrait être disponible à partir de fin 2015.
 

Campagne pour la légalisation du cannabis dans l'Etat de Washington.
REUTERS/Gary Cameron


L'icône du reggae Bob Marley, lui-même amateur de marijuana, revit 33 ans après sa mort grâce à une marque de cannabis haut de gamme qui va porter son nom, a annoncé sa famille mardi. "Marley Natural" est décrit comme "une des meilleures marques de cannabis, ancrée dans la vie et l'héritage" du chanteur jamaïcain. Le produit proposé par la société Privateer Holdings, basée à Seattle, dans l'Etat de Washington, devrait être disponible à partir de fin 2015.
 
"Allons-y pour une bonne journée"
"Il semble naturel que Papa soit associé à ce produit", a expliqué Cedella Marley, fille aînée du chanteur, âgée de 47 ans. "Comme Papa aurait dit: "Allons-y pour une bonne journée"", a-t-elle ajouté sur la chaîne américaine NBC, la première à faire état de la sortie de "Marley Natural". Bob Marley, décédé d'un cancer en 1981 à 36 ans, considérait le cannabis comme un ingrédient essentiel de sa foi rastafarie. Il militait activement pour sa légalisation.
"Bob Marley a commencé à militer pour la légalisation du cannabis il y a plus de 50 ans. Nous allons l'aider à poursuivre son action", a déclaré Brendan Kennedy, directeur exécutif de Privateer. "L'herbe est faite pour soigner une nation, l'herbe aide à la méditation, l'herbe donne de meilleures vibrations", a conclu Rohan Marley, un autre fils du musicien.
 
Légal dans plusieurs Etats américains
La mise sur le marché de ce nouveau produit intervient alors que de plus en plus d'Etats américains légalisent la consommation de cannabis, à usage médical ou même récréatif. La loi fédérale américaine interdit toujours de consommer, vendre ou posséder du cannabis, mais deux Etats, le Colorado (ouest) et Washington (nord-ouest), l'ont légalisé. L'Oregon, l'Alaska et la capitale fédérale Washington ont également approuvé sa légalisation en début de mois par référendum.
En janvier, le gouverneur de l'Etat de New York, Andrew Cuomo, a autorisé son utilisation à des fins médicales. Et le maire de New York Bill de Blasio a annoncé en début de semaine dernière que les personnes en possession d'une quantité inférieure à 25 grammes de cannabis ne seront plus arrêtées. Elles continueront toutefois à être mises à l'amende.
Avec
 
 
Source : https://www.lexpress.fr/actualite/societe/du-cannabis-bob-marley-bientot-en-vente-aux-etats-unis_1623352.html#6kD0uSuvSy1sFQ4X.99
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Par AlexMurphy,
Saluti les amis!
Un ami photographe et moi même sommes allés, aujourd'hui 8.11.14 au ....
 
 

 
 
Un reportage en profondeur sur le monde du "Konopi" comme on dit ici
Et cette fois les amis, contrairement a l'an dernier, nous avons pris le temps de bien photographier, et de bien poser les 3 questions suivantes, a tous les stands de breedeur visites
- Vos nouveautés 2014
- Avez vous des variétés médicales?
- Avez vous des variétés spécial "froid" and anti moisissure?
 
Nous avons rencontrer les breedeurs qui nous semblaient intéressants pour nos lecteurs,
- Dinafem
- Dutch Passion
- Royal Queen Seeds
- Medical Seeds
 
Malheureusement, Sensi Seeds n’était pas présent, pas plus que Positronics , ni TGA
(ceux qui me connaissent doivent comprendre a quel point cette information fut douloureuse pour moi, et heureuse pour mon portefeuille...)
 
Nous sommes donc arrives a 11h du matin, rendez vous avec mon ami photographe, partant pour ce reportage!
Arrive avec quelques minutes d'avance, je m'approche des premiers guichets, il n'y a pas foule, je règle 8 euros de reçois en quelques secondes le précieux sésame: le bout de papier bleu a se coller au poignet, et un livret, avec le plan de l'exposition.
 

je conseille alors au photographe de faire de même "achète a l’entrée, c'est rapide!".
il arrive, et après les salutations d'usage, nous avançons et voyons la masse, la file d'attente a l’entrée. c'est donc, la banane jusqu'aux oreilles, que nous passons toute la file énorme a l’entrée, avec notre bracelet en papier autour du bras
La majorité des visiteurs n'ayant pas acheté le fameux billet 1km avant, et se retrouvent "130 a la queuleuleu", devant une guitoune avec a l’intérieur, 2 jeunes femmes totalement débordées.
 
A l’extérieur, pour ceux qui préfèrent "déguster", un Roll Smoking and Chill Out Zone...

un espace de liberte avec de la musique du matin jusqu'au soir, ou on peut consommer sans crainte de voir débarquer la police... chic!
 
PROGRAMME des Djs
 
 
 
 
Bref, revenons a notre reportage,
Quelques pas dans la foule et nous pénétrons dans la première salle de l'exposition...

et nous voila accueillis par de la musique et 2 bombes atomiques! Pas de colliers de fleurs, mais des sacs en plastique promotionnels avec quelques dépliants, et un briquet... nul trace de numéro de mobile d'une des 2 belles, et mon pote photographe a perdu sa mâchoire inférieure.... ca commence bien!
 
Nous continuons notre visite, parcourant les couloirs entre les exposants, les 3 salles de l'exposition, un repérage important avant de définir nos priorités et de commencer les interviews, tout en espérant secrètement retrouver Positronics...
mais que neni, nous nous rendrons compte très vite qu'ils ne sont pas présents c'est pas grave, on a encore plein de trucs a voir!
 
 
 
On commence par Medical seeds ... et "Viva Espana!"

 

ou nous retrouvons la même personne que l'an dernier! tout droit venu d’Espagne
 

cette fois avec 2 ressources féminines en renfort
 
 
A découvrir cette année: La Mendocino Purple Kush: Un croisement de génétiques venues du Canada, et de Californie pour le cote "Kouche"
 
Dans les variétés Médicinales, la Y Griega (....que l'on ne présente plus), ici en version "CBD" avec un temps de croissance indoor d'1 semaine a 1 semaine et demi seulement pour une floraison de 65 a 70 jours, Variété issue de la collaboration avec CBD Crew
 
Et en variété Régulière, la Deep Neville Regular, toute première regular de la marque, ca méritait d’être note!
 
 
 
 
 
 
Chez Serious Seeds, nous avons pu découvrir la nouveauté de l’année
 

 
"2014 is the year of "Happiness!" nous a confie la personne sur le stand

 
En plus de ce produit phare de cette année, l’équipe présentait aussi le succès de la marque: la Kali Mist! gagnante de multiples concours
 
Et mille pardons a ceux qui avait suivit le précédent post sur Cannafest, la variété que serious seeds a mis 7 ans a mettre au point et résistante aux moisissures et températures fraiches, c'est la "Serious 6", cross de Warlock

Serious Seeds présente aussi une variante spécial CBD de la Serious 6, développée en collaboration avec ... CBD Crew ... (tiens, encore eux!?)
 
 
 
 
 
 
 
Puis une visite chez Royal Queen Seed ...

pour ceux qui n'ont pas de lunettes...
 
un stand simple, de quelques mètres carres seulement. Mais compare a l'an dernier, c'est un progrès, ils n’étaient même pas présents.
 
Je ne suis pas fane de la marque, mais en arrivant sur le stand...


 
 
et alors c'est a ce moment la que j'ai totalement oublie les questions que je voulais poser...

 
bref, quand j'ai repris mes esprits et que j'ai voulu acheté 3 graines de Critical ...
aucun stock, tout vendu! ni de White widow a mi parcours de l'expo - soit le samedi a 12h
bon elle est jolie quand même... en fait on oubliait tout des que l'on arrivait a moins de 4m du stand... bizarre ...
 
 
 
Puis nous sommes passes chez Dutch Passion, et la, le bonheur! un grand stand, avec tout plein de monde!

 
Nous avons eu la chance de rencontrer Tony, responsable des relations publiques de la marque
Nous sommes restes presque 20mn a discuter des nouveautés,

chaudement accueillis par l’équipe sur place.
 

Ici un heureux fane de la marque, venu offrir une bud a l’équipe! roulez jeunesse!
 

Un vrai plaisir de pouvoir prendre le temps de discuter, on a même reçu des bouteilles d'eau pour nous rafraichir!
 
Parmi les news 2014
1) Automatique Féminisée
... a fort rendement avec l'Auto Ultimate (supposée la meilleur auto de la marque)
 
2) Variétés Médicinales riches en CBD
 
je cite:
" CBD SkunkHaze (joint development with the CBD Crew)"
.. avec des taux au dessus de 4% de CDB (en collaboration avec la CDB Crew?, tiens tiens!)
 
"... and ComPassion (independent Dutch Passion CBD variety)" ( Ahhhh !!! enfin!!! )
c'est le 2ieme pole de développement de la société cette année.
 
3) Variete Outdoor / temp. froides / anti moisissures
la Frisian Dew (fem only), et la Passion #1 , a découvrir en détails ici et ici
 
... avec une petit exclue spécial 2015, une variété en préparation, sur base de Frisian Dew (coin coin!), Gardez un œil ouvert du cote de Dutch Passion pour la prochaine saison!
 
 
 
On continue par un passage chez Dinafem,

 
qui avait aussi sur place, des moyens importants, déjà, vu la taille et la position du stand, c'est certain, ils avaient quelque chose a nous dire


 
Je me présente, annonçant direct que c'est "un reportage" pour "Cannaweed"
je retrouve en fait un autre membre de cannaweed contact Dinafem
On papote et on se découvre français tous les 2... ça va faciliter la communication!
Les 2 axes de développement fort cette année, c'est l'Automatique (hm.... ) et le Medicinal (yeee!! )
 
 
1) en Automatique XXL (= gros rendement. la tendance cette année)
- Moby Dick XXL
- Amnesia XXL Auto
- White Widow XXL Auto
- Cheese XXL Auto
- Haze XXL Auto
 
et une
- Critical+ 2.0 Auto << fresh news 2014 - 2015

c'est celle la ... la...
 
2) en Medicinale
 
- Critical Mass CBD
Valide pour: Intérieur et extérieur
Sexe: Féminisée
Génotype: Indica 80%/Sativa 20%
Croisement: Critical Mass x mâle CBD Crew ( décidément!)
Temps de floraison en intérieur : 50-55 jours
Récolte en extérieur: Début Octobre
Rendement en intérieur: 600 gr./m2
Rendement en extérieur: 700-1200 gr./plante
THC: 5%
CBD: 5%
Ratio THC/CBD: 1:1 (optimal medicinal)

- Shark Shock CBD
Valide pour: Intérieur et extérieur
Sexe: Féminisée
Génotype: Indica 80%/Sativa 20%
Croisement: Shark Shock x mâle CBD Crew ( a vi, voila, on les retrouve encore ici)
Temps de floraison en intérieur: 55 jours
Récolte en extérieur: Mi-Octobre
Rendement en intérieur: 500 gr./m2
Rendement en extérieur: 600-900 gr./plante
THC: 6%
CBD: 6% <<<<
Ratio THC/CBD: 1:1 (optimal médicinal)

3) special temp. froides et anti moisissure
- La California Hashplant
 
 
 
Vous en conviendrez, autour de ce salon plane quelque chose de ...

