Un adolescent allemand, vendeur de drogues douces à ses heures perdues, a offert aux policiers leur meilleur flagrant délit en proposant de vendre du haschisch au beau milieu d'une soirée d'anniversaire d'un agent de police.
Source: Reuters
"Il a dit aux invités de la soirée qu'il avait du cannabis s'ils voulaient fumer quelque chose de plus fort", a indiqué mardi un porte-parole de la police d'Eschwege, dans le nord du pays.
Des collègues du policier dont on fêtait l'anniversaire vendredi dans une salle de sports ont emmené le jeune homme de 17 ans à l'écart des festivités pour lui signifier son arrestation.
"Le pauvre garçon a choisi les mauvais clients ce soir-là", a conclu le porte-parole
Vendredi, peu avant 20H, les policiers municipaux de la banlieu messine surprennent un cyclomotoriste qui, pour éviter un feu rouge, emprunte un trottoire.
A bord de leurs véhicules serigraphié, les hommes en uniforme le prennent en chasse.
Ils actionnent leur signaux sonores et lumineux mais mais l'individu refuse d'obtemperer et accélère.
Source: Républicain lorrain 07/08/2004Dans l'action, il perd son sac à dos mais fini par semer les policier dans les petites rues.
Les hommes bleus reviennent alors sur leur pas pour ramasser le sac et là, grosse surprise, celui ci déborde de pains de cannabis soigneusement conditionnés.
Une bretelle à cédé sous le poids de la marchandise un peu particuliére, provoquant sans doute la chute du sac.
La drogue à été déposé au commissariat de police où elle à été placé en lieu sûr.
Le convoyeur qui venait sans doute pour approvisionner le quartier, court toujours.
Il à du mauvais sang à se faire car les policiers ne sont sans doute pas les seuls à le rechercher activement!
La police d'Adélaide, en Australie, a abandonné l'idée de porter des accusations de possession de cannabis contre un homme qui les avait appelés parce qu'il s'était fait voler ses plants.
La police a admis que d'homme n'a pas été poursuivi simplement parce qu'il n'y avait plus de preuve, vu que les plants avaient été volés.
La police avait été appelée sur les lieux après qu'un voleur ait brisé une vitre de la résidence et se soit sauvé avec deux plants de marijuana. La police croit d'ailleurs que les vitres ont été fracassées par la seule présence des deux plants.
ATHENES - 13/07/2004 06h29
Le passage sur l'île de Crète de la flamme olympique pour les Jeux d'Athènes a permis à la police de localiser une plantation locale de cannabis, qui a été détruite, selon le ministère de l'ordre public.
La plantation, comptant quelque 607 pieds, a été repérée dimanche au fond d'un ravin au nord-est de l'île par un hélicoptère de la police qui assurait la surveillance aérienne du relais de la flamme.
Source : AFPLa flamme était arrivée à Héraklion, la capitale de l'île, vendredi après un périple de 78 jours qui l'a amenée dans 34 villes de 26 pays des cinq continents. Elle a quitté la Crète lundi soir pour poursuivre son tour de Grèce sur l'île de Rhodes.
La Crète est avec le Péloponnèse, l'une des principales régions de production de cannabis en Grèce, et des plantations y sont régulièrement découvertes par la police.
Viande suisse de porc, élevé en plein air, calmé à la marijuana de nos contrées.» Voilà le genre de description qui pourrait bien fleurir, un jour, sur les étiquettes de nos goûteux saucissons et boutefas.
Source:Hempzone.ch
La semaine dernière, les pandores vaudois ont fait raser une culture de chanvre entre Epautheyres et Essertines, que le propriétaire destinait à ses porcs! «Le cannabis servait à les calmer avant l'abattoir», explique-t-il, penaud, à notre confrère de La Presse Nord vaudois. Masqué derrière un épais rideau de mäs, le chanvre a été repéré par hélicoptère. Le bienveillant paysan avait observé que les plantes (toujours en analyse au Laboratoire cantonal pour déterminer leur teneur en THC) calmaient les animaux. «Vous comprenez... c'était plus facile pour les trier avant d'aller à l'abattoir», souffle-t-il, jurant ses grands dieux qu'il n'a jamais utilisé son herbe pour autre chose. La sanction, pour avoir fait planer des porcs, est vache: le champ de 5 ares a été passé au hachoir.
