Concert IAM & interview Shurik'n – 13 mai 2016 – Amsterdam
Vous trouverez en fin de topic la vidéo que j'ai faite à partir des séquences que j'ai filmé... pour ceux qui auraient envie de se mettre un fond sonore
13 mai 2016 – Amsterdam – 14h26
J'ai faim, j'ai soif et pour couronner le tout : j'ai la tête dans le cul... faut dire que de refaire le monde, à grand coup de pétards jusqu'à 4h du mat' : sur le moment, tu te rends pas bien compte mais le lendemain... tu sens bien le poids des ans, dans tes paupières et dans tes poumons.
Le soir comme des lions, le matin comme des couillons...
'fin bref ; les joints : je ne le compte déjà plus... on est à Dam, c'est pas pour acheter du terrain.
"YOLO" qu'y disent, les jeunes -même si sur ce genre de trips, j'ai l'impression que les journées comptent doubles, au compteur...
En fait, ce qu'il me faudrait, là, tout de suite : c'est une bonne grosse sativa, bien électrique -histoire de me remettre d'aplomb et de me ré-organiser un peu les neurones, parce que là : j'ai l'impression d'être en mode "puzzle"... et pis, pas les faciles avec plein de couleurs, hein ; nan : plus le genre monochrome de 5000 pièces...
Tu le visualises un peu, le bonhomme ?
Le plan, c'est d'abord de passer au 1st Hulp et de capter Raheem pour organiser la soirée ; j'espère qu'ils auront refait le stock d'Amné... y'en avait plus hier soir.
C'est pour ça que je suis autant dans le dur, je suis sûr !
Cool, y'en a !
Du coup : j'en prends 2 grammes... pis aussi un petit bout de ce bon hash de Blue Berry Kush, qui m'avait laissé un bon goût de « reviens-y vite », la veille au soir...
On se prend une boisson, on s'installe, on roule... la suite vous la connaissez : no spoil, on est à Dam...
Ça faisait déjà 2-3 pétards qu'on était dans la place, quand arrive une petite troupe qui parle français, dont un avec l'accent bien chantant du Sud (ou des environs).
Les gars se posent, commandent, discutent ; même si on savait déjà qu'il devait passer, ça fait toujours un petit quelque chose, de l'avoir pas loin de soi.
Il est là : posé, tranquille avec ses potes ; petit moment de détente avant le concert... dans quelques heures, il sera sur scène et je ne peux m'empêcher de penser intérieurement que perso, j'en serais incapable -en tout cas après avoir fumé...
Outre ce petit pincement intérieur, le fait de le voir me rappelle que j'ai une mission, pour ce soir...
enfin : plusieurs missions, même ; une style de "package", t'as vu... haha.
La première, c'est easy : aller mater I AM en concert.
Pas de souci : je l'ai déjà fait 2 fois... le seul risque, c'est l'excès de kif' mais ça va : je devrais pouvoir gérer.
La deuxième partie de la mission, ça reste encore jouable, sans trop se mettre dans le rouge : prendre des photos.
Plein de photos. Voire même des vidéos, si je me sens d'humeur aventurière.
OK, ça va : ça, je peux gérer aussi... l'expérience, t'as vu.
Troisième partie de la mission, et c'est là que mon cœur fait des saltos à chaque fois que j'y pense (et comme j'y pense à chaque fois que je tourne la tête vers lui, je vous laisse faire le calcul) ba c'est carrément de rencontrer Shurik'n après le concert... et de l'interviewer.
Rien que ça.
Moi : « Genre moi, faut que je fasse une ITW de Shurik'n ? C'est ça que t'es en train de me dire ? »
Indy : « Tu comprends vite... mais faut t'expliquer longtemps. Ouep, c'est ça que je dis : après le concert : Raheem t'emmène en backstage et là... faudra interviewer Shurik'n. »
Moi : « Haha, lol. Fallait me la faire en Avril, poulet ; là tu dates un peu, pour les vannes... »
Sauf que ça n'en était pas une, en fait.
Trop pas.