J'ai donc voulu discute avec eux, mais ils n’étaient pas présents cette année
Damned! mes questions resteront sans réponse pour le moment
 
 
 
 
Passage rapide chez Sumo Seeds

 

avec un stand tout équipé, avec Dj live... bon .. pas au moment ou on est passe nous...
Surement pour le soir... tant pis on n'y sera pas
 
 
Et puis on a recroise une des 2 jeunes femmes de l'entree...

 
et du coup... on s'est dit qu'on irait voir par labas ... "hein?. si si... on a le temps..."
 
 
 
...Et on s'est retrouve face a un stand, special "Dune" ou etait assise Chantal Thomas...

ce qui explique peut être les mannequins qui défilent tout partout dans les allées?
 
.. on a continue a marcher un peu, et finalement on est arrive prés de la scène,

 
et derrière, la salle de conférence, avec en sujet au moment de notre venue

l’établissement d'une administration d’état... ca prendra encore un peu de temps je pense
 
On s’arrête vite fait prendre un the, a la boutique de ceramique (ils avaient du se perdre surement...)

 
... puis jouer chez 1 euros chez GreenGo

ou votre serviteur a gagne .... un paquet de feuilles de taille moyenne! chic! moi qui n'utilise que des OCB Rolls, ca colle!
 
...bon, plus sérieusement, allons donc chez GHE pour voir les systèmes hydros et nous rafraichir,

 
... avec en nouveauté cette année, du nouveau dans la gamme AeroFlo
 

ici, un AeroFlo 40, en exposition
 
...avec maintenant jusqu’à l'AeroFlo 120, pour 120 pieds ...
 
il y avait aussi les Rainforest 64 litres en expo, des Aqua Water Farms, Panda Hydro et Aero, toute la gamme de produit était présentée


Ca ne sera pas pour moi l'an prochain... trop complique pour ma petite tete
surtout trop chronophage....
 
 
 
Concernant les asservissements et ordinateurs de production, une nouveauté 2014 française
avec une machine permettant de préparer ses mélanges de nutriments, très simplement, et avec une précision industrielle, avec la société ASSISTEC (cocorico)
 

... qui présente son premier système automatique de dosage et mélange de nutriments pour les particuliers - le Green Delivery System
 

la machine ressemble a une cafetière Nespresso...
 
... avec en plus un ordinateur amovible, en format tablette sur le cote.

et c'est précisément, cette tablette qui représente la valeur ajoute du produit,
permettant de configurer/programmer la machine afin de préparer les mélanges a base de 6 liquides/nutriments différents -
Sauf la gamme Metrop , car trop visqueux
 
Configurable a l'infini, pour un mélange ou un programme précis jusqu’à 20 semaines(!) et 10 litres pour la base de calcul. Cette machine représente un investissement précieux pour toutes les têtes en l'air, et les paresseux de la culture
 

vidéo de démo: https://www.facebook...&type=2
voir la page facebook: https://www.facebook...nDeliverySystem
 
il existe 3 versions, la premiere pour préparer les mélanges
la seconde qui alimente directement les bacs hydroponiques / ou les automates d'arrosages
 
la troisième qui propose une combinaison des 2 fonctions, idéale pour les productions de mélange "1 shot" ou un programme /mélange de 6 produits différents sur 20 semaines

Bref, une solution idéale pour appliquer des schémas compliques en toute quiétude
pour les cultivateurs exigent et voulant une précision industrielle pour leurs programmes de nutrition,
cette machine est l'arme absolue, dans un encombrement réduit, unique... et française.
ca méritait d’être mis en lumière.
 
le prix a partir de 2080 euros la première machine. Ça pique un peu pour des gens comme vous et moi...
 
a suivre !
 
 
Toujours au rayon des nouveautés technologiques 2014, ici concernant le climat,
la société Agra-Wool, tout droit venue de Hollande,

 
... qui est venue avec une climatisation spéciale "espace de culture", l' Agra-Cool


c'est massif quand même...
 
Une climatisation automatique, a régulation de température et d’humidité.
Pas de filtre a charbon actif, ou anti bactérien... (ce qui aurait été un vrai plus, pour un produit dédié a la culture...)
 
Toujours dans les nouveautés, la société SOLIS TEK, from USA, California, pressentait un truc génial! qui ne sert pas a grand chose, et donc indispensable :

le ballast "haut de gamme" , digital ET a telecommande...
 
Démo en vidéo, effets spéciaux, la totale... (on s'installe confortablement et on sort le pop corn...)

 
Disponible dans des gammes assez classiques

 
Ce qui est intéressant ici, nous parlons d'un fabricant de Californie du Sud (Ahh la Californie! ses plages, ses patineuses ...) se positionnant sur le marche "haut de gamme" de la culture. Ils fabriquent aussi des ampoules HPS longue durée, 1000 w HPS qui fonctionnent jusqu’à 10 000 heures (la, on rigole plus du coup ...)
 
Et ce n'est pas fini! une exclue: la marque est en train de déposer un brevet, concernant leurs produits, HIled

Solis 5 - 500w, et Solis 9 - 900w (ca, ca fait parler la poudre!)
 
L’éclairage est modulaire: on peut remplacer/customiser en changeant individuellement les ampoules (50w a 100w) qui contiennent de l'or 24 carat pour une meilleure conductivité - et le tout, SANS ventilateur .
A découvir ici (page en construction)
 
Leur page facebook: https://www.facebook.com/solistek
 
 
 
On continue avec les éclairages a LED, très présents cette année sur tous les stands
 

Par exemple ici, chez Plagron...
 
Venant d'Angleterre, Budmaster Led
cette année, ils ont sorti la nouvelle génération, la Budmaster II
 

ce model 9 cellules de 310w a €1,307.39
 
Alors, nous sommes passe chez Mazar, les moins chers du salon. Société locale tchèque qui proposait plusieurs modèles très intéressants, dont un équivalent a un prix bien meilleur
 
SpectraboX PRO, (956 euros ) << new version 2014 - 2015
Power: 300Watt
Brand: MAZAR LED SPECTRABOX PRO®
Wavelength: multispectrum
Color: multi red, white and blue
utilization: growth and flower
replaced: 1000W HPS

Quelques modèles pour référence avec leur prix
 
SpectraboX, (371 euros)
Power: 90Watt
Brand: MAZAR LED SPECTRABOX®
Wavelength: multispectrum
Color: multi red, multi white, multi blue, UV, IR
utilization: growth and flower
replaced: 250W-400W HPS (250 ou 400? ca a mon avis, ca veut dire: "si tu veux que ca marche, tu en achetes 2" )

LED UFO (233 euros)
Power: 90Watt
Manufacturer: MAZARA UFO LED grow lights
Wavelength: multispectrum
color: multi blue, multi red
utilization: mother plant


ici les modèles de chez Mazar en demo
 
 
Passage chez Gavita (Speciale dedicasse pour Quakers!)
Cette annee, c'est l'annee des PRO!

 
ici la gamme Pro line e-series en expo

 
> Gavita Pro 600 SE
conso: 3 Amp
Puissance jusqu'a 700w
 
> Gavita Pro 6/750 DE Flex,
conso: 3.9 Amp
puissance jusqu'a 870w
 
> Gavita Pro 1000 DE
conso: 5.3 amp
jusqu'a 1210w!!
 
Un ordinateur, le Gravita Master EL 2 "qui va bien"

 
... voila pour les "lumières" sur ce salon...
 
 
Ici un gadget / nouveauté 2014 au top! Le Cone Artist (j'adore!)

j'en ai achetè 2, 1 pour un copain incapable de rouler, et un pour moi, pour tester avec vous sur Cannaweed!
 
démonstration:

... en vidéo:

 
Les Vaporiseurs... vraiment sous exposes cette annee, en perte de vitesse ? ce n'est plus a la mode ? ... mystere...
 
On est passe voir le stand de Vaporite
je pensais avoir tout vu, mais non!
Accrochez vous bien: Vaporite propose des vaporiseurs ... Bluetooth ! (ca vous la coupe, ca non?!). treve de plaisanterie, j'ai toujours pas compris pour quoi faire...
 
... qui sont livres avec 2 resistances de chauffage, (1 principale et 1 de remplacement)
et un chargeur USB.
 
la version pour huile et BHO ...en fait toute une gamme, une gamme enorme!!

Bluetooth or not bluetooth ...
- Jade
- Opal
- Saphire
- Saphire X
- Amber
- Amber L
- Garnet
- Garnet L
- Humite
- Humite L
- Granite L
- Topaz
- Topaz L
- PearL
- Quartz
- et encore beaucoup beaucoup d'autres!
 
Nouveaute de cette annee, pour herbe seche:


ici les models Vaporite "Emerald"
 
... et aussi une version "3 en 1" pour herbe seche itou
Le Budy Pen Combo "3 in 1" for 69.99 USD only !!! call now!!!
 
 
ici des versions "de table" a des prix tres corrects de 40 a 60 euros
Mini, Mini air, Hyper, Blown
 
 

des produits pas chers, en tout cas, une societe a garder sur le radar
 
La boutique en ligne, c'est par ici:
https://www.vaporitev....com/store.html
 
 
On continue au rayon des Grandes TAILLES... pas de questions, juste quelques photos, comme ces équipements ne s'adressent pas aux membres de notre communauté.
Mais pour la curiosité et le fun d'imaginer les surfaces de productions gargantuesques....


ici une nouvelle génération de turbines plus silencieuses
 
 
 
Les stands de produits médicaux a base de chanvre
- a venir -
 
et enfin les Cannafest-Girls
cliquez sur le spoiler ci dessous...
 
 
 
Voila! c’était déjà pas mal pour cette année!
rendez vous l'an prochain!
 
ciao les copains
Alex
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Par Indi-Punky,
Les premiers résultats de cette étude ont été publiés en 2006 mais étaient passés plutôt inaperçus. L'UFCM a récemment publié sur son site la traduction française d'un article du Washington Post sur ce sujet ainsi que les tableaux des résultats. De nombreux consommateurs de cannabis ne sont toujours pas passés au vaporisateur et continuent de fumer des joints traditionnels. Ce mode de consommation nous a toujours été présenté comme extrêmement nocif et c'est l'une des raisons pour lesquelles l'organisation américaine NORML avait commandé des études sur la vaporisation.
 
Le docteur Donald P. Tashkin de l'université de médecine de Los Angeles étudie le cannabis depuis plus de 30 ans. Financée par le National Institute on Drug Abuse, l'étude, qui est l'une des plus importantes réalisées à ce jour sur le sujet, a concerné un panel représentatif de 1.200 personnes souffrant d’un cancer du poumon ou des voies aériennes supérieures et de 1.040 personnes n’ayant pas de cancer sur une période allant de 1999 à 2012. Les résultats nous permettent de constater que l'inhalation de la fumée de marijuana issue de la combustion n'augmente pas les risques de cancer du poumon ou des voies aériennes et que cela pourrait même avoir des effets positifs y compris pour les plus gros fumeurs.
 
