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Yvelines : des masques décorés avec des feuilles de cannabis distribués au Vésinet
Par mrpolo,

Des habitants aussi stupéfaits qu’amusés ont vu arriver des masques commandés par la ville avec des motifs végétaux très… particuliers.

Le Vésinet a acheté un lot de masques au milieu duquel se trouvaient des exemplaires représentant des feuilles de cannabis. DR
Par Sébastien Birden et Maxime Fieschi   Tout jaunes avec des feuilles de cannabis… Des collectors qui s'échangeront peut-être sous le manteau dans quelque temps. Ces masques de protection lavables font beaucoup parler d'eux au Vésinet. On n'en compte pourtant pas plus de 300 ou 500 selon la mairie, qui les a commandés auprès d'un intermédiaire qui les achète en Chine.
« On avait passé commande de 15 000 masques avec des tissus à motifs, explique le maire (DVD) Bernard Grouchko, qui prend la chose avec humour. Il y avait des dizaines de décors différents : des oiseaux, des arbres, des cerises, des étoiles… Et parmi eux, sans que nous n'ayons été informés, figurait ce dessin avec des feuilles de cannabis. Certains préféraient y voir une feuille d'érable, mais il faut se rendre à l'évidence : c'est bel et bien du cannabis ! »
Dans la ville, certains ne prennent pas la chose de manière aussi détendue et accusent la ville de légèreté. Sur les réseaux sociaux, des habitants mettent en avant le fait que la représentation de produits stupéfiants est illégale et que ceux qui portent ces masques risquent gros.
Les porter peut être assimilé à une publicité aux produits stupéfiants, punie par la loi
Effectivement, quel que soit le support (vêtements, bijoux, livres, etc.), la publicité, l'incitation ou la présentation sous un jour favorable des produits classés stupéfiants est punie, selon l'article L3421-4 du Code de la santé publique.
 
DR   La peine maximale encourue est de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende, même si les forces de l'ordre ne verbalisent rarement des particuliers pour ce genre de délit.
« Puisqu'ils sont illégaux, nous les retirerons des lots et nous demanderons aux gens de ne pas les porter », réagit Bernard Grouchko, qui souhaite en rester là. « Il n'y a pas matière à polémiquer, insiste l'élu, candidat à un deuxième mandat le 28 juin prochain. Il s'agit d'une petite quantité de masques et je vais alerter le vendeur pour lui demander de ne plus nous livrer ce genre de tissu, si nous devions en commander à l'avenir. »
Source: leparisien.fr
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Par Boogerman,
Le saviez-vous ? Le président George Washington cultivait du cannabis
"Prenez le plus possible de graines de chanvre indien et semez-en partout", avait-il ordonné à ses hommes
  — Everett – Art / Shutterstock.com Président des États-Unis du 30 avril 1789 au 4 mars 1797, George Washington est connu pour avoir été le premier à de multiples reprises. “Premier en guerre, premier en paix et premier dans le cœur de ses compatriotes”, lit-on notamment dans l’éloge funèbre pour George Washington écrit par Henry Lee. Mais, saviez-vous qu’il a également été parmi les premiers à cultiver du cannabis en Amérique ?
L’histoire raconte que les anciens dentiers de George Washington, faits en ivoire d’hippopotame avec des ressorts en or et des vis en laiton, lui causaient tellement de douleurs qu’il s’est tourné vers le cannabis afin de les soulager, comme a pu le rapporter The Daily Beast. 
  Les preuves les plus sûres suggérant que le premier président américain a cultivé du cannabis proviennent de certains passages de son journal, écrit en 1794. “Prenez le plus possible de graines de chanvre indien et semez-en partout”, écrivait-il notamment. “J’ai commencé à séparer les plants mâles des plants femelles, malheureusement trop tard”, avait-il également ajouté.
Néanmoins il existe une réponse plus plausible : il parlait de véritable chanvre. En effet, la famille Washington cultivait du cannabis non psychoactif à Mount Vernon. Thomas Jefferson et d’autres Américains coloniaux faisaient également la même chose. Le chanvre était une culture polyvalente utilisée pour fabriquer des voiles, des vêtements, de la corde et bien d’autres choses. George Washington reconnaissait donc dans son journal “une erreur agricole, car le chanvre passé aux graines (après que le pollen mâle a fertilisé la fleur femelle) produit des fibres plus grosses et moins précieuses”.
  George Washington a donc bel et bien cultivé du cannabis, mais rien ne prouve réellement qu’il l’ait fait pour le fumer. Et le doute planera sûrement à jamais sur cette pratique du président.
  source https://dailygeekshow.com/culture-cannabis-george-washington/
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Par mrpolo,
Du cannabis utilisé dans des rituels il y a 2.000 ans a été retrouvé dans un temple en Israël. C’est la première fois qu’une preuve physique atteste de la présence de cette drogue durant l’âge du fer au Proche-Orient.

 
Lors de fouilles à Tel Arad, à quelques dizaines de kilomètres au sud de Jérusalem, des archéologues ont découvert du cannabis dans un temple datant des temps bibliques.
 
 
Une étude publiée le 28 mai dans le journal de l’Institut d’archéologie de l’université de Tel Aviv montre la présence d’encens et de cannabis sur les matériaux constituant les deux autels de ce temple remontant à l'ère du royaume de Juda, lequel s’étendait de 930 à 586 avant Jésus-Christ.
Pour les scientifiques, cette découverte apporte pourtant «une nouvelle vision sur le culte de Juda».
 
L’étude suggère que le cannabis était brûlé lors d’un rituel, dans un but psychoactif, et non pas pour sa senteur.
 
Source:sputniknews.com
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Par Boogerman,
https://www.msn.com/fr-fr/sport/football/barça-la-société-de-cannabis-de-mike-tyson-vise-le-naming-du-camp-nou/ar-BB13etKZ?fullscreen=true#image=1
Barça: la société de cannabis de Mike Tyson vise le naming du Camp Nou
 
  Alexandre JAQUIN   26/04/2020 Le FC Barcelone a mis en vente le naming du Camp Nou pour la saison prochaine afin de reverser les fonds à la lutte contre le coronavirus. La société de cannabis détenue par Mike Tyson et le milliardaire Alki David fait partie des entreprises intéressées.  

L'union serait assez improbable. Mais le milliardaire Alki David semble y croire. Interrogé par la BBC, celui qui travaille avec Mike Tyson à la tête d'une société spécialisée dans la vente de cannabidiol (une molécule présente dans le cannabis) a fait savoir qu'il aimerait associer le nom de son entreprise à celui du Camp Nou. Le FC Barcelone a annoncé la mise en vente du naming de son stade pour la saison 2020-2021, avec la volonté de reverser les fonds à la lutte contre le coronavirus. 
"C'est un grand stade. C'est quelque chose que nous cherchons pour notre entreprise et c'est une idée incroyable, explique l'homme d'affaires grec. Mon entreprise est une entreprise de cannabis et l'Espagne a une longue tradition au sein de l'Union européenne en tant que leader sur la voie de la légalisation."
Un contact établi avec les dirigeants du Barça
Relancé sur le fait que son activité pouvait être un frein dans ce dossier, Alki David s'est montré assez serein: "Cela reste à savoir. Le monde est né d'idées." Vendredi, le businessman de 52 ans, qui oeuvre également dans plusieurs autres secteurs, avait déjà évoqué son attrait pour l'enceinte blaugrana. Avec une grande confiance. "Le contact s’est établi en début de semaine et je suis convaincu que l’accord sera conclu, a-t-il confié au Daily Mail. C’est une opportunité pour laquelle je suis optimiste. C’est un moment historique dans l’histoire du sport et cela cadre bien avec mes plans actuels."
Inauguré en 1957 et doté de 99.000 places, le stade du Barça est le plus grand d'Europe. Longtemps appelé "El stadi del FC Barcelona", il a été renommé "Camp Nou" (nouveau stade, en catalan) après une consultation populaire auprès des socios en 2000.
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Par Boogerman,
https://www.neonmag.fr/mon-metier-testeur-de-cannabis-555141.html
Mon métier : testeur de cannabis
  © NEON par NEON6 mai 2020 José est testeur de cannabis au Canada, un job en vogue depuis la légalisation de la marijuana, en octobre 2018. Notre journaliste a suivi son eneignement. Enfin, jusqu’à la première taffe. Après, c’était plus compliqué…
 