Revenons donc au 1st Hulp^ : le Shurik'n est là, avec ses potes et dès que je tourne la tête vers lui : ça fait comme un truc étrange dedans moi, à mi chemin entre la syncope et la crise d'épilepsie.
Ouep : carrément chelou, comme sensation.
J'essaie de me projeter quelques heures plus tard, à quand je serais face à lui ; je tente de réfléchir à comment me donner une contenance et surtout démarrer avec un truc fort, accrocheur ; montrer qu'on est pas des bolosses, chez Cannaweed.
Je fais de mon mieux pour me calmer, me détendre ; vide dans la tête, respiration ventrale, concentration... t'as qu'à croire ; en fait, à l'intérieur de moi : je suis littéralement liquéfié...
Puis d'un coup : ça s'agite ; Shurik'n et déjà parti -on l'a pas vu filer ; du coup, on décide de bouger aussi : direction "la base", histoire de peaufiner un peu les questions.
Le Raheem, il voit bien que je suis en bad' total ; il essaie de me rassurer, tout comme Hellvice et Indy -qui ont déjà recontré Shurik'n, lors de leur dernier passage à Dam'.
Soi-disant qu'il est super sympa mais assez réservé, qu'il est humble toussa toussa... en gros : "t'en fais pas mecton, tout va rouler comme une lettre à roulettes dans maman", ou un truc du genre.
"Nan mais moi : je dis pas le contraire les gars, c'est juste que j'assume moyen !"
Trop fan, pour pas être dans un état second...
Conseil de Raheem : arrêter la sativa... et m'en mettre un bon d'indica, qui devrait me faire redescendre de ma perche, bien trop cérébrale.
Pas faux.
Dans le doute : je m'en roule un petit de Sour D qui traîne sur la table, pis je file me doucher...
Sorti de la douche, ça va un peu mieux ; la pression à l'air de redescendre un poil et les voyants sont passés du rouge..à l'orange vif .
Ça devrait le faire, lol.
Il est 19h30 : on se met en route avec Indy, qui s'est gentiment dévoué pour m'accompagner... d'façon, c'était simple : c'était soit quelqu'un venait, soit j'y allais pas.
Ouais, parce que je vous ai pas dit : le truc, c'est que j'y vais tout seul, à ce concert et à cette putain d'interview.
Rapport à ce que ça c'est pas passé comme prévu pour les places -en tout cas : Raheem ne pourra faire entrer que l'un d'entre nous.
Et c'est là que les copains ont été super sympas, en laissant la place à celui à qui ça « parlait le plus »... à savoir : moi.
Et j'avoue que même si j'étais un peu déçu de ne pas pouvoir partager ce moment avec des potes, j'étais tout de même plus qu'heureux de la surprise qui m'était faite.
On arrive donc devant la salle de concert ; le Melkweg, que ça s'appelle... devant : petite foule mais rien de dingo ; tu vois bien que t'es à l'étranger et que les locaux s'en tapent un peu, du rap français.
En revanche, ça sent bien bon et ce : dans toutes les directions... les joints tournent, les potes se retrouvent, ça parle français de partout.
L'ambiance est bonne, les gens bien chauds : ça laisse présager une bonne soirée...
Choco Alchemist arrive, avec son sac rempli d'edibles « Special edition » ; des chocolats faits-maison, fourrés avec 2 g de NYCD...
J'hésite ¼ de seconde à me l'envoyer direct mais une brève étincelle d'intelligence -dans ce qui me restait de cerveau- a dit que c'était pas une bonne idée.
Et finalement : l'avenir ne lui a pas donné tort... merci à toi, subconscient !
Le public est quasiment tout rentré dans la salle ; il ne reste que le petit groupe avec lequel je suis, accompagnés de Raheem.
Là, c'est à lui de jouer : passage au comptoir, récupération des pass... 3 minutes après : on est dans la salle, déjà bien bouillante et pour cause : I AM a déjà commencé et ils nous accueillent avec une bonne vieille «Ecole du micro d'argent ».
A partir de là : tout va très vite... les morceaux s'enchaînent et je kiffe tellement que je ne les sens pas passer... je prends des photos, je bouge... je fais une vidéo ; je re-bouge, je change de place : non, c'est nul -je reviens où j'étais au début... et pendant ce temps-là, les mecs sur scène sont en train d'envoyer de la bonne grosse soudure !