Pauvres bêtes. Privées d'euphorisants, elles trépasseront à jeun. Le boucher ne lira plus, au fond des yeux humides du verrat de campagne, les reflets vagabonds des pupilles dilatées du cochon d'Inde, son cousin. Le groin flamboyant, le saindoux compact, le cochon vaudois mourra donc la peur au ventre et les rêves éteints. Le fumage de ses bons morceaux à la borne, fût-il d'aventure au haschisch grand cru libanais, ne lui apportera guère de réconfort. Cela ne remplacera jamais un petit «trip» avant le grand saut. Nous devrions les comprendre. Après tout, au fond de chaque homme, n'y a-t-il pas un cochon qui sommeille? Hempzone.ch
De nos jours, le beurre est accusé d'être bourré de cholestérol, de faire engraisser, d'être mauvais pour le cÅ“ur et de mille autres maux. Pourtant, cette substance née en 1880 dans un écrémeuse centrifuge se trouve de plus en plus dans nos repas quotidiens. Mais voilà qu'après le beurre de cacahuète et le beurre doux, le beurre au cannabis s'installe en Lettonie.
Source Radioactif.com
Le THC (substance hallucinogène contenant la résine du cannabis) est absent dans la graine utilisée pour la création du beurre. Pourtant, les Lettons vendent leur produit sur le marché de façon jamais vue. Selon la majorité des Lettons, ce beurre est d'un goût digne des dieux. De plus, comme le mentionne Janis Grinbergs, qui cultive lui-même la plante, «le chanvre letton a un goût spécial. Certains mangent ce beurre de cannabis avec des patates ou des biscuits salés, mais son goût unique s'apprécie le mieux quand on le mange pur.»
Malgré la vente libre et non-protégée de ce beurre, la culture de cannabis est strictement contrôlée dans ce pays. Comme les cultivateurs doivent obtenir un permis afin d'avoir le droit de cultiver cette plante sur leurs terres, la production de ce beurre aux propriétés anti-oxydantes risque probablement de diminuer. Or, comme le précise M. Strazdins à l'AFP, en Lettonie il est de toute manière impossible de cultiver le cannabis hallucinogène. Avec des saisons plus ou moins clémentes, cette plantation n'aura guère d'avenir. À moins de recourir illégalement à un plant hybride néerlandais, il serait impossible aux fermiers producteurs du beurre de cacher parmi leur chanvre indien des plants produisant plus que 0,5% de THC.
Espérons seulement que ce beurre et ainsi sa culture se répandra et éveillera la curiosité de certains.
Jésus était vraisemblablement un consommateur de cannabis et l'un des premiers hommes à vanter les vertus médicinales de cette drogue. Il semblerait même que lui et ses disciples s'en soient servis pour opérer leurs guérisons miraculeuses.
Source : courrier internationalSelon un article de Chris Bennett paru dans le magazine spécialisé High Times sous le titre "Was Jesus a stoner ?" (Est-ce que Jésus se camait ?), l'huile d'onction qu'ils utilisaient contenait une substance appelée kaneh-bosem, qui a été identifiée comme un extrait de cannabis. L'encens employé par le Christ lors des cérémonies renfermait lui aussi un extrait de cannabis, poursuit Bennett en citant des universitaires à l'appui de sa thèse.
"Le cannabis a sans aucun doute joué un rôle dans la religion judäque", déclare Carl Ruck, professeur de mythologie classique à l'université de Boston. A propos de sa présence dans les huiles d'onction, il ajoute : "Compte tenu des possibilités d'accès au cannabis et de sa longue tradition dans le judäsme de l'époque [...], c'est une substance qui ne pouvait qu'être présente dans les mélanges [chrétiens]."
