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Santé infantile
Par mrpolo,

Étude sur l’état de santé des enfants élevés par des producteurs de marijuana
 
Une étude révèle que la majorité des enfants élevés par leurs parents dans des lieux de production de drogue sont malgré tout en meilleure santé que s’ils étaient placés en foyers d’accueil.
 
Cette recherche, dont les résultats ont été publiés dans la revue scientifique The Journal of Pediatrics, indique que la plupart des jeunes retirés de leur foyer parce que leurs parents y produisaient de la drogue étaient en bonne santé, ne consommaient pas de drogue et fréquentaient l’école.
 
De façon générale, ils présentaient moins de problèmes de santé que la moyenne de la population canadienne.
 
L’étude a analysé l’état de santé de 75 enfants issus de la région de York en Ontario, leur âge variait de deux mois à 15 ans.
 
Dans près de 80% des foyers examinés, on faisait pousser de la marijuana ou encore on a saisi d’importantes quantités de cannabis. Dans les autres foyers, on produisait ou l’on stockait des amphétamines, de la cocaïne, de l’héroïne, etc.
 
«Cette étude est très éclairante dans la mesure où elle nous permet de savoir que de tels environnements n’ont malgré tout pas d’effet durable sur les enfants qui y vivaient», a souligné le chef de la police régionale de York, Bruce Herridge.
 
Sur la base de ces conclusions, l’auteur principal de cette recherche, le Dr Gideon Koren indique que le placement de ces enfants en foyers d’accueil ne devrait pas être décidé de façon systématique. «La décision devrait être prise au cas par cas», a-t-il dit.
 
Source: Canoë Santé
 
On en parle sur le forum...
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Par Apo & Boubou,
Journalisme: peut-on fumer un joint pour obtenir une info?
 
 
C’est un intéressant cas d’école, appuyé sur une histoire vraie, qu’a exposé dimanche dans le Washington Post le chroniqueur sarcastique Gene Weingarten. Avec cette question en toile de fond: un journaliste peut-il accepter un joint, et donc commettre un délit, s’il pense que cela lui permettra d’avoir une info importante?
 
Les faits, tels que Weingarten les relate, sont les suivants. Un journaliste du Washington Post (en fait Weingarten lui-même, en 2004, comme il l’admet dans les commentaires de son article) est envoyé trois jours dans une ville du Midwest pour enquêter sur un homme ordinaire, appelé « Bob », pris dans une affaire d’importance nationale. Au second jour, les choses n’avancent pas:
 
Le journaliste « sent que Bob ne lui fait pas assez confiance pour se confier. Le problème, selon le journaliste, est culturel. Bob et lui sont d’origine très différentes, avec des niveaux différents d’éducation et de sophistication ».
 
Le troisième jour, Bob invite le journaliste à un barbecue avec des amis. Et sort une pipe de marijuana. Il fume puis la tend à notre sympathique journaliste. Lui-même ancien fumeur, ce dernier sait qu’il pourrait fumer et continuer à travailler sans problème. Personnellement, il ne voit rien d’immoral à fumer du cannabis. Seulement voilà, le Washington Post a une règle intangible: un reporter en mission ne doit en aucun cas enfreindre la loi, sous peine de renvoi. D’un autre côté, le reporter « sent que s’il refuse la pipe, il perd sa dernière chance d’établir la confiance qu’il espère »…
 
Et Gene Weingarten de proposer à ses lecteurs un petit sondage avec six attitudes possibles:
 
- Il doit refuser et suivre les règles de son employeur en toutes circonstances, la loi c’est la loi
 
- Il doit refuser parce qu’il ne sera plus en état de travailler après
 
- Il doit refuser parce que ce serait mentir à sa source que de fumer uniquement pour le mettre en confiance
 
- Il doit refuser parce que ça donnerait à la source un moyen de chantage à l’avenir, s’il n’aimait pas l’article par exemple
 
- Il doit refuser pour l’ensemble de ces raisons
 
- Il doit accepter car ce n’est qu’une entorse mineure et que son but est de ramener l’histoire. De deux maux, il doit choisir le moindre.
 
Bien sûr le questionnement éthique de l’auteur et sa moralité sont tout à son honneur. Et il n’est pas inintéressant en tant que journaliste de s’arrêter sur ce genre de dilemmes: peut-on se faire passer pour un autre pour obtenir une info que l’on aurait pas sans cela? Peut-on filmer quelqu’un à son insu pour apporter la preuve de ce que l’on cherche à démontrer? Peut-on utiliser une information obtenue dans un cadre strictement privé?…
 
Confronté à ce genre de situations, chacun d’entre nous se détermine au gré des situations, des enjeux et de l’importance de l’entorse comparée à l’importance de l’information que l’on espère en retirer. Même si, officiellement, la charte de devoirs professionnels des journalistes apporte une réponse précise (mais toute théorique) à quasi toutes ces situations pour rester un journaliste « digne de ce nom ». Mais pour être honnête, peu de journalistes en connaissent réellement le contenu et les débats se référant à la charte sont l’exception dans les rédactions. Reste donc le libre-arbitre de chacun de nous en essayant au mieux de concilier théorie et pratique. Ainsi, au moins deux autres portes de sortie possibles me sont apparues à la lecture de cet article.
 
D’abord, de créer la confiance en parlant d’une consommation passée de cannabis, d’anecdotes en tous genres dont raffolent la plupart des fumeurs… mais de prétendre que pour des raisons de santé, tout cela n’est plus qu’un souvenir. C’est certes mentir, mais ce n’est pas agir illégalement tout en se donnant une chance d’obtenir l’info…
 
L’autre solution présente l’avantage d’être très américaine, et même « présidentielle ». C’est la solution « à la Bill Clinton ». En prenant la pipe pour faire semblant de fumer, mais sans avaler la fumée, le journaliste ne commet aucun crime (il n’a pas fumé) mais rassure son interlocuteur… Le candidat à la Maison Blanche Bill Clinton était finalement un peu confronté à la même situation lorsqu’en 1992 il prétendit avoir fumé, mais ne pas avoir avalé la fumée: s’assurer la sympathie des libéraux, ne pas (trop) mentir et ne pas avouer avoir fait quelque chose de contraire à la loi.
 
Quoi qu’il en soit, les lecteurs du Washington Post,eux, ont tranché: 52% estiment qu’il devait fumer pour établir un lien de confiance. Seuls 10% ont estimé qu’il ne devait pas fumer parce qu’il n’y a pas d’entorse mineure à la loi. Assez rassurant finalement.
 