Une belle couleur verte. Au nez, des arômes de conifères. Au goût, un fond d’épices. L’effet ? Un soupçon d’euphorie et une envie pressante de s’enfiler des tonnes de chips. José Dominguez, Québécois de 38 ans, note des échantillons de fleurs séchées sur des critères précis. Il est sommelier en cannabis. Chaque mois, l’entreprise canadienne Ahlot lui envoie un lot qui comprend cinq à sept variétés différentes. A lui de les tester, à l’aveugle, et de les évaluer. Un boulot rendu possible depuis que le Canada a légalisé le cannabis à des fins récréatives, en octobre 2018. Depuis, ils sont huit à évaluer les produits d’Ahlot, pour environ 1 000 dollars canadiens par mois (soit 690 euros). Les meilleurs échantillons seront ensuite vendus aux distributeurs autorisés partout dans le pays.
José fume pas moins de 2 500 joints par an. Ce soir, je l’accompagne dans son métier de sommelier. Devant nous, des petits paquets contenant 1 gramme d’herbe chacun. José en ouvre un : « C’est toujours avec ses yeux qu’on goûte en premier. » Nombre de feuilles, allure des trichomes – il s’agit des petites excroissances sur les feuilles et la tige dont la couleur peut aller du blanc laiteux à l’ambré – fleur sèche ou spongieuse… Tout ça permet à l’expert de savoir si la plante a été cultivée avec soin.
Son expertise, José la tient de ses quinze années en tant que cultivateur et de ses trophées. Il a remporté quarante-trois Cannabis Cup, des compétitions pendant lesquelles le meilleur cannabis est désigné par un jury de testeurs.
Je prends une belle tête de beuh entre mes doigts et l’observe de près. Puis j’approche mon nez, ferme les yeux… « Ça sent juste le cannabis », dis-je. J’essaie encore. Pour m’aider, José me montre une sorte de diagramme des goûts, allant de l’ananas au chili, en passant par la terre et la noix. « Trouve le premier mot qui te vient en tête quand tu la sens », me conseille-t-il. Je lance sans grande assurance : « Tropical ? »
Je suis incapable de dire autre chose que : « J’aimais mieux l’autre… »
José effrite la fleur aux ciseaux, puis roule un beau joint. Pur, s’il vous plaît. « Moi, je prends une première taffe à sec, sans allumer. On sent tout de suite un goût », assure l’expert. Je fais de même. Effectivement, un arôme subtil se dépose sur mes papilles. Mon manque d’expérience m’empêche de le définir. On allume. Je tire une première bouffée. José me conseille de taper un peu ma langue sur mon palais et de recracher une partie de la fumée par le nez.
Malgré ses conseils, je ne suis pas capable de détailler le goût de ce que je fume. « C’est la chose la plus difficile à définir, parce que tu as le goût de la combustion qui s’y mêle. » Nous testons ensuite l’autre échantillon. Le goût est totalement différent, mais je suis incapable de dire autre chose que : « J’aimais mieux l’autre… »
Je demande à José ce qui fait une bonne herbe. « C’est un cannabis qui plaît à la majorité, décrit-il. Le goût n’est pas tellement important. Ce qui l’est, c’est qu’il doit être bien cultivé, bien récolté et bien séché. » On tire encore une taffe. Je ne fais plus vraiment l’effort de sentir quoi que ce soit. J’ai un sourire figé. José part dans un monologue dans lequel il m’explique sa vision de la légalisation de la marijuana au Canada. A côté de son travail de sommelier, il conseille Neptune, une entreprise de transformation. Il y travaille sur la meilleure manière de proposer le chanvre sous différentes formes : bonbons, tisanes, crèmes… Il parle et ça me semble absolument interminable, mais intéressant. Je me demande comment je vais faire pour me souvenir de tout ce qu’il me raconte, puisque j’ai arrêté de prendre des notes.
Il semble dans un état totalement normal, contrairement à moi
Je fixe sa montre gravée de feuilles de cannabis et me rends compte à quel point c’est une passion pour lui. « Je vais le terminer, si ça te va », me dit-il en reprenant le joint en main et en enchaînant. Je perds le fil. Puis il se lève, me laisse quelques échantillons de sa récolte personnelle, « rien que des variétés primées », précise-t-il. Il semble dans un état totalement normal, contrairement à moi qui me demande encore comment je vais faire pour me cuisiner quelque chose. Il me lâche en passant le pas de la porte : « Weed makes friends » (le cannabis fait les amis).

Delphine Jung
Article publié dans le magazine NEON en Février-Mars 2020
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Par mrpolo,
Une plateforme gratuite de vidéos à la demande a vu le jour cette semaine sur la toile. Baptisée Netsplif et reprenant les codes graphiques du célèbre service de streaming Netflix, elle propose aux consommateurs de spliffs (joints), activité qui reste illégale en France, des contenus à visionner quand leur esprit est altéré, parmi lesquels des recettes de cuisine, des sketches ou encore des documentaires. Netflix, qui n'a rien à voir avec ce lancement, a réagi positivement sur Twitter avec un laconique «Ça défonce». 
 
 
"Netsplif, c’est votre pote à côté de vous dans le canapé qui vous conseille la meilleure vidéo en fonction de votre mood", annonce la plateforme. Lancée ce 20 avril 2020 à l'occasion du 420, qui célèbre la consommation de cannabis, cette plateforme gratuite propose une curation des meilleures vidéos YouTube à regarder légèrement défoncé. Mais à jeun ça fonctionne aussi plutôt bien.

 
Avec Netsplif.com, tu chilles déjà
Netsplif.com se veut être une plateforme gratuite et ouverte à tous qui te guidera dans ta recherche de contenus dans les moments où en trouver est le plus difficile.
 
Dessus, vous pourrez choisir entre 9 catégories de vidéos (bientôt 10), celle qui saura fasciner votre esprit altéré : “Munchies” pour les petits creux, “Satisfying” pour encore plus d’endorphines, “Curiosity” pour la fascination, “Documentaires” pour la découverte… Installez-vous confortablement, préparez le nécessaire et lancez dans la découverte.
Chaque vidéo présente sur Netsplif a été sélectionnée avec minutie pour faire découvrir de nouveaux horizons à ses consommateurs. Netsplif c’est un peu ton pote à coté de vous dans le canapé qui vous conseille la meilleure vidéo en fonction de votre mood. Un nouvel ami durant ce confinement ? On ne va pas s’en priver donc.
☞ Direction Netsplif.com.
 
(NB : le cannabis n'est pas légalisé en France et son usage est interdit par la loi). 
 
Sources: glamourparis.com  torrefacteur.co
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Par mrpolo,
Il semble loin le temps des brownies au shit et des space cookies … voilà comment Netflix introduit son nouveau  concours de cuisine dont l’ingrédient vedette est le cannabis. Après Cooking on high, la plateforme remet le couvert avec Cooked with Cannabis.
 

