Mexico. 7 septembre 2010.
Avec la nation contre une guerre violente des drogues, plus de 200 personnes se sont concentré dans le centre de la ville de Mexico pour fumer de la marihuana et exiger qu'elle soit légalisée, rapporte un reporter de l'AFP.
Les manifestants ont résisté à la pluie pour rester dans le lieu touristique très connu de résistance de l'Alameda pour fumer de la marihuana, qui reste illégale au Mexique, même si le pays se trouve dans un groupe de nations d'Amérique Latine qui permet la possession d'une petite "dose personnel" de drogue.
Beaucoup de participants ont fumé dans des pipes décoré de têtes de mort, elles font allusions aux traditions culturel pré-hispanique. Sur fond de musique une pétition à circuler réclamant la légalisation.
L'appuie pour légaliser ce qu'on appelle " drogue douces" au Mexique, à grandit, spécialement dans les partie de gauches comme une forme de freiner la violence dut aux narcotrafiques qui a laisser un compte de 28 000 personnes morte dans les 4 dernières années.
Héctor Aguilar Camín, éditeur de la revue mexicaine Nexos, et Jorge G. Castañeda, un ancien ministre des relations extérieur mexicain et actuel professeur à l'Université de New-York, écrit dans une colonne du Washington Post que les bandes de drogues du Mexique pourrait voir perdre 60 % de leurs revenues si la marihuana arrêtais d'être un produit de contrebande.
"Pendant que leurs immense bénéfices seront réduit, les leaders de la drogue seraient privé de l'argent quasi illimité qu'ils utilisent en ce moment pour financer les recrutements, acheter des armes et dessous de tables", écrivent-ils.
Les arguments de Camín y Castañeda s'unissent a ceux de l'ex gouverneur républicain du Nouveaux Mexique, Gary E. Johnson, qui le vendredi avait écrit dans le blog FireDogLake, que la dépénalisation de la marihuana est " probablement la seul voie pratique pour affaiblir les cartels de drogues".
"La politique des États-Unis depuis quasiment 70 ans à essayer de maintenir confiner le marche illégale- qu'on pourrait qualifier de pas plus
préjudiciable (nuisible) que celui de l'alcool qui est consommé par plus de 15 millions d'américains du nord chaque mois- ce qui signifie que nous avons donner aux criminels un monopole virtuel sur quelques choses que l'enquêteur d'amérique du nord Jon Gettman qu'il estime être une industrie de 36 milliards par an, plus que l'industrie du mais et du blé réunis", a écrit Johnson.
L'ex président mexicain Vicente Fox, qui a été à la tête du partie conservateur de l'actuel président Felipe Calderón, a rapidement manifesté son appuie pour une tel mesure.
Source:Aporra.org
traduit par Jahlow
Source : en anglais: Manila Times