Que je vous dise : c'est pas la première fois que je les vois ; loin de là...
Premier concert... il y a 15 ans ; depuis, je les ai revus 1 fois : ça sera donc mon 3ème concert d'IAM.
Est-ce que c'est toujours aussi bon ?
Non.
C'est encore meilleur. Tout comme eux, d'ailleurs...
L'énergie est bien présente, la symbiose des membres sur scène fonctionne toujours nickel et l'interaction avec le public est juste magique.
Du coup, c'est hyper intime comme atmosphère ; ce qui donne une ambiance vraiment particulière.
J'ai pas l'impression de voir des mecs qui ont 30 ans de carrière -et des millions d'albums vendus- derrière eux mais juste des artistes... qui kiffent leur public -et le fait d'être aussi proches d'eux.
Les membres du groupe « checkent » les types de la fosse, tellement ils sont proches ; les cuts dans les morceaux sont nombreux et le public sur la brêche, car à chaque coup de crossfader de DJ Kheops : ce sont des centaines de voix qui complètent le blanc dans le morceau, ou répondent aux artistes...
Ambiance de dingue, donc ; du coup : une soirée qui est passée bien trop vite... c'est le seul problème, avec les gros kif' de ce genre.
J'ai pas pensé à noter tous les morceaux joués mais il y a eu de tout : de l'ancien, du récent, du remix... mais perso, j'ai vécu ça comme un « mini best-of » de leur carrière.
Revoir un printemps, l'Empire du côté Obscur, Né sous la même étoile, Bad Boys de Marseille... les morceaux s'enchaînent et il n'y a rien à jeter ; en fait, c'est vraiment leurs meilleurs morceaux qu'ils nous jouent, donc le public en veut encore.. forcément !
L'ambiance est au plus haut point, le public survolté ; l’interprétation spéciale de « Demain c'est loin » arrive à point nommé, pour calmer un peu tout ça...
Le groupe est assis sur scène, tee-shirt blanc pour tous ; le morceau original a complètement été remanié, dans un mélange de slam et de rap alternant séquences acapella et rap sur le gros son débité par DJ Kheops...
Forcément : tout le monde kiffe et en redemande ; l'ambiance est remontée d'un cran mais malheureusement la fin commence à se profiler doucement...
Une dernière pause, puis le groupe attaque les rappels ; premier de la série : celui que beaucoup attendaient et qui nous ramène plus de 20 ans en arrière : "le MIA"
A cet instant, je suis tellement concentré (entre le méga-kif du moment et la prise de vidéos) que je ne remarque pas du tout le tee-shirt que porte Shurik'n...
C'est l'intro du morceau : les membres dansent tous les uns après les autres, puis enfin arrive Chill -en mode « Super Jacky » des années 80 et là, c'est reparti pour de bon : la salle reprend un coup de pied au cul et on se retrouve tous à brailler « oh, cousine : tu danses, où je t'essploooose !!! », dans une ambiance survoltée.
Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin et après un "Petit Frère" passé bien crème dans les oreilles, le groupe nous dit finalement au-revoir -après le traditionnel salut de la troupe au complet.
Voilà... le concert : c'est fait.
A ce moment-là de la soirée : j'ai plus tellement de pression... déjà, parce que la pression : j'en ai bu 2-3 histoire, de la faire retomber (lol) mais j'espérais secrètement que ça se ferait pas, le coup de l'interview.
Je me disais « d'façon, les stoners : tu peux pas compter dessus, donc tu vas voir que ça va tomber à l'eau, l'histoire... et pis c'est tout ».
Ouais, ba ça : c'est quand tu connais pas Raheem... parce que 15 minutes après, je le vois justement débouler dans la salle pour :
1- me passer une branlée, parce que j'étais pas là où on avait dit ;
2- me demander si j'avais percuté le tee-shirt que portait Shurik'n, sur les deniers morceaux ;
3- me dire que maintenant, fallait y aller -rapport à ce qu'on allait pas y passer la nuit, ou quelque chose d'approchant.