 
L’émission fera se confronter les meilleurs chefs du monde entier  qui devront rivaliser d’ingéniosité pour faire planer les animateurs et leurs invités spéciaux. Parmi les invités, l’on retrouvera  l’ancien animateur de talk-show Ricki Lake, l’actrice Mary Lynn Rajskub et les rappeurs Too $hort et El-P. Ils auront à savourer un menu inhabituel composé d’ herbes et d’infusions de THC ou bien encore de sauces au CBD.
 
La saison 1 sera diffusée à partir du 20 avril 2020 et elle comptera 6 épisodes. A chaque épisode, trois chefs proposeront un menu de trois plats (entrée, plat, dessert) à base de cannabis qui mettra leur talent à l’épreuve. Le gagnant repartira avec la coquette somme de 10 000 dollars.
 
Cooked with cannabis est co-organisé par la chanteuse et cheffe Kelis et Leather Storrs, chef basé à Portland (Oregon). Ce dernier a d’ailleurs déclaré que “De nombreux chefs ont utilisé la plante de manière non psychoactive: comme arôme, comme purée dans des tortillas fraîches, ou mélangés dans une farine”
Source: www.netflix-news.com
 
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Par mrpolo,
Le marché mondial du cannabis est en pleine évolution. Comment s’organise-t-il entre pays producteurs et pays consommateurs ? Et quel est l’impact économique de la légalisation menée par certains États ?   Présentation : Émilie Aubry  
 
Source: arte.tv
 
Merci @BiT00LJuice ^^
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Par mrpolo,
Dans très peu de temps débarquera la nouvelle série culinaire de Netflix : Cooked with Cannabis. Une émission présentée par la célèbre Kelis.
 
En avril prochain débarquera dans le catalogue de Netflix le programme « Cooked with Cannabis ». Un show qui mettra en lumière des mets à base d’herbe ! Un show assuré par Kelis. MCE TV vous dit tout de A à Z.
Netflix s’apprête alors à dévoiler son line-up pour le mois d’avril. On a donc appris que son show culinaire « Cooked with Cannabis » ferait son arrivée à cette période.
 
Quel est donc le but de l’émission ? Nous présenter des recettes à base de cannabis ! Et le show sera bien sûr assuré par une célébrité, et non des moindres.
Il s’agit de Kelis, célèbre pour son hit phare du début des années 2000 : Milkshake. Cette fois-ci, il se peut donc qu’elle nous propose plutôt un smoothie vert !
 
Blague à part, la star de la pop l’a confirmé elle-même sur Instagram. Elle posait aussi avec des ongles, estampillés des lettres de Netflix.
Une preuve de plus. Enfin, toujours sur Instagram, Kelis a dit : « quiconque me connaît sait à quel point j’aime Netflix. C’est donc un rêve devenu réalité ».
 

Netflix: Cooked with Cannabis débarquera bien en avril !
Netflix: Kelis anime un show de cuisine qui met le cannabis à l’honneur
« Chose intéressante, ce n’est pas quelque chose que je recherchais nécessairement. Ça m’est venu tout seul en quelque sorte », précise Kelis au sujet de l’émission « Cooked with Cannabis ».
« En tant que chef, j’étais intriguée par la nourriture. Et en tant que personne ordinaire, je m’intéressais aussi à la puissance de ce sujet dans la société d’aujourd’hui ».
Eh oui, vous l’ignorez peut-être, mais Kelis, en plus d’être une ancienne star de la pop, est aussi une cheffe d’exception.
Cuisinière hors pair, elle avait même ouvert un food truck pour faire la promo de son album Food.
Cela étant, la star espère « que vous regarderez la série. Nous aurons assurément beaucoup de plaisir. On lance le tout le 20 avril. Bisous, Kelis », conclut-elle.
Il ne reste donc plus qu’à attendre la date butoir.
 
Source: mcetv.fr
 
 
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Par Ayahuaska,
La première saucisse au cannabis rencontre un vif succès à Marseille
Un boucher marseillais de 22 ans a créé la Ouidi, une chipolata à base de cannabidiol (CBD), une molécule non psychoactive contenue dans le cannabis. 
 
Le barbecue aura-t-il des effets innattendus ? Luca Morand, un boucher marseillais de 22 ans, a lancé la Ouidi, une chipolata au cannabidiol, rapporte La Provence. Plus connue sous le nom de CBD, cette molécule non psychoactive du cannabis est légale dans toute l'Union Européenne. La loi autorise en effet à commercialiser un produit contenant moins de 0,2% de THC.
Grâce à cette recette étonnante, Luca Morand assure au quotidien qu'il obtient un "produit goûtu avec un bon goût d'herbe à l'intérieur". "On ne va pas dire qu'il y a des effets psychotropes mais des effets apaisants et plutôt bons sur le sommeil : on a le sommeil plus profond quand on la mange",assure-t-il. 
Patron de la LM Boucherie, située dans le 8e arrondissement de Marseille, le jeune homme a pris soin de protéger le nom de sa Ouidi et assure qu'il en a écoulé "une quinzaine de kilos". Alors qu'une chipolata est habituellement vendue 2,30 euros, sa Ouidi coûte 4,50 euros, presque le double. "Le prix de l'exclusivité", indique-t-il au quotidien. 
 

 
 
Mais pas question pour Luca Morand de révéler sa recette : "Ce que je fais du CBD pour l'incorporer dans la saucisse, ça restera un secret", assure-t-il à La Provence. Il a travaillé plus d'un an pour parvenir à cette recette élaborée à base de porc Label rouge. 
 
source: francetvinfo.fr
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Par Indi-Punky,
Odezenne est un groupe de musique alternative français, originaire de Bordeaux, en Gironde. Formé par Alix Caillet, Jacques Cormary et Mattia Lucchini, le groupe compte 3 albums studio, et un EP.
 
 
Le titre En L dont le clip est réalisé par l'artiste Thami Nabil, fait référence au collage de deux feuilles !
 
Le clip raconte l'omniprésence de la violence et de la guerre dans la vie privée de chacun. Deux amoureux fument des joints dans leur chambre, le monde de la guerre matérialisé par une mini armée, s'invite dans leur intimité et tente en vain de détruire le couple qui se love.
La fume pour combattre la violence et la guerre qui s'invite dans l'intimité de chacun dans nos société contemporaine, "Faites l'amour pas la guerre".
 
 
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Par mrpolo,
La start-up montpelliéraine Green House Keeper booste la croissance des plantes en milieu contrôlé (ferme urbaine, serres, laboratoires) grâce à un système innovant recréant des conditions environnementales optimales. Parmi les producteurs qui s’intéressent à cet "ordinateur climatique" pilotable à distance figurent les producteurs de cannabis…
 

Prima Primorer, une ferme de production de plantes aromatiques et florales en Suède, où les conditions climatiques, la lumière et l'irrigation sont contrôlées pour produire toute l'année. (Crédits : Green House Keeper)
 