Arnaud Aubron
 
Photo: (Chris Yarzab / Flickr)
Source: Les Inrocks
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The Wire, Sevran, la dépénalisation et la décentralisation
Par Invité,
Dans la saison 3 de The Wire, confronté à l’explosion de la violence dans son secteur, le major Colvin, de la police de Baltimore, décide de tenter dans le plus grand secret une expérience de dépénalisation. Son raisonnement est simple: il promet aux dealers qu’il les laissera mener leur petit commerce comme ils l’entendent à condition qu’ils mettent fin à leurs guerres intestines et installent leurs revendeurs dans trois "zones libres", baptisées "Amsterdam", qui seront surveillées par la police pour éviter les dérapages.Les résultats sont spectaculaires: la criminalité baisse de 14%. Mais très vite, ses supérieurs hiérarchiques sont informés de l’opération, à laquelle ils décident immédiatement de mettre un terme par peur des retombées politiques et ce quels que soient les résultats obtenus. Commentaire acerbe du chef adjoint de la police Rawls (l’excellent John Doman): "C’est vraiment con que ça foute nos carrières en l’air, mais bravo."
 
https://www.youtube.com/watch?v=n4j_oSeWZyU&rel=0&fs=1
 
Fiction certes, mais pas que. D’abord, ce n’est pas un hasard si c’est à Baltimore qu’a vu le jour la série de David Simon et Ed Burns, respectivement ancien journaliste et policier. Gangrénée par la misère et la violence, la ville portuaire fut l’une des plus exposées aux problèmes de drogues dans les années 80 et 90. A tel point que, confronté à ce problème sans précédent, le premier maire noir de la ville, l’ancien procureur Kurt Schmoke, sera également le premier maire d’une grande ville américaine à se faire l’avocat de la dépénalisation et à mettre en place des programmes de réduction des risques pour les tocixomanes. Dans The Wire, Kurt Schmoke apparaît justement dans l’ultime épisode de la saison 3, après les révélations du major Colvin.
 
Une ville pauvre confrontée à la violence et aux problèmes de drogues, un maire audacieux, un ancien flic antiprohibitionniste… Cela ne vous rappelle rien? Difficile pourtant d’être passé à côté ces derniers jours: à Sevran, en Seine-Saint-Denis, rendue tristement célèbre par les trafics de la cité des Beaudottes, le maire écologiste Stéphane Gatignon vient de publier avec l’ex-flic Serge Supersac un plaidoyer pour la légalisation: "Pour en finir avec les dealers".
 
Et ce n’est pas un hasard là non plus si ce livre fait plus de bruit que tous les précédents sur le sujet. Car ses auteurs connaissent la réalité du terrain, sur la ligne de front de la guerre à la drogue. Et si l’ancien communiste et l’ancien flic en sont venus à plaider ensemble pour une forme de vente contrôlée par l’Etat, ce n’est pas par idéologie, pour que les bobos puissent fumer en paix, mais plus pragmatiquement pour faire revenir la paix dans leurs quartiers:
 
 
Un argumentaire que n’aurait pas renié le major Colvin. D’ailleurs le maire de Sevran conseillait en novembre sur son blog de regarder la série The Wire: "Vous trouverez difficilement meilleur moyen de comprendre de quoi il s’agit."
 
On touche probablement là à l’une des pierres angulaires du consensus prohibitionniste français. Que ce soit aux Etats-Unis, au Canada, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Suisse, Au Royaume-Uni, en Espagne… ce sont des pouvoirs locaux qui ont osé briser le tabou de la guerre à la drogue. Distribution d’héroïne médicale à Liverpool, coffee shops à Amsterdam, "scène ouverte de la drogue" à Zurich, salles de shoot à Vancouver, cannabis thérapeutique en Californie… des maires, des gouverneurs, des parlements locaux ou des responsables policiers ou du système de soins ont osé prendre des initiatives qui n’auraient jamais pu l’être à l’échelle d’un pays.
 
Souvent semi-clandestines à l’origine, certaines de ces expériences ont prospéré, d’autres non. Mais toutes avaient en commun d’être basées sur l’expérience de terrain, de répondre de manière pragmatique à une situation d’urgence, sans se soucier des réactions à court terme de l’opinion publique. Plus tard, certaines sont devenues des politiques nationales, servant même d’exemple à l’étranger.
 
En France, pays de tradition centralisatrice, ce type d’expériences est inenvisageable, expliquant pour partie notre incroyable retard en matière de prise en charge des toxicomanes. On l’a à nouveau vu à propos du récent débat sur les salles d’injection supervisées pour usagers de drogues. Les maires des deux plus grandes villes de France, l’un PS, Bertrand Delanoë, l’autre UMP, Jean-Claude Gaudin, les membres de Elus, Santé Publique & Territoires, représentant 60 villes de France, se sont dits prêts à accueillir de telles expériences. Mais probablement effrayé par la réaction de l’électorat de droite, le Premier ministre a prématurément sifflé la fin de la récré. Malgré l’avis des scientifiques de l’Inserm qui soulignaient les résultats encourageants de ces dispositifs, l’expérience n’aura jamais lieu.
 
Résultat, la France est l’un des pays les plus répressifs en matière de lutte contre la toxicomanie et l’un de ceux où les jeunes consomment le plus de cannabis. Et tous les majors Colvin de notre beau pays auront beau présenter des résultats concerts, ce sont toujours les commandants Rawls en attente de réelection qui y auront le dernier mot.
 
Source : Arnaud Aubron - Les Inrock
 
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Un thé glacé au chanvre élu meilleur nouveau produit de l'année
Par Invité,
Un thé glacé au chanvre, une crème pour le corps au tchaï et des scones aromatisés au thé sont parmi les lauréats du prix Meilleurs Nouveaux Produits du salon World Tea Expo de Las Vegas cette année, ont annoncé les organisateurs le 7 avril.
 
https://www.rtl.be/rtlutils/pics/afprelax/2011_04_08/217x_/prn10_world_tea.10680143840.original.jpg[/img]
Plusieurs mois avant l'ouverture de la World Tea Expo (Salon Mondial du Thé) de Las Vegas, le plus grand événement professionnel de l'industrie a mis en avant une gamme de produits pour leur caractère innovant.
 
C-Swiss iced tea, par exemple, est un mélange de thés vert et noir aux extraits de chanvre pur. Même si elle est déjà disponible en Europe, cette boisson est nouvelle aux Etats-Unis sous le nom de Chillo. Le packaging de la boisson est évocateur, une grande feuille de cannabis est visible sur la cannette.
Vendue comme une boisson énergisante, Chillo a pour but d'"améliorer toutes les activités récréatives".
 
Dans la catégorie "thé comme ingrédient", la crème pour le corps à base de Tchaï Caravan Chai Tea Body Lotion de Indie Tea, a remporté la mise ex-aequo avec un thé allégé Tea Low-Calorie de Ito En. Cette crème pour le corps est le résultat d'un mélange d'une infusion de thé, de trois types de beurre, d'huiles essentielles de cannelle, orange, clous de girofle et d'encens.
 
Tous les lauréats des prix de la World Tea Expo sont consultables sur le site du salon.
 
La World Tea Expo se déroulera du 24 au 26 juin au Las Vegas Convention Center.
 
Source : rtl.be
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Canna Cola, du cannabis et des bulles
Par Invité,
Une entreprise lance, avec un marketing (trop) jeune, un soda à la marijuana dans le Colorado, où sa consommation est autorisée à des fins médicales.
 