Bennett écrit que les individus oints des huiles utilisées par Jésus "baignaient littéralement dans cette puissante mixture. [...] Bien que la plupart des gens préfèrent aujourd'hui le fumer ou l'ingérer, le cannabis peut être aussi absorbé par la peau quand ses substances actives sont introduites dans un composant huileux."
Citant le Nouveau Testament, Bennett écrit que Jésus enduisait d'huile ses disciples et les invitait à en faire autant avec les autres fidèles, ce qui pourrait expliquer les guérisons des maladies des yeux et de la peau mentionnées dans les Evangiles. "Si le cannabis était l'une des principales substances de l'ancienne huile d'onction [...] et s'il a permis à Jésus de devenir le Christ et à ses disciples de devenir les chrétiens, alors on pourrait considérer la persécution des consommateurs de cannabis comme contraire au christianisme", conclut Bennett.
Le chalutier concarnois le Galibier a fait une pêche insolite lors de son périple habituel en mer d'Irlande : 22 kg de résine de cannabis. Réceptionné par la gendarmerie maritime et les douanes, le bateau a fait escale au port de Douarnenez afin de livrer la drogue aux autorités.
source : maville« Ce n'est pas la première fois que l'on ramène de la drogue dans nos filets. C'est vrai que pour nous qui pêchons de la lotte, du merlan ou encore de la morue, cette prise est assez surprenante », explique l'un des 7 membres de l'équipage du chalutier concarnois le Galibier. Parti pour 10 jours de mer, le bateau de pêche a ramené 22,5 kg de résine de cannabis dans son chalut, en mer d'Irlande, au large du Pays de Galles.
Alertées, la brigade de recherche de la gendarmerie maritime de Brest, la brigade de surveillance du littoral ainsi que le service des douanes ont réceptionné ce convoi exceptionnel au port de Douarnenez dimanche matin, vers 7 h. Selon les gendarmes, cette région est une zone reconnue de trafic de stupéfiants. La drogue était disposée en 17 plaquette de résine, mais au vue de son état, elle aurait séjournée depuis plusieurs mois dans la mer. Les malfaiteurs qui transportaient cette drogue aurait jeté par-dessus bord ce colis afin d'échapper aux contrôle fréquents dans cette zone maritime. Par ailleurs, la gendarmerie française a contacté les autorités britanniques compétentes afin de les informer sur cette prise effectuée en mer d'Irlande.
Une étude très sérieuse menée au Canada a établi un lien entre une consommation modérée de cannabis et l'amélioration des résultats obtenus aux tests de QI.
MSN magazineAu moment même où une étude de l'Inserm nous apprend que la France est le pays où la consommation de cannabis est la plus importante chez les jeunes, une autre enquête, canadienne celle-là, risque de produire un effet au moins aussi sensationnel. Un usage contrôlé et modéré du cannabis aurait pour vertu d'améliorer les capacités cognitives de l'être humain. Ce pavé dans la mare du politiquement correct a été lancé par des chercheurs en biologie de l'université de Carleton à Ottawa.
Le Canadian Medical Association Journal, que l'on ne peut pas suspecter d'être un fanzine à la gloire du pétard, n'a pas hésité à publier l'étude menée par les médecins. Ces derniers se sont penchés sur un groupe d'un millier d'individus âgés entre 18 et 35 ans, qu'ils ont réparti selon quatre catégories : les gros consommateurs (plus de quatre grammes par semaine), ceux qui consomment de façon modérée (moins de quatre grammes par semaine), ceux qui ont arrêté depuis au moins trois mois, et ceux qui n'ont jamais touché un joint. Les volontaires ont ensuite passé plusieurs tests de QI sur une période d'un an.