Green House Keeper (GHK), start-up montpelliéraine fondée en janvier 2017, a créé un système innovant recréant des conditions environnementales optimales pour cultiver tous les types de végétaux, et de manière automatisée.
Ses deux fondateurs, Pierre Joram, pharmacien et spécialiste de physiologie végétale, et Pierre Richard, ingénieur en électronique, ont conçu un ordinateur climatique capable de piloter automatiquement les paramètres environnementaux nécessaires au bon développement des plantes : température, humidité, nutriments, cycle de la lumière pour reproduire le lever et le coucher du soleil, pression barométrique pour simuler les saisons...
Capteurs, lampe LED ou caméras sont pilotés par un logiciel baptisé HerbroCore. Une façon de « tromper » la plante - Pierre Joram préfère « contrôler » - afin de la surveiller, analyser sa croissance et permettre au producteur de multiplier les récoltes au-delà de son cycle naturel.
D'abord l'agriculture urbaine
Le produit s'adresse au contrôle des différents techniques de cultures, conventionnelles ou hors-sol, et la start-up vise en premier lieu le marché de l'agriculture urbaine, le marché des serristes étant « un marché très établi avec trois acteurs principaux, et sur lequel il est difficile d'entrer », note Pierre Joram.
D'ici quelques semaine, GHK équipera une première ferme urbaine à Montpellier, en collaboration avec l'association des champignons d'Occitanie, pour faire des micro-pousses à destination des restaurateurs principalement.
Culture du cannabis : une belle perspective
L'agriculture urbaine est d'ailleurs l'axe principal de développement de la start-up.
Un des autres axes stratégiques identifiés par la start-up concerne le marché américain, où elle a déjà installé des prototypes. Sur quel type de culture ? "Celle du cannabis", répond Pierre Joram, puisque désormais 33 États y autorisent le cannabis médical.
Levée de fonds en cours
GHK est incubée au BIC de Montpellier et hébergée à l'IRSTEA (Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture) de Montpellier, où elle a aussi été incubée dès la fin 2015 et avec lequel elle a signé un partenariat de recherche pour doter son dispositif de caméras.
La start-up a réalisé un chiffre d'affaires de 100 000 € en 2018 et vise une croissance « de 30 à 50 % en 2019 ».
Cette levée de fonds devrait être bouclée à la fin d'été, au plus tard en fin d'année.
 
Par Cécile Chaigneau
Source: objectif-languedoc-roussillon.latribune.fr
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Par Invité,
La scénario de la nouvelle série Netflix, disponible ce vendredi 28 juin, coïncide de façon troublante avec l'actualité des débats sur la légalisation du cannabis.
SÉRIES - On n’aurait pas pu trouver meilleure date de sortie. La nouvelle production française de Netflix, “Family Business” –une comédie centrée sur une famille qui veut transformer sa boucherie casher en “beucherie”– est disponible ce vendredi 28 juin, alors que la légalisation du cannabis récréatif et thérapeutique est au centre de l’actualité politique depuis plusieurs jours.
 
Après “Marseille”, “Osmosis” ou “Plan cœur”, au tour du réalisateur et scénariste Igor Gotesman (“Five”, “Mon Inconnue”) de dévoiler une série made in France sur la plateforme de streaming aux 148 millions d’abonnés. Dans “Family Business”, il raconte l’histoire de Joseph (Jonathan Cohen), start-upper aux idées jusque-là un peu foireuses qui travaille dans la boucherie casher de son père (Gérard Darmon).
 
Mais lorsque Joseph croise une ancienne copine qui lui glisse que son paternel, futur ministre de la Santé, envisage de légaliser le cannabis, le trentenaire parisien a une idée de génie: transformer la boucherie familiale en “beucherie” et devenir l’un des premiers points de vente officiels.
 
 
Si les trois premiers épisodes que nous avons pu voir (sur les six de cette saison 1) mettent un peu de temps à installer l’intrigue, ils sont portés par un casting comique forcément crédible –difficile de rester de marbre devant Gérard Darmon fumant un joint avec Enrico Macias dans l’arrière-boutique d’une boucherie– et des dialogues plutôt efficaces.
  Une série on ne peut plus d’actualité
Au-delà de l’humanité du scénario d’Igor Gotesman, la série “Family Business” pourrait être portée par une actualité particulièrement analogue.
Impossible de ne pas s’interroger sur la ressemblance troublante entre cette couverture du magazine L’Obs devant laquelle s’arrête le personnage de Jonathan Cohen dans la bande-annonce de la série, et la vraie couverture du numéro du 20 juin.
 

Une couverture fictive de "L'Obs" dans la série "Family Business".
 

La couverture du numéro du 20 juin 2019 de "L'Obs".
 
Jeudi 20 juin, le député des Bouches-du-Rhône François-Michel Lambert, porte-parole de l’Union des démocrates et des écologistes (UDE), déposait à l’Assemblée une proposition de loi cosignée par une quinzaine de députés arguant pour une “légalisation contrôlée de la production, de la vente et de la consommation de cannabis”.
Le texte prévoit notamment de “passer d’une politique du tout répressif à une politique d’encadrement régulé” du commerce du cannabis en confiant la production aux agriculteurs et la vente aux débitants de tabac.
Vers un business encadré
Et ce n’est pas tout. Le même jour, le Conseil d’analyse économique a remis un rapport à Matignon dans lequel il préconise là encore de mettre fin à 50 ans de répression infructueuse en légalisant de façon encadrée le cannabis. Ces économistes chargés de conseiller Édouard Philippe suggèrent de créer un “monopole public de production et de distribution du cannabis.”
 
Enfin, un comité d’experts mandaté par l’Association nationale de sécurité du médicament (ANSM) se réunissait en dernière séance ce mercredi 26 juin. L’occasion d’exposer les modalités d’une phase expérimentale de mise à disposition du cannabis cette fois à visée thérapeutique et d’en évaluer la faisabilité. 
 
Si la série a été tournée en janvier dernier, Netflix a-t-il particulièrement veillé à calquer sa date de sortie sur cet agenda politique? Contacté par Le HuffPost, la plateforme de streaming n’a pas répondu à cette question. Hasard ou calcul, force est de constater que le slogan “Liberté, légalisé, fraternité” des affiches publicitaires de “Family Business” tombe à pic.
 
Source: huffingtonpost.fr
 
On en parle sur le forum
 
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Par mrpolo,
Après la Regina, la quatre fromages ou la Hawaïenne, voici la “déesse verte”, une pizza relevée avec un filet d’huile de cannabis.
 
 
 
Une chaîne sud-africaine vient d‘étoffer son menu en profitant de la légalisation de l’huile de cannabis dans le pays.
“On a toujours cherché à être innovants avec nos menus et à offrir à notre clientèle loyale les dernières tendances saines”, a expliqué la fondatrice de la chaîne Col’Cacchio, Kinga Baranowska.
   
“On adore avoir un temps d’avance et nous sommes extrêmement fiers d‘être le premier restaurant en Afrique du Sud à lancer une pizza cannabis”, a-t-elle ajouté.
Avec les pizzas au cannabis, “vous n’allez pas planer (…), mais à la fin du repas, vous sentirez les effets calmants de l’huile”, a précisé dans la presse locale Mike Saunders, fondateur de la société d’huile de cannabis qui fournit la chaîne de pizzerias.
 
Ce nouveau menu est rendu possible grâce à l‘évolution récente de la réglementation en Afrique du Sud.
En septembre, la Cour constitutionnelle a légalisé la consommation du cannabis à usage personnel, épilogue judiciaire d’un dossier qui suscite la polémique depuis des années dans ce pays comme dans le reste du monde.
Et fin mai, le gouvernement a décidé de légaliser la consommation d’huile de cannabis, en limitant la dose quotidienne maximale à 20 mg par personne.
 
La chaîne Col’Cacchio propose deux pizzas arrosées d’huile de cannabis: une végétarienne – la “Green Goddess” (déesse verte), aux courgettes et à la feta pour 125 rands (8 euros) – et une au poulet et aux poivrons – la “Not-So-Plain Mary Jane” (littéralement “une beuh pas si nature”) pour 140 rands (9 euros).
 
L’avocat Ricky Stone, spécialisé dans la législation sur le cannabis, a toutefois conseillé à l’industrie de la restauration de rester prudente dans l’usage de l’huile de cannabis.
“Il s’agit d’un domaine relativement nouveau et il y a encore beaucoup de choses qui ne sont pas connues et claires”, a-t-il prévenu.
 
Source: africanews.com
 
Supplément Weekend^^
 
Lors des retrouvailles entre amis, ou encore une soirée passée devant la télé à regarder un match ou un film, une portion de pizza est toujours la bienvenue pour nous faire passer un moment agréable.
Pour savourer pleinement une part de pizza, pas besoin d’acheter une huile piquante. Avec  il est plus intéressant de concocter soi-même son huile pour pizza. Voici alors une recette sympa pour faire de l’huile stonante pour pizza à la maison.
 