En vente à partir du mois de février dans les dispensaires du Colorado, le Canna Cola, une nouvelle gamme de boissons contenant du THC - la molécule aux effets psychotropes du cannabis -, est présenté par ses concepteurs comme un "alicament" (ou "médicaliment") - du mot-valise inventé pour désigner les substances qui auraient des vertus à la fois nutritives et médicales. Objectif officiel : offrir une solution de remplacement à la fumette et aux space cookies - gâteaux aromatisés au cannabis - pour les malades possesseurs d'une "carte cannabis", et donc autorisés à consommer cette substance dans le but uniquement de lutter contre la douleur. Canna Cola devrait coûter entre 10 et 12 dollars et contenir "de 35 à 65 milligrammes" de THC, selon Scott Riddell, fondateur de Diavolo Brands, l'entreprise en charge de la mise sur le marché du produit.
 
 
Des bulles et du cannabis : Canna Cola a lancé cinq "goûts" de soda différents. © CannaCola
 
Si Canna Cola n'est pas la première boisson à être lancée sur ce juteux marché - 14 États américains autorisent la consommation de cannabis à des fins médicales -, c'est son emballage qui interpelle, car il en dit long sur la véritable cible visée. La boisson sera en effet vendue dans de petites bouteilles ultra-colorées contenant l'équivalent d'une canette, ornées d'une grosse feuille de cannabis en bulles et qui rappellent volontairement d'autres célèbres boissons gazeuses américaines. Le DocWeed, par exemple, est au Dr Pepper ce que les space cookies sont aux bons vieux gâteaux de grand-mère. Pas besoin d'être un spécialiste du marketing pour comprendre que le but est d'attirer une clientèle jeune et avide de boissons sucrées.
 
Du Colorado à la Californie
 
Et cela n'a rien d'un hasard, dans un pays où la consommation de cannabis chez les jeunes augmente sensiblement. En 2010, 21,4 % des élèves de terminale aux États-Unis affirmaient avoir consommé du cannabis au cours du mois précédent, contre 19,2 % seulement qui affirment avoir fumé des cigarettes, selon une enquête du National Institute on Drug Abuse (NIDA). D'ailleurs, l'entreprise ne cache pas ses intentions de s'implanter d'ici au printemps prochain sur le vaste marché californien, où la consommation de cannabis est dépénalisée, après avoir frôlé la légalisation fin 2010.
 
Un objectif que le graphiste Clay Butler, l'un des deux associés à l'origine du projet, assume parfaitement, tout en entretenant l'ambiguïté sur le but recherché. Avec sa tignasse blonde ondulée et son air de vieux surfeur californien, il ne tient pas un discours ouvertement favorable à la légalisation, mais considère que les citoyens devraient avoir "la liberté de choisir" ce qu'ils consomment. D'ailleurs, lui a choisi de ne pas consommer et n'a pas peur de le dire : paradoxe ultime ou cynisme absolu, cet entrepreneur, qui se présente comme un "artiste-commercial", affirme en effet qu'il n'a "jamais bu d'alcool, jamais fumé et encore moins consommé de marijuana de (sa) vie", comme l'écrit ABC News. Plus étonnant encore, il ne boit pas de soda non plus. Son objectif, en réalisant les étiquettes de Canna Cola, était d'offrir un emballage "discret" pour les consommateurs "autorisés", dit-il. Avec, selon lui, une feuille de cannabis moins voyante que sur beaucoup d'autres produits, parce que c'est un "horrible cliché dans cette industrie". Pour la discrétion, on parierait plutôt sur les cookies.
 
Source : Le Point.fr
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Nancy: des commerçants reçoivent du cannabis comme étrennes
Par Invité,
NANCY — Plusieurs commerçants d'un quartier de Nancy ont découvert dans leur boîte à lettres un petit paquet contenant une dizaine de grammes de cannabis, et les enquêteurs privilégient la piste d'une "mauvaise blague", a-t-on appris jeudi de source policière.
 
"La marchandise était emballée dans du film plastique alimentaire. Plusieurs commerçants nous ont prévenus, se doutant qu'il s'agissait de stupéfiants", a expliqué le directeur départemental de la sécurité publique de Meurthe-et-Moselle, Lionel Razurel.
 
Les faits se sont produits le 28 décembre dernier mais n'ont été révélés que jeudi par le quotidien régional L'Est Républicain.
 
En tout, 120 grammes de cannabis ont été retrouvés, uniquement dans les boîtes à lettres du seul côté gauche d'une rue commerçante.

"L'hypothèse privilégiée est celle de quelqu'un qui aurait trouvé un morceau de cannabis et aurait fait une mauvaise blague aux commerçants. La possibilité d'un système organisé de livraison est en revanche peu crédible", a estimé M. Razurel.
 
Certaines boutiques, faute de boîte aux lettres, ont par ailleurs retrouvé leur petit paquet parmi les prospectus, glissés sous la porte.
 
Le directeur de la sécurité publique n'a pas exclu que d'autres récipiendaires de ces étranges étrennes ne se soient pas signalés à la police.
 
"Mais les analyses ont montré que c'était un produit de mauvaise qualité, un peu vieux", a-t-il prévenu.
 
Source : Le Point
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Israël : Marijuana et conduite automobile, selon le ministère de la Santé
Par Invité,
Le ministère de la Santé devrait bientôt émettre la recommandation suivante : attendez 6 heures après avoir fumé de la Marijuana pour prendre le volant...
https://img195.imageshack.us/img195/3681/imgarticle.gif[/img]Cette annonce concerne en fait les personnes qui utilisent le cannabis dans un cadre médical. Selon le ministère de la Santé, près de 4000 patients en Israël auraient reçu l'autorisation légale d'en posséder jusqu'à 200g, et ce chiffre devrait passer à 40 000 après une série de régularisations.
 
La consommation de cannabis est interdite en Israël, sauf si elle a lieu au cours d'un traitement médical. La méconnaissance de cette exception aurait déjà provoqué plusieurs incidents entre des patients et la police.
 
par David Koskas
Source : israel-infos.net
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Star Wars : la trilogie peut désormais se fumer
Par Invité,
George Lucas a-t-il testé un inattendu produit dérivé de Star Wars ?
 
Les historiens du cinéma sont formels : Star Wars a révolutionné le 7e art à plusieurs titres, notamment en étant l'un des premiers films a générer autant de produits dérivés. Trente-trois ans après la sortie du premier film, il continue à en apparaître. Pas toujours sous licence officielle. On doute que les botanistes travaillant avec la San Diego Organic Wellness Association aient fait homologuer par LucasFilms les deux semences de marijuana qu’elles viennent de mettre sur le marché.
 

 
La première, baptisée Skywalker serait, d’après la vidéo d’un test, assez douce. La seconde, beaucoup plus forte, a été logiquement nommée Death Star. Détail important : ces deux espèces sont réservées au marché californien des drogues thérapeutiques, donc légalement en vente. Les services marketing de George Lucas pourraient donc réclamer un changement de nom, mais pas interdire leur commerce.
 
sourcePremiere.fr
 
NDLR: Rappelons que Star Trek à déjà une souche dédiée avec la Romulan
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Un plant de cannabis en guise de sapin de Noël !
Par Invité,
En Allemagne, un homme de 68 ans utilisait comme sapin... un plant de cannabis, décoré aux couleurs de Noël.
 