Pas d'effets négatifs à long terme sur le cerveau
Si l'étude a permis de constater une baisse significative des résultats obtenus par les gros consommateurs, soit en moyenne 4,1 points sur douze mois, elle a surtout montré que les consommateurs modérés amélioraient leur score au test de QI de 5,8 points sur la même période ! Ceux qui ont arrêté de fumer et ceux qui n'ont jamais commencé ont vu leurs résultats augmenter respectivement de 3,5 points et de 2,6 points. >p>L'étude de l'université de Carleton tendrait à prouver qu'une utilisation raisonnable du haschich ou de l'herbe ne nuit pas à l'organisme. Cela ne veut pas dire que fumer des joints rend intelligent ! En revanche, une absorption légère de THC, le principe actif du cannabis, ne détruirait pas les neurones comme certains le laissent entendre. Dans leur langage de médecin, les chercheurs canadiens ont conclu que "la marijuana n'exerce pas d'effets négatifs à long terme sur le cerveau et certaines de ses facultés comme la mémoire ou la concentration."
Parce qu'il demeure un produit interdit, le cannabis suscite souvent des débats passionnels entre "pro" et "anti". La confrontation des arguments des uns et des autres rend souvent toute discussion stérile. Les travaux menés à Ottawa ont comme principal intérêt de démontrer que si l'on parle du cannabis sur un plan strictement scientifique et médical, on obtient des résultats différents de ce que la morale, la politique et plus largement la vie en société tendraient à nous faire croire.
Le loto, le plus populaire des jeux de hasards, peut entraîner une dépendance semblable à celle des drogues, selon une étude d'une université de Berlin, qui vient d'ouvrir pour les joueurs dépendants une ligne téléphonique gratuite.
Source : CIRC presse"Les joueurs de loto pathologiques remplissent tous les critères internationaux de la dépendance", a affirmé le docteur Sabine Gruesser-Sinopoli de l'Université de médecine de la Charité, qui a mené son étude sur 171 joueurs de loto allemands. Sur cet échantillon, près d'un joueur sur sept (15,2%) présentait les signes d'une dépendance.
Les joueurs pathologiques de l'étude validaient en moyenne cinq grilles par tirage, avec un maximum observé de 32 grilles. Certains parieurs allaient jusqu'à jouer tous les jours de la semaine, alors qu'il n'y a que deux tirages par semaine. Une mise maximum de 100 euros a été observée.
Plus de 85% des joueurs pathologiques étudiés s'endettaient à cause de leur passion du jeu, avec un endettement moyen de 430 euros, et un maximum de 4.000 euros.
Enfin, d'autres symptômes de la dépendance ont été observés: certains joueurs négligaient leurs activités professionnelles et sociales pour pouvoir jouer, perdaient leur contrôle, voire étaient pris de panique ou même d'hallucinations.
PPDA : « De Villepin a fait hier une démonstration brillante sur la dangerosité de fumer du cannabis, on l'écoute :
De Villepin : Les explosifs qui ont servi aux attentats de Madrid ont été acheté grâce à la vente de 30 kilos de cannabis. Derrière chaque joint fumé il y a donc une entreprise mafieuse et du terrorisme.PPD : Brillant, vraiment. Nous lui rappelons que l' Arabie Saoudite premier exportateur de pétrole au monde soutient officieusement le terrorisme. Derrière chaque litre d'essence consommé il y a donc aussi un terroriste (Ben Laden fait coucou derrière un gars en train de faire le plein d'essence), les attentats du 11 septembre ont été organisés grâce à de l'argent sale dissimulé dans des paradis fiscaux sur les comptes opaques de grandes banques donc derrière chaque vieille qui retire 10 euros Ben Laden réapparaît derrière une petite vieille en train de faire un chèque) il y a un terroriste. Quant au cannabis lui même je rappelle qu'il est en vente libre en Hollande alors derrière chaque hollandais il y a un terroriste. Pire encore, sous chaque hollandais il y a un vélo. C'est vraiment n'importe quoi ce qu'il dit Villepin.
Herbivores
PPD : Donc si j'ai bien compris la drogues c'est pas bien. Messieurs est-ce que vous saviez que les jeunes qui fument du cannabis en forme de joints financent le terrorisme ?
Joey Starr : Bah non quoi
Doc Gynéco : Heu les mecs qui fument du hash subventionnent le terrorisme ????
PPD : Ah oui.
DGyn: Oh lalalala
PPD : Quoi ?