Nous vous proposons aujourd'hui de découvrir comment réaliser une délicieuse huile d'olive piquante et aromatisée à l'ail. Une préparation simple et rapide à réaliser mais qui nécéssite de bien marier les ingrédients pour obtenir des saveurs parfaites. N'oubliez pas d'utiliser une huile d'olive de qualité pour garantir la bonne diffusion des arômes dans votre huile piquante. N'hésitez pas à rajouter les herbes séchées de votre choix, ici du cannabis, ou à retirer l'ail si vous ne voulez pas avoir quelque chose de trop parfumé.
Avec la weed il est conseillé de la décarboxyler avant de l'ajouter au mélange à froid comme sur la vidéo
Mais vous pouvez aussi extraire le thc de quelques buds ou de manucure comme pour un Beurre de Marrakech directement dans l'huile avant de la pimenter^^
Bon appétit
 
 
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Par mrpolo,
Lucien Anglade (président du comité départemental de pétanque de Haute Loire) ne mâche pas ses mots. Au-delà de l’alcool, il existe un autre fléau dans la pratique de la pétanque en compétition : la drogue et en particulier le cannabis.    
C’est quelque chose de très pénalisant pour les joueurs qui tombent sur des individus sous l’emprise de produits stupéfiants.
Le président du comité départemental de pétanque fait allusion à ce phénomène nouveau, qui voit apparaître des joueurs, fumant de l’herbe ou de la résine de cannabis avant et même pendant une partie.

Le règlement de la FFPJP interdit aux joueurs de fumer sur un terrain, pendant la phase de jeu.
Mais certains détournent cette contrainte : « ça se voit et ça se sent ». Alors quel est le problème, au-delà de l’aspect légal, moral et de la santé ? Il est de l’ordre de l’équité. Clairement, du dopage.
 
Il n’y a plus de stress
  « Leur performance est quintuplée par le produit »
Lucien Anglade
« On est nombreux à avoir fait le même constat. Il n’y a plus de stress. Sur une partie très importante, avec une qualification à la clef ou une victoire en finale, l’enjeu fait monter la pression ».

Et d’ajouter, en référence à une partie vécue en observateur averti : « Certaines personnes, excellents tireurs dans un contexte sans enjeu, perdent tous leurs moyens sous l’effet du stress. Ils ne tapent plus une boule ou seulement une sur deux. Alors qu’en fumant du cannabis ou autre chose, ils sont sur un petit nuage et enchaînent les piles. Ça change tout ! »

Des contrôles antidopage sont bien organisés par la FFPJP, mais presque exclusivement sur les championnats de France et les plus gros concours nationaux. 
 
Cédric Dedieu
Source: leveil.fr/puy-en-velay
 
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Par mrpolo,
Alors qu’en Belgique le débat sur la légalisation du cannabis fait rage, certains créateurs ont déjà fait du cannabis une source d’inspiration pour leurs créations. Et ce jusque dans les plus belles maisons de joaillerie. Tendance à suivre.
 
Coup de théâtre, en janvier dernier, Lucia Silvestri, directrice de la création chez Bulgari apparaît à une soirée de gala avec un collier flamboyant, ornée de feuilles de cannabis pavés de diamants et d’émeraudes. Une pièce estimée à 320.000$.
Ce collier fait partie de la collection Wild Pop éditée fin 2018 et à première vue, pourrait être une simple référence végétale, mais l’œil avisé ne s’y trompe pas, il s’agit bien de feuilles de marijuana, aucun doute possible.
Provocation ou réalisme ? Aujourd’hui légalisé dans plus de dix états américains, le cannabis représente un marché potentiel énorme pour les marques de luxe. Aujourd’hui passés de mode, les long fume-cigarettes ont pourtant longtemps fait partie de l’offre des maisons joaillières parisiennes.
On se souvient de Marlène Dietrich, incarnation du glamour hollywoodien, chantant avec un long porte-cigarettes fumant (Une image impensable aujourd’hui) tout comme Audrey Hepburn, inoubliable avec son interminable fume-cigarettes dans Breakfast at Tiffany’s.
 
D’autres marques de bijoux ont introduit la feuille de cannabis dans leurs créations en motif stylisé dans l’or, mais en franchissant le pas de lancer son premier « Vape Necklace » en or et pierres précieuses, la créatrice Daniel Villegas a passé une étape fort remarquée vers la banalisation de la consommation de cannabis.
Il faut dire que le bijou en jette. Un cylindre d’or parcouru d’insectes en or et pierres précieuses de couleur, les motifs de prédilection de cette créatrice d’origine mexicaine reconnue pour son exubérance et son amour des insectes. Ce bijou à porter en sautoir coute quand même la bagatelle de 48.000$. Il y a fort à parier que la tendance arrive chez nous plus vite qu’on ne le pense, et qu’elle fera fi des décisions politiques… 
Source: lesoir.be
 
 
--> à lire aussi: L’horlogerie suisse doit-elle se « cannabiser?
 
 
Le cannabis est à la mode! Et cela se voit quand les marques qui créent tendance commencent à l'utiliser dans ses dessins. La marque de Haute Bijouterie Bvlgari a parié par l'inspiration cannabique pour certains de ses derniers lancements : le collier et la broche Wild Pop, qui fait partie de la collection Roaring 80's. Ils la définissent comme "audacieux, irrévérent et indubitablement Bvlgari".

Il y a beaucoup d'idées récurrents qui nous viennent à la tête quand nous pensons aux extravagants et transgresseurs années 80. En Espagne cette décennie a un nom : « la movida » madrilène. Des groupes musicaux, des cinéastes, des journalistes, des photographes et bien d’autres artistes ont donné de la couleur au pays, qui était plongé dans l'obscurité après des années de dictature franquiste. Alaska, Almodóvar, Alberto García Alix, Parálisis Permanente…
 
Cependant, si nous pensons à l'art et à la culture pop des années 80 au plan mondial, les protagonistes ont été autres. Michael Jackson, Madonna, Whitney Houston…Et si nous parlons d'art, bien que celui-ci a commencé à se développer à la fin des 50, nous devons citer à Roy Lichtenstein, Jean-Michel Basquiat et Andy Warhol, avec tout ce qui comporte penser au créateur pop art : le Velvet Underground, Eddie Segwick, Susan Sontag en plus des musiciens, artistes et des intellectuels qui ont fait partie de The Factory.

Bvlgari a voulu rendre un hommage à Andy Warhol avec la collection Wild Pop, qui inclut plus de 80 pièces dans lesquelles la marque conjugue la Haute Bijouterie, la musique et le pop art. Entre celles-ci nous trouvons le collier Wild Pop d’haute Bijouterie en or jaune de 18 carats avec insertions en malachite et pavé des diamants (31,30 carats). Il y a aussi la broche Wild Pop, élaboré en or blanc de 18 carats avec insertions en trois diamants ronds et pavé des diamants. Ces pièces ont des motifs de feuilles de marijuana et elles s’inspirent dans l'usage récréatif du cannabis. Selon la description de Bvlgari ce sont des bijoux très addictifs.
 

Le collier Wild Pop a "des feuilles précieuses de marijuana enchâssées dans l’or jaune, encadrées par un pavé en diamants. Ce collier peu conventionnel est une forme audacieuse, ironique et élégante de montrer les effets magiques qui ont captivé la génération des 80 avec des rêves d'évasion", nous pouvons lire dans son web. Avec ces dessins, Bvlgari veut illustrer l'idée de la créativité joyeuse, et pour cela se sont inspirés dans "l'émancipation, l'esprit libre et l'expérimentation des trépidantes années 80".