Le docteur Tashkin et son équipe avaient auparavant publié des études qui démontraient que la fumée de marijuana était plus dangereuse que celle du tabac et sur lesquelles s'étaient appuyés plusieurs prohibitionnistes américains. " Pour cette nouvelle étude, les résultats n'étaient pas du tout ce que nous attendions. " a déclaré le pneumologue. La fumée de marijuana contient bien les mêmes agents chimiques que ceux contenus dans la fumée du tabac mais elle contient également du THC et cette substance tue les vielles cellules et les empêche de devenir cancéreuses. Selon le docteur Tashkin, les différences entre ces résultats pourraient venir du fait que les études précédentes avaient en partie été réalisés sur des animaux. Les scientifiques avaient aussi remarqué que les fumeurs de marijuana gardaient la fumée plus longtemps et pensaient que cela augmentait les risques.
 
L'étude a permis de démontrer ceci : en partant d'un coefficient de 1 qui représente le non fumeur, un petit fumeur de tabac (moins de 20 cigarettes par jour), le risque est de 1,3. Pour un fumeur moyen (entre 20 et 40 cigarettes par jour), le risque est de 7,8. Pour un gros fumeur (plus de 40 cigarettes par jour), le risque monte à 21.
 
Pour les fumeurs de marijuana, tous les chiffres sont en dessous de 1 et pour les gros fumeurs (plus de 22.000 joints durant toute leur vie), il descend à 0,56. En d'autres termes, cela signifie que les fumeurs de cette catégorie ont presque 2 fois moins de chances que le non fumeur d'avoir un cancer du poumon et des voies aériennes !
 
Source: https://www.cannabis.info/fr/Bibliotheque/4321-la-fumee-du-cannabis-moins-dangereuse-que-celle-du-tabac/
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Par Indi-Punky,
Expogrow ? La fête à Neu-Neu de la beuh. Dès Hendaye, au bistrot, des locaux s’étonnaient de son succès, samedi : «C’est le "week-end cannabis" à Irun. Tous les hôtels sont pleins. Dingue !» Finauds, les organisateurs, désireux de cibler la clientèle française, indiquaient que la troisième «foire au cannabis» se déroulait «à dix minutes à pied de la gare de Hendaye». Effectivement. A peine traversé la Bidassoa, le fleuve qui marque la frontière franco-espagnole, on est au Ficoba, le palais des expositions d’Irun, où il y a, dès le matin, la queue, avec des visiteurs payant 15 euros l’entrée qui s’émerveillent : «Ça fait un choc, Amsterdam puissance 10, à deux pas de la France !» «Le Colorado à moins d’un kilomètre de la frontière !» enchérit une autre, en référence à l’Etat américain qui vient de légaliser le cannabis.
 
Plus de 100 exposants, 17 000 visiteurs revendiqués, entre les professionnels et le public, dont 50% de Français : baignant dans de permanentes effluves cannabiques malgré les affiches «interdit de fumer», Expogrow, prohibé aux moins de 18 ans, a confirmé la bonne santé du «cannabusiness» et de l’autoculture, affichant au grand soleil du Pays basque espagnol une économie qui préfère habituellement l’ombre du Net. Pour Laurent Appel, journaliste spécialisé et activiste, «Expogrow, c’est l’occasion de se voir dans la vraie vie, alors que le reste de l’année, on est en contact via Internet».
 
Hébergé dans cette Espagne tolérante, où la culture de cannabis à titre privé et artisanal est tolérée et le commerce des semences a pignon sur rue, Expogrow est un pied de nez à l’hypocrisie de la France, où rien n’est permis mais tout se pratique. L’Hexagone compte 4 millions de consommateurs, dont peut-être 200 000 planteurs condamnés à la clandestinité. Cette feria comparable à la Spannabis de Barcelone est organisée par un Français désireux de «joindre les deux pays», Thomas Duchêne. Etabli à Grenade, il mène avec succès le commerce des semences via son entreprise Plantasur, qui exporte dans 40 pays et fait travailler une soixantaine d’employés. A Expogrow, Thomas Duchêne associe le festif (avec des concerts jusqu’à 3 heures du matin) et des débats de fond à du commercial classique, comme dans une foire au vin : «On est un jeune secteur, dit-il, mais on se développe partout, il y a une vraie mondialisation, et ça fait vivre des gens.»
 
Pour lui, l’autoculture artisanale «est une solution contre la criminalité et le deal de rue», même si on refuse de le voir : «En France, il y a la théorie et la pratique, assure-t-il. Un jour, la pratique prendra le pas sur la théorie, les politiques devront s’adapter à la société et à son évolution.»
 
Ventilation.
A Expogrow, le petit peuple de l’herbe pouvait, de vendredi à dimanche, tout voir, tout tester, sur 12 000 m2 d’exposition. Il y avait des infos sur les applications thérapeutiques du cannabis, les rince-bouche pour déjouer les tests salivaires, les derniers vaporisateurs pour consommer plus sainement…
 
La vedette du salon ? Le Sublimator, outil à 600 euros créé après «six ans de travail» par l’euphorique Québécois Enrico Bouchard. Il a eu beau nous expliquer, désolé, on n’a rien capté à son système de «biogazification» via une «distillation fragmentée» qui «casse la molécule à travers un atomiseur». Mais vu les yeux des testeurs après leurs aspirations goulues, le Sublimator a l’air de faire le job et de bien casser la tête. «70% de produit organique en moins pour 70% d’effets en plus !» vantait Bouchard.
 
Entre les stands, on découvrait aussi les semences, les ustensiles de jardinage, les tentes de culture d’intérieur, les lampes, les systèmes de ventilation, les bacs hors-sol pour la culture hydroponique, les engrais… Parti de zéro au début des années 2000, le business de l’autoculture navigue désormais à vitesse de croisière après une douzaine d’années de croissance soutenue. Ses entrepreneurs sont très contents, comme ces deux Espagnols fondateurs d’****** : ils étaient militants antiprohibition, et quand le marché de la semence a décollé, ils s’y sont mis, avec succès. «Pour nous, disent-ils, l’autoculture, c’est la liberté du consommateur. Sinon, c’est le marché noir, avec les risques pour la santé et les mafias. On ne comprend pas que les politiques ne puissent pas voir ça.»
 
****** anime également un site internet de commerce et d’échange d’infos, où travaille Marcel, un Français de 31 ans. «On a quelques dizaines de milliers de visites par jour sur nos sites», explique cet ex-informaticien. Pour Laurent Appel, le marché «n’est plus au stade expérimental», mais il y a un gros hic pour ceux qui cultivent en extérieur : «En septembre, tout le monde se fait voler sa récolte», déplore Marcel. «Les braqueurs arrivent masqués et armés, et ramassent tout, raconte Appel. Dans certaines parties du monde, t’as intérêt à avoir ta kalach, sinon tu plantes pour les autres.»
 
Paradoxe.
En France, les autoproducteurs «ont juste envie d’être peinards, explique Kshoo, du Collectif d’information et de recherche cannabique (Circ). Ils ne se sentent pas des voyous.» Le Circ milite pour l’instauration d’un marché régulé, tout en distribuant à Expogrow des dépliants informatifs prévenant utilement des dangers du cannabis - un paradoxe, dans un monde qui n’en manque pas.
 
En France, un des pays au monde les plus consommateurs de cannabis, on cultive surtout l’hypocrisie, question autoproduction. Le «cannabiculteur» peut - comme tout jardinier - acheter ce qu’il lui faut dans les «growshops», près de 350 commerces répertoriés. Mais le commerce des semences de cannabis, ingrédient principal et coûteux (souvent plus de 6 euros pièce), y est plus ou moins interdit -ou disons plutôt qu'il est interdit de les faire germer. Et les grow-shops n’ont officiellement aucun rapport avec la culture de l’herbe. «On ne fait rien d’illégal, au contraire !» dit un grossiste hilare, dont le slogan proclame «Just grow it» («faites pousser»). Arnaud, qui vend du matériel anglais de jardinage à ces grow-shops, explique : «Officiellement, ils ne savent pas ce que leurs clients en font, alors que, à 80%, c’est pour cultiver du cannabis. Seulement, il ne faut pas en parler.»
 
Du coup, le cultivateur n’a pas forcément de réponse à ses questions, comme le raconte un aide-soignant de 36 ans venu à Irun pêcher des infos - et du matos : «Ici, on m’explique qu’il ne faut pas consommer une récolte qui a été infestée par des araignées rouges, ça peut être toxique.» Vous voilà prévenus. Arnaud le grossiste a ainsi vu, ce week-end, des Français «venus de Clermont-Ferrand, huit heures en bagnole», pour «se renseigner et faire la fête».
Autre exposant, un Breton qui fournit des pipes à eau à des tabacs dans l’Hexagone raconte son marché : «On n’a pas le droit de mettre un logo de feuille d’herbe en décoration, mais le reste est toléré. Le système est totalement hypocrite.» Si certains bureaux de tabac tiquent, la plupart prennent ses produits, vu qu’ils se vendent. «Des fumeurs, il y en aura toujours», dit-il.
 
Egalement exposant, Victor, Français de 29 ans, s’est lui lancé dans la production de graines baptisées «French Touch Seed», qu’il présente comme françaises. En fait, il est installé en Espagne. «On arrive un peu tard sur le marché, mais on vend quand même aux Pays-Bas, en Amérique du Sud, en République tchèque…» Ancien informaticien, Victor assure : «Je reçois plein de demandes de jeunes Français qui veulent travailler avec nous. Il y a un bouillonnement de talents en France qui ne demandent qu’à s’exprimer.» Il en est sûr : «Il y aura forcément une évolution législative. On ne va pas rester comme ça à la traîne ! Et, vous verrez, ça passera beaucoup mieux que le mariage gay, sans manifs dans les rues.» Autre argument : «Partout, c’est la crise. Alors que vous voyez le dynamisme de ce secteur ? C’est professionnel, il y a de l’argent. Et nous, Français, on a un avantage sur les Espagnols : on est plus rigoureux. Dans le secteur de la fumette, il faut de la rigueur.»
 
Légion d’honneur.
De la rigueur, un autre Français trentenaire et jovial en a fait preuve, apparemment. X (respectons son anonymat, lui préférerait être célèbre) raconte qu’il a gagné un prix international au printemps pour sa semence bio de cannabis. Mais aucune légion d’honneur n’orne son polo en chanvre. Agé de 32 ans, X reste anonyme dans son pays, pour ne pas être embêté, alors qu’à Irun, on le félicite : «Tous les "breeders" [cultivateurs, ndlr] viennent me serrer la main ! J’ai battu des Américains, des Espagnols, des Hollandais. Je suis très fier !» Il envisage néanmoins de s’installer en Espagne, contraint et forcé : «C’est un comble. Mais ici, les producteurs veulent que je m’associe à eux.» France, ton talent fout le camp.
 
Michel HENRY Envoyé spécial à Irun (Espagne)
 
Source: https://www.liberation.fr/societe/2014/09/15/a-expogrow-cannabusiness-is-business_1101166
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Par Indi-Punky,
Autoproclamé le « Uber du cannabis », Eaze est une nouvelle application lancée à San Francisco le 29 juillet, proposant un service de livraison de ganja à domicile. Selon le site de la star-up, les utilisateurs peuvent recevoir leur achat chez eux en moins de 10 minutes, soit plus rapidement qu’une pizza. Les détenteurs de l’application peuvent également suivre en temps réel l’avancée de leur commande. Les seules conditions pour en bénéficier, pour l’instant, sont d’être résident de San Francisco, et surtout de disposer d’une ordonnance. Car en Californie, seul l’usage médical du cannabis est autorisé. Flairant le bon filon de l’économie légale de la fumette en plein développement, Ezae compte bien s’étendre dans les 20 autres états où le cannabis thérapeutique est autorisé, mais aussi et surtout au Colorado et à Washington, les deux seuls états américains à avoir franchi le cap de la légalisation de l’usage récréatif de la weed.
 