A Coblence, en Allemagne, un homme préparait les fêtes avec comme arbre de Noël... un plant de cannabis, en lieu et place du traditionnel sapin ! En effet, il avait commencé à décorer son "beau sapin", de guirlandes, et d'illuminations de Noël. Lors de son arrestation, l'homme a dit aux policiers que "l'arbre" n'avait pas encore reçu toutes ses décorations, et que d'autres cadeaux devaient venir prendre place sous celui-ci.
 
Image: Cannaweed.com
 
La police a fait cette drôle de découverte alors qu'elle intervenait chez ce particulier pour un contrôle de routine. L'arbre, d'une hauteur de deux mètres de haut environ, était posé dans un pot et aurait pu passer inaperçu ainsi décoré. L'homme de 68 ans chez qui se trouvait cette plante verte a été mis en examen pour possession de drogue. A noter que les policiers de Coblence n'ont pas manqué d'humour face à cette affaire, en intitulant le communiqué de presse "All you need is love, ou comment les hippies fêtent Noël".
 
Source: Zigonet
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Condamné pour avoir donné du cannabis à ses canards
Par Invité,
Un éleveur de canards sexagénaire qui donnait du cannabis à ses palmipèdes a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Rochefort à un mois de prison avec sursis et 500 euros d'amende.
 
A l'audience, cet éleveur à la Gripperie-Saint-Symphorien, un village du marais Rochefortais, a avoué qu'il fumait lui-même «un peu» de cannabis tout en justifiant ses plantations de chanvre indien pour «purger» ses 150 canards.

«Y'a pas meilleur vermifuge pour eux, un spécialiste me l'a conseillé», a affirmé l'éleveur herboriste, sans préciser qui était ledit spécialiste.
 
«C'est sérieux, pas un seul n'a des vers et tous sont en excellente santé», a renchéri l'avocat de la défense, Me Jean Piot, sans parvenir complètement à convaincre le tribunal de l'intérêt pour les canards de consommer de la drogue.

C'est par hasard, lors d'une visite au domicile de l'éleveur après un vol, que les gendarmes étaient tombés début octobre sur douze plants de cannabis et une poche de 5 kilos d'herbe.
 
Source : ouest-france.fr
 
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Un soda au cannabis
Par Invité,
Une gamme de sodas contenant de la marijuana, baptisés Dixie Elixirs, vient d'être lancée aux États-Unis à des fins thérapeutiques.Le site de la société Dixie Elixirs explique que chaque bouteille contient «un mélange rigoureusement sélectionné des meilleurs têtes de sativa cultivées dans le Colorado». La gamme comprend des saveurs limonade, thé glacé, limonade rose, fraise, framboise, orange, raisin et racinette («root beer»).
 
La société affirme que les bulles «permettent de soulager un grand nombre de symptômes plus rapidement».

Le 19 octobre, Dixie Elixirs a expliqué sur le site Discovery.com que «l'une des raisons pour lesquelles ils avaient développé ces boissons au cannabis était une volonté de dépasser les clichés associés aux fumeurs de cannabis».
 
Le 7 novembre prochain, les sodas Dixie Elixirs pourraient se retrouver dans les rayons des supermarchés californiens: les électeurs y seront en effet invités à se prononcer sur la légalisation du cannabis. En attendant, seuls les malades de 14 États américains sont autorisés à fumer, boire ou manger du cannabis, et uniquement à des fins thérapeutiques.
 
Ce n'est pas la première fois que de la drogue est introduite dans une recette de soda. Un nouveau livre, The Coke Machine: The Dirty Truth Behind The World's Favorite Soft Drink (26$) de Michael Blanding, sorti le 16 septembre dernier, raconte comment la recette originelle du Coca-Cola contenait une petite quantité de cocaïne (dont l'usage était alors légal).
 
Quant au Pepsi, dont la recette a été créée par un pharmacien, il s'agissait au départ d'un médicament contre la «dyspepsie», trouble de la digestion.
 
Source : Canoë
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Boulogne : il cultivait son jardin à sa manière
Par Invité,
... Il est âgé de 24 ans, mais cela fait dix ans qu'il est adepte du cannabis. Sans problème particulier. Jusqu'au 21 juin dernier.
 
 
 
 
Ce jour-là, à Boulogne-sur-Mer, Jérémy H. refuse d'obtempérer lors d'un contrôle de police alors qu'il conduisait après avoir « fumé un joint ». Les fonctionnaires trouvent dans la poche de sa veste 19 grammes de résine de cannabis qu'il dit avoir acheté 120 euros au Portel. Le soupçonnant d'être un trafiquant, la police perquisitionne son appartement.
Et les fonctionnaires ne sont pas déçus : dans le couloir d'entrée ils trouvent des branches de cannabis en train de sécher, dans le salon quatre pots de cannabis qu'il cultivait, des bocaux contenant des fleurs de cannabis, de l'engrais, une balance, et un abri-bois de fabrication artisanale où se trouvent de nombreuses feuilles de cannabis séchées, un ventilateur, un groupe chauffant.
L'explication ? « Tout ça me servait à faire pousser les plantes de cannabis pour ma consommation personnelle ». Et la balance c'était pourquoi faire ? « Simplement pour vérifier que je n'avais pas été lésé sur la marchandise par le vendeur » explique-t-il aux juges en précisant qu'il a aujourd'hui tout arrêté et qu'il est suivi par un médecin.
Toutes les recettes sur internet !
Quant à l'herbe qu'il faisait sécher, c'était pour la consommer une dizaine de jours plus tard, comme le préconisait la « notice » d'utilisation. Quelle notice ? Celle d'internet, car c'est là que, pour 400 E, le prévenu a trouvé tout l'attirail du parfait jardinier du cannabis ainsi que les graines à mettre en pot pour qu'elles croissent et se multiplient.
Un comble pour Me Thierry Normand : « Ce qui est incroyable, c'est la facilité avec laquelle tout cela peut se faire sur internet : on a la possibilité de construire son "activité" en toute légalité ! » Pour lui, son client « n'a jamais eu l'intention de tirer un profit de ces produits et puis, cela lui a permis de ne pas se rendre en Hollande pour revendre, comme le font beaucoup d'autres... ». En foi de quoi il demande la clémence du tribunal d'autant que son casier judiciaire plaide en sa faveur, puisqu'il est vierge.
Des arguments qui ont pesé dans la balance, semble-t-il, car le tribunal l'a condamné à soixante jours amende à 10 euros.
STÈVE FERNANDES
 
Source: La Voix Du Nord
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Du cannabis par dessus la tête
Par Invité,
Provocation, ou tout simplement plaisanterie de mauvais goût : un pot en plastique de belle taille, avec un plant de cannabis, a été hissé au sommet d'une statue du monument aux morts de La Grand-Combe, place Jean-Jaurès à Ales dans le Gard.