Ce n'est pas la première fois qu'une firme de Haute Bijouterie s'inspire des feuilles du cannabis pour réaliser ses créations. Des anneaux de Lost Track avec forme de bourgeon; des boucles d'oreille de Genifer M en forme de feuille de marijuana; un collier d'or d'Asche qui sert de grinder; une chaîne d'or avec petites feuilles de la marijuana de Jacquie Aiche qui ont déjà être portées par des stars comme Rihanna.
 

 
Tous les détails comptent dans le chemin pour la destigmatisation de la plante. Donc il nous semble génial que le monde de la mode s'inspire de l’attractive forme de la plante pour réaliser ses créations et qu’il ait des célébrités qui s’en servent pour ses habits de fête et se montrer sur les tapis rouges, en cassant le tabou autour de la marijuana. Avoir accès à l'une de ces pièces est bien compliqué, puisque sur son site ils n'indiquent pas tous le zéros que nous aurions à payer par elles et nous invitent à demander un rendez-vous pour le savoir. Inaccessible pour des budgets modestes!
 
Source: kannabia.com
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Par mrpolo,
Christian Cannabis… Un nouveau site web chrétien pour ouvrir la conversation, échanger et participer aux débats qui entourent la légalisation du cannabis…
 
En découvrant que le fondateur du célèbre site web XXX Church – qui lutte contre les addictions sexuelles – développe un site nommé Cannabis Chrétien, la première idée est de penser qu’après la pornographie, Craig Cross s’attaque à la lutte contre l’addiction au cannabis. Mais il n’en est rien. Sa démarche s’apparenterait plutôt à une conversation ouverte. L’objectif est que les chrétiens prennent part aux débats sur les questions de légalisation pour usages médical et/ou récréatif du cannabis.
 
Et il semble que Craig ait fait son choix et soit même plutôt favorable à la légalisation déjà en vigueur là où il réside en Californie. Le logo de son site n’est autre qu’une colombe portant une feuille de cannabis plutôt qu’un rameau d’olivier…
Voici ce que l’on peut lire en page d’accueil du site :
 
 
Le fondateur du site vante donc les effets du cannabis, omettant dangereusement d’offrir une balance au lecteur en citant ses effets négatifs.
L’argument principal de Craig est une expérience spirituelle qu’il aurait vécue sous l’emprise de cannabis. Il évoque un « bénéfice spirituel grâce au bien-être mental et physique expérimenté » sous l’influence du cannabis.
 
 
Concluant ainsi,
 
 
Rien d’étonnant à cela, puisque le cannabis est un « amplificateur d’émotions »… Son expérience qu’il interprète de manière spirituelle est possiblement purement physiologique et liée à l’usage d’un psychotrope.
Si l’utilisation thérapeutique du cannabis est de plus en plus envisagée dans de nombreux pays, sur la base pharmacologique classique de la recherche du fameux bénéfice/risque – d’ailleurs commune à tous médicaments – « l’usage spirituel » serait une réelle nouveauté pour les chrétiens.
 
Les rastafariens l’expérimentent quant à eux depuis bien longtemps, invoquant le passage de Genèse 3:18, « tu mangeras de l’herbe des champs » ! D’autres croyances l’utilisent pour des rituels funéraires et estiment pouvoir parler aux esprits par ce biais… Ils parlent d’ailleurs de « déconnexion du monde matériel », l’un des effets décrits par Craig.
Nul doute que ce nouveau site web fera couler beaucoup d’encre, d’autant que son auteur a par ailleurs réalisé un magnifique travail de prévention autour de la pornographie.
 
Le débat semble donc lancé chez les chrétiens, mais n’oublions pas la liste des effets psychiatriques négatifs parfois irréversibles, et ne confondons pas expérience spirituelle et usage psychotropique d’un principe actif bien connu…
H.L.
 
Source: infochretienne.com
 
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Par Stupéfix,
Humant, depuis des semaines, des odeurs de cannabis de plus en plus persistantes, les riverains du bas de la rue Saint-Marc, à Brest, commençaient à se regarder en chien de faïence. Le « coupable » a finalement été débusqué. Il s’appelle Crucianella stylosa…
 
Photo:La Crucianella Stylosa, émet une forte odeur similaire à celle du cannabis, surtout quand il fait chaud et humide
| THIERRY CREUX OUEST-FRANCE
 
Depuis près d’un an, riverains et commerçants du bas de la rue Saint-Marc, en plein centre-ville de Brest, se plaignent de fortes odeurs de « beuh ». Des nuisances olfactives de plus en plus prégnantes laissant penser à la présence de cultures de cannabis dans le secteur. De quoi amuser passants et automobilistes. Beaucoup moins certains résidents pointés du doigt. Des jeunes du quartier « au look peu conventionnel », reconnaît l’un d’eux, ont été alpagués à plusieurs reprises par des habitués du coin. Parfois avec humour et petit regard complice. Plus souvent avec agacement, les sommant d’arrêter leur jardinage sauvage. « Une double peine », explique ce trentenaire. « On n’a rien à se reprocher et on est suspecté alors que, nous aussi, on les subit ses flagrances. Pour peu qu’il ait plu et qu’il y ait ensuite un rayon de soleil, on ne peut plus ouvrir nos fenêtres, c’est une horreur »…
    Contrôles de police
  Et si ces odeurs intrigantes ont généré des fantasmes, elles ont aussi attiré des convoitises. « Des portes d’immeuble ont été fracturées. Plusieurs fois, la nuit, on a entendu des va-et-vient dans la cage d’escalier. Sans être parano, on ne peut s’empêcher de faire le rapprochement »… Ayant reçu plusieurs appels, la brigade des stupéfiants a pris l’affaire très au sérieux et mené une minutieuse enquête. « Nous avons reçu la visite de policiers avec un chien. Et nos voisins aussi » confirme ce riverain. Mais les investigations n’ont rien donné. Et pour cause. Si les odeurs sont bien réelles, elles ne proviennent pas de plants de cannabis, mais de Crucianella stylosa ou Phuopsis stylosa…
  Une plante du Moyen Orient en cause
  Plantes vivaces ornementales de la famille des Rubiacées, elles ont l’avantage d’être tapissantes, résistantes et à croissance rapide. Idéal donc pour végétaliser en milieu urbain. D’où le choix des jardiniers de la ville d’en semer aux pieds des arbres, entre les places de parkings, face à l’hôtel Kyriad, le sol y étant sec et rustique. Ce qu’ils ignoraient en revanche, c’est que ces plantes originaires du Moyen Orient, formant de nombreuses petites fleurs roses, sont aussi connues pour leurs caractéristiques odorantes exaltant un parfum de marijuana. Une forte odeur, mais pas de THC. Appelée, la collectivité affirme « ne pas vouloir occasionner de difficultés » et promet « d’étudier leur remplacement avec d’autres types de plantes, si des riverains se manifestent à la mairie ».
  Source: letelegramme.fr   On en parle sur le forum
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Par mrpolo,
Le film « Grass is Greener » vient de sortir sur Netflix. Un documentaire qui retrace l’histoire du cannabis à travers celle des afro-américains. Des premiers défenseurs de la plante miracle aux États-Unis que furent les artistes de Jazz à aujourd’hui. Une œuvre passionnante dont un passage a attiré notre attention : celui centré sur les rappeurs, qui convergeaient tous vers un même point dans les années 1990 pour se fournir en bonne weed. Chez un certain Branson.
 