Doc Gyn : Salop de Bob Marley avec tout ce qu'il a fumé il a au moins subventionné la guerre du Vietnam
Jstarr : P't être même la seconde guerre mondiale quoi.
PPD : C'est bon, c'est pas drôle
Jstarr : c'est parce que tu fûmes pas quoi
Vu aux guignols de l'info hier soir. c'est plus drôle en video
Si tous les commisariats regorgent d'histoires a peine croyable, celle vécue par les policiers avignonais voici quelques mois est pour le moins...stupéfiante!
Une beau jour, la brigade anti-crim rend visite à une brave damme vivant dans un quartier extérieur d'avignon.
L'octogénaire se plaint de garnement sautant réguliérement sa cloture pour arpenter son jardinet. Craignant une agression physique, les policier se rendent donc chez la dame et découvre rapidement ce qui motive les chenapans.
Au beau milieu des jardins, des plants de cannabis de plus de 2 métres de haut suscitant toutes les convoitises.
Visiblement, la mémé n'est pas du genre à tirer sur le "tarpé", alors les policiers s'inquiétent de savoir comment le cannabis à fini par pousser dans ce jardin.
"C'est mon voisin qui m'a gentiment donné des graines que j'ai planté, je trouvais ces plantes jolies" explique la vieille dame.
Le voisin, un légionnaire à la retraite devenu cannbiculteur pour ses besoins personnels. Un homme génereux au demeurant qui a reconnu avoir fait ce cadeau certainement histoire d'entretenir des bonnes relations de voisinage.
Mais les enquéteurs n'étaient pas au bout de leurs surprises. La vieile dame nourissait en effet ses lapins avec le cannabis du jardin. Il apparît même que ces animaux adoraient cette nouriture!
3484 02/05/2004
U. E. / GB
CURIOSITE
ANSA
Le réalisateur américain Robert Altman a révélé avoir fumé de la marijuana lors d'une soirée en Grande-Bretagne à laquelle participait également le premier ministre britannique Tony Blair. L'épisode aurait eu lieu en 2001, alors que le cannabis n'avait pas encore été changé de catégorie en Grande-Bretagne.
Les cultivateurs de cannabis ne reculent devant rien pour se protéger des intrusions
BRUXELLES La semaine passée, La Dernière Heure vous révélait que, selon les données de la police, les plantations de cannabis étaient très en vogue, et ce, pour des cultures allant de l'individuel (quelques plants) à l'industriel (plusieurs milliers de plants). Si détenir plus d'un plant chez soi n'est pas autorisé par la loi, faire de la culture intensive relève carrément de l'activité criminelle.
Dans Pol, sa revue trimestrielle parue en cette fin d'année, la police attire l'attention de ses hommes sur le fait que les planteurs se livrent une concurrence féroce. Une concurrence qui peut déboucher sur de véritables luttes. Pour éviter les intrusions, voire les destructions de plantations, les cultivateurs à grande échelle n'hésitent désormais plus à protéger leur exploitation avec de gros moyens. Un danger aussi pour les policiers qui veulent faire une descente dans ces lieux. Morceaux choisis.
La plupart des pièges installés sont invisibles à l'oeil nu. Le premier est vieux comme le monde mais fonctionne toujours aussi bien. Il suffit d'enlever une ou deux dalles devant ou derrière la porte. L'intrus, en mettant les pieds sur le paillasson, tombe alors dans un trou.Plus compliqué mais aussi plus dangereux, certains traficotent leur installation électrique. Soit afin de déclencher un incendie soit, plus pervers, afin de piéger la porte. Avec simplement un peu de fil de fer, ils relient la clenche et le sol sous le paillasson sur du courant de 380 volts. Une décharge mortelle. Si un seul cas de ce genre a été découvert en Belgique, aux Pays-Bas ce genre de découvertes est très régulier. Si cette méthode est clairement faite pour tuer, elle n'est pas la seule.
En effet, un cultivateur a perdu la vie en oubliant qu'il avait activé un piège derrière sa porte. Un piège qui comme dans les films était composé d'une carabine dont la détente était actionnée par l'ouverture de la porte.