 
Cela s'est passé hier, vendredi, en début d'après-midi, sans que quiconque remarque cette originalité, avant qu'un coup de téléphone anonyme ne soit donné.
Les employés municipaux ont récupéré la plante, sous les regards médusés de quelques retraités criant au manque de respect pour ce lieu trop souvent bafoué, quand il n'est pas vandalisé.
Le plant a été remis aux services de gendarmerie.
 
Source : Source Midilibre.com
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Ganja Yoga: du yoga sous l'emprise du cannabis à Toronto
Par Invité,
Une nouvelle sorte de yoga a fait son apparition à Toronto, au Canada: le Ganja Yoga, du yoga pratiqué sous l'emprise du cannabis. Pas sûr tout de même que l'activité se retrouve un jour dans le programme de chaînes télé comme Equinox ou Fitness First.
 
La fondatrice du centre Follow Your Bliss et des cours de Ganja Yoga, Dee Dussault, a expliqué le 9 septembre à Relaxnews qu'elle «fumait de la marijuana depuis quatre ans, et pratiquait le yoga depuis quinze ans». Elle enseigne le yoga sous emprise du cannabis depuis un an.
 
Dee Dussault en train d'enseigner un cours de Ganja Yoga à Toronto.
Photo: Michael McCarthy
 
La simple possession de cannabis n'est pas illégale au Canada, ou a tout au moins un statut très flou depuis 2007, ce qui oblige les autorités à la tolérer. Il fallait donc s'attendre à ce que de nouveaux marchés se créent... c'est ainsi qu'à Toronto, Dee Dussault a lancé le centre « Follow your Bliss » qui offre des cours de Yoga un peu spéciaux, puisque les élèves sont priés d'apporter la marijuana qu'ils consommeront avant la séance. Les deux premières semaines, les élèves sont invités à payer ce qu'ils souhaitent, après quoi cela coût de 15$ à 10$ de l'heure suivant le forfait.
 
Les cours se pratiquent avec «habituellement entre quatre et quinze élèves», qui apportent leur propre drogue. «Il est recommandé de ne pas manger entre une et trois heures avant un cours de yoga classique, mais il n'est pas non plus de recommandé de la marijuana l'estomac vide», souligne Dee Dussault, qui conseille finalement de suivre son instinct.
 
Le cours commence par une demi-heure de détente et de discussions, suivie de 75 minutes de yoga sur de la musique mystique. Il est possible de manger des en-cas à la fin, pour 15 dollars.
 
Source : sur-la-toile.com
Source : cyberpresse.ca
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La cannabis car
Par Invité,
L’utilisation du chanvre pour la structure des voitures aurait pu être la norme dans l’histoire, puisque Henry Ford lui-même y avait songé.
 
L’industrie s’est finalement concentrée sur d’autres matériaux comme l’acier mais le plant de cannabis n’a pas été oublié par tout le monde…
 
Les blagues ne manqueront sûrement pas de tomber si le projet d’un groupement d’entreprises canadiennes voit effectivement le jour. Elles voudraient en effet mettre sur le marché une voiture électrique… en chanvre.
 
Cette voiture devrait en effet être dotée d’une carrosserie à base de résine industrielle de chanvre, nom commun du plant de cannabis. La Kestrel, nom de ce prototype hallucinant, sera testée à la fin du mois par Motive Industries Inc., entreprise de Calgary spécialisée dans le développement de véhicules.
 
 
Ses premières caractéristiques techniques connues laissent augurer d’honnêtes performances puisque ce modèle compact, qui peut accueillir jusqu’à trois passagers en plus du conducteur, peut atteindre la vitesse de 90 km/h pour une autonomie maximale de 160 kilomètres.
 
La résine de chanvre, qui sera cultivée à Vegreville dans l’Alberta par l’Alberta Innovates Technology Futures (AITF), est ici utilisée en raison de sa forte résistance aux impacts.
 
 
La Kestrel est d’ailleurs partie intégrante d’un projet plus large de cinq véhicules électriques nommé « Project Eve », codirigé par Motive Industries et Toronto Electric, une entreprise de moteurs électriques, qui a pour but de développer l’industrie automobile électrique au Canada. Ce partenariat inclut également un ensemble d’écoles polytechniques du pays, en Alberta, au Québec et à Toronto, qui participeront à la construction de ces prototypes.
https://img.turbo.fr/015200BE03484994-c1-photo-motive-kestrel-teaser.jpg[/img]
 
Les vingt premiers devraient normalement sortir d’usine l’année prochaine mais connaissent pourtant déjà leur propriétaire : il s’agira d’EnMax, un entreprise de distribution d’énergie de Calgary qui fait aussi partie du « Project Eve ».
 
Henry Ford y avait déjà pensé
 
« Ce n’est pas une idée originale » annonce pourtant Nathan Armstrong, le président de Motive Industries. Henry Ford, au début du siècle dernier, aurait en effet lui-même construit une voiture à base de fibres et de résine de chanvre. Cette idée pas si fumeuse que cela a toutefois été passée sous silence par l’histoire de l’automobile, dont le développement se sera finalement fait avec d’autres matériaux comme l’acier.
 
Ces derniers s’étaient en effet révélés à la fois résistants et légers mais, rappelle M. Armstrong, consommaient beaucoup d’énergie pour être produits. Un désavantage qui ne s’applique pas au chanvre, très facile à produire au Canada et qui n’a guère besoin que d’un peu de soleil et d’un peu d’eau pour grandir.
 
 
« Les matériaux naturels comme le chanvre peuvent offrir une alternative verte et durable aux fibres conventionnelles utilisées jusque là » explique John Wolodko de l’AITF.
 
« En tant que matériau de structure, le chanvre est probablement le meilleur » se réjouit même M. Armstrong.
 
 
Mais il entraîne également une conséquence inattendue, puisque le grand voisin américain interdit la culture du cannabis sur son sol, ce qui confère au Canada un avantage concurrentiel immédiat – d’autant plus que par contre, les Etats-Unis autorisent l’importation de chanvre travaillé.
 
 
Une fois les derniers essais du mois d’août réalisés, la Kestrel devrait être officiellement présentée au salon des véhicules électriques de Vancouver, en septembre prochain.
 
Source : www.zegreenweb.com
 
 
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Canada: des ours...pour protéger du cannabis!
Par Invité,
La chose est carrément insolite et c'est sans doute aussi une grande première pour la police canadienne. Au pays des grands espaces, des montagnes, des lacs, des loups... et des ours noirs... Des policiers ont été fortement surpris de découvrir au moins 14 de ces plantigrades « chargés de garder » une plantation illégale de cannabis lors d'une descente dans l'ouest du Canada.
https://www.tokethesetees.com/thumbnails/tn4468_t_rp.jpg[/img]
Selon les policiers, les deux producteurs de marijuana, arrêtés lors de l'intervention, utilisaient sans doute de la nourriture pour chien afin d'attirer les ours sur leur propriété de Colombie-Britannique et ainsi éloigner les voleurs.
 
Gentils nounours !
 