Je lui demande vite-fait de quoi il parle, par-rapport au tee-shirt ; là, il me regarde avec des yeux tout noirs en me demandant si je plaisante... gros blanc, léger malaise...
Lui : « Tu te fous de ma gueule ? T'as pas vu ce qu'il portait, à partir du MIA ? »
Moi : « Euhhh... si, un tee noir avec des trucs dessus, quoi... »
Lui : « Hein ?! Mais c'est votre putain de tee-shirt Cannaweed que je lui ai fait mettre, bouffon ! »
Moi : « Sérieux ? Merde, mais moi, j'y voyais que dalle de là où j'étais ; j'ai pas capté ! »
Lui : « Franchement, j'espère que t'as shooté au bon moment... parce qu'une occaze comme ça : t'en auras pas un deuxième de sitôt, tsé... »
Ouais, je m'en doutais bien, de ça...
Du coup, ça m'a remonté la pression tout net ; déjà à cause du coup du tee-shirt (c'est vrai que je voyais pas lourd, de là où j'étais : fallait que je shoote à bras tendu, pour esquiver les têtes) mais aussi parce qu'on y allait pour de vrai... rencontrer Shurik'n.
Là, il m'emmène en backstage ; on passe des portes, des couloirs ; on croise des régisseurs, des attachés de presse, le possee du groupe... dernière porte ; Raheem ouvre et là... je me retrouve direct face à lui, genre tête à tête.
Lui : « salut, ça va ? Bien ? »
Moi : « mdrbhrdicjp^kovg » (en vrai j'ai essayé de parler mais c'est tout ce qui a bien voulu sortir de ma bouche...)
Saïd, l'un des MC du groupe est sur ma gauche ; il me « check » la main, me demande si ça va ; je crois que je dis oui mais entre nous : je mentais...
Raheem et David installent leur matos ; 3 interviews sont prévues.
Un journaliste de chez « Uncut » attaque en premier ; je crois qu'il est au moins autant liquéfié que moi mais comme c'est un renoi, ça se voit beaucoup moins... l'enfoiré (no hate).
Moi avec ma face de toubab, ça se voit direct que je ne suis pas loin du dépôt de bilan mais Raheem et David sentent bien ma détresse et me reboostent, avec les mots qu'il faut (gros big-up à eux deux !) et puis finalement : on y est, c'est à mon tour...
Je m'assoie ; il est en face de moi -à genre 1 mètre, assis dans le canapé... il est détendu, tu sens que la pression du concert est bien retombée.
Il sourit, il est cool ; j'attaque en le remerciant pour la soirée et le super concert, puis on attaque l'ITW proprement dite....
Et à partir de là, malheureusement : faudra attendre la vidéo ou/et la retranscription écrite de l'entretien... rapport à ce que c'est un peu confus et décousu, dans ma tête.
Je sais qu'on a parlé d'inspiration, des moments forts de sa carrière, de pyramides et de culture asiatique mais je ne pourrais pas être beaucoup plus précis que ça... trop d'émotions, sur le moment ; je crois que le rush d'adrénaline m'a un peu anesthésié les souvenirs, car j'ai du mal à me rappeler précisément ces quelques minutes passées à échanger avec lui...
En revanche, je me souviens bien avoir voulu -à la fin- aborder le thème du cannabis/stups mais on partait de bien trop loin, par-rapport au reste de l'échange... puis moi : total inconnu pour lui ; donc il a préféré zapper sur le moment mais Raheem, qui l'a interviewé juste après moi, a pu aborder ce sujet avec lui et il s'est exprimé ouvertement, concernant sa position vis à vis du chanvre.
Ce dont je me souviens très bien en revanche : c'est du bonhomme... on ne m'avait pas menti : c'est quelqu'un de très sympa, simple, humble... il a répondu à mes questions de manière spontanée et sincère -même si je sais pertinemment que j'ai été un peu maladroit, à certains moments... c'est que c'est un métier, interviewer
Notre échange a du durer dans les 3-4 minutes ; j'ai du mal à me rendre compte.... c'était tellement intense, comme instant !