D'autres, plus bricoleurs encore, ont imaginé un système permettant carrément de faire exploser la porte à la moindre tentative d'intrusion. On ne décrira pas le système ici pour ne pas donner de mauvaises idées, mais c'est de l'explosif on ne peut plus artisanal que Mac Gyver n'aurait sans doute pas dénigré.
Enfin la méthode de garde la plus originale a été utilisée par un cultivateur hollandais où la police, descendue dans sa plantation, a découvert qu'il y laissait en permanence son... boa constrictor.
LA HAYE, 3 nov (AFP) - Une maîtresse d'école a surpris la semaine dernière une de ses élèves âgées de cinq ans en train de distribuer de la cocäne, de l'héroäne et de l'ecstasy à ses camarades de classe, dans une école primaire néerlandaise, a-t-on appris lundi auprès du parquet d'Amsterdam.
La petite fille croyait distribuer des bonbons qu'elle avait reçu de son frère, a-t-elle expliqué. Les bonbons étaient en fait des pilules d'ecstasy et des morceaux de cocäne et d'héroäne empaquetés dans du papier d'aluminium.
Un des camarades de la classe de la fillette avait accepté de prendre un des "bonbons" mais ne l'avait pas encore mangé quand l'affaire a été découverte, a précisé à l'AFP un porte-parole du parquet, Robert Meulenbroek.
La police néerlandaise de la ville d'Hilversum (centre), où se trouve l'école en question, a immédiatement arrêté la mère de la petite fille ainsi que ses trois frères âgés de 16 à 21 ans. Ces derniers ont été maintenus en garde à vue et accusés de possession de drogues dures. La mère de l'enfant a été libérée.
"Nous enquêtons toujours pour déterminer quel a pu être son rôle dans cette affaire", a précisé M. Meulenbroek.
Une perquisition dans la voiture du frère aînée de la fillette a permis à la police de saisir de grandes quantités de drogues dures et de cannabis.
Une lycéenne, prise de délire après avoir fumé du cannabis à jeun ,a fracturé d'un coup de tête le nez d'une enseignante lundi dans son établissement d'Avignon.Elle a fumé "deux ou trois taffes" d'un bédo "prêté" par deux copines selon sa déposition ,puis elle s'est sentie mal ,a fait irruption dans la salle informatique du lycée et a frappé l'enseignante qui venait vers elle.
Il y a un nouveau moyen de consommer, le Hiroshima, sa préparation est assez simple, il suffit d'une bouteille de soda en plastique ainsi qu'une bassine remplie d'eau tiède (ou d'eau froide pour les poumons de béton).
-Couper le fond de la bouteille
-Faire un trou de la taille d'un cartons dans le bouchon
-rouler un buzz
-enfoncer la bouteille a fond dans l'eau (l'air s'échappe per le trou du bouchon)
-enfoncer le carton du petard dans le trou du bouchon( hors de l'eau)
-tirer la bouteille au max (la bouteille doit rester dans l'eau) (la normalement la bouteille se remplit de fumée
-enlever le petard de la bouteille tout en gardant le trou ferme.
-mettre sa bouche sur le trou et aspirer tout en enfoncant la bouteille dans l'eau
Prevoir d'être trés défoncé après cette experience.
Boîtes de conserve, piano, citerne à propane... Les trafiquants canadiens rivalisent d'imagination pour dissimuler la drogue qu'ils importent, révèle une enquête de la Direction des renseignements criminels de la GRC.
En septembre 2002, les autorités de l'aéroport de Dorval ont saisi quelque 86 kilos de cocäne dissimulés dans des pare-chocs caoutchoutés pour bateaux. Les pare-chocs étaient destinés à une compagnie québécoise, contre laquelle aucune accusation n'a été portée.
"L'examen des données sur les importations similaires donne à penser que 1700 kilogrammes de cocäne pourraient avoir été importés de cette manière au cours des deux dernières années", note la GRC dans son rapport sur la situation des drogues illicites au Canada en 2002.