Who is Branson ?
Il y a des légendes de rue. Qui font parler d’elles sans que l’on sache vraiment qui elles sont. Branson était de ceux-là. Le New York Times l’a tout simplement décrit comme le « plus gros trafiquant de weed de l’histoire de New York. » Kareem « Biggs » Burke, cofondateur du label Roc-A-Fella se souvient : « Il était le Keyser Soze de l’époque : une légende dont on vous parle mais que vous ne voyez pas ».
Même B-Real, certes un grand fumeur de joint mais qui vient de Los Angeles, a entendu parler du trafiquant qui avait ses quartiers à Harlem : « On trouve de la mauvaise weed partout mais quand tu veux en trouver de la bonne, c’est vers ce genre de gars qu’il faut se tourner. Son nom circulait partout. » Tous les rappeurs du cru allaient se fournir chez lui dans les années 1990. Preuve de la qualité de son produit.
 
Notorious B.I.G et Redman comme clients
Résultats, ses clients le remerciait aussi en chanson. Plus de 70 morceaux évoquent Branson et sa weed. Petit florilèges de quelques dédicaces bien senties au roi de Harlem. La plus connue est sans doute celle de Notorious B.I.G sur son classique « Rap Phenomenon », produit par DJ Premier. Il évoque sa nouvelle richesse à travers l’acquisition d’une grosse quantité de cannabis : « Me and my nigga Lance, took Kim and Cease advance / Bought ten bricks, four pounds of weed plants from Branson » (« Moi et mon gars Lance on a avancé Kim et Cease / acheté 10 briques, 1,8 kilos de weed à Branson »). La petite histoire, c’est que Biggie a appelé Branson pendant l’enregistrement et l’a fait écouté à celui-ci !
 

Redman a également une riche histoire avec le dealeur. Déjà parce qu’il en parle dans plusieurs morceaux. « Cause I’m crazy off that chronic from my man Branson » dans Da Journee ; « Get my weed from Branson cause his sack’s bigger » dans Whateva Man ; et qu’il a même écrit un titre en son hommage en 2007 intitulé « Branson Branson ». Ensuite parce que sa maman a retrouvé récemment dans la maison familiale des sachets de weed vieux de 20 ans. Et devinez d’où ils provenaient ? De chez notre chère Branson ! Et vu les personnes qu’il a taguées sur le post ci-dessous, cela ne fait pas de doute qu’ils ont passé de belles soirées ensemble. « Elle vient d’un des ‘riders’ de la marijuana sur la East Coast, Branson Bébé ! » clame-t-il fièrement.
Nombreux sont les autres Mc’s new-yorkais à avoir profité de la beuh de ce monsieur. Noreaga dans « It’s not a game » (« Move mystical enchanting branson weed at me »). Raekwon dans « Take It Back » du Wu-Tang (« Lay on ya hands, let the Branson break bread »). LL Cool J dans Shut’ Em Down (« Smoke a little Branson on the side of the mansion »). La The Darkman dans Wu-Blood Kin (« On Saint Nick call that Branson weed spot kid »). Dave East dans « I don’t understand it » (« I got my weed from Audebum, my cousin got his from Branson »).
Une véritable légende de la rue qui semble avoir pris du recul avec cette activité et ce serait orienté vers la vente de vins et de spiritueux, toujours avec une clientèle luxueuse. Il restera parmi les hommes de l’ombre les plus cités du hip-hop américain.
 
Source: hiphopcorner.fr
 
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Par mrpolo,
La loi s'assouplit et les idées fusent. Guillaume Pistono tient l'auberge de l'Abbaye à Cruis entre Saint-Etienne-les-Orgues et Mallefougasse et dès cette semaine il va proposer son nouveau menu où il intègre avec un certain savoir-faire du cannabis.
 
 
Alors pas dans sa forme pure bien sûr, il cuisine du cannabidiol ou CBD vendu en toute légalité et dont les vertus sur la santé seraient reconnues. Un autre restaurant a déjà sauté le pas en France mais dans la région Sud PACA il est le premier à oser. Reportage Laurie Charrié.
 

 
Source: dici.fr
Retrouvez sur notre site nos guides culinaires pour
- activer votre weed en la décarboxylant
- des recettes à la beuh
- réaliser un beurre de Marrakech
- les recettes au THC/CBD
 

 
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Par mrpolo,
Voici le premier concours de cuisine où deux chefs préparent de délicieux plats à base de marijuana pour un jury de célébrités particulièrement détendu.
La série de compétition culinaire Cooking on High (Cuisiniers en herbe) vient de débarquer sur Netflix au grand plaisir des fumeurs de cannabis.
 
 
 
 
 
En plus de créer des séries appréciées comme Stranger Things et The Crown, Netflix produit également une série de films originaux et d’émissions de télévision qui attirent des auditoires très spécialisés. Que vous ayez envie d’une nouvelle aventure Pee-wee Herman, d’un feuilleton mettant en vedette la famille des Médicis, d’un roman de vacances sur une journaliste en herbe qui tombe amoureuse d’un prince courageux, ou d’un redémarrage d’un séries des années 90, Netflix a toujours quelque-chose pour vous.
Et maintenant, dans une nouvelle tentative d’offrir quelque chose pour tout le monde, le titan du divertissement présente une nouvelle série de cuisine destinée aux personnes qui se demande comment ajouter de la marijuana dans leur cuisine à la maison.

Cuisiniers en herbe
Dans le tout premier concours de cuisine au cannabis, deux chefs préparent de succulents plats contenant de la marijuana pour un jury de célébrités très détendues. L’animateur Ngaio Bealum, expert en cannabis de l’émission, introduit une nouvelle variété de cannabis dans chacun des plats préparés (bien que le processus de transformation des fleurs en huile de cannabis ou en beurre ne soit jamais inclus, vraisemblablement pour économiser du temps). Une fois que les juges ont consommé les plats, ils reçoivent un «THC Timeout» pour permettre aux aliments de faire leur effet, pendant lesquels ils ont la possibilité de parler directement à la caméra quand ils sont foncedé….
 
Cuisiniers en herbe sur Netflix https://www.netflix.com/title/80988793
 
Source: journaldemontreal.com
 
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Par mrpolo,
Un jeu donne le degré de défonce des fumeur de cannabis... pour faire avancer la science.
Photo©Pineapple express   Quelques lattes tirées sur un joint suffisent à altérer la perception, le langage, la mémoire ou encore la réactivité des consommateurs. Grâce à son smartphone, cet ensemble de symptômes, communément appelé "défonce", sera bientôt quantifiable. C’est très sérieux, des chercheurs de l’université de Chicago sont en train de développer Am I stoned?, une application d’apparence ludique mais qui a en fait pour but de relever les effets "sur le terrain" de la consommation de cannabis des l’utilisateurs, explique Le Bonbon. À travers des jeux de rapidité, de mémoire et de rédaction, le joueur pourra jauger son "high-level". En fonction des réponses données, l’utilisateur se verra proposer des conseils adaptés comme "ne pas prendre le volant" par exemple.
 
 
 

 
Source: gqmagazine.fr
 
 
 
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Par mrpolo,
La chaîne Viceland a lancé mardi « High & fines herbes », une émission de consommation de cannabis animée par deux rappeurs. Apparemment, c’est légal.
 
Photo: Dans « High et fines herbes », les rappeurs Caballero et JeanJass (au centre)
cuisinent la marijuana à toutes les sauces. Lander Lagaraña & Marc Rosés.
 
« ATTENTION. Ne mets pas de marijuana dans tes poumons, tu risques de te faire tousser très fort. » Voilà le message d’avertissement qu’ont pu découvrir mardi les téléspectateurs de « High & fines herbes », une dégustation ludique consacrée au cannabis !
Lancée à l’origine sur YouTube, il y a un an, cette émission en est aujourd’hui à sa 2e saison, dont les deux premiers volets, de 13 minutes chacun, ont été diffusés pour la première fois à la télé, mardi soir à 22h15. C’est la jeune chaîne Viceland, accessible à 6 millions de Français via la Freebox, la Livebox ou CanalSat, qui en a eu l’idée. Rien à voir avec « Top chef » ou « Les carnets de Julie ». Ici, si on goûte et on cuisine, le seul produit travaillé est de « l’herbe », pas du fromage ou du caviar.
 