En revanche, j'ai pu chiller un moment sur place pendant l'interview avec Raheem, discuter rapidement avec Saïd et même prendre la petite photo-souvenir qui va bien...
… même si celle-là, je ne pourrais malheureusement pas faire le beau avec sur Facebook. pourtant il est tellement classieux, ce hoodie Cannaweed !
Après ça, je me suis rentré paisiblement au QG, avec un petit péco de Blaze Haze au bec ; je suis rentré à pinces mais en vrai : c'était en nuage magique, que je naviguais... voire même en licorne, no joke...
Même Pharell, il pouvait pas être plus Happy que moi, à cet instant...
Le contre-coup de l'adré', plus le plaisir qu'ont été ces moments m'ont vraiment shooté le cerveau, à plein d’hormones bien sympas ; comme quoi : vous avez tout faux, les toxicos... pas besoin de spliff pour planer, t'as vu ; rien que tu rencontres un artiste dont t'es fan... et ça va.
Easy.
23h38 : Enfin Rentré ; débriefing avec la team ... raconté avec le fil tout autant décousu, que ce que le Phyl en avait retenu...
Je matte mes photos ; je vois que j'ai réussi -en semi-aveugle et à bout de bras- à shooter une bête de tof' de Shurik'n, avec le tee-shirt CannaWeed bien visible... la qualité est bof-bof, y'a du grain et du bruit mais le cadrage, tout comme l'instant saisi, sont vraiment tops... amha.
Sur le coup, j'ai failli limite me ré-évanouir ; déjà, de constater que j'avais vraiment besoin de binocles ; parce que de pas voir ça pendant le concert : fallait le faire... puis de voir que malgré tout, j'avais réussi un shoot vraiment pas dégueu'.
Du coup : pour faire bonne mesure et fêter ça, je me suis envoyé la moitié de l'edible de l'ami « Choco Alchemist »... et puis encore l'autre moitié, ½ heure plus tard.
Et encore ½ heure plus loin : je me mettais en PLS sur la banquette près de la fenêtre ; faillite personnelle du gars, plus rien à déclarer... 2 grammes de NYCD, forcément : ça cause
Je pense que les autres loustics ont du me faire des trucs pas très recommandables, pendant mon coma cannabique ; entendu que j'avais mal à des parties de moi... où je n'ai pas l'habitude d'avoir mal, en temps normal.
Coincidence.. ? Je ne pense pas...
Enfin bref : on va conclure ce récit (déjà beaucoup trop long !) en disant qu'au « petit » matin, j'étais encore tout perché... et de l'edible, et des restes des souvenirs de la veille.
Un bon gros spliff d'Amnesia et 3 cafés plus tard : ça allait déjà beaucoup mieux, et puis le reste du week-end venait tout juste de commencer
Donc voilà : c'était ma tranche de vie à Dam', où en plus de consommer des produits sympathiques, j'ai eu la chance de voir IAM en concert et le grand honneur de rencontrer Surik'n... plus : passé de supers moments, avec les membres de la team présents et les gens rencontrés sur place.
Pour tout ça, je voulais adresser un grand merci à tout le monde ; Hell' et Indy, bien-sûr... Kyu, pour les bons moments et les ballades dans Dam' ; Raheem, pour m'avoir permis de vivre ces moments bien cools ; le Cannabis College pour l'accueil et bien-sûr Sensi Seeds pour tout le reste...
Des moments comme ça, on en a peu dans une vie ; donc encore un énorme merci à tous...
Petite vidéo des séquences que j'ai filmé :
- Début : L'école du micro d'argent ;
- 00:22 : Demain, c'est loin ;
- 00:40 ; Demain c'est loin : slam de Shurik'n ;
- 02:36 : Demain c'est loin : slam d'Akhenaton ;
- 02:50 : Demain c'est loin : AKH qui rôde le spliff' qui tourne ;
- 03:03 : Demain c'est loin : drop de DJ Kheops ;
- 04:34 : Le MIA : concours de danse (Tee-shirt CW porté par Shurik'n jusqu'à la fin) ;
- 05:55 : Le MIA : entrée d'Akhenaton ;
- 06:29 : Le MIA ;
- 07:50 : Petit frère.