Toujours en 2002, les autorités canadiennes ont saisi de la cocäne dans des boîtes de conserve contenant de l'igname (plante grimpante des régions chaudes), dans un piano, dans une citerne à propane et dans la structure d'un aéronef.
Les trafiquants de haschisch semblent eux aussi de plus en plus imaginatifs. En février 2002, la GRC a intercepté à Vancouver quelque 50 kilos de haschisch indien dans un chargement de meubles. En mars, les autorités pakistanaises ont saisi pas moins de 1000 kilos de haschisch, dissimulés dans une cargaison de ballons de football en partance pour l'aéroport Lester B. Pearson de Toronto.
En juin, un passeur d'héroäne a été intercepté à Vancouver avec deux kilos de drogue cachés dans la semelle de ses chaussures plate-forme. Les autorités ont également arrêté trois ressortissants japonais qui avaient dissimulé 15 kilos d'héroäne dans des boîtes de thé vert.
Enfin, des capsules contenant une vingtaine de kilos d'opium plongés dans des pots de cornichons ont été saisies en juillet par la Section de la marine d'Halifax. Deux oursons en porcelaine remplis d'opium ont également été trouvés au terminal du courrier international de la région du Grand Toronto.
Bateaux de pêche
Le rapport de la GRC révèle par ailleurs que les conteneurs maritimes ne sont plus le mode de contrebande préféré des trafiquants de cocäne.
"On a saisi très peu de cocäne dans des conteneurs maritimes en 2002, une situation qui s'explique par différents facteurs : le renforcement des mesures de sécurité aux points d'entrée un peu partout dans le monde, la mise en oeuvre, au cours des deux dernières années, de nouvelles mesures d'inspection dans tous les ports à conteneurs de Colombie, et deux grandes opérations policières qui ont perturbé les activités des réseaux bénéficiant de solides complicités internes dans les ports de Halifax et de Montréal", écrit la GRC.
Selon elle, les bateaux de plaisance et de pêche seraient désormais les moyens de transport de choix des trafiquants de cocäne. En juin 2002, la GRC a déjoué les tentatives d'un groupe de Canadiens lié aux Hells Angels, qui planifiaient d'importer 600 kilos de cocäne des Antilles. La drogue devait être acheminée par voilier jusqu'aux côtes de la Nouvelle-Écosse.
"Même si nous étions plus nombreux à surveiller les ports et les marinas, ça ne changerait pas grand-chose, observe Paul Marsh, porte-parole de la GRC à Ottawa. Nous ne pouvons pas monter sur un bateau comme ça et se mettre à fouiller sans avoir préalablement obtenu un mandat de perquisition. Et pour obtenir un mandat, il faut avoir des motifs raisonnables de croire qu'il y a de la drogue à bord du bateau. D'où l'importance pour la Direction des renseignements criminels de travailler en collaboration avec la population, les douaniers, la Garde côtière et les différentes autorités à travers le monde."
St. Thomas, Ont. - Les membres d'une congrégation religieuse de l'Ontario ont eu toute une surprise, mardi soir, lorsqu'ils ont trouvé une vingtaine de plants de marijuana qui poussaient sur le toit de leur église.
Deux membres de la congrégation Gospel Hall, de St. Thomas, sont montés sur le toit de leur église afin d'y réparer une fuite.
Ils y ont découvert les 29 plants, qui mesuraient environ un mètre chacun, dans de larges conteneurs à déchets en plastique. Un parapet sur le devant de l'église cachait les plants des regards indiscrets.
Retracer les coupables sera une tâche ardue, confie la police.
GENEVE (AP) -- La police suisse a fermé la semaine dernière une véritable PME qui livrait de la marijuana et du haschich à domicile à Genève.
L'opération a permis d'interpeller 15 personnes et de saisir 20 kilos de marchandise. L'entreprise avait déjà réalisé cette année un chiffre d'affaires estimé à 1,5 million de francs suisses (970.000 euros).
Deux associés d'une trentaine d'années étaient à la tête de cette PME située dans la zone industrielle de Genève, a précisé mercredi l'inspecteur Zoltan Gombas, chef de la brigade des stupéfiants. Ils employaient sous contrat une douzaine de jeunes âgés de 20 à 30 ans qui conditionnaient et livraient les produits.