Une véritable manne pour le Colorado et Washington qui perçoivent des taxes sur le cannabis, un produit aussi réglementé que l’alcool. Le gouvernement du Colorado a ainsi relevé en avril 3,5 millions de dollars (soit 2,6 millions d’euros) liés au commerce du cannabis. Outre le côté industriel de cette économie, qui voit se développer des producteurs à grande échelle, un ensemble de nouveaux services émerge autours du cannabis, dont certains renverraient le bon vieux spliff aux méandres de la ringarditude.
 
Car tirer sur un joint n’est plus aujourd’hui la seule manière de consommer le chanvre. Désormais, il se cuisine. A Seattle par exemple, la société Magical Butter est à la tête de food trucks où l’on vend toutes sortes de plats assaisonnés à la marijuana. A Denver, 3D Cannabis Center produit des sucreries au THC, tandis que Dixie Elixirs & Edibles, une PME du Colorado, fournit les détaillants en chocolat et autres huile d’olive à la marijuana.
 
S’envoyer un paquet de biscuits à l’herbe, se rouler un tarp en toute tranquillité … ce genre d’activités attire également un tourisme d’un nouveau genre dans ces états où légalisation est en œuvre. Des tour operators comme My 420, Green Tours ou Weed Tours l’ont bien compris et proposent depuis peu des circuits shopping adaptés, ou renvoient à de bonnes adresses comme des clubs fumoirs qui fleurissent un peu partout pour contourner l’interdiction de consommer la drogue dans les boutiques.
 
Alors que le cannabis est toujours interdit au niveau fédéral, le Colorado et Washington représentent deux cas uniques de transition d’une économie noire à une économie légale. Bien conscients d’être au bon moment au bon endroit, les nouveaux investisseurs du cannabusiness présents dans ces deux états ne prennent pas la chose à la légère. Loin du cliché du gros hippy de retour de vacances à Katmandou, ce sont de véritables entrepreneurs, pas toujours eux-mêmes consommateurs, et dont certains se forment même sur les bancs de l’université dans des cours dédiés à ce nouveau secteur.
 
Face au développement de l’économie du chanvre, de nombreuses voies s’élèvent pour réclamer la légalisation à l’échelle fédérale. Le très sérieux New York Times à comparé dans son éditorial du 27 juillet, l’interdiction actuelle du cannabis à l’époque de la prohibition. Pour le journal, si les effets de la fumette sur le cerveau des ados peut être dangereux, aucune raison en revanche de l’interdire pour les adultes, au même titre que l’alcool ou le tabac. De plus, l’interdiction entraine un coût pour la société, dû aux nombreuses arrestations de détenteurs de marijuanna, sans parler des dérives racistes que cela peut entrainer, alors qu’en revanche, sa légalisation peut rapporter de l’argent, beaucoup d’argent selon le quotidien. Comme dit le sage, « le tabac, c’est tabou, on en viendra tous a bout, la beuh, c’est bien mieux, on en fumera tous un peu ».
 
Source: https://www.mensquare.com/menly/non-classe/171885-cannabiz-la-nouvelle-economie-de-la-fumette
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Par Indi-Punky,
Les parents partagent des photos déchirantes des derniers jours de leur fils de 19ans, afin de sensibiliser la population aux dangers de la marijuana synthétique qui l'ont laissé à l' état de mort cérébrale après un seul hit.

Connor Eckhardt, 19, glisse dans un coma après avoir pris un hit de marijuana synthétique
Il a été déclaré en mort cérébrale à l'hôpital et ses organes vitaux ont été donnés
Ses parents ont passé quatre jours avec lui avant que les organes aient été prélevés
Ils partagent leurs photos tragiques de la mort de Connor pour avertir les autres sur les dangers de la marijuana synthétique
La drogue est illégale, mais peut être facilement obtenu sur le comptoir sous des noms tels que «spices» et «K2»
Il contient un mélange d'herbes qui sont pulvérisées avec des produits chimiques pour produire un effet propre au high de la marijuana
Il est impossible pour les utilisateurs de savoir quels produits chimiques et en quelle quantité la drogue aura été pulvérisée

Les parents du garçon de 19ans décédé en Californie après avoir fumé un hit de marijuana synthétique sont sûrs que sa mort ne sera pas vaine.
 
Devin et Veronica Eckhardt n'ont jamais imaginé qu'ils regarderaient un hélicoptère portant le cœur de leur fils unique s'envoler de l'hôpital de Hoag à Newport Beach.
 
Mais le jeudi 17 Juillet ils ont honoré les souhaits de Connor Eckhardt, faire don de ses organes après sa mort après avoir fumé une marijuana synthétique connue sous le nom «spice» le samedi précédent.
 
Maintenant, la famille partage des photographies de la vie et de la mort de Connor, dans l'espoir que la fin tragique de leur fils servira d'avertissement aux autres sur les dangers de la marijuana synthétique.
 

 

 
 
«Il a essayé en (pression des pairs) - pensant que c'était correct, il était en quelque sorte en toute sécurité - et un hit plus tard, il s'endort et ne se réveillera plus jamais.» dit le père de Connor, Devin Eckhardt .
 
Aussi connu comme K2, spice est un mélange d'herbes qui est pulvérisé avec un produit chimique pour produire une sensation similaires à la marijuana.
 
Les herbes et les produits chimiques dans la spice varient, ce qui rend impossible pour les utilisateurs de savoir ce qu'ils fument et à quelles concentrations.
 
«Ces substances ne sont pas bénignes.» a déclaré le Dr Andrew Monte, principal auteur d'un éditorial dans le New England Journal of Medicine.
«Les gens ne réalisent pas le danger que ces drogues peuvent représenter. Elles sont en effet jusqu'à 1000 fois plus fortes que la marijuana traditionnelle afin de se lier aux récepteurs des cannabinoïdes.»
 
Incroyablement, elle est facilement disponible dans les magasins et en ligne, même si la vente de celle-ci est illégal en Californie.
 
La marijuana synthétique a été marquée encens, pot-pourri et mélange fines herbes a fumer - et il a été vendu en utilisant des noms tels que K2 et Spice.
 
Connor Eckhardt s'endormit après avoir pris un hit de spice.
 
Son cerveau, privé d'oxygène, a commencé à enfler et il a glissé dans un coma.
 

 

 
Les médecins étaient incapables de détecter le spice dans le système de Connor.
Il n'y a aucun moyen de retracer ses composants car ils changent constamment, mais l'emballage de la drogue était toujours dans sa poche, et aucun autre produit stupéfiant n'a été trouvé dans son système.
 
La décision de Connor de devenir un donneur d'organes a donné à sa famille quatre précieux jours de plus avec lui, le temps que les médecins trouvent les bénéficiaires et se préparent pour le transfert du cœur de Connor et d'autres organes vitaux.
 
Veronica, Devin et les sœurs de Connor, Sabrina et Ashnika sont réunis à son chevet et mémorisent les lignes de son visage, touchent ses cheveux et embrassent son front.
 
«Je n'arrête pas de penser qu'il va ouvrir les yeux et aller," Quoi de neuf, les gars? "» dit Veronica Eckhardt au Los Angeles Times.
Veronica peint la plante de ses pieds et fait une impression, comme elle l'avait fait quand elle et Devin ont adopté un petit bébé prénommé Connor.
 
Sabrina Eckhardt est tout juste un an et demi plus jeune que son frère et elle, tout comme les deux autres enfants Eckhardt, sont adoptés.
 

 

 

 
Elle et Connor étaient très proche et elle a du mal à se consoler de la perte de son frère.
 
Les Eckhardt utilisèrent leurs dernières précieuses minutes avec Connor, un jeune homme californien dont la peau bronzée était un témoignage de son amour du surf et de la planche à roulettes, pour faire quelque chose d'incroyablement courageux : Ils ont filmé une courte vidéo à côté de Connor, dans le coma, sur les dangers de la marijuana synthétique.
 
«C'est notre fils, Connor Reid Eckhardt.» dit Veronica, la voix chargée d'émotion.
«Il a fait le choix mortel d'utiliser un produit appelé K2, ou spice, et Connor est complètement en état de mort cérébrale ... Ce n'est pas un jeu, c'est tout à fait réel, s'il vous plaît aider nous à continuer sa lutte.»
 
 
Ils ont créé une page Facebook à la fois comme un mémorial à Connor et un avertissement pour les autres sur les dangers de la marijuana synthétique.
 
Connor Eckhardt est mort après avoir pris un hit de marijuana synthétique (SPICE, K2, pot-pourri). Cette substance dangereuse est légale. Aidez-nous à sauver des vies en partageant . Jusqu'à présent, il a 32098 like.
 
Source: https://www.dailymail.co.uk/news/article-2721002/It-poison-Family-share-heartbreaking-photographs-sons-final-moments-hospital-died-taking-ONE-hit-synthetic-marijuana-warn-dangers-drug.html
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Par Invité,
Après l’université dédiée au cannabis, voici l’étude sur le cannabis à travers les âges ou plus précisément, sur le prix d’une once de weed ou de marijuana dans les années 70 dans les universités de la Ivy League. Pour information, la Ivy League est une association regroupant les établissements américains les plus prestigieux. C’est une étudiante de Yale, Marissa Medansky qui a mené cette recherche, dont voici dès maintenant les résultats ! A l’université de Brown, le cannabis coûtait 8 dollars pour une once, ce qui équivaut avec nos unités françaises à 6 euros pour 28 grammes. Aujourd’hui, pour vous faire une idée, un gramme de marijuana coûte 9 à 10 euros. Pour résumer, dans les années 70, pas besoin d’être blindé pour fumer comme un pompier !
 



A Brown, il faut tout de même admettre que la marijuana était particulièrement peu chère. A Columbia et à Dartmouth c’était plutôt 10 dollars pour une once, à Cornell, le prix variait entre10 et 40 dollars l’once, et à Harvard, Princeton et Penn, l’once valait entre 15 et 25 dollars. Les prix à l’université de Yale enfin étaient un peu plus modérés, une once valait en effet entre 13 et 18 dollars. Mais tout de même, tout cela reste très peu cher comparé à ce que vaut la marijuana aujourd’hui : 28 grammes de cannabis valent en France plutôt entre 250 et 280 euros ! Décidément, les années 70 sont loins… Y compris aux Etats-Unis : aujourd’hui, dans les coffee shops du Colorado, 3,5 grammes de cannabis valent 68 dollars ! C’est la crise que voulez-vous…
Source
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Par Etranje,
La perception, et la réalité : la page de pub opposée à l’éditorial du New York Times (via Twitter)
La publicité, payée au prix fort par une coalition d’organisations opposées à la légalisation proposée par le New York Times, joue sur une image et sa perception : un homme d’affaires en costume, et une tête de joyeux hippy surimposée sur le costume-cravate.
 
La « perception », c’est le hippy désintéressé, la « réalité », c’est le businessman : c’est le message du groupe intitulé « GrassNotGreener.com », l’herbe n’est pas plus verte...
 