Il n'est pas rare que les policiers trouvent des pièges ou tombent nez à nez avec des gardiens et des chiens près des plantations de marijuana. Cette fois, les ours n'ont toutefois pas rempli leur tâche, lorsque cinq policiers sont arrivés sur les lieux. "Ils ont été apprivoisés. Ils étaient assis et regardaient. À un moment donné, l'un d'entre eux est monté sur le capot de la voiture de police, s'est assis un moment, puis est parti", raconte un sergent. Les ours noirs sont très répandus au Canada et vivent normalement seuls, à l'exception des mères et de leurs petits. Il est illégal de les nourrir, selon une loi provinciale.
Les plantigrades domestiqués sont dangereux, car une fois nourris, ils vont tenter de trouver d'autres humains, détruire des propriétés et dans de rares cas, ils vont attaquer ou même tuer des gens.
 
Source : ushuaia.com
 
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EN BOLIVIE, UNE BOISSON DEFIE LES ETATS-UNIS
Par Invité,
La Bolivie de l’anti-impérialiste Evo Morales provoque une nouvelle fois les Etats-Unis. Cette fois-ci, il ne s’agit pas de politique mais de commerce. Le pays andin vient de lancer sur le marché interne une boisson gazeuse de couleur sombre, avec une étiquette rouge sur la bouteille et qui s’appelle… Coca Colla. Dans sa composition, des feuilles de coca.
 
Le stand de vente de Coca Colla de Victor Ledezma dans une rue de La Paz.
RFI / Reza Nourmamode
 
Avec son petit stand mobile en plastique et quelques packs de bouteilles, Victor Ledezma arpente les marchés du pays avec la foi d’un prêcheur évangéliste. Sa bonne parole, c’est une boisson à bulles vendue à un euro le demi-litre. « Tout le monde dit que la feuille de coca, c’est du poison, déclame le producteur de Coca Colla. En réalité, c’est une feuille sacrée ». La plante de coca, également utilisée pour la fabrication de cocaïne, est à la base de sa recette : « Ma boisson est fabriquée à partir de coca, explique-t-il. Il y a aussi des agents de saveur et un peu de caféine. Ce n’est pas une boisson gazeuse normale, c’est une boisson énergisante et qui coupe la faim, comme la feuille de coca » !
https://blogs.taz.de/latinorama/files/2010/02/Coca-colla.jpg[/img]
Le Coca Colla (prononcer « Colia ») doit donc son nom à sa composition à base de feuilles de coca, mais également à un jeu de mots faisant référence à la célèbre boisson américaine et aux Indiens Aymaras et Quechuas des hauts-plateaux boliviens communément dénommés Collas.
 
Jouant à la fois sur une fibre traditionnaliste et ethnique, ce nouveau breuvage national semble séduire les consommateurs boliviens. « C’est bien d’avoir un produit qui porte notre nom, ça me rend fière » sourit Emiliana, une vendeuse de légumes. « Ça vaut la peine de consommer un produit de qualité et qui soit bolivien, renchérit Juan Pablo. Maintenant, ce dont on a besoin, ce sont des moyens économiques pour pouvoir l’exporter ».
 
Arroser le monde entier
 
Victor Ledezma espère justement à moyen terme pouvoir exporter sa boisson à l’étranger : « Je veux arroser le monde entier » assure-t-il. Avec à peine 2 000 bouteilles produites par jour au moment du lancement, en attendant l’inauguration d’une autre unité pouvant produire quotidiennement 8 000 bouteilles de plus, sa production ressemble pourtant plus à de l’artisanat qu’à une multinationale.
 
Le principal obstacle à une hypothétique conquête de la planète par Coca Colla réside cependant dans l’opprobre international qui frappe la feuille de coca, toujours inscrite sur la liste des substances interdites par les Nations unies qui date de 1961. Une interdiction qui indigne le gouvernement de l’ancien producteur de coca Evo Morales. Pour dénoncer ce qu’il considère comme une injustice, le président bolivien avait même mâché une feuille de coca devant les ministres des 53 pays membres de la Commission des stupéfiants de l’ONU réunis à Vienne en mars 2009.
 
https://www.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/multimedia_elt_thumbnail/sites/filesrfi/imagecache/aef_image_original_format/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/Asunta%201_0.PNG[/img]
 
Le gouvernement bolivien a également dénoncé par le passé l’hypocrisie internationale en affirmant que la multinationale américaine Coca Cola continuait d’utiliser des feuilles de coca pour produire sa boisson phare contrairement aux déclarations officielles de la firme siégeant à Atlanta. La Bolivie estime donc être en droit d’industrialiser la plante de coca. Au-delà de la boisson gazeuse, plusieurs autres projets sont en cours dans les domaines pharmaceutique et de l’alimentation. Ainsi, une pâte dentifrice et une bière à la coca devraient prochainement voir le jour dans le pays andin.
 
Réhabiliter la feuille de coca
 
Pour mener à bien l’entreprise de réhabilitation de la feuille de coca, Evo Morales a même créé un vice-ministère de la Coca, chargé notamment de promouvoir des projets de commercialisation de produits élaborés à partir de la feuille sacrée des Incas. Membre de ce vice-ministère et auteur d’un ouvrage intitulé « La dette historique envers la feuille de coca », Gabriel Carranza explique : « Nous sommes évidemment conscients du drame de la cocaïne, mais la feuille de coca possède également de nombreux éléments très bénéfiques pour la santé. Nous allons continuer à lutter pour faire sortir la coca de cette liste de stupéfiants ».
 
Les paysans boliviens ont légalement le droit de cultiver 12 000 hectares de plantations de coca. Une production destinée à la consommation traditionnelle des Indiens qui mâchent les feuilles de coca pour combattre le froid, la fatigue ou encore la faim. Evo Morales a prévu d’augmenter de 12 à 20 000 le nombre d’hectares autorisés et d’utiliser l’excédent dans son programme d’industrialisation de la feuille de coca.
 
Selon le dernier rapport en date de l’ONU, il y aurait actuellement en Bolivie plus de 30 000 hectares de coca et une production de cocaïne en hausse.
 
 
Par Reza Nourmamode
Source : RFI
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La police du Montana livre les patients
Par Invité,
En parlant de restaurer votre foi en l'humanité!
 
Une ville du Montana a finalement fait le bon choix quand il s'agit d'une relation appropriée entre les flics et la marijuana médicale.
 
À Billings, Montana, les service de police affirme qu'ils sont devenus un service de livraison de marijuana médicale pour les producteurs de cannabis dans le Montana, parce que les compagnies postales comme FedEx et UPS refuser de traiter les paquets en raison des lois fédérales qui pourraient les rendre passible de poursuites pénales.
 
LE chef de la police de Billings,Rich St. John a dit FedEx et UPS d'appeler la police lorsque les employés découvriraient des paquets qui semblent contenir la marijuana médicale - ce qui est légal dans le Montana depuis que les électeurs ont approuvé en 2004.

FedEx ne prendra pas le risque d'être poursuivi en vertu des lois fédérales sur les drogues pour accepter une seule de ces expéditions, même au sein du Montana, selon la porte-parole Sally Davenport.
 