 
 
« On commence sur les chapeaux de roues avec ce magnifique produit, des plus luisants, des plus magnifiques, des plus savoureux », annonce Caballero, un rappeur belge, face à un échantillon de marijuana.
 
« Ça s’appelle la Respect », précise son binôme JeanJass, un joint à la main, contenant autant de THC que de CBD (NDLR : les substances psychotropes contenues dans le produit). Pour le premier épisode de la saison 2, les deux artistes en vogue de la scène belge ont également invité les artistes Lomepal et Senamo à tester ce produit psychotrope, dont la consommation est passible de prison en France.
« Tire une grosse grosse taffe, tire très fort », insistent-ils avant de lancer un jeu où le perdant doit fumer de la « beuh pure, sans tabac ».
Viceland a contourné le CSA
Sur la TNT, une émission comme celle-là n’aurait jamais pu être diffusée. Mais Viceland, qui émet depuis le Royaume-Uni, n’a pas de compte à rendre au CSA français. « La chaîne est soumise à la réglementation de l’Ofcom, l’organe de régulation de l’audiovisuel britannique. Mais si nous sommes saisis, nous pouvons sensibiliser nos confrères anglais », explique le Conseil des sages.
« En Grande-Bretagne, la législation est plus contraignante en journée, mais beaucoup moins en soirée, précise Dolorès Emile, directrice de la marque Viceland. A partir de 22 heures, on peut diffuser des programmes de glamourisation de l’alcool ou des drogues, en y insérant des mises en garde. C’est une façon de responsabiliser les téléspectateurs. »
« Pour éviter le moindre souci, nous avons délocalisé le tournage de High et fines herbes en Espagne, au Strain Hunters Club de Barcelone, une association de consommateurs de cannabis », ajoute Reza Pounewatchy, directeur des contenus vidéo de Viceland.
 
« Les recettes pompettes » bientôt délocalisées
Une parade que l’animateur Monsieur Poulpe compte lui aussi appliquer en déménageant en Angleterre ses « Recettes pompettes », une émission où les personnalités sont invitées à cuisiner tout en buvant de l’alcool, et qui avait été mise en garde par le CSA en décembre 2016.
Pour Caballero et JeanJass, les deux rappeurs de l’émission payés à fumer, « High & fines herbes » est un simple divertissement pour montrer une autre facette de leur personnalité, et mettre en avant leur musique.
« On s’est inspiré des shows à l’anglo-saxonne. Mais on ne fait ni la pub, ni l’apologie de l’herbe, assure le duo, qui sortira un troisième album de rap en juin. Au contraire, ça peut amener les jeunes à en discuter avec leurs parents et les préserver de choses plus graves. Nous, on est pour la transparence. »
 
Source: leparisien.fr
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Par mrpolo,
Clermont-Ferrand : du cannabis retrouvé dans des sépultures de Gaulois
 
 
L'exposition du musée Bargoin, à Clermont-Ferrand, révèle les corps inhumés des Gaulois avec, à leurs pieds, des offrandes portant des traces de cannabis. / © L. Pastural / France 3 Auvergne
 
L'exposition "Sorties de fouilles" au musée Bargoin, à Clermont-Ferrand, présente les corps inhumés des Gaulois et des Romains du deuxième siècle avant Jésus-Christ. Surprenant, des traces de cannabis ont été retrouvées dans les offrandes, près des corps. 
 
Les corps retrouvés ont été inhumés à la fin du 2e siècle avant notre ère. Parmi les offrandes, posées à côté des corps, des traces de vin ont été décelées, mais pas seulement : "C'est très rare, mais nous avons trouvé des psychotropes. Des traces de cannabis ont été analysées", précise Marie Bèche-Wittmann, directrice adjointe du musée Bargoin.
 
Source : FranceInfo
https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/puy-de-dome/clermont-ferrand/clermont-ferrand-du-cannabis-retrouve-sepultures-gaulois-1454367.html
 
La potion magique était au cannabis
Sonia Reyne| 15 avril 2018 Capture d'écran. Les restes de cannabis trouvés dans une amphore à vin datent du IIe siècle avant JC. 
DR/ Clermont Métropole Des archéologues ont trouvé des résidus de chanvre indien dans une sépulture arverne du IIe siècle avant notre ère. De la résine de conifère, du gras d’animal ruminant, du cannabis, et une grande quantité de vin rouge ! C’est ce qu’a identifié Nicolas Garnier, scientifique en archéologie, dans l’un des deux vases découverts par Hervé Delhoofs, archéologue responsable des fouilles, à quelques kilomètres de la capitale des Arvernes. « Nous avons trouvé ces deux récipients dans la sépulture d’un ou d’une Gauloise d’une trentaine d’années, du IIe siècle avant J.-C. », explique l’archéologue. « C’est la première fois en Europe que l’on identifie du Cannabis sativa dans une tombe.
 
Ces fragments végétaux ont pu être ajoutés au vin, tout comme la résine, pour l’aromatiser et lui donner un effet psychotrope », confirme Nicolas Garnier. L’exposition « Sorties de fouilles » au musée Bargoin, à Clermont-Ferrand, présente jusqu’au 20 mai cette découverte et bien d’autres, réalisées pendant des fouilles à Cébazat (Puy-de-Dôme). Le visiteur découvre le quotidien d’un village rural proche d’Augustonemetum, l’actuel Clermont-Ferrand. L’exposition permet de comprendre comment les archéologues mènent l’enquête pour reconstituer l’histoire. A quelques kilomètres de Gergovie, se pourrait-il qu’ils aient découvert la recette de la potion magique de Vercingétorix ?

 
Source: leparisien.fr
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Par mrpolo,
De nombreux mods sont disponibles sur les Sims 4 mais « Basemental Drugs » est celui qui fait le plus parler de lui. Grâce au mod de Filip, les joueurs peuvent faire pousser du cannabis et organiser des soirées enfumées.
 
Sur les Sims 4, nombreux sont les joueurs qui commencent tranquillement leur vie avant de semer le chaos notamment grâce aux mods qui permettent aux gamers de dépasser les limites du jeu pour plus de fun. Le développeur Filip n’a eu besoin que de quelques mois pour mettre en place un mod permettant aux utilisateurs de se défoncer en fumant notamment du cannabis.
 
Basemental Drugs : devenez un junkie dans les Sims 4 !
Alors que Filip et sa femme cherchaient un logiciel d’architecture pour concevoir leur cuisine, ils se sont finalement tournés vers les Sims 4. Très vite, le développeur de ce mod a remarqué qu’il était possible de faire du jeu de Maxis un théâtre de débauche hallucinatoire. En s’inspirant des tutos trouvés aux quatre coins du web, Filip a conçu Basemental Drugs, un mod permettant au joueur de consommer du cannabis, de la cocaïne, des amphétamines et de la MDMA dans les Sims 4. En plus d’être un consommateur de drogues, votre personnage peut dealer dans la rue. Le mod ne s’arrête pas là puisque votre Sim pourra finir complètement défoncé jusqu’à l’overdose.
 

 
Le mod de Filip pour les Sims 4 est disponible gratuitement sur son site. C’est un véritable succès puisque le développeur gagne au moins 6 000 dollars par mois grâce aux dons sur Patreon. Nul doute qu’il va continuer d’être amélioré dans les jours qui suivent puisque de nombreux utilisateurs seraient déjà en train de le traduire en plusieurs langues.
 
Source: erenumerique.fr
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