Une nouvelle industrie basée sur l’addiction
 
Le texte explique que cette légalisation marquerait la naissance d’une nouvelle industrie, la création d’entreprises dont le cœur de métier serait de créer de vendre des produits addictifs. Et d’inviter les lecteurs du New York Times à consulter leur site pour savoir « pourquoi des organisations médicales importantes s’opposent à la légalisation de la marijuana ».
 
 
 




Le site anti-légalisation de la marijuana (capture)


 
Le site en question ne s’oppose pas à la marijuana en termes moraux, mais dénonce le fait que sa légalisation donnerait naissance à une industrie aussi puissante que celle du tabac autrefois, dont on sait aujourd’hui qu’elle a fait un lobby efficace pour retarder la lutte contre le tabac et condamné à mort des millions de consommateurs.
 
 
 




Capture d’écran du New York Times : la bannière étoilée recouverte de feuilles de cannabis
(capture)

 
« Repeal prohibition again »
 
Dans son éditorial du 27 juillet -accompagné d’une image animée des étoiles du drapeau américain se transformant en feuilles de cannabis...-, le New York Times soulignait que les États-Unis avaient mis 13 ans avant de revenir sur la prohibition de l’alcool, au début du XX° siècle, et que ça fait 40 ans que le pays débat de la prohibition de la marijuana « qui fait beaucoup plus de mal à la société pour interdire une substance beaucoup moins dangereuse que l’alcool ».
 
Le journal souligne que 625 000 personnes ont été interpelées en 2012 en possession de marijuana (trois fois plus que pour de la cocaïne), et que ce harcèlement est « raciste » car il tombe principalement sur de jeunes noirs. Il fait également observer que les expertises médicales font valoir que la marijuana fait moins de dégâts sur l’individu que l’alcool et le tabac.
 
Dès lors, l’influent quotidien demande la légalisation de la marijuana au niveau fédéral, avec interdiction de vente aux moins de 21 ans, alors que le processus de légalisation État par État est déjà entamé, avec le Colorado en tête.
 
Le débat est donc acharné aux États-Unis, comme il le sera assurément en Europe dans les prochaines années.
 
source: https://rue89.nouvelobs.com/2014/08/02/bataille-legalisation-marijuana-les-pages-new-york-times-254030
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Par Indi-Punky,
"Nous avons parlé de ce qui était la chose la plus importante dans le monde, nous pourrions parler tout de suite," a écrit dans le livre Gaskin, cannabis Spiritualité. "Nous avons parlé de Dieu, nous avons parlé de la politique, le cannabis, l'amour, le sexe et le mariage, la mort et la religion, la non-violence, la télépathie, subconscient et de l'illumination."
 
Une traversée des Etats Unis où il a présenté la nouvelle vision aux églises et collèges dans 42 Etats. Le convoi de bus, camions et fourgonnettes se disant «la Caravane», avec au-dessus du pare-brise de l'autobus de Gaskin ont peut y voir, "pour sauver le monde." Vivre dans un cadre communautaire, la Caravane a commencé à se concentrer plus terre à terre sur ses préoccupations, à savoir l'écologie et mode de vie durable. Finalement Gaskin achète un acre ferme 1750 dans le Tennessee à 70 $ l'acre. La ferme est né et allait devenir le plus grand héritage de Gaskin.
 
La ferme était une commune agricole entièrement durable où les philosophies de la classe ont été mis à l'épreuve. Il y avait une école, et une maison d'édition qui a publié des livres à succès sur la radio CB et de la télévision par satellite. Ils ont également commencé solaire Electronics, qui a créé le Nuke-Buster, un détecteur de rayonnement portable. Comme de plus en plus de bébés sont nés, la femme de Gaskin Ina May a mené une reprise de la sage-femme qui lui a valu les éloges de l'établissement médical local.
 
Le Cannabis était le sacrement de la ferme, et était responsable de leur premier affrontement majeur avec la loi de 1974. "La forme la plus propre de l'herbe," Gaskin a expliqué à High Times en 1995, "Celui-ci était amoureusement cultivé." Mais la ferme n'était pas exactement discrete sur la culture du cannabis.
 
Malgré avoir averti les fidèles à la ferme que la culture du cannabis attirerait les foudres, quand les flics sont arrivés, Gaskin a expliqué que, puisque c'était un collectif, au moins une partie du cannabis lui appartenait, et il a été arrêté. Après une tentative de monter une défense religieuse qui a échoué, Gaskin à passé un an en prison. À sa libération, il a constaté que, comme un criminel, ses droits de vote ont été annulées et ses droits déchus. Un recours collectif déposé en son nom par la suite à rétabli le droit de vote à 250 000 détenus.
 
En 1974, Gaskin fondée Plenty International et, après un violent séisme 1976 au Guatemala, a aidé à reconstruire 1200 maisons, plusieurs écoles et restauré l'eau dans de nombreux villages. fin '70, quand les ambulanciers ont peur de servir de proie à la criminalité, les bénévoles ont commencé à la ferme un service d'ambulance qui à réduis les temps de réponse au patients de 45 à sept minutes.
 
Stephen Gaskin est l'auteur de nombreux ouvrages, dont, Monday Night Class, The Caravan, and Cannabis Spirituality. En 2004, il a été intronisé à la High Times Cannabis Cup dans le Hall of Fame de la contre-culture. Il est mort le 1er Juillet 2014., À la Ferme.
 
"Je suis un professeur, pas un leader," Gaskin a écrit. "Si vous perdez votre chef, vous êtes sans chef et perdu, mais si vous perdez votre enseignant il y a une chance qu'il vous a appris quelque chose et vous pouvez naviguer sur votre savoir. "
 
Pour Infos : Stephen Gaskin a contribué a la création ainsi que la rédaction du magazine High times , ainsi que les différentes cannabis cup aux etats unis ou il etait une personne très actives
 
 
Source: https://www.cannabis-infos.com/2014/07/stephen-gaskin-le-createur-de-la-ferme.html
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Par Invité,
L'année dernière, meltyCampus vous a appris que deux étudiants du Colorado ont crée la surprenante mais vraie première université dédiée au cannabis, suite de la dépénalisation de ce produit dans leur état. Et face au succès de cette THC University, l'état du Massachusetts a lancé la sienne ! A partir de septembre, The North Eastern Institute of Cannabis ouvrira ses portes dans la ville de Natick, au nord-est des Etats-Unis. "Les cours seront vastes", a déclaré l'administrateur de l'école Cara Crabb-Burnham au Boston Magazine. En effet, les étudiants pourront apprendre tout ce qui concerne la marijuana, de son histoire à sa consommation, avec des cours de pratique bien sûr ! "Il y a aura tout ce que vous devez savoir sur la culture dans le Massachusetts et la Nouvelle-Angleterre", ajoute Cara Crabb-Burnham. Au cours des 7 derniers mois, le North Eastern Institute of Cannabis a travaillé dur sur son programme et de nombreuses personnes ont été formées pour l'occasion. Les cours seront enseignés le soir et le week-end, ce qui devrait éviter aux étudiants de sécher la fac pour planter du cannabis !
 



 
On pourra y étudier tous les métiers légaux liés au cannabis
Les étudiants qui auront suivi 12 cours seront "diplômés" par l'école, mais la direction reconnaît la pauvre employabilité du domaine et promet d'aider au maximum, le reste dépend de la position du gouvernement sur la marijuana. "L'école va certifier les étudiants afin qu'ils aient une connaissance de base et avancées de l'industrie", a déclaré Crabb-Burnham. Elle ajoute qu'avec cette certification, il sera plus facile pour les entreprises de trouver des employés qualifiés lorsqu'ils ouvriront des magasins destinés au cannabis. L'école prévoit en effet d'adapter son programme en fonction de la façon dont les lois sont écrites dans le Massachusetts. Selon la loi actuelle de l'état, la marijuana médicale est légale pour les patients avec une ordonnance, mais les autorités regardent de près la possibilité d'ouvrir un dispensaire réglementé pour ceux qui ont "besoin" de cette plante pour des raisons spécifiques, un peu comme les "salles de shoot" suisses. Ces sites d'injection supervisée sont des lieux où les toxicomanes peuvent venir pratiquer leur injection dans de bonnes conditions sanitaires et d'hygiène ainsi qu'en présence d'un personnel formé. Il n'est donc pas question de fumer toute la journée ! .
Source: https://www.meltycampus.fr/etats-unis-une-nouvelle-universite-dediee-au-cannabis-ouvre-ses-portes-a-la-rentree-a302241.html
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Par Indi-Punky,
À la ferme de Rouillon à la Meilleraye-de-Bretagne, Daniel Durand et son fils Franck cultivent depuis 2 010 une parcelle de deux hectares et demi de chanvre sur les 55 que compte l’exploitation : « on voulait diversifier nos productions labellisées bio, volailles, huile de colza, et tournesol. Franck qui s’intéresse beaucoup aux graines alimentaires a débuté la culture de lin et de chanvre » précise Daniel Durand.
 
Mardi après-midi à l’initiative des associations Civam Défis de Saffré et Chanvre et Paysans, un après-midi thématique rassemblait une vingtaine d’agriculteurs et d’artisans, pour découvrir l’intérêt élémentaire de cette culture, les différentes utilisations et transformations du chanvre autour de témoignages et d’échanges : « Le chanvre peut être valorisé de la tête au pied : graines, huiles, pailles et tourteaux,» précise Franck Durand.
 
Pas de cannabis !
 
Le chanvre utilisé qui ne contient pas de matière active comme le cannabis. Il est utilisé à l’alimentaire à travers l’huile ou les graines décortiquées. La graine (chènevis) est très riche et équilibrée en oméga trois. Avec un pressoir, l’huile est fabriquée à la ferme et commercialisée en bouteille dans des magasins Bio.
 
La fibre possède d’excellentes propriétés thermiques et acoustiques dans l’isolation des étages et des planchers. « On est malheureusement en déficit de volume de production » regrette Daniel Durand. Il faut savoir que les chanvriers sont obligés de déclarer en mairie les surfaces cultivées chaque année et de racheter de la semence certifiée de façon à être sur que ce ne soit pas du cannabis.
 
La grosse difficulté du chanvre fermier c’est la récolte qui demande beaucoup de main-d’œuvre et du matériel adapté. Car la plante peut atteindre 3 mètres de haut. « Quand on veut utiliser la graine on passe une première fois avec une moissonneuse-batteuse pour la récolter, une seconde fois avec une faucheuse à section. On laisse sécher, on remet en andain, ensuite on utilise une ensileuse pour couper la fibre qui est stockée pendant l’hiver sous un hangar. Pour finir, on utilise un trieur cylindrique (trommel) pour défibrer la plante de façon à avoir d’un côté la laine de chanvre et la chènevotte avec des calibres différents selon la demande des artisans » explique Daniel Durand.
Nous avons demandé à Daniel des conseils pour un jeune qui voudrait se lancer dans cette production : « Je pense qu’il faut être prudent la première année, il faut faire une petite surface pour se fairela main, et bien intégrer toutes les étapes avant d’élargir la production ».
 
Rendements moyens du chanvre fermier par ha : Paille brute 20/25 m3 – Chénevotte 0,8 à 1 T- Laine 1,2 à 1,5 T- Graine8/10 quintaux – Huile 150 à 200 L
 
 
Source: https://www.leclaireurdechateaubriant.fr/2014/06/28/le-chanvre-valorise-des-pieds-a-la-tete/
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Par Indi-Punky,
En Europe, le cannabis est de plus en plus cultivé localement, par des particuliers mais aussi des groupes criminels attirés par ce marché lucratif. C'est aux Pays-Bas et au Royaume-Uni que le plus grand nombre de sites de production a été détecté, devant la Belgique et la Pologne.
 