Le chef St John explique, quand cela arrive, la police ramasser le colis et de "déterminer si c'est légal», puis ensuite avisent la personne qui l'a envoyée, ou de livrer le colis eux-mêmes.
 
Ils pourraient être tenus responsables s'ils ne retournent pas l'herbe à son propriétaire légitime, selon la police.
 
Source : 20 minutes.fr
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Un juge argentin admet posséder un pied de cannabis
Par Invité,
"On peut avoir un pied de cannabis chez soi, tant que l'on ne fait pas de prosélytisme." J'interprète la loi en punition du prosélytisme. La limite c'est la présomption de délit" a signalé Zaffaronni. "A chaque fois qu'il est présumé que l'individu fait du commerce, produit ou que la quantité de marihuana génère un risque de distribution" a rajouté le magistrat.
 
"C'est un sujet très contextuel, car une personne d'un village du coin achète pour un mois car il ne peut pas venir à la ville tout les jours. Mais si je trouve un type avec 5 grammes de cocaïne, une balance et des petits sachets, il est probable que ce type fasse du commerce" a t-il expliqué.
 
Le jugea précisé, que pour cela, ce n'est pas une question de quantité, que s’ils établissent une quantité de 10 grammes de cocaïne comme limite de consommations, les vendeurs sortiront à vendre avec 8.
 
"Si tu sors avec un joint sur toi, tu n'as pas à donner d'explication, cela n'affecte pas le bien juridique, mais si tu transporte 1/2 kilo, oui. Car sa génère un risque de distribution" a signaler la juge au magazine TH
 
Traduit de l'espagnol par Jahlow
 
Source: Yerba Magasine
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Une weed à 60$ le gramme
Par Invité,
"Ce n'est pas un truc que vous pouvez fumer toute la journée" dit Jake,le directeur général du Releaf Center, un dispensaire de Denver produisant son propre "caviar" et le vendant à 60$ le gramme. "Une seul bouffé suffit."
 
Source : blogs.westword.com
Ce n'est pas la weed de votre grand-père. Le caviar est fait en trempant des fleurs dans un récipient remplit d'huile de cannabis(Un liquide épais,collant et concentrée en cannabis obtenu en dissolvant du hasch ou de l'herbe dans dans de l'acétone, de l'éthanol ou du butane.) Dès que l'huile à bien pénétrée dans la fleur, le tout est mis à sécher pendant plusieurs semaines voir plusieurs mois.
 
Le résultat est un est très étonnant: de la weed avec un taux allant de 5% à 20% de THC, infusé avec 30% à 80% de THC. Elle met également beaucoup de temps à se consumer, ajoutes Jake, Aussi, il nous met en garde a propos du goût: "C'est rêche."
 
Les gens cherchant un produit doux devrait devrait se renseigner ailleurs, dit-il. "Elle est destinée aux personnes souhaitant fumer moins, qui ont besoin d'effets plus longs, ou qui ont des besoins médicaux qui requiert absolument de prendre de grosse quantité de THC. Cela aura un meilleur bénéfice au niveau médical."
 
Ça met stone direct. Pour ceux qui aimerait essayer demander pour du "caviar" dans votre dispensaire. On l'appelles aussi "Californian Raisins" ajouta Jake.
 

 
 
Traduit depuis l'anglais
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Los Angeles : un hôtel réservé aux fumeurs... de joints
Par Invité,
Depuis mardi 20 avril 2010, les touristes amateurs de cannabis pourront partir en vacances l'esprit tranquille. A Los Angeles, un hôtel vient de s'auto-proclamer "le premier hôtel réservé aux fumeurs de joints".
 
Source : www.tourmagazine.fr
Depuis mardi 20 avril 2010, les touristes amateurs de cannabis pourront partir en vacances l'esprit tranquille. A Los Angeles, un hôtel vient de s'auto-proclamer "le premier hôtel réservé aux fumeurs de joints".
 
Ses propriétaires assurent que, chez eux, à l'hôtel Normandie de Los Angeles, leurs clients peuvent fumer sans se cacher.
 
C'est ce que révèle le Los Angeles Times. Le journal américain rappelle que les instigateur de ce projet sont également défenseur de la distribution de marijuana à des fins médicales, autorisée en Californie.
 
Mais cette exception a un prix pour les touristes. Situé dans le quartier coréen, l'établissement californien propose des forfaits deux nuits pour 420 dollars.
 
Les propriétaires préviennent les touristes : ils ne fournissent pas la matière première, les touristes doivent apporter leur propre herbe, conformément à la loi.
 
 
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Faut-il s'habituer à vivre avec le cannabis ?
Par Invité,
https://www.cannaweed.com/guides/images/video.png[/img]
Avec Didier Jayle, professeur d'addictologie au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) et ancien président de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) et Jean-Pierre Couteron, président de l’Association nationale des intervenants en toxicomanie et addictologie (Anitea).
 
Source: universcience.tv
Durée: 31 min
Réalisation: Sylvie Allonneau
Production: Cité des sciences et de l'industrie 2009
 
 
https://www.dailymotion.com/swf/xcbob6
 
 
D'autres vidéos
 
► La prohibition ne sert a rien
► Faut-il légaliser le cannabis ?
► Le royaume du crime est la huitième puissance mondiale
 
 
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Un trafiquant de semences de canabis déclarait ses revenus à l'impôt
Par Invité,
Un Montréalais qui a vendu sur Internet pour 3,5 millions de dollars de semences de cannabis, accumulant une fortune telle qu’il en possédait même des lingots d’or, a été condamné jeudi matin à purger une peine dans la société de deux ans moins un jour, bien loin des cinq ans de pénitencier que réclamait la Couronne.
 
Source: ruefrontenac.com
Hratch Richard Baghdadlian, 42 ans, jure avoir amorcé son prolifique commerce en croyant qu’il était tout à fait légal.
 
Il faut dire qu’à sa décharge, il n’a en effet jamais opéré son commerce en cachette. Il payait ses fournisseurs et se faisait payer par chèque et mandats postaux et était on ne peut plus explicite sur le type de commerce que menait son entreprise, qui a porté divers noms dont Heaven’s Stairway. Il payait ses taxes au fisc.
 
Il a commencer à exploiter son commerce en 1997, mais c’est en 1998 que la GRC a entamé son enquête sur Baghdadlian et ses six employés.
 
Légal, selon la douanière
 
À l’époque, la loi a été modifiée pour rendre criminelle la possession de semences viables, ce qui n’était pas le cas avant.
 
D’ailleurs, peu de temps après la modification de la loi, Baghdadlian, qui rentrait d’Amsterdam où il était allé acheter une importante quantité de graines, a honnêtement déclaré à une douanière de l’aéroport Trudeau ce qu’il transportait avec lui.
 
« Il s’est fait répondre par la douanière Annie Aubut que la possession de semences de cannabis n’était pas interdite et que c’était le produit final obtenu par ces semences qui était illégal », écrit le juge Jean-Pierre Boyer dans le jugement qu’il a rendu ce matin.
 
Mais la douanière avait tort.
 
Ainsi, Baghdadlian a continué d’opérer son commerce sur le Web au vu et au su de tous, exportant ses semences partout dans le monde, aux États-Unis surtout, mais aussi en Nouvelle-Zélande, au Japon et en Europe.
 