Les employés effectuaient deux livraisons par jour avec un scooter et un sac à dos fournis par l'entreprise. Les clients passaient commande par Internet. Un millier de consommateurs étaient inscrits au fichier de l'entreprise. Avec une carte de membre, ils pouvaient également consommer la drogue dans ses locaux.
L'entreprise était inscrite au registre du commerce depuis août 2001.
Ce sont finalement 10 prévenus (25 à 55 ans) qui comparaissent à Huy, depuis hier, pour avoir participé à la culture de 3.500 plants de cannabis sous un court de tennis à Filot. Le présumé cerveau de l'opération voulait investir 80.000 euros. Mais les 3.500 premiers plants de cannabis seront ravagés par les pucerons. Les 43 kilos récoltés permettront tout juste de rembourser une partie des frais. Et il n'y aura pas de seconde récolte... Le tribunal correctionnel de Huy poursuivra l'examen du dossier jeudi prochain. (
Voir l'article concernant la découverte des 3500 plants
MONTREAL - La police canadienne a saisi près d'un millier de plants de cannabis audacieusement plantés sur un champ d'exercice pour l'artillerie, a indiqué vendredi un porte-parole.
La plantation, évaluée à 1 million de dollars, a été trouvée sur la base militaire de Nicolet, entre Montréal et Québec, qui sert de terrain d'essai pour les artilleurs canadiens.
La base couvre environ 45 km carrés et est ceinturée par une clôture de barbelés de 2,5 mètres de haut portant de nombreux panneaux indiquant que l'accès est interdit.
"La zone est sûre pour nous, mais ça peut être un endroit très dangereux pour quelqu'un d'autre qui s'y trouve", a commenté le capitaine Steve Lebel.
La police militaire a mis une semaine pour fouiller la base, découvrant en tout 983 plants de cannabis. Aucune arrestation n'a été effectuée et la police poursuit son enquête.
Les plantations canadiennes de cannabis, auparavant confinées dans les bois, se retrouvent de plus en plus dans des régions semi-rurales voire urbaines. La police estime qu'une bonne portion des récoltes est exportée aux Etats-Unis, où le prix du cannabis peut facilement doubler une fois la frontière franchie.
Un plant de cannabis a été découvert sur un terrain en friche, derrière la maison communale de Knokke par l'agent de quartier. Ce terrain appartient à la... ...commune de Knokke. Selon les habitants, des jeunes venaient souvent et coupaient les plantes. La police a emporté la plante, qui sera détruite. Aucun jeune n'a été arrêté.
Grand-Sault - Un homme a été condamné par la Cour provinciale de Grand-Sault parce qu'il a omis de payer des impôts sur son revenu... provenant de la vente illégale de drogue.
Maurice Gagnon devra payer une amende de 12 566 $ et purger une peine d'emprisonnement de 12 mois pour des accusations d'évasion fiscale. En plus de l'amende imposée par le juge, il devra s'acquitter des impôts, des intérêts et des pénalités imposées par la loi. En 2000 et 2001, l'homme avait touché des revenus de 70 061 $ provenant de la vente de drogue. L'Agence des douanes et du revenu du Canada a indiqué que les revenus sont imposables, même s'ils proviennent d'activités illégales.
M. Gagnon a vu ses biens saisis pour une valeur de 60 000 $. De plus, sa peine d'emprisonnement sera purgée en même temps que les 24 mois pour lesquelles il a été condamné pour complot.
Source : L'Acadie Nouvelle (Canada) - jeudi 19 juin 2003
Evry, Deux pêcheurs ont sorti 28 paquets d'un kilo de résine de cannabis d'un bras de l'Yvette au bord duquel ils s'adonnaient à leur passe-temps à Champlan (Essonne).
Les deux hommes ont prévenu mercredi soir les gendarmes qui ont ratissé l'endroit où les eaux sont assez basses. La drogue était emballée avec du gros scotch rendant les paquets étanches.