La récente saisie de près de 4 000 pieds de cannabis en Belgique illustre l'évolution du marché européen, où l'herbe est de plus en plus cultivée localement, par des particuliers mais aussi des groupes criminels attirés par ce marché lucratif. D'une valeur de 600 000 euros, ces plants arrachés dans huit plantations en Belgique devaient approvisionner la région voisine de Boulogne-sur-Mer (Nord). Une nouvelle saisie exceptionnelle, après celle d'environ 10 000 pieds en décembre 2013 encore en Belgique ou celle de plus de 3 000 pieds dans deux villages de l'Aube fin 2012. Sept millions de plants ont été saisis en Europe en 2012, un nombre qui a triplé en 5 ans, souligne l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT), dans son rapport annuel présenté en mai.
 
En France, 141 000 pieds de cannabis ont été arrachés en 2013
 
Car le chanvre se cultive partout et facilement: traditionnellement en extérieur, dans un champ ou sur un balcon, cette culture se développe de plus en plus en intérieur ("indoor"), dans un placard en appartement voire dans un pavillon ou un hangar. Des plantations ont ainsi été découvertes dans une trentaine de pays européens, précise Laurent Laniel, de l'OEDT. C'est aux Pays-Bas et au Royaume-Uni que le plus grand nombre de sites de production a été détecté, devant la Belgique et la Pologne. En France, 141 000 pieds de cannabis ont été arrachés en 2013 sur près de 50 sites, contre 55 000 en 2010. La culture indoor, discrète et facilitée par internet, permet d'obtenir entre quatre et six récoltes par an, contre une à deux lorsqu'on produit en extérieur, explique M. Laniel. Même si la culture en extérieur subsiste dans les pays du sud et de l'est de l'Europe, "les cultures 'indoor' tiennent désormais le haut du pavé en Europe", dit-il. L'offre s'est adaptée à la demande. La consommation d'herbe de cannabis a supplanté celle de résine, majoritairement importée du Maroc. Sur 2 050 tonnes de cannabis consommées en Europe en 2012, 60% (1 280 tonnes) étaient de l'herbe.
 
"Pour 1m2, on cultive 5 plants, qui peuvent rapporter 5 000 euros par an"
 
Plusieurs raisons à cet engouement: le "mythe du 'produit bio'", une meilleure qualité que la résine, et une teneur plus élevée en THC (le principe actif du cannabis), explique Michel Gandilhon, chargé d'étude à l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT). En quelques années, les effets de l'herbe sont devenus plus puissants - 13% en moyenne -, notamment grâce à des modifications génétiques du chanvre, affirme Matthieu Pittaco, chef de la division renseignement et stratégie de l'Ocrtis (Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants). Au départ pourtant, il s'agissait pour les petits cultivateurs de produire dans leur placard, pour eux-mêmes et leurs amis, pour éviter les réseaux criminels, une arrestation ou une herbe frelatée. En 2010, on en comptait entre 80 000 et 100 000 en France. Mais à ces amateurs se sont ajoutés d'autres profils aux objectifs clairement commerciaux. Car le business est rentable : "Pour 1m2, on cultive 5 plants, qui peuvent rapporter 5 000 euros par an", souligne M. Gandilhon. Depuis trois ans, "certains particuliers se lancent dans la culture pour faire de l'argent", explique-t-il.
 
Récemment, une retraitée de Charente-Maritime a été interpellée pour une trentaine de plants qu'elle cultivait dans une chambre pour arrondir ses fins de mois. Le crime organisé s'est également intéressé à cette manne, à l'image des "cannabis factory" (usine à cannabis), implantées en Angleterre, aux Pays-Bas, en Belgique et en Italie. Un secteur dominé par les groupes criminels asiatiques, notamment vietnamiens, aidés par des filières d'immigration clandestine, selon l'Ocrtis. En échange de son passage, le migrant doit travailler sur ces exploitations. Une nouvelle tendance difficile à contrer par les forces de l'ordre, qui ne découvrent souvent ces plantations qu'à la faveur d'un incendie ou de vapeurs de chanvre reniflées par les riverains, explique M. Pittaco. Mais l'explosion de ce type de cultures entraîne aussi une lutte pour le contrôle du marché (exploitations piégées, braquages entre groupes criminels, agression de petits producteurs...) considérée par la police comme préoccupante.
 
Source: https://www.midilibre.fr/2014/06/26/cultiver-du-cannabis-un-business-en-vogue-en-europe,1015081.php
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Par Indi-Punky,
REMPLACÉ PAR L'ASPIRINE
Ce sont des botanistes anglais qui l'ont importé en Europe au XVIIIe siècle, mais son usage par les apothicaires s'est développé au XIXe siècle, avec son inscription dans le Vidal de l'époque. « Le cannabis était prescrit pour soulager la douleur et les migraines », précise Amine Benyamina, psychiatre et addictologue à l'hôpital Paul-Brousse (Villejuif, Val-de-Marne).
Les soldats napoléoniens envoyés en Egypte avaient aussi pris l'habitude d'en consommer. De cette époque datent les premières lois pour l'interdire, car le cannabis était réputé diminuer leur combativité. Il a définitivement été écarté par les médecins après la découverte de l'aspirine, bon marché et dénuée d'effets psychotropes indésirables.
 
EUPHORISANT ET ANTIDOULEUR
Il a ensuite fallu attendre les années 1960 pour qu'un chercheur israélien se penche de nouveau sur le cannabis et identifie le principe actif à l'origine de son effet euphorisant : le THC. Mais ses propriétés les plus intéressantes sont liées à un autre composant, découvert plus récemment : le cannabidiol ou CBD. « Il agit sur la douleur, les spasmes musculaires, ou encore l'appétit, souligne le docteur Amine Benyamina. Et une étude a montré son intérêt pour traiter certaines psychoses. C'est un espoir fantastique. »
 
RISQUES D'ADDICTION
Selon le médecin, les risques liés à la consommation de cannabis sont réels, surtout chez les jeunes qui plébiscitent les variétés riches en THC. « Les trafiquants l'ont bien compris et proposent du cannabis dont la teneur en THC est de plus en plus élevée. La légalisation permettrait un contrôle beaucoup plus strict », plaide le docteur Benyamina. Pour lui, le cannabis présente certes un risque d'addiction, mais pas plus important que les antidouleurs classiques et bien moins que des substances puissantes comme la codéine ou les benzodiazépines, couramment prescrites. « Alors que les rhumatologues nous envoient à longueur d'année des patients accros aux médicaments “classiques”, l'interdiction du cannabis me paraît parfaitement hypocrite », estime-t-il.
 
MÉDICAMENTS À VENIR
Pour les laboratoires pharmaceutiques, l'herbe pourrait aussi devenir une mine d'or. Les médicaments à base de cannabis sont encore rares (le Sativex vient d'être autorisé en France), mais un assouplissement de la législation devrait accélérer les recherches.
 
Source: https://www.lemonde.fr/acces-restreint/economie/article/2014/06/22/6d696699646569c5946a636b619671_4443101_3234.html
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Par Invité,
Ou faut-il préférer la dépénalisation ou la légalisation, afin de limiter la criminalité associée à la vente de ce produit et de faciliter la demande de soins de ceux qui le nécessitent ? Les états ont diversement tranché face à cette question, mais ceux qui se sont orientés vers la voie de la dépénalisation ont dans la très grande majorité des cas laissé la production et la commercialisation du cannabis aux mains d’industries privées. Ces dernières deviendront-ils demain l’égal des cigarettiers d’aujourd’hui ?
 
Ce que cache l’argumentation sanitaire
 
C’est la question que soulèvent Kimber P. Richter et Sharon Levy du département de médecine préventive et de santé publique de l’Université du Kansas dans un éditorial publié en ligne sur le site du le New England Journal of Medicine. Ces deux spécialistes établissent de nombreux rapports entre le cannabis et le tabac afin de démontrer que le premier pourrait devenir demain un fléau semblable au second. Elles notent ainsi tout d’abord, qu’à la manière du cannabis, hier, les bénéfices du tabac sur la santé ont pu être évoquées. Elle rappellent en effet que les campagnes de publicités des cigarettiers ont ciblé « les femmes, les enfants et les populations fragiles en associant le fait de fumer à l’idée de liberté, de sex-appeal (…) et dans les premiers temps aux effets bénéfiques pour la santé ». Ce petit rappel fera peut-être écho à ceux qui aujourd’hui s’intéressent aux bienfaits du cannabis. « Il existe des preuves de l’effet du cannabis sur la réduction des nausées associées aux chimiothérapies (…) et on a observé des effets antispasmodiques ou analgésiques prometteurs. Cependant, les fabricants de cannabis et ses défenseurs lui attribuent de nombreux autres effets – par exemple face à l’anxiété – qui ne sont assortis d’aucune preuve », ajoutent-elles
.
En ce temps là, le tabac n’était pas une arme mortelle
 
Outre cette mise en garde contre une trop grande importance accordée aux effets bénéfiques du cannabis, le parallèle des deux spécialistes invite à se souvenir que le « tabac n’a pas toujours été aussi dangereux et addictif qu’il l’est aujourd’hui ». Ils s’agit ici de lancer un avertissement à ceux qui affirment que le cannabis serait moins dangereux que le tabac et présenterait un risque de dépendance moins élevé, puisque par exemple seuls 9 % des consommateurs de cannabis répondent aux critères de dépendance contre 32 % des consommateurs de tabac. Cependant, les deux auteurs remarquent qu’avant la forte industrialisation de la production du tabac, ce dernier n’était pas le danger qu’il est devenu désormais. « Dans les années 1880, (…) seul 1 % du tabac était consommé sous forme de cigarettes manufacturées » remarquent-elles en guise de préambule. Cependant, l’industrialisation massive a fait exploser le nombre de fumeurs et le nombre d’utilisateurs de produits manufacturés. Cette évolution a contribué à la forte progression de l’addiction (puisque celle-ci est en grande partie liée aux produits ajoutés dans les cigarettes) et au fléau qu’est aujourd’hui le tabagisme. Aussi les deux spécialistes mettent en garde contre une évolution comparable pour le cannabis, s’il est laissé aux mains d’industriels ayant pour objectif naturel le développement de sa consommation. Elles notent en outre qu’aujourd’hui, ces producteurs disposent d’une arme redoutable qui n’existait pas lors de l’explosion du tabac : internet.
 
Cette démonstration n’est cependant pas un plaidoyer absolu pour le maintien des législations punitives. C’est une mise en garde contre un désengagement des institutions publiques dans la production de cannabis. A cet égard, Kimber P. Richter et Sharon Levy jugent intéressant le dispositif mis en place en Uruguay qui repose sur une nationalisation de la production de cannabis, même si elles notent que ce système devra faire ses preuves.
 