Il commandait ses graines à des grossistes, qui les envoyaient dans son boîtier postal dans le quartier Ahuntsic, où Baghdadlian habitait sur la rue Marsan. Il payait ses fournisseurs par mandats postaux ou chèques. Les graines envoyées à ses clients étaient dissimulées dans des cartes de souhaits.
 
Il effectuait ses paiements et encaissait ses revenus à même son compte bancaire à la CIBC.
 
Inhabituel
 
Ce qui fait dire au juge Boyer que « rien n’était caché ».
 
« La Cour trouve très inhabituel pour quelqu’un qui trafique de la drogue d’ouvrir un compte bancaire, d’incorporer sa compagnie et de payer ses taxes », poursuit le magistrat.
 
Mais il ajoute dans son jugement qu’à un certain moment, Baghdadlian a su que son commerce était illégal et qu’il a poursuivi tout de même.
 
Qui plus est, le juge Boyer estime que la mauvaise information que l'homme a reçue de la douanière sur la légalité de la possession des graines ne justifie pas une défense « d’induction en erreur », et qu’il aurait dû être plus prompt à se renseigner afin d’en avoir le cœur net.
 
Arrêté en 2006, il a depuis plaidé coupable d’importation et exportation de graines de cannabis, d’avoir conseillé à des gens de cultiver du cannabis, et de possession de biens criminellement obtenus.
 
Lingots
 
Depuis, il travaille dans un café et selon une spécialiste qui l’a évalué avant que soit rendue sa sentence, il comprend ses crimes et ne présente pas de risques de récidive.
 
Le juge le condamne ainsi à une peine en collectivité de deux ans moins un jour assortie de plusieurs conditions. Pendant les huit premiers mois, il sera assigné à domicile en tout temps sauf pour travailler, rencontrer ses agents de surveillance ou se rendre à des rendez-vous médicaux.
 
Ce qui le fera probablement le plus réfléchir, c’est que l’État lui confisque pour plus de 500 000 $ en biens divers.
 
« Il y a 89 000 $ en amendes compensatoires, en plus d’environ 500 000 $ en biens comme de l’argent, des traites bancaires, une moto Harley Davidson custom », énumère le procureur de la Couronne Me François Blanchette, qui réclamait tout de même une peine de cinq ans de prison contre Baghdadlian.
 
Signe de la fortune qu’avait réussi à amasser le vendeur de semences, on lui a même saisi des lingots d’or, selon Me Blanchette.
 
Écrit par David Santerre
 
 
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Brie-Comte-Robert : ils se font voler leur cannabis par .... de faux policiers
Par Invité,
« Police. Ouvrez la porte! » Lorsque, vers 7h30, les trois locataires d’un appartement de la rue du Général-Leclerc, à Brie-Comte-Robert, entendent l’ordre, ils sont loin d’imaginer qu’ils sont tombés dans un véritable piège. Et pourtant… Quand l’un des occupants ouvre, il se retrouve face à trois hommes, âgés de 20 à 30 ans.
 
Source: leparisien.fr
 
L’un est vêtu d’un blouson avec l’inscription « Police ». Le deuxième porte aussi le sigle « Police » sur son polo. Il est armé d’un pistolet automatique noir. Le troisième est habillé d’un blouson de couleur noir et porte un casque.
 
Sans hésiter, ils poussent les trois locataires, âgés d’une vingtaine d’années, dans l’appartement. Ils leur annoncent qu’ils sont là pour une affaire de stupéfiants, qu’ils ont été balancés et que, par conséquent, ils vont fouiller l’appartement. Aussitôt dit, aussitôt fait, ils passent chacune des pièces au peigne fin. Effectivement, ils trouvent de la drogue : 100 g de résine de cannabis. Ils mettent également la main sur 100 € en liquide et du matériel informatique. Les locataires sont bien vite délestés de leurs téléphones portables mais également des ordinateurs, d’une console de jeux, etc. Tout cela dans le but d’une « vérification ».
 
En tout cas, c’est ce qu’ils disent malgré les protestations des occupants qui ne comprennent rien à ce qui se passe. Les « policiers » vont d’ailleurs les regrouper dans une des chambres de l’appartement. L’un des jeunes est même menotté. Ils leur expliquent qu’ils vont devoir rester groupés dans la pièce parce que le chien des stups va intervenir un peu plus tard avec une autre équipe pour voir si, dans l’appartement, il n’y a pas de caches de stupéfiants.
En fait, ils en profitent pour disparaître à bord d’une voiture Peugeot avec gyrophare. Ces faux policiers, mais vrais braqueurs, poursuivis pour vol avec arme, séquestration, usage de fausse qualité, sont actuellement vivement recherchés par les enquêteurs de la police judiciaire de Melun.
 
 
 
 
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Son cannabis volé, il fait le 17
Par Invité,
Que croyait ce Pornichétin en appelant la police ? Qu'elle lui remettrait ses plants et sa résine de cannabis avec ses compliments ? Difficile de savoir ce qui lui est passé par la tête. Toujours est-il que l'affaire commence comme un polar, par une filature, mercredi vers 16 h 30. Un habitant de Pornichet donc qui tape le 17 sur son portable et informe le policier en ligne qu'il vient d'être cambriolé et qu'il suit les auteurs du vol. On reste en ligne avec la patrouille qui se dépêche d'arriver, échange d'indications sur les rues et la brigade anticriminalité qui tombe sur les cambrioleurs. Un homme et une femme de 20 ans qui racontent une drôle d'histoire.
 
Source: Presse Océan
Deux invités
 
Oui ils sont entrés par effraction chez la victime et oui ils lui ont volé des choses parce qu'elle leur devait 200 €. Et quelles choses ? Une tablette de 158 g de résine de cannabis et 44 g d'herbe, entreposés chez eux, c'est-à-dire chez un copain qui les héberge. En route pour cet appartement, la police tombe sur le logeur en bas de l'immeuble puis sur la drogue. Mais tandis que les fonctionnaires fouillent l'appartement, la sonnette retentit. A la porte, deux Brévinois de 18 et 19 ans qui avaient rendez-vous... Pas de chance, la police ne leur a pas fait les honneurs de la maison mais un bon contrôle d'identité : 25 g et 10 g de cannabis sur les deux. Et au final cinq personnes qui partent au commissariat pour une garde à vue.
 
 
Six gardes à vue
 
La victime - qui du coup n'en est plus une mais ne le sait pas encore - est justement en train de déposer plainte pour vol. Donc un sursis a été mis à cet acte et une garde à vue prononcée. Parce que l'appartement de ce monsieur a aussi été visité par la police qui y a trouvé le parfait nécessaire pour cultiver la marjuana chez soi (lampes à UV...). La fausse victime et ses deux voleurs en sont quittes pour un passage au tribunal et les deux visiteurs du soir pour une visite au délégué du procureur. Celui qui hébergeait les voleurs échappe aux poursuites. Il y en a un qui doit regretter d'avoir composé le 17...
 
 
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