Aurélie Haroche
 
Source:https://www.jim.fr/medecin/actualites/pro_societe/e-docs/et_si_le_cannabis_etait_le_tabac_de_demain__145955/document_actu_pro.phtml
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Par Invité,
Maureen Dowd, 62 ans, lauréate du prix Pulitzer, est éditorialiste au New York Times. Au début de l’année, elle a été victime d’un bad trip sous cannabis. L’Etat du Colorado avait peu auparavant légalisé l’usage récréatif de cette drogue, et elle avait décidé de faire des recherches sur place. Recherches qui l’ont conduite à goûter une barre chocolatée imprégnée d’herbe. Quelques bouchées de trop, visiblement: elle dit être entrée dans un «état hallucinatoire».
Elle dit aussi avoir passé huit heures recroquevillée sur le lit de sa chambre d’hôtel, paralysée par la paranoïa.
 
L’éditorialiste s’est appuyée sur cette expérience pour lancer un débat sur les dangers de l’overdose à la marijuana comestible –problème majeur dans les Etats américains pro-cannabis.
Il est toutefois possible que Maureen Dowd fasse partie des personnes qui supportent mal le cannabis. Car si l’herbe apaise la plupart de ses consommateurs, nous avons tous en tête quelques exemples du contraire; un copain de fac qui s’est barricadé dans sa chambre après avoir inhalé quelques bouffées sur un bang, par exemple (cela vous est peut-être même arrivé). Comment se fait-il qu’une même drogue puisse avoir des effets aussi différents?
 
Cette question est en elle-même problématique. Le cannabis n’est pas une seule et même drogue: il contient des dizaines de composés chimiques, qui semblent avoir des effets variés –et parfois même opposés– sur le cerveau. Le tetrahydrocannabinol (THC) et le cannabidiol (CBD) ont fait l’objet d’études fort intéressantes. En 2010, des chercheurs ont montré que le fait de prétraiter une personne avec une dose de CBD permettait de la protéger contre les effets les plus déplaisants du THC, la paranoïa par exemple.
 
Dans une étude similaire publiée en 2012, les participants ont ingéré des comprimés comprenant une seule de ces deux molécules (qui sont combinées dans le cannabis). Les volontaires qui avaient pris les comprimés au THC avaient plus tendance à souffrir de paranoïa et d’hallucinations que ceux qui avaient ingéré du CBD.
 
Les chercheurs sont allés plus loin: ils ont cherché à savoir quels effets cognitifs spécifiques du THC sont susceptibles de provoquer la paranoïa –entre autres symptômes psychotiques. Après avoir ingéré du THC ou du CBD, les participants ont été installés face à un écran où apparaissait une série de flèches; on leur a demandé d’indiquer la direction de chacune d’entre elles. La plupart des flèches pointaient directement vers la gauche ou la droite, mais certaines d’entre elles étaient légèrement inclinées (ces dernières étaient surnommées «excentriques» par les chercheurs).
 
Les participants à qui l’on avait donné du CBD jouissaient d’une activité cérébrale accrue, et remarquait donc les flèches excentriques plus facilement. C’est là le comportement habituel d’une personne qui n’est pas droguée: la répétition d’un même stimulus ne nous intéresse pas, mais le moindre changement soudain nous saute aux yeux.
 
Les participants qui avaient pris du THC n’ont pas réagi de manière normale. Les flèches pointant vers la gauche et la droite (qui constituaient la quasi-totalité des images) étaient pour eux plus intéressantes que les excentriques. Les chercheurs estiment ainsi possible que le THC sape notre capacité à mettre la routine en arrière-plan.
 
Savoir ne pas prêter une attention démesurée aux choses ordinaires est pourtant une compétence des plus importantes. Si nous étions fascinés par le moindre gazouillis d’oiseau, par la moindre affiche, notre vie deviendrait impossible. Cette tendance à se focaliser de manière obsessionnelle sur le moindre détail de leur environnement contribue peut-être au sentiment de paranoïa qui gagne certains consommateurs de cannabis.
 
Cette différence d’effets entre le THC et le CBD explique en partie pourquoi les connaisseurs considèrent que certaines variétés de cannabis (qui ne contiennent pas toutes les mêmes proportions et les mêmes doses de THC et de CBD) provoquent des pics d’excitation et d’euphorie, tandis que d’autres ont tendance à procurer un sentiment d’apaisement –et ce quel que soit le profil neuropsychologique du consommateur.
 
Le cannabis contient du THC et du CBD, mais il se peut que votre cerveau soit plus réceptif à l’une de ces deux molécules. Ainsi, le cerveau de Maureen Down a peut-être une forte affinité pour le THC; inversement, peut-être que les fumeurs plus tranquilles assimilent mieux le CBD.
Il existe sans doute aussi un facteur psychologique en plus de l’explication neurochimique.
Prenez les effets de l’alcool: il y a les buveurs qui ont l’alcool mauvais, les buveurs tapageurs, ceux qui se lancent dans des tirades enflammées, ceux qui se mettent à pleurer... la liste et longue. Ici, le produit reste le même: contrairement au cannabis, l’alcool ne contient qu’une substance psychotrope. Il doit donc exister une autre explication.
 
Il existe des tonnes d’études consacrées aux différents effets de l’alcool; la plupart d’entre elles s’intéressent aux variations dans les agressions liées à l’ébriété. Malheureusement, aucune d’entre elles n’est entièrement satisfaisante –ce qui est le cas de beaucoup de travaux de recherche en psychologie (ceci n’est pas un attaque contre les psychologues et les psychiatres; c’est un domaine de recherche particulièrement complexe, voilà tout).
 
Il existe une théorie selon laquelle certaines personnes ne s’intéressent pas vraiment aux conséquences de leurs actes, et ce même quand elles sont sobres. Lorsque ces personnes boivent, elles ont l’alcool mauvais –et comme elles manquent de recul sur elles-mêmes, elles ne modèrent pas leurs pulsions agressives. Des chercheurs de l’université d’Etat de l’Ohio ont consacré une étude à la question en 2012.
 
Les résultats ont montré que les participants qui se moquaient des conséquences de leurs actes étaient particulièrement excités, sous l’effet de l’alcool, à l’idée d’administrer un choc électrique à leurs adversaires dans une épreuve de réflexe. L’étude a fait grand bruit; toutefois, il y a une différence entre un choc électrique administré en laboratoire et un coup de poing administré dans un bar.
 
Par ailleurs, les conséquences de la –tristement– célèbre expérience de Milgram sont aujourd’hui connues: toute personne participant à une expérience de psychologie ayant recours à des chocs électriques est en mesure de savoir que la douleur est entièrement simulée.
 
D’autres traits de personnalité, comme le niveau d’anxiété, ont été évoqués pour expliquer le comportement des personnes en état d’ébriété. La plupart de ces études sont fondées sur des scénarios organisés en laboratoire, peu semblables aux situations rencontrées par les buveurs d’alcool dans la vie de tous les jours.
 
Les différences de comportement face à l’alcool pourraient aussi dépendre de facteurs génétiques. Selon les conclusions d’une étude de jumeaux réalisée en 2010, un tiers des variations du niveau d’agressivité des personnes en état d’ébriété serait lié au patrimoine héréditaire. Notons tout de même que cette enquête a été réalisée par auto-évaluation, et que la capacité à évaluer sa propre colère et sa propre agressivité peut nettement varier d’une personne à l’autre.
 
Le monde de la recherche n’est pas encore parvenu à un consensus, mais il est clair que la façon dont nous réagissons face aux produits stupéfiants dépend d’une série de facteurs (traits de personnalité, génétique, expérience). On ne peut pas tout mettre sur le dos de la substance en question.
 
Pourquoi Maureen Dowd a-t-elle passé la nuit à angoisser dans son hôtel, à Denver? Parce qu’elle a consommé une certaine dose et une certaine variété d’herbe, et aussi parce que son cerveau réagit d’une certaine manière quand il est face à des molécules psychotropes. Mais son profil psychologique a sans doute également joué un rôle dans l’histoire.
 
Source:https://www.slate.fr/story/88565/cannabis
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Par Indi-Punky,
Le deuxième volume de Cannabis, 40 ans de malentendus débute en 1997, année où de joyeux drilles réunis sous la bannière du Circ envoient un pétard aux députés et se termine en 2002, année où dans le cadre de l’élection présidentielle les mêmes transforment un meeting politique en cannabistrot.
 



 
Alors que l’auto-production prend de l’essor et que les instances officielles reconnaissent « qu’un monde sans drogues n’existe pas ». Alors que les partisans de l’abrogation de la loi de 1970 se mobilisent et que la question de la place du cannabis est posée lors de la campagne présidentielle de 2002, de nombreux observateurs pensaient que la loi évoluerait dans le sens d’une dépénalisation.
 
Il n’en sera évidemment rien et les défenseurs de la pénalisation dopés par le retour de la droite au pouvoir balaieront tout espoir de réforme, mais ce sera l’objet du futur et dernier volume de Cannabis, 40 ans de malentendus qui vous entraînera jusqu’en 2014 où tous les espoirs d’une révolution cannabique sont permis.
 
 
Il fait suite au premier volume sorti en 2013

https://www.cannaweed.com/topic/173112-cannabis-40-ans-de-malentendus/
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Par Indi-Punky,
Les nouvelles formes synthétiques néfastes de la drogue représentaient près d'un quart de tous les "legal high" identifiées en Europe en 2013.
 
L'année dernière 29 nouvelles formes de "cannabinoïdes synthétiques" ont été identifiés sur 81 nouvelles substances au total.
 
En 2012, 30 nouvelles formes de celui-ci ont été identifiées sur un total de 73 nouveaux "legal high"
 



 
 
 
Les drogues de synthèse peuvent être plus puissante que leur homologue naturelle, ainsi qu'être mélangée à des produits chimiques qui provoquent des effets secondaires.
 
Dans un cas plus tôt ce mois-ci deux adolescents ont été admis à l'hôpital après avoir pris du cannabis synthétique.
 
Steve Rolles dit a The Huffington Post UK que d'avoir une version légale plus dangereuse de la drogue rend la politique de la drogue de la Grande-Bretagne comme étant "la pire du monde".
 
Il a dit à The Huffington Post UK: "le cannabis synthétiques pourraient être la goutte qui fait déborder le vase en termes de réforme du cannabis."
 
"Nous avons actuellement une situation incroyablement stupide où les gens peuvent acheter du faux cannabis plus dangereux. C'est tout à fait ridicule."
 
"C'est vraiment le pire des mondes."
 
Les cannabinoïdes synthétiques sont généralement des poudres, dont beaucoup sont fabriqués en Chine et expédiés en Grande-Bretagne en vrac. Une fois en Europe les produits chimiques sont généralement mélangés avec ou pulvérisés sur les herbes.
 
Ils imitent l'effet du tétrahydrocannabinol ou THC qui permet aux gens d’être high.
 
Frank du service de conseil à la drogue a déclaré que les risques les plus courants sont "une augmentation de la fréquence cardiaque, le sentiment d’être à fleur de peau ou agité ou une somnolence, nausées vomissements et des hallucinations".
 
Un cannibinoid synthétique, AM2201 peut provoquer "des attaques de panique et des convulsions".
 
Frank a également mis en garde, les cannabinoïdes synthétiques pourraient avoir des effets secondaires inconnus parce que les substances qu'il contient sont nouveaux.
 
 
Rolles dit au Huffington Post UK qu'ils peuvent être plus dangereux, car ils ne peuvent pas être étiquetés pour dire aux gens comment en prendre en toute sécurité ou des conseils sur la posologie, la loi interdit la vente "à la consommation humaine".
 
Parce qu'ils sont souvent plus puissant, les gens qui les utilisent peuvent surestimer la dose qu'ils devraient prendre pour se droguer, il ajoute souvent les gens peuvent finir par avoir un "moment terrible" et doivent se rendre à l'hôpital après en avoir trop pris .
 
Il ajoute: "Beaucoup de gens ne savent pas ce qu'ils prennent ou ils ne savent pas qu'il peut être plus puissant ou dangereux."
 
Transform a déclaré ces drogues "sont un élément essentiel» du marché du legal high au Royaume-Uni.
 
Dans son récent rapport sur la façon de réglementer le cannabis Transform a déclaré: "Le marché du cannabinoïde synthétique est alimentée par la prohibition du cannabis et en grande partie disparaîtra quand elle se terminera, de plus la plupart des utilisateurs rapportent une préférence pour le cannabis "réel" sur les alternatives synthétiques."
 
L'organisme de bienfaisance dit que "relativement peu" est connu au sujet des cannabinoïdes synthétiques et des produits qui en contiennent.
 



 
 
Rolles dit qu'il était difficile de savoir avec certitude quelle est la prévalence de l'utilisation des deux dans le Royaume-Uni, en raison de la variété des produits utilisés pour les contenir et le fait qu'ils ne sont pas expressément vendus pour la consommation humaine.
 
Il a dit que les meilleures données disponibles sont l'enquête annuelle de la Global Drugs Survey, les plus récents ont montré que les britannique prennent le plus de legal high de touts les pays ayant pris part à l’enquête.
 
 
Avec 12% admettant en avoir pris l'année dernière.
 
Rolles dit au HuffPost: la plupart des utilisateurs de cannabis préfèrent la drogue naturelle, à l'alternative synthétique.
 
 
 
Il a ajouté que les lois sur les drogues décontracté des Pays-Bas font qu'il n'y a pas de marché pour le cannabis synthétique là-bas, et a démontré que les gens achète la plante s'ils le peuvent.
 
 
 
Il dit: "L'endroit où il n'y a pas de marché pour ce genre de choses est aux Pays-Bas C'est la prohibition qui crée la demande pour ces produits - et non pas les gens qui achètent cette merde".
 
Source: https://www.huffingtonpost.co.uk/2014/05/28/synthetic-cannabis-more-potent-increasing_n_5404453.html?utm_hp_ref=tw
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Par Indi-Punky,
De l'extérieur, le magasin de marijuana récréative de Jan Cole à Boulder, au Colorado, a l'air accueillant. De grandes baies vitrées laissent entrer la lumière naturelle, et les murs sont peints dans des tons apaisants. Cole a utilisé son expérience en gestion de spa pour construire un atelier "chaleureux et accueillant" un cannabis-shop qui met les clients à l'aise.
 
En fait, le nom de la boutique, The Farm, est tellement discret, "que nous avons beaucoup de gens qui viennent à penser que nous pourrions être un épicier d'aliments biologiques," dit-elle.
.
 
Et c'est exactement ce que Cole veut: un sac fourre-tout, une conscience sociale, la foule de l'alimentation naturel. Elle fait la promotion de son cannabis, organique et, bien sûr, cultivés localement sans pesticides.
 
"Je ne pense pas que nous serons jamais aussi grand que Whole Foods, mais Whole Foods est un bon exemple du type de clientèle que nous attirons," dit-elle.
 
 
Cela reflète tout la tentative de Cole de rompre avec la meute. Avec l'utilisation de la marijuana récréative maintenant légal dans le Colorado, les entreprises de marijuana se retrouvent en concurrence pour des clients dans des marchés serrés.
 
Environ 200 magasins de marijuana de loisirs ont ouvert dans le Colorado depuis le 1er janvier. Et le marché devient de plus en plus saturé, tout le monde est à la recherche d'un avantage.
 
 
Aller au-delà "les premiers adoptants»
 
Jennifer DeFalco est directeur de la création pour Cannabrand, une agence de marketing nommé pour un mashup de "cannabis" et "l'image de marque." DeFalco et son partenaire d'affaires misent sur l'industrie de la marijuana du Colorado devenant une grosse affaire - un besoin de logos flashy, slogans mémorables et des annonces accrocheuses.
 
"Le cannabis est là pour rester. Ça ne va pas n'importe où. L'industrie ne fait que commencer», dit-elle.
 
Parce que c'est tellement nouveau, DeFalco dit que la plupart des gens qui ont déjà surgi dans un magasin de cannabis de loisirs sont les premiers adoptants - des gens qui ont essayé la marijuana avant. Mais toute la question du marketing est de faire croître une entreprise pour atteindre des personnes qui sont sur ​​la ligne à essayer la marijuana.
 
"Donc, une partie de la nouvelle image du cannabis est simplement de rendre les dispensaires plus attrayant et plus accueillant», dit-elle.
 
Mais quand il s'agit de publicité, ce n'est pas aussi simple que d'acheter des annonces sur les télévision ou la radio. Les règles de l'État du Colorado interdisent les commerces de faire de la publicité sur les médias, où plus de 30% de l'auditoire visé est plus jeune que 21ans. Ce genre de données d'audience n'est pas facilement disponible. En cas de contestation, il pourrait être difficile pour les entreprises de la marijuana de prouver que des enfants ne voient pas une annonce particulière.
 
"Une chose qui est intéressante et importante pour l'industrie est la question de l'exposition aux enfants», explique Margaret Campbell, professeur de marketing à l'Université du Colorado à Boulder. Pour atteindre de nouveaux marchés, dit-elle, l'industrie dans son ensemble a besoin de dépouiller l'utilisateur de sa stigmatisation sur la marijuana.
 
«[Les entreprises] vont essayer d'aller au-delà de leur "cœur" entre guillemets d'"utilisateur stoner» pour développer et le rendre acceptable dans les cocktails, "dit-elle.
 




Le propriétaire de la ferme, dit que l'esthétique du magasin est conçu pour plaire aux consommateurs qui achètent des produits organiques cultivés localement.


 
Perdre la stigmatisation du stoner
 
Lors d'un récent cocktail dans une galerie dans le quartier des arts de Denver, Amy Dannemiller essaie de faire cela: construire une nouvelle entreprise et retirer le stéréotype du stoner.
La marijuana est vendu pour usage récréatif à Denver. La légalisation du cannabis a déclenché une «ruée verte» d'investissement parmi les capital-risqueurs.
 
Chaque mois, Dannemiller, qui utilise l'alter ego Jane Ouest lors de la planification des réunions du cannabis, projette des soirées classieuses où les participants apportent leur propre marijuana et payent une taxe de 95 $ pour des hors-d'œuvre chics et un open-bar.
 
"C'est juste fondamentalement un grand événement social où tout le monde peut apprécier le cannabis comme ils le feraient d'un verre de vin," dit-elle.
 
Mais même les participants des fêtes disent que, culturellement et juridiquement, la marijuana n'est pas encore identique à un verre de vin - les employeurs peuvent encore effectuer des tests de drogue. Une femme à la fête, par exemple, refuse de donner son nom, disant que son travail pourrait être en cause.
 
"C'est l'obstacle. Les gens ne peuvent être associées avec elle,» dit-elle. «Tout le monde le fait, mais ils ne peuvent en parler à personne."
 
C'est un obstacle juridique délicat qui prendra beaucoup plus que de la publicité et de l'image de marque à surmonter.
 
Source: https://www.npr.org/2014/04/21/305633547/to-keep-business-growing-vendors-rebrand-cannabiss-stoner-image?utm_campaign=storyshare&utm_source=share&utm_medium=twitter
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Par Indi-Punky,
C'est la plus grande enquête internationale sur l’usage des drogues, légales et illégales. Dirigée par le Dr Adam Winstock, psychiatre addictologue, l'édition 2014 de la "Global Drug Survey" a été conduite en novembre et décembre 2013, sur un échantillon d'environ 80 000 usagers de drogues à travers dix-huit pays, dont la France, et ce pour la première fois.
 
Pour M. Winstock, l'objectif de cette étude est d'abord de "donner la parole à ceux qui connaissent le mieux les drogues : les consommateurs", à la fois pour les aider, mais aussi pour comprendre les raisons de leur comportement, notamment pour améliorer les campagnes de prévention.
 
Concernant l'Hexagone, on y apprend ainsi que "le plus gros problème et de loin la plus grosse charge pour les services de santé" est l'alcool (94,3 % des sondés en ont consommé) – problème dont 40 % des consommateurs dépendants ou risquant de l'être ne sont pas conscients. Sur les deuxième et troisième marches viennent le tabac (74,2 %) puis le cannabis et ses dérivés (66,6 %), comme le détaille Les Inrocks. Suivent enfin la MDMA (ecstasy), cocaïne, boissons caféinées et cigarettes électroniques.
 
L'exception irlandaise
 
Délaissant les enseignements principaux de l'enquête, la version américaine du magazine mensuel Vice s'est attardée sur certaines spécificités propres à chaque pays concernant la consommation de drogue. Faisant un pied de nez assumé (et un brin provocateur) aux articles "sérieux", aux "titres hystériques" et remplis de "lamentations", il énumère dans un article "sept vérités importantes sur la façon dont le monde prend de la drogue en 2014".
 
Parmi elles, on y apprend que les pays où l'on a le plus de risque de se faire agresser en achetant du cannabis sont la France et l'Allemagne, et que les endroits les plus dangereux pour acheter de la MDMA se trouvent en France et en Suisse.
 
On y apprend aussi, pêle-mêle, que si vous voulez être pris avec du cannabis sur vous, il faut que vous alliez en Espagne. Ou que, hormis l'Irlande, le reste du monde ne boit pas tant que ça pendant la semaine.
 
Source:https://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/04/18/bad-trip-il-est-dangereux-dacheter-du-cannabis-en-france/#xtor=RSS-3208
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Par Indi-Punky,
Après l'ouverture des premiers Coffee Shops du Colorado en janvier dernier, une entreprise locale appelée Pladeo Corp. (bientôt rebaptisée The MaryJane Group - Marie-Jeanne alias Marijuana), va inaugurer ce qu'elle présente comme le premier hôtel à cannabis "all-inclusive".
 
L'offre comprendra donc la nourriture et les boissons à volonté ainsi que "le meilleur cannabis et produits comestibles dérivés du cannabis du Colorado".
 
Un chef présent dans l'hôtel répondra aux attentes culinaires des clients, qui auront aussi accès à un service illimité de voiturier de luxe dans Denver avec garde du corps, 24h/24.
 
"Notre concept est de proposer un package tout compris à nos clients pour qu'ils puissent apprécier au mieux cette expérience du cannabis sans avoir à se soucier de quoi que ce soit", a expliqué Joel C. Schneider, le président de Pladeo Corp. (bientôt The MaryJane Group).
 
Et de préciser, "L'Adagio est notre projet pilote pour l'industrie hôtelière marijuana-friendly".
 
Ce "bud and breakfast" s'installera dans une maison victorienne du centre de Denver appelée Adagio Bed and Breakfast, mais la date du passage de la maison d'hôte traditionnelle à l'hôtel "Weeds" n'a pas encore été précisée.
 
Si ce concept trouve sa clientèle, le groupe prévoit d'étendre son activité et d'acquérir d'autres maisons et auberges pour proposer ce genre de séjours touristiques alternatifs.
 
Source Euronews: https://fr.euronews.com/voyages/2456374-bud-breakfast-au-colorado-des-sejours-tout-compris-meme-le-cannabis/
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